Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau*
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Empire State of Mind
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Sujet: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Jeu 29 Mar - 21:59
FEAT. JOSHUA JACKSON
Elwin GARDNER
35 ans → Né à New-York le 30/08/1976 → Illustrateur (livres pour enfants, bandes-dessinées) Marié → hétérosexuel → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → ☻Allergique à énormément de choses : les chats, la mangue, la lavande, les crevettes et les pollens d'arbres. Sa vie est rhume à répétition, certains s'étonnent même qu'il parvienne à endurer cela sans cesse. ☻Parfait maître de maison : cuisine, nettoyage, plus rien n'a de secrets pour lui. ☻Toujours souriant. Certainement remarque-t-on toujours son sourire avant de ne voir le reste. ☻ S'habille chaque matin au hasard. Jamais encore il n'a réfléchi à ce qu'il allait enfiler, même à son mariage.
★Quel est le caractère de ton personnage? → La maison d'Elwin est certainement la plus propre de toutes celles que l'on peut trouver à New-York ou dans les alentours, voire même sur toute la côte est. Jamais vous n'avez vu sur Terre quelqu'un de plus maniaque que ce trentenaire perfectionniste. Il lui arrive de récurer son appartement deux fois dans la même journée. Lorsqu'il fait le ménage, il lave même les murs à l'éponge et détaille les moindres recoins. Ce n'est pas un paresseux, au contraire. Depuis près de trois ans, il élève seul ses trois enfants : Diane (15 ans), Rick(10ans) et Peter.(3ans et demi) Il fait vivre sa petite famille à un rythme soutenu, tout en veillant à prendre le temps nécessaire à l'épanouissement que lui procure sa profession. Personne n'est laissé à l'abandon, surtout pas Rick, qui présente de nombreux soucis en ce qui concerne son parcours scolaire.
Illustrateur qui commence à se faire une place sérieuse dans ce domaine, son perfectionnisme est certainement ce qui donne à ces dessins, même aux plus simples de ses croquis, des airs d’œuvre d'art. De nature calme et amicale, il adore se rendre utile. Sa sérénité et son sang-froid ont, cependant, tout de même été grandement ébranlés par les événements plus ou moins récents. Homme facile, manipulable comme il se peut par la gente féminine, cela fait longtemps qu'il n'est plus vraiment fidèle à son épouse, d'autant plus qu'il ne parvient pas à lui pardonner le mal qu'elle a pu faire.
Ses principaux défauts ne sont autre que la gourmandise et la possessivité. C'en est presque maladif.
Well... It's my story...
Elwin n'aurait jamais cru se retrouver un jour assis sur cette chaise recouverte de tissu gris délavé, face à un homme plutôt étrange et effrayant. Une sorte de zouave qui n'écoute que d'une oreille avant de laisser échapper un flot de stupidités. Crane rasé, lunettes sur le nez, l'air attentif. Un psychologue. Après les remontrances de sa fille de quinze ans, Diane, le trentenaire avait accepté de se rendre chez un psy. Autant dire qu'à présent, il le regrettait, dos bien appuyé contre le dossier de sa chaise, se demandant encore combien d'argent cette visite allait lui coûter. Après tout, c'était son affaire s'il préférait se jeter sur le ménage dès lors que quelque chose le tracassait, n'est-ce pas ? Il avait le droit de souhaiter posséder un appartement parfaitement propre. A vrai dire, il prenait même cela pour un devoir et une urgence. Mais Diane ne l'entendait décidément pas de cette oreille. Alors qu'il passait l'aspirateur, après avoir accompagné son fils de 10 ans, Rick, à l'école, la demoiselle s'était approché d'un pas furtif et avait posé une main contre son épaule. « Papa, arrête de te faire du mal. » Ce n'était pas parce qu'elle n'aimait pas faire le ménage que celui-ci ne pouvait pas être un véritable plaisir pour certaines personnes. Elwin avait été élevé par une famille de classe moyenne. Sa mère était cuisinière et elle avait toujours voué un culte à l'hygiène. Le jeune homme n'avait pas vraiment suivi les traces de sa génitrice, n'étant pas à ce point maniaque, jusqu'à ce que sa vie ne finisse bouleversée.
« Que s'est-il passé avec votre femme ? » Et voilà la question était tombée, bien brutale. Elwin avait espéré que l'histoire concernant son épouse ne soit pas mise sur le plat car elle n'était pas bien glorieuse. Il jeta un œil semblant désinvolte sur le crâne rasé se mouvant doucement face à lui, croisant les doigts, avant de ne baisser le regard. Il avait beau dire que tout allait bien, il n'aimait pas parler des événements qui avaient réduit à néant sa vie de famille. Cela avait duré trop longtemps et tout avait été de sa faute. Si seulement il avait pu réagir comme il le fallait dans une telle situation : Mme Nina Gardner, son épouse, aurait pu être sauvée. Tout comme Diane, Rick et Peter, ses enfants. Lorsqu'Elwin et Nina s'étaient mariés, ils avaient à peine 20 ans et un enfant en route. Trop jeunes peut-être, mais bel et bien heureux de vivre et de leur situation. C'était une femme magnifique, intelligente et attentionnée. Il connaissait ses précédents de maladie mentale, ayant même été à son chevet lorsqu'ils n'avaient tous deux que quinze ans, mais cela ne l'avait pas refroidi. Ils s'aimaient. Et c'était juste beau. Plus beau que le ciel bleu et les arc-en-ciel.
« Je ne sais pas ce qui s'est passé. Je...ne veux pas en parler. » fit-il doucement à l'attention du psychologue, alors qu'il tremblait en repensant à tout cela. Le trentenaire passa une main contre son ventre, où une marque restait bel et bien présente. La marque dont il ne se déferait jamais, combien-même la cicatrice finissait par disparaître. Son esprit en serait toujours troublé. Les années avaient passé. Rick naquît. Le couple était censé nager en plein bonheur, et ce aux yeux de tous. Mais Nina devenait de plus en plus violente, sombrant dans la dépendance à différents médicaments. C'était une lente descente aux enfers, qu'Elwin avait tant bien que mal tenté d'avorter. Il avait tout fait pour son épouse, sachant se montrer tendre à souhaits, comprenant son mal-être et sa souffrance. Sa présence avait été sans bornes...Elle l'avait souvent frappé. Il n'avait jamais rendu les coups. Et ensuite, cette déchirure morale : injures, insultes à répétition, dénigrement. Il sentait qu'il allait exploser ; supportant tout, par amour. Jamais il ne baissa les bras. Bien évidemment, il protégea ses enfants avant tout, les écartant de leurs disputes, de leurs embrouilles. Disputes durant lesquelles l'histoire se répétait sans cesse : griffures, claques et coups de la part de Nina. Elle s'excusait ensuite des heures durant et le jeune homme la fuyait, lui jetant un regard de dépit. Il paraît pourtant que ce sont les femmes les plus atteintes par les violences conjugales dans la société actuelle. Il faut croire qu'Elwin est une exception comme il l'a toujours été dans des domaines bien différents. Après avoir forcé sa femme à suivre une thérapie, à laquelle il se prêta lui-même, espérant arranger les choses et retrouver leur complicité d'antan, la situation parût plus claire. Nina souriait de nouveau. Des mois s'écoulèrent durant lesquels l'épouse Gardner semblait de plus en plus attentive à son mari. Ils ne se disputaient presque plus. Comme quoi, les miracles existent et l'amour persiste toujours, n'est-ce pas ? Mais, malheureusement, les rêves d'Elwin finirent bien vite détruits à néant. Pas la peine d'y croire. Après la naissance de leur dernier enfant, Peter, Nina sembla perdre tous ses moyens. Elle pleurait toutes les nuits et marchaient de long en large dans l'appartement, laissant à son mari les responsabilités liées à la naissance du bambin. Elle ne le prenait pas dans ses bras, comme si Peter la repoussait, comme si cet enfant était le diable lui-même. Un nouveau temps de crise, durant lequel Elwin ne réagit pas suffisamment vite et bien. Les visites chez le médecin purent déterminer un symptôme de névrose postnatale chez Nina... Ce qui ne rassura pas notre jeune illustrateur. Il fit cependant avec, ménageant son épouse comme il le pouvait.
Un matin de printemps, alors qu'il rentrait de quelques courses, il retrouva sa femme penchée au-dessus du berceau du nourrisson, un couteau en main. Elle tenait aussi un coussin, et semblait hésiter à s'en servir contre l'enfant, au-dessus de son visage. Elle voulait l'étouffer, tuer cet être innocent qui n'y était pour rien dans sa démence. Jamais encore le pouls d'Elwin n'avait été si rapide, si violent. Il n'a jamais vraiment compris comment les événements se sont réellement déroulés ce matin-là, mais une chose est certaine, ce fut une véritable tragédie. Sans même s'en rendre compte, il s'était jeté, avait attrapé son épouse par les épaules, tentant de la dissuader de commettre cet acte terrifiant. Ils avaient criés, tous les deux. Beaucoup. Elle avait hurlé, elle avait pleuré. Et ensuite, il ne se souvient plus de rien que du sang qui coulait entre ses mains, glissant au-delà de la blessure qu'il possédait sur son ventre. Le coup de couteau avait été brutal et il commençait à ressentir la douleur comme une brûlure démoniaque. Elwin avait jeté un regard triste, un regard d'imploration en direction de la femme se tenant face à lui, avant de ne perdre totalement connaissance. Ce fut dans un hôpital qu'il rouvrit les yeux, le lendemain, encore tout en émoi. On lui avait juré qu'il ne risquait rien. On lui avait raconté qu'une voisine, alerté par la dispute, avait appelé la police. Peter allait bien, il n'avait pas même une simple éraflure et se trouvait chez ses grands-parents, ainsi que Diane et Rick. Sa covalescence pouvait donc se faire dans le calme. Mais les cauchemars ne le quittaient plus, venant le hanter chaque nuit tels des fantômes vengeurs. Non pas qu'il ait peur de son épouse, bien que ce fusse tout de même un peu le cas, évidemment, mais il éprouvait une intense culpabilité. Celle d'avoir laissé Nina sombrer dans la démence sans rien faire pour ne l'en dissuader.
Ce jour-là, assis sur ce fauteuil en face d'un psychologue, il se posait de nombreuses questions, des questions qui resteraient sans réponse. Il savait que pour surmonter son mal-être, il devrait revoir sa femme, demander le divorce...Mais cela lui paraissait une tâche impossible. A présent qu'elle se trouvait dans un hôpital psychiatrique, enfermée, il pensait que sa famille était en sécurité. Du moins, il en avait la nette sensation. Cependant, la honte d'avoir été malmené par sa propre épouse, la fragilité psychique qui en était née, et la rage d'avoir pu laisser ses enfants subir toute cette haine étaient bien présentes en son sein. Tout ce qu'il pouvait faire, c'était rassurer Diane, qui ne faisait que de s'inquiéter à son sujet, en se rendant chez ce psy ou en suivant des thérapies dites "naturelles". Mais il n'avait rien d'anormal, il portait juste en lui la crainte que possède chaque parent de ce monde: il avait peur pour ses enfants.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Mamouth; 19ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → oh la la la la... Je sais plus ★Ce personnage est-il un double compte ? → oui ★Présence sur le forum → fréquente ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé
Mon exemple de RolePlay:
→ Demander la permission. Bambi se sentait obligé de demander la permission, de demander l'accord de la demoiselle avant de ne se glisser dans un faux pas. Il n'avait pas le droit de lui faire de mal. Et puis, il voulait savoir, savoir si vraiment elle avait envie de lui comme il avait envie d'elle. Jamais il n'oserait douter de son amour, mais c'était plus fort que lui : il devait tout savoir, il devait être certain. Il avait toujours fonctionné ainsi : élimination des doutes. Le meilleur moyen de ne pas se retrouver dans une situation peu avantageuse et franchement désagréable. Pourtant, même ainsi, il avait terminé en prison, derrière des barreaux qu'il avait rêvé de briser des nuits durant. Comme quoi, on ne peut même pas se faire confiance à soi-même. Et Bambi n'échappait pas à la règle, il ne se faisait pas confiance. Mais à Lena, si. A présent qu'il se rendait pleinement compte des sentiments qu'il ressentait à son attention, il ne pouvait plus douter d'elle. Tant pis si leur histoire les entraînait tous deux vers une mauvaise voie...Enfin, si Lena acceptait de vivre cette histoire. Jusque-là, il avait senti toutes les questions qu'elle se posait intérieurement. Des questions muettes et pourtant tellement emplies de sens. Bambi l'observa quelques instants, après s'être calmé. Les battements de son cœur restaient tout autant irréguliers qu'auparavant, mais il y avait quelque chose de nouveau... Il n'y avait plus ce poids sur sa poitrine, comme si son cœur allait lui échapper, comme s'il lui était étranger. Il avait eu tellement mal en entendant Lena lui balancer tant de monstruosités. C'était si dur, si sévère...peut-être même bien injuste. Bambi n'avait pas de chance. Et jamais il n'aurait de justice. Il tombait amoureux de la fille la plus merveilleuse du monde et celle-ci lui avouait vouloir mourir. Ce que le destin peut être mesquin ! Poussant un soupir très léger, se remettant soudainement en question, le trentenaire avait l'impression que tout s'effondrait. Il était là, au coin du lit, auprès de celle qu'il aimait, mais il ne parvenait plus à se sentir pleinement conscient. Ce qu'il avait osé sous-entendre à propos de Lena était trop violent. Il aurait pu la traiter de prostituée, ce serait quasiment la même chose. Et il n'en avait pas le droit, il ne l'avait jamais eu et ne l'aurait jamais, d'autant plus que c'était absolument faux. Et il le savait très bien. La crainte de la perdre lui emplissait le cœur, les poumons, le corps entier, entraînant comme une sorte d'asphyxie. Bambi s'était excusé, il avait demandé pardon à la demoiselle, pour avoir été si stupide... Il aurait dû se contrôler. Soudain, un baiser. Elle l'embrassait doucement et tendrement contre les lèvres. C'était si bon... Il avait besoin de cela, il avait tout simplement et tout bonnement besoin de la jeune femme à ses côtés. C'était l'un des meilleurs moments. Il fallait terminé les disputes. Terminer. Elle avait répondu entre deux baisers, d'une manière rapide. Tant mieux... le trentenaire avait impérativement besoin de ses lèvres. Oh oui, ses douces lèvres rosées au goût de miel. Puis, un sourire. Un sourire tellement magnifique que Bambi en fondit littéralement. Jamais encore le visage de Lena n'avait si illuminé, si parfait. Un sourire amoureux et tendre, un de ces sourires que l'on offre qu'à très peu de monde...A une seule personne : l'être cher, l'âme soeur. L'ex-détenu le lui renvoya, comme si elle était face à un miroir. Il posa sur elle un regard si pure, un regard tellement empli d'amour. Des yeux qui ne pouvaient pas mentir...Il la dévorait comme l'être le plus cher au monde, comme si elle était une œuvre d'art. Et c'était ce qu'elle était à ses yeux...La perle. Vous savez, lorsque vous cherchez quelque chose et que vous tombez soudain sur autre chose, totalement opposé, mais vous savez qu'il s'agit en vérité de ce dont vous aviez toujours rêvé. C'était ce qui était en train de se produire pour Bambi. Lena : la perle. Ensuite, ce murmure. Ce murmure qu'il voulait tellement entendre. Je veux de toi...Elle avait pris un ton amusé, mais dans le regard de la blondinette, il comprenait qu'elle ne jouait pas. Enfin, d'une certaine manière, elle s'amusait, oui, mais elle était sérieuse. L'amour si brûlant et si présent quelques minutes auparavant ,alors que le trentenaire avait laissé ses mains glisser à la redécouverte du corps de son interlocutrice, était encore bien présent. Et si intense. Une intensité nouvelle, peut-être un peu moins folle et vibrante que les minutes ayant défilé plus tôt, mais non négligeable. Bambi lui, la regardait toujours avec le regard de l'amour, lui souriant doucement, avant de happer ses lèvres. A chaque fois que leurs lèvres se collaient l'une contre l'autre, il frémissait, comme s'il s'agissait de son tout premier baiser, lui qui avait dernièrement couché chaque nuit avec une femme différente. Mais Lena n'était aucunement une croix supplémentaire sur sa liste. C'était la femme avec laquelle il projetait de vivre. Comme un couple. Oui, comme deux personnes qui s'aiment, et décident un jour de fonder une famille. Avoir des enfants n'était évidemment pas encore à l'ordre du jour, mais il ne doutait pas qu'un jour, cela viendrait. C'était obligé. Leur communion était si parfaite, si intense, si belle, si joyeuse, si profonde, si tout ! « Je t'aime... » souffla-t-il encore une fois, dans un murmure on ne peut plus romantique, alors qu'il sentait les doigts de la jeune femme déboutonner sa chemise. Comme dans un jeu, un large suspens. Elle y allait très lentement, défaisant chacun des boutons à une vitesse proche de celle d'un escargot, mais c'était si..excitant. Il fallait prendre le temps, le temps de se redécouvrir, le temps de se remémorer. Elle avait fermé les yeux, lui aussi. Il frémissait sous ses doigts. Doucement, il commença à retirer le T-shirt qu'elle pensait, jusqu'à ce qu'elle se retrouve avec son soutien-gorge pour unique parure. Il n'ouvrit pas les yeux pour autant, il se laissa simplement mener. Les deux jeunes gens retombèrent sur le lit, et les caresses reprirent. Leurs lèvres ne faisaient que se toucher, s'embrasser, s'aimer. C'était si bon. Si fort. Encore des baisers, toujours des baisers. Et cette sensation de solitude à chaque fois qu'ils s'écartaient afin de reprendre leur respiration. Oh Lena, je t'en supplie ne me laisse pas, reste, ne disparaît pas. Il avait tellement envie d'elle qu'il sentait déjà le plaisir l'envahir. De simples caresses et pourtant si puissantes. Bientôt, il s'offrirait à elle, elle s'offrirait à lui. Ce serait le bonheur. Leur bonheur. L'amour était si parfait que rien ni personne ne pouvait le défaire. Jamais. Les forces extérieures ne détruirait pas leur bulle...Des baisers encore et encore. Sur sa bouche, sur son cou.... Puis, Bambi laissa ses lèvres dévier et se poser contre sa poitrine, tendrement, puis contre son nombril. Ses mains passèrent dans son dos afin de détacher son soutien-gorge. Toujours à l'aveuglette... mais ne pas voir lui faisait tellement de bien. C'était encore plus pur et plus fort. Il avait juste besoin de sentir sa chaleur, d'imaginer son corps, ou plutôt de l'inscrire dans sa mémoire, de le ressortir de ses rêves, de le revoir tel qu'il était leur première nuit passée ensemble. L'aimer. L'aimer encore et toujours à l'en faire fondre de plaisir. C'était tout le mal qu'il lui souhaitait. Il sentait déjà le corps de Lena se raidir sous ses caresses, comme prête à s'offrir alors qu'il laissait ses doigts jouer un peu avec les fermetures de soutien-gorge situées dans le dos de la demoiselle. Doucement. Tendrement. Des gestes en douceur, en tendresse. Puis il revînt encore happer ses lèvres, amoureusement, langoureusement, lorsque soudain... Lena s'écarta. C'était si brutal, si soudain. Bambi ouvrit les yeux, posant un regard étonné sur sa partenaire. Que se passait-il ? Elle avait l'air effrayée, inquiète ? Allait-il trop fort, trop vite ? Avait-il fait quelque chose de mal ? Lui avait-il fait du mal sans même s'en rendre compte ? Il fut tout d'abord persuadé qu'il était la cause de cette interruption soudaine et vivement brûlante, mais la demoiselle posa un regard sur l'ensemble de la pièce, ce qui lui laissa croire qu'il s'agissait d'autre chose. Mais qu'est-ce qui avait bien pu la détourner de leur office ? Par quoi venait-elle d'être attirée, d'être attristée ? Elle avait beau ne formuler aucun mot, ne rien lui dire ni ne lui montrer, il comprenait. Quelque chose s'était produit, là, tout de suite, quelque chose qu'il n'avait pas pu voir ou entendre, mais quelque chose qui tourmentait sa « compagne », son cœur, son ange. Il s'apprêtait à dire n'importe, à la rassurer, mais elle fut plus rapide. Elle s'empara alors de ses lèvres avec une nouvelle fougue. Une fougue torride, mais tellement étrange... On aurait dit qu'elle tentait par ce geste de fuir un danger. Elle fuyait et Bambi le ressentait...Elle fuyait....Elle hésitait. Elle ne savait plus quoi faire, elle était perdu. Elle le voulait à présent, lui, pour se sauver. Il pouvait le faire. Reposant doucement ses doigts contre le corps de la demoiselle, le trentenaire entama de nouvelles caresses, de nouveau baisers, espérant ainsi mettre un terme à l'inquiétude qui hantait l'esprit de sa partenaire. Mais il n'y parvenait pas. Il sentait qu'elle n'était plus aussi à l'aise, qu'elle se battait pour retrouver leur complicité des âmes. Un lien venait de se détruire, et c'était intensément douloureux. Bambi ressentait toute cette souffrance. Il y avait de la haine dans les parages, une haine incontestable qui venait empiéter sur leur terrain, brouiller leur amour naissant et pourtant si ancré en eux. Les battements du cœur de Bambi ne firent qu'amplifier au fil des secondes qui défilaient, et son organe vital s'arrêta même un instant de battre lorsque son interlocutrice charnelle le repoussa vivement. C'était si soudain et inexpliqué que le pauvre resta un instant immobile, ne sachant plus comment réagir. Elle venait de poser ses mains contre ses oreilles et semblait souffrir de plus en plus. Etait-ce de sa faute ? Qu'avait-il fait ? Comment pouvait-il arranger les choses ? Il souffrait, presque autant que souffrait son amour. Lena paraissait tant hurler intérieurement, tant tempêter contre quelque chose...
« Calme-toi mon ange... » souffla-t-il simplement. Mais elle ne l'écoutait pas, elle l'ignorait. Il n'osait même plus la toucher de peur qu'elle le repousse ou pire, qu'elle le frappe. Elle ne semblait plus être dans ce monde, dans leur monde, le monde qui était en train de monter vers le paradis. Le paradis constitué de leurs caresses, de leur amour. Subitement, elle s'était levé, elle avait hurlé. Bambi ne parvenait pas à comprendre. Pourtant, quelques heures plus tôt, chacun lisait en l'autre comme dans un livre ouvert, comprenant la moindre de ses craintes et ressentant la moindre de ses envies. Mais ce lien était à présent rompu, détruit. Quelque chose venait de le piétiner. Bambi n'avait pas saisi le sens des paroles de la blondinette, il ne parvenait pas du tout à saisir quoi que ce soit. Les yeux écarquillés, il restait immobile, s'asseyant sur le lit, à la regarder reculer. Elle reculait de plus en plus vite, heurtant un meuble. A cet instant, il se jeta à ses côtés, la saisissant doucement par la main. Tendrement. Il lui caressa la joue alors que le dos de son ange heurtait brutalement le mur. « Je t'en supplie, Lena, dis-moi ce qui ne va pas.... » déclara-t-il, totalement apeuré. Elle venait de s'enfoncer les ongles dans la main. Elle se faisait du mal. Encore cette douleur physique. Encore cette envie morbide. Ce ne pouvait qu'être cela. Il avait envie de l'implorer, mais elle ne l'écoutait pas. Elle n'était plus là. Ils n'étaient plus ensemble dans ce lit à rêver de ce qu'ils allaient faire quelques secondes plus tard. Non. La réalité de la situation était brutalement sanglante, brutalement terrifiante et douloureuse. Bambi la tenait de plus en plus fort par la main, comme si le fait de compresser celle-ci permettrait à son interlocutrice de revenir parmi leur réalité. La réalité lumineuse qu'ils avaient rêvé de s'offrir quelques minutes plus tôt. Cette réalité qu'ils avaient eu l'impression de pouvoir mérité. Mais c'était faux. Faux. Absolument faux. Mais cela n'avait aucun effet. Elle ne le voyait plus, il n'était plus là à ses yeux. Il n'existait plus. Elle fixait simplement de nouveau le vide, terrifiée et abasourdie. Tétanisée.
« Lena ! » s'exclama finalement Bambi dans le tout dernier des désespoirs. Il avait hurlé son prénom, l'appelant à lui. Complainte de détresse, envie de vivre. Il fallait qu'elle revienne. Il le fallait car il ne pouvait tout simplement pas vivre sans elle. Il le savait, il venait de se contraindre à une vie de solitude. Car dès lors que Lena ne serait pas à ses côtés à un moment précis, cet instant pourra s'apparenter à un moment de pleine solitude, à un moment de vide intense. Lena était devenu sa raison de respirer, sa raison de se battre, et de changer. Il devait se relever, vraiment. Il ne savait plus quoi faire, ni que dire, il était perdu, peut-être encore plus qu'elle ne pouvait l'être en cet instant, là où elle se trouvait, alors que ses yeux vagabondaient dans la pièce. Son cerveau fonctionnait au ralenti alors qu'il essayait de rétablir la connexion. Si seulement cela pouvait être plus simple ! Il cherchait à lui parler, à rentrer de nouveau en contact, afin de la comprendre à nouveau, comme avant. Il fallait qu'il sache, sinon il ne pourrait pas l'aider ! Et il n'avait pas le droit de la laisser dans cet état ! Jamais. Il devait la délivrer de ses démons, la sauver, la faire fuir, mais la faire fuir une bonne fois pour toutes. Il devait la tenir par la main jusqu'à ce qu'elle parvienne à traverser le couloir qui la sauverait, la rue qui la séparait du bien-être absolu. C'était son devoir. Sauver son ange. Maintenant. Tout de suite. Son cœur battait de plus en plus vite alors qu'il réfléchissait. Mais jamais il n'avait été autant déconcentré. La panique l'envahissait presque. C'était stupide, il devait se contrôler, lui qui avait toujours possédé un sang-froid en or ! Alors qu'elle se laissa tomber contre le sol, une demande, une supplication marquant ses traits, Bambi lâcha soudainement sa main. Électrochoc. Douleur. Souffrance. Haine. Des images lui traversèrent l'esprit. Il crut même en mourir. Jamais encore il n'avait souffert à un tel point, même lorsque certains prisonniers avait jugé bon de lui faire la peau dans sa cellule. Non jamais. C'était psychologiquement intenable. Bambi lança de nombreux regards vers les différents espaces que comprenait la petite chambre. Il cherchait. Il cherchait d'où venait le mal. Mais il ne voyait rien. Il ne comprenait plus.
« Aide-moi, Lena, je t'en supplie, aide-moi à savoir.... » finit-il par murmurer. Mais rien y fit. Lena s'était recroquevillée, comme une pauvre gosse amoindrie et battue. Elle souffrait trop, elle mourrait. C'était une fleur qui fanait peu à peu, mais à une vitesse exponentielle, face à tant de soleil et de brûlures insoutenables. Il devrait la sauver tout seul. Elle ne l'aiderait pas à traverser le couloir avec elle. Ce long couloir blanc dans lequel Bambi se trouvait plongé et que l'on pouvait facilement comparer à celui d'un hôpital. L'hôpital psychiatrique dont elle avait si peur. Il fallait le briser. Il le fallait. Il ne pouvait pas la laisser ! JAMAIS ! Là encore elle ne l'avait pas écouté...peut-être ne l'avait-elle même pas entendu. Trop loin. Si loin. Trop loin pour qu'ils puissent se comprendre, elle venait de traverser une autre ère. Une larme perlait le long de la joue de notre trentenaire. Pourquoi les choses ne pouvaient-elle pas être bien plus simples ? Pourquoi n'avait-il pas le droit au bonheur ? Pourquoi tous deux n'avaient-ils pas droit à un bonheur si longtemps et tant de fois réclamé silencieusement. Pitié, laissez-moi... Bambi ne crut pas un instant que cela lui était adressé, mais ces paroles prononcées à demi-vois résonnait dans sa tête avec véhémence. Oh oui, laissez-là, qui que vous soyez, quoi que vous soyez, laissez-là en paix. S'il pouvait se tuer à cet instant pour la sauver, il le ferait. Il se donnerait la mort, là, de suite, avec n'importe quel moyen qu'il trouverait bon. Du moment que le résultat serait là, tout pouvait bien aller. Mais le fait que Bambi ne meurt n'arrangerait pas la situation, bien au contraire, cela affaiblirait encore plus la pauvre étudiante. Trop de couleurs étaient déjà supportées par ses frêles épaules.
Bambi se pencha aux côtés de son ange, posant une main tendrement contre sa joue, la regardant, tentant de happer son regard. Mais elle le regardait comme s'il n'était constitué que de vide. Il souffrait encore plus. C'était vraiment trop dur. Son corps en tremblait. Et subitement, le flash. Il comprit. Il comprit ce qu'il n'avait pas su voir quelques temps plus tôt. Une seule chose au monde pouvait mettre la demoiselle dans un état pareil : son père. C'était lui. Ce monstre, ce monstre qui revenait la hanter par pur plaisir. Bambi fronça les sourcils. Ce monstre devait disparaître, il n'avait pas le droit de faire tant de mal à Lena. Il fallait tuer le monstre. Le tuer à tout jamais. C'est lui qui devait fuir, et non Lena. Il fallait qu'elle comprenne. Elle ne serait jamais comme lui, jamais. Ce n'était tout bonnement pas pensable dans sa situation. Elle était un ange, il n'était qu'une simple et pur démon. Finalement, il déposa un baiser chaste aux coins des lèvres de la belle, assise à terre et toujours autant terrifiée. Doucement et tendrement, il lui caressa la joue, comme si cela pouvait arranger bien des choses. « Jamais tu ne seras comme lui, jamais. Il ne te fera plus aucun mal. Il ne te tourmentera plus, je te le promets. » murmura-t-il ensuite calmement, reprenant peu à peu le contrôle de son être. Il donna ensuite un coup net contre le mur se trouvant au dos de la blonde, comme pour se donner du courage, comme s'il venait de décider de combattre. De la vaillance, du courage, il lui en faudrait. Il lui en faudrait contre un fantôme.
Se relevant, le cœur battant, et les mains moites, le trentenaire fit face à la silhouette. La silhouette du diable qui terrifiait tant Lena. Il ne pouvait pas voir son visage, il ne pouvait pas l'imaginer, il savait juste qu'il se trouvait là. Il en était certain. Là. Là se trouvait la cause du désarroi de celle qu'il aimait tant. Il fallait détruire, rendre à néant ce quelque chose, ce démon sorti de partout et de nulle part. Se jetant sur les tiroirs, le trentenaire fouilla à tâtons et pendant quelques secondes, qui lui parurent une éternité, un objet qui pourrait l'arranger. Vrai dire, il n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait bien faire. Jamais encore il ne s'était battu contre un fantôme, ni même contre quelque chose d'invisible. C'était nouveau et cela ressemblait grandement à une montagne infranchissable. Mais il devait la déplacer, il le devait. Pour Lena. Pour son ange. Sans elle, il allait mourir. Si elle mourait, il mourait aussi. En lui avouant ses sentiments, il avait décrété qu'il veillerait à tout jamais sur elle, bien qu'elle ne veuille pas qu'on la prenne pour un être fragile et grelottant. A présent, ils étaient liés, à tout jamais, que leur histoire dure ou non. Deux êtres enchaînés. Mais enchaînés avec amour. Ce n'était pas une prison que cet amour. Au contraire.
Finalement, il sentit quelque chose de froid entrer au contact de la peau de ses doigts, alors qu'il continuait ses recherches dans l'un des tiroirs présents dans la chambre. En le palpant, il comprit rapidement de quoi il s'agissait. C'était ce dont il avait besoin. Oui. Une arme. Un flingue. Son cœur battait de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il avait l'impression que bientôt, il ferait une crise cardiaque. Bambi pouvait sentir encore la présence si froide et désagréable du fantôme dans son dos. Boum. Boum. Son cœur faisait des siennes. Boum. Concentre-toi. Boum. Sauve-la. Boum. Il est temps. Boum. Extirpe-la de ce qui la ronge. Boum. Elle mérite mieux. « Va en enfer et restes-y ! » un hurlement. Un hurlement à l'attention du monstre. Il le voyait maintenant. Il entendait ce rire. Le diable riait de lui. Il riait de le voir se battre ainsi. BOUM. Il riait de le voir lui faire face, lui, ce petit être fébrile, cet humain sans importance qui n'aurait jamais le courage de tirer, d'aller jusqu'au bout. Cet imbécile qui se battait contre des fantômes. Ce fou. Ce pauvre fou. Ce pauvre fou qui s'enchaînait à la douleur pour sauver celle qu'il aimait. Boum. Il se retournait. BOUM, il avait tiré, d'un coup, il venait de tirer. Le coup de feu était parti à une vitesse spectaculaire, sans même qu'il n'ait pu se rendre compte de ce qu'il était en train de faire. Ses gestes avaient été rapides et précis. Des gestes d'expert. Un comportement anormal. Une force inexpliquée. Puis cette douleur qui lui arrachait les côtes si subitement alors que son dos heurtait le mur violemment. Le tir l'avait envoyé en arrière, comme un simple ballon gonflable auquel un enfant aurait donné un petit coup de main ou de pied. Il avait valdingué comme une petit cerf-volant emporté par le vent. L'arme toujours entre les mains, il lança un regard à Lena. Elle semblait reprendre ses esprits. Ce devait être le tir. L'entendre l'avait fait revenir. Un petit sourire à son attention soudainement. Un simple sourire. Comme pour lui souhaiter la bienvenue. Mais aussi un sourire de vainqueur. Ils y étaient arrivés. Il venait de traverser le couloir pour ne plus y revenir. Plus jamais. Et à présent, Bambi voyait du sang, du sang partout. Partout. A qui appartenait-il ? Pas à Lena, espérait-il silencieusement ! Jetant un œil sur la demoiselle afin de s'assurer qu'elle n'avait absolument rien, qu'elle était tout autant saine que sauve. Et il ne vit rien. Aucune tache, rien. Elle allait bien, Dieu merci. Mais alors d'où venait ce sang si présent. D'où ? Avait-il des hallucinations. Et cette douleur dans le dos...et à la tête ? Qu'avait-il fait ? Où était le fantôme ? Le fantôme saignait lui aussi. De partout. Il agonisait. Il agonisait comme il le méritait. Il devait mourir.
« T'as vu, Lena ? Je te l'avais dit, je l'ai tué ? S'il revient je le tuerais encore. Mais il ne viendra plus. Il te fera plus jamais rien de mal. Jamais il ne te tourmentera, jamais tu ne seras comme lui... Jamais... » souffla-t-il fébrilement à l'attention de l'étudiante. Elle l'écoutait à présent, il en était certain. C'était ses traits de visage qui le lui signifiait. Elle n'avait plus cette vision de jeune fille perdue, mais elle semblait inquiète. Elle regardait Bambi et semblait inquiète.
Bambi n'était pas indemne. Un mal de crâne atroce lui arracha soudainement un cri de douleur. Un cri puissant qui lui décrocha presque les cordes vocales. Douleur de gorge, douleur de tête. Il toussa à de nombreuses reprises. Puis il s'aperçut qu'il saignait de la main droite. Celle où il s'était blessé quelques temps plus tôt avec un bout de verre brisé. Saignait-il réellement ou était-ce encore une hallucination ? Il délirait. Il délirait. Il crut voir Lena s'approcher de lui, se pencher sur lui. Mais il ne savait pas si c'était réel. Tout ce qu'il vit par la suite, c'était un immense trou noir dans lequel il sombra. Il ne sentait plus son corps, il ne sentait plus rien en vérité, pas même ses propres pensées. Un bourdonnement lui envahit les oreilles et il se sentit décoller. Serait-il en train de mourir ? Le prix pour tuer le fantôme du père de Lena était-il la mort ? Devait-il le payer ? Il était prêt à le faire si c'était l'unique solution. Il voulait le payer à la place de la femme qu'il aimait, de la femme qui méritait de vivre bien plus que quiconque vivant sur cette planète. Sa main serra soudain celle de quelqu'un d'autre. Celle de Lena. Elle la serra avec une force extraordinaire, avant qu'il ne finisse par perdre tout son tonus musculaire et par la lâcher. Il venait de perdre connaissance.
Le code règlement:
→ Je le connais hihi .
Dernière édition par Elwin Gardner le Ven 13 Avr - 22:11, édité 15 fois
Cheyenne L. Pearson
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Jeu 29 Mar - 22:04
haha, rien qu'en voyant le nom de la célébrité j'ai su ! Re-bienvenue mon pacifique chéri
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Jeu 29 Mar - 22:06
Mici mon Atlantique!
C'était évident en même temps
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Jeu 29 Mar - 22:07
Eh ben rebienvenue alors ^^
T'étais quiiii ?
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Jeu 29 Mar - 22:09
Re-Bienvenue & Bon courage avec cette nouvelle fiche
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Jeu 29 Mar - 22:17
Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Jeu 29 Mar - 22:22
Merci
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Jeu 29 Mar - 22:42
Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Jeu 29 Mar - 23:53
Bon courage pour cette nouvelle fiche JOSHUA
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Ven 30 Mar - 13:20
Bienvenue parmis nous (:
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Ven 30 Mar - 16:17
rebienvenue alors
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Sam 31 Mar - 12:30
Rebienvenuuuue.
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Dim 1 Avr - 0:44
Rebienvenue
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Dim 1 Avr - 13:16
Bienvenue sur NYCL
Mackenzie J. Howard
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau* Ven 13 Avr - 22:13
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Sujet: Re: Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau*
Elwin *Un jour j'ai failli me noyer dans un verre d'eau*
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