Sujet: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Dim 29 Juil - 19:20
FEAT. Alexis Le Trash
Ryder Jezabel Taylor
22 ans → Né(e) à Albuquerque le 02/05/1990 →Mannequin célibataire → hétérosexuelle → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Rien ne vaut une liste pour tout dire , alors la voilà: Accro à l'alcool Accro à la drogue Accro aux fêtes qui dérapent Adore le sexe Se comporte comme un petit mec. Multiplie les conquêtes. Ne supporte pas qu'on la surnomme autre qu'R-J Possède quelques tatouages dont un "believe" sur un poignet. Possède un piercing à la narine droite. Fan de mode , mais adore les trucs un peu "différents".
★Quel est le caractère de ton personnage? → Ryder Jezabel Taylor , R-J pour les intimes , un nom bien masculin en somme. Vous devez vous dire que je dois être une véritable peste, doublée d’un garçon manqué n’est-ce pas ? Et bien vous ne vous trompez absolument pas. Je suis du genre à ne pas me prendre trop au sérieux et a accumulé les conquêtes lorsque j’ai décidé d’ajouter une ou deux têtes à mon tableau de chasse. J’aime bien regardé un match de baseball ou de basket, une bière et un paquet de chips à la main, avec des gars. Je n’ai pas peur de me comporter de manière plus ou moins salace. Tout comme je n’ai pas peur d’en venir aux mains avec quiconque me casserait trop les pieds. Bref, une fille bourrée de testostérone parfois.
Cependant, outre ce côté-là de ma personnalité, je reste une fille qui prend soin d’elle, qui se fait les ongles et qui aimes les vêtements et qui est douce et attentionnée, quoi ! Tout comme je reste un peu fleur bleue sur les bords et sensible. Et, comme une vraie, fille j’aime bien être une langue de vipère, être gênée quand je reçois un compliment de la part d’un garçon que j’apprécie plus que de coutume et qui n’est pas un coup d’un soir. J’aime les soirées pyjamas entre filles et aller chez le coiffeur. Pour le reste vous verrez bien si vous me croisez au détour d’une soirée ou d’un couloir.
Well... It's my story...
Le bruit des gouttes de pluie sur mon parapluie noir ne suffisait pas à calmer les soubresauts de mon cœur dû à chaque larme qui coulaient sur les joues de ma petite sœur, Stella. Perchée sur mes hauts escarpins noir, glissée dans un tailleur ébène stylisé année 50 et mes longs cheveux bleus remontés en chignon, voilà que j’enserrais les frêles de ma petite sœur et tenais la main tremblante de mon père. Mes larmes, elles, roulaient comme des perles sur mes joues. Je restais stoïque tandis que mes yeux suivaient les contours du cercueil qui nous faisait face. Nous enterrions notre mère, notre phare dans la nuit, notre épouse, celle qui avait fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui. J’écoutais distraitement les dires du pasteur, trop meurtrie par cette disparition soudaine. Je vagabondais ailleurs, dérivant du cercueil sur les gens qui pleuraient ma défunte mère. Ce n’était pas juste, ni pour ma sœur, ni pour mon père. Ils ne méritaient pas ça. Mais moi si. Je passais de visage en visage, de mine triste en mine triste, ailleurs … Nous nous trouvions au beau milieu du cimetière d’Albuquerque, sous la pluie battante. Quel cliché ! Quand, appuyé au loin contre un arbre, je remarquais le souvenir de l’amour de ma vie… Mais avant de vous raconter tout ça , il faut que vous sachiez qui je suis et pourquoi je suis celle que je suis aujourd’hui.
Il y a maintenant un peu plus de vingt-deux ans, ma mère et mon père, des gens formidables, firent une fécondation in vitro dans le but d’obtenir un enfant. Depuis des années ils essayaient encore et encore, sans jamais perdre espoir, de procréer pour concrétiser leur mariage et leur couple. Mais ils n’y arrivaient pas. C’est alors qu’ils décidèrent de tenter de coup pour le coup en se tournant vers les fivs, essayant de nombreux échecs. De moins, jusqu’à ce jour, où il n’y eut ni perte de sang, ni douleur atroce dans le bas ventre. Ma mère, retrouvant un peu d’espoir, alla chez son médecin, accompagnée de mon père, sans se douter de la joie qui allait l’enivrer quand elle verrait mon petit cœur battre dans le moniteur. Et quelle joie d’ailleurs ! Ils n’en revenaient pas. Ils avaient réussis, ils allaient être enfin parents, la guerre était presque gagnée. Tout ça n’avait pas servi à rien , les piqures, les tests en tous genre , les nombreux sacrifices… Tout était parti en fumée à l’instant même où il avait vu l’ébauche de mon être, moi … La grossesse cependant ne s’annonçait clairement pas dans les meilleures conditions mais ma mère fit tout pour ne pas me perdre, exécutant les ordres des médecins sans jamais rechigné. Et très vite, mes premiers cris résonnèrent au creux de ses oreilles. J’étais là, enfin. Ils avaient réussis. Je fus une enfant très choyée durant les premiers mois de ma vie. Ils n’avaient d’yeux que pour moi. Ma mère décida même d’abandonné job et obligations en tout genre pour ne pas rater une seule minutes de mes premiers pas dans la vie. Pour mes premiers pas elle fut là. Mes premiers mots furent pour elle. Elle fut la première dans toutes les grandes étapes de mon début de vie. Mon père, lui, bien qu’il ne vienne qu’en seconde position, rayonnait de bonheur. Il avait un enfant, une famille, un boulot qu’il adorait, une situation confortable mais pas trop, bref, tout ce dont il avait toujours rêvé. Et ce qui le rendait le plus heureux, c’était l’inlassable sourire qui illuminait le visage de son épouse, son âme sœur, ma mère. Mais les enfants grandissent trop vite et très vite ma mère eut envie d’un second enfant. J’allais déjà à l’école en ce temps-là et ne comprenais pas tout encore. J’étais une enfant. Ils essayaient naturellement, pensant, que le problème serrait régler comme c’était arriver à d’autres couples. Mais au bout de deux ans, rien ne venait alors ils empruntèrent de nouveau le chemin qu’ils avaient pris pour mois et ce n’est qu’au bout d’une interminable autre année qu’un nouveau miracle se produisit : ma mère était de nouveau enceinte. J’avais 6 ans et je fus la plus heureuse des petites filles à l’idée d’avoir un petit frère ou une petite sœur. A cette époque, j’étais calme et très douce, adorable et ouverte. Je ne pestais jamais, ne réclamais jamais rien, m’amusant de ce que j’avais mais déjà, mon goût pour les vêtements commençait à se faire sentir. Et puis Stella vint au monde et la jalousie commença à monter en moi. Petit à petit, je changeais. Au fur et à mesure des années, je devenais râleuse, garçon manqué et impatiente. Tandis que ma sœur incarnait la petite fille modèle, parfaite en tout point. Au collège, je m’empirais encore et encore, jusqu’à développer une anorexie. Turbulente et sauvage, je n’étais plus la petite fille calme que je fus à un moment, au grand dam de mes parents et de ma mère surtout. Mais je me disais qu’il y avait toujours ma sœur pour me rattraper. De plus, je n’étais ni une mauvaise, ni une bonne élève, me contentant uniquement de la moyenne. Cependant, je passais quand même au lycée et c’est au lycée que tout devint catastrophique. J’étais comme un garçon. Je collectionnais les conquêtes comme je collectionnais les cartes de baseball. Je ne trainais qu’avec des garçons, ne m’intéressait qu’à des trucs masculin. Mais gardait un certain lien avec ma féminité à travers la mode. Et puis il y avait les fêtes, la drogue, l’alcool, les cigarettes et le sexe. Ce qui n’améliorait visiblement pas mes notes. Mais grâce c’est grâce à cet état d’esprit que je l’ai connu : Ethan Nathanaël Black. Il était fantastique, hypnotique, insaisissable. Il était lui dans toute sa splendeur. Le mec que toutes les filles de mon lycée voulaient. Le mec que je n’aurais jamais. Pourtant, il s’intéressa à moi et nous entrâmes dans un jeu de chat et de la souris. Et puis, lors d’une soirée, trop alcoolisée, trop droguée, trop déphasée avec moi-même, nous finîmes tous les deux nus au beau milieu d’un terrain de football à regarder le ciel. Depuis ce soir-là, nous fûmes inséparables. Nos parents respectifs tentèrent de nous séparer, de nous faire aller mieux. Ils réussirent et Je finis par partir en cure de désintox et contre les troubles alimentaires, enchainant les heures de psy. Il était tout pour moi, mon rayon de soleil, mon oxygène, mon eau, ma nourriture … tout. Lorsque je sortis de cure, c’était déjà trop tard. Il était parti, emporté par le mal dont on m’avait soigné : la drogue. Notre histoire aura, en tout, durée deux ans … et sa disparition eut pour résultats une dépression que je soignais à ma façon. Enchainant les hommes et les heures de bachotages. Mais cela ne servit à rien … je réussis le lycée et entrait, par on ne savait quel moyen, et décidais de devenir Mannequin à New-York. Là-bas, je décidais de me consacrer uniquement à la mode et d’arrêter les conneries. Cela dura deux ans à nouveau, puis les médecins décelèrent un cancer à ma mère, un cancer du côlon. Pendant deux ans, je fis les allers-retours de New York au chevet de ma mère, reprenant les conneries de plus belles afin d’oublier la peur que me procurait l’idée de sa perte… Le cancer eut cependant raison d’elle au bout de trois ans.
C’est pourquoi, je suis là, sous la pluie rarissime d’Albuquerque à voir le fantôme de l’homme de ma vie. J’avais perdu les deux personnes qui avaient compté énormément à mon cœur, de façon trop prématuré et j’avais honte, honte, de faire souffrir les deux personnes qu’il me restait à cause de mon comportement. Mais on ne change jamais.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Camille/Snake*/19 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Top site obsession ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → au moins 2/7 J et aprés quelques passages plus ou moins furtifs en raison de mes études . ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
→ Après nous être « tapé » dessus pendant une bonne dizaine de minutes comme deux louveteaux s’amusant nous finîmes enfin par nous mettre en jeu. Nous riions comme des enfants multipliant les chutes pour récupérer des balles impossibles, multipliant aussi les vannes à deux balles pour nous amuser. J’étais bien avec eux, tellement bien que je me laissais aller dans des blagues plus pourries les unes que les autres et dans des taquineries que seuls des amis d’enfance auraient pu réellement apprécier. C’était d’ailleurs marrant de voir comment ils réagissaient en retour. Si plus tôt j’avais été d’humeur morose maintenant c’était tout le contraire. Riant et souriant à tout va, je ne cessais de sauter à droite à gauche pour récupérer le ballon. Puis au bout d’une petite quinzaine de minutes je décidais de faire une pause comme mes collègues de jeu. Profitant de ce petit moment d’accalmie, je jetais un regard en direction du rouquin. Je vis qu’ils construisaient des rempart tout autour du château de poussière comme pour pallier une possible nouvelle rencontre avec une paire de pied maladroit ou ailleurs. Cette pensée me fit sourire. Le soleil tapait de plus en plus fort alors qu’il continuait sa course dans le ciel et la chaleur quant à elle continuait de grimper. Ah les joies de la côte ouest en pleine été. Je me rappelle qu’on venait en vacances ici lorsque ma mère était encore en vie et c’est d’ailleurs pour ça qu’elle s’était mise à rêver de pouvoir vivre ici. Maintenant, mon père et ma sœur y vivaient, elle aurait été heureuse. Secouant légèrement la tête pour chasser cette pensée, je jetais un nouveau regard autour de moi tandis que j’enfouissais mes pieds dans le sable chaud. Je regardais deux enfants qui se couraient après près des vagues, un petit couple qui se baladait les pieds dans l’eau et main dans la main puis je recroiser la scène du père et de la fille, m’attardant plus sur le père que sur la fille. Il était vraiment pas mal, vraiment. Certes, roux, mais ça lui allait bien et ça lui donnait un charme fou. Il devait certainement avoir un succès fou avec les nanas ou il devait même déjà être casé… ou pas. Je continuais de le dévisager sans vergogne, remarquant même les quelques regards qu’il lançait sur le groupe avec lequel j’étais. Je souris en coin et me détournais vers Ian, un grand blond sculptural et surfeur, qui s’approchait de moi un grand sourire aux lèvres.
-Aller fini la pose R-J, si tu continu tu vas finir par t’enraciner.
Il me fit sourire de plus belle et attrapant la main qu’il me tendait, je m’en servis pour me remettre sur mes pieds et tout en m’époussetant, je lui répondis sur un ton taquin :
-T’es con Ian.
Son rire ultra sexy résonna à mes oreilles et sans qu’il ne me laisse le temps de faire quoique ce soit il me chargea sur son épaule gauche en mode sac à patate et se dirigea au petit trop vers l’océan mouvementé. Morte de rire je n’essayai même pas de me débattre et nous finîmes tous deux dans l’eau en rigolant. Il tenta de me couler pour se venger de mon « t’es con ! » mais je fus plus rapide que lui et déguerpis sur la plage. Je courus aussi vite que le sable me le permit vers le reste du groupe mais c’était sans compter sur Ian qui me plaqua comme un rugbyman dans le sable, en toute délicatesse évidemment. J’eus du sable dans la bouche et, comme je sortais à peine de l’eau, j’eux l’impression d’être un tantinet ensablé, un vrai monstre. D’ailleurs je n’eus guère à attendre longtemps avant d’avoir les premières moqueries de mes camarades que j’accueillis avec un sourire légèrement dubitatif mais je finis quand par prendre leurs taquineries du côté coca-cola et de rigoler avec eux. J’attendis de sécher un peu pour retirais ma croute de sable puis , avec le sourire le plus sexy que j’avais en ma possession, je m’approchais de Ian qui faisait partie de l’équipe adverse et lui prit le ballon des mains.
-Maintenant on va voir, qui sait qui va rire mon pote. -Hééé rend moi ça !!
Ni une ni deux je l’envoyais à un de mes partenaires et nous reprîmes le jeu. Détendus mais concentrés, nous taquinant tout en discutant de chose et d’autres, nous enchainâmes les passes, les points, les smatchs, les roulades et autres chutes dans le sable pour rattraper les balles et éviter les points. Nous jouions tranquillement quant sur un engagement, Jamie, le petit frère de Ian envoya la sphère jaune et bleue directement dans le château de sable que j’avais shooté plus tôt. Je regardais Jamie avec des yeux révolvers et lui se confondis en juron quand il entendit les larmes de la petite fille blonde. D’un côté c’était cool car comme ça je pourrais reparler avec le roux qui ne me semblait pas franchement étranger mais d’un autre, c’était carrément chiant car la petite voyait son œuvre réduite à néant par la bombe nucléaire appelée ballon de volley. Sans laisser le choix aux autres, je leur dis que j’allais récupérer la balle. Je commençais alors à me diriger vers le duo père fille, époussetant la poussière du mon corps et passant une main dans mes longs cheveux bleus et ondulés, toujours habillée que de mon unique petit bikini noir. Je passais à côté de deux demoiselle topless qui dormaient au soleil, ça me donnait envie de rire de les voir comme ça alors qu’il n’y avait rien de drôle dans la situation. C’était juste que pour moi il y avait des trucs plus importants qu’avoir les seins bronzés, la fête était plus important à mes yeux par exemple. Je continuais mon chemin vers le jeune inconnu et sa fille, car maintenant que j’y pensais, ça ne pouvait être que sa fille même s’il me semblait plutôt jeune pour être père. Boarf, toute façon de nos jours, y a plus rien de réellement choquant. Deux petiots jouant à trape-trape se retrouvèrent dans mes jambes et tournèrent autour de moi comme s’ils tournaient autour d’un tronc d’arbre puis s’éloignèrent. Je lâchais un petit rire cristallin et arrivais enfin à destination. Et le sourire sur mes lèvres s’effaça étrangement vite dès lors que j’entendis les paroles réconfortantes du père vers la fille.
-Oh mais ne pleure pas mon poulet… Tu veux que je te dise, je crois que la dame aux cheveux bleus est jalouse de ton beau château, elle fait tout pour le détruire… c’est une vilaine !
Il embrassa la joue rebondit de sa petite fille et mon ombre vint couvrir le si attendrissant spectacle qui se déroulait sous mes yeux. Je fis une moue un peu vexée par le « vilaine », même s’il n’avait absolument pas tort d’avoir utilisé ce qualificatif car beaucoup d’adulte auraient dit la même chose de moi après m’avoir vu m’amuser durant une fête ou une soirée sur la plage. Ça finissait rarement par « ils se séparèrent chacun de leur côté et puis voilà », mais ça, ça c’était pour les adultes. Posant mes yeux sur les vestiges du château de sable je ne pus empêchée de parler
-Pour le coup, ce n’est pas moi la vilaine, mais bien mon pote pas très doué. Marquant une pause pour récupérer le ballon, je me baissais pour le ramasser. Oh et puis je ne suis pas si vieille hein ! J’esquissais un petit sourire en coin. J’m’appelle Ryder, R-J pour les intimes, tu choisis !
Je lâchais un petite rire moqueur et renvoyait la balle en direction du groupe qui me faisait des signes de bras. Ils semblaient me demander de revenir mais je fis un petit non de la tête et ils se remirent à jouer sans moi. Je souris de nouveau en soufflant doucement et reportait mon attention sur la fillette qui pleurait à chaudes larmes. Et tout en regardant les vestiges du beau palais éphémère, je marmonnais assez audiblement:
-Bon, faut croire que ton château il a pas de chance. Ça te dit qu’on le reconstruise comme je te l’ai promis tout à l’heure ?
Alliant le geste à la parole, je ramassais une petite poignée de sable humide et commençais à en faire un petit monticule de forme rectangulaire en tant qu’ébauche de mur. Je n’entendis pas Ian arriver derrière moi et déposer ma petite robe légère près de moi puis repartir. Je me retournais mais il avait déjà rejoint ses potes qui finalement s’en allaient. « Pas grave, je le remercierais ce soir, à la soirée. » pensais-je. Puis doucement je restais en suspend et plantais mes deux iris bleus dans les yeux de la petite et du père, tour à tour, attendant que l’un deux émette une approbation ou au contraire une négation. .
Le code règlement:
→ Code validé par Lux
[list][*]
Dernière édition par Ryder J. Taylor le Dim 29 Juil - 22:02, édité 1 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Dim 29 Juil - 19:56
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Dim 29 Juil - 20:42
trouble on my mind, i got trouble on my mind
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Dim 29 Juil - 21:25
Bienvenue parmi nous Je t'invite à relire le règlement car le code est faux.
N'hésite pas si tu as besoin
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Dim 29 Juil - 22:01
Ah naaaaaaaan !!! J'suis tombée dans le piège ça pueee Merci quand même ahah
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Lun 30 Juil - 0:52
Oui enfin la joueuse, je pense que le personnage est moins adepte de la couleur cela dit XD
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Lun 30 Juil - 0:55
Ahah ! Mais c'est pas grave t'inquiète
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Lun 30 Juil - 1:00
bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Lun 30 Juil - 1:02
Merciiiiiiii ! Oh ma Gaaad ! Juste rob' <3
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind Lun 30 Juil - 6:08
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur le petit noeud (a)
Have Fun !
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: Trouble on my mind, so much trouble on my mind
Trouble on my mind, so much trouble on my mind
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum