Sujet: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 1:23
FEAT. XAVIER SAMUEL
Yalo Faust WINSHIP
24 ans → Né(e) à Bâton-Rouge le 21/12/1987 → Études de Droit célibataire → hétérosexuel → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Élève> Tu suivais les traces de ton père, plus pour faire plaisir à ton grand-père vieillissant, que par réelle envie. Si cela ne tenait qu’à toi, tu aurais été rentier, après tout ta famille avait les moyens de t’entretenir. Cependant, le droit s'était imposé à toi comme une évidence. Quoi de mieux pour un menteur, qu'être avocat ? Par contre, tu ne pouvais pas nier que ton entrée à Columbia t’avait aidé à étendre tes connections. Et dieu sait que les connections sont importantes dans ce monde… Tu restais tout de même un élève studieux. Tu t’appliquais pour chaque devoir, c’était une question de principe, mais quand la nuit étendait son manteau noir sur New-York, il n’y avait plus de frein à tes excès. Tu aimais faire la fête, boire et tu touchais quelques fois à la poudre blanche, mais tu connaissais tes limites. Tu détestais les gens qui perdaient le contrôle trop facilement.
Tic> Tu avais beau être un sacré bluffeur, il y avait un signe qui ne trompait pas lorsque tu te sentais mal à l'aise ou déstabilisé. Tu glissais toujours une main sous ton tee-shirt et tu la laissé reposer sur ton ventre. Cela n'avait rien d'érotique, ça avait juste le mérite de te détendre.
Physique> Tu étais beau, ce n'était plus à débattre, mais il y avait plus que cela. Tu étais magnétique. Tu mettais cela sur le compte de ta vie en Louisiane, la-bas tout semblait plus attirant... Tu avais une cicatrice sur la cuisse droite, vestige d'un accident de voiture qui t'avais coûté l'usage de ta jambe pendant quelques mois. Tu en avais gardé un léger boitement.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Ta mère soutenait à qui voulait bien l'entendre que tu n'étais pas un mauvais garçon, tu étais juste une âme un peu égarée. Fucking bullshit. Tu étais mauvais, il n’y avait pas d’explication valable, pas de circonstance atténuante. Il n’y avait pas de choix à faire, tu n’avais pas d’autre option. Ce n’était pas comme si tu t’étais réveillé un matin, en te disant : «Aujourd’hui, je vais être un connard. ». Le mal était imprégné dans tes tripes et pour être franc, cela ne t’avait jamais dérangé. On aurait pu excuser tes vices, dire que cela ne faisait qu’accroitre ton génie. Certes, tu étais intelligent et on ne pouvait qu’acclamer toute l’imagination que tu déployais pour mettre en place tes desseins, mais tu n’étais pas un génie. Tu n’étais pas spécial. Ce manque de singularité, tu le payais tous les jours. Tu avais toujours l’impression de ne pas être assez bon. Tu t’en foutais de décevoir les autres, mais tu ne voulais pas échouer, alors que tu sentais que tu pouvais être quelqu’un, pas forcément quelqu’un de bien, mais quelqu’un d’important. Tu étais plus opportuniste qu’ambitieux, tu ne t’engageais jamais dans des batailles qui étaient perdues d’avance ou des offres trop risquées. Tu prenais ce qu’il y avait à prendre, sans chercher à viser plus haut. Sauf, si cela t’arrangeait d’une quelconque manière… Tu avais toujours aimé séduire, tu avais hérité cela de ta mère. Tu prenais même plus de plaisir à emmener les pucelles dans ta couche qu’à l’acte charnel en lui-même.Tu n’hésitais pas à mentir, à promettre la lune pour une nuit d’amour, tu ne ressentais aucune culpabilité. Parce que tu savais qu’il était simple de voir au-delà de tes belles paroles et que si elles le voulaient vraiment, elles le verraient aussi.
Well... It's my story...
Mon Dieu, ce qu'elle était belle ta mère, comme une geisha des temps modernes, virevoltant de convive en convive, souriant avec pudeur aux hommes de lois, accrochant les regards envieux des dames de la haute. Putain, ce qu'elle était belle ... Elle avait été élevée pour être une épouse digne et docile. Ne pas faire de vague, surtout pas de vague, les rendre fiers. Son avenir était déjà tout tracé et même si quelquefois ça faisait mal à son petit cœur, même si quelquefois elle aurait préféré se jeter dans la baie d’Hudson que de se soumettre, elle n'en faisait rien. Puisque, c'était ainsi et qu'elle l’avait accepté. Elle n'était plus une enfant, pas tout à fait une femme, elle savait qu'elle n'avait pas le luxe de dire « non » et de rêver. Elle laissait cela aux autres, aux catins des bas quartiers, aux pucelles dans leurs tours d'ivoires, aux épouses délaissées. C'était d'accord, elle épouserait un inconnu : un garçon riche, à la réputation aussi pure que les diamants du Sierra Leone, avec un nom prestigieux, un de ces noms qui vous remplissait les yeux d'étoiles... Et tant pis si ce n'était pas le coup de foudre au premier regard, tant pis s'il n'était pas celui qu'elle attendait, elle finirait par l'aimer parce que c'était son devoir... Tu sais, elle avait toujours cru qu'elle n'avait jamais eu le choix, qu'on lui avait imposé toutes les décisions qu'elle aurait aimé prendre. C'était un mensonge qui était si puissamment imprégné dans chaque parcelle de sa peau, qu'elle avait fini par y croire. La vérité, c'est qu'elle était lâche, un peu comme toi. Elle aurait pu désobéir, refuser, partir, fuir maintes fois, mais elle était trop fière. Trop fière de ses origines, trop fière pour être déshéritée, reniée par sa famille qu'elle chérissait et qu'elle craignait à la fois... Elle avait fini par épouser un ami de ses parents, Berlioz Winship, un petit sénateur de Louisiane, qui avait l'âge de son père. Il n'était pas si mauvais, à vrai dire c'était même un mari prévenant, mais à chaque fois que son corps d'homme fatigué se collait à sa peau de jeune fille, elle avait irrémédiablement ce goût de bile qui lui brûlait la gorge... L'année qui suivit leur union fût couronnée par la naissance d'un héritier, mais cela tu le sais déjà. Ton grand-père se vit confier la tâche délicate de te trouver un prénom et ce fût après mure réflexion que son choix se porta sur Yalo. C'était un hommage à sa vieille maitresse russe, morte de la petite vérole en 1950. Te donner le nom d’une putain au passé scabreux, décidément, tu ne pouvais pas naitre sous de meilleurs auspices.
Dès ton plus jeune âge, on ne cessait de te répéter que tu faisais partie d'une de ses familles illustres, qui clamaient depuis des décennies la richesse de leur héritage. Éduqué de manière à ce que tu saches la réelle valeur du sang, la plus pure, la plus glorieuse que tu avais le droit de côtoyer, d'aimer, de revendiquer. C'était des préceptes d'un autre temps, des préjugés ancrés au fer blanc dans ton histoire. Qu'importe, tu n'étais pas de ceux à croire tout ce que l'on te dit. À vrai dire, tu n'étais pas de ceux à croire tout court. Que ce soit à l'amour ou à d'autres envies illusoires. Pourtant, lorsque tu n’étais qu’un enfant, c’était une toute autre histoire. Tu étais un petit garçon réservé qui préférait l'odeur des livres à celle de l'herbe fraiche. Tu passais des heures entières dans le grenier, caché entre des piles de vieux bouquins poussiéreux. Tu t'inventais tour à tour une vie de pirate, d'indien d'Amérique ou de légionnaire romain. Tout était mieux que la réalité.
Puis, il avait fallu grandir, rentrer à l'école, quitter le cocon douillet de l'enfance... La transition fût plus difficile que tu ne l'aurais cru. Durant ta première année passée à la Garden Nursery School, tu avais eu le temps de haïr ton père. Tu avais haï ton père de t'avoir contraint à l'exil, de t'avoir forcé à descendre de ton trône, de t'avoir déchu de ton titre de petit prince. Ici, il n'y avait personne pour répondre à tes caprices, mais toujours quelqu'un pour t'imposer des règles que tu ne comprenais pas... Il t’avait fallu attendre quelques années pour être enfin à l'aise, pour te sentir un peu comme à la maison. Tu étais un élève plutôt silencieux, mais tout le monde connaissait ton nom. On te disait timide et ingénu et tes ainées s'étaient faites la promesse de te faire perdre ton innocence malvenue. Elles étaient prêtes à répondre à tes demandes les plus folles, tes requêtes les plus exubérantes pour faire de toi leur joli petite chose. Tu t'en amusais et jouais le jeu avec un certain plaisir. Tu étais à la fois le loup et l'agneau. Tu jurais de ta pureté et te glissais dans leurs lits, promettant que c'était ta première fois et elles y croyaient, les unes après les autres. À tes quinze ans, il suffisait simplement d'évoquer ton prénom pour faire trembler les cuisses des curieuses. Tu étais un monstre à la grâce insolente, un ange aux lèvres pourries par le vice... Tu menais ton petit monde à la baguette, mais tu tenais à ta discrétion, tu abusais des autres en silence. Une phrase sucrée garnie de venin par-ci, une lueur cruelle cachée par tes orbes angéliques par-là et le tour était joué. Ce n’était pas une science exacte, c’était un savoir-faire et tu étais passé maitre dans l’art de manipuler. On pouvait dire ce que l’on voulait de toi, il était clair que tu n’étais pas un saint, mais on ne pouvait pas te reprocher ta passion. Tout ce que tu faisais, l’amour comme la guerre, tu le faisais avec fougue et ardeur…
Quelques mois après la défaite de ton père aux élections, tes parents quittèrent Bâton-Rouge pour rejoindre la ville natale des Winship: New-York. Ta mère ne pouvait pas être plus enchantée, elle avait enfin une chance d'établir son propre empire, de créer sa propre histoire, de rendre le nom des Winship encore plus brillant qu'il ne l'était. Pour toi, c'était un véritable crève-cœur. Tu adorais Bâton-Rouge. La Louisiane avait une odeur de soleil et de musique. Il y avait cette énergie suave, sauvage qui régnait dans les rues. Tu ne sentais bien qu'ici, alors l'idée de partir te révulsait au plus au point, mais encore une fois, on s'en foutait bien de ton ressenti.
Tu avais donc poursuivi tes études à New-York et c'était lors de ta dernière année dans un fameux lycée privée, que tu avais reçu une missive de ta mère qui annonçait tes fiançailles imminentes avec une pucelle quelconque. Cela pouvait sembler d'un autre temps, d'une autre époque, mais la carrière politique de ton père avait le vent en poupe et tes parents n’étaient pas prêts à tout sacrifier pour un scandale. Ils pensaient que de te trouver une fiancée respectable, serait un moyen efficace d'étouffer le mauvais garçon en toi. Par cette lettre, ces quelques phrases, ces quelques mots, ces ordres à peine dissimulés, ta mère te montrait que tu n'étais plus maitre de ta destinée, que tu ne l'avais jamais été. Elle voulait que sa soif de pouvoir devienne la tienne. Elle avait déjà fait de toi cet individu froid et sans fantaisie, cet être écorché et sans âme. En résumé, un monstre, à son image, comme Dieu avait pu façonner Adam tel qu'il était lui. Tu étais pieds et poings liés, enchaîné à ce destin dont tu ne voulais pas, tu étais obligé de courber l'échine et d'obéir. Marcher ou crever, c'était la loi. Et toi, tu étais bien trop lâche pour t'enfuir, pour embrasser la destinée que tu voulais, pour remporter ce combat déséquilibré. Parce que c'était ta mère, parce qu'elle avait eu le même destin, parce qu'elle était malheureuse et que tu devais l'être aussi...
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → LI. 21 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Bazzart. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 4/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → PI
Mon exemple de RolePlay:
→
Quelle garce. Elle osait l’ignorer, lui, le putain de prince des verts et argents, l’éphèbe Nylander. Pas que ça lui fasse quelque chose, non pas du tout, il n’en avait cure. C’était juste une question de bon sens. Il était celui qui ignorait, qui foutait les autres au fin fond du trou de l’ignorance, pas l’inverse. De toute façon leur histoire était foutue avant d’avoir même commencé. Leur passion était ardente mais comme toute les passions, elle restait éphémère, n’est-ce pas ? De l'autre, il y avait la raison, évidente, monotone mais essentielle. Et sa raison lui avait toujours dicté de s’éloigner d’elle. Il n’y avait même pas de choix à faire, il n’y en avait jamais eu. Ils avaient juste à attendre, se caler sur le temps qui passait. Peut-être que c’était juste une nouvelle excuse qu’il avait trouvé, peut-être qu’il s’en foutait de la passion et de sa raison, peut-être que c’était juste une question de fierté. Parce qu’il ne le savait que trop bien, il se connaissait, il la connaissait. Il faudrait plus qu’un « désolé », ils voudraient l’autre à genoux, soumis, quémandant qu’on lui pardonne sa très grande faute. Ils étaient comme deux gosses se battant pour savoir lequel avait le plus de jouets. Bon sang, il ne se rappelait même plus comment ils en étaient arrivés là. C’était peut-être parti d’un jeu qui avait mal tourné. Il avait devant lui un grand tableau blanc, pas de motif, juste les conséquences et ça le faisait se sentir un peu amer. De toute façon, il était presque sûr que c’était sa faute à elle. Presque … c’était un mot qu’on oubliait facilement dans une phrase, c’était un mot qu’il avait décidé d’ignorer, de la même manière dont elle négligeait sa présence quand il rentrait dans une pièce.
Il avait besoin de calme, de se retrouver avec lui-même et l’agitation qui régnait dans sa salle commune ne l’aidait en rien. Il avait donc décidé d’aller errer dans le château comme une âme en peine. Il se faisait l’effet d’une gamine de douze ans un peu trop émotive. Par Merlin, il fallait qu’il se reprenne, ça en devenait ridicule. Il commençait à ressembler à sa mère. Finalement, il prit la décision de se poser et le lieu était tout choisi : les toits. Quoi de mieux que le ciel et son immensité pour éclairer ses réflexions et puis les étoiles et leurs … Bon sang, il avait ses règles, ce n’était pas possible. Il était presque prêt à mouiller parce qu’il allait voir des foutus astres. C’était bon pour casser son numéro de connard nihiliste… A peine avait t’-il fait un pas sur le toit, qu’une lumière éblouissante agressa ses iris. Putain, c’était impossible d'être tranquille deux minutes dans ce château. Qu’est-ce qu’il avait fait aux dieux pour mériter ça ? Il soupira longuement et pinça l’arrête de son nez. Il était prêt à insulter l’autre idiot qui lui avait brûlé la rétine quand il reconnut cet éclat chocolat qu’il ne connaissait que trop bien : Maisie May O’Shea … Il ne pouvait pas tomber mieux.
« Qu'est-ce que tu fiches ici ? T'es venu t'excuser, j'espère, sinon tu peux repartir aussi sec. »
Elle en avait dû toupet, la belle garce. Ce n’était tout de même pas à lui de s’excuser. Elle aurait déjà dû s’estimer heureuse qu’il la regarde dans les yeux.
« Pardonne-moi, ma belle, je ne savais pas que les toits t’appartenait. »
Elle tiqua légèrement sur son « ma belle ». Il la connaissait par cœur. Chaque regard, chaque mouvement avait sa signification, et il les avait appris lentement, méticuleusement. Il remerciait d’ailleurs tous, les jours, son père de lui avoir pris les joies du poker. Cet outil s’était avéré plus qu’utile à Poudlard.
« Alors ? J'attends. Tu sais que t'étais en tort, de toute façon. »
Il s'insulta mentalement lorsqu'il vit ses mains trembler. S’ayez, elle l’avait foutu en rogne. Loin de se démonter, le serpentard prit le temps d’épousseter les brindilles invisibles logées sur le toit, avant de s’asseoir. Il ne comptait pas partir. Si elle voulait la dispute du siècle, elle allait l’avoir.
« Je ne suis pas venu pour t’écouter, O’Shea, si tu cherches vraiment quelqu’un pour étancher ta peine, réfère-toi au bottin sorcier. Je ne donne plus dans la charité, comme tu as pu le remarquer. »
Un sourire satisfait se dessina sur ses lèvres fines alors qu’il fermait les yeux, faisant mine de ne plus l’écouter. Il ne l’avouerait jamais, mais ces retrouvailles, même houleuse, lui faisait le plus grand bien. Après tout, Maisie occupée une place importante dans sa vie, peut-être trop importante justement. Il aurait pu s’excuser, si ça avait été quelqu’un d’autre, mais pas elle. Il ne l’aurait pas fait alors qu’il n’en pensait pas un mot et puis elle aurait reconnu ses mensonges sans grande peine. C’était le problème quand vous mettiez deux menteurs, avec autant d’égo, dans la même pièce. Ça ne menait à rien, si ce n’est à plus de peine et de déception. Il ouvrit un œil discrètement, elle était toujours là.
« Toujours là ? Je vais finir par croire que tu es amoureuse de moi, O’Shea. »
Il se releva légèrement, sorti sa flasque favorite d’une de ses poches et bu les premières gorgées avec zèle. L’alcool ne serait pas de trop, ce soir.
.
Le code règlement:
→ Code validé par A .
Dernière édition par Yalo F. Winship le Ven 13 Juil - 18:47, édité 8 fois
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 1:26
Bienvenue parmi nous
Excellent choix d'avatar
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 2:00
Bienvenue et bon choooooix
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 3:53
Merci Je vous retourne le compliment (a)
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 6:02
Bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche x.samuel
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 8:30
x.samuel réserve-moi un lien
bref, bienvenuue & bon courage
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
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▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 10:41
(bienvenue quand même )
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 11:24
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 11:32
Xavieeeeeer Bienvenue!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 12:12
Bienvenue & Excellent choix d'avatars
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 12:24
oh god, samuel bienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 13:01
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 14:31
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 14:55
bienvenue sur nycl
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Jeu 12 Juil - 19:54
Vous êtes adorables Merci
Je pense avoir terminé ma fiche (a)
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Ven 13 Juil - 18:56
Ta fiche est, comment dire? Wow!
Je te pré-valide donc avec plaisir Un administrateur passera bientôt dans ta fiche pour te valider officiellement
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé Ven 13 Juil - 19:18
Validé !
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Sujet: Re: YALO ⋛ scars and stories - terminé
YALO ⋛ scars and stories - terminé
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