Sujet: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Jeu 10 Jan - 16:39
Feat Olivia Wilde
Alois Mckelhann
25 ans → Né(e) à Los angeles le 31/12/1987 → Photographe -)célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Alois est une jeune femme qui ne laisse jamais les gens indifférents que ce soit physiquement ou moralement. Les hommes vous diront que c'est une belle demoiselle avec de nombreuses qualités : Une taille fine, de longues jambes galbées, un visage attrayant et des yeux magnifiques. Les femmes quant à elles, vous la décriront comme une garce, une manipulatrice qui n'hésite pas à jouer de ses charmes, une poupée prête à tout pour arriver à ses fins. Si vous lui demandez pourquoi les mauvaises langues s'amusent à la blâmer, elle vous répondra qu'elle s'en fout et que la jalousie ne mène nul part. Elle n'aime pas se fondre dans la masse et apprécie qu'on la remarque, elle mettra tout en œuvre pour attirer les regards portant, portant le plus souvent des tenues chics ou aucun détail n'est laissé au hasard. Il est très rare de la voir se promener en jogging ou de sortir négligée. L'important pour elle est de se sentir bien dans sa peau, de montrer la meilleure image de sa personne aux autres, La jeune brune n'a honte de rien, elle ne vous cachera jamais les différents tatouages qu'elle a pu faire au cours de sa vie : Deux en l'honneur de ses parents et le troisième beaucoup plus discret se trouvant derrière son oreille droite : Un signe de chance qu'elle apprécie tout particulièrement.
Spoiler:
Par contre, elle n'a aucun percing et refuse cette pratique qu'elle considère comme une mutilation perverse. Que dire d'autre à part qu'elle n'ouvre jamais la bouche pour ne rien dire, chaque mot, chaque parole qu'elle prononce est réfléchi de manière à ce qu'on ne la prenne pas pour une idiote. Elle observe avant d'agir et elle est prête à tout quand il s'agit de sa famille ou de ses proches amis – Amis assez rares, il va sans dire. D'ailleurs, c'est une personne assez secrète qui ne dira rien sur sa vie, qui ne vous parlera pas de ses allergies à la poussière, ni de la maladie qui la ronge actuellement. Par contre, elle ne vous cachera en rien sa passion pour les sucreries et le chocolat, ni même du fait que malgré les apparences, elle adore les choses simples et légères.
★Quel est le caractère de ton personnage? →Je suis certaine que vous avez déjà rencontrés ce genre de filles sensibles, adorables, romantiques et très naïves. Celles qui ont tendance à croire au prince charmant ou qui écartent les cuisses juste parce qu'on leur a soufflé quelques mots doux à l'oreille... Une chance pour moi, je n'ai aucune de ces " qualités". Je ne suis pas docile, je pense que j'ai un caractère assez ... effrayant. Je ne me laisse pas faire, je réagis souvent au quart de tour, je suis égoïste, froide, rancunière, susceptible, sarcastique, sanguine, hautaine … Comme vous pouvez le constater, j'ai tout pour plaire ! Il paraîtrait aussi que j'ai des qualités. Certaines personnes ont su les voir en moi. Une chance pour eux mais peut-être pas pour moi qui essaye tant bien que mal de ne pas que l'on me découvre un peu trop. Ma mère dit de moi que je suis une personne intelligente, intègre et adorable. Mon père lui s'amusait à dire que j'étais solitaire, et bipolaire. Il plaisantait sans doute mais il est vrai que je peux passer du rire aux larmes sans prévenir. Je cherche mes autres qualités mais elles sont assez difficiles à trouver. Je sais que je suis optimiste, sérieuse et surtout très curieuse. Quand je veux quelque chose, je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour atteindre mon but.
Well... It's my story...
Voilà vingt cinq ans que je suis née. Cela peut paraître peu mais pour moi, j'ai l'impression que j'ai déjà trop vécu. Cette sensation est étrange, et je ne sais même pas d’où elle m'est venue. Je n'ai jamais eu à me plaindre. Je suis née dans une famille aimante, avec une mère adorable - Un brin maniaque certes mais adorable tout de même. Mon père quant à lui n'était pas souvent présent mais dans un sens, j'étais habituée à son absence. De plus, il avait trouvé comment se racheter à mes yeux. Un cadeau par-ci, un cadeau par là et le tour était joué. Daddy savait s'y prendre avec moi et je crois que c'est un peu sa faute si je suis devenue aussi matérialiste et vénale. Je n'ai pas grand chose à raconter de mon enfance, si ce n'est que je ne manquais de rien et que je passais la plupart de mon temps à voler le portrait des gens qui croisaient ma route. Mon adolescence ne fut pas différente, j'étais devenue un être solitaire mais qui aimait provoquer. C'est ce que l'on fait tous à cet age. On apprécie contredire nos parents, on tente quelques expériences et on découvre le monde tel qu'il est vraiment. Les bisounours disparaissent pour laisser place à quelque chose de plus sombre, de plus terrifiant aussi. La légèreté s'est envolée loin, très loin de moi à durant cette période. Je me souviens de ce jour ou ma vie a basculé. J'étais au lycée, je travaillais sur un examen de maths, j'avais bossé pendant des semaines pour pouvoir le réussir. Cette matière m'horripilait au plus haut point et j'échouais toujours lors des contrôles. Affalée sur ma copie, je fixais l'horloge qui semblait me narguer … On frappa à la porte de la classe. Soudainement ravie, je lâchais mon stylo sur la table avec un petit sourire satisfait, toutefois, celui-ci disparu rapidement quand on me convoqua dans le bureau du proviseur. Pendant tout le chemin, je me demandais ce que j'avais bien pu faire. Certes mes notes avaient diminuées mais ce n'était pas si catastrophique. Si ? La vieille mégère ne semblait pas aussi dure que d'habitude, quelque chose avait changé en elle. Elle demanda de m'asseoir. Ce que je fis sans sourciller. Le visage sombre, les mains croisées nerveusement devant sa poitrine, elle allait ouvrir la bouche mais ma mère ne lui laissa le temps de rien. Tel un ouragan, elle débarqua dans le bureau, me prit par le bras et m'emmena dehors sans un mot. Celle qui était habituellement mon rayon de soleil s'était transformée. Ses yeux pleins de larmes, elle m'annonça ce que jamais je n'aurai voulu entendre. Mon père était mort. Je n'ai jamais su comment, ni pourquoi mais une chose était sure : Même après sa mort, il avait pensé à moi. Sous la forme d'une lettre, d'un petit morceau de papier, il m'apprit des choses que jamais je n'aurai cru possible. Il m'apprenait l'existence d'un frère, d'un gaillard d'une bonne vingtaine d'années au prénom horrible. Un samuel qui était issu de sa première union. Ma mère et moi n'étions que les bouches trous alors qu'il continuait à avec cette autre femme, et ce fils aux yeux aussi clairs que les miens. Je le maudissais, le détestaient au plus haut point. J'avais envie de lui dire ses quatre vérités mais malheureusement, je ne pouvais plus le faire. Il me parlait de New-York, de cette ville que je ne connaissais pas, il aurait voulu que je découvre mon frérot celui que je détestais déjà avant même de l'avoir rencontré. Pendant quelques années, je ne fis rien, préférant éviter cette autre vie qui était malgré tout lié à la mienne. Mais plus le temps passait, plus la curiosité m'envahissait. Ni une, ni deux sur un coup de tête, je pris mon sac, mon diplôme de photographe et débarquait à New-york pour rencontrer celui que je devais appeler frère. Mes débuts dans cette ville fut marquée d'une liberté sans borne, j'adorai ça mais pourtant, je savais que le grand jour approchait, que bientôt il faudrait que je franchisse le pas, car lui ne le ferait sans doute pas. Il ne connaissait même pas mon existence alors si je devais attendre à ce qu'il le fasse, je pouvais attendre au moins un demi siècle ou deux.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Absynthe, centenaire ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par une connaissance a qui j'ai tiré les vers du nez ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Souvent. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → Répondre ici.
Mon exemple de RolePlay:
→Cet après-midi avait pourtant si bien commencé. Cette rencontre avec Adam était étrange, bien plus que les fois précédentes ou seul le désir pouvait s'inviter à la fête. La jeune femme redécouvrait son amant comme jamais elle n'avait pu le faire avant. Il se montrait plus doux, plus attentionné et lui faisait entre-apercevoir un autre visage de ce qu'il était réellement. Cette découverte ne la dérangeait pas, bien au contraire, elle avait l'impression de vivre autre chose qu'une partie de luxure ou seul le sexe comptait. A ce moment précis, Alois aurait voulu vivre ce moment à fond, en profiter en maximum pour se sentir autrement, pour oublier pendant quelques instants les pensées qui la tourmentaient. Parfois, son cerveau qui lui rappelait que ce qu'elle faisait était ridicule et pervers, que le plaisir n'était sans doute pas la première chose à rechercher dans la vie, qu'être l'objet d'un homme n'avait rien de valorisant. Il n'avait pas tord.
Plus les secondes défilaient et plus elle montait en intensité, son corps lui réclamant celui d'Adam, ses sens frémissant à chacune des caresses du bel homme. Une petite voix en elle lui rappela à quel point elle était faible et la condamnait d'avoir décimé d'un coup de rein la vraie Alois, celle qui doutait de l'existence de l'amour mais ne voulait pas devenir facile pour un sou. Cette Alois lui manquait … Elle n'était sans doute pas attrayante aux yeux de tous les « couchards » de la ville mais au moins, elle avait gardé sa dignité. Elle n'ouvrait pas les cuisses dès qu'elle recevait un texto, ne mettait pas en mode pose sa raison ou profit de la passion charnelle - Cette même passion qui se rappelait à elle après ses exploits en marquant sa peau de son odeur nauséabonde. Il ne fallait pas jeter la pierre à Adam. Après tout, la photographe était aussi responsable de ce qui s'était produit entre eux. Il était facile de dire non ou de le repousser lorsqu'il était demandeur. Pourtant, elle n'avait pas pu, elle s'était jetée à corps perdu dans les précédentes rencontres qu'ils avaient eu, profitant intensément de ces délicieux instants qu'ils partageaient ensemble. Sa morale semblait s'être enfuie très loin avant de se décider à revenir à grandes enjambées aujourd'hui. La garce ! Il aurait peut-être mieux valu qu'elle réapparaisse dans quelques heures quand la jeune femme aurait pris un plaisir monstre avec celui qu'elle aurait bien voulu appeler « jouet ».
« Jouet » …
Adam ne lui était jamais apparu comme tel. Souvent, c'est lui qui dominait leur danse sensuelle et qui faisait d'elle une chose toute tremblante soumise et quémandeuse. Vu comme ça, elle était LE jouet. Ou pire, ils étaient devenus le jouet l'un de l'autre, dé-personnifiés, devenant un tronc ou un trou qui ne pensaient à rien d'autre qu'à se sentir comblés. Ce qu'ils représentaient, leurs Ames, leurs passions avaient disparues au profit d'un vide intersidéral alarmant. Ils ne se connaissait pas, et si on demandait à l'un d'eux ce que représentait l'autre à ses yeux, seul le mot plaisir ressortirait. Le constat était triste, et archaïque mais pourtant il était la représentation parfaite du duo Barrows-Hamilton. Si on la questionnait sur Adam, sur ses goûts, ses habitudes, il est certain que la demoiselle ne serait pas quoi répondre. Ils couchaient ensembles, se connaissaient intimement mais au delà, ils ne savaient rien de l'autre si ce n'est la position qu'ils préféraient. Dans un sens, ces deux-là n'avaient jamais prévus de se connaître car cela amenait à s'attacher à l'autre sans même sans se rendre compte de rien.
Pour la demoiselle, c'était impossible, elle avait tiré un trait sur le fait même de rencontrer l'amour. Adam quant à lui l'avait prévenu dès le départ qu'il n'y aurait que du plaisir. Il ne pouvait pas suivre une relation parce qu'il travaillait beaucoup trop. D'ailleurs, c'est par le biais de ce travail qu'ils s'étaient tous les deux rencontrés. Un «Ami» les avait présenté l'un à l'autre. La jeune femme étant plus ou moins un caméléon pouvait fournir à Adam quelques informations importantes sur les têtes qu'il recherchait. Ce jour là, ils avaient rapidement sympathisés, allant même jusqu'à finir la soirée sur ...un meuble. La fois suivante n'avait été qu'un prétexte. Ce qu'elle pouvait lui apprendre pouvait désormais bien attendre. Après quelques banalités, ils étaient passés à la casserole sans sourciller, appréciant seulement le contact bouillant de leurs deux corps.
Les souvenirs revinrent très clairement dans la mémoire de la jeune femme aussitôt qu'elle eut coupé court à leur jeu petit jeu. Elle ne savait pas pourquoi les mots étaient sortis de sa bouche. Elle aurait voulu les retenir mais bizarrement, ils s'étaient échappés très facilement comme-ci il était nécessaire de briser ce qui allait se produire, comme-ci il était indispensable de dire ce qu'elle avait dans la tête. Beaucoup d'hommes se seraient foutus de ce qu'elle pouvait bien penser du moment qu'ils puissent tirer leurs coups mais étrangement, Adam n'avait pas agit de la même manière. Quand son petit discours de sortie fut proclamé, elle l'avait sentir se raidir et cette fois-ci, elle en était sure, ça ne venait pas de l’érection qu'il pouvait avoir. C'était tout autre chose. Ses yeux clairs témoignaient de son étonnement tout comme l'expression figé de son visage. De toute évidence, la surprise était de taille, il ne s'attendait pas à ce que son amante lui fasse de telles révélations. Alois se figea à son tour quand elle remarqua son trouble, quand elle le vit attraper son poignet avec « violence ». Sur le coup, la belle brune cru que le jeune homme allait lui faire payer son impertinence et qu'il prendrait malgré tout ce qu'il voulait d'elle, à savoir un instant de sexe pur et dur qui irait à l'encontre de ce qu'elle venait de lui demander. L'envie de partir, de retourner chez elle en sécurité lui agrippa les entrailles et elle lui fit savoir d'une voix faiblarde qu'elle trouvait ridicule. Pourtant après quelques secondes de silence, sa peur se transforma rapidement, laissant place à un tout autre sentiment. L'incompréhension.
Un flot de paroles lui frôla les oreilles pour ensuite venir percuter de plein fouet son cerveau. Elle ne s'attendait pas du tout à découvrir les pensées d'Adam, ni à entendre ses excuses, ni même tout ce qu'il pouvait bien penser de leur relation. Son cœur manqua un battement. Bien sur, il aurait pu dire des conneries qu'il ne pensait pas, des mots qui n'avaient aucune valeur mais qui voyaient le jour seulement pour qu'il puisse la berner, la séduire et coucher à nouveau avec elle. Pourtant Alois Barrows n'arrivait pas à concevoir qu'Hamilton puisse dire tant de mensonges pour tirer son coup. Elle n'était pas unique et avec le physique qu'il avait, il ne devait pas être très difficile pour lui de trouver une autre pimbêche à sauter. Étrangement, elle avait envie d'y croire, pas parce qu'elle appréciait la flatterie mais plutôt parce que cela lui faisait du bien. Elle ne coucherait pas avec lui ce soir mais pourtant elle semblait déjà satisfaite par ce qu'il lui disait. Doucement, il semblait se dévoiler à elle, lui montrait une face de cet humain qu'elle ne connaissait pas. Ce n'était qu'un discours, des mots, des lettres entrelacées les unes aux autres, pourtant cela lui donnait envie d'en savoir davantage, de voir ce qu'elle avait loupé jusque là. Ce n'était plus ce corps qu'elle voulait connaître mais l'esprit planqué quelque part dedans. Pourtant ils dépassaient les règles de ce qu'ils s'étaient promis, pas d'attache, pas de promiscuité mais si lui voulait arranger les choses avec elle, et si de son coté, elle voulait le découvrir un peu plus ; Il était certains que nos deux amis briseraient la superficialité qu'ils avaient tenté de mettre en place. C'était mal, mais peut-être ce l'était beaucoup moins que ce que leurs corps avaient pris l'habitude de faire.
Il semblait mal à l'aise, son regard fuyant le sien, ses mains évitant de toucher sa peau. C'était bien la première fois que ça lui arrivait … D'habitude, lui qui était si avide de contact de toute sorte n'osait même plus avoir de contact ne serait ce que visuel avec elle. C'était quelque peu étrange mais dans son comportement, et par ses gestes, elle avait l'impression que son homme – Celui avec qui elle passait du bon temps – était des plus sincères. Il ne cherchait même pas à l'amadouer pour obtenir quelque chose en retour et désormais la possibilité de les voir coucher ensemble tous les deux était infime. La jeune femme posa ses doigts sur le visage d'Adam et doucement, dans un geste doux, elle le força à tourner sa tête vers elle, elle voulait voir ses yeux, ressentir son regard sur elle alors qu'il lui parlait. Étrangement, il se laissa faire même si cette proximité semblait les déranger tous les deux. Eux qui avaient l'habitude de vivre des contacts plus intimes se sentaient troublés par un simple face à face. Les deux adultes avides de sexe semblaient avoir disparu au profit d'une vision légèrement plus troublante. Deux adolescents timides qui ne savent pas ou mettre leurs yeux ni leurs mains …
Des deux, ce fut elle la moins timide, et sans un mot, elle retourna dans les bras du jeune homme, prenant le temps de profiter de ce contact aussi éphémère soit-il. Il était possible qu'Adam la rejette, qu'il ne puisse pas supporter ce peau à peau qui pouvait lui rappeler quelques bons souvenirs, ou réveiller la partie la plus sensible de son être. Légèrement anxieuse, c'est avec un petit sourire qu'Alois se rendit compte qu'il l'avait prise au piège entre ses deux bras. Alors la belle brune se laissa faire, soupirant doucement de ce nouvel accord qu'ils étaient sur le point de passer. Il ne savait pas comment s'y prendre avec elle, comment racheter ses « fautes ». De son coté, la demoiselle avait déjà sa petite idée pour repartir sur de bonnes bases. Oui, désormais, elle ne voulait plus l'abandonner, sa curiosité était attisée au plus haut point à cause de quelques déclarations qui ne l'avaient pas laissées insensible.
« Nous pourrions peut-être repartir de zéro … Se découvrir … Voir si nous arrivons à nous supporter quand nous ne couchons pas ensemble. Mettre une personnalité sur le corps que nous connaissons sous … toutes les coutures »
Là encore, la jeune femme murmurait … Peut-être était-ce du à l’atmosphère du moment ? Une chose est sure, elle ne voulait pas monter le ton, comme pour ne pas briser l'instant qu'ils partageaient tous les deux.
« Tu n'as pas à t'excuser, c'est moi que je devrais condamner dans l'affaire, pas toi … Cette situation, je l'ai voulue. Je ne regrette pas ce qui s'est passé entre nous, je maudis juste que les choses ne se soient pas passées autrement. Je me suis lancée avec toi en sachant pertinemment que ce n'était pas exactement ce que je recherchais mais je l'ai tout de même fait. Facilement, j'ai cédé à une pulsion étrange qui ne s'était pas produite avant que je te rencontre. J'ai apprécié ces quelques moments passés avec toi, te dire le contraire serait un beau mensonge … Mais je ne sais pas ce qui s'est produit dans ma tête. Je me suis sentie vide, avec cette impression néfaste que je me plongeais dans une histoire qui ne mènerait à rien. C'est que l'on s'était dit mais je n'arrive pas à m'y résoudre. Non pas que je tienne à toi mais … Dans un sens, je crois que j'aimerai découvrir autre chose, pas des histoires mais une histoire. C'est pour ça que je t'ai rejeté même si j'apprécie ce que tu es. Même si je connais peu de toi. »
Enfin il la regardait. Et elle ne pouvait qu'apprécier que son ami arrive à ne plus se sentir gêner par ce qui s'était produit entre eux.
« Comme tu l'as dit, cette liaison est une chance mais elle aurait eu un véritable intérêt si elle avait dépassé le stade de la superficialité et de la facilité. Mais ça, c'est ma vision des choses … Pas la tienne. Il faut que j'arrive à trouver quelqu'un qui acceptera cela. »
La jeune femme s'écarta soudainement de lui, et sautilla pour attraper la chemise au sol. Elle l'observa un moment et l'enfila avec un petit sourire narquois.
« Alors comme-ça je suis magnifique et envoûtante ? Je t'aurai bien dis la même chose mais je suis en période de sevrage. Je dois éviter de me rappeler que tu es … La belle se mordit la lèvre avec malice et sortit alors de la pièce – tentant. »
Rapidement, elle se retrouva dans un petit salon, le même qu'elle n'avait pas pu apprécier quelques minutes avant. Austère fut le mot qui percuta son esprit mais elle ne pu davantage réfléchir dessus qu'Adam pointait déjà le bout de son nez, toujours torse nu, un peu surpris aussi. Alois appréciait le voir en plein jour et cela lui rappelait pourquoi elle avait cédé aussi facilement. Il était tout de même assez bel homme.
« Il n'y a rien d'acquis dans la vie » répliqua t-elle soudainement tout en fermant quelques boutons de la chemise, la couvrant suffisamment pour éviter de raviver des envies chez Adam « Ce qui paraît l’être ne l'est pas, ce n'est là qu'une vaste illusion. »
Elle resta un moment planté dans le salon et fit un tour sur elle même pour à nouveau observer la pièce.
« Ce qui l'est par contre, ce sont nos goûts, et nos préférences.»
Alois se recoiffa machinalement, faisant voler ses cheveux dans tous les sens plutôt que de les arranger, la faisant grimacer un moment :
« C'est maintenant que l'on doit tout recommencer ? Que je dois te dire que j'adore le chocolat, la musique country, l'astronomie et tout un tas de choses qui font que je suis moi ? Ou l'on remet ça à plus tard ?»
Le code règlement:
→ OK par Hunter
Dernière édition par Alois McKelhann le Dim 27 Jan - 20:06, édité 8 fois
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Jeu 10 Jan - 16:52
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Jeu 10 Jan - 17:30
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Jeu 10 Jan - 17:46
Bienvenue
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Jeu 10 Jan - 18:20
bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas, & si tu as le temps n'hésite surtout pas à passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Jeu 10 Jan - 18:25
bienvenuue à toi & bon courage pour ta fiche très bon choix d'avatar
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Jeu 10 Jan - 18:34
Je suis fan de ton avatar :brigitte: Bon courage pour ta fiche !
Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Sam 19 Jan - 20:29
Bienvenue Très bon choix d'avatar
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Sam 19 Jan - 22:50
Merci à toi =)
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Dim 20 Jan - 12:56
En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, tu as donc une semaine pour la terminer avant que ton compte ne soit supprimé. Tu es un membre en danger.
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Lun 21 Jan - 16:44
J'ai bientôt terminé. Je prends mon temps comme j'ai un oeil hors service ^^
Demain ou après demain, tout sera bon normalement.
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more. Dim 27 Jan - 17:26
J'ai déplacé ta fiche comme demandé par mp, et je t'accorde trois jours de délai supplémentaire. Bon courage !
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Sujet: Re: Alois Mckelhann : I love you I do no more.