je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc.
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Sujet: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 18:29
FEAT. CARA DELEVINGNE
Effie Haru Lola Breslin-Comeau
19 ans → Né(e) à Newcastle le 23/05/1993 → Elle a envie d'arrêter les études, mais puisqu'elle veut que ses parents soient fiers d'elle, elle continue ses études en littérature, mais soyons franc, ça prend pas des cours pour devenir écrivain ou pour jouer de la musique. célibataire → bisexuelle → membre des rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? La demoiselle a longtemps cru qu'à ses onze ans, elle recevrait une lettre provenant de Poudlard, lui indiquant gentiment qu'elle était une sorcière ❥Elle peut facilement lire un livre de 500 pages par jour ❥Elle ne se sépare jamais de son carnet, tout comme de son sac en bandoulière brun, qui semble aussi vieux que le monde, c'est sa vie entière qui se trouve là-dedans ❥ Elle a un tatouage sur le poignet où il est écrit « Alyss » qui était le prénom de sa mère, un en arrière du genou, où il est écrit « Mickael » qui est celui de son père et un sur la nuque que c'est le chiffre 23 ❥ Elle croit en l'astrologie, au tarot et à la numérologie ❥ Elle adore l'eau, elle pourrait y passer sa vie ❥ Elle a tendance à utiliser de manière abusive « je m'en fous » ❥ Effie semble avoir beaucoup de difficulté avec le principe de garder un job, apparemment ne pas avoir un bon relationnel n'aide pas ❥ Elle déteste les souris, les hamsters, encore plus les rats, elle pourrait s'acheter un serpent, que pour donner ces foutues bestioles à manger ❥ Elle a eut deux peines d'amour dans sa vie ❥ Semble collectionner les erreurs, à l'entendre ❥ N'apprécie pas les connards qui friment ❥ Lorsqu'on lui demande elle a quel âge, elle doit toujours rajouté qu'elle a dix milles années extra-terrestre ❥ Elle aime se marrer des gens, que pour les faire chier, c'est un de ses passe-temps préférés, surtout lorsqu'il s'agit de sa tante ❥ Elle fume comme une cheminée et elle se fout légèrement du fait que « ça va nuire à ma santé », elle a essayé d'arrêter, mais elle a tendance à se trouver toujours une raison pour recommencer ❥ Elle a l'habitude de sécher tous ses cours et le fait de lui répété que l'Université ça coûte cher ne lui donne pas plus envie d'entrer dans une salle de classe ❥ Elle peut passer sa nuit sur les sims 3 à s'inventer une vie ❥Elle sait parfaitement français, anglais ❥ Depuis qu'elle est arrivée à New-York, elle a une manie pour l'auto-destruction.
★Quel est le caractère de ton personnage?
déterminée Ϟ colérique Ϟ hyperactive Ϟ imprudente Ϟ mal de vivre Ϟ cynique Ϟ sarcastique Ϟ généreuse Ϟ un sens de l'humour étrange Ϟ sociable Ϟ bavarde Ϟ introvertie
On m'a souvent décrit comme étant une personne qui semblait avoir deux personnalités bien distinctes, à croire qu'on a littéralement cru que j'étais sans doute victime de bipolarité. Non, à vrai dire, c'est tout simplement parce que je ne suis pas simple. Et j'ai un constat de psychologue pour sans doute le prouver ; apparemment, c'est dur être une demoiselle dans les temps morderne, vous ne pouvez pas croire plus vrai lorsque l'on parle de moi. Je sais ce que je veux et je suis plutôt du genre déterminée, apparemment le danger, c'est au-dessus de moi ; j'ai toujours été et je resterai comme ça. Lorsque je me fixe un objectif, je ne suis pas disons arrêtable, tout comme je suis hyperactive. J'ai l'impression désagréable parfois que mon corps est trop petit pour moi, parfois je me sens claustrophobe dans mon propre corps. C'est le mal de vivre, ça ? Plutôt moche, si vous voulez tout savoir. Je me jette à travers des personnages, des livres, corps et âmes, j'ai l'impression qu'ils m'habitent, tout simplement pour avoir l'impression d'oublier ma vie. Pathétique. Oui, c'est ça ; je suis pathétique. Je suis du genre à parler, haut et fort, et à utiliser du cynisme et du sarcasme dans toutes mes phrases, je me fous de l'opinion publique, tout comme je me fous de l'autorité. Faire une manifestation pour un oui ou pour un non, c'est tout à fait moi, utiliser des lois contre des personnes qui me disent dans le tort aussi. J'ai un élan de justice ? Pfft. C'est que pour agacer les gens. Pour qu'ils roulent les yeux bien comme il faut et qu'ils se croient tout à coup bien meilleur que moi. Les pauvres. Je les plains. Je crois que je suis plutôt introvertie, j'ai beau parlé beaucoup, les vraies choses je les dis rarement. Pour ça je crois que l'on peut dire introvertie ? Je n'aime pas les émotions, les sentiments. Encore moins chez moi.
Certains psychologues s'accorderaient sans doute pour dire que j'ai une énorme colère. Dirigée vers qui ? Sur les sept milliards d'habitant de la Terre, sur la vie en générale. Je suis comme ça, la vie me fait littéralement chier, je l'emmerde à mon tour. Parfois, j'ai envie de la prendre de court et de tout faire pour qu'elle se fasse avoir par une « stupide humaine dans mon genre », comment ? Je sais pas, mais un jour je vais trouver. Je suis loin d'être réellement facile à vivre, certaines personnes sont noires ou blanches ; moi j'aime le gris et ses teintes. Les gens naturellement m'évite et lorsqu'ils ne sont pas assez brillants pour le faire et qu'ils commencent à trouver que je suis une fille bien, ils sont plutôt déçu, en général. Orgueilleuse, rancunnière... Non, je n'ai pas tous les défauts. J'ai plusieurs qualités. Même si ça ne paraît pas sous mon équipement que je porte contre la vie, histoire de ne pas me faire mal. Je suis plutôt patiente et plutôt tolérante, allez jouer du piano devant une foule remplis de connards aux comptes bancaires remplis, me dérange. Mais devant des handicapés, je crois que ça ferait plus mon bonheur que le leur. Peut-être encore un élan de justice venant de ma part ? Aucune idée. Je suis peut-être seulement généreuse, non ? Trop simple ? Les gens ont de la difficulté avec moi parce que je ne suis pas simple et que je ne plis pas, têtue, quoi. Sauf que je suppose que lorsque je me fais connaître, je dois être sans doute attachante, même si parfois j'en doute. Mais ne vous faites pas des histoires à la guimauve, c'est plutôt difficile d'être dans ma peau et d'être dans la peau des gens qui m'entourent.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → naomie & dix-huit ans & toutes mes dents. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Sur le dos d'un poney volant, sisi. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Ouaiep . ★Présence sur le forum → Je suis trop souvent ici, si je me fies à mon amoureux . ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → woodsens pour l'avatar & baylee pour l'icône.
Mon exemple de RolePlay:
→
« Grace, fous-moi la paix t'es barbante. Et puis qu'est-ce que ça peut bien t'faire dans ton p'tit coeur si j'me drogue, hun ? Tu seras juste plus vite débarassé de moi si j'crève et tu vas pouvoir récupérer ton appart' chéri. » Je pris mon sac en bandoulière, l'aggripant sur mon épaule, portable en main et mes écouteurs dans l'autre, j'avais pas envie de m'obstiner avec Grace, pas ce soir en tout cas. À dix-neuf ans je ne serais pas sensé avoir une tante collée aux basques qui voulaient m'interdire de sortie, tout comme je n'étais pas supposé qu'elle me fasse la morale. Une tante c'était sensée vous gâtez pour votre anniversaire et à Noël, ensuite elle vous demandais si vous aviez un petit ami, dans quoi vous étudiez et blam. Fini la relation pseudo-familiale. Je n'étais pas très douée pour entretenir une relation, n'importe quelle soit-elle, alors c'était un presque miracle que certaines personnes m'endurent avec mes tendances de crises assez aigues ces derniers temps. « Achète-toi une vie, mais arrête de vouloir contrôler la mienne, ça deviens VRAIMENT énervant. J'ai DIX-NEUF ans au cas où tu l'aurais oublié. Aux yeux de la loi, je suis adulte. PAS MAJEURE, MAIS JE SUIS ADULTE QUAND MÊME. Alors, je sais ce que j'fais. » Et je claquai la porte de son appartement le plus fort possible, comme si j'avais envie que ses décorations de sa cuisine s'ébranle sur mon passage. Je lui en voulais d'essayer de ressembler à ma mère, voilà la principale source du problème entre moi et elle, sauf que j'allais jamais lui dire. Je descendis les escaliers le plus rapidement possible, comme si j'avais peur qu'elle me poursuive jusqu'à l'extérieur de l'appartemment. Habituellement, notre relation restait à l'appartemment, j'évitais de la croisée chez nous, alors on imagine pas à l'extérieur. Je n'avais pas envie que des inconnus un peu curieux nous regarde faire un coup de gueule, c'était loin d'être le genre de chose que je rêvais. J'aimais qu'on me laisse tranquille et qu'on m'oublie deux secondes ; ça allait me faire du bien.
Je sortis du logement, plaçai mes écouteurs sur mes oreilles et commença à écouter des chansons qui se trouvait sur mon portable. La canicule qui englobait la ville fit en sorte que je pris un élastique à mon poignet pour attacher mes cheveux pendant que je marchais en direction de la station de métro au coin de la rue. Sans me pressé, j'entrais dans ce dernier, les écouteurs toujours sur les oreilles. Pourquoi c'était si important de vouloir parler, d'avoir une discussion ? Quant à moi, je pourrais rester silencieuse toute ma vie et j'en serais bien heureuse. Bon peut-être pas, j'étais du genre hyperactive malgré mon manque d'heureusité (?), j'avais, la plupart du temps, envie de me morfondre plutôt que de sauter de bonheur. Et je n'avais même pas besoin de me justifier ; à mes yeux c'était normal. En fait, à mes yeux tous mes comportements se justifiaient pas une raison très bonne, alors je n'avais pas besoin d'un paragraphe du pourquoi et du comment. Je ne voulais pas entendre ce couple se dire des phrases hyper romantique ou se regarder comme s'il n'y avait qu'eux dans le wagon du métro. Je ne voulais pas non plus regarder cette vieille femme lire le New-York Times ou encore cette petite fille qui posait pleins de questions ridicules à sa mère. Je montai le son comme si je voulais que mes tympans crachent du sons, je me mordis la lèvre observant par la vitre de la porte les pans de murs en briques en ayant hâte de sortir du wagon qui avait une odeur de renfermée. Je jouais un peu avec mes vieux bracelets en tissus qui traînaient à mon poignet, puis lorsque les portes s'ouvrirent devant moi, je fus la première à sortir sans démontrer le fait que j'étais pressée. La fraîcheur de la station de métro, je traînais un peu des pieds et remonta à la surface. J'étais en plein Manhattan. J'aurais pu aller me chercher un café glacé et dire un petit « coucou » à la fille qui devait se taper le shift de ce soir, mais j'avais pas envie. Avec la chance que j'avais, si ma patronne me verrait elle allait sans doute m'ordonner de prendre un tablier et de faire quelques heures supplémentaires. Alors j'évitais le starbucks hors de mes heures de boulot.
Je me souvenais en Australie, j'aimais traîné sur la plage. Beaucoup de personnes ont besoin des autres pour se sentir bien, moi j'en ai pas spécialement de besoin. La plupart du temps j'allais me baigner dans l'océan et ensuite je m'assoyais sur ma serviette et j'écrivais. Ici, je suis incapable d'écrire j'ai le syndrôme de la page blanche ce qui me fait flipper la plupart du temps et c'est sans parler de mes problèmes sociaux avec quelques personnes. Le premier étant Leighton. Le premier en haut d'une liste qui était tout de même assez courte, enfin plus courte que celle que j'avais avant de prendre l'avion, on ne pouvait pas dire que je ne faisais pas d'efforts, c'est ce que j'aurais sans doute rétorquer si on m'avais reproché quelque chose. Mais je n'avais simplement pas envie de m'expliquer avec elle, de mettre des mots sur le genre de relation qu'on allait pouvoir avoir suite à cette nuit-là. C'était mon amie, une de mes amies les plus proches même... Sauf qu'on avait couché ensemble. Et tant mieux, je voulais enlever Kayla de ma tête et la meilleure façon c'était sans doute de se mettre quelqu'un d'autre dans sa tête ou enfin... De passer la page. Que se soit à ma façon ou à celle très -très très très- originale de manger de la crème glacée en larmoyant sur des comédies romantiques nulles, je m'en fichais. Sauf que c'était pas prévu de coucher avec une de mes amies, surtout lorsqu'on peine encore à s'affirmer en tant que bisexuelle ? J'aurais préféré qu'elle soit un homme deux secondes, ça aurait sans doute été plus évident... Enfin, beaucoup plus pour moi. :e résultat ? Ça faisait presque deux semaines qu'on s'évitait, qu'on ne s'envoyait plus de sms alors que je lui envoyait par dizaine. J'avais une certaine tendance à préféré qu'on m'oublie plutôt que d'affronter les problèmes. C'est pas très courageux, mais bon à choisir dans quel superhéro je serais, je pourrais facilement être Robyn. J'aimais mieux supporter les autres que de faire un acte en soit toute seule.
Je traversais un peu Manhattan pour me rendre dans Central Park, mes écouteurs crachant de la musique qui me faisait exploser mes tympans à plein poumon. J'aimais pas vraiment pensé. Alors, si je pouvais simplement marcher en écoutant de la musique tant mieux, ça allait me faire des vacances, je n'ai pas envie de me torturer en pensant à pleins de choses auxquelles j'ai plus envies d'enfouir au plus profond de moi et les oubliés ; doucement. Mais sûrement. J'arrivai à Central Park, ce n'était pas les forêts remplies de koalas et d'ornythorynque dans lesquelles ma mère travaillait et qu'elle m'amenait parfois, mais ce qui y ressemblait le plus ici. En fait, ça ne ressemblait absolument pas avec ces statues disposées partout et ces arbres qui poussaient en rang autour des petits chemins pour piétons. Je m'assoyais sur un banc, fixai l'horizon -en fait je fixais plus les tours qui me bloquaient la vue- tentant de trouver quelque chose, des solutions en soit. Je ne pourrais pas continuer à finir mes soirées à ne plus me souvenir de la précédente ainsi de suite. J'allais devoir me reprendre un jour et cette journée-là j'en avais peur. Ma carapace sous laquelle je me protégeais allait trop fissurée à mon goût. Je sursautai lorsque quelque chose passa devant moi, me sortant de mes pensées qui malgré la musique qui s'époumonait dans mes oreilles avaient réussies à se frayer un chemin à travers tout ça. Je fixais la personne qui avait marché concentré sur son téléphone. Me levais et marcha, m'éloignant, je devais marcher. Ce soir, j'aurais pu marcher jusqu'en Floride à pieds : j'étais incapable de rester en place. Je levai la tête, fronça des sourcils. La personne qui marchait devant moi était facile à reconnaître. Le déhanchement était familier tout comme ces cheveux blonds qui flottaient dans son dos. J'enlevais mes écouteurs, marmonant quelque chose d'incompréhensible. Une bouffée de courage, comme Robyn lorsque Batman est en danger, me vint et j'accélérai le pas. J'aggripais avec autant de force que j'avais l'intérieur de son coude pour la forcé à se retourner. « Leighton. » J'avais envie de lui jeté tout le blâme, ne pas me sentir responsable de cet éloignement soudain. Ça serait beaucoup plus facile. « Pourquoi tu m'appelles plus ou tu m'envoies plus un message ? Ça fait deux semaines que j'ai plus de nouvelles... » Réellement, c'était plus facile que d'entrer dans le vif du sujet. Non je ne suis pas courageuse. Mais au moins je l'avoue, quoi.
Le code règlement:
→ okey by Dy'
Dernière édition par Effie H.L. Breslin-Comeau le Jeu 6 Sep - 5:03, édité 8 fois
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 18:29
Well... It's my story...
« il était une fois »
toutes les bonnes vieilles histoires commencent ainsi. Les mauvaises, celles qui ne connaissent par leur happy ending, je ne sais pas si elles débutent, elles aussi comme ça. Disons que je n'étais pas là pour attendre sagement dans mon lit le début pour que je le sache, sinon je vous l'aurais dit. Je suis née en Australie, à Newcastle, pour être précise. Lorsque j'éclairci ce point, apparemment les gens me trouvent chanceuse, puisque c'est là où vit les kangourous, les koalas, bref les bestioles plus ou moins intéressantes. En fait, je n'ai aucune racine australienne, donc je ne sais même pas si je pourrais me qualifier de la sorte : mon père vient d'un coin perdu de la rive-sud de Montréal en plein Québec, alors que ma charmante maman est une exportée de New-York. Mon père un océanographe rêvant de l'Australie depuis ses années d'adolescence et ma mère, une zoologiste spécialisé en ornythorinque. Franchement, je ne sais pas si c'est leur amour l'un pour l'autre qui a réussi à me concevoir, moi, leur fille unique, ou bien leur amour pour la nature. Contrairement à toutes les jeunes filles de ce nom, je ne jouais pas avec des barbies lorsque j'étais petite ; ma mère ayant fait des études en sociologie à l'Université comme cours d'options, à compris que ces poupées étaient une forme d'éducation puérile aux jeunes filles et elle m'interdisait de jouer avec ces poupées. Tout comme je n'ai jamais écouté un film de Disney, au moins ça fait de moi que je ne rêvais pas d'aller à Disneyland. Non, ma mère me racontait des histoires de chat aveugle qui savait piloter un avion, ou bien de grandes espionnes-chasseuses de dragons, bref des histoires tirées complètement de son imagination. Elle me lisait aussi les Harry Potter. C'est peut-être déjà à cette époque, que elle, détestant les livres pour mourrir, m'a donné tout de suite donner cette piqûre. Je n'en sais rien. Mais je sais seulement que si un jour, je deviens une écrivaine, je le vaudrai à ma charmante mère et à ses histoires complètement étranges, lorsqu'on y repense. Mes parents étaient, comme pour la plupart des enfants de mon âge à l'époque, mes idoles. Mais j'avais une bonne raison de plus qu'eux ; j'avais un cadre photo de moi avec un bébé kangourou dans le salon, que parce que ma mère avait délaissé les ornythorinques pour sa fille qui trouvait légèrement plus mignon un kangourou qu'une de ces affreuses bestioles. Je sais, je parle plus de ma mère que de mon père. Mais ça n'empêche pas que ce grand homme, connaisseur des océans, n'était pas plus important. Il m'amenait à la pêche, me baigner... Bref, tout ce qui concernait l'eau, au final, quoi. Ces deux personnes m'ont environ tout appris, je voulais déjà à cette époque qu'ils soient fiers de moi.
mes déboires
Enfant, nos parents sont nos idoles. Adolescent, nos parents sont nos ennemis. L'amour que je portai pour eux ou encore mon admiration pour leur métier ne changea pas. Par contre, malheureusement pour eux j'avais une si grande soif de liberté, que je voulais qu'en faire à ma tête. Et honnêtement, ça n'a pas réellement changé, ce qui « va causer à ma perte » à entendre Grace. Bref, c'est vrai que je n'étais pas un ange, mais fallait bien s'attendre à quelque chose du genre, non ? Ouhou, période d'adolescence évoquait peut-être période de tranquilité, voguons sur les vagues ? Non. Bien sûr que non. Si on enlève les problèmes qui vont avec une poussée non désiré d'acné -quoi que la poussé en question n'était pas réellement énorme- , et bien il y a aussi les problèmes amoureux, ainsi que ceux à l'école. Oh, pour ces derniers j'avais plutôt une difficulté à être présente pendant les cours, parce que j'avais mieux à faire que d'écouter des personnes rasantes parlées éternellement (une heure et demie) sur une matière non-intéressante. Problème qui fut rapidement transmi à mes parents qui ne surent pas réellement quoi faire. J'eus le privilège d'avoir plusieurs menaces qu'ils ne mirent jamais, mais oh grand jamais à exécution. Par exemple, l'idée stupide de me faire l'école à la maison. Franchement, on aura mieux vu comme punition. Mes problèmes amoureux devinrent plus graves, lorsqu'après être tombé complètement amoureuse d'Alexis, un musicien, sans réelle ambition qui m'avait complètement écrasé, après avoir eut l'idée miraculeuse de vouloir qu'on se drogue ensemble (et dont j'avais inévitablement dit oui, parce que c'était à mes yeux, à l'époque l'homme de ma vie) et avait fait de ma vie une merde lamentable, et bien je tombai amoureuse d'une fille. Ce n'est déjà pas très clair de savoir lorsque l'on est amoureux, surtout lorsque l'on a une vie qui est loin d'être aussi jolie que la mienne, il faut dire que rendue à cette étape de ma vie, j'étais tout sauf un ange. Les journées où je n'avais pas une once de drogue dans le corps était très peu nombreux et mes parents commençaient réellement à s'inquiéter et à regarder les centre de désintoxication. J'acceptai d'aller dans un, sans réchigner. Je devais avoir encore un instinct de vie. C'est dans cet établissement que je tombai amoureuse une seconde fois ; Kayla. C'était étrange, la première fois que je la vis, j'avais l'étrange impression d'être sa bouée de sauvetage. À son entrée dans le centre, j'étais dans le hall d'entrée et lorsqu'elle fut sur le point de sembler s'évanouir, je pris soin d'essayer de l'aider le plus possible. Elle fini par ouvrir les yeux et elle me regarda longuement avant de me dire « merci ». Ses yeux bleus semblaient semblaient me transpercer au complet. C'est bizarre lorsqu'on sens qu'on tombe amoureuse de quelqu'un, vraiment.
lorsqu'on retombe
Ce n'était qu'une semaine plus tard, durant ma première réunion que je la retrouvais. Kayla Worthington. J'étais réellement amoureuse et je ne comprennais pas réellement ce qui m'arrivais. J'avais des amies, au lycée, et je ne regardais pas les filles de cet oeil. À croire que je devais reviser mon avis sur les coups de foudre. Elle aussi, elle était en centre de désoxication, elle semblait un peu plus faible que moi, par contre. On prit soin de m'amener mes études afin que je ne prenne une once de retard dans mes devoir et entre les faire ou bien fantasmer sur une fille, je n'avais pas grand chose à faire, sauf ces petites réunions. Il s'avéra qu'étrangement mon amour que je portais à Kayla fut réciproque, je le sus une journée où on s'embrassa. Commença alors ma deuxième histoire d'amour, un peu moins disons, destructrice, en fait absolument moins destructrice. J'étais vraiment heureuse avec elle, parfois je trouvais un peu étrange de croire que moi, Effie Breslin-Comeau j'avais réellement le béguin pour une nana. C'était ma baume sur mes plaies et moi je l'étais un peu sur les siennes, c'était une histoire d'amour fusionnelle. Mais en même temps, il n'y avait pas réellement grand chose de très étonnant là-dedans. Lorsque je sortis du centre, on garda contact, assurément. On se voyait les fins de semaines, pour mes parents c'était ma nouvelle meilleure amie. Je n'avais pas réellement envie de leur dire tous les détails ; ça allait pas un peu les anéantir, si ? Il y avait pleins d'émissions sur le canal qui en parlait, si vous voulez tout savoir et je n'avais personnellement, pas trop envie d'y goûter. À mes dix-huit ans, alors que je m'étais préparer à leur en parler, parce que j'en avais assez de toutes ces foutues cachoteries, mes parents eurent une grave accident de voiture. Ils décédèrent sur le choc ; un violent face-à-face. Trop sur le choc pour pleurer ce qui devait être l'équivalent de ma vie entière, j'écoutais débiter les autres. Pour une fois, ce n'est pas moi qui remplissait le vide. J'avais envie de leur arracher à tous la langue, lorsqu'ils me demandaient : « comment ça va ? » ou bien « oh mes sympathies » et « tu sais, ils étaient tellement gentils » j'en voulais pas de ces foutues excuses. Je voulais mes parents, point. Je laissais Kayla sous la colère du moment et je passai les funérailles dans la salle de bain à me droguer. La lecture du testament arriva en même temps que ma lettre d'université ; j'avais rêvé, je l'avais envoyé à Columbia, à New-York. À l'autre bout du monde. Étrangement, je fus acceptée. Un miracle, quoi. Mes parents, même si j'avais dix-huit ans et donc, techniquement considérée comme un adulte, avait préparé le « au cas où » que je sois acceptée. Ils avaient fait en sorte de garder de l'argent de côté que seule ma tante Grace, qui vivait évidemment à New-York, sur le côté de ma mère, puisse y toucher. Apparemment, ils avaient peur que je fasse une grosse gaffe avec. Ils me priaient même de partager un appartemment, un bout avec elle, de la connaître. Pfft. Pour qu'elle me fasse la morale ? Jamais. Je dus quitté l'Australie, tout de même assez vite. Je débarquai à l'aéroport JFK, une grande blonde avec un écriteau écrit Effie devant moi ; Grace, sans doute. J'allais quand même pas m'arranger pour que mes parents en haut du paradis, aille envie de soupirer en me regarder, hen. De toute façon, j'étais perdue, en deuil et je ne connaissais absolument pas New-York, sauf ce que l'on en disais, alors.
Dernière édition par Effie H.L. Breslin-Comeau le Mer 5 Sep - 21:37, édité 10 fois
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 18:32
Bon courage pour ta fiche Elle est choux cette fille
Cheyenne L. Pearson
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if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
▌MESSAGES : 5706
▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 19:22
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 19:26
Excellent choix d'avatar Elle est vraiment choue!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 19:54
Bienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 20:06
Welcome beauté whoua
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 20:34
Dylan L. Cooper a écrit:
Bon courage pour ta fiche Elle est choux cette fille
mercii je saais, je la trouve trop chouu moi aussi
Cheyenne L. Pearson a écrit:
Caleb A. Hemsworth a écrit:
Excellent choix d'avatar Elle est vraiment choue!
mercii
Lorenzo C. Loris a écrit:
Bienvenue sur le forum
mercii, même si techniquement j'suis pas nouvelle mais c'est un changement d'avatar
Matthias J. Dornovan a écrit:
Welcome beauté whoua
on parlera pas de toi
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 20:41
l'avatar : :brigitte:
rebienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 21:34
merciii pippa
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Mer 5 Sep - 21:39
Bienvenue jolie blonde !
Merdum Effie, j'ai pas fait gaffe. Tu changes de comptes ou quoi ?
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Jeu 6 Sep - 3:07
Non, non C'est le même personnage, je change seulement d'avatar
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Jeu 6 Sep - 10:51
waouh très bon choix d'avatar !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc. Jeu 6 Sep - 17:48
Validée !
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Sujet: Re: je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc.
je vais me suicider avec tes yogourts périmés ✖ ehlbc.
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