Sujet: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 4:20
FEAT. Megan Fox
Harley Autumn. Lincoln !
24 ans → Née à Sydney (Australie) le 04/05/1987 → Etudiante-boursière dans une école d'Art/Peintre-Portraitiste des rues. Vit de ses tableaux et d'un petit job de tatoueuse a Brooklyn. Essaye aussi de percer dans le cinéma. célibataire → hétérosexuelle → membre des Artist.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques?
« La vraie beauté est si particulière, si nouvelle, qu'on ne la reconnaît pas pour la beauté. »de Marcel Proust[
« Harley ? C’est ce mirifique mélange entre réalité et chimère, cet assortiment d’excentricité inimitable et d’authenticité artistique. Une Originale, adjectif qui lui sied au mieux et qu’on alloue aisément. Après tout qui pourrait prétendre à avoir un accoutrement comme le sien ? Un alliage euphorique qui combine Rock’n Roll et Pin-up fifties, des jeans de tons diaprés soigneusement customisés et quelque peu déchiré par ses soins. Des chaussettes de couleurs ou de motifs vintage qui dépassent de ses éternelles Doc’s en cuir aux lacets inlassablement en bataille. Ses t-shirt looses aux teintes rutilantes variant entre grenadines, orpiment, baie, pétrole et céruse, où on y distingue avec une certaine admiration des épingles a nourrisse, des bijoux en argent Vivienne Westwood, des foulards froissés Hermes et bien-entendu ses fidèles pendentifs a l’effigie des quelques Stars Hollywoodiennes des années 30-50. Ah et comment oublier ses fameuses veste en cuir style Perfecto ? Cloutées de toutes parts, aux poches débordantes de crayons grossièrement maculés de peinture. Qu’elle allie avec ses shorts ou ses jupes a volants. Ses vingtaines de Jeffrey Campbell qui pullulent en un chambard sans nom au travers de ses étagères, et dont elle s’amuse à en changer toutes les deux heures. En parlant d’heure…Vous ai-je cité ce drôle de tic qu’elle a ? Ses bracelets et colliers pourvues de pendules, qu’elle règle en fonction du fuseau horaires des pays qu’elle affectionne ou qu’elle a visité. Ce qui quelque part explique le gai charivari de métaux qui anime ses pas, cela beau être une fantaisie excessive et inutile aux yeux de tous, elle ne peut s’empêcher de titiller et tripoter ses montres. Trouvant un plaisir saugrenu en les consultants. Grande Brune Svelte a la peau d’une pâleur de porcelaine française. Mais qui prend rapidement après une quinzaine de minutes sous le soleil une teinte basané polis d’un éclat Sénois voir même cuivré. Son visage arachnéen aux traits fins et délicats, poursuivant avec une délectable harmonie la consonance de son minois, pourvus d’oreilles petites et symétriques quoique légèrement osseuses au niveau de l’hélix. Et d’un nez de catégorie aquilin relevée en trompette, Ni évasé ni grossier. Homogène voir même adorable. Orné de lèvres pulpeuses finement tracées luisantes comme la rosée dans le sein mi-clos d’un grenadier. Semblant même nous lorgner dans leur habillage andrinople. Elles trônent alléchantes et appétissantes laissant entrevoir a travers leurs sourires d’une joie insouciante et infantile des dents d’une blancheur céruse, égales et fines qui s’illuminent a chacun de ses rires haut perché. Etrange pour une adicte à la cigarette ? Sous des sourcils arqués d’un noir singulier, papillotaient à la fois joviales et malicieuses, des iris dont les teintes était d’une rareté et d’une profondeur à s’y perdre. Tumultueuses et capricieuses s’entrechoquant en une palette eurythmique dotée d’une pureté sans pareil. Ses prunelles, arboraient simultanément un vert troublant égal à celui de l’activité frétillante des poissons aux bords des coraux et une magnétique teinte d’un bleu inimitable, dont la seule comparaison approximative et fidèle serait le calme et la limpidité des mers méditerranéennes sous les rayons d’un chaleureux été. On aurait juré y voir nageaient paisible et serein les rayons les plus purs du céleste au point d’en faire pâlir les divins lacs de l’Himalaya. Ornaient et parsemés de minuscules losanges dorés qui sont la cause de ces variations de teintes. Ses yeux avaient pour second assortiment une agréable forme allongée telles les gazelles peuplant le Sahara. Une Chevelure de jais, tombante en mèche enflammées ou lisses ; Tout dépendant de la coiffure dont sa détentrice veut s’en affubler. Tantôt Effigie glamour a la Marilyn Monoroe ou a la Rita Hawyorth. Tantôt libre sans l’ombre d’un chichi, mise a part des torsades ou des ondulâtes qui lui donne cet effet rappelant les nymphes mythiques servant de modèles dans les ateliers de son école. Ce point-ci est par-ailleurs particulièrement culminant, car changeant l’image qu’arbore la dessinatrice. Pouvant aussi bien la rajeunir qu’on la confondrait avec une lycéenne que la vieillir lui donnant l’apparence d’une femme au cœur de sa vingtaine. D’où la phrase qu’on arbore a son égard au fil des soirées suivant sa dégaine « Tu ne fais vraiment pas ton âge ! ». Semblant avoir était particulièrement gâtée par son créateur, en vue de la finesse de sa taille qui rechausse l’élégante cambrure de ses reins arrondis et de la richesse de son buste ou la jeunesse en fleur étale ses plus parfaits trésors. Ses jambes marmoréennes ou auburn, doucement bombés d’une dune, toujours mise en valeur. Ses mains sont néanmoins malgré leurs esthétiques éternellement parsemées de gouttelettes de peintures et surchargées en bagues. Sur le dos de notre Miss excentricité on y lit une citation de William Shakespeare « Nous sommes faits de la même étoffe que les songes et notre petite vie, un somme la parachève. » Tatoué en Edwardian Script.»
★Quel est le caractère de ton personnage? →Artise. Solitaire. Excentrique. Joviale. Complexe. Encore Marquée par le passé.
« Harley c’est celle qui applaudit les méchants dans les films, celle qui cri haut et fort qu’elle préfère Joker a Batman, celle qui s’amuse a se dessiner des moustaches sous le nez, a manger ses céréales avec une fourchette, celle qui semble avoir le génie de Da Vinci et l’âme d’un Gangster, Mais qui cri a la vue d’un cafard. Celle qui aime rire a la mort et narguer la débauche.»
« L'excentricité et la force de caractère marchent toujours de pair. » de John Stuart Mill
Frivole et Décadente, Se plaisant a lancer des galéjades d’une facétie outrancière et d’un charme unique. Ses rires d’une candeur infantile anime les lieux qu’elle visite et les emplis d’une gaieté bon-enfant. Un Rayon de soleil vous dira-t-on tant elle ne s’est jamais plain de sa condition, elle accueille les incidents et pépins de la vie, avec sérénité et calme concluant philosophiquement que tôt ou tard un maux lui aurait assaillit. S’amusant et se délectant de sa jeunesse comme un véritable galopin de cours de récréation. C’est cette euphorie digne d’une Diva adulée au summum de sa notoriété qui lui voue une véritable popularité auprès des universités voisines. Mais malgré ses sourires incessants, ses regards enjôleurs et ses manies affectueuses et particulièrement appréciée. Elle n’en reste pas une personne, dont les épreuves de la vie l’ont très tôt forgée de sorte a ne jamais perdre face, poursuivant inébranlable et ferme ses idéaux et ses rêves. Ses perpétuelles erreurs et afflictions, l’ont quelque part durcit et apprise a toujours cacher ses émotions derrière un masque de fer. Une enfance qui semblait promise au début a tendresse et amour mais qui fût finalement bercée par la sauvagerie d’un alcoolisme chez un père dont elle a oublier même le visage et un abandon qui est aujourd’hui encore une blessure béante qui suinte a l’idée d’avoir était purement délaisser par une mère dont elle avait une confiance sans borne. Mais pis que tout a ses yeux, la perte du seul être dont la valeur a bien plus d’importance que son âme individualiste, Yohan cet adorable bambin aux yeux mielleux et aux sourires avenants, trouvant auprès de lui un compagnon de jeu mais aussi un confident voir même un « Prince » comme elle s’est enticher a le surnommer. A ce jour elle ne garde de lui qu’une photographie prise par sa tante Jess’ ou côte a côte ils s’amusaient dans une naïveté enviable à faire des châteaux de sable. Fan invétérée des œuvres cinématographiques en particulier ceux datant de la période s’écoulant entre les années 30-80 et surtout qui abordent un thème « Gangster ». Adepte antédiluvienne des romans classiques et des mangas qu’elle dévore aussi facilement qu’un Brownie au chocolat –Je vous l’accorde la comparaison n’est guère gracieuse- . Grande Amatrice des groupes tels que Beatles, Nirvana, Rolling Stones, Now Status Quo ou les voix d’or tels que Whitney Houston, Elvis, Amy Winhouse, Michael Jackson, James Brown, Bob Marley, et j’en passe sans pour autant être allergique aux nouveaux chanteurs. Appréciant fortement les compositeurs de musiques de films, qu’elle connait sur le bout des doigts et fredonne à tue-tête. Une excentrique et une extravagante, s’imposant telle qu’elle est. Ignorant pompeusement les regards d’autrui, ne tergiversant pas pour remettre a sa place un simplet ou un renégat ou encore un idiot qui s’amuserait à critiquer sa façon d’être. Son style vestimentaire sied a sa personnalité et la représente parfaitement. Contraste et contradiction, chaque tons diaprés ou sombre a sa définition et en l’occurrence expliqueraient presque la complexité du mentale de la belle.
« La peinture est pour moi le moyen d'oublier la vie. » de Georges Rouault
« Tu es né un crayon a la main » C’est qu’on lui dit le plus souvent, artiste dans l’âme. Mirifique dessinatrice qui sait admirablement reproduire ses modèles ou encore inventé des images via quelques idées qui germent dans son esprit, lorsqu’elle lit ou laisse se dérouler sous les yeux le théâtre de la vie. Ses pinceaux et crayons circulent sous ses doigts avec une telle aisance que plusieurs cessent toute activité afin de la regarder faire. Aussi a l’aise a l’acrylique qu’a l’aquarelle passant par l’huile et le couteau voir même l’éponge, le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle est bel et bien une artiste complète dont les œuvres ont déjà étaient présentés a plus d’une dizaine d’expositions dont la renommée est des plus prestigieuses au sein de l’état. Elle a contrairement a tous les autres artistes cette particularité à cerner le regard et l’étincelle de vie de ce qu’elle dessine ce qui a intriguait les critiques et ébahit le public. D’où le pseudonyme qu’on alloue a son égard « La Croqueuse d’Images. ». A la fois tête en l’air et rêveuse, incroyablement modeste et méticuleuse en ce qui concerne son art. Traitant ses toiles et ses outils comme de réels joyaux. C’est néanmoins au travers de son travail qu’elle exprime ses peines et ses joies, laissant transparaître son besoin inexorable de communication qui se lit sur chaque couche de peinture qu’elle applique. Pensive et lointaine, elle est comme dirait enveloppait d’une quiétude et d’un bien-être unique oubliant en l’espace de quelques heures toutes les injures de la vie. Se Laissant aller a de chimères spéculées. Ce caractère a néanmoins fais d’elle quelqu’un d’essentiellement solitaire voir même sociopathe quand le contact trop intime la tétanise, fine psychologue et patiente envers autrui, épaule pour soutenir le poids des douleurs. Elle est malgré tout…Car derrière toute belle chose se cacher une odieuse tâche. Une ancienne dépressive utilisant le plus clair de son temps cette fameuse citation d’Annie Leclerc « La cigarette est la prière de notre temps. ». Incapable de tenir longtemps en période de stress sans fumer longuement ce doux tabac, ex-droguée qui a réellement tiré un trait sur cette dangereuse matière. Sulfureuse Brunette au caractère de feu, plutôt bagarreuse lorsque quelque chose ne lui plait pas. Messieurs attention ce n’est pas une gifle mais un coup de poing que vous recevrez ! Mirifique Oratrice et talentueuse séductrice, malgré le fait qu’elle n’est jamais eu une réelle relation amoureuse jusqu’à ce jour. Mise a part des conquêtes banales sans le moindre sentiment. Maligne et Subtile, Méfiante mais stratège, elle n’a pas était pour rien major de sa promotion.
Jalouse et possessive, facilement piqué au vif. Elle tient a ceux qu’elle chérit plus que sa propre vie, et ne peut s’empêcher de venir les voir ou bien les harceler par tous les moyens possible et imaginable…Enfaite ce n’est pas du harcèlement mais un débordement excessive d’affection, d’où son côté sentimental. Qui est l’une de ses cordes sensibles. En plus de sa rigidité envers autrui, du moins ceux qui lui sont inconnus.
Well... It's my story...
« Ma vie mon seul enseignement » Gandhi.
Serais-je l’héroïne de ma propre histoire ? Ou quelques autres viendront y brillaient à ma place ? Serais-je la belle de ce conte ou la bête ? Ai-je accomplie une quelconque prouesse ? Ai-je transcendé les lois de ce monde ? Que Pourrais-je dire au créancier suprême qui m’a prêté plus de vingt années ? Que puis-je apporter au monde de part ma vie, si ce n’est l’enseignement qu’elle m’a transmit? Pourquoi me vient-il soudainement la force de vous retranscrire ces douloureuses lignes ? Est-ce le poids que je me dois de porter derrière mon masque jovial ?
Chapitre 1 : « Love Me Tender »
Océanie, Australie : (1991-1993)
« Love me tender, love me sweet, never let me go. You have made my life complete, and I love you so »
Sa voix claire et haute résonnait dans les plus vils recoins de notre somptueuse villa de Long Beach, la mer au petit matin produisait d’agréables sons étouffés, léchant la surface sablonneuse ou quelques surfeurs s’occupaient à récurer soigneusement leurs planches. Je la voyais, silhouette féminine qui absorbait sans modérations les rayons du céleste. Passant délicatement un bâton de rouge, en plissant ses lèvres pulpeuses de Blonde. Son regard rivé sur la glace, se plaisant à se trouver des imperfections alors, qu’elle était en un mot « Magnifique ». Un petit coup à sa robe fleuris, un serre-tête passait dans sa longue chevelure détachée. Ressemblant de la sorte à l’une de ces stars hollywoodiennes, que je prenais en modèle. Elle me tendit sa main, vernie de garance. Et nous nous ébranlâmes avec une gaieté insouciante, vers notre éternelle BMW (Série 8 ), dont la couleur Rosso Corsa, délavé par les intempéries. Me semblait fort pâle en cette journée estivale. Traînant avec maussaderie une grossière valise terreuse que je hissais avec milles peines à l’intérieur de l’automobile ou j’ai eu tôt fais de prendre place, avant de me coller tout contre la vitre, en laissant mes pensées s’échappaient et vagabondaient. Lançant des regards discrets à la mine enjouée et gaie tel un pinçon qu’arborait ma mère gazouillant ou jodlant au rythme des musiques de « Top 50 ». Des questionnements naquirent en mon esprit éveillé de bambin, essayant de comprendre et de faire le rapprochement entre cette subite joie de vivre, et sa peine qu’elle noyait dans les tréfonds de l’alcool et de la dépression il y’a de cela quelques mois tout juste. La voiture s’en alla, suivant un chemin inconnu à mes yeux. Laissant défiler pavillons de couleurs chaudes variant entre le mimosa et le grenadine. J’observais avec un certain amusement, la vie quotidienne de ces australiens bons teints, qui s’affairaient à leurs occupations du Dimanche. Les pieux se rendant à la messe, les effrontés s’en allaient bras dessus bras dessous vers les salles de Cinéma au nez des vieux grincheux qui se lamentaient à voix haute de ces sauvages avec leurs coupes de diable. La voix mielleuse d’Elvis emplit l’air avec une sorte de force tendre, magique et douce…Une bonne vieille chanson, comme se plaise à commenter certains. Cette si belle mélopée, m’octroya de douloureuses et amères larmes que ma personnalité de fillette impulsive se refusait d’accepter. Je redevenais en un instant la gamine en larmes qui assistait terrifiés aux violences conjugales de mon père contre ma mère…Cet homme aux yeux clairs et à la chevelure de jais, aux airs d’Apollon…Cet homme auquel je ressemble comme deux gouttes d’eau …Ces longues journées ou ma mère se retranchait dans une chambre à part, baissant les stores, avant de noyer ses pleurs et ses douleurs dans le sommeil ou dans l’alcool. Je suis la fille de Tatiana Porizkova, une des effigies des marques Victoria’s Secret, Vogue et Cover Girl. Naissant après un an d’idylle avec mon « cher » Père, Chace Crowford Lincoln, producteur de renom qui tourne essentiellement des films a grands budgets qui furent essentiellement la cause de sa descente aux enfers. Après une œuvre littéralement lacérait, bafouer, réduite en morceaux par les critiques, mon paternel se réfugia dans l’alcool. Avant de sombrer dans la violence s’emportant pour un oui ou pour un nom. J’avais a cette époque-ci 4 années, nous venions d’emménager a Long Beach une ville côtière a 80 Kilomètres de Sydney, dans une demeure somptueuse mais théâtre des cris et pleurs de ma mère joints aux insultes et coups de mon géniteur. Je n’ai que de très vagues souvenirs concernant cette époque. Je me rappelle juste le soir ou a bout de voir cela j’ai appeler le numéro de la police que ma mère m’a fait apprendre par-cœur sans doute en prévention de ce jour. Et depuis je n’ai plus jamais revue mon père..Et pour cause, il se devait de ne pas nous approcher a moins de 500 m pendant plus de 8 ans. Et ce d’après le verdict de la cour suprême. Mais je me dois d’accorder une chose a cet homme là…Il fût avant tout ceci un père exemplaire…Dont les bons moments restent étrangement encrés dans mon esprit comme une preuve de sa part « Je suis et je serais cet homme là. Malgré tout ce que tu as vu ». A la fin de tous ceci, séparé de mon père et élevé par une mère en pleine dépression qui se forçait néanmoins a reprendre place sur les podiums de cet univers glamour qui m’a entouré pendant un bon bout de temps, chouchou des maquilleuses qui manquer de croquer mes joues joufflues et me poudrer de milles et une façon. J’avais beau être ainsi traitée comme une princesse. Quelque part je ressentais un manque. Le mannequin qu’incarnait Tatiana était bien trop pris par son travail et ses conquêtes d’un soir. Je le savais, sans le comprendre a cet âge là candide et naive. D’où la raison de mes journées auprès de Tante Jess’ ou Jessie. Une cousine éloignée qui a était a mes yeux ma véritable mère… Bref’ Si je vous ai donné si peu d’informations, ces doctes expliquassions passagères et vagues. C’est bien a cause du fait que ma plume est bien trop fébrile, mes yeux bien trop emplis de larmes…Et ma cigarette bientôt finie…Comprenez-moi, je ne puis trop m’étaler sur cette sombre et brumeuse partie de mon histoire pour tant et tant de raisons…Car il m’est impossible de retranscrire avec fidélité, la douleur que m’inspirait les hurlements de « Maman » et la violence de…de…cet homme. Que pourrais-je faire dîtes le moi ? Une Gosse tétanisée, incapable de bouger ne serait-ce le petit doigt…Putain…Voilà que je parle a un cahier…J’ai trop forcé sur le vin ce soir….
La Voiture s’arrêtait, une porte s’ouvrit. Aidée par la main bienveillante de ma génitrice. Je me rendais en titubant vers le célèbre bar de plage « Acropolis » Accueillit par ma tante qui me serrait avec force et chaleur contre elle, au point ou je pris en pleine face son parfum musqué. Ce qui me value inexorablement de tousser longtemps, regardant les bocaux de bonbons, dont je m’amuse jusqu’à ce jour a réciter les prénoms. Une lueur de convoitise et de gourmandise dans les yeux. «taches de sin et colibris, berlingots et bâtons de réglisses, guimauve et mélisse et dragées fourrées, Mmh non merci pas de chèvrefeuille ! » Je riais de bon cœur. En me hissant sur le bar. Lisant légèrement interloqué les étiquettes de liqueurs dont les formes et odeurs m’étaient déjà familières, malgré ma candeur.
« Mon Ange ! Viens dire Au revoir a Maman ! » Sautant de mon perchoir, j’accourus vers les deux silhouettes qui m’attendaient. « Tu sais maman reviendra très vite…Très vite…Pleures pas mon ange…Tu vas me manquer.. » Murmura-t-elle en me prenant dans ses bras…Je ne savais pas qu’a cet instant là, serait le dernier jour ou j’apercevrais cette douce femme, la dernière fois que ses bras m’envelopper…La dernière fois que je voyais son visage, son sourire…Parfois je me dis que ceci est une odieuse façon d’abandonner son enfant, lui faisant croire un retour imminent alors qu’il ne fût rien. Les Adieux fait, le mannequin se redressa embrassant une dernière fois sa parente, après m’avoir tendu un petit paquet emballée. D’un pas aérien elle sortit de ma vie…par cette porte aux délicates boiseries. Je me demandais même comment se fait-il que le soleil était encore présent…Que l’océan avait toujours cette délicate teinte Cæruléum s’entrechoquant à une palette bleu paon et bondi. Dans un dernier élan, de peine j’accourus au dehors me précipitant vers ma tendre et chère, m’accrochant en larmes a ses jambes en criant.
« MAMAN ! NE M’OUBLIE PAS ! » Chapitre 2 : Yohan :
Los Angeles, Californie : (1993-1998)
« Des lèvres rouges comme le sang…Des cheveux de jais, une peau blanche comme la neige de décembre…Tout comme toi » « Tu sais très bien que je n’aime pas Blanche Neige ! Apportes-moi un One Piece !»
Eh oui, depuis que je ne suis pas plus grande que trois pommes. J’ai perdue foie en les « Ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps ». Chose qui faisait rire ma Tante Jess’ mais qui l’obstinait a me lire les classiques que chaque fillettes rêvent de vivre en réalité. Néanmoins je dois avouer que le raisonnement n’est guère idiot, car ceci m’aide à m’endormir rapidement tant les contes m’ennuient. Nous avons emménagé a Los Angeles, Quelques mois a peine après l’abandon de ma maternelle. Installé dans un appartement a l’étage d’une boite de nuit particulièrement prisé par les adolescents, en raison de sa proximité des plages californiennes dans lesquelles j’ai écoulé la plus part de mon temps libre….Si Paris et l’Italie sont le berceau du romantisme…Je les contredirais…Los Angeles, est celle qui a su fais battre mon cœur d’un amour d’une candeur et d’une pureté qui sied au garçonnet dont j’étais éprise.
* * *
28 Septembre : (Extrait Journal Intime) (Le Niveau d’écriture a était volontairement rabaisser pour se rapprocher de celui d’une enfant, alors attendez vous a des répétitions/un langage familier/Quelques fautes –notamment la négation « J’ai pas » au lieu de « Je n’ai pas » etc)
« Tu verras, tu vas te plaire a tas nouvelle école. » Pourquoi est-ce que les adultes se sent-ils obliger de répéter ce même discours TOUS le temps ? Personnellement je ne l’ai jamais compris. Peut-être que le jour ou j’aurais a mon tour des enfants je trouverais la réponse ! Main dans la main, j’entrais chaperonnée par ma « Tante » dans ma future école. Bizarrement je me sentais déjà mal…Pourquoi les enfants me lançaient des regards méchants ? Je suis pas vilaine pourtant…Et J’ai rien fais…Pourquoi est-ce qu’ils sont pas gentil avec moi…Je voulais juste jouer…. Puisque c’est comme ça, je vais m’amuser sans eux ! Dans un petit coin de la cour, je me suis mise a faire des origami de papiers. C’est Jessie qui m’a appris a en faire, je trouve ça mignon. Et puis je peux faire un mini-théâtre chinois comme celui que j’ai vu une fois avec maman. L’oie c’est Xu-yang ! Le Chien c’est Li-yang ! Et le cygne c’est Mulan parce-que c’est une de mes princesses disneys préféré ! Et que le plus beau porte son nom. « C’est alors que Maître Li-Yang se mit a aboyer… Oh non ! » Je n’aimais pas l’autumne, y’avait trop de vent et mes Origamis sont partis par-dessus le grillage, j’ai bien essayé de les prendre. Mais j’étais trop petite…Pff ! Non je ne boude pas ! Je veux juste rester dans mon coin ! Depuis toujours j’ai jamais aimé être seule…Même si je le montre pas, j’ai besoin de quelqu’un près de moi. Surtout si je n’ai rien à faire…Pourquoi personne veut jouer avec moi…Tu sais Maman, je suis sage comme promis…Mais personne ne m’aime ici…J’espère que tu reviendras bientôt…Je les regarde s’amuser et eux ils me narguent…Pourtant j’ai rien fais je te le jure…
Finalement, je ne suis pas toute seule. Il y’a un petit garçon qui s’est assis pas loin de moi. Il est très beau…J’aime bien ses cheveux blonds et ses yeux verts…On dirait un prince…Et puis sa peau est comme le miel au soleil. Il a l’air gentil…et mignon a jouer avec ses camions. Timidement je m’approchais un peu, tirant sur les plis de ma petite jupe en lui faisant un « coucou » de la main. Et il me répondit par le même signe avec un sourire, qui me fit rosir…Vraiment, il est gentil…Pas comme les autres ! Alors que j’essayais de trouver a moyen de lui parler sans paraître idiote. Il se mit a manger son goûter, qu’il fit tomber malencontreusement. Trouvant là un prétexte je pris mon courage a deux mains comme le dis Tatie, et je suis allé le voir tendant les joues toutes rouge (Je le sais parce-que je n’arrivais pas a le regarder dans les yeux…>//<) « Si tu veux…On peut partager mes Cookies…C’est moi qui les ai fait… » « D’accord mais a moitié-moitié » Je souris grandement, joyeuse de parler a quelqu’un. D’ailleurs la conversation a continuer et j’ai découvert qu’On à plein de points communs, et lui au moins ce n’est pas un vilain Macho tout gras pas beau comme ceux de CE2 qui sont venus nous harceler. Mais j’ai utilisé la technique de Tatie et j’ai sauvé mon Prince ! Oups >///< Mais euuh ! Faut pas croire que je suis amoureuse ! Je le connais à peine ._. Et je t’ai pas dis Journal ! Il S’appelle Yohan Anderson Mat’Connor, c’est long comme prénom mais sa prouve que j’avais raison c’est vraiment un Prince ! En plus je dois t’avouer quelque chose Maman, avec Yohan je suis toujours heureuse. Et dans ses bras tous me parait plus coloré et gai. Je n’ai jamais autant ris qu’avec lui. Et puis, il cède a tous mes caprices. C’est bizarre ça…Je me demande aussi pourquoi il rougit si facilement. Mais bon c’est mignon donc je lui pardonne ! Après tout c’est MON Yohan !
* * *
24 Décembre :
Autant que je me souvienne, j’ai toujours aimé les couleurs, les teintes, les dessins, les variations. C’était beau cette assemblage bariolé…Il y’avait du rouge, du bleu…Oh du pourpre ! Même du jaune et du orange citrouille…Il faisait frais, et le ciel était dégagé. En bas, le fameux « We Wish You a Merry Christmas » était chanté par des enfants de cœur, qui tenaient des cierges de tailles impressionnantes. Assise sur la terrasse sous une couverture aux côtés de Yohan, un petit sapin de noel artificiel argentée en face de nous. Nous attendions main dans la main, le final du feu d’artifice des douzes coups de minuit. Dommage Maman que tu ne sois pas là, on aurait passé un beau noel ! Cette année là, exclusivement Tante Jess’ m’a laisser veiller aux côtés de Yohan, qui passe les vacances avec moi. Le dîner était très bon, on s’est régalé ! D’ailleurs on a même volé quelques part de buche en plus, après que Jess’ soit descendit a la boite de nuit. A cause de la fête. Nous on est partis s’installer, bien au chaud l’un contre l’autre.
« Yohan…Je vais peut-être dormir…Donc tiens… » Murmurais-je d’une voix nouée, plissant mes lèvres en rougissant pour aucune raison apparante. « Que-ce que c’eeeeeest ? » Dit-il en agitant la petite boite. « Ouvres Baka ! » Alors que ses petits doigt fins, s’acharnaient à retirer le papier cadeau. Moi je me contentais d’observe son visage heureux…C’était un sentiment étrange pour moi, car on m’a toujours dis que je suis égoïste…Pourtant Mon Prince…C’est la seule personne que je veux voir heureuse jusqu’à la fin de ma vie. Je veux toujours toujours le voir sourire. Car il est tellement plus beau ainsi…Et que comme ça je sais qu’il n’est pas triste. Mon cadeau ? C’est un collier en argent, avec une plaque ou y’avait écrit H&Y. Sur le dos J’ai fais graver aidé de Derek « Je serais toujours près de toi, je veillerais toujours sur toi. Je t’aimerais toujours. » Cela peut paraître béta mais…C’est la vérité. Yohan je l’aime plus que tout au monde et qu’importe ce qu’on pensera ! Nin ! Et puis Comme ça…Même si on est séparé. Je sais qu’il aura toujours une part de moi avec lui…. « Oh regardes le bouquet final ! » Criai-je en pointant le ciel, ou des étincelles jaillirent explosant en milles couleurs, C’était si beau. Occupé à regarder le feu d’artifice je n’ai jamais su, si mon cadeau lui a plut. Car trop fatigué je m’étais endormie contre lui sans faire exprès. Mais je suis sur d’avoir entendu cette phrase.
« Merci…Ma Princesse. » * * * Chapitre 3 : (1998-2012) « Living Young, Wild and Free »
« Joyeux anniversaire Harley »
Sur un petit Cookie au chocolat, grossièrement fais et bourrée de pépites. J’avais cloué une petite bougie bleue. Agenouillée dans l’obscurité de ma chambre froide et dépourvue de couleur ou de joie. Je souriais essayant de me faire croire que ce qui s’est passé n’ai rien…Cette année au lieu de « vous » avoir près de moi. J’ai eu une montagne de cadeaux…Ce n’était pas mes gouts, c’était le stéréotype d’une fillette riche et pourrie gâtée. A la place de chant et de rire, une ligne calme et silencieuse de domestiques. Et une lettre écrite par la main de l’attaché de presse de mon père qui disait simplement « Désolé. Je suis occupé. Bon anniversaire. ». Déglutissant faiblement je pris le gâteau de fortune et le découpait en petite part égale. Disposant une en face de l’ours en peluche que m’a offert mon « Prince » et une autre au lapin tendait gentiment une carotte que m’a offert en larmes ma tante lors de mon départ. Avec un nouvel sourire je récitais la chanson que m’a apprise mon ami de toujours et pour laquelle je me suis pris un soufflet sur l’oreille.. « Joyeux Anniversaire, nos vœux les plus sincères, que ces quelques fleurs, t’apportent le bonheur, que l’année entière…te sois….Douce…et légère…Et..qu’a l’infini…nous…nous…soyons tous…réunis » Tremblante je mangeais ma pâtisserie en sentant les larmes coulaient sur mes joues auparavant humides …C’était bon et chaud…Tu sais Tatie, sa avait les mêmes gouts que les notre…Yohan aurait était content de les manger, il en raffole…Je vous aurais envoyer une boite pleine. Mais mes collis ne sont jamais partis…Ni mais lettrent…Ils étaient amassés dans une armoire en bas…Je l’ai découvert il y’a une semaine de cela…Mais bon…Ici, vous savez personne ne s’est rappeler mon anniversaire…Ils l’ont su, car ils l’ont lu sur mon calendrier tôt le matin…Et Papa ne s’en est souvenu que parce-que le maître d’hôtel l’a appelé…Mais bon ! Au moins j’ai une partie de vous ici…Alors Je suis moins seule… Un petit coup de vent survint, éteignant brutalement ma bougie que je m’apprêtais a souffler. Plissant mes lèves, scrutant les ombres dansantes dans la pièce si flegmatique qui me servait de logis. Un dernier sourire à travers mes larmes en allant m’allonger sous mes couvertures serrant mes deux nounours que j’ai cité…Déposant mes lèvres sur leurs museau. J’ai encore une fois…Malgré que cela paraisse absurde aux yeux de tous.
« Joyeux Anniversaire Harley… »
* * *
(2002)
« Mademoiselle a-t-elle passer une bonne journée ? » « Je vais dans ma chambre. Inutile de m’appeler pour dîner. »
J’ai quitté Los Angeles pour Rome, j’ai quitté Yohan pour l’homme que je considérais comme l’un des plus mauvais qui puisse avoir. J’ai quitté ma Tante Jessie et son doux foyer, pour une maison froid et silencieuse dépourvue de vie. Sourires Calibrés et Famille bourgeoise. De l’argent a flot…A quoi bon ? J’aurais préférés mes cookies fait maisons complètement hétérogène que ces pâtisseries françaises, calculés au milligramme de sucre près. J’aurais préféré prendre les t-shirt de ma tante et m’en affubler en Robe Loose, que de me faire assaillir par ces tailleurs qui arborent des sourires d’une hypocrisie qui me donne une envie « gerber ». Dis-moi Yohan, est-ce que tu te souviens encore de moi ? Est-ce que tu as toujours mon pendentif ? Sa fais 4 ans quand s’est pas vu…Qu’on s’est pas parler…Je t’ai chercher sur les réseaux sociaux mais je ne t’ai pas trouver…Tu dois surement avoir du succès maintenant. Je me demande a quoi tu ressembles…Et toi Jess’ comment vas le bar ? Et ma chambre ? Est-ce que tu l’as laissé telle qu’elle est ou tu l’as changé ? Dieu sait combien vous me manquez…J’envoie des lettres qui ne sont jamais expédiés. « Père » veut me couper tous liens avec vous…Décidément…Il n’est même pas venu m’accueillir…Je n’ai pas vu son visage jusqu’à ce jour, vous trouvez ça normal ?
Ici, je ne suis que très solitaire. Je n’ai aucun ami en particulier, l’atmosphère est toujours aussi morne…Mais bon je m’y habitude…Néanmoins, je me suis trouvé une passion. La Peinture, Yohan le sait. J’ai toujours aimé dessiner, mais là j’ai réussi a me perfectionner en suivant des cours a l’association de beaux arts, en cachette bien-entendu car « Père » aurait dis « Ceci est une perte de temps, nin et nin. » Décidément, si j’étais majeure je pense que je sauterais dans une chalute pour vous rejoindre…Je suis l’une des lauréats de ma classe et j’en suis assez fière. Néanmoins être isolé de tous ne m’enchante guère…Ah et nous avons encore déménagé. Depuis quelques semaines seulement nous résidons à Convent Garden a Londres. J’y est trouvé une occasion pour suivre des cours d’art dramatique à l’institut Shakespeare. Je me suis passionnément pour le théâtre et le cinéma, et s’y je réussis a y percer je reviendrais a L.A Vous voir. J’ai vraiment assez de cette vie…Mon unique désir…être avec vous, loin de tous cela…Cela m’est impossible a vivre..Au sens propre du terme…J’ai appris…que…que…Maman…est atteinte d’une tumeur au cerveau et que… (Le Reste des pages sont humides et l’encre s’est rependu, ce qui est devenu impossible a lire…Des Pleurs ?)
* * *
(2005-2007)
Pendant plus d’une année j’ai pris des cours intensifs a l’académie des beaux arts à Florence et à Paris, avant de me rendre a New-York. Mes différents diplomes, et mes excellents résultats dont je ne me vante autant que cela puisse laisser transparaître me permirent d’exposer a l’âge de 19 ans, 16 toiles de ma composition « Rêve d’enfants » ou je me suis essentiellement inspiré de moi-même…C’est sans doute cela qui a toucher le public et la critique, mais aussi qui m’a valu les félicitations et achats de plusieurs collectionneurs. J’ai réussi a amasser une somme d’argent phénoménal en moins de temps qu’il en faut pour le dire, et cette première victoire m’ouvrit tôt comparé a les autres compatriotes artistiques, les portes des salons, signatures, expositions. Ainsi qu’autres dîners. Quoique cette notion des faits, ne m’enchante guère, je ne sais pourquoi. J’ai toujours refusé les invitations. Et ce pour bien des raisons que je ne pourrais citer. C’est pour cela que je passais le plus clair de mon temps, chez Jérémy. Un mirifique musicien qui tente de devenir compositeur de musique de film. Et il a déjà décroché son premier contrat avec une production de Tim Burton, ce qui ne manqua pas de m’impressionner. Avec lui, j’ai appris le piano et la guitare, c’était un confident et une épaule sur laquelle on pouvait se reposer sans crainte…Enfin une seule celle de se recevoir de l’eau si on s’aviser de somnoler ! Mais…Car oui il y’a toujours eu un « mais » dans toute ma vie, une Némésie semble particulièrement m’en vouloir. Et ne cesse de me provoquer malheur…Et pourtant j’aime l’humour noir… C’était quelques jours avant noël, comme d’habitude depuis 3 ans, j’ai pris l’habitude de dîner chez Mon musicien favoris, occupé a décorer le sapin. Il est venu vers moi, moins jovial et gai que d’habitude. Me regardant dans les yeux, je n’aurais jamais penser qu’il aurait pu ainsi développer de tels sentiments…Car dans son élan d’affection il m’embrassait fougueusement…Je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer…C’était insoutenable…Pourquoi ?
« Désolé… » « Que-ce qu’il y’a ? » « Je…Je…ne peux pas…Je ne peux faire mine de t’aimer alors que je ne suis pas amoureuse de toi…Tu sais bien que j’ai renoncé a ça…Après… » « Harley c’est une histoire vieille de quinze ans…Tu dois voir autre chose… » « Jérémy, tu es mon meilleur ami…Pas autre chose…Comprend le…Je vais sortir… » « Harley… » « Oui ? » « …Je t’aime ne l’oubli pas… » « Je le sais idiot.. »
Quelques mois se sont écoulés depuis ceci, je ne le voyais plus, c’était assez terrible, car ça me remémorer ma séparation d’antan. Soupirant je me décidé enfin a aller lui rendre visite, je sais qu’il s’est mis a boire néanmoins d’où le principal but de ma visite lui faire entendre raison…C’était trop tard…Trop tard…Pourquoi ? Quel est ce fucking de don qui me permet de perdre ce que j’aime…Pourquoi tu t’es suicidé ? Pourquoi…Tu n’aurais pas du…Pas pour une fille comme moi…Non…Vraiment… (Ici un paragraphe entier est maculé de larmes.) « Allongé sur le parquet de la salle de bain, un léger sourire aux lèvres… Tandis qu’une douce musique animait l’atmosphère, sa main droite tailladé au niveau des veines laissait lire cette inscription « Sorry..But I Love You… »
* * *
(2012) Payphone New-York :
La Pluie, tombait silencieuse et rapide, telle une promesse longtemps. Adossé contre la surface vitreuse d’une cabinet téléphonique. Serrant entre mes doigts engourdis par le froid de novembre, un petit papier froissé ou était noté un numéro. Dégultissant légèrement, sentant mes lèvres bleuis frémir au rythme de ma respiration saccadé, qui m’octroyait la pénible impression de rater un battement. Devais-je le faire ? Devais-je vraiment revenir si subitement dans sa vie ? Après tout, je ne suis qu’une simple amie d’enfance…Il a du m’oublier… Le sifflement stridents des voitures et taxi orpiment circulant en une activité bourdonnante, animant de sa tonalité lourde, cette fin de journée pluvieuse. Prenant mo courage a deux mains, je m’hasardait a composer cette suite de chiffres si chérit et désirée. Miracle, sa sonnait ! Tiens…Que-ce que…Pourquoi je pleurs ? Pourquoi je souris autant ? Je…Je peux pas m’en empêcher. Entreouvrant doucement mes lèvres teintés de vermeils, grossièrement entaillés a force de les mordre a sang, pendant toute l’heure ou j’occupais cette cabine, afin de me décider a oui ou non l’appeler…
Cela sonnait dans le vide, je l’ai tôt compris. Il me restait juste a espérer que je pouvais lui laisser un message vocale…Espoir qui ne fût pas vain en fin de compte, car délicate et mélodieuse, forte et grave…Sa voix s’écoulait le long des fils jusqu’à mon oreille…Elle avait changé…Elle ne l’aurait sans doute pas reconnue…Ce n’était plus la voix d’un bambin mais d’un homme…
« HEY TOI ! AVANT DE ME LAISSER UN MESSAGE, ES-TU SÛR QUE TU NE T'ES PAS TROMPÉ DE NUMÉRO ? LÀ TU ES SUR LA MESSAGERIE DE YOHAN ! LAISSE UN MESSAGE APRÈS LE BIP ... BIIIIIIIIIIP ! »
Plus de cinq minutes de silence, j’ai finalement eu l’audace de parler enfin. « Hey…Ca va… ?Ca fais un bail non… ? C’est Harley…Euh…Je…Je sais pas si…si tu te rappelles de moi…C’est vrai que 15 ans se sont écoulés depuis…Mais j’ai pas arrêter de penser a toi… » Ma voix se nouer par l’émotion, je pleurais tant et plus en levant mon visage vers le ciel. Qui enfilait peu a peu son manteau de velours nocturne. « Putain…Je pleurs comme une gamine…J’ai vu que tu as reçu ton rêve…Te voir aux matchs, te donner avec autant de passion…Sa me rend heureuse…Je sais pas pourquoi…Sinon…Merde…T’imagines 15 ans qu’on s’est pas vu…Et je trouve rien a dire… » C’était si difficile de parler, je n’arrêtais pas de pleurer, glissant le long de la vitre jusqu’à tombe par-terre, je gardais l’appareil coller a mon oreille. La Pluie battait, je frissonnais de froid, en me blotissant dans ma veste en cuir perfecto, murmurant une dernière, avant que le taux de communication que j’ai payé ne cesse.
« … I'm at a payphone trying to call home All of my change I spent on you Where have the times gone Baby it's all wrong, where are the plans we made for two?
If happy ever after did exist I would still be holding you like this All these fairytales are full of shit One more fucking love song I'll be sick … Je dégultit encore une fois, en soupirant longuement caressant la photographie de
Now…I’m At…a…Payphone…. »
(Le journal prend brusquement fin ici, plusieur pages sont déchirés, d’autres brûlés…D’autres encore maculé au point que l’écriture devint illisible…Plusieurs détails ont étaient littéralement effaces…Personne ne connait autre chose que ce que j’ai pu vous procurer…Moi humble narrateur.)
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Brownie 83 ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En cherchant sur le net 8D ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non uOu ★Présence sur le forum → Vacances H24 période scolaire sa dépend u_u ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé 8D
exemple de RP:
→
« La guerre est la multiplication du crime parfait. » de Robert Sabatier
Un chambard joint à un brouhaha assourdissant emplissait la vaste pièce aux charpentes de bois huilées et aux bancs serrés. Véritable marrée humaine, dont les individus la composant échangeaient leurs propos a voix haute ou basses suivant les idées qu’ils débitaient, craignant sans doute quelques oreilles indiscrètes, ou des exclamations d’indignation venant de la part d’autrui. Dans les coins, certains avocats ou personnalités se retrouvaient avec des sourires, mimant une quelconque joie de revoir ces personnes dont ils furent bien aise de s’en être débarrassés. Au milieu, de cette cour ou Justice triomphe, règne pourtant dans l’ombre, le mépris et la haine longuement refoulée. Avanie pour ce lieu, qui semble depuis quelques années une sorte de théâtre tant les affaires qui y sont délibérées quelque peu tirer par les cheveux, tant elle n’exprimait que pure intérêt ou vengance. Soudainement, apparaissant dans son habillage andrinople digne d’un majestueux cardinal, sa perruque poudrée chauffée au fer blanc trônant pompeusement sur le haut de son crâne, l’air noble et sûr. Le Juge d’instruction Mr.Stewart gravit les quelques marches le séparant de son perchoir en bois d’acajou finement vernie. Provoquant aussitôt un calme et un silence digne d’une concession pieuse ou d’un couvent. Tous s’assirent au même instant, semblant même s’avoir donné le mot tant la synchronisation était parfaite, S’éclaircissant bruyamment la gorge, l’imminent personnage donna quelques coups distinct et sourd via son lourd marteau, avant de déclarer à voix haute.
« Bien, la Séance reprend, Que l’Accusation présente les preuves Inculpant Madame.De Pazzi’ . »
Sur ces mots, un personnage fluet au visage anguleux et arachnéen s’avança lentement, ajuste sa cravate bleue pétrole, en entamant un long discours poignant afin de toucher l’âme des jurés, rigides et solennels sur leurs chaises.
« Mesdames et Messieurs les jurés, nous sommes en ce lieu afin d’éclaircir une question capitale pour le bien-être de l’Etat de New-York, mais aussi pour celui de nos enfants et de toutes personnes étant chères à notre cœur. Nous travaillant ardemment, vouant notre existence à la paix et à la justice, hors vienne quelques personnes qui trouble cette harmonie de part leurs agissements, et parmi ces dîtes personnes. Miss.De Pazzi’ ici présente. »
Magistralement, dans un élan digne d’un dramaturge il désigna la silhouette fine et élancée, assise droite . Enveloppée d’une quiétude unique, et d’un sérieux exemplaire. Son tailleur d’un blanc céruse ponctuant admirablement l’exquis teint basané aux reflets halés légèrement cuivré rechaussant de la sorte ses subjuguant iris, d’un froid glacial qui fixait, probe l’assistance. Echangeant un chuchotement, avec son avocat ce dernier finit par céder en déposant une requête à voix haute à l’homme vêtu de vermeille, qui trancherait de l’issue de cette audience.
« Votre Honneur, mon client souhaite parler. » « Que Madame.De Pazzi’ nous fais parvenir ce qu’elle souhaite. » « Merci Votre Honneur. »
Quoique l’on puisse dire, l’amabilité et la courtoisie en société reste un mot d’ordre qui s’étend sur toutes les administrations et tout particulièrement en domaine de loi, ou tout n’est que pompeuse cérémonie ou discours et force de caractère permet de faire en sorte que le Crime paie…Il faut dire, que ce dernier profite bien à fort d’individus. D’où son existence de toujours.
Venant quitter sa chaise, en lissant les plis de sa courte jupe teinte lait, la jeune femme s’avança non loin du juchoir.
« Mesdames et Messieurs les jurés, Votre Honneur…Je Respecte ce que viens de dire le Maître. McFallen, mais je n’ai rien avoir avec ces personnes qui porte atteinte à l’ordre public, par-ailleurs aucune preuve n’a était présentée et ceci en l’occurrence montre l’infâme conspiration que l’on désire allouer à mon blason, je concède que l’on puisse débiter de telles inepties surtout l’on vous miroite un pot de vin alléchant. »
Une Exclamation sans non, se leva vague sonore imposante qui déclencha acrimonie et stupeur. Véritable cacophonie, agaçant fortement le juge Stewart qui martela furieusement la surface lisse et boiseuse.
« Madame De Pazzi’…Avez-vous des preuves de ce que vous avancez ? »
« Parfaitement, j’ai là un rapport de l’un de mes collègues travaillant en ce qui concerne mon image médiatique. Et ces photographies, ainsi qu’enregistrement vidéo de haute définition, nous prouve que le Respecté Maître. McFallen, semble s’être laissé aller au profit d’une somme, je cite égalant les 4 000 000 de la part de celui qui désire bafouer mon nom dans la boue, Sir.Falcone….Je ne suis pas juge mais n’est-ce point là de la pure mise en scène, afin de s’accaparer mes biens ? »
Elle ponctua sa phrase par un sourire, tandis que les personnes présentes se regardaient entre eux, cherchant une réponse au travers d’autrui, et ce de l’accusation commençaient à suer à grosses gouttes, l’un d’eux même eut l’audace de pouvoir se glisser et rasait le sol jusqu’à s’échappait de la pièce. Même celui qui se devait de défendre sa cliente semble surpris qu’elle détienne de telles informations.
«Je Continue…Aucune détention de preuve, un procès qu’on eut pourtant assemblé de toutes pièces à ce à cause de la regrettable affaire en l’an 2009 concernant une sorte d’inculpation dans un trafique d’alcool de Chicago…Et je précise, que cela aurait était impossible car les femmes ne sont pas admises au sein de ce type de réseau. Et que Ma Famille reste d’ascendance noble et qu’une pareille pensée serait un outrage pour nos ancêtres. McFallen ici présent à délibérément user de son excellente réputation pour valoir un procès qui s’éternise depuis plus d’un an je le rappelle encore une fois ,et que l’ombre d’une attestation ne fût présentée à la cour depuis. En somme, j’ai la vague impression que ce lieu occulte penche vers la corruption si je puis dire, fort heureusement messieurs et mesdames les jurés, votre honneur et certains avocats d’une noble personnalité sont là pour remettre l’Ordre. Alors, je vous le demande, devons-nous encore dépenser des sommes astronomiques pour une histoire sans queue ni tête ? » Digne et fière elle présenta le dossier qu’elle détenait aux mains propres du juge et ‘en alla reprendre sa place sous l’œil noir de Don.Falcone et son avocat. Qui échangeant des messes basses alarmantes.
« L’Accusation a-t-elle quelque chose à ajouté ? » « Aucune votre honneur. » « La Défense a-t-elle quelque chose à ajouté ? » « Aucune Votre honneur » « Sur-ce la séance est levée, les jurés délibérons. Ces nouveaux éléments de preuve, vont sans doute mettre à terme à ce procès. » 1 Heure Plus Tard :
Encore cette éternelle pièce aux délicates boiseries, cette fois-ci sans l’ombre d’un chahut ou d’une quelconque émotion qui mènerais à un charivari, les membres composant l’assistance ainsi que les deux parties ennemis, se tenaient debout le visage cérémonieux. Un coup de marteau, une voix s’élève. « Madame Marcangella Apollonia De Pazzi’,a était par la présente reconnue….NON COUPABLE ! … » Le reste de ses paroles se noya en un torrent de félicitations, ou la sicilienne se contenta de sourire faiblement à ce qui se pressait déjà pour lui serrer la main, sous le tambourinement bruyant que produisait le juge. « Non Coupable, du crime d’inculpation dans une sorte de pseudo-réseau criminelle et de tentatives d’atteinte à l’Ordre Public, Monsieur Giuseppe Falcone devrait faire en sorte que toute préjudice à l’image médiatique de Madame. De Pazzi’ soit lavé en plus d’un versement de 80 000 000 Euros je cite, pour dommage et intérêts. L’Audience est levée ! »
Et s’est ainsi que tous s’ébranlâmes, prenant le bras de son éternel Ami Alejandro, encadré de part son avocat et son représentant. Se glissant hors du Palais de Justice. Malgré la rafale de personnages qui semblaient vouloir sauter dessus. Par-ailleurs elle ne daigna de communiquez qu’une seule phrase. « Que nul ne s’avise de salir mon nom, de bafouer mon blason Car cruel sera son chatiment.»
Le code règlement:
→ code validé par la rousse
Dernière édition par Harley A. Lincoln le Ven 10 Aoû - 21:18, édité 15 fois
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 4:24
Bref, je te dis touut de suite ; je veux un lien bienvenuue & bonne chance pour ta présentation ! (& si mon post te gêne pour ta présentation hésite pas, j'vais supprimer )
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 4:26
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche :Callie: MEGAN FOX
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 4:46
Bienvenue parmi nous
Je te demanderais s'il te plait de mettre ton pseudo sous la forme Prénom P. Nom
Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 5:15
Merci <3 *Câlinou a Tous le monde =3* Et Effie je suis 100% d'accord pour le lien <3 Ah et j'ai mis mon nom comme me l'a demander l'admin 83
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 5:40
bienvenue jolie demoiselle.
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 10:27
Bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 12:04
Bienvenue, bombe atomique. (Grosse fane de Megan bonjour.)
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 12:51
Bienvenue !
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 13:02
Le point doit être après le B (:
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 13:25
Megan
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 16:53
bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Lun 30 Juil - 23:05
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Mar 31 Juil - 16:41
Merciiii <33
Irina Shayk et Olivia Wild *O* *Saute sur eux deux* Câlinouuuu
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Mar 31 Juil - 21:05
Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Mer 1 Aoû - 2:46
Bienvenue !
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Mer 1 Aoû - 21:40
Welcome Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Ven 3 Aoû - 22:21
Bienvenue
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Dim 5 Aoû - 20:09
Une australienne comme ma Aria. Bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Ven 10 Aoû - 0:14
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Ven 10 Aoû - 0:27
Merci tous le monde c'est adorable :brigitte:
Nyaaa tous le monde il est tout beau tout gentil ici
Je tiens a signaler que ma fiche est finie /o/ ( Et je n'en suis pas vraiment fière ._. Désolé pour l'histoire odieusement baclée, ainsi que que les fautes. J'écris la nuit et j'ai des migraines ces derniers temps, mais si c'est vraiment abuser. J'userais de Bon Patron *^* Donnez moi vos avis Ô Validés de ce fow" /o/)
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Ven 10 Aoû - 0:31
Si t'as fiche est terminée, merci de le signaler ici (:
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Ven 10 Aoû - 1:26
J'ai signalé ma Fiche /o/
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Ven 10 Aoû - 19:40
Je valide le code du règlement qui est bon
Ta fiche me semble bonne, mais avant la validation, il faudrait mettre un exemple de rp s'il te plait
Merci de reposter dans la section prévue à cet effet dès que la modification a été effectué
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley) Ven 10 Aoû - 21:20
Ah oui j'ai oublié de le mettre. Modèle de RP Mis 8D C'est celui d'un de mes perso's (Marcangella) Je t'en est parler hier <3
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Sujet: Re: Let me transcribe your soul through my drawing (Harley)
Let me transcribe your soul through my drawing (Harley)