Sujet: she's nothing more than a ride or die. ◮ (remy) Sam 11 Mai - 2:07
FEAT. PHEOBE TONKIN
Remy-Lou Nélye Silverstone
22 ans → Née à Sydney, Australie le 24/03/1991 → Étudiante en Danse célibataire → bisexuelle → membre des artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Grande ( 1m75 ). Brune. Mince. Des yeux vert-caramel évidemment. Pas énormément de formes, malheureusement. Des jambes qui ne finissent jamais. Des cheveux lisses. Une peau bronzé et douce. Des mains plus-fine-tu-meurs. Des lèvres fines également. « Désolée maman, mais la blonde au belles courbes représentative du sex-apeal des années 50 ce ne sera pas moi. N'empêche que tu pourrais être satisfaite, je suis la représentative du sex-apeal d'ajourd'hui. » Un sourire malicieux, un long coup. Des lignes si précises qu'on a l'impression qu'elle a été peinte par Michel Ange. Des petits pieds ( elle chausse du 37 ). Pas lourde, bien sûr ( 50 kg pour sa taille, sans régime ). Et musclée, plus qu'il n'y paraît à dire la vérité. Une attitude arrogante, même quand elle est immobile, des gestes discrets qui dévoilent le jeu constant chez elle de la séduction. Deux tics aussi : lever le sourcil gauche à tout bout de champs et se passer la main dans sa chevelure. Une voix plutôt grave et toujours sure d'elle. Des dents blanches détartrées tous les mois. Pas de tâches de rousseurs, quelques grains de beauté. Des longs, très longs cils bruns et des sourcils fin qui n'ont même pas besoin d'être épilés. Voilà écoutez, je pense qu'on a fait le tour. Ah non, très important : un petit tatouage dans le creux de poignet gauche avec une petite ancre.
★Quel est le caractère de ton personnage? →Je dois bien avouer que mes principaux traits de caractère ont toujours été dictés par l'éducation que mes parents m'ont donnés et par l'influence des personnes m'entourant lors de ma vie. Ce qui implique certaines choses comme d'évoluer dans un univers assez masculin, vu que j'ai la chance d'avoir quatres frères plus âgés, de cultiver un certain sens de la famille et aussi une curiosité naturelle pour tout un tas de choses. Mes parents m'ont toujours appris ce qui comptait pour eux, je n'ai pas à me plaindre, ils sont de supers parents, cools sans être laxistes. Le Bien, le Mal, pas de vision manichéenne de la vie non, eux m'ont plutôt enseigné de voir les choses d'une façon constructive. Tout n'est jamais ni parfaitement blanc ou noir. L'ouverture d'esprit fait partie intégrante de ma vie, ce qui peut expliquer aussi ma curiosité naturelle. Mais attention, je dis curieuse, mais pas comme on le pense en entendant ce mot. Non, moi j'ai la curiosité pour des langues, des cultures, des films, bref, tous sauf les ragots et potins. Ce que machin a fait avec truc, c'est bien la dernière chose sur terre qui peut me préoccuper. J'admets que même si je suis quelqu'un qui a le sens des réalités, les pieds sur terre, je reste une petite fille sur certains points. Le Prince Charmant, je sais ça n'existe pas mais je reste sensible à certains aspects vieux jeux, comme des bribes de romantisme, la politesse, le respect.... Pas grand chose d'extraordinaire en somme. Habituée à être surprotégée, j'aime avoir mon indépendance mais je suis très sociable, j'aime être entourée mais aussi seule parfois. J'aime les mots, alors certaines me trouveront parfois trop bavarde, voir même cynique ou sarcastique. Et bien soit, tant pis pour eux. J'ai mon caractère et mes frères vous dirons que rien ni personne ne m'en fera changer. J'aime aller en cours, bosser, parce que je sais que mon avenir en dépend en partie, mais même si je suis sérieuse niveau études, je sais aussi m'amuser. Je n'ai pas peur du riddicule, je l'avoue. Chanter à tue-tête dans la rue, ça ne me fait pas peur. Ce qui vient je sais en contradiction avec mon allure. Quand on me voit pour la première fois, on se dit, à tort, que je suis une petite fille sage, très réservée, le genre à ne pas sortir le nez de son bouquin, qui ne soupsçonne pas qu'elle plait. Mais ce n'est pas le cas. Pour la partie garçon, c'est compliqué mais veuillez me croire quans je vous dis que je suis tout sauf un ange. J'ai parfois tendance à être un peu dans mon monde, quand je regarde un film que j'adore, ou une série, ou que je lis. J'ai cette capacité, l'imagination sans bornes dixit mon père, qui me fait parfois passer dans une autre réalité. Ca fait je pense de moi une geek qui s'ignore, même si moi et la technologie ce n'est pas toujours l'amour fou. Ah oui je cite parfois des films et des séries, n'y faites pas attention, quand on apprend à me connaître, on s'y fait vite. En parlant de ça, je suis quelqu'un de franc, la langue de bois et l'hypocrisie, pas de ça avec moi. Plutôt dire une vérité qui gêne. Quand j'aime quelque chose, je l'aime jusqu'au bout. Pour ce qui est de la confiance, je ne suis pas naïve comme fille, mais j'ai tendance à donner une seconde chance aux gens, mais au-delà, ça peut barder, et oui grandir avec quatres frères ça laisse des traces. Ca me vaut un petit côté garçon manqué à ce qu'on me dit, mais je suis et je reste une fille, pas fashionista, mais qui aime quand même ne pas ressembler à un sac. Je suis du genre à être protectrice avec mes proches, mais souvent malgré moi. Je ne cherche pas à mal, mais ceux qui importent dans ma vie méritent d'être heureux, respectés, donc quand un couac surgit, il peut m'arriver de sortir les griffes. Fidèle en amitié comme en amour, j'estime que c'est une valeur importante, toujours dans ma logique de franchise. Car je ne suis pas dupe, aimer pour toujours, c'est depuis longtemps des paroles lancées en l'air. Paradoxalement, je suis plutôt bordélique pour mes affaires personnelles et l'opposé en cours, allez comprendre! Pour ne pas en faire encore des tonnes, je termine en disant que je suis quelqu'un de profondément optimiste, doux et agréable à vivre, et qui a son humour bien à elle. M'essayer c'est m'adopter, enfin on en est pas loin en tout cas.
Well... It's my story...
just a crazy family.
CHAPTER ONE ; « Mal, rends-moi ça tout de suite ou... » « Où quoi Al? Tu vas me frapper avec tes touts petits poings? M'envoyer un de tes bouquins à la tête? Bouh j'ai peur. » « Je peux faire pire que ça. » « Je demande à voir. » « Comme tu voudras, mais ça va saigner. »
Mal, alias Machiah, 21 ans, un de mes quatre frères, le plus proche de moi, aussi bien niveau âge que niveau complicité. L'aîné, Connor, 27 ans est déjà marié et récemment devenu papa. Arthur, second enfant de la famille, lui à 25 ans et vit en France pour ses études, vient ensuite son jumeau, Arawn, qui lui travaille en tant que photographe pour un journal local, et donc en dernier, Malchiah et moi, Alanis, dernière des McRae, petit bout de femme de 20 ans. Ainsi donc vous avez là un premier aperçu global de tous les enfants qu'on pu avoir mes parents. Parlons un peu d'eux avant de développer tout ça. Denis Silverstone, 49 ans, professeur de langues de son état, et Rhiannon Silverstone, née Flaherty, 48 ans, femme au foyer anciennement avocate, sont donc mes parents. Ils se sont rencontrés tout à fait par hasard, en allant à la même fête, organisée par un ami commun. Ce fameux ami fêtait ses 18 ans, et en fait, Rhiannon ne devait pas participé à la fête, mais c'est son frère, mon oncle Gareth, qui l'y avait traîné de force. Bien lui en a pris, sans ça, moi et mes frères ont seraient pas de ce monde. Alan, l'ami en commun et ami d'enfance de mon père, n'avait jamais parlé de la soeur de Gareth, parce que le caractère de la jeune femme était bien trop différent de celui de Denis, ces deux-là ne pouvaient aux yeux de personne s'entendre. Et pourtant. Bon, mon père me l'a avoué, les débuts furent difficiles et ce n'est qu'après plusieurs pseudos rendez-vous qu'ils ont commencés à sortir ensemble. Et là encore ce n'était pas gagné. Leurs caractères respectifs étaient en effet visiblement trop différents pour qu'une histoire d'amour puisse naître entre eux. A cet âge-là, on est fier, on se dit que si ce n'est pas elle, il reste plus d'un poisson dans l'eau, une de perdue, dix de retrouvées. Heureusement mon père a eu la présence d'esprit de faire un compromis, très simple en fait, mais qui a du convaincre ma mère suffisamment pour qu'elle envisage de faire sa vie avec lui. Et voilà comment la saga des Silverstone débuta. Mon père avait 18 ans à l'époque et ma mère un an de moins. Ca fait donc plus de trente ans que mes parents sont ensemble, pas mal non? Fiancés après 2 ans à se fréquenter, mariés l'année d'après et parents pour la première fois de même. Mon père comme dit plus haut, voulait devenir et est devenu, professeur de langues au lycée, il a toujours été très amoureux des langues c'est vrai en particulier pour les langues slaves, allez savoir pourquoi, puisque toutes branches de la famille confondues, personne n'a de lien avec ces pays-là. Ma mère elle, passa son diplôme de fin d'études quelques semaines à peine après avoir eu mon frère. Diplômée en droit, sa carrière en tant qu'avocate été déjà plus ou moins tracée. Oui mais après avoir eu les jumeaux, elle préféra mettre de côté sa carrière de brillante avocate pour se consacrer à sa famille, ce qui au final fut l'affaire de tous. Mon père s'en voulait moins d'être parfois absent ou occupé avec ses cours, ma mère se découvrait des talents dont elle ne se croyait pas dotée, comme celui par exemple d'être en vérité une excellente cuisinière, et bien sûr mes frères avaient une maman à plein temps. La famille ça a toujours été très important pour nous. Mes parents sont chacune issus de familles nombreuses. Ma mère, et ma grand-mère maternelle, Mina, ont eu 1 frères et deux sœurs, et mon père lui est issu d'une famille de 6 enfants, 4 filles et deux garçons. De quoi vous faire perdre la tête lors des repas de famille pas vrai? Donc après la naissance d'Arthur et Arawn -noms à consonance celte/gaélique, une tradition chez nous, vous l'aurez remarqué-, la famille Silverstone resta longtemps constituée de cinq membres. Je ne vais pas vous détailler des heures durant ce qui a pu se passer en ce temps-là. Je doute que vous direz qu'un jour Connor a réussi enfermé les jumeaux dans le lave-linge pour les bercer, vous apporte grand-chose, même si ça vous donne un peu un aperçu de ce qui pourrait m'attendre plus tard. Mais déjà, mes parents étaient géniaux, et plutôt que de de suite hurler, punir et s'énerver, eux ont fait comprendre à mon frère où était son erreur, et même si ça ne l'a jamais empêché de faires des tonnes d'autres bêtises, il m'a toujours dit que ce jour-là il savait que plus tard, quand il serait devenu père à son tour, il voudrait être un aussi bon parent que les siens avec ses enfants. On n’a pas eu une éducation bohême, loin de là, on avait des règles, des principes mais nos parents nous ont toujours encouragés. Arthur voulait jouer au tennis, il l'a fait. Arawn aimait la peinture? Mon père lui a bricolé un chevalet. Je sais aujourd'hui que c'est aussi beaucoup grâce à mes grands-parents maternels -les paternels étant morts avant ma naissance- et surtout Mina en fait. Italienne d'origine, cette femme est un modèle important dans ma vie, avec bien sûr ma mère et mon père. Femme de caractère, cultivée et pleine de sagesse, c'est elle qui m'a un temps élevé avec les autres quand Connor a été à l'hôpital pour son accident. Elle s'est occupée de la maison et de nous, sans jamais rien demandé. C'est d'ailleurs à cette époque-là que je me suis rapprochée de Mal. Nous étions les plus petits, trop pour réellement comprendre ce qui été arrivé à notre grand frère. Depuis on a toujours été très complices, il nous arrivait même de finir la phrase de l'autre, ce qui avait le don d'énerver notre entourage.
me myself and I.
CHAPTER TWO ; Ainsi donc vous avez un bon aperçu de ma famille. Parlons donc un peu de moi à présent, puisque c'est aussi pour ça qu'on est là. Je suis donc la dernière et cinquième enfant des Silverstone. Remy-Lour Nélye Silverstone. J'ai vu le jour dans la capitale australienne, Sydney, la seule et unique, un matin de mars, le 24. Vers les 13h, mais ça on s'en fiche un peu à vrai dire. J'ai été accueillie par mes frères et mes parents avec soulagement. Enfin, une fille! Je crois que ma mère a du prier chaque jour pour m'avoir, après quatres garçons, je la comprends. Et mes frères avaient un nouveau jouet. Je plaisante bien sûr, mais j'ai un temps été l'objet de leur curiosité. Faut les comprendre, ils étaient entre mecs jusqu'à présent, mon arrivée à changer la donne pour eux, sur plus d'un niveau. Quelque chose manquait chez moi, comme l'a dit Arawn à l'époque, et c'est vrai, comment nier l'évidence, mais ça ne les a jamais dérangé, puisqu'ils m'ont toujours vu comme un des leurs. J'en porte les "séquelles" encore aujourd'hui, mais je sais que jamais je ne changerai un iota de ce qui a pu m'arriver, grâce ou à cause d'eux. Mes frangins m'ont protégé, de tout et de n'importe quoi en fait, je sais que je leur dois beaucoup, mais ça n'empêche que parfois, ils peuvent être d'une connerie sans nom. C'est pour ça que je les aime. Je grandis dans une famille aimante, comme vous vous en doutez, avec tout ce dont j'ai pu avoir besoin pour me construire. Ma mère m'a bien sûr chouchouté un peu plus que mes frères parce que j'étais une fille, on ne peut pas le lui reprocher après avoir du élever ces derniers. Elle avait sa princesse, certes, mais je n'ai pas été pourrie pour autant, ma grand-mère ne l'aurait pas toléré. Quand j'entre à l'école, j'ai d'abord un peu de mal à m'intégrer, j'étais assez timide, chose qui a radicalement changé après quelques semaines. C'était comme dit, juste histoire de basculer dans ce monde nouveau pour moi. Et j'ai vite appris que j'aimais ça. Danser. Attention, je ne suis pas une petite danseuse prétentieuse. En grandissant, tout à changer. Et je n'ai eu de cesse depuis de bercer le rêve d'un jour vivre de ma passion, devenir une danseuse professionelle. Et les années ont passées, immuablement. Mon frère aîné s'est marié quand je suis entrée à la fac et vient de devenir papa d'une petite fille, Addison. Il vit près de chez nous dans sa propre maison avec sa femme, Cate, une crème cette fille je l'adore. Je suis la marraine d'Addie au fait. Arthur est parti l'an passé faire ses études en France, à Paris, comme il a toujours adoré l'Histoire de l'Art, c'est la ville idéale (avec Florence moi je dis), il vit avec sa copine, Leonie. Arawn lui est un "artiste"', il travaille pour un journal anglais en tant que photographe, on le voit peu, puisqu'il voyage énormément pour son travail, mais il nous envoie toujours un petit quelque chose de ses pérégrinations. Malchiah lui étudie le droit, il veut devenir avocat comme ma mère l'était, je me souviens encore du jour où il lui a annoncé, elle a fondu en larmes. De joie bien sûr. Et moi, me voilà donc à 20 ans, étudiante en Danse dans la grande fac de Columbia, où j'ai obtenu une bourse. Je vous épargnerais aussi ma vie sentimentale, tant pis pour ceux qui espéraient avoir des détails croustillants, mais sachez que je ne suis plus vierge, ça suffira amplement comme info sur ce sujet-là. Pour tout vous dire, je sors d'une relation un peu complexe, à distance, alors ça n'aide pas vraiment. Je l'ai connu l'an dernier, à la fac, un étudiant français, qui malheureusement est reparti chez lui cet été. Du coup, après près d'un an ensemble, il a fini par rompre. C'était douloureux mais la vie continue non, et je sais que la mienne va me réserver encore bien des surprises..
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Shana, Shane 18 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par Top Site. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 6/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé. ★Crédit images → bazzart
Mon exemple de RolePlay:
→ . Les cheveux attachés en chignon lâche, aucune once de maquillage sur le visage, habillé d’un débardeur délavé et d’un short pyjama, je passais mon après-midi auprès de mon amant Ryan Gosling, ou plutôt, j’observais son jeu d’acteur via mon plasma, bavant légèrement à la vue de son corps musclé et sublime qui me faisait tant rêver parfois, c’était bien le seul qui me permettait d’avoir ce genre de pensé sans crainte. J’aurais tout de même voulu passé le reste de mon après-midi avec ma fille, mais cette dernière était en compagnie de son oncle, alias mon frère bien aimé, Maxim. Je n’ai pas pu refuser sa demande de passer une journée complète avec sa petite nièce puisque son horaire bien chargé l’empêchait de consacré plus de temps avec elle. Le seul et premier congé qu’il ait, au lieu de faire la grasse matinée et de rester étendu dans son lit, il a préféré se réveiller de bonne heure et passer prendre ma fille avant mon départ pour les cours. J’en ai bien sûre avisé la garderie de l’absence de ma fille pour la journée, pour ne pas qu’ils s’inquiètent de son absence. Je savais bien qu’ils avaient des préjugés sur les jeunes mères, qu’elles étaient incapables de s’occuper de leur enfant, qu’elles préféraient penser à elle avant leurs enfants, enfin bref, je connais bien la chanson, mais il se trompait sur mon compte. J’étais l’une parmi plusieurs à vouloir le bien être de mon enfant. Il ne fallait pas se baser sur l’apparence, connaissant leurs piètres opinions sur les fortunés. Il n’y aura jamais une fin aux préjugés, que soit de son statut social à son ethnie, les gens garderons toujours en eux une opinion peu fondée sur chaque personne. Je ne peux pas m’exclure de cette catégorie, j’avoue bien que j’ai agi de la sorte aussi, mais je préférais et toujours donnée une chance aux autres que me renfermer sur une idéologie. Pour en revenir, j’étais seul dans mon grand appartement vide, s’y animé par la présence de mon petite ange, que j’ai préférée m’abattre sur un film romantique & comédie pour remplir ce vide. Crazy stupide love était l’un de mes grands coup cœur, moi qui passe peu de mon temps à m’intéresser à la cinématographie. Je crois qu’en un ans, j’aurais seulement vue au maximum 3 films au cinéma. Et pourtant de nombreux films intéressants sortaient en affiche, certains même me tentaient, mais soit je n’avais pas le temps ou que j’étais trop paresseuse pour y aller. Donc je me concentrais le plus possible sur ce qui se passait à l’écran, malgré que c’était la unième fois que je visionnais ce film. Je fus interrompu dans mon observation par la vibration de mon portable. Je tendais ma main aveuglement vers ce dernier sans quitté des yeux l’écran. C’est d’un rapide coup d’œil vers mon mobile que j’arrêtais le film pour me concentrer sur le texto reçu. Quoi de plus surprenant de recevoir un message de Kathleen dont je ne me rappel à peine la dernière journée qu’on avait communiqué, à vrai dire, après trois ans d’absences et de communications, j’étais surprise qu’elle recommunique avec moi. À croire que je ne devrais pas être si surprise que ça, il y a plus d’un que je revois parmi les étudiants de l’université, autant que c’était de bons amis d’autrefois, autant que c’était des personnes indésirables. Voulant absolument renouer d’ancien lien, je lui envoyais ma réponse dans l’immédiat. Citation:
Citation :
Tu sais bien que je suis unique ma belle, il n’y en pas d’autres comme moi . Tu as bien vue ma petite tête à Berkeley, ça m’étonne même que tu m’es vue parmi tous ce monde, on se croirait dans un océan humain, mdr. J’accepte avec joie ton invitation, si je continue à rester planter chez moi et regarder mon obsession éternel, je crois en faire une overdose (je t’expliquerais, tu sais comment je peux être dingue)
J’envoyais mon message et dépose mon portable sur la table basse. Je retirais le bol de popcorn qui était installé entre mes genoux et le mettait aussi sur le table basse. En me levant de mon siège, je pouvais sentir une légère tension dans mes jambes par la longue période de ma position en indien sur le canapé. Je parcourrais le couloir vers ma chambre d’un pas presser et pris la première blouse et paire de jean que je trouvais. J’enfilais un pair de bottine en cuir brun clouté, prit un petit cardigan léger au cas que la température refroidisse, mon sac, mes clés et sortait de l’appartement en la fermant à clé derrière moi. J’actionnais le bouton de commande à distance pour ouvrir les portes et jetait mes effets sur le siège accompagnateur avant de démarrer en vitesse et me rendre aux lieux de rendez-vous. Ne connaissant pas l’endroit, encore étrangère de cette ville, j’entrais les données dans mon gps un peu irrité de suivre la voix robotique et ennuyant de l’engin. J’arrivais à destination et repérait déjà d’où j’étais Katlheen. J’étais à peine arrivée proche d’elle, qu’elle sauta dans mes bras. Son rire remplie de gaité me parvenu à mes oreilles déclenchant le mien aussi. « Je suis trop heureuse de te voir ! Je t’assure, j’ai cru hallucinée quand je t’ai vu sur le campus. On aurait voulu faire exprès qu’on n’aurait pas réussi. C’est juste énorme de te voir ! », « Pas autant que moi, ça fait du bien de revoir des visages familier dans tout cette population, j’ai l’impression de revenir d’une autre planète. » Elle me relâcha et je pus observer la nouvelle jeune femme qui me faisait face aujourd’hui. Coupant court à mon observation, on rentra dans le restaurant qui était assez rempli, sans que cela soit surchargé de monde. On prit place à une table attendant que le serveur vienne avec les cartes. « Désolée pour l’étrange message. Je n’étais pas sûre que ce soit toi que j’avais vu. Juste à 95%. Ça fait du bien de te revoir, tu sais. Il s’est passé tellement de choses depuis la dernière fois qu’on s’est vus… Qu’est ce qui t’amène à Berkeley ? Je veux tout savoir ! » « A qu’il dit tu, depuis que je suis ici, j’ai l’impression d’être dans une réunion d’ancienne élèves tant que je vois de vielles connaissances. Et puis tu sais, après que mes parents aient décidé de mettre dans un pensionnat pour jeune mère, je me suis dit pourquoi pas faire le reste de mes études ici, Berkeley est l’une des meilleures universités. Assez parler de moi, et toi de ton coté, quoi de neuf ? ». Je ne prête peu attention au serveur qui faisait les yeux doux à mon amie, je préférais regarder la carte que m’intéresser à lui.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks.
Dernière édition par Remy-Lou N. Silverstone le Dim 12 Mai - 18:43, édité 8 fois
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Sujet: Re: she's nothing more than a ride or die. ◮ (remy) Sam 11 Mai - 2:10
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: she's nothing more than a ride or die. ◮ (remy) Sam 11 Mai - 2:11
merci beaucoup :brigitte:
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Sujet: Re: she's nothing more than a ride or die. ◮ (remy) Sam 11 Mai - 2:18
Bienvenue parmi nous Si tu as des questions, n'hésites pas. Je t'invite aussi à aller faire un tour sur la CB pour te familiariser avec les membres
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Sujet: Re: she's nothing more than a ride or die. ◮ (remy) Sam 11 Mai - 2:31
d'accord j'irais dès qu'il y aura de la populace
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Sujet: Re: she's nothing more than a ride or die. ◮ (remy) Sam 11 Mai - 3:20
Phoebe Tonkin Excellent choix d'avatar Bienvenue sur NYCL Et bon courage pour le reste de ta fiche !
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Sujet: Re: she's nothing more than a ride or die. ◮ (remy) Sam 11 Mai - 4:14
Bienvenue et bonne continuation pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: she's nothing more than a ride or die. ◮ (remy) Sam 11 Mai - 7:48