Sujet: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 1:57
FEAT. KATIE CASSIDY
Chelsea Madison BROOKS
23 ans → Née à Hastings le 17/11/1987 → Études en journalisme et stagiaire au Times. célibataire → hétérosexuelle → membre des OUTSIDERS.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Chelsea où la petite fille modèle. Non pas vraiment, en tout cas, on le voit sur elle. Depuis toujours, c’est une jeune femme simple qui s’habille simplement. Pas de couleurs flashs, pas de trucs qui sortent de l’ordinaire. Restons discret et surtout invisible aux autres, c’est largement plus simple pour ne pas se faire remarquer. Cependant, la belle garde une allure féminine et élégante. Pas trop de maquillage non plus, de toute façon, elle n’aime pas ça. Lorsque la jeune femme est stressée, elle se mordille la lèvre inférieure et ne tient absolument pas en place. Ses mains, elle ne sait jamais quoi en faire. Toujours en train de les bouger, de les mettre dans ses poches, ses cheveux et c’est un cercle sans fin. A savoir que la belle est toujours vierge et en est très fière. Pour elle, ce n’est pas quelque chose que l’on fait avec n’importe qui et surtout, n’importe où. C’est un moment à deux qu’il faut savoir apprécier et surtout, partager une bonne confiance mutuelle. Et les hommes, elle n’a pas du tout confiance en eux.
★Quel est le caractère de ton personnage? → La belle est une femme discrète, voir timide. Préférant rester dans l’ombre, ce n’est pas une femme extravertie et bavarde. Chelsea a souvent peur d’aller vers les gens mais lorsqu’elle est déterminée à faire une chose, elle réussit toujours. Plus têtue qu’elle ? Jamais vous ne trouverez. On ne lui enlève aucune idée de la tête. Rancunière, Chelsea pardonne peu, surtout les fautes qui la blessent. C’est une jeune femme généreuse et souriante, elle donne beaucoup aux autres même si elle reçoit peu. Habituée depuis toujours à partager. Studieuse, Chelsea donne tout pour son travail et ses études. Jamais elle ne se décourage du moindre obstacle. Lunatique, il lui arrive d’être de mauvais poil d’un seul. Le mieux, c’est de ne pas lui adresser la parole lorsque la belle est de mauvaise humeur. C’est une autre personne presque. Chelsea est un peu en dehors de la société, rêveuse, elle n’a pas toujours les pieds sur terre. Très sensible, on peut facilement la blesser et elle prend la mouche rapidement. C’est une profonde romantique qui croit encore au prince charmant mais Chelsea ne se fait pas d’illusion non plus, elle aime juste y croire. Ça lui donne une sorte d’espoir que peut être un jour, toutes ces belles histoires lui arriveront. Après tout, il n’y a aucune loi qui interdit de rêver. Jalouse et possessive, lorsqu’elle était avec Marlon, Chelsea détestait facilement les filles trop proches de son bien aimé. Des mauvais défauts qui ont plus d’une fois, faillit réduire sa relation à néant. Mature et indépendante, Chelsea a toujours eu le sens des responsabilités. Depuis toute jeune, elle sait parfaitement s’occuper d’elle et des autres. C’est aussi une jeune femme solitaire, qui aime être seule à lire, peindre ou encore écrire.
Well... It's my story...
« Il faut une âme forte et riche en générosité pour résister au découragement qui naît de la déception. Les esprits faibles, en pareille occasion, se dégradent et se corrompent. »
Personne ne se souvient de ce jour unique où pour la première fois, nous avons respiré l’air frais de l’extérieur et où pour la première fois, nous avons ouvert les yeux, découvrant les couleurs et les visages que nous verrons tout le long de notre vie. Le jour de notre naissance. Le mien fut des plus fastidieux. Pour ma mère surtout. 20 heures. C’est le temps qu’à durer l’accouchement. Il parait que c’est souvent comme ça pour le premier enfant. Quand on pense qu’une mère souffre énormément, son corps est soumis à une pression immense et elles vous diront toujours : Ce fut le plus beau jour de ma vie. La souffrance disparait dès que l’on voit le visage de son enfant. J’aurais aimé me souvenir de cet instant unique. Le visage de ma mère, son premier sourire puis mon père. Mais même si j’ai oublié ce moment, il y en a eu beaucoup d’autres qui sont ancrés dans ma mémoire et jamais, je ne pourrais les oublier. Les photos et les vidéos sont là aussi pour me rappeler et je ne me lasse jamais de ces moments avec ma famille où on ressort les vieilles photos et où on regarde les vidéos de notre enfance, le sourire aux lèvres et la nostalgie qui revient peu à peu dans le plus profond de notre cœur [...] Mon nom est Chelsea Madison Brooks mais je préfère qu’on me nomme Madison le plus souvent. Je n’ai pas trop Chelsea, je trouve ça sur fait en fait. Je sais, je fais un peu étrange quand je dis ça, mais c’est simplement une façon de penser. J’ai vu le jour le 17 novembre de l’année 1987 à Hasting, en Angleterre. Le plus beau pays du monde mais aussi, la ville de mon enfance. Ma ville. Je connais chaque rue, chaque arbre. C’est en ce lieu que sont mes plus souvenirs. Je suis l’ainée de la famille, la première fille de James et Magarette, mes parents aimants et à qui je dois énormément. Vous savez, on dit souvent qu’on choisit seulement ses amis et non sa famille. Moi, je vous direz simplement que la vie m’a fait un cadeau immense en me confiant à ces deux personnes, aimantes et généreuses. Mon enfance fut des plus merveilleuses. D’abord parce que pendant un temps, je détestais être seule. Disons que l'enfant unique, ça n’a jamais été mon truc. Étrange souvent pour un premier enfant de dire ça puisque la jalousie arrive vite lorsqu’on accueille un frère ou une sœur. Moi, ce fut bien tout le contraire avec mon petit frère et ma petite sœur. Enfin, j’avais des personnes à ma taille avec qui jouer et surtout, des personnes dont je pouvais prendre soin. C’était ça le plus important et ça l’est encore au jour d’aujourd’hui. Le bonheur de lui apprendre ce que l’on sait parce que finalement, le rôle de grande sœur se résume à ses quelques mots : apprendre de ses erreurs et les transmettre. On n’a pas toujours été une famille heureuse avec la barrière blanche, les sourires aux lèvres constamment. La vérité est tout autre. Mes parents ont toujours eu du mal à joindre les debout. Souvent, on manquait de vêtements tous les trois mais ce n’est pas pour ça que nous étions malheureux. La force d’une famille ne se résume pas à de l’argent. La force d’une famille, c’est d’être ensemble et de se serrer les coudes. Nous n’avions certes, pas les vêtements à la mode comme les autres enfants de notre école mais nous étions heureux ainsi. A quoi servent toutes ses choses qui coûtent la peau des fesses et finalement, que nous ne mettrons que quelques mois ? A rien. J’ai longtemps préféré pour Noël, un pinceau et une toile, ou simplement un journal à la folie des filles de mon âge. Et c’est surement grâce à toutes ces choses de la vie que je suis cette femme. Le lycée fut pour moi l’étape la plus importante pour mon développement personnel mais aussi la plus dure. Les filles, à cet âge, sont souvent stupides et méchantes. Je me faisais discrète le plus souvent, n’aillant aucune envie de me faire remarquer ou quoi que ce soit d’autre. J’étais le genre de fille passe partout dont on se préoccupait peu et ça me convenait parfaitement. L’écriture était pour moi, un refuge. Le besoin de mettre mes sentiments et pensées sur un papier, par peur sans doute de les oublier mais aussi parce que je pouvais ainsi m’en libérer. Pour être honnête, j’étais assez mal dans ma peau, bien que je montrais souvent le contraire. Ne pas être vu par les autres me donner l’impression de ne pas vraiment exister, même si la famille était toujours là pour me rappeler que je faisais bien partie de ce monde et non d’un autre. Mais à cet âge, vous savez, on est bête le plus souvent. On veut exister pour les autres et à travers eux. Je me rends compte aujourd’hui que c’est bien trop stupide. Puis un jour, pendant la dernière année de lycée, un nouveau est arrivé. Le genre de gars bad boy qui se font des règles. Un rebelle, c’est comme ça qu’on l’appelait au début. Mais son vrai nom, c’était Marlon. Il était dans mon cours d’Anglais et autant dire qu’il ne faisait rien en cours. Pas étonnant que quelques semaines après, on me demande gentiment de lui faire des cours supplémentaire. J’étais la meilleure de ma classe et ce n’est pas du tout pour me venter. Alors, une après-midi, on sait retrouver à la bibliothèque du coin. Un peu timide, j’étais devenue toute rouge aussitôt qu’il avait passé le premier pied dans la pièce. Autant l’avouer, il n’était pas du tout moche à regarder, loin de là. Je me souviendrais toujours de ce jour, il s’est assis à côté de moi et la première chose qu’il est fait, c’est me sourire et là … J’ai totalement fondu devant cet homme parfait. Depuis, je n’ai jamais cessé de penser à lui. Mon journal intime ne parlait que de Marlon, ses yeux, ses lèvres, son sourire. L’homme de mes rêves. J’allais aux entrainements de football rien que pour le voir alors que j’ai toujours détesté ce sport de brut. Il me regardait lui aussi, assez souvent ou c’est simplement moi qui me faisais des illusions. Puis un soir, alors que je rentrais chez moi, ma voiture est tombée en panne sur la route. Comme si Dieu me donnait un signe, du moins, c’est ce que je croyais à l’époque. Marlon est passé sur cette route en moto et il s’est arrêté pour m’aider. Mais ne pouvant rien faire sur ma voiture, Marlon s’est proposé de me ramener chez moi sur sa moto. Un, les motos, ça n’a jamais été ma tasse de thé. Deux, je flippais comme jamais. Et trois, un casque, c’est vraiment laid surtout sur ma tête. L’important n’était pas là cependant. Il m’a posé devant la porte de ma maison et mes parents sont sortis, légèrement inquiets. Une fois, la légère peur passée, ma mère a gentiment invité Marlon à diner. Là, j’ai cru que j’allais mourir de honte. Mais je n’ai rien dis et Marlon est resté diner. En fait, il n’avait rien à voir avec le gars du lycée, sûr de lui et solitaire. Il n’était pas bête non plus. J’ai appris beaucoup sur lui et sa personne ce soir-là et je crois que c’est là, que je suis tombée amoureuse de lui. Quelques mois plus tard, nous sortions ensemble. Les choses s’étaient faites doucement et tendrement, à mon allure finalement et j’en étais plus qu’heureuse. Marlon m’a toujours respecté pour ce que j’étais. Il se montrait doux et chaque jour, je tombais un peu plus amoureuse de lui au point de ne plus vouloir m’en détacher. On était toujours collé ensemble, comme des siamois. Jamais il n’a eu un geste ou une parole à mon égard jusqu’à ce fameux soir. La soirée après le bal de fin d’année. Nous avions passé une excellente soirée, rêvant de l’avenir puis, j’étais repartie chez moi à la fin, histoire de mettre quelque chose de plus confortable pour la fête à venir, le soir même. Marlon était partie devant lui. J’en avais pour tout juste 20 minutes avec l’allé, le changement et le retour. Mais ma mère a décidé, ce soir-là, de me parler de choses dont je ne voulais pas entendre. Elle commença à discuter de relations sexuelles et tout autre. Pas de panique la dessus, je ne l’avais jamais fait, préférant attendre d’être sure de moi. Mais que voulez-vous, les mères sont inquiètes. Du coup, j’ai bien mis une heure de plus. Je suis arrivée à la fête, l’alcool était présent, je pouvais le voir sur le visage de mes camarades, totalement ivres. En arrivant, je n’arrivais pas à trouver Marlon, impossible. Et quand j’eus finis de faire le tour de la maison, je montais à l’étage. Mauvaise idée, mauvaise surprise, j’en restais bouche bée. Marlon, mon petit copain, nu dans un lit avec une autre. Boum ! Le choc. Je ne serais expliquer les sentiments qui passèrent en moi. Trop compliqué peut-être, ou simplement trop. Je suis partie sans un mot, Marlon n’avait même pas bougé, aussi surpris que moi sans aucun doute. Déchéance en arrivant chez moi, la peine et la haine avait pris le dessus et je me laissais aller à toutes mes émotions, perdue. Plusieurs jours passèrent sans la moindre nouvelle de Marlon. Puis il est venu, enfin mais c’est fait rapidement recevoir par mon paternel. J’aurais peut-être dû dire quelque chose ou même faire quelque chose, mais je n’ai pas osé. La colère était encore trop présente sans doute. J’appris, quelques semaines plus tard, que Marlon était reparti pour l’Australie, avec son père et plus jamais je n’entendis reparler de cet homme, qui m’avait brisé le cœur. Le reste de l’été fut paisible. Pour mon plus grand bonheur, je fus accepté dans l’université de mon choix pour suivre mon rêve : les études de journalisme. J’allais enfin pouvoir mettre à contribution mes talents d’écriture. Mais il y avait encore une chose qui restait incertaine : comment allais-je faire pour les payer ? Difficile et impensable de demander à mes parents quoi que ce soit. Ils faisaient déjà tellement. Je décidais alors de prendre mon avenir en main. Mon rêve était beaucoup plus grand que le reste et je ne pouvais pas passer à côté. Je pris plusieurs petits boulots merdiques mais peu importe, du moment que j’arrivais à payer tout ce que je devais. Les études, ça a toujours été mon fort mais là, je dois dire que j’ai eu beaucoup de mal. Le boulot me prenait trop de temps et j’étais bien trop fatiguée par la suite, pour bosser mes cours. En milieu d’année, il était temps pour moi de trouver une solution et le hasard joua une fois de plus en ma faveur. Un week-end, je suis allée avec ma mère au musée de la ville et à l’entrée, il y avait une demande d’embauche. Sans réfléchir, je me suis présentée à l’accueil et j’ai eu un entretien avec le directeur du personnel. Deux semaines plus tard, je travaillais au musée. Un emploi stable et surtout, j’avais beaucoup plus de temps pour bosser mes cours. Au fur et à mesure des mois, j’avais tout de même l’impression de patauger dans la semoule ici. Bien que Hasting soit une ville magnifique, il n’en restait pas moins que mon rêve, le plus grand, c’était New York. Mais dans mon esprit, c’était un simple rêve. Rien de plus. Cependant, on m’a toujours dit qu’il faut croire en ces rêves et tout faire pour les réaliser. Une nuit de réflexion, c’est ce qu’il m’a fallu pour réfléchir à mon avenir et le lendemain, j’envoyais une lettre à l’université de New York ainsi qu’au Times, pour faire un stage là-bas. Deux semaines plus tard, je recevais une réponse positive de l’université. Sur le coup, je dois dire que je suis restée sans voix. Maintenant, il fallait partir et je n’avais pas vraiment réalisé ça. M’éloigner de ma famille, tout quitté du jour au lendemain, c’était dur à imaginer. Surtout que je n’aime pas vraiment l’inconnu et l’imprévu. Cependant, j’en ai parlé avec mes parents qui m’ont encouragé à poursuivre mon rêve et même si la séparation serait difficile, je savais qu’il était temps pour moi de suivre ma route. Une semaine plus tard, je posais le premier pied sur le sol Américain, les étoiles dans les yeux et des rêves plein la tête. Je me trouvais rapidement un petit studio, pas de quoi casser des briques mais ça me suffisait amplement. N’aillant pas reçu de réponse de Times, je décidais tout simplement de m’y rendre et avec culot, mes pas me guidèrent directement au bureau du rédacteur en chef. Une semaine encore après, j’effectuais mon premier jour en ce lieu en tant que stagiaire, pour le meilleur et pour le pire … Peut être pour le pire finalement ! Enzo. Un simple prénom et tellement de chose. Il est comme Marlon et j’ai le don de toujours tombé sur les mauvais gars. Ce type m’intrigue cependant et je cherche en fond de lui afin de percer sa carapace. Enzo, c’est peu comme une sorte de tuteur au Times. Il s’occupe de moi, me fait voir des choses et même si au départ, ça le faisait chier, je vois bien que les choses ont changé.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → psychotic blood mais sinon, c'est emily et j'ai 20 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → via bazzart. ★Ce personnage est-il un double compte ? → nop. ★Présence sur le forum → 7/7 je dirais parfois 5/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario (: ★Crédit images → Belikovs & tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→
« Oui je sais ce que c'est d'avoir la sensation de ne pas exister jusqu'à ce qu'elle te regarde, qu'elle te touche la main, qu'elle se moque de toi. Le but c'est que les autres voient que tu es avec elle ... tu es à elle ... »
Les mains tremblantes, le regard dans le vague et la chambre commençait doucement à tourner autour du jeune homme. Une impression de frissons qui lui parcouraient l’échine, remontant jusqu’à son cou. Caleb était officiellement en manque, au beau milieu de la nuit et il n’avait rien à se mettre sous la main. Tout le monde dormait à cette heure, puisque lorsqu’il tourna la tête vers son radio réveil, la petite lumière rouge indiquait 4h45 du matin. Autant dire que Caleb n’arrivait tout simplement pas à dormir. Impossible. Il commençait peu à peu à transpirer, une vague de chaleur l’envahissait et pourtant, le bellâtre était simplement vêtu de son boxer. Il baissa lentement la tête vers le sol, fermant les yeux et prit une inspiration importante, essayant de penser à tout sauf à son manque. Caleb détestait être comme ça. En manque. Et surtout, être obligé de se droguer pour combler un manque, une envie certaine. Mais c’était comme ça depuis cinq ans déjà et impossible de se passer de sa fumette ou bien encore, de ses pilules. Jamais pourtant, il ne s’était piqué. Trop fort pour lui, il ne voulait pas passer à ce stade. Et pourtant, ce qu’il faisait déjà était dangereux pour sa santé. Pour preuve, ce soir, il n’avait pas eu sa dose habituelle et Caleb n’arrivait pas à dormir, il était mal et ne pensait qu’à ça. Qu’à sa foutu drogue dont il était devenu dépendant. Il posa ses mains tremblantes sur le dessus de sa tête puis dans un élan de colère, Caleb se releva rapidement de son lit et d’un mouvement vif, envoya son radio réveil plus loin qui alla s’écraser contre la porte de sa chambre dans un bruit assourdissant. Caleb était ainsi, impulsif et incontrôlable, il avait toujours du mal à gérer des émotions trop fortes. Sa colère était montée d’un seul coup, on pouvait le voir sur son visage. Seulement, ce qui lui portait préjudice auparavant, c’était à dire son côté brutale lorsque le venin de sa colère montait, allait là, lui donnait une sorte de coup de fouet. Une montée d’adrénaline subite et les tremblements avaient cessés. Il se calmait peu à peu, la respiration devenant moins brutale et plus calme. Caleb se rassit automatique sur son lit pour finalement se laissait tomber en arrière sur son lit, soufflant légèrement par la suite. Son rythme cardiaque avait repris une allure normal et il allait pouvoir enfin dormir … Du moins, pas tout de suite. Le plus souvent, lorsqu’il avait fait face à une crise de colère soudaine et qu’il s’était calmé, Caleb avait toujours une pensée pour une blonde dont le visage angélique restait dans sa mémoire. De long cheveux dorés, un sourire à en damné un saint et des yeux qui le transperçait sur place. Riley. Un simple prénom composait de cinq lettres, simple, facile à prononcer. Chaque fois que Riley était prononcé dans une pièce, Caleb avait une sorte de tic ou un truc du genre. Il se retournait toujours dans l’espoir certain de croiser du regard cette déesse de l’amour, comparable de beauté à la belle Aphrodite. Caleb en avait toujours pincé pour les femmes, ce n’était pas nouveau loin de là et la meilleure pour vous renseigner sur ça, ce n’était autre que sa sœur chérie, Sara. Elle en avait vu passé et savait pertinemment comment son frère fonctionnait. Bien qu’il faisait souvent son malin avec les filles, c’était un être meurtri par l’amour et détruit. Une seule et unique femme avait réussi à le briser de façon à ce qu’il ne fasse plus confiance à personne. A aucune femme surtout. Daniella. Un prénom qui lui faisait froid dans le dos et dont les souvenirs restaient encore tabou dans la tête du beau brun. Il n’y pensait jamais. Du moins, plus du tout depuis que Riley avait remplacé cette brune aux yeux de braise dans son esprit. C’est à ce moment-là que Caleb prit son téléphone qui se trouvait sur son oreiller. Il ne prit même pas le temps de réfléchir et téléphona à sa dulcinée. Aucune réponse. Caleb fronça les sourcils et chercha l’heure du regard. Ah mais … non, le réveil était en mille morceaux sur le sol. Impossible de pouvoir lire quoi que ce soit. Il regarda alors l’heure sur son iphone et pu constater qu’il n’était pas loin de 5 heures du matin déjà. Il se mit à rire tout seul, pensant vraiment que c’était normal qu’elle ne réponde pas à une heure pareille. Caleb prit cependant la peine de lui envoyer un sms. Une idée venait de lui traverser l’esprit et ne faisant rien demain, il aurait tout le loisir de pouvoir préparer sa surprise. Le bellâtre donna donc rendez-vous à son Aphrodite à 20 heures le lendemain dans un restaurant chic de la ville puis reposa son téléphone sur sa table de chevet, tout sourire avant de se remettre droit dans son mit et de passer ses bras sous sa tête, fixant le plafond avec attention. Un léger sourire en coin sur son visage avant que le sommeil ne le gagne doucement, l’emportant dans les bras de Morphée.
12h20. Caleb ouvrit lentement les yeux, la chambre plongée encore dans un noir total. Il plaqua brutalement sa main sur son front, prit d’un mal de tête horrible dès le matin. La journée commençait à merveille. C’était souvent ça après une nuit totale de manque. Caleb ne mit cependant pas longtemps à émerger. Il avait une soirée à préparer et autant dire qu’il s’empressa rapidement de se lever de son lit et de sortir de sa chambre. Il avait pris au passage son téléphone portable. Caleb ne le lâchait jamais ou presque. Le jeune homme descendit les marches de l’étage et se dirigea vers la cuisine, tout en regardant dans l’appartement. Personne à l’horizon. Il était tard et sans aucun doute, Preston et Julian avait quitté les lieux pour s’occuper de leurs affaires personnels. Il se posa sur le tabouret de la cuisine, bras accoudées sur le bras et composa le numéro du restaurant afin de réserver et de préparer sa surprise. Bien entendu, il espérait profondément que ça ferait plaisir à Riley. Il mit en tout et pour tout, deux heures à préparer. Le restaurant était complet bien entendu mais le jeune homme ne manquait pas de ressources pour avoir ce qu’il voulait. L’argent était souvent le maitre mot à tout pouvoir et depuis peu, grâce à son petit commerce, il en avait reçu pas mal bien qu’il vivait dans le Bronx dans le même appartement que son ainé et son jumeau. Une fois fait, il posa son téléphone sur le bar et remonta à l’étage afin de prendre une bonne douche qui finirait de le réveiller. Il s’habilla, de façon toujours classe, comme à son habitude. Une chemise noir avec un pantalon de la même couleur, tout cela accompagner d’une veste de costume de la même couleur. Il se coiffa rapidement et enfila ses chaussures. Caleb avait une course à faire avant ce soir. Il en avait besoin. C’était vital. Hier soir avait été dur pour lui et il ne pouvait attendre depuis longtemps. Bien sûr, il attendrait cette nuit, après son rendez-vous avec Riley pour se mettre la tête à l’envers. C’est ainsi que Caleb quitta l’appartement, prenant son auto et se dirigea vers son fournisseur. Il paya en cache, prenant une grosse quantité de drogue. Un peu de tout et de la bonne je vous prie ! Il y en avait pour lui, bien entendu mais aussi pour son petit commerce. Il fallait bien gagner sa vie après tout. 19h00, Caleb était de retour chez lui et avait l’intention de finir de se préparer convenablement pour la soirée. Cependant, en allant dans sa chambre histoire de ranger son bien, il ouvrit sa table de chevet et tomba sur une vieille photo. Elle. Et des souvenirs envahirent son esprit subitement, mêlant haine et culpabilité. De nature très impulsif, il ferma les yeux essayant de se calmer. Il le fallait. Mais la pression était trop forte surtout après une soirée merdique qu’il avait passé la veille. Et sans plus attendre, Caleb se roula un joint … Puis deux … Puis trois … Puis quatre et au cinquième, il oublia enfin ces sentiments destructeurs. Sauf que le jeune homme savait pertinemment qu’il avait un truc de prévu ! Mais Caleb n’avait pas du tout la notion du temps. C’est lorsqu’il réussit enfin à attraper son téléphone portable qu’il constata qu’il avait déjà trente minutes de retard. Sans perdre une seconde, il se releva de son lit, non s’en vaciller et qu’il sortit à toute vitesse de son appartement, prenant une fois de plus sa voiture, direction de le centre de New York. Il faillit bien se tuer deux ou trois fois, ne voyant rien et surtout, n’étant pas vraiment conscient de ce qu’il faisait. Les bouchons … La plus grosse merde de New York selon lui ! Il ne cessait de crier dans sa voiture après les automobilistes qui avaient décidé de l’emmerder ce soir alors que ce n’était pas du tout le moment. A croire que le monde entier lui en voulait de sa présence dans ce monde.
21h00. Caleb était arrivé à destination et s’était empressé de se garer afin de rejoindre le restaurant au plus vite. Il trébucha plusieurs fois sur le trottoir. Il allait se faire engueuler comme jamais mais surtout, il espérait que la belle n’avait pas quitté le lieu. Caleb tourna une seconde la tête derrière lui pour regarder, étant arrivé devant le restaurant et il fut percuter violemment. Ce qui suffit presque à le faire atterrir sur le bitume. Mais non, il avait encore de bon réflexe. Il se retint à la personne et lorsqu’il tourna la tête vers celle-ci, il put constater que la jeune femme arborer une chevelure blonde tout comme son Aphrodite. Légèrement surpris et totalement perdu, Caleb entrouvrit la bouche et regarda pendant quelques secondes son visage, plissant les yeux. Il voyait encore flou. Riley. Il ne lui suffit que dix secondes pour comprendre qui était cette jeune femme. Mais son visage ne semblait pas des plus enjoué, bien au contraire. Normal. Il avait une heure de retard voir un peu plus. Il ne savait plus trop. Cependant quelque chose d’autre le chiffonné dans ce visage. Une impression de peur. Est-ce que c’était lui qui lui faisait peur ? Il fronça les sourcils, impossible de savoir pour le moment. « Tu étais ou bordel ? … » Euh … Loin, très loin. Dans le monde des petits poneys et des éléphants roses. Caleb passa sa main sur son front et entrouvrit la bouche, prêt à répondre mais cela mit plus de temps que prévu. Les mots ne sortaient pas. C’était souvent comme ça lorsqu’on était défoncé. Il fixa cependant Riley, essayant de reprendre un minimum de conscience. « Euh … Je … euh … Je suis vraiment désolé Riley, j’avais des trucs à faire qui m’ont pris plus de temps que prévu. » Ou comment ne pas dire : Désolé chérie, j’étais en train de me défoncer la gueule parce que je suis tombé sur une photo de mon ex. Heureusement, il n’avait pas sorti ça, par peur de la vexer et il était hors de question qu’il fasse ça. Non, impossible. Caleb ne se voyait pas faire du mal à sa belle. C’était même impensable et personne d’autre ne pouvait lui en faire de toute façon. Il regarda encore intriguer par ce sentiment de peur qu’elle avait sur le visage. Il y avait un truc qui clocher et ce n’était pas le retard de Caleb, c’était tout autre chose. « Qu’est-ce que tu as ? Et ne me dis pas que c’est parce que je suis arrivé en retard. Y a un autre truc qui t’embête et je veux savoir ce que c’est. » Et ça commencer doucement. Ce côté impulsif qu’il avait. D’autant plus lorsqu’il était défoncé. Un truc n’allait pas et le bellâtre avait la forte sensation que ça n’allait pas lui plaire du tout. Il prenait le temps de bien détailler les réactions de Riley et il suffit qu’il regarde, sans le vouloir vraiment, derrière elle, en direction d’un mec pour que Caleb pige ce qui n’allait pas. Il savait ce que faisait Riley, il en avait bien conscience. Cependant, ce n’était pas pour cela qu’il aimait ce genre d’emploi. Surtout lorsqu’on tient à la personne qui le fait. Un regard, un seul et Caleb avait déjà tout compris, loin d’être bête. Le venin de sa colère remonta le long de ses veines et soudainement, il passa près de Riley, noir de colère, les yeux rivés sur ce dit serveur. Le jeune homme s’approcha rapidement de l’individu et, en ce foutant des gens en terrasse, il attrapa rapidement le serveur, le plaquant violemment contre la baie vitré du restaurant, le tenant par le col et le soulevant légèrement du sol. « C’est quoi ton problème ?! » Et boum ! Il le cogna contre la vitre, le fixant d’un regard maléfique. « Vas-y répond avant que je ne te casse en deux pauvre con ! » Les regards étaient tous fixer sur Caleb mais à cet instant, il se foutait bien de ce que les gens pouvaient penser de lui. Le serveur semblait totalement perdu mais cependant, au vu de Riley plus loin, il devait savoir de quoi parler Caleb, c’était certain. « T’es totalement malade pauvre mec ! Quand on se vend, on est prêt à le faire partout non ? » Un léger sourire en coin apparut sur le visage de ce mec et là, ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Caleb le reposa sur le sol, le lâchant puis il remit droit son veston en souriant faussement et en riant légèrement. « Je comprends t’en fais pas. » S’il savait … Et un … Deux … Trois. Son poing partit tout seul contre le visage du serveur. Vif et brutal. Dommage pour lui mais Caleb n’en avait pas fini avec lui. Et d’un autre, encore et encore jusqu’à ce que quelqu’un n’arrive à l’arrêter. Il déversait toute sa colère sur ce pauvre type.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks.
Dernière édition par Chelsea M. Brooks le Jeu 15 Nov - 22:03, édité 22 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 1:59
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche excellent choix de célébrité (a) et ton kit est trop chou
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 2:00
Bienvenue sur NYCL!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 2:03
Merci à vous
Est ce que c'est possible qu'on me réserve le scénario et donc Katie ?
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 2:10
On n'va pas s'aimer
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche Katie est parfaite Je te la réserve pour trois jours =)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 2:38
Je sais et dommage, parce que j'adore Sophia Bush ...
Merci en tout cas
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 3:38
ooh gosh Cassidy *meurt dans sa bave* mdrrr
bienvenue et bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 5:30
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 5:45
bienvenuue parmi nous bon courage pour ta fiche
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 9:17
Bienvenue chez nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 9:55
Bienvenuuue. \o/ & bon courage pour ta fiche.
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 11:02
Bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 11:40
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 13:11
Ma CHELSEA d'amooooour
Bieeeeeeeeenvenue chez toi
Merciiiiiii d'avoir mon scénario. Si tu as des questions ma boite à MP est ouvert 24/24h
SAVY - Ne commence pas à faire ta jalouse, tu sais que je n'aime que toi .... Ou presque
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 13:17
Bienvenue !
J'adore ton avatar =D
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 13:39
Bienvenue
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 13:59
Merci tout le monde :brigitte: Vous avez tous des avatars de dingues ! (:
enzo | Je me ferais un plaisir de te harceler si j'ai des questions (: j'espère que je serais à la hauteur, surtout niveau rp vu que tu demandes un bon niveau. Mon exemple est en spoiler
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 14:27
Bienvenue
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 15:08
Bienvenue
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 16:44
Chelsea M. Brooks a écrit:
Merci tout le monde :brigitte: Vous avez tous des avatars de dingues ! (:
enzo | Je me ferais un plaisir de te harceler si j'ai des questions (: j'espère que je serais à la hauteur, surtout niveau rp vu que tu demandes un bon niveau. Mon exemple est en spoiler
Ma belle, rassure toi, pas de soucis Je t'ai envoyé un MP, c'est plus simple
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 16:50
Hello Chelsea ! Bienvenue parmi nous
Très bon choix de scénario ! Je ne connaissais pas du tout cette demoiselle, elle est très jolie, beaucoup de charme.
Un lien s'impose entre nous deux étant donné qu'Enzo et Casey travaillent ensemble au Times
Bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 16:53
Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 17:06
Bienvenue
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 18:06
Merci tout le monde vous êtes adorables Et pas de soucis Casey Je commence et finis ma fiche ce soir, j'ai hâte de rp avec vous et de plus vous connaitre :10:
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Sujet: Re: ✣ she dreamed of paradise (chelsea) Mar 13 Nov - 18:15
Eh oh, doucement avec Casounet Hahahaha
Hâte de voir ta belle fiche Même si je ne l'a verrais surement pas ce soir, puisque l'avant-pemière de Breaking Dawn Part 2 a lieu
Je passerais la lire demain, sauf si je ne rentre pas trop tard ce soir En tout cas, BON COURAGE MA BELLE