Well... It's my story...

Le visage mouillé par ses larmes, la petite Victorine, alors âgée d'à peine deux mois, pleurait pour se faire entendre. Quelques instants plus tard, elle se retrouvait enlacée dans les doux bras de sa mère et avait aussitôt cessé de crier. Les yeux grands ouverts, elle observait cette femme qui lui avait donné la vie. Sans vraiment savoir qui elle était, elle sentait tout de même ce lien fort qui les unissait et, de sa vue brouillée, elle fixait ce visage d'une grande beauté. En totale confiance, Victorine ferma les yeux, prête à s'endormir. Ce ne fut que lorsqu'elle se retrouva à nouveau dans son lit qu'elle ouvrit à nouveau les yeux. Encore toute petite, elle ne pouvait pas comprendre, ni même savoir ce qui se déroulait autour d'elle, mais elle l'avait senti. Elle n'en avait pas conscience, mais c'était là certainement la dernière fois qu'elle allait se serrer tout contre sa mère. Cette dernière, nommée Ailynn, se trouvait être penchée au-dessus du berceau de sa fille et la contemplait longuement. Victorine lui adressa un radieux sourire avant qu'elle ne disparaisse de son champ de vision et ne quitte la pièce.

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Assise en tailleur sur le tapis, Victorine dessinait sagement sur la table basse. Sa feuille blanche était recouverte de fleurs colorées, de princesses et de chevaux. Elle n'était à cette époque âgée que de cinq ans, mais ses dessins étaient plutôt clairs et joyeux. Victorine se trouvait dans la charmante maison des Burberry, ce vieux couple chez lequel elle passait beaucoup de temps lorsque son père se devait de travailler. Ce qu'elle ne savait pas et ce dont elle ne se doutait pas une seule seconde, était que ces chaleureuses personnes n'étaient autre que ses arrières grands-parents soient les grands-parents de sa propre mère. Tout comme le fait que Nate n'avait, en réalité, aucun lien de sang avec elle et qu'il n'était seulement que son père adoptif. La sonnette retentit et Victorine se précipita en direction de la porte pour l'ouvrir. Comme elle s'en était douté, Nate se trouvait derrière et elle se jeta dans ses bras pour lui faire un câlin. PAAAAPAAA! Après avoir déposé un énorme baiser légèrement baveux sur sa joue, elle se laissa glisser pour atterrir sur ses pieds. Le sourire aux lèvres elle s'aventura dans la maison, tout excitée, pour lui montrer son oeuvre. Regard le dessin que j'ai fait ! Tu vois la princesse là c'est moi et le beau monsieur à côté c'est toi papa. Elle lui raconta l'histoire de son dessin et ce qu'elle avait fait de sa journée, sautant presque sur elle-même, telle une puce heureuse de trouver un gros matou à piquer. Victorine était une enfant pleine de vie, joyeuse à souhait et qui avait de l'amour à revendre. Nate, c'était la personne qu'elle aimait le plus au monde et dont elle n'aimait pas se séparer, ne serait-ce que le temps d'une journée. Sa tendresse envers son père et l'amour incontestable qu'elle lui donnait étaient sans aucun doute dut au fait qu'elle n'avait que lui. Certes les Burberry et la meilleure amie de Nate étaient des personnes adorables et qu'elle appréciait énormément, mais ils ne représentaient pas réellement à ses yeux la famille qu'elle voyait en Nate. Puisque, oui, Victorine n'a pas longtemps connu sa mère, elle n'en a d'ailleurs aucun souvenir. Tout ce qu'elle savait c'était qu'elle n'était pas là, auprès d'elle. Cette situation était difficile à vivre pour une enfant de cinq ans, mais son père savait combler le vide. Il était génial avec elle et on ne pouvait pas faire mieux que lui. Seulement, parfois, Victorine se demandait ce que c'était d'avoir une mère, d'avoir deux parents à ses côtés et non pas seulement un père.

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Coucou mon journal (:
Je sais pas si tu es au courant, mais aujourd'hui c'est mon anniversaire. Si si, ça y est j'ai eu sept ans. Papa a organisé une petite fête avec mes amis chez les Burberry, c'était chouette ! J'ai eu tout plein de beaux cadeaux : une robe que je porte maintenant même si il fait un peu froid dehors, une poupée, du papier à dessin et pleins d'autres trucs encore, mais malheureusement pas de poney ... C'est normal, ça coûte trop cher un poney, puis je suis trop petite pour m'en occuper toute seule. L'année prochaine, peut-être.

Je sais que je t'en parles souvent, mais c'est que c'est quelque chose qui me tracasse beaucoup. Papa n'aime pas trop quand je lui pose ces questions, ça se voit parce que son sourire s'efface et qu'il reste dans sa bulle quelques minutes, mais moi j'aimerais vraiment avoir des réponses ... Tu la connais peut-être, toi, ma maman. Tu pourrais peut-être ma parler d'elle un jour ? Je sais pas si c'est possible que quelqu'un qu'on connait pas nous manque, mais je crois que moi elle me manque. Papa, c'est le meilleur, mais tous mes amis eux ils ont une maman aussi et elle vient les chercher à l'école et pas moi. Tu crois qu'elle m'aime ma maman ? Si tu la vois un jour tu pourrais peut-être lui faire un bisou de ma part ? En tout cas ça doit être une dame vraiment super, parce que si papa il l'aime c'est qu'elle doit être chouette ! C'est dommage que je ne puisse pas la commander au père Noël, mais peut-être qu'un jour je pourrais lui parler pour de vrai.

Je te laisse, papa m'appelle pour manger. Gros gros bisous mon journal. ♥

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La nuit était tombée et, l'estomac plein, Victorine et Nate étaient tranquillement installés dans le salon. Ma puce, viens t'asseoir à côté de moi s'il te plait, il y a quelque chose dont j'aimerais te parler. Toute souriante, Victorine s'exécuta sans rire dire. Ses yeux brillants fixaient avec attention le visage assez neutre de son père et elle attendait sagement qu'il lui annonce cette nouvelle. Je savais pas trop comment te dire ça, mais ... J'ai trouvé du travail dans une autre ville, à New York et on doit déménager bientôt. Le sourire de la fillette s'effaça aussitôt. Elle ne s'attendait pas le moins du monde à une nouvelle de la sorte et c'est sur ces quelques mots qu'elle se pris une claque. Dans sa tête, des centaines d'idées et de questions se chamboulaient et elle réussit tout de même à se remémorer où se situait cette fameuse ville de New York, c'est-à-dire loin, très loin d'ici. Mais ... mais moi je veux pas. Je veux pas aller à New York, je veux pas quitter mes amis. Pourquoi tu as changé de travail, on était bien ici non ? Sur le coup de l'émotion, Victorine en voulu pour la première fois de sa vie à son père, mais cette colère fut bien vite oubliée. Puisque, à peine quelques minutes plus tard, elle cherchait à se réfugier dans les bras de Nate et à lui faire un câlin. Je suis désolée papa ... Nate déposa un baiser sur ses longs cheveux châtains clairs avant de la serrer un peu plus fort contre lui. (...) Le nez collé contre le hublot, Victorine admirait le paysage. Elle n'avait pas fermé l'oeil durant tout le trajet et n'avait quitté les nuages des yeux que le temps d'un dessin animé. Alors qu'ils approchaient enfin de la côte américaine, Victorine secoua vivement Nate, tout excitée. Regard papa, regarde ! On voit tout plein d'immeubles et de lumières ! Elle colla à nouveau son nez à la vitre, son père tout proche derrière. Les yeux brillants elle était émerveillée par la beauté que lui offrait le paysage vu du ciel. C'est beeeeau! déclara-t-elle dans un soupire. L'avion entreprit l'atterrissage et prise de panique, Victorine posa sa main sur celle de son père, les yeux écarquillés. Bonjour en anglais ça se dit bien Hello, hein ? Ce n'était pas descendre par palier qui la faisait stresser, mais belle et bien cette langue qu'elle ne connaissait que trop peu. Elle avait eu le droit à quelques cours d'initiation à l'école, mais rien de bien glorieux. Oui c'est ça : Hello ou bien Hi, si tu préfères. Nate lui adressa un doux sourire qui la rassura un peu. Ce soudain dépaysement affectait Victorine bien plus qu'elle ne laissait le paraître. Dans le hall de l'aéroport, ils rejoignirent très rapidement le fameux cousin de Nate chez qui ils allaient séjourner quelques temps. Sereinement, Victorine s'avança d'un pas vers lui tout en lui tendant la main. Hi mister le cousin of my papa ! dit-elle souriante. Les deux garçons se mirent à rire doucement, sous le regard étonné de Victorine qui ne voyait pas vraiment ce qu'elle avait fait de drôle, mais qui, finit par rire avec eux. Welcome to New York City my dear.

(ici Cheyenne) AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH. Tu fais toute une bande d'heureux là

Bienvenue chez nous princesse

bienvenue

Merci beaucoup à vous trois, l'accueil fait plaisir.
Toute une bande, carrément ! je suis contente de le savoir, même si ça fou un peu la pression du coup.

Bienvenue ici

Merci beaucoup.

Bienvenue

Bienvenue parmi nous !

Merci beaucoup à vous deux.

mia hays est trooop choupi.
bienvenuue sur nycl.

Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche

Bienvenue parmi nous

YAY le retour de la princesse

Bienvenue

MA FILLEEEEEEEEEEEEEEEEEEEUUUUUUUH (adoptive, OSEF)
Je suis super contente que tu tentes le scénario, en espérant qu'il t'inspirera et touuut Si tu as une question par rapport à l'histoire et tout, n'hésite pas à m'envoyer un mp Pareil, si tu veux je peux t'envoyer mon histoire pour que t'aies un peu plus de détail sur l'enfance de la petite et toussa, afin de pas faire d'incohérence
BREF, welcooooome
Tu peux déjà me réserver un RP et il faut que je te précise un truc par MP, mais ça ne sera pas à incorporer dans ton histoire, donc ça peut attendre

Bienvenue officiellement parmi nous Si tu as des questions, n'hésites surtout pas Ma boite à MP t'es entièrement ouverte

Bienvenue sur le forum, et bonne rédaction de fiche à toi! Amuse-toi bien. =D

oh qu'elle est choux bienvenue

bienvenue

Bienvenue sur le forum

Bienvenue parmi nous petite princesse

La petite Rousseau
Bienvenue parmi nous

Bienvenuuuuuuuuue