24 ans → Né(e) à New York le 13/11/1988 → Étudiant en droit/ Barman le week-end célibataire → homosexuel → membre des All Stars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → De nombreuses manies régissent la vie d’Aiden, et elles sont toutes plus amusantes les unes que les autres. En effet, son caractère bien trempé et son originalité si particulière font déjà de lui un énergumène comme on n’en croise pas tous les jours. Mais, comme si cela ne suffisait pas, il a ce don si particulier de faire passer toutes ses émotions par le biais de son sourire. Ah son sourire. Le centre d’attraction principal de son physique. Il est unique et particulier, irremplaçable et inimitable. Il lui est propre. Personne ne peut le copier et aucun ne tente. Il en possède une palette impressionnante et ne cesse de surprendre grâce à ceux-ci. Ils font partis intégrante de son charme. Tout comme son sourire, Aiden possède une collection surprenante et intéressante de moues en tout genre. Aiden a pour lui une chevelure assez consistante qu’il ne cesse de toucher. En effet, lorsqu’il est gêné, mal à l’aise ou surpris, il se passe une main dans les cheveux pour les rebrousser, les replacer, les coiffer tout simplement. Il a aussi une habitude assez amusante. Il prend tout ce qui traine entre ses mains : Clefs, stylos … Tout y passe. Il n’est pas rare de le voir tapoter ses doigts contre une surface lisse. Il s’imagine peut-être battant la mesure contre un instrument de musique, qui sait.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Un ange, un démon. Le caractère d’Aiden est très variable. En effet, celui-ci change d’humeur comme de chemise et passe du rire aux larmes. Il est quelqu’un de très difficile à cerner au premier regard. Tentant de développer un caractère lunatique depuis son adolescence, il n’a aucun mal à surprendre son entourage. Les touches d’originalités qu’il apporte à chaque conversation, l’étonnement qu’il leur inspire mais aussi la spontanéité dont il fait preuve font d’Aiden un jeune homme au charisme débordant. Il ne manque jamais une occasion de s’amuser et de faire la fête. Il a souvent été considéré comme le joyeux luron de la bande, celui vers qui on se tourne lorsqu'on a besoin de rire et de se détendre. Il est l’homme indispensable pour passer une bonne soirée. Toujours quelques blagues en tête, des mimiques et des manies toutes plus surprenantes les unes que les autres, il a su devenir quelqu’un d’unique en son genre. Cette originalité est malheureusement la source de beaucoup de jalousie, et Aiden a dû apprendre à faire la part des choses, surtout entre ses amis. En effet, plus jeune, il n’était pas naïf et crédule mais il donnait sa confiance assez facilement et redonnait toujours des secondes chances aux personnes qui l’entouraient. Il était le genre d'homme qui croyait en la bonté humaine, un humaniste dirons-nous. Mais après de nombreuses disputes et de nombreuses trahisons, il a appris, et grandit. Ses amis, il les a séparés en deux catégories. Il fait donc la différence entre les copains, et les amis. C’est une petite chose insignifiante pour les autres mais pour lui, elle a beaucoup de valeur. Ainsi, il aura toujours dans ses connaissances un cercle très restreint d’amis, auxquels il se confiera, auxquels il donnera sans compter de son temps et de son argent, ils seront ceux avec lesquels il partagera le plus. Et de l’autre, les bon copains. Ceux avec qui, il passera du bon temps, avec lesquels il sortira et s’amusera mais sur qui il ne comptera jamais. Il ne leur demandera jamais rien, mais leur donnera tout de même une once de confiance, le bénéfice du doute comme on dit. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, Aiden, même s’il fait une telle différence dans les personnes qu’il côtoie, est loin d’être le genre d’homme à se servir des autres. Il n'est pas manipulateur pour un sou. Aimant se comparer à un super-héros lorsqu’il était enfant, Aiden s’est pourtant souvent cru supérieur aux autres à cette époque, il était de ceux qui martyrisaient les plus jeunes, vous voyez. Il avait beau avoir une éducation basée sur le respect d'autrui, il devint bien vite un rebelle qui s'en prenait aux plus jeunes. Avec l'âge, le jeune homme commença à sortir et son cercle d'amis était de ceux, qui, comme lui, étaient nés, une cuillère en argent dans la bouche. Et à force, l’appel de l’argent, des fêtes et des déboires devinrent bien trop fort. Il céda à la tentation et devint quelqu’un au caractère extraverti, dragueur, fêtard et sauvage. Lorsqu'âgé de 19 ans, Aiden a été recalé à l’examen d’entrée d’une grande université, il s'apaisa et réapprit à devenir sérieux et respectueux. Il devait travailler pour réussir. Bien que fêtard et blagueur, il est quelqu’un de très romantique, qui par amour ferait des tas de choses. Il irait cherchait la lune, comme on dit. Il ne mesure pas encore l’impact tellement important de l’amour sur lui, mais, d’habitude raisonnable, Aiden devient assez foufou lorsqu’il aime. Il a cette lueur enfantine qui s’allume dans son regard, son cœur bat à deux cent à l’heure et plus rien ne l’arrête. Maintenant âgé de 24 ans, plus mature qu'à son entrée à Columnia, Aiden a bien changé. Plus respectueux, plus courageux ... Il reste néanmoins aussi spontané qu'il y a quelques années, aussi fêtard et blagueur. De plus, il a vu son côté jaloux accroître, son caractère rancunier s'imposer et sa tête de mule prendra de l'ampleur
Well... It's my story...
Ascendance sociale :
« Qui es-tu ? » Cette interrogation, aussi étrange soit-elle, fut la première parole que s’adressèrent Kate Weir et Jonathan Whiteley. Le premier contact, que l’on dit le plus important, avait été entre les deux jeunes gens très bref mais surtout très mystérieux. A cette époque, Jonathan Whiteley était un jeune médecin Américain qui recherchait désespérément un logement dans le centre de New York. Après des jours et des jours de recherche, il s’était retrouvé, par un heureux hasard, face à une annonce de collocation. Cela lui convenant parfaitement, il avait décroché le numéro de téléphone de l’annonce et s’était pressé ensuite de le composer, bien trop hâtif de connaître la réponse. Au bout du téléphone, une jeune Anglaise prénommée Kate Weir, futur Kate Whiteley ; elle était, encore à cette époque, une étudiante sérieuse et motivé en droit international. Après quelques échanges très distants, les deux jeunes personnes avaient raccroché et étaient retournés à leurs activités respectives. Jonathan, bien heureux d’avoir trouvé un logement et Kate encore sous le choc d’avoir accepté en colocataire, un homme de son âge.
Quelques jours avaient passé et Jonathan s’était enfin présenté devant la porte de l’appartement. Habillé d’un costume deux pièces, celui-ci revenait d’une conférence sur le génie génétique qui avait eu lieu à Manhattan, conférence qui était aussi la raison de son retard. Après avoir replacé son ensemble, il avait frappé trois petits coups à la porte et avait attendu, patiemment. Les minutes s’étaient écoulées. Portant un regard à sa montre, Jonathan avait pourtant été surpris de voir que cela faisait déjà une vingtaine de minutes qu’il attendait devant la porte. Légèrement incertain, il avait ensuite posé sa main sur la clenche de la porte d’entrée et l’avait pressé délicatement. Personne. Il avait jeté quelques rapides coups d’œil à droite et à gauche mais, il n’avait aperçu aucun être humain dans son champ de vision. Quelques minutes plus tard, alors qu’il avait porté la main à l’un des tableaux décorant les murs, un coup de batte de baseball rencontra son crâne et le jeune Jonathan s’était écroulé par terre.
Lorsqu’il avait repris ses esprits, il était face à une jeune femme et deux policiers. A peine ouvrait il les yeux qu’une vois résonna : Qui es-tu ?
La suite fut semblable à beaucoup d’autre. Après s’être expliqué durant de longues minutes, Kate avait avoué avoir oublié que leur rendez-vous tombait aujourd’hui et s’était excusé des dizaines de fois. Interpellé par la maladresse de la jeune femme, mais aussi attendri, Jonathan était tout de même resté habiter chez elle. Devenu colocataire, les deux jeunes devinrent amis et Kate fut la première à tomber amoureuse. Des semaines plus tard, elle partit habiter dans l’Upper East Side chez Jonathan. Elle se découvrit une passion pour la musique et grâce aux fonds et aux connaissances de son mari, put se produire devant de nom personnes. Lui, devint un médecin mondialement reconnu et fut le créateur de nombreux produits pharmaceutiques.
Anecdote(s) de l'enfance :
« Tu crois vraiment que si je te tire sur une mouette … » Un sourcil arqué, Aiden chargea le fusil que son père venait tout juste de lui offrir. On était le lendemain de son dix-septième anniversaire et la seule chose qui lui importait depuis quelques temps était de séduire. Qui ? Bonne question. En effet, le jeune homme n’avait, dernièrement, qu’une seule idée en tête. Séduire une femme. Plus âgée, évidemment. Quel était l’intérêt de draguer une fille de son âge ? Aucun. Après s’être renseigné auprès de ses amis, qui, étrangement, avaient tous déjà séduit au moins une fois, une femme « mature », Aiden avait décidé que pour réussir, il devait impression, et pour impression, il fallait de l’expérience, et pour avoir de l’expérience, il fallait …
« Abattre une mouette … » Reprit Carlson. Carlson c’était le frère du meilleur ami d’Aiden. Il était son modèle depuis toujours. Il avait énormément de connaissance en la matière, affichait un « tableau de chasse » étonnamment important et surtout, donnait des conseils très avisés. Il était le meilleur. Le Best. Le number one. L’ultime. C’était un peu le « It-Boy ».
« On dit abattre une mouette dans le jargon … » Continua-il, hochant la tête.
« Abattre une mouette … » Répéta Aiden, sur un ton légèrement douteux. Dans sa tête, la correspondance entre la mouette et la femme n’était toujours pas faites. Il ne comprenait toujours pas le lien.
* Abattre une mouette … Mouette = Femme … Donc abattre une femme … Battre une femme ?! *
« Mais je ne veux pas battre une femme moi, je veux la … »
« RHUM RHUM … » Toussa t-il.
« Abruti ! » Siffla Carlson, frappant Aiden derrière la tête. « Je le sais ça ! Et puis tais-toi et met ton fusil en joue ... »
Levant son regard vers le Ciel, Aiden soupira avant de mettre son arme en position de tir. Ses mains se crispèrent sur l’engin. Sa circulation sanguine s’accéléra.
« Souviens-toi … Ce tir c’est une question de vie ou de mort … Tu réussis, t’es un , tu perds t’es un . » Posant sa main sur son épaule, Carlson continua.
« Tu réussis … Tu pourras. Tu perds, tu ne pourras jamais de toute ta vie … Tu m’as compris ? » Hochant la tête en guise de réponse, Aiden comprit l’enjeu de cette « partie ». Il était âgé de quinze ans et était d’une naïveté abasourdissante. Surtout lorsqu’il s’agissait de femme, et de Carlson.
« Prêt, 1, 2 … » Trop tard. Le stress avait fait partir le coup trop tôt. Tout s’était déroulé à une vitesse folle. Aiden avait appuyé sur la détente –trop tôt soit dit en passant- et n’avait pas mis en pratique les conseils de Carlson. Il aurait retenir son bras, ou son épaules, à dire vrai, il n’avait même pas écouté. Conséquence … Il avait sursauté, bondit en arrière et s’était retrouvé, les fesses au sol.
« Oh my dear ! » Souffla C’, médusé.
« C’est pas demain que tu vas t’faire une vieille … » Ironisa t-il tout en quittant le champ.
Aiden, se retrouvant seul se mis à réfléchir. Et si, finalement, il avait loupé ce tir parce qu’il n’aimait pas vraiment les femmes mais qu’il faisait ça pour être comme les autres…
Anecdote(s) à l'université :
Au moment où sa main frôla un semblant d’écouteur, Aiden fut percuté par un jeune brun, pressé, et une fraction de seconde plus tard, son sac ainsi que ses affaires personnelles jonchaient le sol du gymnase. Un léger sourire amusé se dessina sur son visage, alors qu’en face de lui, le jeune homme semblait plutôt excédé.
« J’ignorais que l’option délicatesse était facultative pour les sportifs ! » Souffla-t-il, en esquissant un sourire hypocrite. « Et surtout, pas la peine de t’excuser, je … » Pause. Ce visage, ces mèches claires, ce sourire en coin, cette manière tellement personnelle de se gratter la tête.
« Aiden ? » Lâcha-t-il en s’étouffant. Les battements de son cœur s’accéléraient, et les mots trouvaient difficilement l’ordre logique pour s’aligner en phrase. Colton secoua doucement la tête, et préféra éviter de se radoucir soudainement. L’étudiant haussa à nouveau les épaules, tentant de prendre l’attitude de celui qui se fichait royalement de sa présence. Trop difficile.
« Colton » Réussit à articuler le jeune sportif, dans un ton détaché, avant de soulever un sourcil face à sa façon de réagir. Son regard, cette expression. Il l'employait que trop souvent.
« Ça fait longtemps. » Reprit-il. « Bon. Je te laisse retourner jouer avec tes petits camarades. » Finalement, il tourna les talons, espérant inconsciemment qu'il le retienne. Qu'il parle, qu'il le devance. Qu’il avoue ce qu'il n'osait avouer. Qu'il exprime ce qu'il retenait au fond de son âme. Qu'il lui fasse comprendre que tout était possible, même entre eux. Qu'ils pouvaient.
« C’est vrai, tu as des choses plus importantes à faire ! » Rétorqua t-il, sec. Il n’avait pas le droit de contrôler sa vie et ses sentiments de cette façon. Ni de venir vers lui quand cela l'arrangeait. Bordel, pourquoi le faisait-il ? Que trouvait-il à ce petit jeu ? Il n'avait que trois mois. Trois mois de différence.
Le regardant s'éloigner, comme il le faisait toujours, Aiden tenta quelques petits pas en avant, tiraillé par son cœur et sa raison. Son cœur qui lui criait de le retenir, de l'embrasser, de s'exprimer. Et sa raison qui lui interdisait de l'approcher, qui lui disait de l'oublier, qu'il ne ferait que lui causer des problèmes et qu'il lui briserait le cœur. Mais, croyant qu'il était temps de grandir et de faire face à ses sentiments, il choisit son cœur. Il lui dicterait quoi faire.
« Pourquoi tu fuis toujours Colton ? » Accélérant pour la rejoindre, Aiden posa sa main sur son bras, l'empêchant de s'enfuir à nouveau. Pas maintenant.
« Oses me dire que c’est juste parce que tu ne veux pas être vu avec moi ? Oses me dire que tu as honte et que je ne sais pas, je … tu as peur de l’image que tu donnes en me parlant. Ça serait plus simple si tu me disais ça ... Mais dis quelque chose ... » Las, un soupire lui échappa. Son sourire avait disparu. Il avait besoin de lui parler.
Aucune réaction. Aucune parole. Aucun geste. N'en avait-il pas dit assez ? Que lui fallait-il de plus ? De quoi avait-il besoin ?
« Dis-moi ... » Murmura-t-il.
« Je suis désolé » Glissa-t-il, essayant tant bien que mal de rester fort. La main du jeune homme se desserra, laissant s'échapper Colton. La porte claqua. Le cœur d’Aiden venait de s'effondrer. Il avait préféré fuir. Partir. Le quitter. Abandonner.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → A., 26 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En tapant l'adresse dans la barre de lien ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Autant que faire ce peux ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario de Maxence D. Jenkins ★Crédit images → Bazzart
Mon exemple de RolePlay:
Il était 5h30 quand mon réveil se mis à raisonner dans la plénitude qui régnait dans ma chambre. Je l’éteignais presque instantanément et le débarrassais de la couverture qui était sur moi. Mes deux pieds touchèrent le sol et j’ouvris les yeux. J’étais en forme ce matin. J’avais bien dormi. Cela me faisait toujours bizarre d’être seul chez moi. Mais je m’y faisais peu à peu. Déménager d’avec Carter avait été une décision que je n’avais pas pris à la légère, une décision vitale pour faire perduré notre amitié. J’attrapais la télécommande à côté de mon réveil et appuyais sur un bouton qui déclencha l’ouverture de tous les volets de mon nouveau chez moi. Je fis un petit sourire en voyant au loin le soleil entamé sa course dans le ciel. M’étirant un peu, je me levais finalement pour me diriger vers la salle de bain. Je quittais mon boxer pour me glisser sous une douche chaude et réveillante. Elle dura un bon quart d’heure avant que je ne sorte finalement, attrapant une serviette pour m’essuyer avant de l’enrouler autour de ma taille. Je me regardais dans le miroir avant de me passer de la mousse à raser sur le visage et de me raser à la vitesse grand V. Je me passais un peu d’eau sur le visage avant d’attraper ma brosse à dent et de me brosser les dents avec énergie. Un sourire blanc ça s’entretien. Le mien me servait d’image de marque. Je pris une deuxième serviette avec laquelle je m’essuyais le visage rapidement. Je souriais en voyant mon reflet. Je laissais tomber la serviette nouée autour de ma taille et pris la direction de mon dressing. J’enfilais alors un caleçon Abercrombie&Fitch noir, un pantalon de costume noir également. Je passais une chemise bleu ciel. Je la boutonnais jusqu’en haut, passant ensuite une cravate rouge autour de mon coup et fermant rapidement mon nœud. Je passais ensuite la veste du costume par-dessus et voilà que j’étais prêt. Je glissais mes pieds nus dans une paire de chaussure noire et blanche. Habituellement ces chaussures sont utilisées lors des mariages mais ce sont les chaussures que je porte tous les jours. Cela me permettait de me différencier de mes collègues. Je pris à nouveau la direction de la salle de bain et mis un coup de laque dans mes cheveux avant de les coiffés avec ma main droite. Je m’imprégnais finalement d’un peu d’eau de Cologne. Et voilà. J’étais prêt. Il était 6h15. Je descendis les marches qui menèrent vers la cuisine. J’allumais alors la cafetière pour qu’elle me délivre ce doux nectar. Attendant qu’il coule, je me dirigeais alors vers la porte d’entrée que je déverrouillais pour récupérer mon journal, déposé sur le perron. Je lu rapidement les gros titres avant de le poser sur la table. Je fis couler une partie du café dans ma tasse avant de mettre le reste dans ma tasse-thermos que j’amènerais avec moi au travail. Je pris mes lunettes et commençais alors à lire les articles qui m’intéressais. Je le repliais finalement. Je bu le fond de ma tasse avant de la déposer dans l’évier. Je passais devant le miroir du couloir et ajustais ma cravate avant de prendre mes clefs de voiture et mon téléphone. Je glissais mes lunettes dans ma poche intérieure. Il était finalement 7h10 quand je quittais la quiétude de mon chez moi pour affronter le monde extérieur.
Il faisait un temps superbe sur San Francisco aujourd’hui. Si bien que je décidais de laisser les fenêtres de mon Audi A6 ouvertes. J’aimais bien partir tôt de chez moi parce que cela m’évitais d’affronter les embouteillages matinaux qu’il y a souvent en ce moment. Je fus quand même ralenti quand je pénétrais dans le centre de la ville. Je voyais au loin l’immense building de la société qui m’emploie. Plus qu’un dizaines de minutes. Je roulais à allure modérée. Il y avait de plus en plus de piéton et le soleil brillait déjà fort dans le ciel. Je n’étais finalement plus qu’à quelques mètres du bâtiment. Je passais finalement la grille de sécurité, prenant bien évidement le temps de saluer le gardien. C’était très important d’avoir de bon lien avec le personnel. Cela permet d’une de faire moins sévère et surtout cela permet aussi d’entretenir des liens amicaux avec certains. Je roulais au pas jusqu’à ma place. Elle était identifiée. La troisième place la plus proche de l’entrée ou l’on pouvait lire « Kyle Allington – Directeur de Ressources Humaines ». Cela me faisait toujours sourire quand je voyais ça. Je me disais que j’avais bien réussi dans la vie quand même. J’ai bientôt 27 ans et je suis l’un des membres les plus influents de notre succursale. J’attrapais ma mallette qui avait passé la nuit dans la voiture et descendais de la voiture. Le grand patron était déjà là. Pas étonnant il était déjà 7h45. Et puis il est toujours le premier arrivé et le premier partit. J’étais toujours le second. J’aimais bien arrivé avant tout les autres. J’ouvrais la porte à l’aide de mon badge d’accès accroché sur ma mallette et me dirigeais vers l’ascenseur. Direction le 31ème étage. J’avais un grand bureau à cet étage, 2 étages sous celui du grand patron. Quand un employé doit se diriger au-delà du 30ème étage c’est généralement pas bon signe. Alors quand il doit dépasser le 32ème étage là c’est qu’il à fait une grosse bêtise. Pour moi au contraire c’était toujours un plaisir de monté. Le patron à un balcon avec deux sièges que je partage souvent avec lui, un cigare dans une main, un scotch dans l’autre. C’est dans ces moments privilégié que nous parlons de tout et de rien et qu’on échange nos idées sur le développement de la société. Les portes s’ouvrèrent finalement sur mon étage. On arrivait directement à mon bureau qui était un open-space. Le meuble physique trônait au milieu. Derrière, une immense baie vitrée. De chaque côté : idem. Il y avait deux sièges. A droite, un espace détente avec un canapé et une télé. A gauche deux grandes bibliothèques remplies de livre. Je m’avançais doucement. Sur une table près de mon bureau, une thermos de café pleine, quelques tasses retournée, des verres eux aussi retournée. Une carafe de jus d’orange et des bouteilles d’eaux était également posée derrière les deux corbeilles de petits pains. Je jetais un œil à ma mini salle de conférence. Une grande table en acajou autour de laquelle était installé 8 fauteuils noirs et un grand fauteuil en cuir noir. Devant celui-ci, une tablette tactile. La femme de ménage devait être passée tôt parce que la veille j’avais eu une réunion importante et j’avais laissé tout en vrac. Mais là, tout était exactement comme d’habitude. Je souriais, passant derrière mon bureau pour finalement m’asseoir sur mon imposant fauteuil en cuir ivoire. Je posais ma mallette sur le bureau et en sortit quelques dossier. J’allumais alors mon mac et sorti un stylo. J’étais enfin prêt à travailler.
La journée passa rapidement. J’avais lu tous mes mails et j’avais commencé à préparer les statistiques de ventes et d’exploitation pour savoir à quel montant la prime annuelle s’élèverait. J’étais tellement plongé dans mon travail que je n’avais même pas vu l’heure. Midi et demi. C’est mon ventre qui me rappela que j’étais dépendant de nourriture et cela à heure fixe. Appuyant alors sur un bouton sur mon téléphone, une voix de jeune femme raisonna, me demandant ce qu’elle pouvait faire pour moi. Je demandais à ce que l’on me monte une salade verte avec dés de jambon et de fromage ainsi qu’une pomme rouge. Je n’eus pas le temps de raccrocher que déjà je voyais le bouton de l’ascenseur s’allumer, m’indiquant que quelqu’un venait. Ma secrétaire était très prédicatrice et savait ce que je mangeais. Elle avait déjà du tout préparé. Les portes s’ouvrirent sur elle, un plateau dans les mains. Elle le déposa sur mon bureau et le quitta presque immédiatement. Je la remerciais et elle disparut dans l’ascenseur. Je me mangeais rapidement mon repas en lisant un article intéressant sur internet. Quand j’eu fini, je pris une rasade d’eau avant de me replonger dans les chiffres. La journée passa calmement jusqu’à presque 17h. C’est à ce moment-là que, plongé dans mes pensées et mes statistiques, je fus ramené à la réalité quand l’ascenseur se mis en marche. La personne venait d’en bas. Je regardais ma montre puis consultait rapidement mon agenda. Aucun rendez-vous aujourd’hui. Je me demandais bien qui cela pouvait être. Je ne pouvais même pas appeler ma secrétaire. Elle finissait le travail à 16h30. Je fis de l’ordre sur mon bureau en débarrassant rapidement la boite vide qui s’y trouvait, la mettant dans la poubelle. Je quittais mes lunettes que j’avais remises quelques heures auparavant et les déposais face à moi sur le bureau, fixant les deux portes coulissantes. J’étais vraiment intrigué par la personne qui allait se dévoiler d’ici quelques secondes. En effet, rares sont les personnes qui viennent spontanément me voir. Elles ont généralement soit rendez-vous, soit elles sont convoquées. Cette personne n’était dans aucun des deux cas. Et Dougie est chez sa tante pour la semaine donc cela ne pouvait pas être lui. L’ascenseur finit finalement sa course folle et les portes s’ouvrirent…
Le code règlement:
→ check by j.
Dernière édition par Aiden D. Whiteley le Dim 24 Mar - 12:48, édité 8 fois
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 11:26
Je vous pris de m'excuser de commencer ma fiche si longtemps après mon inscription, mais je me suis fracturé le coude le lendemain de cette dernière. Je suis à nouveau opérationnel et vais faire au plus vite
Katerina M. Lehtonen
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what doesn't kill you makes you stronger
▌INSCRIT LE : 15/04/2012
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▌ADRESSE : 5614 Dodgewood Road #404, Bronx. avec un enfoiré & un tatoué.
▌CÉLÉBRITÉ : Demetria Devonne Lovato.
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 12:13
STEVEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN Bienvenue chez nous & bon rétablissement
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 12:26
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres. bon rétablissement j'en connais un qui va être content
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 12:29
Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 12:39
Coucou Arf bon courage pour ton coude Et bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 12:47
Bon rétablissement tà toi pour ton coude, et bonne fiche! ♥
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 13:18
bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 13:29
Serena L. Douglas a écrit:
bon rétablissement j'en connais un qui va être content
Oh oui, j'ai mon colocataire-meilleur-ami-et-plus. Pas de soucis, et bon rétablissement en tout cas.
Bienvenue officiellement alors. Merci énormément de tenter mon scénario que je ne pensais pas être tenté rapidement (disons que tu t'es inscris rapidement). Cela me fait grandement plaisir. Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas à m'envoyer un mp. Mais sur l'autre compte surement.
Et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 13:32
Maxence D. S. Jenkins a écrit:
Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas à m'envoyer un mp. Mais sur l'autre compte surement.
C'est moi l'autre compte.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 15:06
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 15:40
Bienvenue parmi nous Bon rétablissement pour ton coude ! :/ Et bon courage pour le reste de ta fiche
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 16:06
Bienvenue parmi nous .
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 16:33
steve bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 18:17
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 18:41
Bienvenue parmi nous Excellent choix de scénario
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 19:48
Merci à tous pour votre accueil
Je voulais lire ta fiche Maxence pour voir un peu ce que tu racontes mais cela n'est pas possible. Serait-il possible de m'en faire un résumé ou un copié/collé ? Merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 19:51
Ma fiche est un peu longue mais je te l'envoie par mp.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 19:56
Je t'en remercie C'est juste que je voudrais coller à ton histoire et pas faire du H.S.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 20:15
Pas de problème mais ne t'en fais pas, normalement, les informations comprises dans le scénario sont suffisantes. Je t'envoie quand même l'histoire. Si tu es découragé(e) par la longueur, j'essayerai de te faire un résumé.
Dernière édition par Maxence D. S. Jenkins le Lun 11 Mar - 12:46, édité 1 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Dim 10 Mar - 20:39
Bienvenue sur NYCL
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Lun 11 Mar - 2:01
Welcome ! Steven ♥♥ Et bon courage pour ton coude
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Lun 11 Mar - 9:35
Je l'ai merci Maxence
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Lun 11 Mar - 11:15
BIENVENUEEEEEEEEEEE A NYC
CE SCENARIO est une pure tuerie, très bon choix
Bon courage pour ta fiche et bon rétablissement à toi
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Aiden Dwight Whiteley Lun 11 Mar - 12:46