Sujet: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 2:10
FEAT. FRANCISCO LACHOWSKI
Tyler Noa WALSH
22 ans → Né(e) à zagreb le 13/05/1990 → danseur professionnel célibataire → hétérosexuel → membre des artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Tyler est toujours à la pointe de la mode. Il a un standing à respecter puisque le beau brun est un ancien mannequin. La mode, prendre soin de soi et les podiums, ça le connaît puisqu'il a défilé pour les plus grands. Le jeune homme n'a jamais pris la grosse tête et compte bien rester la tête sur les épaules. Ce qu'il aime le plus en matière vestimentaire ? Les jeans larges et les t-shirts sans manche. Cela correspond totalement à son style plutôt cool et posé qu'il adopte dès qu'il n'est pas en tenue de scène. Le métier de Tyler est le métier qu'il rêvait d'exercé depuis tout petit : être danseur professionnel. L'entrée dans ce milieu aurait pu être fatidique pour le jeune brun – comme l'entrée dans celui de la mode – mais il n'est pas connu pour ses frasques et ses rails de cocaïne mais bel et bien pour son talent et son sourire en coin. S'il y a bien une chose qui le détermine plus que tout, c'est ce petit sourire qui en ferait craquer plus d'une. C'est la marque de fabrique du jeune américano-croate. Ça et le léger tatouage qu'il a derrière l'oreille, un L qu'il a fait tatouer ici peu après avoir été nommé parrain de Luca, son neveu. Seulement, ce tatouage est son 'jardin secret' puisque seule sa famille proche sait qu'il est tatoué. Tyler camoufle toujours ce signe avec du fond de teint dès qu'il y a des possibilités de se faire photographier, non pas par honte mais parce qu'il ne veut pas s'étaler devant les journalistes. De nature discret, il n'a pas l'habitude d'ouvrir sa bouche à tout va et préfère rester le jeune homme cool avec les pieds sur terre qu'il a toujours été. Il n'a pas de mimique à proprement parler sauf lorsqu'il danse où là, il entre totalement dans son personnage et est un vrai sac à TOC.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Tyler a deux côtés bien distincts en ce qui concerne son caractère. Il est aussi doux qu'un agneau mais peut se transformer en lion en un rien de temps. Il n'est pas bipolaire, malade ou quoi que ce soit, c'est juste un homme qui se bat pour ce qu'il aime. Tyler est le genre de jeune homme à vouloir aider énormément de monde – pour ne pas dire tout le monde – mais lorsque l'on touche de près ou de loin à sa famille, c'est tout autre chose. Il n'est absolument pas le genre d'hommes à se battre ou à chercher les ennuis, c'est plutôt un gros nounours qui aime déconner, profiter de la vie et de tout ce que cette dernière lui offre. S'il veut sortir, il sort, s'il veut enchaîner les filles, il le fait et rien ne l'empêche de le faire. Il aime la vie et la croque à pleine dent. Seulement, à côté de ce côté doux et calme, il y a aussi un Tyler déterminé, prêt à bouffer chaque personne se mettant en travers de son chemin. Ancien mannequin et récemment danseur, il essaye de rentrer dans une grande compagnie de la ville. Le jeune Noa est donc déterminé comme personne et n'hésite pas à travailler quinze heures par jour, à s'entraîner jusqu'à saigner, jusqu'à en souffrir. Sa passion pour la danse lui a fait développer un caractère assez sec. Il aime les choses bien faites quand il s'agit de choses importantes, il ne supporte pas l'injustice et encore moins que l'on se moque de lui, cela peut le faire entrer dans une colère et rage sans fin. Tyler est une gueule d'ange au caractère de démon quand on l'ennuie un peu trop. Qui s'y frotte s'y pique.
Well... It's my story...
he's just a boy, a baby boy
Mes années poussettes et couches culottes sont tout ce qu'il y a de plus flou. Je ne me souviens pas de grand chose, pour ne pas dire rien. Nous avons déménagé de la Croatie lorsque je n'avais qu'un an et je ne suis jamais réellement retourné dans mon pays natal. Pourquoi ? Je ne sais pas vraiment mais je n'en ai jamais ressenti le besoin. À mes yeux, je suis américain même si je sais que ce n'est pas vraiment le cas. Mon enfance a toujours été plutôt heureuse. Gâté et aimé, je n'ai jamais manqué de rien ni ma grande sœur. Savannah et moi sommes proches depuis mon plus jeune âge – depuis que je sais parler et marcher à vrai dire. Nous étions les deux inséparables de la maison, ceux à qui on ne pouvait rien faire puisqu'à deux c'est toujours mieux. Seulement, le divorce de nos parents nous a quelque peu touché. Nous étions passés de la petite famille unie et parfaite au couple séparée avec deux enfants à se partager. Un week end sur deux, nous partions deux jours chez notre père, nous passions la moitié des vacances là bas. Ce n'était pas une situation très agréable mais un certain lien s'est formé entre mon père et moi, surtout lorsque ma mère a repris le travail et ne s'est occupée que d'elle et simplement elle. Savannah et moi même avions été relégué à la seconde place et il fallait admettre que je n'aimais pas vraiment cela. Passer mes journées entre l'école et la nourrice ne m'avait jamais plu et je l'avais souvent fait comprendre à ma mère en me battant à l'école. Une bagarre version maternelle, ça ne fait pas énormément de mal mais tout de même. À l'époque, c'était mon moyen d'attirer l'attention de notre mère sur moi mais cela durait plus ou moins dix minutes. Un enfant a besoin d'attention et je n'en ai jamais vraiment eu avec elle. C'est pour cela que lorsque Savannah a quitté le nid, qu'elle nous a quitté, je l'ai vraiment mal pris, du haut de mes neuf ans.
now you're just somebody i used to know
Neuf ans et j'étais seule, seule avec une femme qui ne s'occupait pas de moi, seule sans ma sœur pour la première fois en neuf longues années. Elle était partie, elle était sortie de ce calvaire, de ce manque d'amour constant et m'avait laissé seul, seul au monde. Je lui en ai beaucoup voulu, énormément sur le coup et pendant quelques années. Je ne comprenais pas pourquoi elle était partie. Certes, ce n'était pas le paradis tous les jours mais tout de même, nous étions deux, deux contre le monde. Rien ne pouvait nous faire du mal, personne ne pouvait nous toucher et il faut avouer que cette dispute nous sépara quelque peu. Je continuais de vivre ma vie de jeune adulte avec une mère qui se fichait de moi comme de sa première couche et je commença la danse. J'avais toujours été attiré par tout ce qui est artistique ; danse, musique, art corporel, cinéma. J'aimais tous ces domaines mais la vue de nombreuses vidéos de danses sportives et en couple m'ont fait avoir un coup de cœur pour ce type de danse. Je voulais en faire mais cela devait être fait en cachette. Lena ne m'aidait pas vraiment financièrement et c'est donc mes petits jobs en tant que serveur qui m'ont permis de me payer des cours, une école digne de ce nom et tout ce qui allait avec. Bien entendu, ce n'était qu'un loisir puisque je comptais entrer au lycée puis en faculté. Il me fallait un moyen financier pour partir d'ici et ce n'étant pas en bougeant mes fesses et bombant le torse que cela allait marcher. La danse commença rapidement à prendre une place plutôt importante dans ma vie et bizarrement, je vécu bien mieux ma relation avec ma mère. Je découvrais enfin ce qu'était la passion et j'aimais ça. Mes relations avec Savie s'améliorèrent quelque peu avec le temps puisque j'avais enfin compris pourquoi elle était partie. Je la comprenais totalement mais je ne voulais pas faire de même. Ma vie était ici et non avec mon père. Je m'étais habitué à cette absence et même si cela était difficile, je préférais continuer ainsi plutôt que de changer de lieu, m'attacher à bien des gens et souffrir lorsqu'ils partiront. J'étais handicapé des sentiments à vie et ne fréquentais pas grand monde, par peur de souffrir. Je ne l'avais jamais confié à Savannah à cette époque – et ne lui confierais sûrement jamais – mais tout ça me brisait le cœur d'avoir peur de finir seul, seul au monde contre tous. Ma grande sœur était tout pour moi pendant des années et maintenant, j'avais un peu de mal, bien que nos relations étaient plus qu'améliorées ! Une conversation sans dispute était un exploit chez les Walsh pendant mon adolescence et pourtant...
high school never ends
Les années lycées approchaient à grand pas, ainsi que le diplôme et je savais qu'il n'y avait qu'une chose à faire : me concentrer sur mon avenir pour ne pas finir vendeur de pain dans la boulangerie du coin. La détermination, je l'avais, l'envie de réussir aussi mais je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire, pas du tout même. J'aimais la danse depuis mon plus jeune âge et tout ce qui touchait à l'art corporel mais si je voulais en faire mon métier ? J'en étais bien moins sûre. Lors de ma première journée au lycée, j'étais perdu et pas qu'un peu. Tout était si étrange, si grand et j'avais l'impression de n'être qu'un microbe, une fourmille à l'échelle du monde. Il semblait que, dans ces établissements, s'attacher à quelqu'un était la chose à faire mais ce n'était pas pour moi. M'attacher à qui que ce soit était à proscrire et pas qu'un peu. Depuis que Savannah était partie vivre chez notre père, je fuyais l'attachement et les sentiments comme on fuyait la mort. S'attacher à quelqu'un, c'était se donner la possibilité, que dis-je, l'entière garantie de souffrir. C'est à cette époque que mon côté dragueur a vraiment fait son apparition. Jouer avec les femmes, les draguer, coucher avec et les laisser était devenue ma spécialité et cela n'était pas fortement appréciée des jeunes concernées mais jamais, ô grand jamais, je ne leur avais promis la lune ou quoi que ce soit. Les choses étaient claires, je ne m'attachais pas, je les rencontrais en soirée et puis c'est tout. Ma mère ne disait rien au défilé que je lui faisais subir puisqu'elle ne faisait guère attention à moi. Les choses avançaient plutôt bien dans ma vie, je quittais le lycée, diplôme en poche, prêt à entrer en faculté de sociologie à la rentrée. Tout cela aurait été fait si je n'avais pas été remarqué dans la rue. Un agent passait par là et m'avait remarqué. J'avais le profil parfait pour poser pour Abercrombie & Fitch et pourquoi pas faire une carrière dans le mannequinat. Ce que je pensais de cela ? C'était de la folie, le mannequinat c'est passager et ce n'était pas avec ça que j'allais faire carrière. Seulement, le premier chèque arriva et j'oubliai rapidement l'idée d'entrer en faculté. Ce que me payait Abercrombie & Fitch me permettait de louer un appartement de rêve à New York, de vivre tranquillement et surtout de me payer une école de danse, ce dont j'avais toujours rêvé. Mon contrat était renouvelé assez souvent, ils étaient fiers de moi et moi de mon job. Lorsque Savannah s'est remise en couple avec Enzo, je lui ai fais comprendre mon point de vue, la façon dont je voyais les choses et cela ne lui avait guère plus, encore moins lorsque je déclina poliment l'invitation à son mariage. Ma sœur, ma moitié se mariait et moi, je n'en faisais qu'à ma tête comme un gamin de douze ans à qui on avait refusé un second bol de céréales. Triste et seul, le 31 aout 2010, je me souviens être entré dans un bar de la ville, boire deux ou trois verres et finir avec une fille, Sarabi. Qui était cette fille, d'où venait-elle ? Je n'en savais rien, strictement rien seulement quelque chose chez elle me touchait. Je n'étais pas ivre, loin de là même, et je n'avais pas envie de quitter mon lit pour aller prendre une douche et jouer au mort, attendant sagement que la belle quitte mon lit et ma chambre. Elle était là, dormant paisiblement, ne sachant pas vraiment à quoi s'attendre. Ma première rencontre avec Sarabi ressemblait à toutes celles que j'avais eu avec bien des femmes et pourtant. La jeune russe devint rapidement ma petite amie, très rapidement même. Trois mois d'un idylle parfait, trois mois d'amour et le lycée avançait toujours, à la perfection. J'avais changé de travail entre deux. Abercrombie & Fitch m'avait laissé partir en septembre 2010 puisque je violais une clause du contrat en étant en couple. À l'époque, j'avais eu peur de finir au chômage mais un créateur m'avait repéré sur les podiums. En deux coups de cuillère à pot, j'étais devenu la nouvelle tête de Monsieur Lagerfeld. Sarabi m'avait apporté énormément de choses : l'amour mais aussi un job de rêve, tout ce dont j'avais toujours rêvé. Je continuais toujours mes cours de danse mais une chose s'était améliorée dans ma vie : j'étais à nouveau proche de ma sœur, très proche d'elle. Elle n'était plus mariée à ce crétin d'Enzo et redevenais ma confidente, ma 'number one' comme j'aimais l'appeler.
now you're a big boy
« Sarabi ne commence pas ! Savannah est ma sœur bon sang et elle vient d'accoucher, j'ai encore le droit d'aller voir mon neveu et ma nièce à la maternité ! Tu viens avec c'est bien, tu ne viens pas c'est la même chose » Un an de relation et les disputes étaient de plus en plus vives. J'ai souvent entendu dire que plus on s'aime, plus les disputes sont douloureuses seulement là, j'arrivais au maximum de ce que je pouvais supporter. Sarabi était devenue oppressive, paranoïaque et elle croyait que je n'allais pas voir ma sœur mais bel et bien que j'allais en 'vacances' et allais coucher avec la première inconnue qui se trouvait sur mon passage. Ma relation avec la jeune russe avait été tellement fusionnelle que l'on était entrain de se brûler les ailes. Je la regardais, tout en préparant quelques shorts, quelques hauts et jeans pour aller voir ma famille à l'autre bout du pays. Si elle voulait que je lui présente ma famille, c'était le moment où jamais. Seulement, têtue et buttée comme elle était, elle ne bougea pas, éclata en sanglot et partie en claquant la porte derrière elle. Mon cœur se serra et d'une colère folle, je jetai mon portable à travers la fenêtre ouverte. Pendant tant d'années je m'étais promis de ne jamais tomber amoureux et il m'avait fallu une nuit pour tomber amoureux et pour m'arracher le cœur. J'avais donc plus ou moins retrouvé ma liberté et je ne mis guère longtemps à monter dans l'avion en direction du lieu où vivait Savannah, Jeff et les jumeaux. J'allais être tonton d'une petite princesse et d'un petit prince dont j'allais être parrain. Merde, autant de responsabilités alors que j'étais à peine majeur, c'était de la folie mais pour ma sœur, je ferais n'importe quoi, jusqu'à accepter son départ pour l'Angleterre puis Miami alors qu'elle aurait totalement pu vivre à New York, près de moi. Je m'étais faite à l'idée que la jeune femme allait avoir sa propre famille, mais j'avais toujours un peu de mal, surtout avec ma récente rupture avec Sarabi. Les jours passaient et j'étais redevenu l'ancien Tyler, celui qui couche à droite à gauche, celui qui se bourre la gueule six jours sur sept. accompagné à ceci, mon contrat d'égérie prit fin pour laisser la place à un petit français du nom de Baptiste. Qui était ce guignol ? Bonne question mais voilà que je me retrouvais sans emploi, avec un appartement de rêve et même si j'avais de l'argent de côté pour vivre pendant dix ans, mon côté énergique ne me fit pas rester longtemps en place. Fin 2011, je commençais à enchaîner les concours, à enchaîner les stages de danse de couple. Jive, Chacha, Foxtrott, il y avait de tout et selon les dires des juges, j'étais le meilleur de ma génération seulement, voilà le problème ; personne ne me prenait au sérieux avec mon passé de mannequin. Alors que j'étais à un stage de danse à Los Angeles, je reçus un coup de fil d'un médecin m'annonçant que Savannah, Jeff et les jumeaux avaient eu un accident à Miami. En pleine répétition, je quitta tout ce que j'avais en route et pris le premier avion en direction de la Floride. Un soutien pour ma sœur, voilà ce que j'étais et je restais toujours auprès d'elle, continuant de tenter de percer dans la danse, changeant mes mouvements, m'améliorant en danse de couple tout en commençant le break dance. J'arrivais à me faire quelques sommes faramineuses en apparaissant dans de nombreux clips mais ce que je voulais plus que tout, c'était entrer dans une compagnie mais j'étais prêt à tout pour cela, absolument tout. La détermination et l'envie n'est absolument pas ce qui me manquait, absolument pas et je m'en sortais très bien, enchaînant les auditions, les castings pour bien des shows télévisés tout en étant là pour ma sœur, Aloysia et Luca. J'aimais mon travail mais la famille comptait plus que tout à mes yeux, surtout maintenant.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → joulie la cachottière, 20 ans et toutes ses dents ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → eh baaaaah, marioune m'en a parlé parce qu'elle a pris le scénario à marine mais je connaissais d'avant ★Ce personnage est-il un double compte ? → noooope ★Présence sur le forum → 24/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario à marine ★Crédit images → dodixe
Mon exemple de RolePlay:
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Cela faisait quelque jours que j'étais chez mon frère. J'avais du mal à accepter d'être hébergée par de la famille mais il fallait avouer que pour trouver un job et m'inscrire à l'université, il me fallait une adresse fixe. Tout cela était contre mes volontés premières et je n'étais vraiment pas un ange avec Edwin depuis que j'étais arrivée. Nous cohabitions plus ou moins bien parce que j'étais sur la défensive, encore et toujours. Il avait beau me dire qu'il ne me renverrait pas à Londres, je n'avais pas confiance. À moins de me droguer, il n'y avait aucun moyen de me faire remonter dans un avion de si tôt. Sortant de la salle de bain dans un peignoir blanc et une serviette sur la tête, je regarda mon grand frère et dis, léger sourire aux lèvres « Je n'ai jamais vu ta petite amie Ed'. Tu as honte de moi c'est ça ? Ou alors tu veux être seule pour faire tes petites affaires » Je lui fis un léger sourire avant d'accélérer le pas et d'entrer dans ma chambre. Je fermais la porte derrière moi, sourire aux lèvres. Edwin m'offrait un toit, une bonne douche tous les jours et un bon repas mais c'était plus fort que moi, je l'enquiquinais dès que je le pouvais. Il avait beau être génial avec moi, j'avais toujours cette petite peur, au fond de moi, qu'il me renvoie chez les parents. J'avais fuis, j'avais fuis de Londres comme une voleuse. J'avais dis aller faire une course et n'était jamais revenue. Mes parents avaient du s'inquiéter, paniquer mais je m'en fichais. Avec le temps et la réflexion, j'avais l'impression d'être un monstre, d'être une petite fille mal élevée mais les règles n'étaient pas pour moi. C'était d'ailleurs pour cela que mon grand frère était plutôt cool avec moi. Il savait très bien que me coincer entre quatre murs n'était pas la chose à faire parce que la fuite était devenue ma spécialité. Je pouvais disparaître dans la nature en un claquement de doigts et il serait impossible de me retrouver. New York était une grande ville et je pouvais toujours partir dans un autre état, par tous mes moyens puisque mes comptes en banque étaient presque vides. Je venais à peine de trouver un job dans un café qui fermait ses portes aux alentours de vingt deux heures en été. Je faisais pas mal d'heures par semaine et n'attendais plus qu'une chose : recevoir mon salaire pour pouvoir aider mon frère mais aussi pouvoir m'acheter des habits dignes de ce nom. Je n'avais jamais été à fond sur la mode mais il y avait un minimum à respecter. J'aimais être jolie et plaire et ce n'était pas dans les bouts de tissu que j'avais enfilé pendant mon mois dans la rue que j'allais faire chavirer des cœurs. Enfilant mon dernier achat, je regarda mon reflet et un léger sourire se dessina sur mon visage. Cette robe rouge sang m'allait parfaitement et me mettait bien plus en valeur que mes t-shirts et jeans troués que j'avais porté pendant mes quelques semaines dans les rues de New York. Tout cela était derrière moi mais pourtant, je n'avais pas peur d'y retourner. J'étais venue ici pour ma liberté et si trop de limites étaient posées, j'allais avoir du mal à le supporter. Sortant de la chambre, j'attachai grossièrement mes cheveux blonds et me dirigeais vers le salon où Edwin se trouvait. Je lui devais tellement et pourtant je n'étais pas un amour avec lui. J'étais distante, agressive et n'arrivais pas à lui parler, à me confier. Ce qu'il savait de mon départ de Londres ? J'en avais eu marre de l'emprise que les parents avaient sur moi et j'étais partie, du jour au lendemain sans prévenir personne. Qui allait me pleurer ? Surement personne. Depuis, nous n'avions pas vraiment discuté. Il m'avait aidé pour mon inscription à la faculté, il m'avait soutenu pour mes entretiens et voilà. Je n'étais pas très bavarde en temps normal mais il fallait avouer que depuis mon arrivée sur le sol américain, sur la terre promise, je m'étais encore plus renfermée. Lorsque j'entendis sonner à la porte, je me leva et me dirigea vers la porte, entendant quelques paroles de mon frère. Je devais attendre avant d'ouvrir ? Il me prenait pour une petite fille ou bien ? Je savais me défendre, la rue ça forme à la bagarre, qu'il ne s'inquiète pas pour moi. Sourire aux lèvres, j'ouvris la porte et déchanta rapidement. Maëlle, écoute ton frère, il ne veut que ton bien. Bouche bée devant la jeune femme, j'inspirai doucement et la regardais,cosy sur le bras. Ce n'était pas possible, aujourd'hui était une journée maudite. Je devais faire face à Olivia et sa fille. Déglutissant assez difficilement, je me décalai de devant la porte et la laissa entrer. Faisant légèrement craquer mes doigts, je dis « Je vais vous laisser parce que je suppose que tu n'es pas venue pour moi ou quoi que ce soit » Je ne pouvais plus fuir comme je l'avais fait la dernière fois que je l'avais vu et franchement, je n'étais pas prête de lui pardonner son abandon, elle m'avait abandonné comme une moins que rien, elle m'avait laissé en plan et je ne pouvais plus faire comme si de rien était. Bien entendu, aujourd'hui je serais coincée dans ma chambre et si elle voulait m'expliquer, elle le pouvait mais ce n'était pas dis que je l'accepte. Jetant un coup d'oeil au bébé qui dormait, je déglutis difficilement, attrapa une bouteille d'eau trainant près du canapé et partis en direction de ma chambre. Elle savait où j'étais et pouvait venir si elle le voulait. Oui, si elle le voulait.
Le code règlement:
→ hell yeah by j.
Dernière édition par Tyler N. Walsh le Ven 10 Aoû - 17:19, édité 20 fois
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 2:13
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 2:16
Bienvenue
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 2:24
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 2:38
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 2:44
bienvenuue bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 9:05
lachowski bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 11:15
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche Je suis contente de vous voir ici avec Marion, surtout avec mes deux scénarios N'hésites pas à me harceler de MP si tu as des questions (ou même si tu n'en as pas)
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 11:58
Bienvenue parmi nous & Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 12:05
Bienvenue! LACHOO Réserve moi un lien (a)
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 13:13
bienvenue sur le forum.
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 13:50
merci tout le monde *.* T'inquièite pas Marine si j'ai questions, je t'harcèle
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Sujet: Re: tyler noa walsh;; ❝ regrets calling like old friends ❞ Mar 7 Aoû - 14:36
bienvenue :brigitte: bonne chance pour la fin de ta fiche, et réserve-moi un lien lachowski