Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today.
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Sujet: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 12:41
FEAT. Paul Wesley
Casey Andreas LOCKART
23 ans → Né(e) à New York le 12/01/1989 → Journaliste. célibataire mais c'est compliqué (a) → hétérosexuel(le) → membre des Populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Bien qu’issu d’un milieu dans lequel on exigeait de lui une certaine éthique, Casey a toujours été le rebelle de la famille. Le « vilain petit canard » en somme. Et quel ne fût pas l’étonnement de ses parents quand le jeune adolescent se ramena à la maison avec un tatouage sur l’épaule droite ! Une rose magnifiquement dessinée, qui était pour lui un symbole de liberté vis-à-vis de cette existence familial qu’il ne supportait pas. La réaction de son père fut volcanique, mais on ne risquait pas de le lui enlever. Et pire que ça, le brun faisait en sorte de l’arborer régulièrement, portant des T-shirt dont les manches courtes dévoilaient sans détour ce qu’il avait fait subir à sa peau. Et en parlant de tenue vestimentaire, Casey est devenu de plus en plus exigent au fil des ans. Si dans sa jeunesse il ne se préoccupait guère du haut qu’il allait porter pour la journée, il est aujourd’hui très soucieux de ce qui se trouve dans son placard. Vous le verrez souvent avec des t-shirt assez moulants dotés d’un col en V, un jean délavé et des boots noires usées qui viennent compléter son style assez rock. Souvent en noir ou en gris, il déteste l’extravagance vestimentaire et n’a finalement pas besoin de ça pour que les regards s’arrêtent sur sa silhouette musclée. Dès que le soleil pointe le bout de son nez, monsieur sort ses lunettes, prétextant que ses beaux yeux bleu-vert sont sensibles à ses rayons. Encore quelques anecdotes ? Tout d’abord, s’il y’a bien un point sur lequel il est intransigeant, ce sont ses cheveux. N’allez pas penser qu’il les soigne rapidement le matin sans y prêter attention. Non, monsieur veille à ce que cette coupe d’hérisson soit étudiée au millimètre près. Et là-dessus, il s’avère aussi chiant qu’une fille ! (sans rancune mesdemoiselles !). Pour quelques détails croustillants supplémentaires, je vous conseille tout bonnement de discuter avec lui autour d’une bière ! Mais histoire de vous mettre l’eau à la bouche, sachez que monsieur est fan de comics, possède une moto avec laquelle il se balade dans les rues de New York, est passionné par l’écriture, aimerait posséder un chien dans les mois à venir et déteste le chocolat, ne vous en déplaise.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Le premier mot qui viendrait sans doute à l’esprit de ses parents serait insolent. Et en définitive, bien qu’exagéré, ce n’est sans doute pas très loin de la vérité. Refusant de se plier aux règles établies, le brun a longtemps cherché à faire entendre sa voix dans une famille où la liberté d’expression était une chimère. Il a souvent dû en payer le prix, mais au final ça lui a forgé le caractère. Très franc, trop parfois, il n’hésite pas à dire tout haut ce que certains pensent tout bas, au diable les petites natures qui ne le supporteront pas ! Et dans cette lignée, il se montre particulièrement têtu, n’acceptant d’avoir tort qu’une fois qu’on le lui aura prouvé de manière scientifique. Déterminé, passionné par l’écriture et son métier de journaliste, il est rare de le voir baisser les bras. C’est peut-être d’ailleurs le seul point commun qu’il entretient avec son père, en dehors du caractère borné et parfois chieur de monsieur. Ames susceptibles s’abstenir ! Très taquin, jusqu’à aller dans le cynisme et le foutage de gueule sans détour, il n’hésitera pas à faire preuve de moquerie, particulièrement à l’égard des gens qu’il apprécie. Heureusement pour lui, Casey n’a pas que des défauts ! Sa grande confiance en soi cache néanmoins un garçon attentionné et capable de bien des choses pour défendre ceux dont l’intérêt lui est cher. Charmeur à souhait et pas gêné pour un sou, il ne lui est pas rare d’offrir un verre à une jolie fille dans un bar. Ce qui ne signifie pas pour autant qu’il ira jusqu’à la mettre dans son lit, mais le simple fait d’être apprécié fait du bien à son égo. Intelligent et travailleur, il espère secrètement percer dans le monde très prisé du journalisme. Il sait que la concurrence est rude, mais l’espoir fait vivre n’est-ce pas ? Et depuis la fin de ses études, il s’en sort mieux que la moyenne, ce qui l’encourage à poursuivre dans cette voie. Très loin du stéréotype du gars aisé, il aime en règle générale les choses simples : oui faire la fête l’intéresse, mais si vous lui posez la question il préférera nettement pouvoir le faire entouré de ses amis chez lui que dans une boîte de nuit à côté. Il est généreux, et malheureusement pour lui avoir le cœur sur la main lui a parfois coûté cher ! Et ayant tendance à se laisser guider par ses pulsions, il n’est pas rare que les gens l’ayant déçu se retrouvent avec son poing dans leur figure. Pour terminer, Casey est extrêmement jaloux. Pas dans le genre qui vous demande votre emploi du temps vingt-quatre heure sur vingt-quatre, mais dans le genre qui n’hésite pas à se manifester si quelqu’un regarde sa copine d’un peu trop près.
Well... It's my story...
Lorsque Casey Andreas Lockart vint au monde en plein mois de janvier 1989, sa bouille déjà souriante et sa touffe de cheveux sur la tête n’aurait jamais laissé présager à son père que sa progéniture lui donnerait du fil à retordre. Non, les cinq premières années de sa vie Casey était sans doute le bébé idéal : il a rapidement fait ses nuits, pleurait rarement, n’avait pas l’air de mal s’entendre avec son frère de deux ans son aîné et avait le rire facile. La famille Lockart s’étendit un peu plus trois ans après sa naissance. Une petite fille cette fois, sœur que Casey se donne pour mission, même encore aujourd’hui, de protéger coûte que coûte. Si ses rapports avec son frère et sa sœur ont toujours été au beau fixe, malgré quelques petites chamailleries communes aux familles nombreuses, ceux qu’il entretient avec son père se sont largement dégradés au fil des ans. Et encore, c’est un euphémisme ! Petit, Casey admirait cet homme d’affaire qui semblait déterminé à essayer de se frayer un chemin sans être guidé par la main de son père. Chose plutôt difficile, vu les moyens financiers de ses grands-parents qui ont une réputation plutôt bien ancrée à New York. Il suffisait d’entendre leur nom de famille pour que les employeurs déroulent le tapis rouge. Evidemment le père de Casey avait profité de quelques tuyaux, mais il s’était tout de même arrangé pour s’en détacher au fil des années. En dehors de son boulot, il était tout bonnement un homme que le petit garçon avait en respect. Ce qui a changé ? Le conformisme que ce dernier lui a très rapidement imposé à l’adolescence. Le brun avait besoin de liberté, de reconnaissance et de soutien pour poursuivre chacun de ses rêves. Et ça, son père ne le lui a jamais apporté, refusant qu’il s’éloigne du chemin qu’il lui avait tracé depuis la naissance. Tout commença avec le sport, que Casey chérissait sans doute plus que les cours. Capitaine de football américain dans son lycée, il s’était à un moment donné demandé s’il n’en ferait pas son métier. C’était sans compter sur tous les bâtons dans les roues que son père lui a mis à l’époque et le fait qu’il n’a jamais daigné venir le voir à un match. Alors, entre ça et le fait qu’il ne supporte pas le milieu bourgeois dans lequel on lui demandait de grandir… Oui, il n’en fallait pas plus pour que le jeune homme se rebelle et décide d’envoyer paître tous ceux qui lui couperaient les ailes et tenteraient de le transformer en « petit merdeux tout droit sorti du dix-huitième » comme il aimait appeler la plupart de ses camarades dans l’école privée où il était. N’ayant pas sa langue dans sa poche, et étant de surcroît très provocateur, il a changé de style vestimentaire, arborant des tenues plus rock et noires que son frère, s’est laissé pousser suffisamment les cheveux pour pouvoir les ébouriffer à sa guise au-dessus de sa tête, s’est fait remarquer pour quelques bagarres intempestives et surtout a dénigré toutes les offres d’avenir de son père. Une plaie dans la famille ? Pas pour tout le monde. A la plus grande surprise de son père, son grand-père a pris parti pour son petit-fils quand ce dernier a affirmé vouloir faire des études universitaires pour devenir journaliste… Et sans lui il n’y serait peut-être pas parvenu !
Mais revenons aux années lycée avant d’évoquer la période universitaire et ses projets d’avenir. Extrêmement sûr de lui, populaire par excellence grâce au sport et son sourire angélique, intelligent de surcroît, Casey avait tout pour plaire. Et autant dire qu’il n’a pas laissé filer cette opportunité ! Pas une fête ne se déroulait sans lui, quand bien même l’école dans laquelle il se cultivait était censée être un modèle d’exemplarité. Couchant à droite et à gauche, il ne se préoccupait guère des sentiments des filles qu’il abordait, et dans tous les cas chacune d’elle savait directement à quoi s’attendre de sa part. Jusqu’au jour où, lors d’une conversation pimentée avec ses potes, il affirma haut et fort pouvoir sortir avec la fille la plus coincée de l’internat, une certaine Serena Douglas. L’avantage là-dedans, c’est que contrairement au stéréotype de la fille prude, la brune était d’une beauté ravageante. Un défi qui l’arrangeait bien, donc ! Il ne tarda pas à tout faire pour la conquérir. Si il était franc comme pas deux, il pouvait également être très manipulateur en fonction de la situation. Et sur ce coup là, il était hors de question de se trahir en dévoilant ses intentions s’il voulait qu’elle tombe sous son charme ! Finalement, il arriva à ses fins sans trop de difficultés, sous l’œil impressionné de ses camarades. Et il aurait pu en rester là, la larguer au bout de quelques jours et ne jamais regarder derrière lui. Seulement la jolie brune avait bien plus d’attrait qu’un physique parfait. Elle le faisait rire, n’était pas une fille intéressée uniquement par son physique et son côté rebelle, était intelligente et attentionnée… Un tas de petites choses, qui, misent bout à bout, ne le laissèrent pas indifférent. Mais ce qui devait arriver arriva : Serena découvrit la raison pour laquelle il s’était intéressé à elle dans un premier temps, et le largua sans détour. Pouvait-il l’en blâmer ? Certainement pas. Seulement c’était étrangement douloureux et il ne comprit que trop tard qu’il avait laissé filer entre ses doigts la seule personne avec laquelle il aurait pu construire quelque chose. Encore trop fier et à l’égo surdimensionné, Casey ne tenta même pas d’expliquer ses sentiments, s’imaginant que ces derniers finiraient bien par disparaître. Entre temps, il livrait une guerre sans merci à son paternel qui lui refusait l’entrée à l’université de Fordham. En soit, ce n’était pas tant la faculté en elle-même qu’il sanctionnait, mais plutôt la spécialité dans laquelle voulait se lancer son fils. Etre journaliste ? Et puis quoi encore ! Tous les Lockart étaient chefs d’entreprise et hommes d’affaires ! Casey ne se laissa pas faire, et voyant qu’il ne pouvait rien obtenir de sa mère se tourna vers ses grands-parents, qui contre toute attente lui donnèrent les moyens nécessaires à son éducation. Une trahison de plus aux yeux de son père, qui décida alors de mettre les bouchées double et de faire en sorte que tous les weekends Casey rencontre telle ou telle personnalité du monde des affaires. Avec un peu de chance, l’un des projets présenté lui plairait ! C’était peine perdue malheureusement, et le jeune universitaire redoubla de culot en excellant dans sa promotion.
Première année universitaire. Un environnement nouveau qui aurait pu être déstabilisant, et qui en fait s’avérait être plus que plaisant. Ce qu’il apprenait le passionnait, les connaissances qu’il s’était fait étaient souvent plus intéressantes qu’au lycée, les fêtes encore plus clinquantes… Et, cerise sur le gâteau, il avait maintenant un appartement à proximité de l’université ! La vie rêvée, ou presque. Qu’il l’admette ou non, elle était toujours dans ses pensées, et il avait beau sortir le plus souvent possible, il ne cessait de faire des comparaisons idiotes avec les femmes qui se trouvaient dans ses bras. Jusqu’au jour où, totalement par hasard, leurs chemins se croisèrent à nouveau. Elle était encore plus belle que dans ses souvenirs, et peut-être encore plus désirable puisque quasiment inaccessible. Il ne saurait dire combien de temps elle avait mis à le laisser entrer de nouveau dans son cœur, mais ce qu’il pouvait assurer c’est que ça avait été long. Elle avait tenue à ce qu’il en bave pour la reconquérir, et bizarrement ça ne l’avait pas repoussé, bien au contraire. Une période où elle était devenue vitale, et où il la suppliait constamment de le pardonner, de lui accorder une seconde chance qu’il ne gâcherait pas cette fois-ci. Elle le fit, et en toute objectivité il s’était rarement senti aussi comblé de toute sa vie. Trois ans d’amour au grand jour, de disputes sans gravité, de taquineries mesquines, d’étreintes passionnées, de discours enflammé… Il n’avait aucune honte à dire qu’il avait trouvé son âme sœur, celle qui le rendait meilleur de jour en jour. Bien sûr, il restait cet idiot sûr de lui capable de laisser sa colère le guider, mais sa présence l’apaisait tout simplement. Et c’est cette certitude qu’elle était faite pour lui qui le poussa à lui demander d’emménager à ses côtés. Une proposition qu’elle refusa. Première claque, sans doute. Il ne lui en tenu pas trop rigueur cependant, incapable de la laisser tomber juste pour un premier refus. Leur relation s’était légèrement dégradée, mais rien de bien grave en soit. Jusqu’à l’apparition de Luka, un ami à lui. Pourquoi diable avait-il présenté le jeune homme à sa copine ?! Sans doute parce que, naïvement, il lui avait fait une confiance aveugle. Il ne s’était douté de rien, du moins pas en ce qui concerne les deux énergumènes. Leur relation devenait un peu plus tendue, mais il mettait tout simplement ça sur le dos de leur mésentente concernant l’avenir et l’endroit où elle habitait. Alors, quand elle lui avait finalement avoué le laisser parce qu’elle avait couché avec un autre… Il tomba littéralement du dixième étage. La rage l’avait envahi, et sur le coup de la colère il avait eu quelques gestes nerveux. Il ne l’avait absolument pas touché, mais si Luka s’était retrouvé en face de lui ce jour-là il l’aurait sans doute encastré dans le mur. La rupture fut douloureuse, et le fait de la voir avec lui encore pire. Il essaya tant bien que mal de remonter la pente avec quelqu’un, mais sans franc succès, trop amer et triste pour se rendre compte qu’il avait autour de lui des gens qui ne demandaient que ça, d’avoir son attention. Et peut-être qu’il aurait finalement réussi à se libérer de ses sentiments si il n’avait pas eu vent de la rupture avec Luka, après une demande en mariage foirée. Certains diront qu’il est franchement masochiste de retourner constamment vers elle, mais c’est tout simplement plus fort que lui. Quoi qu’il fasse, quel que soit le chemin qu’il emprunte, elle semble être un souvenir qui s’accroche et refuse de partir dans un passé oublié. Il la recontacta, demandant cependant à la jeune femme de lui laisser un peu de temps pour digérer tout ce qu’ils avaient vécu. Elle accepta, et tout reparti de plus belle.
Mais leur histoire ne serait pas épique si ils se contentaient de sourire tout le temps et de regarder des films d’amour bidons à la télé, n’est-ce pas ? De plus en plus amoureux, Casey avait pour projet de demander la jeune femme en mariage quand cette dernière reviendrait de ses vacances passées en Italie, son pays natal. Lui venait de terminer ses études, avait été embauché dans un média télévisé et commençait même à tourner plusieurs reportages. Il était donc dans une situation suffisamment stable pour envisager de s’engager, et même, pourquoi pas, d’avoir un enfant ? Serena semblait comblée par son rôle de marraine, et d’un certain point de vue ça le rendait un tantinet jaloux. Non pas parce qu’elle passait du temps avec, mais parce qu’il était envieux de ce bonheur que visiblement ils n’étaient pas prêt à avoir tous les deux : Serena ne le voulait pas, et lui ne pouvait certainement pas la forcer. Tandis qu’elle était en voyage, il fut blessé lors d’un attentat le jour de la fête nationale. Il avait tout simplement un reportage à faire et s’était retrouvé dans une mauvaise posture. Quelques jours d’hôpital et une vilaine cicatrice à la jambe, voilà ce qu’il avait gagné. Il avait refusé cependant qu’elle écourte son voyage, préférant qu’elle profite à fond de l’Italie et revienne dans de bonnes dispositions. Seulement leurs amis avaient quitté New York, et en plus de ça la belle lui cachait la véritable nature de son job. Alors qu’il commençait à émettre des doutes sur leur relation, elle préféra lui mentir et inventer une idylle avec Jude. Il lui avait pardonné une première fois de l’avoir trompé, ne le ferait pas une deuxième. Il mit fin à leur histoire dans une énième dispute, avec la ferme intention de ne jamais la revoir. Le destin en avait décidé autrement, et il la retrouva brièvement lors d’une soirée. Rien ne se passa de bien concret, et il dû attendre qu’elle décide d’elle-même de le retrouver pour enfin connaître la vérité. Il était blessé par le manque de confiance dont elle lui avait fait part, mais la déclaration qu’elle osa lui faire le toucha plus que de raison. Ils s’embrassèrent, se retrouvèrent dans la plus délicieuse des manières, et se réveillèrent le lendemain, sans pouvoir réellement mettre un nom sur leur relation présente. Bien sûr qu’il voudrait vivre quelque chose de fort avec elle, être cette fois-ci dans une optique de long-terme au lieu de rompre et revenir constamment. Mais il n’est pas réellement certain qu’il en soit de même pour la jeune femme…
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Kika & 21 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Une pub sur Bazzart je crois! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → C'est très rare que je ne passe pas au moins une fois par jour sur un forum! ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario.
Mon exemple de RolePlay:
Une fois n’était pas coutume. Les dernières semaines des deux acteurs avaient été agitées, faites de séparations parfois douloureuses, puis de retrouvailles surpassant largement le manque qui avait pu s’établir les jours précédents. Ils ne vivaient pas à proprement parler une relation à distance, trouvant quand même le temps d’être là l’un pour l’autre une fois dans la semaine minimum, mais James ne se faisait pas d’illusion : bientôt elle repartirait pour des besoins de tournage, et peut-être que lui retrouverait également un rôle d’ici peu. Cependant, ces circonstances particulières n’étaient pas suffisantes pour ternir cette relation, qui, à chaque seconde écoulée, l’enfonçait un peu plus dans les méandres d’un bonheur sentimental inégalable jusqu’à présent. Le regard qu’elle lui jetait, son sourire, ses premiers « je t’aime » soufflés à son oreille à l’apothéose de l’acte amoureux… Tout, tout semblait vouloir mettre à l’épreuve l’organe qui battait frénétiquement dans sa cage thoracique. Ce dernier semblait même parfois lutter pour sa survie tant elle le désarçonnait ! Alors oui, si le prix à payer pour cette béatitude n’était que de se montrer patient pendant ces absences répétitives… Il s’en satisferait volontiers, et plutôt deux fois qu’une. Cette chaleur humaine, cette certitude d’avoir à ses côtés une femme merveilleuse il la ressentait à l’instant, alors que la jeune femme dormait encore, blottie au creux de ses bras. Cela faisait environ une demi-heure qu’il avait ouvert les yeux, et pour rien au monde il n’aurait perturbé le sommeil de la belle, se délectant sans demi-mesure de la vision qu’elle lui offrait. Ils s’étaient retrouvés la veille au soir chez lui, pour la bonne et unique raison qu’ils étaient invités le lendemain à passer l’après-midi chez les parents de James. Angie en était évidemment l’initiatrice : elle avait téléphoné à son fils quelques jours plus tôt, insistant pour qu’ils viennent déjeuner. Chose à laquelle s’était opposée le brun : un repas en famille lui semblait bien trop conventionnel, il préférait nettement une première rencontre plus détendue, autour d’un verre et d’un gâteau. Elle avait acceptée, et avait également plus ou moins fait comprendre que Jeff serait de la partie. Non pas parce qu’il en avait envie, mais parce qu’elle le lui imposait. L’idée fit d’ailleurs grimacer l’apollon, qui était conscient que la partie ne serait pas forcément gagnée d’emblée avec le chef de famille, surtout si on ne lui donnait pas le choix. Mais ils feraient avec, n’est-ce-pas ? Alors que ses doigts caressaient lentement le bras de sa petite amie, les yeux de l’acteur se posèrent sur le réveil. Il n’était pas loin de neuf heures, et même si une grasse matinée aurait sans doute fait du bien au jeune couple qui avait batifolé une bonne partie de la nuit, il valait sans doute mieux prendre ses précautions et ne pas être rattrapé par le temps qui file plus tard. Un baiser sur le front, puis un deuxième sur la joue, et un troisième un peu plus appuyé sur ses lèvres. Et tandis qu’il sentait que Torrey émergeait petit à petit, le brun fit cavaler sa main le long de ses courbes, appuyant un peu plus ses baisers, qui cette fois s’étaient dirigés au creux de son cou. « Bonjour…»Un murmure suave à son oreille, et déjà il se glissait au-dessus d’elle, un sourire aux lèvres dévoilant largement ses intentions pour les minutes à suivre. Et si jamais on lui objectait un comportement matinal bien cavalier, lui répondrait qu’il n’était tout simplement plus maître de lui avec elle. Et qu’il ne voulait pas l’être, de toute façon.
« Je te préviens, si tu n’es pas sortie dans cinq minutes, je viens te chercher par la peau des fesses DeVitto !» déclara le brun derrière la porte de la salle de bain, que Torrey ne semblait plus vouloir quitter. Après ce réveil exquis, les deux amants avaient pris leur douche, s’étaient chamaillés comme à leur habitude, et avaient déjeuné sur le pouce, ne voulant pas trop manger. Parce que même si sa mère n’était censée faire qu’un gâteau, il savait d’avance que cela allait plutôt se résumer à deux ou trois, faute d’avoir sût faire un choix pour la pâtisserie en question! Et il était déjà l’heure de partir. Hemet, sa ville natale, se trouvait à environ une heure de Los Angeles, et ils étaient attendus sur le coup des trois heures. S’impatientant légèrement en observant sa montre, James prit l’initiative de rentrer dans la salle de bain, et d’observer Torrey à travers le miroir en haussant un sourcil, moitié-amusé et moitié-accusateur. Il avança finalement jusqu’à elle et entoura sa taille de ses bras, incitant la jeune femme à laisser son dos se poser contre son torse. Ses lèvres frôlèrent son visage, avant qu’il n’encourage la brune à rencontrer son regard. « Tu es parfaite. Tu n’as pas besoin de traîner ici plus longtemps… Aussi agréable soit la vue de ton reflet dans la glace !» plaisanta-t-il avant de caresser son dos et de tourner les talons pour descendre les escaliers et attraper ses clés de voiture. Elle ne tarda pas à le rejoindre, et ils se retrouvèrent rapidement dans l’habitacle du véhicule. Sortir de Los Angeles était sans doute la partie la plus pénible du voyage, puisque le reste du trajet les dirigeait vers le sud-Est, moins enclin aux bouchons que la cité des anges. Le regard rivé sur la route, et après avoir bataillé pendant quelques secondes pour savoir quelle chaîne de radio serait privilégiée, James souhaitait rassurer sa compagne. Honnêtement, il ne pensait pas forcément qu’elle était nerveuse, mais il ne lui avait pas encore annoncé la présence de Jeff. « Il risque d’y avoir mon père, je crois que ma mère tenait à ce qu’il soit là. Alors… Si jamais il est froid au départ il ne faut surtout pas que tu le prennes pour toi. Il fait ça avec tout le monde au premier abord.» Bon d’accord, de but en blanc c’était loin d’être apaisant. Mais lui n’était pas nerveux : il lui était inconcevable que son géniteur ne l’apprécie pas. Elle avait juste à agir naturellement, à ne pas se laisser chamboulée par les premières questions ou remarques qu’il ferait, et il finirait par l’adorer. C’était certain.
14h50. James venait de se garer dans la propriété de ses parents, et ouvrait déjà la porte de voiture de la belle. Le moins qu’on puisse dire c’est que la ville Californienne était un vrai paradis sur terre. Les 70000 habitants n’avaient en aucun cas à se plaindre, entourés de verdure à tous les coins de rue. Et la demeure des Lafferty ne faisait pas exception. Jeff, patron d’une entreprise locale de construction qui avait un succès notable localement, avait bâti cette dernière lui-même. Ils jouissaient d’un terrain particulièrement imposant, même si ça n’avait pas été toujours le cas. Ce dernier avait travaillé dur pour en arriver là, et James l’avait toujours admiré à bien des égards, affirmant même qu’il n’aurait jamais pu faire le dixième de ce que lui avait accompli. Alors que le couple marchait sur les graviers en direction de la maison, James entendit un bruit bien familier et se mit à sourire instantanément, lâchant la main de Torrey pour aller à l’encontre de Nino. L’Husky croisé berger lui sauta littéralement dessus, manquant de le faire tomber et réussissant de ce fait à le faire reculer de quelques centimètres en aboyant. Une fois le chien retombé sur ses pattes, James s’accroupi afin de le caresser comme il se doit, se faisant lécher la main par la même occasion. « Oh oui, moi aussi je suis content de te revoir.» Ce chien, c’était le sien. Il l’avait récupéré dans une fourrière lors de la fin de la première saison de One Tree Hill, et pendant des années il s’était occupé de lui avec toute l’affection dont il était capable. Seulement, il avait fini par vendre sa maison lors de la saison sept, et à partir du moment où il vivait à l’hôtel pendant le tournage, il avait jugé préférable que ce soit ses parents qui se chargent de lui. Au final, malgré son retour, il n’avait pas eu le cœur de le séparer de ses parents, qui de façon réaliste étaient beaucoup plus chez eux que lui, et qui pouvaient donc s’occuper de lui quasiment à plein temps. Mais il lui manquait, ça il ne pouvait pas le nier. Après une énième caresse, il se releva, et l’attention du chien se dirigea vers cette inconnue qu’il n’avait jamais eu l’occasion de croiser. Nino tourna autour de Torrey, ce qui évidemment fit rire le brun. « Nino, Torrey ; Torrey, Nino !» Les présentations faites avec plaisanterie, ils pouvaient tous les deux finalement reprendre leur chemin, le chien à leur trousse. Posté devant la porte d’entrée, le premier réflexe de James avait été de vouloir ouvrir la porte lui-même et de rentrer directement. Seulement… Oui, peut-être qu’une intrusion aussi indiscrète ferait l’objet d’une réflexion de son père vu qu’il était accompagné, alors il s’arrêta dans son geste et se contenta de sonner. Il attrapa ensuite la main de la jeune femme, qu’il serra dans la sienne. « Merci.» Merci d’être là, d’avoir accepté de les rencontrer aussi facilement. Il savait lui-même que l’exercice n’était pas forcément aisé, et qu’elle le fasse pour lui le touchait. Il lui lança un dernier regard rempli de tendresse, avant que la porte ne s’ouvre, dévoilant sa mère qui souriait déjà jusqu’aux oreilles.« Mon fils, à l’heure ! C’est une première, je suis persuadée que c’est vous que je dois remercier !» Un regard rempli de malice envers James, puis un sourire chaleureux pour Torrey, qu’elle ne tarda pas, sans gêne aucune, à prendre dans ses bras quelques secondes. James leva les yeux au ciel, à la fois pour contester la déclaration de sa mère, mais également dépité de constater qu’elle n’était pas capable de seulement lui faire la bise, qu’il fallait absolument qu’elle se comporte comme une amie de longue date. « Elle est forte celle-là !» Parce que oui, il était rarement en retard ! Les seules fois où ça lui était arrivé, ce n’était d’ailleurs jamais de sa faute. Enfin, du moins, trouvait-il toujours une excuse. « Je suis ravie de connaître enfin la femme dont me parle mon fils à chaque fois que je l’ai au téléphone !» Déclara Angie, avant de lâcher Torrey pour se tourner vers son aîné. « Faudrait pas exagérer quand même !» se défendit le brun avant d’enlacer sa mère et de l’embrasser sur la joue. Cette dernière était largement plus petite que lui, le teint halé et encore très belle femme pour son âge. Mais elle avait beau faire un poids plume, ça ne l’empêchait pas d’avoir le dessus sur ses deux garçons quand il le fallait. Elle pinça d'ailleurs la joue du brun en riant. « Je suis peut-être vieille, mais pas sénile Jimmy !» Déclara-t-elle avant de regarder derrière elle. « Et évidemment, ton père est dans son bureau !» S’en suivit un grand « Jeff !! » lâché avec autorité, puis une porte qui s’ouvrait en grand et un homme qui dévalait l’escalier l’air ronchon. James se mordit la lèvre inférieure, exaspéré à l’avance. C’était toujours la même histoire : la dernière fois qu’il avait ramené une fille à son bras, et ça datait pourtant, il décidait dans un premier temps de jouer les ours mal léchés. Aussi grand que son fils, Lafferty père était un peu plus large d’épaule encore, ayant pris un petit peu de poids ces dernières années. Pour autant, grand sportif lui aussi, il n’avait pas forcément de ventre prédominant. Il était juste… Costaud. Brun également, le teint plus pâle que sa femme bien qu’un peu plus bronzé que James, il en imposait. Arrivant à leur hauteur, James prit les devants pour introduire la brune, passant une main dans son dos. « Papa, je te présente Torrey, ma petite amie.» L’homme tendit sa main à la jeune femme, avant d’élever la voix. « Donc, c’est pour ça que je loupe un après-midi au bureau !» Le reproche était plutôt dirigé vers sa femme, qui lui asséna un coup à l’épaule avant de regarder Torrey. « Ne faites pas attention, il a décidé d’être grincheux aujourd’hui !» Son père ne semblait pas affecté par les dires de sa femme, se concentrant plutôt sur la brune dont il serrait la main. « Jeff. Enchanté.» On pouvait en douter, mais James se chargea d’intervenir pour faire la bise à son père. « Je suis persuadé que l’entreprise ne va pas fermer juste parce que t’es absent quelques heures ! Un peu de repos ça ne te fera pas de mal dans tous les cas, j’ai l’impression que t’as quelques rides en plus !» Plaisanter était la meilleure manière de le dérider. Seulement, si au départ un léger rictus s’afficha sur son visage, bien vite Jeff observa son fils en haussant un sourcil. « Contrairement à certains, je n’ai pas le loisir de m’offrir des vacances prolongées.» Estomaqué, James ouvrit la bouche pour répondre quelque chose, mais fut arrêté par sa mère, qui entraîna les deux jeunes vers le jardin en fusillant du regard son mari. « C’est pas tout ça, mais quelques gâteaux vous attendent dehors ! Torrey, qu’est-ce que vous voulez boire ? » Les deux couples arrivèrent sur la terrasse, et James tira une chaise pour Torrey, pour finalement s’asseoir à ses côtés et poser sa main sur sa cuisse. Il avait encore en tête le blâme de son père, et toisa ce dernier qui prenait place en face d'eux. James détourna le regard pour contempler la table et la quantité de boisson incroyable que sa mère avait disposé dessus. Ça l’aurait fait rire normalement, mais il avait été piqué à vif il y'a quelques secondes à peine et avait du mal à oublié cet incident. Angie sentant quelques tensions, servit Torrey et lui fit un clin d’œil. « Je suis curieuse de savoir comment une femme aussi ravissante que vous a bien pu prendre le risque de porter un tel fardeau. Regardez quel genre d’énergumène vous attend dans trente ans! » Cette fois-ci, James ne put s’empêcher de rire, et même Jeff s’esclaffa en levant les yeux au ciel. Mission accomplie pour Angie, qui connaissait les ficelles du métier, depuis le temps qu’elle voyait son mari à l’œuvre ! Après avoir donné son verre à Torrey et servit James et Jeff par la même occasion qui voulaient un coca, elle prit place sur sa chaise, le regard vagabondant d’une personne à l’autre.
Le code règlement:
→ Yankees Rock.
Dernière édition par Casey A Lockart le Mar 17 Juil - 20:41, édité 14 fois
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 12:45
Oh Kika ce pseudo ne m'est pas inconnu
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin & excellent choix de scénario
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 12:46
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 12:51
Dylan: Nemolicious sur ton avatar m'incite à penser qu'effectivement, ce n'est pas la première fois qu'on se croise (a). HP? Merci beaucoup en tout cas!
Blaise: Mercii!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 12:55
le plus beau, aon bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 13:00
Merci! Et ne t'en fait pas, si jamais j'ai des questions, je viendrais envahir ta boîte mp!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 13:13
Casey A Lockart a écrit:
Dylan: Nemolicious sur ton avatar m'incite à penser qu'effectivement, ce n'est pas la première fois qu'on se croise (a). HP?
tout à fait
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 13:41
Bienvenue parmi nous Très bon choix
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 13:44
Claire! Merci beaucoup!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 13:54
Bienvenue !!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 17:37
Bienvenue parmi nous
Excellent choix de scénario
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 17:45
Merci beaucoup à vous deux!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 17:47
Bienvenuue
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 20:33
Bienvenue sur NYCL
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 20:42
Merci beaucoup à vous deux! Un tel accueil ça fait plaisir!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 20:45
WELCOME
alors j'adore la petite croix dans ta présentation !!!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 20:56
Chad! (et oui, je suis fan de OTH!) Merci! Et oui, j'avoue que je l'aime bien aussi (a)!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 20:57
Tu peux mettre le petit point après le A dans ton pseudo
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 21:08
Casey A Lockart a écrit:
Chad! (et oui, je suis fan de OTH!) Merci! Et oui, j'avoue que je l'aime bien aussi (a)!
La croix ou Chad? MDR d'accord j'arrête de flooder !
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 21:10
Dylan: c'est fait maintenant!
Lucas: mdrr les deux!
Cheyenne L. Pearson
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mar 17 Juil - 21:28
Bienvenue chez nous!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mer 18 Juil - 1:41
j'avais lu ta fiche pendant ma pause y a pas à dire elle est nickel (a)
Validé !
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today. Mer 18 Juil - 10:06
Merci beaucoup!!!
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Sujet: Re: Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today.
Casey † Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today.
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