Sujet: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 22:36
FEAT. HANNA BETH
Kayla Mab WORTHINGTON
22 ans → Né(e) à Newcastle le 13/02/1990 → Etudes (en stage pour le moment), de journalisme. célibataire → Bisexuelle → membre des Ordinaries.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? Quand elle avait vingt ans, elle est allée dans un centre de désintoxication. • Elle témoignait non seulement d'une fort dépendance à la drogue, mais aussi d'anorexie, dont elle garde encore quelques séquelles. • A sa sortie, elle a décidé de se reprendre en main. • Elle est plutôt petite pour son âge et elle rétorque "tout ce qui est petit et mignon", à chaque fois qu'on le lui fait remarquer. • Elle arbore un piercing au nez, qu’elle ne met pas souvent, et un piercing juste au-dessus de la lèvre. • Elle aime énormément les fées, depuis son enfance, et en possède une tatouée sur le ventre. • Elle a d'ailleurs un autre tatouage, un cupcake sur son bras droit. • Quand elle était petite, elle avait un poisson rouge appelé Clochette, qui est mort par overdose de nourriture, et son deuil a durer une semaine. • Son deuxième prénom, Mab, lui vient d'ailleurs d'une fée. • Elle n’est pas fan des voitures, préférant largement marcher, dès qu'elle le peut (elle n'a d'ailleurs pas le permis de conduire). • Elle adore les robes et met peu souvent des jean, ou à la rigueur, elle tolère les leggins, quand il fait trop froid. • Elle porte souvent des talons. • Elle adore la musique et ne sort jamais sans son mp3. • Elle a toujours un ou deux magazines à portée de main, au cas où, et en lit beaucoup. • Sa phrase fétiche est « si l’on doit mourir, autant vivre à en crever ». • Elle adore être prise en photo, mais ne le fait jamais toute seule. • Elle n’arrive jamais à s’empêcher de critiquer un film qu’elle est en train de regarder, même - et surtout - si elle n'est pas seule. • Elle arrive toujours, par on ne sait quel miracle, à casser ses téléphones portable, si bien que depuis, elle en achète toujours des d'occasion et peu chers. • Elle ne dit jamais non à un bon cupcake, son péché mignon. • Elle adore les pandas et les pingouins. • Elle rêve d'avoir un bébé panda qu'elle pourrait câliner et serrer dans ses bras.
★Quel est le caractère de ton personnage? Le caractère de Kayla ? Pour faire simple, cette demoiselle est une véritable boule d'énergie, une petite chose pleine de vie, amusante et extravagante, qui croque la vie à pleine dent, se fait souvent remarquer et surtout, adore ça. Quand elle a quelque chose en tête, elle s'y lance à fond, avec une passion phénoménale, un entêtement sans borne et une impulsivité étonnante. Et tout ça, finalement, pour ne s'arrêter qu'une fois son idée mise en application. Très souvent joyeuse, depuis qu'elle est sortie du centre de désintoxication, elle a totalement changé et ne touche plus autant qu'avant à l'alcool et à la drogue. Maintenant, quand elle va mal, elle préfère se tourner vers toute autre activité - notamment tout ce qui touche à la créativité - pour se détendre. Elle n'a presque aucune honte et n'hésite jamais à confier ses sentiments en toute franchise. Peu importe à quel point parler de ce qu'elle ressent peut être douloureux et réveiller ses vieux démons, elle a découvert que se confier aide tout de même à aller beaucoup mieux. Elle est d'ailleurs particulièrement franche et dit souvent ce qu'elle pense, sans vraiment se soucier des conséquences, ce qui a tendance à lui porter préjudice. Inutile donc de préciser que quand il faut remettre quelqu'un à sa place, la demoiselle se porte volontaire sans aucun soucis et accomplit cette tâche avec zèle. Quand quelqu'un l'insupporte, elle n'a pas peur de le lui dire et ça, au détriment du bon sens. A vrai dire, elle ne sait vraiment pas tourner sa langue sept fois dans sa bouches avant de parler. Elle est un peu trop impatiente et impulsive pour ça. Mais derrière tout ça, il faut savoir que la jeune femme est extrêmement colérique. Très susceptible, elle se met en colère pour un rien et là, c'est l'explosion. Son visage s'embrase, ses pensées aussi, son coeur s'accélère et ses lèvres, peinant à suivre le rythme intrépide de ses pensées, buttent sur des mots si faciles à prononcer que ça en deviendrait presque risible. Quand elle est énervée, il vaut mieux ne pas rester dans les parages, parce qu'elle n'y va vraiment pas de main morte. Et, quand elle est au summum de sa forme, il peut lui arriver de casser des objets.
Well... It's my story...
Effie,
La vie n'est pas toujours simple, Effie, tu es bien placée pour le savoir, n'est-ce pas ? Pourtant, tout avait bien commencé, pour moi. Qui aurait pu croire que ça tournerait aussi mal ?
Durant mon enfance, je n'ai jamais manqué de rien, mes parents m'aimaient et le montraient, j'avais des amis, tous les jeux que je voulais absolument. J'étais heureuse, en somme, bercée par les contes de fées qui me passionnaient tant. Seulement mes parents étaient un peu trop présents, un peu trop... collants. Or, tu sais bien que justement, plus les parents sont étouffants, plus le rejet lors de l'adolescence est rude. Ma crise d'adolescente fut donc particulièrement brutale. Je me mis, presque du jour au lendemain, a rejeter mes parents. Je passais mon temps à traîner tard en boîte ou dans la rue, je passais tous mon temps chez des potes, je négligeais mes devoirs, je séchais régulièrement - ce qui me valut d'ailleurs le suprême honneur de redoubler une année. Et tout ça, en me disant que ce n'était pas grave, que s'il y avait un problème, ma mère et mon père s'en chargeraient. Tout ce qui m'importait à cette époque était de vivre ma vie comme je l'entendais et surtout, surtout, de me rebeller contre tout et n'importe quoi, contre l'autorité, contre mes professeurs, contre le caissier du supermarché. Tout le monde y passait, je n'avais aucune limite. Néanmoins, cette période aurait pu prendre fin lentement mais sûrement, j'aurai pu finir pas me calmer tout doucement, une fois l'adolescence bien entamée. Mais ce ne fut pas le cas. Tu veux savoir pourquoi ? Parce que je l'ai rencontré, lui. Il avait trois ans de plus que moi, il était grand, il était beau et il se fichait de tout. Dès que je l'ai rencontré, je suis tombée amoureuse de lui. Enfin, avec du recul, je pense que seule l'aura de danger qu'il traînait derrière lui m'attirait. On est sorti ensemble un long, très long moment. Il m'initia, puis me fournit en drogues, en alcool, en tout, et moi je le suivais comme un bon petit toutou, je me pendais à son bras, je l'aimais, je l'admirais, je nourrissais son ego. Je pensais être heureuse. Je pensais que cette période ne prendrait jamais fin. Pourtant, mes parents ont fini par se rendre compte que quelque chose clochait, quand j'avais dix-sept ans. Ils se sont rendus compte que je me droguais et là, tout s'est effrité autour de moi. Ils m'ont consigné dans ma chambre, ils me sermonnaient tous les jours, ils me surveillaient à l'entrée de mon lycée. Mais ils ne pouvait pas aller à l'intérieur. Lui, si. Alors il m'y retrouvait, tous les jours, me fournissant ma nouvelle dose. On aurait pu continuer ainsi un long moment, je m'en serais contentée. Mais lui, non. Il voulait plus. Il voulait qu'on se voit tout le temps, comme avant. Il m'a exposé son idée, il m'a dit qu'il voulait partir, voyager dans le pays, voir du monde. Et j'ai approuvé. Il aurait décidé de faire un voyage sur le lune, j'aurai accepté. Mais il ne me l'a jamais demandé. Le lendemain, pendant la première récréation du matin, je suis partie avec lui, dans sa voiture, en le regardant, en l'admirant, en me disant que j'avais de la chance de l'avoir rencontré. Et le tout, sans me soucier un instant des conséquences de mon acte. Quand, plus tard, l’administration du lycée a appelé mes parents pour leur dire que je n'étais pas en cours, il était déjà trop tard. J'étais loin, je m'amusais comme une folle, j'étais avec celui que j'aimais, j'étais au comble du bonheur. Sur un coup de tête, alors qu'on s'était arrêté dans une ville dont le nom m'échappe totalement, je me fis mon premier tatouage, ma petite fée sur le ventre, comme pour me rappeler qui j'étais. Puis quelques jours plus tard, je me fis faire mes piercings, juste parce qu'il aimait ça, juste parce qu'il voulait que je m'en fasse faire, et que je l'avais écouté sans protester, comme d'habitude.
Je comptais ne jamais revenir dans ma ville natale. Je ne voulais plus revoir Newcastle, cette ville que j'avais fini par mépriser. Pourtant, ma prière ne fut pas exaucée. Après quelques temps, un temps si malheureusement court, les policiers me trouvèrent et me ramenèrent chez moi. Comme je leur en voulais, à mes parents ! C'était de leur faute si j'étais de retour à la case départ, de leur faute si tous mes rêves s'étaient brisés devant moi... Je les haï, pour ça. Je les haï si fort, si tu savais... Et à partir de ce moment, je n'avais plus qu’une hâte. Je me mis à compter les jours qui passaient, un par un, attendant qu'enfin vienne mon anniversaire, que je puisse enfin fêter mes dix-huit ans. Je pensais à lui à chaque instant. Lui, par contre, n'était pas revenu me voir. Comment l'aurait-il pu ? Je prenais des cours à domicile, maintenant. Mes parents m'interdisaient toute sortie. Ma maison était ma prison. Pourtant, je ne cessais pas de rêver, je ne cessais pas de rêver, en me disant qu'il reviendrait, qu'il viendrait me chercher et que nous nous enfuirions à nouveau. J'avais besoin de croire en quelque chose pour tenir le coup, pour survivre. Cette période de ma vie fut un véritable enfer. Brutalement coupée de toute drogue, je ressentais le manque dans chacune de mes pensées, dans chacune des mes tripes. J'enchaînai crises de larmes, de paranoïa et de colère intense, sans vraiment en tenir compte. J'étais pratiquement tout le temps énervée à cette époque, Effie, et je crois que malgré mon changement presque complet, cette partie de moi est restée bien ancré dans ma personne.
Et finalement, je fêtais mes dix-huit ans. Quelle joie, quelle libération ! Ce jour-là, je ne pris même pas la peine de m'expliquer ou de préparer des affaires, je sortis de chez moi, tout simplement, mes parents n'ayant plus le droit de me garder enfermée comme ça. Puis je marchais. Je marchais, sans m'arrêter. Au début, je ne savais pas où aller. Et je me suis rappelée où il habitait. N'hésitant qu'une seconde, je m'y dirigeai tout naturellement, mes pas connaissant le chemin par coeur. Quand il vint m'ouvrir la porte, il sourit et je compris qu'il m'attendait, qu'il m'avait attendu tout ce temps. J'entrai. Et ce faisant, je franchis un tournant décisif, dans ma vie. L'ère de la drogue et de l'alcool avait recommencé, mais d'une manière plus violente qu'avant. J'étais majeure, j'avais le droit de boire, de me saouler, et je ne m'en privais pas. A cette époque, je me mis à faire n'importe quoi. Mais vraiment n'importe quoi. Je buvais presque jusqu'au comas, je me droguais jusqu'à ne plus pouvoir distinguer ma droite de ma gauche, je cessais presque de me nourrir, car il préférait les filles minces. Je me cramais le cerveau, je me bousillais la santé. Et j'aimais ça. J'ai même essayé de dealer, une fois, mais sans grand résultat et j'ai préféré abandonné. Il s'en chargeait. Il se chargeait de tout. Je lui vouais une confiance aveugle, j'aurai risqué ma vie, pour lui. Mais je n'eus pas à le faire. Ou plutôt, je ne pus pas le faire. Un soir alors que j'avais vingt ans, sans prévenir, les policiers débarquèrent et embarquèrent tout le monde. Moi y compris. Mais nous fûmes séparés en cours de route. Trop droguée pour réagir, je me laissais faire avec une docilité à faire peur, ils me traînèrent comme une simple poupée de chiffon. J’aperçus brièvement les visages inquiets de mes parents, puis des arbres, une route, un bâtiment. Je ne voyais que des images floues et fugitives, je ne voulais pas en voir plus, je ne désirais que m'endormir. Et c'est ainsi que je m'évanouis, dans le centre de désintoxication, sans savoir où j'étais, sans même tenter de résister à ce sommeil sans rêve qui m’engloutit avec férocité.
A mon réveil, quelques heures plus tard, tout avait changé pour moi. Inconsciemment, je m'étais rendue compte de ce qui s'était passé, mais tout devint plus réveil dès que je repris conscience. Le monde avait perdu ses couleurs, tout me semblait vide, comme si chaque espace aurait dû être comblé par sa présence, ma vue s'obscurcissait. J'avais perdu mon rayon de soleil, tout était sombre autour de moi. Et puis je t'ai vue, Effie et tu as illuminé la pièce, tu m'as rendue ma lumière. Sais-tu ce qu'est un coup de foudre ? Ce fut le cas à cet instant, cet instant précis où je t'ai aperçu pour la première fois et où, encore à demi enfoncée dans les brumes de mon cerveau, mon seul instinct fut de me précipiter vers toi, pour que tu ne partes pas. Mais rapide comme l'éclair, tu avais déjà disparue. Le monde s'est de nouveau empli de gris. Et je me suis rendormie, ravagée par le chagrin et le désespoir. Par la suite, je n'eus même pas le réflexe de te chercher. Pour moi, tu n'avais été qu'un rêve de drogué, un fantasme étrange et pourtant si magnifique. J'ai mis un long moment avant d'arriver à me convaincre que tu n'avais jamais existé ; et quand j'y suis enfin arrivée, tu réapparus dans ma vie, avec la brusquerie d'un ouragan. Et je crois bien que ce jour-là, quand je t'ai vue à cette réunion, quand je me suis rendu compte que tu existais pour de vrai, ce fut le moment le plus heureux de mon existence. A partir de ce jour, je priais pour te voir, ne serait-ce qu'au détour d'un couloir. J'étais faible et fragile, et tu étais comme ma drogue, alors même que je ne te connaissais pas, tout d'abord. J'en venais même à espérer chaque matin que tu me regarderais, me parlerais, me sourirais, et que je puisse enfin être heureuse à nouveau, ne serait-ce que quelques secondes... Je te laisse donc imaginer quelle ne fut pas ma joie, le jour où nous nous sommes embrassées pour la première fois. Lui, je n'y pensais plus du tout. Quand tu avais débarqué, c'est comme si tu lui avais pris sa place. Je t'aimais passionnément. Et nous commençâmes à sortir ensemble. Tu étais tout pour moi, ma bouffée d'oxygène, ma pilule de vitamines, ma barre de chocolat réconfortante. Tu remplissais toutes ses catégories et je crois bien que sans toi, je ne m'en serais jamais sortie. Même après que tu aies quitté le centre, chacune de tes visites illuminait ma vie pour la semaine qui suivait, semaine que je passais loin de toi et qui me paraissait désespérément longue... Ils avaient essayé de me trouver une occupation, de me donner des cours, de m'éduquer, mais rien ne me plaisait tant que de sommeiller en pensant à dehors. J'avais changé. J'avais irrémédiablement changé. Et ça, grâce à toi.
Et finalement, je sortis également. Dehors, ensemble, nous passâmes une longue année de pure bonheur et de pure merveille. Ce fut pendant cette année que je me fis tatouée le cupcake qu j'affectionne tant, et que je commençais des études de journalisme, le tout avec l'aide de ton soutien sans faille. Tu étais la personne qui comptait le plus, pour moi, et ce malgré mes discussions régulières avec mes parents. J'essayais de renouer contact avec eux, d'apprendre à leur parler à nouveau sans leur en vouloir. Mais il y avait tellement de tension entre nous, tellement de non-dits, tellement de rancoeur... J'avais creusé un fossé énorme entre eux et moi, et je pense que jamais je n'arriverais à le combler, ce trou. Mais je m'en fichais, parce que je t'avais toi. Je pensais que nous resterions encore longtemps ensemble, qu'à tes côtés, je pourrai tout affronter. Pas une seconde je n'ai pensé que le problème viendrait de toi. Et le jour où tes parents moururent, le jour où je te vis, si triste et si désespérée, je me suis sentie tomber avec toi dans ce gouffre noire comme de la suie. L'as-tu remarqué, ça ? Je t'aurais réconforté et aurais réchauffé ton coeur autant que possible, si tu m'en avais laissé l'occasion. Mais tu ne l'as pas fait. Et tu es partie. Le jour où tu as rompu avec moi, j'ai perdu mon seul et unique repère dans ce monde. Inutile de te décrire ce que j'ai ressenti, n'est-ce pas ? Je pense que tu peux le deviner. Après ton départ, j'ai tenté de me relever, d'apprendre à vivre sans toi, de tourner la page. Après tout, tu étais l'élément centra de ma nouvelle vie... Finalement, j'ai réussi, à demi. Je ne voulais pas t'oublier, je ne voulais pas oublier que j'étais devenue ce que je suis maintenant, grâce à toi. Je redevins joyeuse et énergique, comme au temps de notre relation. Pourtant, malgré tout, dès que quelqu'un mentionnais ton nom près de moi, je m’énervais. Tu la connais bien cette colère, pas vrai ? Celle qui fait rougir mes joues, battre mon coeur plus vite, celle qui transforme mon sang en torrent de magma. Mais je continuais à me voiler la face, je savais ce que je ressentais, tout le monde le savait également, mais je ne cessais de me répéter que tout était fini entre nous, que je n'éprouverai bientôt plus qu'une vague tendresse envers toi. Nous n'avons plus eu de nouvelle pendant des mois et des mois. Je voulais cesser de penser à toi, je voulais cesser de t'aimer et je crois que je commençais à y parvenir, lentement mais sûrement. Puis j'ai retrouvé une photo de nous deux, souriantes, nous semblions si heureuse... Et je me suis rappelée de tout. Tout ce que tu avais fait pour moi, tout ce que je m'étais promis de faire pour toi. Le soir-même, je fis mes bagages et pris un vol pour New-York, la ville où je savais que tu habitais désormais, sans même réfléchir aux conséquences de ce voyage. Malgré notre rupture, j'étais fermement convaincue que je pourrai t'aider. J'étais convaincue que tu me laisserais t'aider.
Maintenant que je suis à New-York, Effie, maintenant que je suis si près de toi que j'ai l’impression de sentir ton odeur partout où je passe, maintenant que nous sommes de nouveau réunies dans la même ville, me laisseras-tu être ta lumière ? Me laisseras-tu éclairer ces ténèbres dans lesquelles tu t'es si profondément enfoncée, et que je pourrais faire disparaître d'un simple coup de baguette magique ?
Kayla, ta petite fée.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Alice & 16 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Euh... PRD. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Eh non. o/ ★Présence sur le forum → Ca varie. :/ Disons comme maintenant que je me suis mise à l'organisation (oh !), je pourrais probablement passer plusieurs fois par semaine, même si ce serait en coup de vent, parfois. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario ! De Effie. *___* ★Crédit images → Kazumi (avatar & icône).
Mon exemple de RolePlay:
Ce matin, levé sept heures. Comme d’habitude. Il m’est impossible de me réveiller plus tard, vraiment, j’ai déjà essayé. Mon corps s’est habitué, mon corps a encore peur d’être blessé. Conneries. J’file casser la croûte au réfectoire, puis je commence ma petite heure de footing régulier. Des fois, j’me dis que ce soit ici ou là-bas, c’est la même routine. A quoi bon être parti, alors ? Mais j’peux pas lutter contre ma mémoire et les souvenirs qu’elle me balance, quand je ne fais pas les mêmes choses que j'avais l'habitude de faire, quand j'étais là-bas. Ça m’a traumatisé. Et selon les psys, j’garderais des séquelles toute ma vie. Sauf si j’ai la chance de perdre la mémoire. Charmant, hein ? Les psys sont comme des anges tombés du ciel qui nous rassurent de manière si agréable. Ouais. Que des conneries.
Après mon footing, j’prends une douche, j’m’habille, puis je erre dans l’institut. Y a pas énormément de monde, il est encore tôt, à peine huit heures et demi. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir foutre jusqu’au déjeuner ? Ou au moins jusqu’au réveille d’Ariel ou de Leni ? La question se pose pas. Faire chier le monde. Ou plutôt, pour le moment, mon meilleur pote. J’débarque dans la cellule sans crier gares, pour lui faucher sa couverture et le secouer jusqu’à le réveiller. On m’dit parfois que je suis suicidaire, de faire ça. Mais j’sais qu’il m’en tiendra pas rigueur, il m’en veut jamais bien longtemps, de toute manière. Il paraît que ça fait partie de mon charme. Mais j’doute vraiment d’en avoir un, de charme.
Nous passons donc toute la matinée ensemble, à nous amuser comme on peut avec les moyens du bord. Puis il m’annonce qu’il va manger avec ses amis rebelles et j’le laisse filer. Comme si j’avais envie de m’incruster à leur table. Probablement qu’ils vont parler de leurs plans. Ça, par contre, ça m’intéresserait. De quelle manière me remercierait Stark, si j’arrivais, seul, à déjouer leurs magouilles ? Très bien, pour sûr. Mais ce rêve en restera un, de rêve. Tout le monde sait bien que j’appartiens aux corrompus, ils me laisseront jamais écouter leurs discussions classées top secrètes. Quel dommage. J’me dirige à mon tour vers le réfectoire, j’prends un plateau qui j’encombre d’un bout de viande, de tomates, de salade et d’une pomme. Tout est équilibré, sain. Même en me forçant, j’arriverais plus à manger quelque chose de juger trop gras ou trop sucré par ce cher Julian. Puis quand je lève la tête, j’vois Ariel, assise à une table, qui me fait signe. J’lui souris et me dirige rapidement vers elle, bousculant Katniss au passage. Et bien évidemment, son plateau lui tombe dessus. Oups. Ou pas. J’m’arrête pour évaluer les dégâts, d’un regard moqueur. Elle semble vraiment en rogne. J’ai un don pour l’énerver, de toute manière.
▬ Hé, calme Katou, tu te donnes en spectacle, là ! Ton fan-club va être très content.
J’sais qu’elle déteste être humiliée devait d’autres personnes, que ce soient des corrompus ou des rebelles et ça m’fait rire. Elle tient trop à son p’tit statut de reine que personne n’ose toucher au risque de voir son cadavre nourrir les poissons ou d’autres bêtes bien plus féroces. Mais moi, j’ai jamais eu ce problème. Nos petites disputes se terminent jamais en bagarre et c’est tant mieux. J’déteste ça, la souffrance. J’suis pas fait pour me battre. Ou alors, contre quelqu’un de moitié plus faible que moi, qui ne pourra pas m’apporter un seul coup. Ouais, j’suis faible, et alors ? Sauf quand j’suis obligé, j’préfère me battre avec mes mots. C’est plus efficace de détruire quelqu’un mentalement.
▬ T’es vraiment con…
J’lui souris avec indulgence. C‘est pas la première personne à m’dire ça. Pas du tout, même. Mais je suis habitué. Disons même que c’est en tout état de cause que je fais tout ça. J’préfère quand les gens me prennent pour quelqu’un de stupide. C’est plus accommodant. J’lui fais ensuite un clin d’œil.
▬ Illumination subite ? Tu viens de t’en rendre compte ? J’pensais vraiment que t’étais plus rapide que ça, j’suis déçu !
Tout en parlant, j’la regarde tenter de sauver sa robe. Bon sur le coup, c’est pas terrible. Elle va avoir du mal à tout faire partir. Mais franchement, si c’était à refaire, je le referais ! La voir en colère est un spectacle dont je ne me lasse jamais. C’est très divertissant. J’détourne la tête pour regarder à droite et à gauche, mais tout le monde semble s’être lassé du spectacle. Dommage.
Le code règlement:
→ OKAY BY AARONLEBG
Dernière édition par Kayla M. Worthington le Sam 20 Oct - 12:01, édité 13 fois
Katerina M. Lehtonen
Empire State of Mind
what doesn't kill you makes you stronger
▌INSCRIT LE : 15/04/2012
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▌ADRESSE : 5614 Dodgewood Road #404, Bronx. avec un enfoiré & un tatoué.
▌CÉLÉBRITÉ : Demetria Devonne Lovato.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 22:38
Bienvenue chez nous
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 22:38
Bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas j'édite ton code qui est bon !
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 22:40
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 22:45
Merci beaucoup pour votre accueil ! *__* Je n'hésiterais pas, alors.
(Je rêve où je viens de voir vu Bob L'Eponge passé ? )
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 22:46
Bienvenue ! Excellent choix de scenario !
Dernière édition par Hunter Brunkhorst le Mer 17 Oct - 23:06, édité 1 fois
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 22:55
Merci beaucoup. Et faudrait dire ça à Effie !
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 22:57
Ça fait un bail que je ne l'ai pas vue sur un forum Bienvenue parmi nous. :brigitte:
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 22:59
Et c'est un Yuri Pleskun qui dit ça ? :3 (En fait, cette célébrité je l'ai vu qu'une fois sur un forum & la personne est resté une semaine... Bref.) J'aime. *___*
Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 23:15
Haaaaaaaaaaaaannaaaaaaaaaaaaaaa (bon c'est la joueuse qui paaarle mais iiih ) BREF BIENVENUE sur nycl
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 23:28
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Mer 17 Oct - 23:52
Kayla M. Worthington a écrit:
Et c'est un Yuri Pleskun qui dit ça ? :3 (En fait, cette célébrité je l'ai vu qu'une fois sur un forum & la personne est resté une semaine... Bref.) J'aime. *___*
Et merciii !
On n'aura plus qu'à se fabriquer un petit lien de feu alors. :brigitte:
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 5:44
aaaaaaaaaaaah. bref, je vais peut-être devenir fatiguante à cette étape, mais bref. je suis vraiment contente que tu aies pris mon scéna. s'il y a quoi que se soit n'hésite pas à m'envoyer me mpotter, ça va me faire plaaaisir. bref, bon courage pour ta fiche + bienvenue parmi nous .
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 8:18
Merci beaucoup pour l'accueil.
Amen : Owi, owi. *______*
Eddie : Non, non, tu n'est pas du totu fatiguante, tu peux même continuer. (a) Pour les mps, ne t'inquiète pas, je pense même que tu vas finir par en avoir marre. :p Et merciiiii !
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 11:26
Bienvenue parmi nous & courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 12:30
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 17:06
Merci beaucoup, tous les deux ! *___*
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 17:31
Hanna. Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 18:54
Le scéna de Effie Bienvenue!
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 19:04
Mwaha, suis-je déjà connue ?
Merci beaucoup à toutes les deux pour votre accueil !
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 20:39
Welcome,
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 22:21
Bienvenue
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 22:52
Merciiii !
(J'aime les smileys, ici. *_____*)
Et juste pour prévenir, j'ai fais le premier jet de tout, sauf du rp, et je relirais et corrigerais et étofferais un peu certains passages, probablement, demain ou ce week-end. ♥
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Jeu 18 Oct - 23:38
bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Kayla ☼ Faîtes des économies, devenez nudistes ! ♥ Ven 19 Oct - 8:31