FEAT. KIMBERLY MATULA

Saphyr Maryssa Gallagher

20 ans → Né(e) à Las Vegas le 17/10/1992 → strip-teaseuse & étudiante en design de mode
célibataire → hétérosexuelle → membre des Rebels.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ Vous avez réellement besoin de savoir de quoi j'ai l'air ? Je suis là devant vous, non ? Bon, d'accord, si vous y tenez, je veux bien vous parler un peu de moi. Premièrement, je suis assez petite. D'ailleurs, au club on me surnomme assez régulièrement Minnie, ce qui me met régulièrement en colère. Je suis aussi très mince, ce qui est carrément un bien acquis. Quand on a pas toujours les moyens de manger à sa faim, on a pas vraiment le choix. Je suis blonde. En générale, mes cheveux boucles légèrement naturellement mais la plupart du temps, je les lisse, préférant me voir ainsi. J'ai les yeux pairs, passant du verts au bleus assez régulièrement. Côté vestimentaire, disons que je met assez ce qui me tombe sous la main. J'aime plutôt les vieux trucs vintages et je tente le plus possible de me vêtir de cette manière. Si non, je ne pourrais vivre sans ma veste de cuir et mes bottes noires. Côté piercings et tatouages, je n'en possède qu'un seul de chacun. Comme la plupart des strip-teaseuse, j'ai le nombril percé. Je possède également un petit dragon tatoué au bas du dos. J'ai bien évidement, comme tout le monde, quelques tics. Entre autre, je me ronge assez régulièrement les ongles et je me mors la lèvre inférieure lorsque je suis nerveuse.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ On a jamais dit de moi que j'avais le meilleur caractère qui soit. J'ai même peine à me supporter moi-même quelques fois. C'est vrai, je suis assez arrogante, difficile et solitaire. Pendant toute ma vie, je n'ai pu compter que sur moi-même donc aujourd'hui, j'ai un peu peine à faire confiance aux autres et à me confier. Je ne suis pas une ermite pour autant, mais disons que mon dicton favori est de loin On est jamais mieux servie que par soi-même. Je vous ai déjà précisée que j'étais arrogante. Lorsque quelque chose me déplaît, je ne me gêne en aucun cas pour le dire ou encore pour le faire comprendre à la personne concernée. On m'a souvent dit que toute vérité n'est pas bonne à dire, mais disons que je n'ai jamais su suivre ce conseil. De ce fait, je suis une fille très honnête. Mentir n'a jamais été ma tasse de thé et je déteste lorsqu'on ne sait pas se montrer honnête avec moi. Bon, le temps est venue de vous parler de mes bons côtés. Je me doute que vous devez déjà penser que je suis une fille monstrueuse qu'il vaut mieux ne pas fréquenter, mais sachez que lorsqu'on me connaît bien, on m'adore généralement. En effet, je peux me montrer assez sympathique lorsque l'envie me prend. Certes, j'ai beau ne pas être très sociable, ce n'est pas pour autant que je vais repousser les personnes qui viennent à moi. Lorsqu'on fait partie de mes amis, c'est généralement pour la vie et je serais prête à tout faire pour les personnes qui me tiennent particulièrement à coeur. Je peux également être assez enfantine lorsque je m'y mets. Comme tout le monde, j'aime bien rire et faire rire les autres et lorsque je m'y mets, je peux être un véritable clown de service. J'adore sortir en boîte. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que je travail dans une boîte de strip-tease. Je suis une fan de fête et je me débrouille généralement pour ne pas en manquer une seule. Comme toutes filles qui se respectent, j'adore draguer. Certes, lorsque je suis en fonction, je me dois de me montrer intéressée par n'importe quel type présent dans le club. C'est ça le rôle d'une strip-teaseuse. Cependant, lorsqu'un mec me plaît vraiment, les choses sont tout autrement. Tout ce que je veux, je mets toujours tout en oeuvre pour l'obtenir un jour ou l'autre, et lorsqu'il s'agit d'un homme, ça n'en est que pire. Aurais-je oublier de vous préciser que je suis une fille possessive ? Et oui, mieux vaut ne pas s'approcher de ce qui m'appartient ou de ce que je veux sans quoi je sors les griffes. Autrement, je suis une fille assez relaxe. Je me débrouille comme je peux pour survivre à travers le tourbillon qu'est la vie. Je n'ai peut-être pas une vie de rêve, mais au moins c'est la mienne et pour le moment, je n'en changerais pas.

Well... It's my story...

Généralement, les contes de fées débutent de manière heureuse et légère. Mais moi, ce n’est pas un beau conte de fée que j’ai à vous raconter, bien au contraire. Il va sans dire que tout ceci ne débute pas très bien d’avance. J’aurais pu naître, comme tous les enfants, dans une famille aimante et sans histoire, composée de déjà deux frères et sœurs et d’un chien. Mais non, le destin a voulu que je sois la fille d’une gamine de 16 ans et d’un mec idiot qui avait décidés de la laisser tomber en apprenant sa grossesse. Pourtant, la jeune femme était certaine de pouvoir aspirée à une vie de rêve. Née au Texas, elle avait grandit dans une famille agréable et sans histoire qui la prédestinait à une vie légère comme n'importe quelle autre femme. Et c'est là qu'elle l'a rencontré. Celui que je dois malheureusement appeler mon père. Il avait 21 ans, préférait la moto à une voiture et n'était de toute évidence pas très net. Mes grands-parents s'en étaient d'ailleurs bien rendus compte, mais pas ma mère. Elle se fichait bien des cinq années qui les séparaient. Elle l'aimait et c'était tout ce qui comptait à ses yeux. Aussi, lorsqu'il lui proposa de défier l'autorité de ses parents et de s'enfuir à Vegas avec lui, elle a immédiatement acceptée. Leur mariage dura deux mois tout au plus. Comme je vous l'ai dit plus haut, elle a découvert qu'elle était enceinte et aussitôt, ça a été bye bye Roméo. Il va sans dire que dès la naissance, j’étais déjà dans de beaux draps, devant être élevée par une fille qui n’était même pas encore tout à fait sortie de l’enfance. Mais bon, quoi qu’il en soit, le bébé que j’étais alors n’y pouvait rien. Et puis, je ne peux nier qu’elle a été une très bonne mère, s'occupant de moi de tout son possible tout en poursuivant ses études. Il était absolument hors de question pour elle de rentrer au Texas et de faire face à ses parents qui au bout du compte avaient eu raison depuis le début. Bref, disons que mon côté têtue, je ne le retiens pas du voisin. À cette époque, j’étais une fillette assez adorable. Je me montrais sage comme une image auprès de ma mère, tâchant d’obéir à tout ce qu’elle pouvait me demander. Ce n’est qu’à l’entrée à la petite école que les choses devinrent un peu plus difficiles. Je voyais toutes ces autres fillettes qui étaient reconduit par leurs papas. Et puis, qu’est-ce que c’était au juste un papa ? Je n’en avais pas moi. Pourquoi je n’en avais pas ? Toutes ces histoires étaient beaucoup trop compliquées. C’est pourquoi je décidai de ne pas en parler à ma mère, craignant de lui faire de la peine.

Au début de mon adolescence, vers mes 14 ans, les choses se gâtèrent un peu pour nous deux. Ma mère qui était auparavant serveuse dans un petit café avait perdue son emploi, ce qui nous laissait à présent sans la moindre source de revenue. La nourriture commençait à manquer et nous avions à peine de quoi payer le loyer. Je me devais de faire quelque chose pour lui venir en aide. Je n'avais pas d'autre choix. J'imagine que vous avez déjà une idée précise de Las Vegas, non ? Que vous y soyez déjà allé ou non, on sait déjà tous quels sont les mots d'ordre quand on y met les pieds : casinos et fêtes. Si c'est ce que vous croyez, détrompez-vous. C'est que vous ne vous êtes jamais rendus dans mon quartier. À 15 ans à peine, d'autres adolescents deelaient déjà dans les rues afin de se faire un peu d'argent. Je n'avais pas le choix. C'est ce que je devais faire aussi. C'est ainsi que je tombai dans le plus profond de mes vices. Malgré mon jeune âge, je parvenais à vendre beaucoup ce qui faisait très plaisir à celui que j'appelais mon patron. Il me payait dûment tout en me donnant de temps à autre un petit sachet de poudre afin de je parvienne à tenir un peu plus. On me surnommait la gueule d'ange et pour cause. Sous mes longs cheveux blonds, qui se serait doutée que je passais mes soirées de par les rues à distribuer de la came à des types deux fois plus vieux que moi ? Même ma mère commençait à se poser des questions. Elle se demandait où je pouvais trouver tout cet argent que je ramenais à la maison. Dans ces cas-là, je devais m'efforcer de la rassurer et lui raconter que je faisais du baby-sitting très régulièrement. J'ai toujours détestée mentir, mais apparemment, je n'avais pas le choix.

Mon manège durant deux années entières. Depuis tout ce temps, ma mère était parvenue à se retrouver un emploi. J'aurais pue arrêter, mais hélas, j'étais devenue beaucoup trop accroc à ma propre marchandise pour cesser mes activités. De plus, je ne pouvais arrêter maintenant. Mon patron en aurait été beaucoup trop furieux et la petite fille de 16 ans que j'étais alors avait beaucoup trop peur pour arrêter. Jusqu'au jour où une amie de ma mère me vit en pleine activité. Il va sans dire qu'elle lui a tout racontée sur le champ, mettant fin à mon trafic. J'eu beau lui expliquer que je faisais ça pour nous, pour qu'on aie une vie meilleure, elle ne voulait rien entendre. Elle m'obligea à entrer dans un centre de désintoxication afin d'éliminer ma dépendance à la cocaïne. Je lui en ai terriblement voulue pour ça et encore aujourd'hui, je garde un peu de rancoeur à son égard. Je sais qu'elle a fait ça pour mon bien mais j'ai plutôt eu le sentiment qu'elle m'abandonnait. Quoi qu'il en soit, au départ, je ne me montrai pas très coopérative. Je refusais d'adresser la parole à qui que ce soit, et lorsque venait le temps de parler de ma dépendance, je niais tout, affirmant que je n'avais aucun problème. Mon mutisme dura un bon deux mois, jusqu'au jour où un nouveau patient intégra la clinique où j'étais enfermée. Il s'appelait Matthis, il avait 23 ans et avait une dépendance à l'alcool et aux drogues fortes lui aussi. J'ignore tout à fait pourquoi, mais sa personnalité m'a tout de suite accrochée. Il m'a redonné l'espoir et le goût de me battre contre ma terrible dépendance. Une profonde amitié s'était créée entre nous et en cas de coups durs, nous parvenions à nous encourager et à nous remonter le moral.

Notre belle amitié durant une année entière, après quoi Matthis eu la permission de sortir. Sa dépendance à l'alcool et aux drogues s'était peu à peu dissipée et il était prêt à retourner dans le monde extérieure. Quand à moi, j'étais sur la bonne voie bien que j'étais encore craintive. Je savais que s'il fallait que sorte maintenant, je replongerais à tout les coups, et le fait que Matthis ne soit plus là compliquait les choses. Heureusement, il venait me rendre visite presque à tout les jours, me parlant de sa vie à l'extérieure et des progrès qu'il avait fait. Sa présence me rassurait énormément, à un tel point que je commençais à me question sur les sentiments que j'avais à son égard. Oh je n'avais pas vraiment d'espoir. Je n'avais que 17 ans alors que lui en était à 24. Jamais mes sentiments ne pourraient être partager. Enfin, c'est ce que je croyais jusqu'au jour où il m'amena faire un tour dans la cours extérieure de la clinique et qu'il m'avoua penser très souvent à moi aussi. Le fait qu'on soit désormais ensemble me donna le courage nécessaire pour me battre encore plus fort. Auparavant, je n'avais pas d'autres raisons de m'en sortir que moi-même, ce qui était loin de m'encourager. Mais maintenant que je n'étais plus tout à fait seule au monde, je savais que je pouvais y arriver.

Un an plus tard, je sortais de l'institut en pleine possession de mes moyens. À cette époque, j'avais réellement le sentiment de pouvoir tout faire. J'avais repris le contrôle de moi-même, j'avais un petit ami génial avec qui je partais vivre en appartement et je m'apprêtais à débuter des études en design de mode. Tout allait pour le mieux et même encore plus quelques mois plus tard au moment où j'appris être enceinte. Certes, un autre couple aurait pu prendre ça pour une très mauvaise nouvelle, mais pas Matthis et moi, bien au contraire. Il s'agissait plutôt d'une merveilleuse nouvelle, la concrétisation que notre couple était solide et prêt à fonctionner, et même si je n'avais encore que 18 ans, je me sentais prête. Neuf mois plus tard, je donnai naissance à une superbe petite fille à laquelle nous donnâmes le prénom de Luna. Je ne me rappelle pas d'avoir été plus heureuse que le jour de sa naissance. J'avais beau venir à peine de la tenir dans mes bras, je n'avais jamais ressentie un tel sentiment pour quoi que ce soit. Elle était absolument toute ma vie et je me devais de la protéger de tous les malheurs du monde. À peine quelques semaines plus tard, Matthis me demanda ma main et j'acceptai de tout coeur, fondant en larmes. Enfin, j'avais le sentiment d'être tirée d'affaires et de pouvoir mener une vie beaucoup plus sûre que celle que ma mère avait eu.

C'est deux mois plus tard que ma vie bascula une nouvelle fis entièrement. Je m'étais rendue seule à une fête organiser par des amis communs. Comme nous ne pouvions laisser Luna toute seule, Matthis était resté à notre appartement avec elle. C'est là que mes vieux démons reprirent le dessus. J'ignore comment ça s'est produit aujourd'hui, mais je me suis soudainement retrouvée avec une ligne de cocaïne devant moi. Je sais que c'est idiot, mais je n'ai pas pue résister, et comme on le sait tous, une seule petite fois est assez pour nous faire replonger. J'avais encore besoin d'aide, mais dans un sens, je ne pouvais pas en parler à Matthis, pas s'il y avait des risques que je l'entraîne dans ma chute avec moi. Il n'y avait qu'une seule solution : partir. C'est donc au beau milieu de la nuit que je préparai mes baguages, embrassant ma petite Luna une dernière fois sur le front avant de laisser une petite note à Matthis sur notre table de chevet et de partir. Les mots que j'y avais inscrit étaient simples, Je ne peux pas. Désolé., abandonnant par le fait même ma bague de fiançailles avec ce petit message. Au cours de la même nuit, je prit le premier avion en direction de New York.

Ça fait maintenant deux ans que je suis partie. Deux ans que j'ai foutue ma vie en l'air pour la deuxième fois. Encore aujourd'hui, je songe de temps à autre à la vie que j'aurais pue avoir, et à celle que mon ancien fiancé et ma fille ont désormais. Il est trop tard désormais pour revenir en arrière. J'en suis parfaitement consciente. De mon côté, je continue ma vie de débauche, fumant et buvant de plus en plus régulièrement et couchant de droite à gauche pour oublier la peine de mon erreur. Je poursuis néanmoins mes études en design, espérant pouvoir me créer une meilleure vie que celle de strip-teause que j'ai aujourd'hui.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Tatiny.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par ma colocataire Satyne qui voguait justement sur votre super forum.
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non.
★Présence sur le forum → 3 à 7/7, dépendament des semaines.
★Personnage inventé ou scénario ? → PI.
★Crédit images → Tumblr.

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

Bienvenue et bon courrage pour ta fiche :brigitte:

Bienvenue parmi nous

bienvenue à toi

Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche

Bienvenue sur le forum! ♥

Je ne connais pas ton avatar mais elle est magnifique.
Bienvenue parmi nous.

bienvenue

Bienvenue chez nous !

Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche

Bienvenue parmi nous

Bienvenue

Bienvenue parmi nous!!

Bienvenuuuuue

Bienvenue par ici

bienvenuue

Welcome,

Oh merci tout le monde, vous êtes si gentils !
Je fais ma fiche au plus vite. :brigitte:

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche

Merci !
Voilà, fiche terminée !

Bienvenue!

Merci ! :10:

Bienvenue sur le forum