39 ans → Né à Jacksonville le 04/07/1973 → Photographe au "Beauties&Beasts" Divorcé → Hétérosexuel → Membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Dario est bel homme. En effet, il mesure 1.85m pour 80kgs de muscles entretenus et bien répartis. La salle de sport est son amie, car à son âge, un homme prend facilement du ventre et il est hors de question que cela lui arrive. On ne voit pas beaucoup ses origines italiennes dans son physique, car il a les cheveux blonds comme les blés et les yeux bleus du côté maternel. Il garde ses cheveux coupés courts, parfaitement coiffés et ses boucles dorées sont tenues par du gel. S'il lui arrive de se raser totalement, il garde le plus souvent un bouc parfaitement taillé au poil près. Quant à sa tenue vestimentaire, elle est tout ce qu'il y a de plus représentatif du bonhomme. Il n'est que rarement en jean, à part pour être tranquille chez lui. On le voit encore moins souvent en jogging, sauf pour ses séances de sport. Il lui arrive de porter le costume trois pièces, chemise et pantalon à pince, mais le plus souvent, il est classe, tapant dans le Ralph Lauren, l'Armani ou le Chanel.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Avant, Dario était un garçon timide, effacé. Il n'osait pas parler aux filles, ne levait jamais la main en classe, baissait les yeux quand on s'adressait à lui. Adulte, il parlait peu, aidait tout le monde au point de se faire avoir plus d'une fois. Mais ça, c'était avant. Après un mariage raté et une fille qui ne veut plus lui adresser la parole, Dario a changé du tout au tout. C'est comme si la vie avait fait que le sang italien du côté paternel prenne le dessus et fasse en sorte qu'il survive dans ce monde à cent à l'heure. Aujourd'hui, Dario est dragueur, à la limite de l'obsession, parfois lourd. Il se prend régulièrement des gifles pour avoir trop souvent mis la main aux fesses des mannequins de la boîte. Il fait l'objet de plusieurs ordonnances restrictives. Il a même été renvoyé de plusieurs boîtes de mannequinat avant d'être engagé chez "Beauties&Beasts" il y a presque un an. S'engager, si ce n'est pas pour le boulot, ce n'est plus pour lui. A presque 40 ans, il veut s'amuser et vivre pleinement les années qui lui reste à vivre. Il sait qu'il ne lui en reste pas beaucoup. En effet, Dario est atteint d'un cancer du foie à un stade avancé. Il fut une époque où il buvait beaucoup... De plus, Dario a un problème avec le jeu...
Mais ce qui compte le plus pour lui et qui lui permet de s'évader, c'est son art, la photo. S'il aime particulièrement photographier des femmes au meilleur de leur avantage, il photographie aussi parfois des hommes, des paysages et même des animaux. Il affectionne tout particulièrement le noir et blanc, et le sépia. Il aime faire ressortir la beauté intérieur, même si, au premier abord, le modèle n'a rien d'exceptionnel.
Well... It's my story...
Independance Day
Tout commença un matin de juillet 1973. Le 4 pour être exact. La future maman avait le ventre rond, bien plus rond que la moyenne. Allongée dans le lit de la maternité, les mains posées sur ce ventre distendu, elle respirait péniblement, le regard fixé sur les moniteurs, écoutant les deux petits coeurs battre à l'unisson. Julio était retourné à la maison chercher quelques affaires pour Kelly, son épouse et la mère de ses jumeaux à naître. Il y avait déjà deux jours que la jeune femme avait des contractions, de plus en plus rapprochées. On lui avait dit que c'était normal à ce stade de grossesse quand on portait des jumeaux. Elle avait déjà les prénoms : Dario et Helen. Le garçon porterait le prénom italien du grand-père paternel, et la fillette le prénom de la grand-mère maternelle. Un parfait équilibre dans cette famille parfaitement équilibrée.
La télévision était allumée sur le journal de 10h. On annonçait les préparatifs de la fête nationale, les feux d'artifices à venir le soir. Kelly savait qu'elle ne les verrait pas cette année. Elle serait probablement en train d'accoucher. Et elle eut raison. Dans la minute qui suivit, les contractions la reprirent. Le travail commença pour ne s'achever que tardivement dans la nuit. Après la délivrance cependant, un seul cri retentit. On lui posa un seul de ses enfants sur le sein. Un seul coeur battait encore... Dario. Premier pied-de-nez à la vie. Première prise d'Indépendance... Jour bien choisi.
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Immortality...
C'est quand Dario eut dix ans que ses parents lui avouèrent d'où venait qu'il avait pour second prénom un prénom féminin. Il pleura alors pendant des jours, l'enfant fragile qu'il était, sensible à la moindre émotion. Savoir qu'il avait eu une soeur pendant quelques minutes, puis qu'elle était morte, juste à côté de lui, encore reliée au ventre de leur mère, lui déchirait le coeur et lui soulevait l'estomac. Le garçon fut malade pendant près d'une semaine et mit du temps à s'en remettre. Avec les années, le chagrin passa mais la sensation de vide s'accentua. C'était comme s'il n'était pas complet. Comme si on l'avait coupé en deux ce jour-là. Il se mit à observer les paysages pendant des heures. Son père lui offrit alors son premier appareil photo.
"Tu pourras immortaliser sur la pellicule ce que tu vois, ce que tu ressens." Lui avait-il dit. Cette phrase devait rester gaver en sa mémoire pendant tout ce temps. Alors pour penser à autre chose et trouver une nouvelle obsession, Dario commença à photographier les fourmis, les rossignols dans le jardin, le chien du voisin, le chat de la grand-mère, la grand-mère, maman en train de faire la vaisselle, papa en train de passer la tondeuse. Et puis les années passent. Le chagrin s'efface. La vie reprend son cours. Dario est un garçon timide, un adolescent renfermé. Il photographie ses potes. Il est le photographe officiel des fêtes de lycée, du bal de fin d'année. Ses photos font fureur. Mais la floride et Jacksonville ne lui promettent pas l'avenir qu'il souhaite. Il part pour New-york car il est accepté à l'International Center of Photography (ICP) de New-York. Cette prise d'indépendance de la part de leur fils, réjouit ses parents, mais les effraie malgré tout. Ils vivent une réelle déchirure et ont l'impression de perdre encore une fois un enfant.
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Amour, sexe & Rock'n'roll
Dix-huit ans, l'université, la fraternité, les filles, les soirées étudiantes. Il boit beaucoup. Il essaie la drogue. Et puis les premières dettes de jeu commencent. Alors il boit de plus bel. Il perd des amis. S'en refait d'autres. Heureusement, il a l'alcool tranquille. Et puis surtout, surtout, il rencontre Gaby. Elle étudie le cinéma, ils se voient souvent pour parler art, vieux films, techniques cinématographiques et de fil en aiguille se retrouvent mariés. Dario a 23 ans. Mais ils ont à peine fini leurs études, s'installer ensemble parait impossible et Dario ne peut s'empêcher de retomber dans le jeu et l'alcool. Il contracte toujours plus de dettes, les cadavres de bière et autres alcools s'entassent dans sa cuisine et l'arrière de sa voiture.
Gaby tombe enceinte. C'est une fille. Gaby est paniquée. Dario n'est pas prêt pour être père. C'est un gamin et ils ne vivent même pas ensemble. Ils sont trop jeunes. Ils ne sont pas prêt. Elle veut travailler, pas élever un enfant. Pas encore. Dario convint Gaby de garder le bébé s'il arrête de boire et promet de ne plus jouer. La jeune femme s'y résout, soutenant Dario dans son sevrage. Mais il est déjà trop tard. Le foie de Dario déjà fragile depuis toujours est métastasé. Par chance, les médecins le remarquent à temps et ôtent la tumeur. Le foie étant le seul organe du corps humain à se régénérer, les médecins sont optimistes. Dario s'en sort bien. Il retrouve le sourire, a meilleur mine. Gaby est forte. Elle donne naissance à Taylor...
Dario perd son emploi. Il retombe dans le jeu. L'appelle de l'alcool est trop fort. Mais Gaby n'est pas au courant... pour l'instant.
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The end
Heureusement, la qualité de son travail fait que Dario ne reste pas longtemps sans travailler. Taylor grandit. Gaby s'absente souvent pour la réalisation d'un film ou d'une publicité. Elle emmène Taylor avec elle. Dario reste donc seul dans leur appartement trop grand de Manhattan. Il ne connait pas sa fille. Sa fille ne le connait pas. Gaby s'éloigne de lui aussi. Ou bien est-lui qui glisse encore, et encore. Cette fichu indépendance...
Il doit vendre sa voiture pour rembourser ses dettes.
Il doit vendre leur appartement pour ne pas se retrouver devant les huissiers.
Gaby demande le divorce. Taylor a cinq ans. Elles partent à l'autre bout des Etats-Unis, en Californie. Dario ne reverra sa fille que deux fois depuis.
Il a de nouveau des métastases. On le force a faire une cure. Il ne doit plus toucher une goutte d'alcool. Il parvient dans le même temps à se "sevrer" du jeu. Mais il ne faut pas agiter des jetons devant lui. Et les années passent. Il est encore en vie. Il passe par des périodes de rechute mais il tient le coup, il remonte toujours la pente, increvable. Il se fait un nom dans le métier cachant sa maladie, faisant passer ses hospitalisations forcées par des séjours aux Caraïbes ou en Afrique pour des shoots. Il ne parle jamais de sa fille, encore moins de son ex qu'il aime pourtant jusqu'au fond de ses tripes. Il n'y a jamais eu qu'elle après tout.
Et puis une petite agence ouvre ses portes. Lui qui ne travaillait plus qu'en indépendant depuis des années, il postule. Se fait engager par Meredith Rosenberg. Repartant sur de bonnes bases, il ne lui cache rien, de son problème avec le jeu, avec l'alcool, sa fille qui lui manque (elle sera d'ailleurs la seule au courant). Mais ne dit rien de son cancer. Il lui cache aussi son problème avec certaines filles... les injonctions... C'est un nouveau départ. Mais combien de temps restera-t-il au même endroit, lui, le roi de l'Indépendance ?
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Gridou, 26 ans et (presque) toutes mes dents ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → à cause de Mérédith L. Rosenberg XD ★Ce personnage est-il un double compte ? → nop ★Présence sur le forum → hebdomadaire ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé ★Crédit images → www.fanpop.com / http://spectacle.provocateuse.com
Mon exemple de RolePlay:
→ Une pause. Les coups cessèrent pour un moment. Axel n'y voyait plus grand chose. Il vit seulement Breaker se retourner et balancer une vanne salace. D'après ce qu'il disait, ça devait être une femme, mais Breaker se tenait dans son champ de vision et de toute façon, ça n'aurait rien changé. Il aurait préféré que la brute en finisse avec lui maintenant, car il souffrait plus que ce qu'il avait l'habitude d'endurer. Il laissa retomber sa tête sur son torse au moment où Breaker lui collait un dernier coup dans l'estomac. L'air expirant totalement ou presque de ses poumons, la tête lui tourna, des étoiles passèrent devant ses yeux, et pendant un instant, il crut qu'il allait tomber dans les vapes. Il entendit à peine le fracas des corps contre le béton ou le bitume. Les gorilles relâchèrent ses bras et il tomba en avant au ralenti, mais alors qu'il pensait qu'il allait s'écraser sur le sol dur, des bras nus le rattrapèrent avec douceur et l'étendirent là. Il ne réagit pas et remercia intérieurement celui ou celle qui l'avait retenu. Dans cet état il ne pouvait rien faire. En temps normal il se serait inquiété et aurait souhaité prêter main forte à son sauveur pour rabattre son caquet à Breaker et ses potes, mais là, il n'avait plus aucune force, et il bénissait le fait d'être allongé là, sans bouger, sur le sol froid et humide de la rue.
Un dernier fracas, puis plus rien. Le silence de la nuit. Le chant de quelque sirène au loin. Le ronronnement d'un taxi, d'un bus. Le klaxon d'une voiture trop pressée.
Il se sentit soulevé et remis sur ses pieds. La personne balança son bras par dessus son épaule pour le soutenir et l'aida à sortir de la rue. Il entendit vaguement qu'elle lui parlait et constata, dans son esprit embrumé qu'il s'agissait bien d'une femme. Il eut un rictus qui ressemblait à un sourire amusé. Une femme. C'était une femme qui lui avait sauvé la vie. Si un jour on lui avait dit ça ! Mais il était trop faible pour réagir. Il penserait à tout cela plus tard. Elle l'allongea sur un banc et se laissa faire, fermant les yeux sous la douleur qui lui déchirait les côtes et les bras. Il sentit qu'on lui passait quelque chose sur le corps. Ouvrant légèrement les yeux, il constata que la femme essayait le sang avec délicatesse. La tête lui tourna de nouveau et il dut refermer les yeux. Elle lui demanda ce qu'il avait bien pu faire pour mériter tel châtiment. Axel ne répondit pas, mais se le demanda aussi. Ce n'était pas la première fois qu'il remportait un combat, mais c'était la première fois qu'un adversaire se vengeait de sa défaite. Il fallait reconnaître que dans le métier, il n'y avait pas que des gars honnêtes. La femme continua de prendre soin de lui en commentant son état. Il voulut rire, car cela l'amusait d'un sens finalement, mais il ne réussit qu'à tousser et à cracher du sang. Dans la bataille, il avait dû se mordre la joue.
Quand la toux fut passée, il se mit à respirer profondément, appréciant le fait de pouvoir sentir l'air à nouveau dans ses poumons. Mais avec ses côtes fêlées, il ne pouvait pas non plus espérer reprendre son souffle aussi facilement. Quand sa tête eut fini de jouer les carrousels, il ouvrit de nouveau les yeux et parvint à regarder sa sauveteuse. Malgré la noirceur de la nuit, il parvint à distinguer des marques sur son visage et son accoutrement pour le moins étrange ainsi que sa chevelure rousse et emmêlée. Cela ne réveilla en rien les instincts primaires de notre homme. Il avait eu son compte pour la soirée, et tout ce qu'il voulait, c'était dormir. Mais il remarqua que ces vêtements donnaient un certain air sauvage à la jeune femme. Jeune oui, elle l'était, du moins en apparence. Comment une gamine comme elle avait pu se débarrasser de Breaker et de ses acolytes aussi facilement ? Il aurait voulu lui poser la question mais pour une raison inconnue, ne le fit pas. Il murmura juste un "merci" à peine audible, espérant au plus profond de lui qu'elle n'entendrait pas, et ne relèverait pas. C'était déjà assez insultant d'avoir été sauvé par une fille. Avouer ses faiblesses lui avaient toujours été difficile.
Au bout d'un moment, il se redressa en grimaçant et éloigna la main de la jeune femme de lui. Il ne supportait pas être faible. Il détestait que les autres le voient dans cet état et encore plus quand il s'agissait d'une femme. Il survivrait et irait se faire soigner par son doc habituel. Il voulait juste rentrer chez lui. Mais étrangement, il voulait rester encore un peu avec cette femme, en savoir plus sur elle, et comment elle avait réussi à assommer les brutes. Malgré le brouillard qui l'entourait encore, sa vue s'accommodait, et il remarqua quelque chose d'étrange dans le regard de la femme. Il n'aurait su dire quoi. C'était comme si... comme si... aucune idée précise ne vint réellement dans son esprit, mais il y avait une explication, sans aucune doute.
-Comment... tu as fait ? Demanda-t-il d'une voix faible, en continuant de la regarder.
Le code règlement:
→ HELL YEAH BY J.
Dernière édition par Dario H. White le Jeu 9 Aoû - 11:43, édité 25 fois
Merci Dylan. A propos, pourrais-je avoir des précisions en ce qui concerne les crédits demandés dans le profil. Que devons-nous mettre à cet endroit précisément ?