Sujet: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Jeu 16 Mai - 22:37
FEAT. Emilia Clarke
Katherine-Jane Marley Holmes
24 ans → Née à Phoenix en Arizona (états-unis) le 21/12/1988 → Étudiante en troisième année de sexologie à la NYU ; mannequin → Célibataire (et aussi pure que la vierge Marie) → Bisexuelle (pas très bien défini) → Membre des Beauty Queens.
And who am I?
★ Quels sont tes caractéristiques ? katherine-jane marley holmes a toujours vécu sur la route, et a été élevée au sein d'un groupe de forains. ; ses parents sont un couple de deux femmes homosexuelles. katherine n'a jamais su laquelle des deux était sa mère biologique, à son grand damne. ni même qui était son père, par la même occasion. ; elle est toujours vierge... contre son gré. tout cela à un tel point qu'elle en devient obsédée par le fait de n'avoir jamais couché. ; elle joue du violon depuis ses cinq ans, et maîtrise parfaitement cet art. ; jane a quitté la fête foraine pour étudier que très tardivement, alors qu'elle était âgée de vingt-et-un ans. autrement, elle a toujours bénéficié de cours par correspondance. ; elle sait très bien jongler, mais connait également de nombreux tours de magie. ; katherine est complètement myope, et porte donc des lentilles : cependant, une fois le soir venu, ses yeux sont trop fatigués pour les supporter. ; n'ayant absolument pas été en contact avec les technologies modernes, elle peine à se servir correctement d'un ordinateur ou bien d'un portable. ; habituée à cela depuis son adolescence, elle fume des cigarettes roulées comme ont pu le faire ses mères. elle est d'ailleurs complètement accro. ; pendant très longtemps, elle a cru à la magie. ; katherine a un style vestimentaire très vintage, principalement dû à environnementale dans lequel elle a grandi. ; la foraine a appris l'art des Pickpocket dès son plus jeune âge. ; son modèle n'est autre que clair waldorf, symbole de la réussite pour elle.
★ Quel est le caractère de ton personnage? → Katherine-Jane est une personne coincée entre l'enfance et l'âge adulte, tourmentée par mélange antithétique de différentes réactions et façons de penser. Elle est une jeune femme perdue dans un monde qu'elle ne connait pas ; elle rêve de croquer la vie à pleines dents sans savoir comment faire et possède une vision erronée et utopique des choses. Ayant toujours vécu dans l'univers de sa fête foraine natale, sa vie a toujours été sur la route et entourée de cette très grande famille qui n'était pas réellement la sienne. La vie citadine et sédentaire est une notion qu'elle n'a pas encore acquise. Grande naïve persuadée de s'en sortir, elle part dans les excès avec chacun de ses actes, se basant principalement sur les idées reçues qu'elle peut avoir du monde extérieur. Elle ne connait rien de la vie et tombe dans tous les panneaux qu'il peut y avoir. Elle se croit indépendante et mature alors qu'au fond elle ne fait que se perdre un peu plus. Enfantine et décalée, sa vision des choses est généralement très loin des réalités. Ses réactions sont déplacées et peu communes, tandis que Katherine est également étrangement familière avec les personnes qu'elle ne connait presque pas. Elle pense qu'adopter un comportement de jeune femme assurée et confiante l'aidera à être à la tête de New York, qu'agir en véritable princesse en fera d'elle une. Cependant, elle en conserve pas moins un fort caractère, ce qui a réussi à la sauver. Elle est toujours là, après tout.
Well... It's my story...
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My little secret
★ Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Jilly, dix-neuf ans. ★ Comment es-tu arrivé(e) ici ? → On m'a kidnappé. ★ Ce personnage est-il un double compte ? → Vous souhaitez réellement que je disserte là-dessus pendant une heure ? Non, je ne pense pas. (a) ★ Présence sur le forum → 9357459073 jours sur 7. ★ Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
Salvador Davy and Skyler Mills.
You don't get to choose if you get hurt in this world... But you do have some say in who hurts you. ► J’avais l’impression de me perdre dans mon propre jeu, d’être entrainée dans une spirale interminable et dangereuse. Une sang-pure et un sang-de-bourbe. Cela ne devait pas arriver. Cela n’arriverait pas. Pourquoi donc avais-je ces frissons qui secouaient mon épiderme ? Pourquoi ressentais-je ce désir qui me rongeait chaque parcelle de la peau, chaque organe de mon corps ? Cela me rendait malade. Cette attirance me dégoutait, cet effet me donnait envie de vomir. Mais il était si bon. Si agréable. Si destructeur. Ce n’était pas pour rien que j’avais passé une grande partie de ma vie à l’éviter. Quelque part, j’avais eu de l’instinct, j’avais senti que cela ne me mènerait qu’à ma perte. Que malgré tous mes beaux principes, malgré mon sale caractère, il réussirait à m’entrainer dans les enfers. Lorsqu’il s’était rapproché de moi, quand son corps avait touché le mien, je n’avais eu qu’une envie ; qu’il parte loin de moi. Ma conscience avait eu raison de mes pulsions, ma raison avait encore été suffisamment forte pour réussir à me faire distinguer le bien du mal. Cependant, dès qu’il s’était éloigné, dès qu’il m’avait fui dans un ultime effort de ne pas commettre la plus grosse connerie de nos vies, le manque m’avait fait perdre l’esprit. Le manque m’obsédait. Le manque résidait dans chacune de mes cellules, criant pour le sentir près de moi à nouveau. Je m’étais donc avancée vers lui, menaçante, sortant mes crocs et mes griffes pour lui faire comprendre que j’étais dangereuse si je le voulais, pour lui faire comprendre que j’étais capable de lui faire du mal, le même mal dont il m’infligeait par sa simple présence. Je tentai de balayer l’attirance, de faire comme si rien de tout cela n’était réel. Je voulais faire comme s’il n’était qu’un simple sang-de-bourbe sans intérêt et qui me dégoutait au plus profond de moi. Mais cette attirance était inoubliable. Je ne réussissais pas à l’éviter. Je l’avais dans la peau. La seule chose à laquelle je pensais réellement, en pointant ma baguette contre son cou, était ce contact qui me rendait folle. « Vas-y, fais-moi mal. » me nargua-t-il. Il avait tout simplement souri en entendant mes menaces. D’un sourire presque charmeur. Le nom de Mills ne l’effrayait pas. D’un certain côté, je n’en étais même pas étonnée ; je savais qu’il connaissait mon frère. Mais savait-il que j’avais été son souffre-douleur durant toute notre enfance ? Que toutes les choses que j’avais bien pu voir étaient ce que mon frère m’avait infligé ? Non, j’en doutais. Cependant, j’avais accumulé cette colère durant des années. Une colère sur le point d’exploser, une colère qui me serait certainement incontrôlable. J’avais la folie des Mills dans les veines après tout. Ce n’était qu’une question de temps pour que je devienne comme toutes les personnes de ma famille. Il leva la main pour abaisser ma baguette, son regard toujours plongé dans le mien. Je n’opposai aucune résistance, me laissant faire, sachant pertinemment que si je tentai quelque chose cela ne servirait à rien. Ses bras m’attirèrent contre lui, alors que mon esprit me donnait l’alerte rouge. Non. Non. Non. Je ne pouvais pas le laisser faire. Il valait mieux que je m’enfuis, que je le plante là. Oui. Oui. Oui. Qu’il me prenne, là. Qu’il me déshabille, qu’il me viole, qu’il me prenne pour une simple poupée sans valeur. Mon conflit intérieur était bien trop puissant. Mes émotions étaient amplifiées, à un tel point que mes oreilles bourdonnaient, que les frissons me secouaient. Je n’eus pas le temps de prendre une décision. Ses lèvres avaient déjà attrapées les miennes, dans un baiser incendiaire. Je suivis tout simplement le mouvement. Je lui rendis son baiser, goutant au goût de sa langue, mélangeant mes lèvres aux siennes. Mon corps ne semblait plus me répondre ; il était entré en transe, à l’instant même où il s’était penché pour m’embrasser. Je me collai un peu plus à lui, passant mes mains innocemment sous sa chemise, me délectant du contact entre mes doigts et son torse. Il y avait quelque chose entre nous. Une étincelle. Un véritable incendie, destructeur, violent, mais qui nous attirait malgré tout. Je le voulais, là, tout de suite. Je le voulais tout entier, en moi, contre moi, plus longtemps qu’une simple nuit. Mais je ne pouvais pas. C’était mal. C’était malsain, prohibé. Lentement, j’attrapai sa lèvre inférieure entre mes dents, et le mordis. Doucement, puis de plus en plus fort, jusqu’à ce que je sente le goût de son sang sur ma langue. Je voulais me détacher de lui. Me défendre. Ma conscience me criait de m’enfuir, mais je ne réussissais pas à m’y résoudre. Je me détachai de lui, l’observant dans les yeux avec un air effronté. Je me mis sur la pointe des pieds pour m’avancer vers lui. « Tu vas regretter d’être venu au monde. » murmurai-je au creux de son oreille. « Le regretter si fort que tu vas finir par me supplier de t’achever. » … Mais pas tout de suite. Mon envie de vengeance se perdait dans mon désir, dans cette envie et dans ces pulsions qui secouaient mon bas-ventre. Il me rendait folle. Littéralement. Il réveillait en moi des sensations que j’avais oublié ; il faisait émerger dans l’intégralité de mon corps des frissons de désir qui me secouaient, encore et encore, appelant à en avoir plus, à le sentir contre moi, à assouvir ce besoin charnelle. Il était envoutant. Il était comme le diable, capable d’obtenir tout ce qu’il désire par un simple clignement de paupières. Mes mains, toujours contre son torse, finirent par descendre sur le haut de son pantalon, pour finalement le déboutonner et le faire tomber à ses chevilles. Mes doigts baladeurs voyagèrent le long de son survêtement, pour finalement caresser à travers le tissu son entre-jambe. Je cédais à l’envie, peu à peu. Je me cédais à lui. Lentement. J’avais envie de le tuer. J’avais envie de lui ouvrir le ventre et de le faire agoniser, ce putain de sang-de-bourbe qui osait me faire ressentir tout cela. J’avais envie de lui faire l’amour, encore et encore, de jouer à ce jeu du chat et de la souris jusqu’à l’épuisement. Mes envies étaient contradictoires. Je me savais condamnée, d’une certaine manière.
Dernière édition par Katherine-Jane M. Holmes le Jeu 23 Mai - 14:11, édité 4 fois
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Jeu 16 Mai - 22:37
The world is broken, halos fail to glisten. We try to make a difference but no one wants to listen. ► Je suis une fille d’ici et d’ailleurs. Une fille de nulle part mais surtout de partout. Je n’ai pas de maison, je n’ai pas de foyer. Je n’ai pas de chaines qui m’attachent à un endroit précis ; je suis libre comme le vent, libre comme la pluie, libre d’aller où je veux parce que rien ne me retient, où que ce soit. Mon domicile bouge, ne s’arrête jamais. Mon domicile est là où se trouve ma famille. Nous sommes des gens de la route, nous sommes des gens qui préférons voyager plutôt que de rester sédentaires et ne pas voir le monde. J’ai été marqué par cela dès ma naissance. J’ai poussé mon premier cri quelque part près de Phoenix. Quelque part près de Tucson. Sur mes papiers, cependant, il est spécifié que j’ai vu le jour dans cette première ville, parce que les personnes sont trop attachées à mettre des étiquettes et à se donner des repères. Cela n’a pas une grande importance pour moi, peu m’importe vraiment. La fatalité veut que je ne sache pas plus où j’ai pu bien naître, voire même de qui. Ma vie est basée sur ces incertitudes et cela me convient : je suis une fille de la route, après tout. Ma maison se trouve partout, tant que la fête foraine s’y trouve. J’ai grandi différemment, dans un cadre à part. Je n’ai pas eu un père mais des dizaines, je n’ai pas eu une mère mais beaucoup plus. Je n’ai pas la même conception de la famille que la plupart des autres personnes, tout simplement parce que là où je suis née, nous sommes tous une famille, peu importe d’où nous venons et les gènes qui se trouvent dans nos cellules. Pour moi, la famille est un lien bien au-delà du sang, bien au-delà de l’arbre généalogique. Une de mes deux mères ne l’est pas biologiquement, mais je m’en contre-fiche ; l’homme qui m’a appris à faire du vélo n’est pas mon père ni mon parrain, mais je n’en ai rien à faire. Je porte dans mon cœur chacune des personnes qui m’ont accompagné durant mon enfance, chacune des personnes qui avaient une caravane ou une tente dans la fête foraine. Je viens d’un autre monde et je le conçois ; j’ai voulu voir autre chose mais cela ne veut en aucun cas dire que j’ai des regrets. Bien au contraire. Je suis fière de mes origines, fière d’avoir ces principes qui valent de l’or à mes yeux. Au final, nous étions peut-être tous pauvres. Au final, nous étions peut-être que des gens de la route. Cependant, nous étions certainement bien plus heureux que la plupart des autres personnes. Nous étions une famille. Une très grande famille. Mon enfance s’est faite entre routes, spectacles de marionnettes, violon et soirées autour du feu. J’ai très vite appris des tours de magie, à monter mes propres petites affaires pour distraire le public. J’aimais cela. J’aimais danser sur une petite scène de fortune, j’aimais jouer pour voir les autres m’applaudir à la fin. J’aimais cette ambiance chaude et chaleureuse, j’aimais me rendre compte qu’au final, peu importe ce que les autres pouvaient bien dire de nous, nous apportions tout de même de la joie dans leur vie terne. Je n’ai jamais eu le temps de m’ennuyer. Je n’étais peut-être pas spécialement très proche de mes deux mères en particulier, mais je recevais tout l’amour dont j’avais besoin. J’avais des frères et sœurs de cœur, des enfants de mon âge qui apprenaient à vivre dans le même cadre que moi. Je suivais des cours par correspondance pour valider des diplômes au même rythme que les autres enfants de mon âge. Tout me semblait normal. A cette époque-là, je n’avais pas encore imaginé qu’autre chose était possible.
I don't want your money, I don't want your crown. See I've come to burn your kingdom down. ► En grandissant, j’ai également connue la crise d’adolescence, comme toutes les autres personnes de mon âge. Je rêvais de la vie citadine, je rêvais de ce que pouvaient bien vivre les gens de seize ans qui venaient à la fête foraine pour se divertir. Je commençais à me poser des questions sur qui était ma véritable mère parmi les deux que j’avais. Je commençais à me poser des questions sur ce qu’était la vraie vie, sur ce que cela pouvait bien être tous les jours. Je me sentais à part, comme autrefois, mais plus de la même manière ; je ne savais pas si mon mode de vie était sain ou non, je ne savais pas si c’était bien ou pas. Lorsque nous posions nos bagages près d’une grande ville, je passais du temps à me promener dans les rues, là-bas, observant tout autour de moi les personnes qui se pressaient. J’avais l’impression de voir tout un morceau de ma vie effacé par la fête foraine, par les cours par correspondance. Cependant, je continuais d’être heureuse, donc je me taisais. Je continuais de participer à la fête foraine de l’autre côté du rideau, je continuais à étudier le soir sur une chaise à l’extérieur, papotant avec les personnes qui croisaient mon chemin. J’eus mon diplôme avec deux ans de retard, alors que j’avais vingt ans. Mais tout le monde s’en fichait ; personne ne trouvait cela dramatique. C’était déjà très bien que je l’ai, pour eux. Cela faisait partie des choses accessoires, des choses inutiles. J’avais cumulé du retard non pas par manque d’intelligence, mais tout simplement parce que je n’avais jamais été très studieuse. Principalement parce que je travaillais en même temps pour la fête foraine et que parfois j’oubliais, d’ailleurs. De toute manière, je n’avais jamais pensé que cela me servirait vraiment. Je n’avais pas vu en ce bout de papier la possibilité de partir. Peu à peu, ma liberté m’étouffait. Et mes rêves avec. Je ne sais pas réellement comment j’ai fini par prendre ma décision, mais cela est arrivé ; l’année suivante, je commençais à évoquer l’idée d’aller à l’université, de poursuivre mes études. Je n’avais pas dit clairement que je souhaitais voir ce qu’était la vie en dehors de la fête foraine, préférant me cacher derrière des excuses. Etudier, avoir des diplômes, m’inscrire à la faculté. Ils acceptèrent mon choix, tout simplement parce que nous étions comme cela ; nous acceptions les autres, tels qu’ils étaient. Et puis, dans leurs esprits, j’allais revenir au bout de mes quatre ans d’études. Pour eux, cela ne serait que temporaire. Au bout de quelques mois, je fus prise à la New York University. Ce n’était pas la meilleure université des Etats-Unis mais je m’en fichais ; je voulais tout simplement partir, et la Grande Pomme m’attirait bien plus que toutes les autres villes. Je fis mes bagages, eus une fête d’au revoir ; et je m’en allai, en véritable conquérante, sans savoir à quoi m’attendre, sans savoir ce qu’il m’arriverait, avec mes idées fausses et mes idées d’optimistes. Les premiers mois furent durs, et je me renseignais du mieux possible en m’inspirant des séries télévisées ; bien vite, j’appris à jouer un rôle, à adopter des comportements pour être acceptée telle que j’étais. Je ne cachais à personne d’où je venais, parce que j'étais tout de même fière de mes origines. Mais j’avais compris que le monde ne fonctionnait pas comme dans ma petite fête foraine. Le monde était cruel. Mais j’avais le caractère pour y survivre.
Dernière édition par Katherine-Jane M. Holmes le Jeu 23 Mai - 13:36, édité 13 fois
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Jeu 16 Mai - 22:37
finalement ce post sert à rien, je le garde au cas où je referais l'histoire. (a)
Dernière édition par Katherine-Jane M. Holmes le Jeu 23 Mai - 13:10, édité 1 fois
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Jeu 16 Mai - 22:50
Rebienvenue J'allais te dire un truc sur ses fesses mais ça faisait relou
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 20:49
T'as craquée J'ai hâte de voir ton perso quoi
Spoiler:
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 20:51
emilia clarke rebienvenuue à la maison, quoi.
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 20:57
T'es tellement belle en Emilia!!! Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 21:07
ARIA. Je n'oublie pas ce que tu m'as dit concernant ma végétalienne.
Bref, Emilia est canon, et ce choix ne m'étonne absolument pas. Re-bienvenue sur le forum mi amor et bonne chance pour ta fiche.
Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 21:36
RIP Aria.
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 22:00
Bienvenue à ce nouveau personnage
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 22:20
Rebienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche En espérant qu'elle t'inspire plus qu'Aria (a)
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 22:28
re
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 22:45
Bienvenue
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Ven 17 Mai - 23:09
Ca sent l'invasion de DC, moi je dis Ton avatar
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Sam 18 Mai - 0:01
Iron K. Brightside a écrit:
Rebienvenue J'allais te dire un truc sur ses fesses mais ça faisait relou
NE DIS RIEN, sinon j'te kick wesh. ses fesses sont très biens, j'vois pas de quoi tu parles. merciiiii.
Dylan L. James-Cooper a écrit:
T'as craquée J'ai hâte de voir ton perso quoi
Spoiler:
oui j'ai craqué, je suis une faaaaaible . tu vas voir, c'est une cinglée, encore pire que les trois autres.
Spoiler:
Jonalynn S.E. Cohen a écrit:
emilia clarke rebienvenuue à la maison, quoi.
owi, c'est ma maisoooon. merci beaucoup naomiiiii.
Caleb A. Hemsworth a écrit:
T'es tellement belle en Emilia!!! Re-bienvenue parmi nous
et toi en max. et en amber et en jennifer et en josh et en holland t'es tout le temps belle quoi. merci beaucouuup.
Hope A. Roseberry a écrit:
ARIA. Je n'oublie pas ce que tu m'as dit concernant ma végétalienne.
Bref, Emilia est canon, et ce choix ne m'étonne absolument pas. Re-bienvenue sur le forum mi amor et bonne chance pour ta fiche.
n'oublie pas, tu verras. (a) emilia est tellement belle oui. un lien s'impose hein. merci beaucouuuup.
Tulisa A. Errington a écrit:
"bienvenue"
"merci", hein.
Mackenzie J. Howard a écrit:
RIP Aria.
eeeh ouais. bye bye en australie la aria.
Camelia A. Lombardi a écrit:
Bienvenue à ce nouveau personnage
merci beaucoup margaux. depuis le temps que je voulais la faire.
Lorella A. Garibaldi a écrit:
Rebienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche En espérant qu'elle t'inspire plus qu'Aria (a)
j'ai de grands projets pour ma katherine-jane, ça va être foufoufou. merci beaucoup ju.
Kristopher E. McCormac a écrit:
re
ça définit bien merciii.
Rubby A. Ramos a écrit:
Bienvenue
thanks sweetie.
Nathanaël H. Rousseau a écrit:
Ca sent l'invasion de DC, moi je dis Ton avatar
l'invasion ? je vois pas de quoi tu paaaaaarles. ouais elle est canon la emilia.
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Sam 18 Mai - 0:31
Waaah je l'avais pas reconnu sur les gifs jusqu'à ce que je vois le nom de la célébrité ! <3 Je la kiffe <3<3
Super choix re-bienvenue!
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Sam 18 Mai - 1:19
Bien sur qu'un lien s'impose. Oh et je te boude officiellement. ( ).
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Sam 18 Mai - 1:22
Katherine-Jane M. Holmes a écrit:
Camelia A. Lombardi a écrit:
Bienvenue à ce nouveau personnage
merci beaucoup margaux. depuis le temps que je voulais la faire.
tellement tu me kiffe tu t'es trompé pour Margot remarque useless i know (a)
sinon plus folle que les autres je demande à voir, parce que rien que Tom il en tient une sacrée couche
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Sujet: Re: (kjmh) + see, i've come to burn your kingdom down. Sam 18 Mai - 1:35
Tu m'avais prévenue du déménagement de Katherine mais je voulais pas y croire tant que je l'avais pas vu Re bienvenue donc si j'avais gardé Gemma on aurait pu se refaire un lien mais si Sheldon revient on fera quand même Best of luck !
Sebastian E. Black
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