DANIEL → and we will end your week just like a sunday.
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Sujet: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 17:47
FEAT. MICHAEL MANDO
Daniel Miguel REYES
28 ans → Né à Mexico le 27/07/1984 → Leader d'un gang hispanique célibataire → hétérosexuel → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Daniel a ses petits détails physiques qui font de lui un être unique, comme n'importe qui. Tout d'abord, il se démarque à la couleur de ses yeux, changeante selon la lumière. D'un brun profond dans l'obscurité, et d'une touche noisette, voire orange, à la lumière du soleil. Petit héritage de famille du côté de sa mère. Ensuite, il y a ce tatouage maya qui court le long de son dos et s'arrête au creux de ses reins. Il y tient et se l'est fait faire en arrivant à New York il y a plusieurs années. Et puis ses boucles d'oreilles. Depuis peu, il a décidé de se mettre des écarteurs, il trouve ça classe, et qui plus est, il est persuadé que ça lui va bien. Au fil des années, Daniel a accumulé des cicatrices plus ou moins visibles réparties sur son corps entier. Une sur la nuque, son flanc gauche, sa cuisse gauche, une autre court le long de son avant bras droit, et une dernière s'est logée juste sous son menton. Toutes ces marques ont élu Daniel domicile suite à ses nombreux conflits contre des personnes aussi pitoyables que lui. Et certaines marques s'estompent mieux que d'autres, ou ne reviennent jamais : les doigts de Daniel sont toujours bandés, ses poignets aussi -quelle idée d'aller frapper un mur de briques à mains nues, hein ?-. Il y a aussi ce bijou, cette longue chaîne en argent au bout de laquelle pend un mince anneau, qui jadis appartenait à sa mère, seul lien avec sa famille aujourd'hui. Avec toutes ces petites choses, Daniel se rend unique, sa façon à lui de se détacher du lot.
★Quel est le caractère de ton personnage? → La folie : Dérangement de l'esprit, troubles mentaux, synonyme de démence. Voilà un mot qui définit Daniel à la perfection. Impossible de le comparer à un être humain normalement constitué, le mexicain a perdu son état d'âme depuis bien des années et est devenu un véritable danger pour lui-même, comme pour les autres. Impulsif, violent et brutal, il n'a rien d'un homme au coeur tendre qui fait les choses avec délicatesse. Bourrin jusqu'au bout, il ne joue pas dans la finesse et aime semer le chaos autour de lui. La terreur est sa source de vie, son énergie vitale. Il se nourrit de la peur des autres, de leurs souffrances et de leurs craintes, il est un démon à lui tout seul. Daniel n'a jamais réussit à assouvir ses désirs sadiques, et se sent constamment obligé d'en faire un peu plus pour s'imprégner du bonheur qu'il ressent à faire du mal aux autres. Ayant perdu la raison après la perte de sa famille, Daniel se fiche du lendemain et vit au jour le jour, en faisant son possible pour apposer sa marque sur Terre, à sa manière. C'est un homme mystérieux qui ne parlera pas ouvertement de son passé, et ne cherchera jamais à s'attirer la pitié d'une tierce personne. Bien assez grand pour se débrouiller seul, il a toujours refusé l'aide de quiconque et préfère mener la danse en toutes circonstances. Un instinct de chasseur et de leader, Daniel sait qu'il est capable de gérer une équipe, de les conduire à la victoire et au pouvoir. Cependant, bien imbus de lui-même, il refusa de se faire doubler par quiconque, et n'hésitera pas à employer des moyens douteux pour reprendre sa place sur le podium. Au fond de lui, il reste cette part d'enfant, ce petit garçon qu'il avait été autrefois, gentil, compatissant et serviable. Elle est là, bien cachée, mais n'est jamais ressorti. Qu'en est-il de son habilité à se faire des amis ? Il n'en a aucun, et encore moins une petite amie, les femmes restent pour lui des êtres intouchables, probablement les seuls êtres vivants qu'il respecte ici bas. Seraient-elles sa faiblesse, son unique handicap ? Daniel, emporté par sa folie meurtrière et sa soif de pouvoir, ne voit pas plus loin que le bout de son nez, et ne voit que lui, rien que lui.
Well... It's my story...
« Je n'ai jamais cherché la compassion ou la pitié de personne. Je n'en ai pas besoin, parce que je suis un homme, et les hommes doivent savoir se débrouiller seuls et encaisser les aléas de la vie. Le karma est une pute, mais qu'est-ce qu'on y peut ? Ok, je n'ai pas eu une vie de rêve, mais j'ai fait avec, parce que ça me convenait. Je ne me souviens pas de mes premières années, mais ma mère a gardé les moindres détails dans son esprit, bien que je ne sois pas son seul enfant.Je suis le cadet d'une fratrie de six enfants. Mes trois sœurs, Clara, Maria, Lola et mes deux frères, Juan et Pablo, ont toujours été là pour moi. Chacun avait sa personnalité, ses passions et ses craintes, mais on était lié comme personne. Dans cette minuscule cabane qui nous servait de maison familiale à Mexico, chacun y mettait du sien pour améliorer le quotidien.On ne se contentait pas d'aller à l'école, il y avait les tâches ménagères, et tout ce qui va avec. Mon père travaillait dur pour nous tous, et il n'était pas le genre d'employé sans histoire confortablement installé dans une entreprise légale. Non, lui, il s'occupait de faire passer des gens désespérés de l'autre côté de la frontière, aux Etats-Unis. Il risquait sa vie tous les jours, pouvait finir en taule ou une balle entre les deux yeux, mais ça ne lui faisait pas peur. Il gagnait sa vie comme ça, et personne ne l'en blâmait. Grâce à lui, on avait de quoi manger tous les soirs et c'est ce qui comptait. Il nous racontait souvent ce quelques anecdotes de ses journées, et ça éveillait chez moi une certaine fascination. Mes sœurs n'étaient pas d'accords avec ça, ce qu'elles voulaient, c'était devenir des femmes au foyer exemplaires, comme ma mère. Mes deux autres frères voulaient, comme moi, découvrir ce qu'il y avait de l'autre côté de la frontière, explorer ce beau pays et finir leur vie là-bas. Pablo se voyait déjà comme un grand avocat à Washington ou Los Angeles, Juan rêvait de son visage placardé sur les façades des immeubles, vantant ses talents musicaux. Et moi... j'en savais foutre rien. Tout ce que je voulais, c'était être quelqu'un, ça me suffisait.
Vivre dans la misère dès son plus jeune âge, ça aide. On sait voler, menacer, frapper, manipuler... à treize ans, je pouvais déjà me vanter d'avoir pas mal de délits à mon actif. Des choses minimes, il n'y a jamais eu mort d'homme, mais revendre des télévisions, voler dans une épicerie, saccager des voitures par vengeance, c'était devenu un quotidien tout ce qu'il y a de plus banal à mes yeux. Je suis le seul à avoir fait ces choses dans ma famille, parce que même mes frères n'allaient pas plus loin que de voler une sucrerie dans un supermarché. Ma mère n'était au courant de rien, mes sœurs non plus, mes frères me couvraient histoire de ne pas faire éclater une dispute infernale à la maison. Je traînais toujours avec les même personnes, des gars de mon école, on se faisait quelques billets avec ces activités illégales, et on le gardait pour nos familles. La moitié de mes revenus allait dans ma poche, je faisais des économies, et pendant cinq ans, j'ai pu ramasser tout ce que j'avais gagné pour réaliser le rêve de mon père, de mes frères... Quitter le Mexique. Ils ne devaient pas être au courant, voilà pourquoi je suis partis sans leur accord, et me suis caché dans l'un des embarquements clandestins de mon père. Il ne m'a pas remarqué, ou alors, si. Je pense qu'il a fait semblant de ne pas me voir, parce qu'il avait sûrement envie de voir l'un de ses fils réaliser ce rêve qu'il gardait en lui depuis si longtemps. Mais à quinze ans, je savais que la vie allait être difficile, et que si je me faisais choper, ce serait un aller simple pour Mexico, retour au bercail, et un rêve brisé en éclats.
Lorsque j'ai passé la frontière, c'était comme une libération. Vous avez déjà ressenti cette putain de montée d'adrénaline qui vous donne des ailes ? C'était pareil pour moi. Je ne suis pas allé très loin pour mes premiers mois, et suis resté à El Paso. Je dormais dans des caves abandonnées avec d'autres immigrés, on était tous recroquevillé dans un coin, à songer au rêve américain. Mais avant de pouvoir mettre notre nez dehors, on avait besoin de repères, de bases. A commencer par parler anglais, parce que je ne connaissais pas un foutre mot de cette langue. C'est un type, Manuel je crois, qui m'a tout apprit. C'était long, presque quatre mois avant que je puisse former une phrase complète. En réalité, j'ai passé six ans à El Paso, sous la tutelle de Manuel qui avait déjà sa nationalité américaine, un boulot stable et des rêves plein la tête. Il me fascinait, c'était mon modèle, et j'avais bientôt la possibilité de lui ressembler. Maintenant que j'étais majeur, j'ai décidé de voler de mes propres ailes, et je suis parti.
J'ai débarqué à New York, en me basant sur les guides touristiques des stations services pour me repérer. Je ne savais pas pourquoi j'avais choisi cette ville, mais elle me plaisait. J'étais bien loin de Mexico et de son climat. Ici, tout était différent, et je me sentais libre, enfin. C'est aussi là que j'ai décidé de montrer signe de vie à ma famille, j'ai essayé de leur envoyer des lettres, mais ils ne m'ont jamais répondu. C'est au bout de sept mois que j'en ai reçu une, qui venait de l'un de mes anciens camarades de classe. Ce que j'ai lu m'a foutu dans une haine indescriptible : mon père a été chopé, ils l'ont mit en taule, et ma mère s'est retrouvée internée dans un hôpital psychiatrique, prétextant qu'elle avait perdu la raison après l'arrestation de mon paternel. Heureusement, mes frères et sœurs avaient quitté le foyer depuis longtemps et vivaient leurs propres quotidiens sans avoir de problèmes. Malgré tout, je n'ai jamais été aussi en colère... Mon père qui rêvait de venir ici, pour changer de vie, c'était fichu. Après deux années à El Paso, j'avais enfin trouvé ma vocation : trouver un boulot stable, obtenir la nationalité américaine peut-être, et économiser afin que ma famille puisse me rejoindre. Mais maintenant c'était trop tard, et je n'avais plus envie de passer pour le gentil immigré prêt à se mêler à la population américaine.
Les mexicains, ça ne manque pas à New York. De toute manière, on trouve de tout : italien, chinois, français, russe... et c'est dans un gang que j'ai commencé à me démarquer. Je savais très bien ce que ça voulait dire : que l'illégalité allait devenir mon train train quotidien, que je devrais laisser mon humanité de côté. Mais cela étant, j'étais attiré par tout ce que j'allais obtenir. L'argent, le respect, le pouvoir... Je n'aurais pas pensé que je pourrais aller loin, très loin. Parce que oui, j'ai tué des gens, j'ai été sans pitié, j'ai volé, j'ai détruit la vie de certaines personnes, j'ai été si cruel qu'on pourrait me comparer aux plus grands tyrans du monde, ça ne m'étonnerait pas. Certains pensent aujourd'hui que je suis taré, que j'ai perdu la raison depuis longtemps, parce que oui, maintenant je suis impitoyable. Le chef de mon gang est mort il y a cinq ans, j'ai repris les rennes, parce que j'ai la carrure pour. Ils m'obéissent tous au doigt et à l’œil, je suis leur seul repère, et sans moi, ils ne sont rien. Quant à ceux qui sont sur ma liste rouge... je les attend de pied ferme. Mon rêve aujourd'hui ? Contrôler New York, en faire mon palais, et je ne laisserais rien ni personne se mettre en travers de mon chemin. »
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → CRANE ASYLUM, 21 ans. ★Comment es-tu arrivé ici ? → Je connaissais le forum depuis un bon bout de temps, et j'avais envie d'y venir... ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. ★Présence sur le forum → Trois jours par semaine, étant donné mon boulot. ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé. ★Crédit images → Avatar fait par moi-même.
Mon exemple de RolePlay:
→ Cette pièce empestait. Elle empestait la mort, la moisissure, le sang, l'urine, la merde, et la peur. Combien de personnes y avaient laissé au moins une partie de leur corps ici ? On ne les comptait plus, et surtout, on s'en fichait pas mal. La sale racaille de New York finissait souvent ici, à se tordre de douleur en implorant un Dieu auquel il n'avait jamais cru jusqu'alors. Tous ces voyous s'attendaient à une rédemption, le pardon du Seigneur, qui s'apitoyait probablement sur leurs sorts en ces heures sombres. Mais toutes ces croyances n'avaient jamais empêché le mal d'arriver. Parce que même le Tout Puissant est incapable de franchir les Portes de l'Enfer... Au beau milieu du Bronx, dans cette cave de cet immeuble misérable, une énième victime se tordait sur sa chaise, tentait en vain de se défaire du gaffeur qui lui liait les poignets et les chevilles. La chaise grinçait dangereusement, mais n'avait pas encore envie de céder, dommage pour le garçon. Il s'appelait Harry, et avait eu la fâcheuse idée de voler dix kilos de cocaïne au gang hispanique de la ville. Grave erreur, vu le sort qui l'attendait. La Mère Fatalité attendait patiemment pour frapper, et lui faire comprendre alors la stupidité de ses actes. Harry en était conscient, il avait peur. De la sueur perlait à grosses gouttes sur son front, et glissait sous le gaffeur qui l'empêchait d'ouvrir la bouche. Il n'avait plus la force de crier de toute manière, personne ne l'entendrait. Et alors que son rythme cardiaque reprenait peu à peu un tempo détendu, un bruit survint au-dessus de sa tête. Le moment était venu...
La porte de la cave s'ouvrit, et une lumière éclaira les escaliers et le mur du fond, reflétant une silhouette qui descendait lentement les marches, un téléphone dernier cri dans la main. L'appareil rugissait une musique déchaîné et rythmé, sur lequel la silhouette s'amusait à chantonner en sautant la dernière marche. Il n'adressa pas un regard à Harry, et se dirigea vers l'établi dans le coin opposé aux escaliers. Il y en avait des choses ici, des outils rouillés, mais qui avaient été utilisé récemment, on pouvait encore voir les croûtes de sang qui s'étaient formées sur les lames. Le tintement des scies, le bruit lourd des marteaux, le grincement de l'étau, chaque son était une véritable torture pour Harry, qui laissa échapper une larme, retenant un sanglot qui menaçait d'exploser au plus profond de lui.
« Tu connais cette chanson ? » demanda enfin l'homme face à l'établi, « Damian Marley. Tu sais, un des fils de Bob. Un putain de bon artiste, surtout ce morceau avec... merde... comment est-ce qu'il s'appelle déjà... »
Daniel se retourna pour faire face à Harry, un tournevis à la main, le poing collé contre son front et les yeux fermés, plongé dans une profonde concentration. Il avança d'un pas vers le captif en poussant un soupir d'agacement, jusqu'à ce qu'il ouvre les yeux et tende sa main vers Harry, qui eu un sursaut à ce simple geste de son agresseur.
« Tu sais, le type avec la moitié du crâne rasé, des cheveux de tarlouze et des piercings dégueulasse... » Il resta dans cette position, les sourcils haussés, attendant une réponse d'Harry qui ne savait pas comment réagir. Mais visiblement, Daniel attendait une réponse. Ce dernier se frappa le front avec la paume de sa main et ricana. « C'est vrai, tu ne peux pas parler. »
Il s'approcha d'Harry pour lui arracher le gaffeur d'un coup sec. Il scruta sa victime pendant un long moment, de haut en bas. Il sentait la peur chez lui, cette crainte qui le rongeait de l'intérieur, et ça lui plaisait. La poitrine de Daniel se gonfla, alors qu'il inspirait profondément, comme s'il pouvait inhaler l'effroi de son nouveau jouet, s'en imprégner et s'en délecter. Il ferma les yeux, une seconde ou deux, puis se pencha légèrement en avant, les mains appuyées sur les cuisses. Le tournevis était toujours dans sa main, il ne l'avait pas lâché, et Harry savait qu'il ne retournerait pas sur l'établi avant d'avoir fait quelques dégâts.
« Tu sais pourquoi tu es là pas vrai ? Mh ? » Daniel pencha la tête sur le côté pour capter le regard de son prisonnier. « Je ne sais pas si tu te rends compte de l'importance de tes actes... Tu as osé me voler, moi. C'est dingue quand même... Et s'il y a bien une chose que je ne supporte pas, c'est qu'on me manque de respect, tu comprends ça ? »
Harry leva les yeux vers le mexicain, et s'osa à parler, la voix tremblante. « Je suis désolé mec, j'ai fais une énorme connerie et je ne recommencerais plus, je te le... »
Ses derniers mots se transformèrent en hurlements déchirants, lorsque le tournevis s'enfonça dans sa cuisse, là où, un peu plus tôt, un type lui avait tiré une balle. Elle était toujours là, et l'outil touchait l'éclat en plomb, le faisait bouger dans la plaie. Elle frottait sa chair à vif, et du sang remonta à la surface de la plaie, comme un volcan en éruption, pour s'écouler sur son jean imprégné de crasse. La douleur était insupportable, et malgré les cris d'Harry, qui envoyaient un flot de décibels assourdissant, Daniel bronchait pas, ses yeux étaient toujours plantés sur le visage de sa victime, tandis qu'il allait chercher la balle perdue avec la pointe du tournevis, et la fit sortir de la cuisse du garçon dans un mouvement de levier. Elle atterrit sur le sol dans un cliquetis presque inaudible. Les hurlements s'étaient transformés en pleurs. La plaie était d'autant plus grave maintenant, bien plus béante et particulièrement laide. Daniel se redressa et fit quelques pas dans la pièce en essuyant l'outil avec un pan de son tee-shirt.
« Tu vois maintenant que je ne déconne pas avec ça. Tu m'as fait perdre beaucoup de fric, beaucoup trop de fric.Et s'il y a bien une chose que je déteste, c'est qu'on essaye de me baiser comme tu l'as fait. »
Il revint près de l'établi et y balança le tournevis. La séance était loin d'être terminée, Daniel avait l'intention de lui faire subir les pires souffrances, le voir pleurer et l'entendre supplier était une délectation dont il ne pouvait se passer. Il éprouvait toujours le même plaisir, cette sensation de puissance dont il était addictif. Et pourtant, pour cette fois-ci, il allait devoir laisser sa distraction de côté. Une voix l'appela à l'étage. Il leva les yeux vers le plafond, et poussa un soupir de déception en s'essuyant les mains sur son tee-shirt, avant de pointer Harry du doigt en souriant.
« Je ne serais pas long. Prends le temps de te calmer, ok ? »
Et sur ces mots, il laissa Harry pleurer et se vider de son sang, pour disparaître dans les escaliers et refermer la porte de la cave derrière lui.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks.
J'ai une petite précision à faire : la date de naissance et l'âge de Michael Mando sont introuvables. Je lui ai donné 28 ans, parce que je pense que l'acteur avoisine la trentaine...
Dernière édition par Daniel M. Reyes le Ven 3 Mai - 20:16, édité 5 fois
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Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 17:52
Bienvenue ici
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 17:52
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 18:00
Bienvenue parmi nouuus et j'espère que tu te plairas (à nouveau, si j'ai bien compris ) sur le forum
Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 19:33
Bienvenue
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Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 19:43
Bienvenue sur le forum! Il nous faudra un lien avec mon DC
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 20:19
Merci encore ! (: Pas de problème Camelia. =D
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Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 20:46
Woooow quelle fiche Ton personnage est très intéressant. Pour l'âge je l'ai cherché aussi avant de voir ton petit mot à la fin de ta fiche, et je trouve aussi qu'il fait la trentaine donc 28 ans ça me convient. Anyway, je te prévalide avec plaisir. Un admin passera t'ajouter à ton groupe rapidement. Un recensement est actuellement en cours, n'oublie pas de passer sur le sujet (dans la catégorie "annonces") une fois que tu seras validé et que tu auras posté un rp sur le forum (autrement ton recensement ne sera pas pris en compte). Bon jeu parmi nous.
Katerina M. Lehtonen
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▌INSCRIT LE : 15/04/2012
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Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 22:22
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Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday. Ven 3 Mai - 22:22
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Sujet: Re: DANIEL → and we will end your week just like a sunday.
DANIEL → and we will end your week just like a sunday.
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