FEAT. Rick Genest

Zorro Edward Logan

23 ans → Né(e) à Londres le 13/01/1989 → Acteur X
célibataire → bisexuel → membre des rebels.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ Souplesse et élégance, sa démarche tranche avec le style qu'il affiche. Des Docs, fringues troués, perfecto en cuir, des tatouages sur toutes les parties du corps ( J'ai bien dis toutes en effet), des piercings un peu partout. Une voix suave, douce et mélodieuse, ce qui peut provoquer l'étonnement voir le rire. Néanmoins son ton reste glacial à faire refroidir le Sahara. Quant à son sourire, il est souvent dénué de sentiment tout en restant d'un naturel exacerbé. Il est impossible de décrire la nature de ses pensées, ses ressentiments que ce soit dans ses yeux, dans sa façon de parler ou même sur son sourire. Son visage reste continuellement impassible et fermé. Grand, pas vraiment musclé sans être squelettique, il a même cette petite brioche caractéristique du bon vivant. Grossier dans ses paroles, et dans ses manières ils se contrefiche de ce qu'on peut penser de lui. Zorro se complait dans sa bulle qu'il s'est crée.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Les apparences sont trompeuses, l'adage ne fait pas exception ici, bien au contraire. Au delà de cette barrière de tatouage qu'il arbore, Zorro n'en reste pas moins un homme derrière le masque effrité qu'il s'est construit. Il suffit parfois de creuser dans cette masse rocailleuse qu'est Monsieur Logan pour voir qu'à l'intérieur ce n'est qu'un cœur blessé qu'on y trouve. Parfois froid dans ses paroles, il n'en reste pas moins tendre et généreux. Méfiant envers la race humaine, il est incapable de s'engager dans une quelconque relation que se soit en amitié ou un amour de peur que son côté sensible ne soit une nouvelle fois blessé. Les déceptions il connaît, et c'est bien pour cette raison qu'il préfère qu'on le déteste . N'est-ce pas plus simple ainsi ? Loin d'être sûr de lui, il doute sans cesse sur toutes les choses futiles telle que sa propre existence avec une pointe de philosophie dans ses raisonnements. Anticonformiste, désintéressé, voir même marginal il ne supporte pas entrer dans le moule que la société nous dicte. L'argent ? Quelle importance ? Zorro prône le liberté de faire ce qu'il veut, quand il le veut. D'un franc parlé, c'est le genre d'homme à dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Le londonien se fiche pas mal des conséquences de ses actes, il fonce tête baissée dans le tas. Galant dans la limite old school, il sera le premier à tirer votre chaise mesdemoiselles et messsieurs. Si vous pouvez faire confiance à quelqu'un, c'est bien lui. En effet, il n'ignorera jamais une personne en difficulté, que vous êtes un inconnu, un ami, ou même de la famille. On pourrait définir ça par un comportement chevaleresque. Son intuition développé lui permet de vous cerner en quelques minutes bien souvent, mais Zorro ne s'arrête rarement à son propre jugement sans l'amour constaté. A l'image de saint-Thomas, il ne croit que ce qu'il voit. L'ombre au tableau reste sa dépendance à la drogue dure qui peut lui faire changer en une personne qu'il n'est pas. L'effet néfaste de celle-ci est destructrice, il devient un homme violent et arrogant, regrettant amèrement ses actes pour peu qu'il s'en souvienne. Clairement, il peut se montrer adorable, vous violer et ne plus s'en souvenir par la suite. Enjoy.

Well... It's my story...

«  Maintenant une question de protocole. Pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue? »

Londres ses belles maisons, ses beaux quartiers, ses centres d'affaire, ses magasins bourgeois, ses belles voitures, ses musés célèbres, sa culture, le palais. Voilà le point de vu d'un touriste. Mais dans cette ville célèbre où le mètre carré de certains quartiers, comme Notting Hill frôle les 70 000 euros, la classe moyenne n'a plus sa place dans l'exubérance de Londres. Vu de l’extérieur, cette maison mitoyenne n'est pas différente des autres mais dès qu'on passe le seuil de la porte d'entrée, on remarque l'état d'insalubrité de l'endroit. Les fissures sur les murs d'un papier peint défraîchi et du plafond jauni par le tabac menace de s'écrouler à tout instant. L'absence de chauffage donne à la maison l'impression d'être en hiver toute l'année. Quant aux meubles, ils se limitent à des vieux matelas entassés sur un parquet d'un âge dépassé. L'odeur qui émane de l'endroit entre l'humidité, la moisissure, le joint et la transpiration, ferait fuir une colonie de bestioles indésirables. Exception faite pour les cafards qui ont aussi élus domicile dans ce lieu. Des cris d'agonies se cognent contre les murs, brisant le silence morbide qui régnait dans ce milieu d'après-midi pluvieux. Terrorisée par la douleur qu'elle ressent, incapable de la comprendre elle fait ce qu'elle a toujours su faire. Cassidy retire sa ceinture et la serre fermement sur son bras. La seringue en main, elle enfonce d'une main tremblante mais experte l’aiguille dans sa veine grossie se plante. Dose de bonheur artificielle. La seconde après, l’adolescente plane. La frénésie de son cœur se calme enfin alors que la douleur s'étouffe pour devenir supportable. Elle ne sent à présent plus rien. Pas même le vent sur son épiderme. Brûlante de fièvre, elle retire ses vêtements, s'allonge sur le dos en contemplant le plafond. Le cri d'un nouveau né vient de nouveau briser le silence et la jeune mère remarque enfin la présence de son enfant. Bienvenue au monde Edward.

La mère se redresse vivement, ses yeux paniqués se posent sur ce bébé qui ne cesse d'hurler. L'incompréhension total. Ce n'était pas le sien. Elle n'a jamais été enceinte. C'était impossible. Son instinct maternelle la pousse à le prendre dans ses bras d'un geste fébrile. Ouais mais il l'a pousse aussi à se rhabiller et le soir venu, le déposer dans une benne à ordure. Il n'y a jamais eu d'enfant

« C'est votre vie et elle s'achève minute après minutes »

Zorro fait la une des journaux de Londres. Des parents en mal d'enfant se pressent pour pouvoir déposer un dossier de candidature pour cet enfant qui se bat courageusement entre la vie et la mort depuis des jours. Son sang est pourri par la drogue et son frêle corps de prématuré réclame sa dose. C'est un miracle qu'il soit toujours en vie et qu'il n'est aucun déficient physique et mental au vu du taux de substances illicites découvertes dans son organisme. Un long combat pour la vie qui a duré près de deux mois. Pendant ce temps, les dossiers d'adoptions sont épluchés pour lui offrir la meilleure vie possible. Le ticket gagnant tombe sur un couple qui n'a plus la possibilité d'avoir un enfant. Le père un avocat reconnu dans toute la ville pour n'avoir perdu aucun procès le long de sa carrière, une mère venant d'une classe aisée qui s'occupe dans leur fille de trois ans, Phoénix, avec dévotion. Une famille idéale en somme. Seulement en apparence.

« Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout. »

Plus vite. Encore plus vite. La respiration haletante, mes jambes n'ont de cessent d'accélérer encore la cadence. Je cours à m'en faire exploser les poumons, comme si ma vie dépendait de se sprint. C'était d'ailleurs presque le cas. « Dépêche toi Zorro ! Là, ici, tourne ! » J'obéis à sa voix délicate comme un chien à celle de son maûtre. Je tourne et m'arrête contre un mur. La respiration haletante, je n'ai pas le temps de la récupérer que déjà, ses lèvres viennent violer les miennes avec envie. Je ne peux pas m'empêcher de sourire comme un imbécile heureux contre celles-ci. Ma main se glisse dans ses longs cheveux blonds lorsqu'elle coupe notre baiser. « Encore... » Je pourrais supplier Phoénix pendant des heures pour qu'elle m'offre ne serait-ce que ses lèvres rosées. Nous sommes jeunes ce soir là, innocents, la nuit nous appartient. Les règles sont faites pour être transgressées. Elle me regarde et dénoue ma cravate, provocatrice. Lorsqu'elle déboutonne ma chemise, que ses mains viennent caresser mon épiderme, mon corps entier se mets en alerte. Il s'enflamme littéralement. En quelques minutes, nous sommes nus, et contre un mur, elle est à moi. La passion de l'interdit nous dévore. Nous sommes ailleurs et ici en même temps. Elle est ma demi-soeur mais aucun de nous ne semble s'en soucier une seconde.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Chupa-Chups, 21 ans.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je me suis déjà inscrire sans avoir pu terminer ma fiche.
★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop'.
★Présence sur le forum → Régulière.
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
★Crédit images → Bazzart.

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

Preum's ! ♥
Youuuhou ~ Encore un Logaaaan !

Welcome here & Have fun !

Dans le genre perso fou, je pense qu'en effet, tu te poses là !
Bienvenue et bon courage pour ta fiche !

oh god le titre

Bienvenue chez nous

Rick Genest! (je veux un lien! *pan*)

Bienvenue sur le forum et bonne fiche à toi! =)

Mouahahahaha merci beaucoup **
En effet, j'aime bien faire dans l'original et le tordu, marque de fabrique
J'irais zieuter ta fiche Mer' dès que j'aurais terminé la mienne **

ooh gosh ton titre est mortel j'ai hate de lire ta fiche
bienvenuuuee

Bienvenue

Le titre + rick genest + zorro
bienvenuue & bon courage pour ta fiche.

OMG! Rick Genest!

Excellent choix d'avatar!!!!

le prénom rick m'a toujours impressionné avec ses tatouages
réserve moi un lien

Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche. :brigitte:

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche

Re-Bienvenue officiellement alors
N'hésite pas si tu as besoin

Bienvenue!

BIENVENUE !!!

cool le perso, Zombie Man !!!

Welcome, mec aux tatoos

Quand je vois le métier, je comprend mieux pourquoi ça se passe comme ça sur la cb

Dylan L. Cooper a écrit:

Quand je vois le métier, je comprend mieux pourquoi ça se passe comme ça sur la cb

bienvenue

bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche

Welcome in NYC

Riiiick. Ton personnage promet.
Bienvenue parmi nous

bienvenue & bon courage pour ta fiche