Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:.
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Sujet: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:11
FEAT. ZIPPORA SEVEN
Isabel K. Dotterlaw
18 ans → Né(e) à Stockholm (Suède) le 14/02/1994 → Etudiante en FAC d’Anglais et mannequin à ses heures perdues. célibataire → hétérosexuelle → membre des Popular.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Répondre ici à la question ci-dessus ... Parlez ici de tout ce qui différencie votre personnage. S'il a des tatouages, des allergies, des piercings, une mimique particulière, tout ce qui selon vous le rend différent. Vous pouvez également parler de son physique, ses habitudes vestimentaires, bref tout ce qui le caractérise, tout simplement. Lorsque l’on demande aux personnes qui connaissent Isobel, le mot qui revient le plus souvent sur leurs lèvres est, sans nuls doutes, celui-ci : fantasque. Ou originale. La jeune pousse ce genre d’aura un peu spéciale qui la fait immanquablement remarquer. Belle et toute fraiche, elle n’hésite pas à arborer les tenues les plus folles et les plus audacieuses. Ceci laissant d’ailleurs parfois à désirer ! Mais, que voulez-vous ? Isobel est persuadée que la mode ne souffre aucune critique et elle serait sans hésitation prête à revêtir un sac de pommes de terre si l’envie lui en prenait. Sinon il n’est pas rare non plus de la voir affublée d’un chapeau et ses prunelles bleues dissimulées derrière les verres fumés de ces lunettes de soleil qu’elle collectionne par dizaines. Hormis cela il existe une autre particularité physique que la personne s’efforce de dissimuler aux yeux de tous : une cicatrice. Cadeau, malheureusement indélébile, de ce si charmant photographe qui lui avait volé son innocence il y a quelques temps de cela maintenant.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Veuillez décrire ici le caractère de votre personnage. Le caractère de la jeune fille est, quant à lui, bien plus difficile à cerner. En effet Isobel peut parfois paraître bien déroutante. Un matin vous la croisez, ne voyant en elle qu’une fragile jeune femme souriante et des plus polies pour ne pas dire réservée puis, le soir de la même journée, vous la revoyez et là, c’est une véritable transformation. Devant vous c’est une femme fatale qui se dresse : sulfureuse et aguicheuse, la voix haute et le rire sonore. L’une de ces belles plantes vénéneuses qui ne font qu’une bouchée des pauvres mâles qui ont le malheur de croiser leur route. Pareils extrêmes étonnent toujours ! Mais cela s’explique assez facilement. Après son viol, Isobel a commencé à manifesté les premiers signes de cette maladie qui lui fut, plus tard, diagnostiquée : elle est schizophrène. La plupart du temps elle demeure cette charmante jeune fille qui trouve toujours le bon mot pour vous mettre à l’aise, vous réconforter ou vous soutenir. Altruiste et compréhensive elle fait une excellente amie et une confidente en or. Appliquée , studieuse et non dénuée d’une certaine intelligence, Isobel est une élève douée et appréciée tant par ses professeurs que par ses comparses étudiants. Toujours prête à faire la fête, elle possède une joie de vie et un entrain qui ne laissent jamais indifférent. Pourtant, lorsque la pression se fait trop forte ou lorsqu’elle replonge dans l’univers machiavélique de la mode, alors Isobel se transforme. Muant en une créature avide de réussite et de gloire elle est alors prête à tout pour arriver à ses fins. Isobel, rancunière, veut prendre sa revanche sur ce monde qui l’a souillée. Et elle déteste par-dessus tout les photographes : pour elle ils sont tous pareils ! A savoir : de gros porcs libidineux, futiles et juste bons à être écrasés du bout de ses stilettos. Sans cœur, sans morale et surtout sans limites, cette Isobel là est une pure garce dont il vaut mieux se méfier sous peine de subir ses foudres. Pourtant, il est un être au monde capable de faire, en toutes circonstances, éclore le meilleur de la jeune Isobel. Il s’agit de sa sœur ainée : Laety. Isobel lui est réellement attachée et il n’y a rien qu’elle ne pourrait faire pour plaire à sa grande sœur. En fait, depuis toujours, Isobel à cherché à se faire accepter et aimer par son ainée. Bien sûr que celle-ci paye ses études, son appartement et tout le reste pourrait fausser leur relation mais il n’en est rien. Isobel aime sincèrement et tendrement Laety et espère qu’un jour cela sera réciproque. On peut être schizophrène et avoir le sens de la famille, non ?
Well... It's my story...
Veuillez écrire ici l'histoire de votre personnage. 30 Lignes minimum.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Shayhileene (ou Shay’) et j’ai 23 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je suis un petit Dragibus fêlé du carafon qui a surgi ici pour faire plaisir à Laety qui a si bien su me donner vie ! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nan ★Présence sur le forum → Quotidienne même si je ne poste pas tous les jours ! Mais je garantis au moins un rp par semaine… ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé par Laety mais inventé quand même <3<3<3
Mon exemple de RolePlay:
Un moteur qui feule et se fait entendre bien avant que ne surgisse de la pénombre le petit bijou de mécanique. La ligne majestueuse et entièrement facettée resplendit, déchirant le voile de ténèbres de cette nuit. Les regards qui se tournent, à la fois intrigués et presque hypnotisés vers ce bolide rugissant qui se gare prestement à seulement quelques mètres d’eux. Tandis que certains badauds s’extasient devant la Bugatti Veyron, d’autres se mettent à murmurer se demandant visiblement qui pouvait se cacher derrière les vitres fumées de la voiture. A l’entrée du « Dancing King » les videurs, eux, sourient légèrement. Ce monstre de puissance ils ont bien appris à le connaitre ces derniers mois. A chaque fois c’était la même chose, le même spectacle : la bagnole qui surgit dans un vrombissement, les conversations qui se font murmures quand elles ne cessent pas tout bonnement… Des regards inquisiteurs qui se posent sur le monstre de tôle, impatients de découvrir l’heureux possesseur de ce bijou luxueux. Et, ce coir comme les autres, les hommes sourient et répriment difficilement un fou rire en voyant les mines se fermer lorsque, enfin, le conducteur parait. Les hommes écarquillent les yeux et ouvrent si grand la bouche qu’ils s’en décrocheraient presque la mâchoire. Les femmes, elles, s’accrochent plus fermement à leur compagnon tandis qu’elles détaillent, d’une moue aussi boudeuse qu’envieuse, la silhouette féline qui vient de paraitre à leurs yeux. Une femme ! Légèrement plus grande que la moyenne, un corps de liane que sculpte admirablement une audacieuse combinaison de cuir noir ébène, une opulente chevelure brune qui virevolte à chacun de ses pas aériens… La jeune femme est belle et ne le sait que trop bien. Magnifique et presque irréelle apparition qui, sans même un regard pour cette foule qu’elle à si bien su méduser, s’avance de son pas chaloupé vers l’entrée. Ignorant la file d’attente, se concentrant sur les hommes qui gardent, tels des Cerbères, l’entrée des lieux, la demoiselle s’arrête à leur hauteur. Un furtif regard vers cette caméra qui, elle ne le sait que trop bien, pas quittée depuis son entrée des plus théâtrales. Un baiser envoyé du bout des lèvres vers l’homme qui se tient derrière les écrans de contrôle. Puis, dans un éclat de rire elle se détourne de l’objectif pour saluer les videurs et le physio. Des bises retentissantes claquées sur les joues de ces molosses, quelques amabilités bien hypocrites susurrées de sa voix de velours avant de, enfin, pénétrer dans l’antre du club. Alors qu’elle commence à dévaler la volée de marches qui la conduira dans le sénacle du « Dancing King » Phoebe marque un temps d’arrêt. En haut elle entend les commentaires flatteurs –bien que quelque peu concupiscents, que les gorilles échangent à son sujet. Bien des femmes se seraient offusquées de pareils commentaires sur leur plastique mais pas elle. Pourquoi en aurait-elle pris ombrage alors qu’elle avait obtenu exactement ce qu’elle recherchait ? On l’avait remarquée et c’est bien tout ce qui comptait. Etre au centre de l’attention était encore l’un des rares plaisirs qu’elle pouvait se permettre depuis son installation à Longside Creek alors pourquoi s’en serait-elle privée !
Poursuivant sa route, se frayent son chemin au milieu de tous ces visages pour la plupart inconnus, Phoebe Nightingale savourait le moment. La nuit était tombée éveillant avec elle tout ce que les environs comptaient de fêtards et de noctambules. Foule bigarrée, et déjà bien imbibée pour une partie, qui venait en ces lieux pour s’offrir ce qu’ils considéraient tout autant comme un moment d'évasion que comme un pur moment de débauche. L’alcool coulait à flots, débridant les esprits et échauffant ces corps qui, ensuite, venaient s’animer sur la piste de danse. Musique omniprésente et entrainante qui achevait de faire tomber les inhibitions des visiteurs et clients. Ici une femme riait à gorge déployée devant un mâle prédateur prêt à tout pour la ramener dans ses filets –et accessoirement son lit- cette nuit. Là un pauvre type tentait maladroitement d’attirer l’attention d’une demoiselle en enchainant des pas de danse aussi laborieux que ridicules. Bonne chance ! Plus loin, les lumières se faisaient plus tamisées et Phoebe se demanda ce que l’obscurité propice pouvait bien engendrer comme rapprochements. Peut-être un autre soir irait-elle, elle aussi, s’enfoncer dans ces ténèbres… Peut-être y trouverait-elle un compagnon de passage susceptible de lui faire vivre, l’espace d’une heure ou deux, l’extase des sens ? Souriant de façon plus que sibylline à cette idée saugrenue, l’impétueuse donzelle se secoua. Même si l’envie de se joindre à tous ces joyeux fêtards la tenaillait le temps, ce soir-là, n’était pas à l’amusement.
Comme si la réalité venait subitement de la rattraper, Phoebe esquissa une grimace et fila droit vers le bar. Reconnaissant l’un des employés qu’elle salua rapidement elle commanda sa vodka tonic habituelle. Celle-ci lui fut pas plus tôt apportée que la jeune femme s’empressa de la vider et d’en recommander une autre. Boisson qui connut le même sort expéditif. Au bout de la quatrième, les idées toujours aussi claires malheureusement, elle soupira profondément. Un regard à l’autre bout de la salle, là où se tenait une porte bien gardée par deux autres molosses suffit à la tirer de sa rêverie. Les deux gorilles ne la quittaient pas des yeux et semblaient même lui faire des signes. Jetant un coup d’œil à sa montre elle réalisa, sans vraiment s’en émouvoir, qu’elle était honteusement en retard. Minuit ? Elle avait rendez-vous à onze heures… Sans se presser pour autant Phoebe recommanda un verre. Puis, celui-ci en main elle se dirigea enfin vers son lieu de rendez-vous. Elle arrivait presque à destination lorsqu’un homme, visiblement bien imbibé, lui barra le passage. De haute stature, l’œil embué et les gestes désordonnés il lui avait attrapé le bras, faisant se renverser son verre. Regardant le liquide adoré se répandre sur le sol, la jeune femme releva vers l’impudent gêneur ses prunelles devenues de jais. Celui-ci lui parlait mais elle n’entendait, n’écoutait rien. Son verre… Mais pour qui se prenait-il cet abruti ? Et l’autre qui continuait de palabrer, tentant de la séduire. Pauvre con ! Primo Phoebe ne s’intéressait pas aux sales cabots qui remue un peu trop frénétiquement de la queue. Secundo, elle était attendue ailleurs. Et, tertio, il ne fallait pas renverser son verre ! Alors que déjà l’un des employés du club se précipitait pour venir à sa rescousse –Phoebe ignorait que la chevalerie était encore de mise aujourd’hui…- l’impétueuse jeune femme décidait de régler elle-même ses comptes à ce crétin. Avant même que celui-ci n’ait pu réaliser ce qu’il lui arrivait elle se saisissait de la main qui la retenait et, en quelques secondes, elle lui retournai le bras en une magnifique et redoutablement efficace clé dans le dos. La musique ambiante couvrit les cris de douleur de l’homme qui, maintenant, se retrouvait à genoux. N’en ayant pas encore fini avec lui, Phoebe resserra son étreinte encore plus tandis que, de sa main encore libre elle le saisissait par le coup et lui comprimait la jugulaire. Alors que l’homme, se débattant, commençait à manquer d’air, elle se baissa à sa hauteur d’oreilles et lui murmura des injures et autres menaces bien senties. Lorsque le secours arriva l’homme était relevé et bafouillait de maigres excuses à la jeune femme qui éclata de rire. Les hommes ne sont vraiment, pour la plupart, que des bouffons !
Secouant la tête d’un air presque résigné, l’un des cerbères des lieux vint à sa rencontre et, après avoir échangé avec elle quelques propos pour le moins houleux, la pria de le suivre. Puis il mena l’avocate jusqu’au bureau du maitre des lieux. Après qu’on eut, comme toujours, vérifié qu’elle n’était pas armée, elle fut invitée à entrer. Phoebe passa sa mauvaise humeur sur le garde, l’insultant de tous les noms avant de faire enfin son entrée dans le bureau de son éminent client. Claquant la porte derrière elle, signifiant ainsi son intention plus que claire d’être seule avec son client, elle se retourna, tout sourire cette fois vers son rendez-vous professionnel.
- « Pourrais-tu, si cela est un effet de ta bonté, prier tes fichus clebs de me lâcher un peu quand je viens ? La prochaine fois que l’un d’entre eux s’avise de vouloir poser la main sur moi pour me fouiller je te jure que je l’explose ! Tu n’auras qu’à déduire les frais d’hôpital de mes honoraires. »
Sa voix n’avait pas le moindre soupçon d’agressivité. Bien au contraire. Depuis qu’elle avait pénétré dans le bureau la demoiselle était tout sourire. Faisant volte-face elle vint s’asseoir, sans autres formes de formalités, sur le bureau derrière lequel siégeait son interlocuteur. Sortant une cigarette de son sac elle l’alluma et en inspira une grande bouffée. Puis, se penchant un peu plus par-dessus le bureau elle caressa de la main la joue de l’homme avant d’y déposer un baiser appuyé. Puis, se retirant aussi vite qu’elle s’était approchée, elle se laissa glisser, pareille à une chatte, dans le siège qui semblait l’attendre. Jetant un Cd Rom sur le bureau elle dit pour toute explications :
- « - Ce que tu m’avais demandé… Tout y est : les noms des sociétés et de leurs dirigeants. Un historique pour chacun –famille, enfants, lieu de résidence et de villégiature, état de leurs finances…j’en passe et des meilleurs mais surtout tous leurs vilains et honteux petits secrets. Avec cela tu as tout ce qu’il te faut : pas l’une de ces personnes ne viendra plus jamais t’ennuyer. Tu as assez pour les faire chanter et obtenir d’eux ce que tu souhaites. Bien sur, si tu le souhaites, je peux toujours faire appel à ma famille pour les faire taire de façon plus… défintive… A toi de voir : c’est toi qui paye après tout. « - - Phoebe ne s’encombrait ni de bonnes manières, ni de politesses ou faux-semblants. Pas avec Hunter. Cet homme était, certes, celui qui l’employait mais il était aussi l’un des rares sur cette planète qui pouvait se targuer sans mentir d’avoir su s’attirer la confiance et surtout la loyauté indéfectible de la sulfureuse demoiselle. D’abord il était celui grâce auquel elle avait trouvé une solution de repli honorable pour quitter New York. Ensuite il la payait plus que grassement pour ses services. Et, enfin, il était de ceux que Phoebe considérait peu ou prou comme son égal. Et cela était un fait suffisamment rare pour être souligné. Tous deux possédaient la même insolence, le même appétit de réussir et la même soif éperdue de liberté. Frondeur vis-à-vis des lois qu’ils n’utilisaient que pour mieux les détourner ou les enfreindre, ils ne reculaient devant rien pour atteindre leurs objectifs. De véritables déchus… Hunter lui ressemblait. Elle lui ressemblait. Et leur entente professionnelle était aussi bonne que possible. Il lui avait assuré un existence plus que tranquille et privilégiée en ces terres, l’employant tout en la laissant libre de poursuivre ses actions pour faire sortir son père de prison. De son côté elle lui fournissait tout son savoir-faire d’avocate sournoise et réglait le moindre de ses problèmes en un claquement de doigt ou presque. Et tant qu’il en serait ainsi tout irait bien entre eux. Phoebe lui resterait loyale… du moins tant que leurs intérêts personnels seraient convergents. Elle lui tendit le paquet de clopes puis, toujours le regard planté dans le sien lui posa enfin la question qui lui brulait la langue depuis qu’elle était arrivée ici :
- « Et si tu me disais, enfin, la raison pour laquelle tu m’as faite venir ici ce soir ? Ne me dis pas que c’était pour ce Cd Rom : cela pouvait parfaitement attendre demain ! Alors ? Qu’as-tu donc de si important à me dire ou à me proposer qui ne puisse attendre ? » .
Spoiler:
→ OK par Katerina.
Dernière édition par Isobel K. Dotterlaw le Mar 1 Mai - 16:38, édité 2 fois
Katerina M. Lehtonen
Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:16
Bienvenue chez nous ! Je valide ton code du règlement, n'hésite pas si tu as des questions Par contre, il faudrait mettre ton personnage en inventé puisque le scénario n'est pas posté concrètement sur le forum.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:17
Bienvenue à toi si tu as des questions n'hésite surtout pas bon courage pour ta fiche !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:26
Merci à vous deux !
Et pas de problèmes pour le personnage : je le mettrais bien volontiers en "inventé"
Pour l'exemple de Rp, je l'ai posté mais je précise que cela n'a rien à voir avec ce forum. Je l'ai écris il y a un mois pour WAN. J'espère que cela vous conviendra
Je pense pouvoir poster ma fiche dans la semaine : j'ai juste besoin d'un ou deux détails de la part de Laety... *adore sa soeurette qui a juste oublié de lui dire son âge *
Là-dessus je file bosser sur ma fiche ! *avalanche de Dragibus pour fêter son arrivée *
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:37
Welcome, je ne connais pas cette jolie demoiselle
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:38
Bienvenue parmi nous
Cheyenne L. Pearson
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:41
Il n'y a pas de problème pour l'exemple de RP; il ne doit pas forcément être d'ici
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:43
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:46
Isobel+Dragibus= In my arms! Bienvenue et bon courage!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 29 Avr - 23:53
MA SOEUR *la câline force 10*
Je réponds de suite à tes questions ne t'inquiète pas (a) Merci encore d'avoir pris ma soeurette d'amour *_*
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Lun 30 Avr - 1:19
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Lun 30 Avr - 11:21
Bienvenue parmi nous.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Lun 30 Avr - 17:34
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Lun 30 Avr - 18:57
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Mar 1 Mai - 16:45
Bienvenue sur NYCL
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Mer 2 Mai - 18:00
Bienvenue sur NYCL
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 6 Mai - 11:32
une suédoise. bienvenue sur nycl
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Lun 7 Mai - 17:15
Oh un dragibus. j'ai le droit de te manger ?
Bienvenue. /o/
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Jeu 10 Mai - 11:24
Welcoume x)
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:. Dim 13 Mai - 18:13
En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, tu as donc une semaine pour la terminer (ou faire les changements demandés) avant que ton compte ne soit supprimé.
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Sujet: Re: Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:.
Isobel ou l'histoire d'un Dragibus en perdition .:UC:.
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