23 ans → Né(e) à New York le 25/06/1990 → Photographe célibataire → hétérosexuelle → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Saphyr possède un magnifique corps, mince et élancé, elle a également de jolie formes le tout étant bien proportionné. Saphyr a une chevelure facile à coiffer, naturelle et soyeuse, elle n’a pas grand-chose à faire pour entretenir ses longs cheveux bruns. Soit elle les laisse ondulés naturellement soit elle les lisse en faisant un petit brushing, heureusement ça ne lui abîme pas les cheveux et pourtant elle en fait souvent ! Plus jeune, elle a été un peu complexée par sa taille, n’étant ni trop grande, ni trop petite, elle se fit rapidement à sa taille normal et oui la petite Saphyr aurait bien aimé être mannequin à son plus jeune age et elle n’avait pas la taille adéquate ! Aujourd’hui, elle s’est rendue compte que sa taille allait très bien avec le reste de son physique. Saphyr est un peu cambrée, juste comme il faut pour attirer le regard et être jolie à croquer. En effet, la jeune femme possède un teint légèrement halé, elle bronze facilement et de temps à autres, lorsqu’elle ne peut pas aller à la plage à cause de son travail ou juste parce que ce n’est pas la saison, elle va faire une ou deux séance d’UV pour maintenir son bronzage à toute époque de l’année. Elle a un visage finement dessiné, des traits ravissant, un teint halé, un ensemble très joli à regarder au final. Elle possède un petit nez fin et discret, une bouche pulpeuse et naturellement rosée qu’elle met en valeur par une touche de gloss n’ayant pas besoin de plus. Ses jolis yeux sont assez changeants, légèrement en amande, pas globuleux du tout, parfois vert émeraude, parfois vert/chocolat. C’est selon le temps qu’il fait dehors et l’humeur de la demoiselle. Pour finir, on peut dire qu’en gros Saphyr a tout pour elle et sait exactement quoi faire pour se mettre en valeur et même si ce n’est pas la plus belle fille qu’il existe sur cette Terre. Comme signe particuliers qu'a Saphyr, c'est un piercing au nombril fait quand elle était encore adolescente et aucun tatouage.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Saphyr est au départ une jeune femme pleine de contradictions. Indépendante et arrogante, Saphyr n'est pas de celles qui se laissent imposer quoi que ce soit par personne; elle est une jeune femme butée et entêtée. Lorsqu'elle veut quelque chose, et que ça lui tient a coeur, elle ferait tout pour y arriver, et les gens qui voient son ambition comme un défaut sont souvent ceux qui ont essayés de se mettre dans son chemin. Tout au contraire de ce qui a été dit précèdement, Saphyr sera aussi portée à aider les gens facilement. Malgré ce que l'on pourrait penser, elle a un grand coeur et est faite d'affection et de bonheur. Très intelligente malgré ce qu'on pourrait croire, la vie de la jeune Saphyr ne se retrouve pas au stade du banal, puisqu'elle est une grande fanatique de sensations fortes; pas dans le sens de bungee ou de montages russes, mais plutôt dans le sens d'imprévus et d'amusements. Elle aime quand même avoir sa petite routine et savoir quand les choses vont arriver. Elle prend le temps de voir ses amis le plus souvent possible, et elle est de très bonne compagnie. Elle est d'une grande écoute et est la confidente de plusieurs, puisqu'ils savent toutes qu'elle ne répétera pas tout aux autres. Il ne faut toujours bien pas oublier l'essentiel. Saphyr reste avant tout une jeune femme bléssée par la mort de sa maman. Elle aime encore les choses futiles, et n'a pas peur d'exprimer ses émotions.
Well... It's my story...
« Maman, je t'en supplie, ne me laisse pas » Ma voix tremblait, mon cœur était en alerte, ma tête était sur le point d'exploser, tant je n'arrivais plus à encaisser. Elle ne pouvait pas, elle ne pouvait point me laisser ainsi, aussi tôt, c'était contre-nature, inhumain. J'avais encore besoin d'elle, besoin de son sourire, besoin de son soutien. Sa lumière semblait s'éteindre à petit feu, la mort résonnait déjà dans ma tête, comme un terrible chant d'affliction ; d'horreur. Les murs blancs de cet hôpital m'angoissaient au plus haut point, ces enfoirés de docteurs voulaient la laissé mourir ici, face à ce décor morbide et sans nul charme. J'avais peur, terriblement peur. Les larmes roulaient le long de mes joues, telles des traîtresses, ayant beaucoup trop été retenues par de simples cris étouffés. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas, la voir partir était pire que tout, pire que la mort en elle-même ; l'absence allait me tuer. Allongée sur ce lit de fortune, elle semblait ailleurs, son sourire n'avait point disparu. Maman semblait apaisée, maman ne souffrait à présent plus, elle souriait aux anges, tel un nourrisson découvrant le monde. Sa main toujours sur ma joue pour essuyer mes larmes, elle me supplia de ne point la pleurer, de continuer ma vie, car selon elle, j'étais promise à un grand avenir. Que pouvait bien dire le mot futur pour une fille comme moi ? Je n'arrivais nullement à me projeter sans elle, sans celle qui m'avait donné la vie et aimer, malgré mes conneries. Je craignais le monde sans elle, je craignais l'hostilité de cette vie, cette hypocrisie qui m'avait toujours dépassée. « Promets moi d'être toujours là » Ses yeux s'humidifièrent à leur tour et je regrettai mes mots. Je serrai sa main davantage, faisait un sourire, qui ressemblait plus à une grimace qu'autre chose. Ce cancer lui avait assez déchiré le cœur, je me devais de la laisser partir, en paix. Je m'en voulais de mon égoïsme, de ma bêtise. Je n'avais point été assez à l'écoute, je l'avais cru invincible, tant sa force demeurait des plus grandes. Mais comme toute histoire fabuleuse, le héros se devait de mourir à la fin. « Je te le promets, mon ange » Dit-elle, dans un souffle qui demeurait presque inaudible.
Ses yeux se fermèrent tout doucement, elle tombait peu à peu dans un profond sommeil et je l'en empêcha pas. Sans lâcher sa main, je posai ma tête contre le mur, m'affalant davantage sur le dossier de ma chaise. À mon tour, je fermai les yeux, voulant me remémorer des jours meilleurs, avant ce chaos qui était arrivé sans crier gare. Je m'étais pendant longtemps demandée, où tout cela avait bien pu commencer et comment cette éternelle déchéance avait pu s'abattre sur notre famille, pourtant si unie. Autrefois, nous étions tout ce qu'il y avait de plus heureux, la famille parfaite, du moins c'était ce que j'avais cru derrière tous ces mensonges. Le cancer avait montré ses premiers symptômes il y a de cela deux ans, je n'avais rien vu. Ma mère avait tout fait pour me cacher sa maladie, pour me préserver de l'inquiétude, jusqu'à me mentir pour ne point souiller mon âme. Je lui en avais longtemps voulu, bien que cette haine intérieure m'était destinée. Je m'en voulais de mon aveuglement, je m'en voulais de ne point avoir entendu son cœur, devenu trop bruyant, de ne point avoir vu son regard se noircir, sa détresse. Je me mordis la lèvre inférieure, essayant de nouveau de retenir mes larmes, je ne pouvais point m’effondrer, pas devant ma mère. Je le savais, c'était la fin, mais je ne voulais point qu'elle emporte le poids de ma souffrance dans la mort, elle méritait de s'en aller en paix. Mon père n'avait pas eu le courage de venir aujourd'hui, il n'y arrivait plus. Il aimait ma mère plus que tout, mais il ne voulait se faire une raison, il ne voulait se résigner au fait que sa femme s'en allait, vers un chemin sans retour. Une nouvelle fois, je laissai libre champ à mes larmes, ne me retenant plus. Ma mère en avait fait des erreurs, en avait fait des conneries, mais elle demeurait à tout jamais l'ange de ma vie, mon rayon de soleil dû à sa trop grande légèreté. Sans ma mère, je ne demeurais qu'un pauvre mouton égaré, dans ce monde beaucoup trop vaste pour moi. Je me mis à fredonner une chanson, une musique que je pouvais écouter en boucle, mais que pourtant, maman détestait. Peut-être que cela la pousserai à rester en vie, uniquement pour me sermonner, me hurler son agacement. Une autre larme tomba, que j'essuyai d'un revers de manche, pour ne point paraître plus faible que je ne l'étais déjà. Dans ce monde, tout n'était que dans l'apparence, nous étions tous condamner à paraître, nous perdant nous même dans le chemin de l'hypocrisie.
Je sursautai à l'entente d'une sonnette et me redressai, horrifiée. Je regardai les machines, l'une d'elle qui affichait une ligne raide, celle de son exécution. Elle partait, elle s'en allait vers un chemin sans retour. Je sortie en trombe de la chambre, hurlant à l'aide, bousculant des personnes sur mon passage, me fichant d'être prise pour une folle. Entendant le signal d'alerte, des dizaines d'infirmières s'étaient dirigées vers la chambre, me bousculant à leur tour. Je restai derrière la fenêtre vitrée, m'appuyant sur le mur, le regard vide.
Depuis sa mort, un vide c'est installé en moi elle était belle et bien partie... Je mis longtemps à accepter sa mort, à reprendre la vie que j'avais d'avant. Mon train train habituel, mon appartement à New York et mon métier de photographe. Ma passion de la photographie me vient de mon père, lui aussi adore tous ce qui touche l’art. Mais depuis la mort de ma mère il n’a plus l’envie, la passion qu’il avait auparavant. C’était comme si la flamme qu’il avait en lui c’était éteinte le jour de la disparition de ma mère. C’est alors grâce à lui que ma passion est venue, je le voyais quand j’étais encore qu’une enfant en train de peindre, d’observer des tableaux des heures sans jamais s’en lasser. Un jour pour mon anniversaire, il décida avec le désaccord de ma mère de m’offrir un appareil photo c’était peut-être le plus beau cadeau qu’il puisse me faire. J’étais encore petite mais je savais déjà l’utiliser, je ne m’en séparer jamais. Toujours en train de prendre des photos de ma mère, ou encore de mon père en train de peindre. C’est de là que viens ma passion de la photographie, et il faut avouer que depuis que ma mère est partie c’est le seul échappatoire que je puisse trouver pour ne pas penser à elle, ne pas tomber dans le même trou noir qu’est mon père en ce moment. Ma vie se résume à pas grand-chose maintenant, mon travail, développer des photos. Je ne connais pas grand monde à New York même si cela fait longtemps que je vis dans cette magnifique ville je me suis refermer sur moi-même il y a pas longtemps…
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Blondie ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je connaissais le forum avant ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non ★Présence sur le forum → 7/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Bazzart et tumblr
Mon exemple de RolePlay:
→ Sept heures du matin, le réveil d’Ally sonna comme tous les jours à la même heure. Cela devenait une habitude pour la jeune femme, car avec son nouveau travail qu’elle avait eu dans une entreprise qui organise des évènements qui porte sur la mode elle devait vite s’habituer à ses nouveaux horaires. Chose pas si facile qu’aurais pensé Ally. Mais elle aimait énormément ce nouveau job, alors après avoir éteint son réveil la jeune femme se leva doucement pour ce diriger en suite dans sa salle de bain pour prendre une douche avant de partir à son nouveau bureau. Sa journée ce passe normalement, sans problèmes. Après cette journée riche en émotions mais aussi fatigante la jeune femme rentra tranquillement chez elle. La jeune femme habitait dans un petit appartement adapté pour une célibataire, car elle n’avait jamais eu de problème avec ça. Il faut dire que Ally ne pense pas tellement en ce moment à sa vie sentimental, elle préférer avant trouver une bonne place dans un domaine où elle se plait puis après peut être trouvé quelqu’un… Après être rentrée chez elle, Ally prit la peine de fermer à clefs derrière elle sa porte pour se sentir complètement en sécurité dans son appartement. Après cette journée elle voulait juste être tranquille un moment, un moment pour elle pour se détendre, alors la jeune femme décida de ce mettre à l’aise. C’est-à-dire en short et débardeur. Il n’y avait rien pour la déranger, aucune sortie de prévue pour le soir, personne à aller voir. Alors Ally s’installa devant sa télé, dans son canapé avec un petit plateau avec de la nourriture dessus. Car oui mince comme elle l’est, c’est un vrai frigo sur pattes… Après s’être bien installé et allumé la télé, la jeune femme entendit quelques minutes plus tard quelqu’un toquer à sa porte. L’idée de ne pas répondre et de faire comme si personne n’était là lui traversa la tête, mais si c’était quelque chose d’important. En soupirant la jeune femme se leva de son canapé pour aller voir qui l’avait dérangé pendant son petit moment à elle. En marchant vers la porte elle fit « J’espère que c’est vraiment urgent ! » Arrivée à sa porte, Ally ouvra donc la porte pour voir qui l’avait dérangé. Quand elle vit la personne qui était sur son pallier elle resta un moment un peu choquée puis un large sourire s’afficha sur son visage. Celui qui l’avait dérangé c’était Lucas, un ami de longue date, tous les deux ont une grande complicité. Ally ce demanda un moment pourquoi il était là, lui qui ne répondais pas aux sms que la jeune femme lui envoyer pour prendre des nouvelles. Car elle se soucier un peu de lui et surtout de ce qu’il lui était arrivé à l’église avec son ex petite amie. Ce n’était pas si facile pour lui, de cause il était partit de New York pour prendre des forces et revenir plus fort. Mais depuis aucunes nouvelles, la jeune femme le regarda de haut en bas et fit « Lucas, je te croyais à Chicago ? Tu sais que je peux te tuer pour ne pas avoir répondu à mes nombreux sms que je t’ai envoyés ! Entre je t’en prie ! » Ally fit donc entrer Lucas dans son appartement, elle lui prit aussi sa veste pour qu’il se sente bien et attendit beaucoup de réponses à ses nombreuses questions...
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→check by j
Dernière édition par Saphyr M. Donovan le Mar 30 Avr - 11:44, édité 13 fois
JESSICA + LE PRENOM = J'adore tellement ce prénom, t'imagines même pas comment. Bref, bienvenue parmi nous, j'espère que tu te plairas sur le forum et toussa Ah oui, bonne chance pour ta fichounette