Sujet: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 6:53
FEAT. JACKSON RATHBONE
Cébald Morgan Delauney
24 ans → Né à Paris, France le 13/09/1988 → célibataire → sexualité libre → membre des outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Cébald est le genre de mec qu'on remarque dès les premières secondes où il entre dans une pièce. Plus souvent qu'autrement à cause de son look de rockeur qu'il adopte même pour se rendre simplement au supermarché. Un plus d'un sourire craquant, il a quelques tatouages sur les épaules et un en forme de bouteille de ketchup sur le mollet. Ne posez pas de question, vous n'aurez pas de mensonges. Il a souvent une fille différente à son bras, mais il ne les tourne pas en bourriques, elles savent qu'elles sont les groupies d'un rockeur pas célèbre pour deux sous et désabusé. Si on ne le remarque pas par son physique, c'est parce qu'on cogne à sa porte pour ses services. Habile de ses mains comme pas deux, Cébald travaille le bois, plus précisément, il construit des cercueils. Pourtant il a la folie maladive de perdre l'une de ses mains à l'ouvrage. Ce serait pour lui quelque chose de tragique. C'est donc avec une nervosité constante qu'il travaille. Il n'as pas d'allergies, mais il déteste les bestioles qui viennent de l'eau, sans exception. Aucuns fruits de mer ni de poisson pour le français, ça le dégoûte.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Artiste du plus profond de son âme, même si rien ne lui souris. Il adore créer, écrire, composer, façonner, sculpter. Il ne peux passer une journée sans donner vie à quelque chose, ça le fait se sentir vivant, même si souvent c'est pour les morts qu'il se donne ainsi. Passionné, il met son coeur dans tout ce qu'il fait. Il est certain que c'est un bon moyen pour se le faire briser, mais au moins il a l'audace que peu ont. Il est par contre très compétitif et veut toujours être meilleur que tout le monde dans ce qu'il fait. Légèrement paranoïaque de par son imagination débordante, parfois il se fait peur à croire à des complots contre lui, ou encore que des gens lui veulent du mal, mais il garde le tout pour lui, bien caché. Il est pourtant aventureux et n'hésite pas à se foutre dans le pétrin pour avoir un peu de plaisir. Il est direct, au risque de blesser. Il dit ce qu'il pense, simplement. Ça ne l'empêche pas de mentir et manipuler lorsque cela lui convient le mieux. C'est un parasite. Il envahit la vie des gens sans penser à eux. Petit égocentrique qui se prend pour le centre du monde. Il ne pense qu'à lui et tout devrait lui appartenir. Il a d'ailleurs tendance à être possessif, traitant les gens autour de lui comme des objets lui appartenant alors que lui ne sera jamais à personne, éternel bohémien. Il lui arrive d'être impulsif lorsque les circonstances le surprennent. Il agit sans penser et souvent sans regretter non plus. Par contre, lorsque la rage l'emporte et que son ego d’orgueilleux est piétinée, il devient un psychopathe. Préparant sa vengeance de revanchard avec assiduité. Et en plus, c'est qu'il est tenace et ne sera pas satisfait tant que justice ne sera pas rendue. Immoral, il joue selon ses propres règles et pas selon les conventions sociales. Même si il est charmant et amusant lorsqu'on le rencontre, il peu vite de montrer colérique, autoritaire et même voir cruel. Excessif, pour lui, tout est la fin du monde. Il vit des émotions extrêmes constamment. Grand mégalomane, il vendrait son âme au diable pour un peu de reconnaissance. Il est impatient en général, mais surtout en ce moment, il est impatient que sa carrière démarche et surtout très nerveux que rien ne débouche et qu'il soit désabusé.
Well... It's my story...
Je suis né par erreur. Je n'étais ni désiré ni attendu. Mes parents étaient des illuminés du quatrième type. Mon père français à rencontré ma mère Irlandaise alors qu'elle était de passage dans la ville de mon père avec sa famille. Il a été immédiatement charmé par la jeune adolescente de seize années alors qu'il n'en avait qu'une de plus qu'elle. Il compris très vite qu'elle ne serait que de passage dans sa vie étant donné son mode de vie et il s'y refusait. Une semaine, puis les bohémiens allaient vers d'autres contrées avec leur maison mobile. Le jeune homme n'allait pas laisser cela arrivé et dans un baiser alcoolique, il lui proposait de s'enfuir avec lui. Elle acceptait et ils partaient, à pieds, en gitans se sauvant pour vivre leur amour en paix. Leur aventure commençait. Ils dormaient dans la rue, se réchauffant de leur amour, du mieux qu'ils pouvaient. Ce n'était pourtant pas suffisant. Il leur fallait plus, mieux. Des températures de moins en moins clémentes approchaient et il fallait faire quelque chose. Ils commencèrent donc à jouer à Bonnie et Clyde. Commettant de petits crimes tout d'abord, pour se nourrir et avoir un toit, puis de plus en plus gros. Un coup d'éclat, un vol de banque et ils courraient déjà loin. Avec cet argent, ils s'achetèrent leur propre voiture mobile alors qu'ils partaient découvrir le monde et s'aimer. Avant même que ma mère n'atteigne ses dix-sept ans, elle tomba enceinte. Une gamine allait avoir un gamin. Quelle belle histoire. Et les deux jeunes prenaient ça à la légère. Sans consulter de médecins, sans qu'elle n'arrête de fumer ni de prendre alcool et drogues. Elle me donna naissance dans le van qu'ils s'étaient achetés et ils étaient heureux. À Paris, ils s'étaient arrêtés pour la nuit, repartant dès le lendemain. J'étais comme une petite poupée qu'ils trimbalaient et à qui ils n'avaient même pas acheté de vêtements. Et avec les années, les choses ne s'amélioraient pas vraiment. Ils m'avaient achetés de vieux vêtements troués et j'étais un catin plus qu'un être humain. Un poupon envahis par la fumée et l'inconscience de la jeunesse de ses parents. Ils continuaient leur vie comme si de rien n'était. Et je grandissais et mes vêtements devenaient trop petits, alors ils en volaient d'autres en m'entraînant toujours dans leur connerie. Ce fut mon enfance. J'étais à côté de la plaque, j'étais seul, je n'avais pas de jouet, ni amis, ni racines. Et puis l'adolescence arriva alors que mes parents étaient encore des enfants eux aussi. Et l'histoire ce répéta. Je rencontrais une fille et j'en devenais fou. Mais nous repartions dans une semaine. J'aurais pu faire comme mon père, mais non. J'étais légèrement différent d'eux. Elle s'appelait Lola et elle était italienne. J'allais la retrouver en pleine nuit, sortant de la van en douce pour aller la serrer dans mes bras sur les côtes de Florence. Alors que j'arrivais sur les lieux, elle n'était pourtant pas seule. Accompagnée d'un autre garçon qui avait pris ma place, parce que j'étais en retard. Je restais là, caché dans la pénombre, le coeur en miettes. À les regarder s'embrasser comme des perdus, faire l'amour dans le brindilles. Puis, le jeune homme partis, laissant Lola dans un baiser.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → loupsousacides ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → avec la poudre magique. ★Ce personnage est-il un double compte ? → MMMMMOI ? MAAAAAAAA NAN ! ★Présence sur le forum → Toujours, comme une petite creepette. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → lj&bazzart
Mon exemple de RolePlay:
→ Sous Amen : Avant même qu'il n'ouvre les yeux, quelques sensations dérangèrent Amen pour le tirer d'un sommeil pourtant reposant. Premièrement, une petite main froide qui se glissait sur son ventre trop mince y engouffrant ses ongles pour s'y retenir comme à une bouée. Ensuite ce fut la mal de crâne qui le fit froncer des sourcils tandis qu'il léchait ses lèvres trop sèches par la nuit qu'il venait de passer. Ensuite, ce fut le mal de cœur, l'envie de se lever et de gerber partout. Ravalant ce mal cruel, le jeune homme ouvrit ses yeux avec douceur, la lumière du jour l'agressant étrangement. Merde, où était-il ? Chez-lui il ne faisait pas aussi clair quel que soit l'heure ou la circonstance. Heureusement qu'il n'était pas chez-lui. Chomsky ne se souvenait plus de ce qu'il avait fait la veille, mais il savait au moins qu'il n'avait pas ramené une meuf chez-lui alors qu'il devrait la foutre dehors. Ses yeux s'habituaient de façon définitive à la lumière alors qu'il regardait celle avec qui il avait passé. La nuit. Une magnifique blonde au corps voluptueux se trouvait à ses côtés dans un énorme lit blanc dans une pièce beaucoup trop lumineuse. Il devait avoir pris quelque chose de sacrément fort, parce qu'il n'avait même pas le souvenir d'avoir rencontré cette demoiselle. Il n'était pourtant pas au bout de son incompréhension. Tandis qu'il observait perversement le corps de la belle au bois dormant, une main arrivait de derrière lui pour venir caresser ses fesses nues avec une douceur étonnante. L'égyptien sursauta pour se retourner. Putain, mais c'était qu'il se faisait des bons plans qu'il n'avait malheureusement pas la chance de se rappeler. Une rouquine à l'apparence douce et sage avait apparemment passé la nuit en compagnie d'Amen et de la délicieuse blonde. Leurs noms et leurs visages lui étaient totalement inconnus et à vrai dire, il s'en balançait royalement. Il avait passé une bonne soirée et probablement qu'elles aussi. Sans trop faire attention aux demoiselles, l'ogre décidait de se lever du lit. Pourtant, alors qu'il posait ses pieds au bout du lit, son cœur s'arrêta de nouveau. Il avait failli écraser le bras d'une fille nue, enlacée avec une autre au pied de leur lit. Putain, mais qu'est-ce qu'ils avaient fait ? Amen se levait, complètement à poil comme toutes les personnes présentes dans la pièce. Pourtant, pas une trace de vêtements sur le sol. Il s'étira, puis décida d'approfondir sa recherche. Rien sous les couvertures ni le lit. C'était à n'y rien comprendre. Soit ils étaient tous arrivés ici sans vêtements, soit quelqu'un les avaient volés. Il cherchait le pourquoi du comment alors qu'il se décidait à ouvrir les tiroirs de la commode de cette fameuse chambre. Apparemment, c'était celle d'une fille et évidemment, il était tombé sur le tiroir de petites culottes, le premier, c'était un classique. À croire que les femmes le faisaient exprès. Bref, il n'allait tout de même pas se foutre une culotte de femme dessus pour se couvrir. Il ouvrit donc les autres tiroirs pour finalement en ressortir un pantalon jogging noir et potable qu'il enfila sans plus attendre. Relevant ses yeux azurs, quelque chose le troubla profondément, sur le meuble qu'il venait de dévaliser reposait une caméra. Peu importe ce qu'ils avaient fait, ils avaient probablement été filmés. Le jeune homme amoché décida donc de s'enfuir avec l'appareil pour se remémorer cette soirée. Ne prenant même pas la peine de cacher l'objet ou encore de ne pas faire de bruits, il sortit de la pièce en claquant la porte. Croyant être dans une immense chambre d'un petit appartement, il eut de nouveau le souffle coupé. Il était dans une immense baraque de gosses de riches. Impossible qu'il soit à une fête à Kassiopéi l'avait traînée. Les enfants des gens aisées n'étaient pas aussi débauchés. Effectivement, la maison avait l'air d'un champ de bataille. Le sol était jonché des vestiges de ce qui semblait avoir été une immense sauterie. Il n'y avait pas deux centimètres du sol qui n'était pas recouvert du cadavre dénudé d'un fêtard, de bouteilles, des verres d'alcool, de vêtements, de vomis ou d'autres trucs louches. Le jeune fêtard portait sa main libre vers son crâne sensible alors qu'il soupirait longuement devant ce désastre, heureusement que ce n'était pas chez-lui. L'orphelin se frayait un chemin parmi le champ de bataille alors qu'il dû revenir trois fois sur ses pas pour trouver une putain de sortie. Il jurait et grognait sans pour autant croiser qui que ce soit d'éveillés. C'était à croire qu'ils étaient tous profondément morts. Enfin, Chomsky atteignait une porte, pouvant ainsi aspirer à plein poumons l'air frais de ce qui semblait être un après-midi. Pourtant, il était dans la cours extérieure clôturée. Il jura encore et encore alors qu'il devait faire le tour du château pour arriver à retrouver la rue. L'extérieur de l'habitation n'avait pas meilleure allure que l'intérieur. Définitivement, quelqu'un avait organisé l'open house du siècle. Aucuns souvenirs de cette magnifique nuit n’étaient dans sa mémoire. C'était le vide total. Il ne savait pas comment il était arrivé ici ni quand ni comment ni avec qui ni pourquoi. Il était torse nu et ne savait pas du tout où il était. C'était une bonne façon de commencer la journée. Autours il n'y avait que des arbres à perte de vue. Aucuns gratte-ciel, bordel, pour vu qu'il était toujours dans l'état de New York. Tout ce qu'il voulait c'était rentrer chez-lui et retrouver son lit.
Soupirant longuement, regardant à gauche puis à droite sans savoir dans quelle direction allée. Instinctivement, il choisit la gauche alors qu'il commençait à marcher sans grande conviction. Ses muscles lui faisaient mal tandis que sa tête lui rappelait qu'il avait surement abusé de quelques substances que ce soit. Heureusement après quelques minutes, il aboutit sur une rue. Il était à New York, dans un quartier résidentiel beaucoup trop chic où il détonnait vachement. Le pire fut lorsqu'il croisa une dame sur la rue pour lui demander des directions. Son air dégoûté alors qu'elle ne manquait pas de fixer son cou couvert de suçons et son torse légèrement égratigné par les tigresses. Adressant un sourire arrogant à cette pouffiasse de dame riche que son marie devait tromper avec plusieurs maîtresses tellement elle était emmerdante. Elle lui pointant une direction tout en ajoutant que c'était à vingt minutes à pied. Il grogna avant de se mettre en route. Putain. S'il avait su, il aurait réveillé les demoiselles dans son lit pour leur demander si elles avaient des bagnoles. Il ne put faire autrement que ce tapé le trajet en marchant et en grognant. Il tentait d'ignorer les gens qu'ils croisaient pour se concentrer à se souvenir de la fête de débauche totale. Pourtant il en était incapable. Amen ne faisait que pousser des jurons alors qu’une maman changeait de trottoir avec sa fille tandis qu'elles le croisaient. Pfttt... D'ici une vingtaine d'année, sa précieuse princesse se retrouverait peut-être dans la même maison de débauche que venait de quitter le garçon. Pourtant, il continuait d’avancer, même s'il avait envie de se laisser mourir dans la pelouse trop verte de ce quartier. Il se motivait à songeait à son lit en bordel dans sa microscopique chambre. Quelques coins de rue plus loin, il ne se retrouvait que plus enfoncer dans la merde. Il n'avait pas l'ombre d'un centime sur lui et pas la moindre preuve d'identité ni quoi que ce soit. Il aurait pu aller demander de l'aide à un policier traînant non-loin. Pourtant le dealer préférait se tenir loin de ses merdes et de leurs questions. C'est ainsi qu'il tenta de demander la charité dans le métro. On sait tous pourtant que les gens du genre sont habituellement évités. Pas Amen, il était près du téléphone alors qu'il cherchait une magnifique proie. Trouvant une douce enfant aux cheveux ébène, il s'approcha d'elle en charmeur pour lui expliquer qu'il avait perdu son porte-monnaie et qu'il était vachement loin de chez-lui. La demoiselle rigola doucement avant de lui filer assez d'argent pour qu'il fasse quelques appels. Heureusement, parce que c'est ce qu'il dû faire avant de finalement rejoindre quelqu'un. Tout cela fut pénible, il devait attendre dans le métro pour que l'un de ses colocataires vienne le rejoindre avec son portefeuille qu'ils avaient retrouvés à la porte de l'appartement du jeune homme accompagné de ses vêtements avec une note disant '' en espérant que t'ai passé une bonne soirée. '' Amen fulminait au bout du téléphone lorsqu'il apprit que ce coup de merde était anonyme. Il trépignait dans le métro pendant un bon trente minutes avant que Dash ne se pointe avec ses trucs, ne manquant pas de lui demander à qui il avait piqué cette caméra. Il rigola faussement avant de récupéré ses effets et d'enfin prendre le métro pour se rendre chez eux. Déposant sa tête sur l'épaule de Dash alors qu'inévitablement, son colocataire venait glisser sa main dans la sienne avec une douceur indescriptible. Habituellement, Amen aurait défait ce contact, imposant ainsi les limites de leur relation, une fois de plus. Pourtant il n’en avait pas la force. Il était si épuisé qu’il ne pensait qu’à se laisser tomber dans son lit et dormir paisiblement.
Ils rentrèrent donc dans l’appartement, Dash traînant un Amen qui chancelait de fatigue. Il était déjà dans un autre monde, rigolant de fatigue devant les efforts de son ami pour le traîner jusqu’à sa chambre. Il était mou comme un bout de tissus et n’aidait en rien le jeune homme à se rendre jusqu’à son lit. Dash n’était pas assez musclé pour le porter sur ses épaules, donc il faisait du mieux qu’il pouvait. Le reposant contre son torse pour refermer la porte alors qu’il le tirait avec douceur dans le couloir menant aux chambre jusqu’à ce qu’il pousse la porte de la chambre d’Amen pour se laisser tomber dans son lit avec lui. Pas besoin de vous faire un dessin, il était hors de question pour son colocataire de partir de la chambre du jeune homme. Celui-ci déposait sur le sol d’un geste mou la caméra qu’il tenait toujours. Dash récupérait le visage de son Amen entre ses mains, caressant sa joue du bout des doigts alors qu’il admirait son visage d’ange déjà endormis. Habituellement, Amen lui aurait dit de foutre le camp, parce que ce n’était pas une bonne idée qu’ils soient si près tous les deux, mais présentement il dormait déjà. Son colocataire qui n’en était pas certain, décida de vérifier le tout. Approchant son visage de celui de Chomsky pour s’emparer sensuellement des lèvres du fêtard. Elles restaient molles et sans vie, ne répondant pas à ses caresses charnelle. Un immense soupir de découragement s’échappa des lèvres du jeune brun tandis qu’il se contentait de se coller contre Amen, l’entourant de ses bras pour déposer sa tête sur son torse.
Ils s’endormirent ainsi, ne se réveillant qu’aux environ de quatre heure à cause du ventre d’Amen qui gargouillait de faim. Amen avait dormit, mais ses rêves n’avaient étés calme pour autant. Pendant toutes ses heures, il était revenu sur ses terres de sable, dans son village natal que sa mémoire déformait certainement de par le nombre d’années qui s’était écoulée. Entre deux maisons, il voyait pendant des brefs instants, le visage de son père, vivant. Sans attendre un instant de plus, Amen courrait pour le rattraper, mais il n’allait jamais assez vite. Il avait chaud, son corps dégoulinait de sueur alors que sa gorge était sèche. Chaque fois qu’il l’entrevoyait, son père disparaissait de nouveau. Il passait ainsi tout son temps à tenter de la rattraper, hurlant et pleurant toutes les larmes de son corps fictif. Il rêvait qu’il tombait dans des trous dont il se sortait avec peine et misère pendant sa course. Il rêvait qu’il se blessait alors qu’une balle l’atteignait en plein ventre. Il se prit même le pied dans un piège, coupant son propre pied avec une pierre alors qu’il souffrait. Il continuait tout de même à se traîner, jusqu’à ce que son père soit coincé au bord d’un précipice. Il se retournait alors vers lui, souriant doucement pour venir réchauffer le cœur de son fil. Puis il se jetait dans le vide. Amen hurlait et tentait de faire de même. Il se jetait dans le vide à la suite de son père alors qu’il se réveillait en sursaute, son ventre lui faisant toujours mal. Il ouvrait ses yeux pour se découvrir étroitement enlacé à l’un de ses meilleurs potes, il soupira doucement. Depuis qu’il connaissait Dash, il l’adorait et même s’il l’attirait affreusement et qu’ils avaient même déjà succombé à la tentation une fois, il ne cessait de se répéter qu’ils ne pouvaient plus. Dash était déjà beaucoup trop attaché à lui et ils ne pouvaient devenir des amies de couchette sans que le tout ne devienne affreusement compliqué avec des sentiments que le romantique jeune homme ressentirait face au cœur de pierre qu’était l’égyptien. Il ne pouvait s’empêcher d’être terroriser à l’idée de le perdre. D’une certaine façon, c’était la preuve qu’il tenait bel et bien à son amitié. Justement, il lui tenait trop pour risquer de la gâcher d’une quelconque façon. Ainsi il se levait, réveillant son ami sans le vouloir. Dash n’était pas comme les traînés de ce matin. Non seulement il n’était pas nu contre lui, mais Amenhotep lui vouait beaucoup de respect et ne voulait donc pas le réveiller brutalement.
Ils se regardaient en souriant bêtement tandis qu’Amen ne pouvait s’empêcher d’avoir envie de déposer un baiser sur ses lèvres. Envie qu’il tue, tentant de se concentrer sur son appétit qui l’avait réveillé. Il se plaint donc comme un gamin auprès de son coloc, lui disant qu’il a une faim de loup et qu’il était trop lâche pour faire la cuisine, qu’il préférait de loin rester à crever de faim. Dash souriait tout aussi tendrement que son ami alors qu’il lui annonçait qu’il allait leur préparer ses pâtes spéciales. Un immense sourire s’afficha sur le visage d’Amen alors qu’il fichait un baiser mouillé sur la joue de l’autre garçon. Il se levait d’un bon, signalant qu’il allait prendre une douche pendant que Dash se levait doucement dans l’intention d’aller leur faire à manger. Putain qu’il l’aimait. Souvent même trop. Amen se disait qu’il était trop attaché au jeune homme et que cela pouvait devenir dangereux. Il l’aimait tellement, même si ce n’était qu’amicalement, qu’il ne pouvait s’empêcher de se demander comment il survivrait s’il finissait par le perdre alors que la mort lui arracherait de nouveau celui qu’il avait trouvé comme un frère. Amen se dénuda sans verrouiller sa porte, filant sous le jet, en évitant soigneusement les premiers filets d'eau qu’il détestait tant. Habituellement, il se lavait en moins de trois minutes, mais en cet instant il profitait de sa douche. Le jet brûlant contre sa peau qui risquait de fondre tellement l’eau était bouillante. Il arrivait même à effrayer les keratinocytes sous sa peau. Pourtant il était affreusement bien, se prélassant jusqu’à ce que sa peau devienne plissée. Sa tête et ses muscles profitaient de cette chaleur réconfortante pour guérir leurs maux. Il se décidait enfin à sortir, enroulant une serviette autour de sa taille pour se rendre jusqu’à sa chambre. Pourtant, l’odeur délectable de la sauce spéciale l’attira à se rendre jusqu’à la cuisine. Rejoignant son ami alors qu’il passait son nez au-dessus de son épaule pour renifler le tout. Il embrassait doucement son cou, lui murmurant qu’il était le dieu des marmites avant de ne s’enfuir vers sa chambre pour se vêtir. Comme à son habitude, il ne mit pas de haut, se faufilant dans un pyjama des Simpson alors qu’il retournait dans la cuisine pour retrouver le chef et attendre le repas avec fermeté. S’asseyant à la table non loin alors qu’il prenait une bière et s’allumait une clope pour s’asseoir tranquillement. Adossé au mur près du dossier de sa chaise tandis que ses jambes étaient repliées sur lui et qu’il aspirait longuement le poison de sa nicotine en admirant peut-être un peu trop affectueusement celui qui lui préparait son repas. Malgré son excès de tendresse, Amen se réveilla soudainement en se rappelant un peu plus loin que lorsqu’il s’était réveillé en parfaite harmonie avec Dash. Ce matin à l’origine, il était revenu d’une fête et pour lui s’était le néant. Il devait savoir, tout savoir. Se levant subitement avec une putain, Amen apporta sa clope pour se rendre dans sa chambre. Il s’assied dans son lit, tenant sa cigarette fermement avec sa bouche tandis qu’il prenait la caméra en cherchant à la faire marcher. Il mit le tout en marche tandis que l’horreur de sa soirée se révélait à lui.
« Amen, j’suis contente de te voir. » Disait une jeune femme dont la voix lui était inconnue. Il entendait sa propre voix résonner alors qu’il n’avait aucune idée de ce moment précis. Son visage montrait déjà qu’il n’avait plus toute sa tête alors qu’il s’approchait de la caméraman pour l’embrasser on ne sait trop où. Il se reculait alors qu’elle fichait la caméra dans son visage. Il fronçait les sourcils pour la regarder. « Qu’est-ce que tu fiche avec ça poupée ? » Elle gloussait doucement avant de ne lui dire « Je ne voudrais oublier cette soirée pour rien au monde. » Amen souriait bêtement avant que le reste de la soirée ne se déroule sous ses yeux en petits flash. Amen sniffant une ligne sur le ventre de la personne tenant la caméra. Lui se jetant d’un toit jusque dans une piscine en faisant un flip arrière qui aurait pu être très dangereux étant donné sa condition. Un verre dans lequel on versait un liquide incolore. Amen qui buvait un verre. Amen qui était complètement parti tandis qu’une fille était sur lui à l’embrasser, puis une autre arrivait derrière. Puis troisième et enfin un quatrième. Ils étaient tous sur lui alors qu’il avait l’impression de se faire violer. Vous ne voulez même pas savoir tout ce que ses filles firent à Amen, il en avait des hauts le cœur. Assez pour être fâché contre cette personne dont il ignorait complètement l’identité. « Arrêtez, c’est plus drôle ! » Hurlait-il, en sueur, suppliant des yeux la caméraman. Elle rigolait doucement tandis qu’elle s’approchait de lui et qu’elle donnait la caméra à une autre fille. Par-dessus lui, la magnifique rousse ne pouvait être plus reconnaissable. « Tu veux qu’on arrête pauvre petit ? » Il hochait de la tête vigoureusement, des larmes à ses yeux causées par la douleur qu’il avait ressentie. La connasse approchait son visage du sien alors qu’on aurait cru qu’elle allait l’embrasser. « La prochaine fois, avant de faire mal à une fille, t’y pensera à deux fois. C’est tout ce que tu mérites. » Dit-elle cruellement avant de ne lui foutre une claque magistrale. Enfonçant ensuite ses ongles dans son torse tandis qu’il se tordait de douleur et qu’il ne pouvait rien faire pour se défendre ou se libérer.
« CHOMSKY ! À LA BOUFFE BÉBÉ ! » Il fermait brusquement la caméra qu’il s’empressait de foutre dans ses tiroirs. Ce qu’il avait cru être une soirée d’orgie avec des magnifiques jeunes femmes avait plutôt été la vengeance d’une fille à qui il avait autrefois fait de la peine et qui avait voulu se venger. La haine en lui était terrible, il voulait voir son sang coulé et le tout ce soir. Pour l’instant, il se devait de faire comme si de rien n’était et aller manger. Personne ne devait savoir cela, personne ne devait voir cette vidéo. Il était dans un état affreux alors qu’il se dirigeait vers la cuisine et s’empressait de se fondre sur l’assiette pour la dévorer, me laissant pas sa bouche vide une seule seconde et espérant ainsi ne pas avoir à parler. Dans sa tête déjà germaient les idées de son prochain coup contre la demoiselle à qui il devait rendre la pareille. Il dévora le plat délicieux alors qu’il callait la bière qu’il s’était ouverte. Se contentant de se relever pour embrasser Dash beaucoup trop près de ses lèvres, le remerciant tout en lui disant qu’il avait une affaire urgente ce soir et que demain, ils se devaient de passer du temps de qualité ensemble. Le serrant dans ses bras pour se calmer un peu alors qu’il filait dans sa chambre avec son paquet de clopes et une autre bière. Il devait la trouver ce soir et il ne pouvait pourtant pas lui envoyer tout bonnement un message pour le lui demander où elle était. Il cherchait de ses amies dans ses nombreux contacts comprenant bon nombre de clients. Il mit un bon moment avant de n’avoir des nouvelles. Pourtant il n’était pas le genre de mecs à passer ses journées à envoyer des textos. Ce soir oui. Après une heure quinze à fumer et envoyer des SMS, il découvrit que la belle devait se rendre au Club Exit ce soir vers vingt-deux heures. Il jetait un coup d’œil à son cadran alors qu’il échappait un juron. Il était vingt et une heure quarante, il n’y arriverait jamais. Il enfila rapidement des vêtements descends, un t-shirt noir don les manches avaient étés découpées pour laisser voir ses tatouages ainsi qu’un jean troué et des baskets oranges s’annonçaient être sa tenue de soirée. Il apporta son portefeuille, quelques drogues pour s’assurer que son coup soit parfait, ses clés, son portable, puis il s’évada. Courant jusqu’au métro pour se rendre jusqu’à Brooklyn. Sa course de Métro dura environ une heure trente, résultat, il arrivait au Club Exit vers environ 23h05. Envoyant aussitôt un message à la gourde qui l’avait envoyée ici, sans pour autant perdre son temps pour rentrer dans l’établissement. Son téléphone ne tarda pas à vibrer alors qu’elle lui répondit : Elle vient tout juste de partir avec un mec, meilleure chance la prochaine fois. S’il n’avait pas été dans un bar, il aurait probablement hurlé de rage. Voilà que tout son plan tombait à l’eau. Il se dirigea vers les bars, ne tardant pas à commander trois shooter qu’il avala les uns après les autres sans se faire prier. Commandant ensuite une bière. Il voulait oublier, tout oublier parce que c’était douloureux. Parce qu’elle était cruelle et qu’il avait mal partout. Il voulait que tous ses maux physiques disparaissent, qu’il ne ressent plus rien. Ainsi, il ne tarda pas à avaler un comprimé de poussière de fée l’aider à ne plus rien ressentir.
Après avoir avalé le tout, son regard triste se posait sur la piste de danse. Il buvait tranquillement sa bière jusqu’à ce qu’il l’aperçoive. La minuscule blonde au corps de déesse était de la fête. Probablement dans le même état que lui, elle se frottait sur un mec qui semblait un peu trop apprécier la chose. Amen les regardaient alors que montait en lui l’envie de foutre la merde rien que pour s’amuser. Il n’était pas jaloux, même si c’était ce qu’il voulait lui faire croire, pour la garder rien que pour elle de façon égoïste. Lorsque Lena et lui s’étaient rencontrés pour la première, Amen avait su qu’ils ne s’en sortiraient pas intacts. Ils étaient deux enfants au passé troubles se retrouvant dans la même famille d’accueil alors qu’on leur permettait d’être un peu trop près. Ils fumaient, ils buvaient, ils parlaient alors qu’ils étaient très tactiles ensembles. Amen avait l’impression que pour la première fois de sa vie, quelqu’un se souciait de lui. Il aimait avoir de l’importance pour quelqu’un, même si ce n’était pas réciproque. Ainsi il faisait tout pour l’isoler des autres jeunes des environs et garder toute son affection rien que pour lui. Puis soudainement, on le blessa alors que sa bouée de sauvetage était jetée par-dessus bord. Ils se faisaient l’amour comme des perdus, sachant que c’était ce qu’ils étaient. Verrouillant la porte de la chambre d’Amen, n’hésitant pas à faire trembler les murs de la maison alors que leurs corps se mélangeaient pour la première et la dernière fois. Puis on lui arracha et Amen détruisit une fenêtre et un mur sous l’effet de sa colère. Il se jurait de retrouver Lena l’un de ses jours. C’est ainsi qu’un jour, la télévision ouverte mentionna son nom. À partir de ce moment, Amen se mit à chercher partout pour en apprendre plus sur elle, son passé, son présent, son futur. Elle était dans les environs de New York et c’est ainsi qu’Amen se jura d’y aller un jour. Jamais il n’aurait cru y rester si longtemps, jamais il n’aurait cru se sentir autant chez-lui. Lena restait pour lui une obsession, sans pour autant qu’on ne puisse parler de sentiments affectifs ou amoureux. Il avait besoin de son attention. Il avait besoin de sombrer dans le vice avec elle. Il avait besoin de l’entendre parler, il voulait qu’elle se confie à lui pour qu’il puisse ensuite se confier à elle. Il voulait partager son passé ressemblant au sien, il voulait être compris et savoir s’il était le seul être à se sentir comme il se sentait tous les jours. Il voulait savoir si c’était normal qu’il soit aussi taré. Il voulait savoir si elle avait autant besoin que lui de faire mal aux gens, de se faire mal pour se prouver à quel point elle est insensible. Il voulait savoir si la mort l’attirait autant que lui. Amen voulait tout simplement se voir dans le reflet des yeux de Wates.
Il serrait ses poings, sans se demander si cette émotion était réelle ou créer de toutes pièces. Il ressentait véritablement l’agressivité à l’intérieur de lui. C’était probablement la drogue qu’il avait consommé. Peu lui importait. Ses yeux ne quittaient pas Lena tandis qu’elle le remarquait, un sourire moqueur à ses lèvres de princesse tandis que l’étranger déposait des baisers dans son cou délicieux. Ce mec allait le payer très cher, le pauvre. Il déposait ses mains sur le ventre de la magnifique blonde. Putain, son ventre, qu’est-ce qu’il aimait son ventre. L’embrasser doucement, le caresser avec lenteur alors qu’il sentait ses os à travers. Il ne pouvait se laisser faire ainsi, surtout qu’elle le fixait sans cesse pour le provoquer. S’en était trop, il fit cul sec de sa bière tandis qu’il se levait du siège où il avait pris place. Elle regardait Amen avec son air de vierge innocente qui ne fait rien de mal tout en hochant négativement de la tête. Pourtant, il voyait toute la perversité dans ses fesses qui se collaient sur le bellâtre qui n’avait rien à voir avec elle et qui ne voulait que se la faire dans les toilettes. Les lèvres de la belle bougeaient silencieusement alors qu’il ne pouvait discerner que ‘’wrong’’ et ‘’babe’’ sur sa bouche délicieuse. Il s’en fichait, il commençait à avancer vers elle à travers la foule. Il ne la quittait pas des yeux une seule seconde tandis que son sourire pervers ne disait rien qui vaille. Amen avait une idée bien précise en tête. Une idée don la jeune femme ne se serait même pas doutée alors qu’elle l’avait su se lever pour aller la voir. Elle croyait probablement qu’il serait allé en foutre un au bâtard derrière elle ? Eh bien non. Amen s’avançait près d’elle, jusqu’à ce que son ventre soit contre celui de la demoiselle que les deux garçons surplombaient par leur grandeur. Il adressait un dernier sourire à la demoiselle avant de ne poser son regard de charmeur sur l’homme de l’autre côté d’elle. C’était le genre de barbie masculine qui ne l’attirait pas tellement, mais tant pis. Amen attrapa le visage du jeune homme alors qu’il se mit à l’embrasser passionnément. Quoi de mieux pour offusquer la jeune femme que de lui voler son propre partenaire de soirée. Les deux jeunes hommes s’embrassaient à plein bouche alors que Lena était coincée entre eux, impuissante alors qu’elle devait se sentir comme étant de trop. Il n’arrêtait pas, redoublant même de vigueur en attendant une réaction de la jeune femme. Elle devait cesser son cinéma et ne se consacrer qu’à lui, sinon Amen s’amuserait à rendre sa soirée infernale. Il avait tant de haine à déverser qu’il ne pouvait en faire autrement. Il voulait que quelqu’un paie pour ce qu’on lui avait fait. Il en voulait à la terre entière et ce soir, c’était contre la seule personne qui pouvait le comprendre qu’il se retournait. Des envies contradictoires se battaient en lui face à la jeune femme. Il voulait lui faire mal parce qu’elle l’avait provoquée. Il voulait danser contre elle tendrement alors qu’elle ne serait qu’à lui et à lui seul. Il ne voulait pas être ici. Il voulait être dans une chambre avec Lena alors qu’ils seraient seuls au monde. Il voulait parler sans rien dire. Il voulait lui faire la guerre, il voulait lui faire la tendresse. Il voulait l’emprisonner et la garder pour lui sans pourtant jamais ne lui appartenir en échange. Amen avait surtout mal. Il était en mal de vivre et ce soir, c’était pire que tout. Après la mésaventure d’hier, il voulait se venger et montrer à la vie ce dont il était capable. Il voulait lui montrer, à cette chienne de vie qu’elle avait beau le foutre aussi bas qu’elle voulait, il ne deviendrait pas quelqu’un de bien. Amen était lui-même convaincu d’être un être pourrit de l’intérieur. Dès qu’il était né, sa vie avait été gâchée par un futur qu’on lui annonçait déjà trouble. Voir ses parents se faire assassiné n’avait qu’aider à le jeter dans le canyon du vice près duquel il rodait déjà. Si ce n’était pas son père qui se serait fait assassiné, s’aurait été lui, plus tard alors qu’il prenait sa relève. Son rêve ultime était de retourner en Égypte et de venger ses parents. Pourtant faire cela ne le mènerait qu’à sa propre mort. Sa mort dont il se fichait. Souvent, il se demandait pourquoi vivre. Pourquoi vivre alors qu’il ressentait autant de douleur à l’intérieur de lui. La douleur prenait toute la place et étouffait tous les autres sentiments. Jamais il ne pourrait être heureux et avoir une belle vie, simplement parce qu’il ne le voulait pas. Il ne voulait pas oublier son passé et commencer à vivre. Ça le hantait dans ses cauchemars, même ceux éveillés. Alors qu’Amen embrassait cet homme qu’il lui était tout aussi inconnu qu’à Lena, c’était presque avec désespoir. Il l’embrassait avec toute la rage qu’il possédait à l’intérieur de lui. Il perdait la tête de plus en plus et risquait bien de lui foutre son point dans la gueule juste après l’avoir embrassé passionnément si mademoiselle Wates ne se décidait pas à mettre fin à ce carnage.
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→ Let's go Knicks
Dernière édition par Cébald M. Delauney le Dim 17 Mar - 21:26, édité 14 fois
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 6:55
Rebonjour les potes. Je suis toute mélangée, mon coeur balançe entre deux célébrités toutes à fait différentes, mais qui conviennent toutes deux à ma Mike. Soit Mila Kunis ou Vanessa Hudgens. Battez-vous. :brigitte:
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 7:49
Ma chouuuuue!!!!
Pour ma part, je dirais Mila
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 8:36
Mila rebienvenue à la maison
Cheyenne L. Pearson
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if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
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▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 10:23
mila re-bienvenue chez nous
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 11:44
Mila. Vanessa m'est insupportable depuis bien des années. Re-bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 12:28
Mila. ♥ Rebienvenue aussi. =)
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 12:30
Ohwi Mila Re-bienvenue et bonne écriture!
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 13:15
Hope A. Roseberry a écrit:
Mila. Vanessa m'est insupportable depuis bien des années.
Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 14:54
Vanessa Bienvenue
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 15:00
Mila Re-bienvenue parmi nous Et bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 19:08
rebienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas, & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres
niveau avatar mila est un très bon choix
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 19:14
mila bienvenue
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Mer 27 Fév - 21:07
bienvenue
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Jeu 28 Fév - 0:07
MA JOLIE MILA Bienvenuuuuue!
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Jeu 28 Fév - 0:34
Milaaaaaa !! :brigitte:
Bienvenue
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Jeu 28 Fév - 0:38
Rebievenue
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Jeu 28 Fév - 2:20
Vous m'avez vaincue. Je prend Mila. :brigitte: Merci les enfants, j'vous adore tous autant que vous êtes.
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Jeu 28 Fév - 19:55
Welcome
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Jeu 28 Fév - 20:09
milaa rebienvenuue à la maison
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Ven 1 Mar - 11:41
Bienvenue sur le forum Excellent choix d'avatar
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Dim 3 Mar - 12:58
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Dim 3 Mar - 20:12
Bienvenue sur NYCL! Bonne chance pour ta présentation et amuse-toi bien ici!
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Dim 3 Mar - 22:36
Bienvenue parmi nous Mila
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Sujet: Re: YES, IMMA MOTHERF*CKING FRENCH. Dim 3 Mar - 22:45