Dix-neuf ans → Née à New-York le 11/09/1993 → Étudiante à Yale. célibataire → hétérosexuelle → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Emerson, elle est unique. Truffée de pleins de petites choses qui font ce qu’elle est. La p’tite Emerson, elle a une constellation de grains de beautés dans son dos. Elle trouve ça horriblement moche même si la plupart trouvent ça mignon. Justement, le mignon, la brune n’aime pas. Alors, elle a tatoué sur sa nuque, le mot fuck. Elle atteint des sommets en matière de vulgarités la jeune femme et elle s’en fiche. Elle se fiche pratiquement de tout, la brune. Elle pisse sur le monde. Tout ce qui compte pour elle, c’est son père. Le patriarche, le model de la famille, l’homme d’affaire. Il n’a jamais daigné s’occuper de sa fille, préférant laisser ça à la mère et aux nourrices. Alors, la petite Emerson, elle tente de rendre son père fier mais elle n’y arrive pas vraiment. Elle est vouée aux échecs, la gamine. Alors, elle compense ça chez les hommes. Les femmes parfois, elle en a rien à foutre. Tout ce qui compte, c’est la baise. Elle veut tout bonnement se sentir désireuse. C’est sa drogue, sa marijuana. Elle en consomme également, à côté. L’illégalité, vivre dans le danger, elle trouve ça excitant. Côté style, Emerson, c’est un peu brouillon. Y a des jours, elle pourrait être aussi classe que la reine d’Angleterre. Y en a d’autres où même les putes de Pigalle la trouveraient vulgaire. Généralement, devant son père, elle arbore cette première tenue. Symbole de la petite fille modèle parce que c’est ce qu’elle est, pour son père. Pour les autres, Emerson c’est la prostipute qui a trop d’argents pour se faire payer. C’est peut-être ça, sa caractéristique. Emerson, c’est aussi un tout. Un regard des plus noirs souvent jeté, une lèvre inférieur un peu trop mordillée. Des sourcils trop froncés, un corps trop tripoté. Une bitch attitude un peu trop poussée. Des joints roulés, des bouteilles de vodka vidées. Des regards malicieux échangés, une voix désireuse utilisée. Des gros mots un peu trop présents, une impolitesse omniprésente. Emerson, c'est un mélange de pleins de trucs.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Si on doit décrire Emerson, la plupart diront que cette femme est complètement hystérique. La brune, elle gueule tout le temps. Elle a le sang chaud, elle s’énerve pour un rien. L’autre jour, elle a engueulé sa femme de ménage parce qu’elle avait oublié de faire la vitre de la chambre d’ami, lieu où elle ne va quasiment jamais. Emerson, c’est une fille contradictoire. Le principe du « fais ce que je te dis, pas ce que je fais », elle le suit au pied de la lettre. C’est une pourrie gâtée jusqu’à la moelle, cette gamine. Jamais satisfaite de rien, elle râle au lieu de parler. Elle critique toujours tout. Elle est aussi lunatique, elle frôle même la bipolarité. Emerson, on la qualifie de marie-couche-toi-là mais elle s’en fout. C’est limite si elle ne se réjouit pas de ça. La brune, elle aime se sentir désireuse. De nombreuses personnes sont passées entre ses cuisses et elle s’en vante. Sauf devant le père. Là, elle joue la petite fille modèle. Son jeu d’actrice est excellant. Emerson, elle n’est pas humble. Elle se vante constamment. Elle n’a pas de pitié non plus. Chacun pour sa gueule. C’est marche ou crève, la fille Beckett, elle, elle a décidé de courir. Elle n’est pas sérieuse, la brune. Elle n’aime pas les études. Si elle est à Yale, c’est pour son père. Elle ne va pas vraiment en cours, elle se contente de payer des gens pour bosser à sa place. L’amphi ? Elle ne connaît pas. Elle est trop occupée à se faire tripoter pour travailler. Mais, faut pas croire. Emerson, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle veut quelque chose, elle l’obtient, quitte à faire sa gamine capricieuse, elle en a rien à foutre. Cette femme, elle n’a aucune limite. Elle tombe dans la décadence. Elle pousse à bout aussi, Emerson. Elle aime bien les voir craquer, les voir se détruire sous ses yeux. La brune, elle est un chouilla masochiste. Elle aime les grosses disputent qui finissent sous la couette, elle aime les bagarres qui finissent en amour fougueux. Elle aime ça. Même si l’amour, elle ne connaît pas. Non, elle, elle fait pas l’amour. Elle baise, plus automatique. Elle n’a jamais vraiment connu le grand amour. T’façon, elle s’en fout. Elle est indépendante, la brune, elle sait très bien se débrouiller seule, elle n’a besoin de personne. A part peut-être de son père et de son compte en banque bien rempli.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Emilie, 15 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce à topsite ! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non, non, je ne suis pas encore schizophrène. On verra pour plus tard. ★Présence sur le forum → Pour le rp, que le week-end, pas d'ordinateur la semaine (exception today. ) ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé, inventé, inventé ! ★Crédit images → Tumblr, mon amant.
Mon exemple de RolePlay:
→ Trois heures. Trois putains d'heures que je hère dans les rues de New-York. J'n'ai pas envie de rentrer chez moi pour faire face au silence et à la solitude. J'préfère marcher, croiser des gens bourrés, des couples, des personnes effrayées par le fait de rentrer seule, la nuit. J'ai décidé de ne pas finir dans un lit avec un inconnu, ce soir. Les vieux dégueulassent qui veulent mon corps, ce sera pour une autre fois. Il doit être aux alentours d'une heure du matin quand j'envisage enfin de trouver un endroit dans lequel rester. Un bar, une boite de nuit, qu'importe, je n'en peux plus d'être dehors. Mes mains commencent à être meurtries par le froid et ce n'est pas les petites poches qu’offre le blouson en cuir que je porte qui va me permettre de me réchauffer. Quelle idée j'ai eu, de ne porter que ça. Ok, on est au printemps, mais le temps n'est décidément pas là. J'aurais mieux fait de porter un de ces gros manteaux où on a besoin de faire crever les animaux pour en faire. Non, j'déconne. Un bon vieux manteau de cuire, ça, c'est la classe. Ça me donne un petit coté rebelle accentué par les Dr Martens noirs que je porte à mes pieds ainsi que le jean slim troué que j'ai enfilé ce matin, après ma douche. Si mon père me verrait, maintenant, j'me ferais défoncée. Clair et net. Je n'ai pas l'image d'une petite fille modèle, là. Ce n’est pas bon. Remarque, Il préfèrerait largement cela à quand je porte des petites jupes ras la vertu et des petits hauts qui moulent mes formes. Je souffle, trainant mes pieds sur le bitume, lasse, fatiguée. J'n'ai pourtant pas envie d'aller me coucher. Pour me réchauffer, je sors un paquet de clopes. Où est le rapprochement ? Y en a pas. Quand j'ai froid, je fume, quand j'ai chaud, je fume et quand je n'ai ni froid ni chaud, je fume toujours. La cigarette, c'est le prolongement de mon bras. Enfin, c’est plutôt le joint. Ça, un verre de vodka, et la carte de crédit. M’enfin, c’est la même. J'extirpe un cylindre de nicotine de mon paquet, que je glisse entre mes lèvres légèrement maquillées, j'y ai mis du gloss. Je prends mon briquet et j'allume le produit nocif, avant d'en inspirer une grande taffe. Pourrissez moi les poumons, c'est l'une des seules choses que je ne peux pas détruire moi même. J'avance, petit à petit, me rapprochant de l'endroit où je vis. Soudain, au loin, j’aperçois une silhouette, un homme. Grand, musclé, avec un petit cul à la renverse. Le jeune homme, au loin, éclairée par l'un des lampadaires tourne son visage une fraction de seconde. Plutôt mignon, le brun. Un sourire arrive jusqu'à mes lèvres qui forment un rictus. Je l'observe, m'arrêtant, clope au bec. Il entre dans un établissement. Hmm.. un bar. Mon sourire devient carnassier. Laissant ma cigarette s'écraser sur le bitume je l'écrase du bout de ma chaussure. Ensuite, je marche, m'avançant vers ma proie. J'entre à l'intérieur du pub où la fête et le bruit ont lieux. Certaines personnes s'adonnent à une partie de billard, d'autres sont déjà ivres morts. J'aperçois monsieur le beau-gosse assit à une table. Sans hésiter, je viens me poster au comptoir, devant lui, histoire de me faire encore plus remarquer. Je sais que ma seule présence fait déjà tourner des têtes. Pourquoi ? J'en sais fichtrement rien. C'est un truc que j'ai. Mon côté marie-couche-toi-là, peut être. Je hèle le barman, qui se ramène illico presto. « Un whisky pur, sans glaçon. » Et ouais, j'suis un bonhomme, moi. Le serveur ne se fait pas prier, il sort immédiatement un verre qu'il remplit du liquide brunâtre avant de le poser sur le comptoir et de l'avancer vers moi. Je le remercie d'un clin d'oeil, tandis que je bois une gorgée. L'alcool me brûle la gorge, mais je ne montre rien. Mon visage reste impassible. Lassée de ne pas encore voir le brun arrivée, je tourne la tête sur le côté et pose mon regard noisette sur le brun. Je le fixe ainsi quelques secondes, me mordillant la lèvre avant de reposer mon attention sur le verre que j'ai commandé. Il n'a plus d'autres choix que de venir me voir, maintenant. J'lui ai fait la technique de la mort qui tue ou, plus précisément, la technique de la prostipute. Si avec ça il ne rapplique pas, c'est qu'il doit être gay ou qu'il n'a pas de bons gouts, au choix.
Le code règlement:
→ Yankees Rock.
Dernière édition par Emerson N. Beckett le Mar 23 Avr - 0:36, édité 5 fois