Sujet: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:12
FEAT. Karen Gillan
Hazel Grace Highfield-Evans
25 ans → Née à Washington DC le 27/12/1987 → étudiante en médecine à Columbia et Mannequin célibataire → hétérosexuelle → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Elle est allergique aux fruits à coques ∞ Elle a une peau d’ivoire et des cheveux de feu ∞ Elle ne bronze pas et préfère donc préserver sa peau du soleil ∞ Ses cheveux peuvent paraitre rouges au soleil et on l’a souvent accusé de les teindre mais elle n’y touche pas. Elle les a longtemps détesté, puisque c'était un point commun de plus avec son père, alors qu'elle voulait tant ressembler à sa mère ∞ Elle se doit en tout temps de suivre la mode, de par son statut de mannequin mais préfère largement trainer en jogging et t shirt trop grand une fois chez elle ∞ Elle est grande et a de longs membres fins si bien qu’avec son visage enfantin, on la compare à une poupée articulée ∞ Elle n'écoute de la musique qu'au volume maximum ∞ Elle n'a jamais été amoureuse et même si elle l’était, elle ne l’admettra jamais ∞ Elle aime courir et c'est le seul sport qu'elle fait ∞ Elle a des yeux marron chocolat et francs, et des lèvres charnues ∞ Elle est bavarde mais au final ne vous dévoilera pas beaucoup de choses sur elle ∞ Elle dessine mais ne montre ses œuvres à personne ∞ Elle a un tatouage représentant le signe infini au creux du poignet gauche. Elle affirme que c’est pour se rappeler que la connerie humaine n’a pas de limite mais elle se souvient très bien se l’être fait pour ses 16 ans car elle voulait croire que tout était possible. ∞ Elle ne dit jamais non à la boisson mais ne touche pas à la drogue et ne fumera qu’occasionnellement ∞ Elle déteste regarder la télé ∞ Elle a une culture générale très étendue car elle a passé son enfance à lire ∞ Elle lit d'ailleurs toujours énormément mais a laissé tomber les livres d'histoire pour des romans de science-fiction et surtout ses bouquins de médecine ∞ Elle porte toujours du vernis sur ses pieds mais peu souvent sur ses mains ∞ Elle a rarement une minute à elle, entre ses cours, ses révisions, son boulot et le fait qu’elle adore sortir ∞ Elle a en permanence une photo de sa mère dans son portefeuille. Elle n’a cependant jamais eu le courage de retourner visiter sa tombe à Washington ∞ Sa ville natale lui manque, surtout en voyant qu’elle aurait beaucoup plus d’opportunités qu’à New York mais le fait qu’elle veuille à tout prix ne plus laisser les autres et notamment son passé influencer ses décisions la poussent à rester ∞ Elle ne pourrait d’ailleurs difficilement supporter de vivre trop loin de son frère
★Quel est le caractère de ton personnage? → Hazel, c’est avant tout de la colère. Colère d’une enfance bâclée, trop chargée en émotions et pas assez identique à celle que l’on voit dans les romans. Oui, Hazel aurait aimé grandir dans un cadre parfait, avec une famille idéale qui l’aime et un avenir radieux, déjà tout tracé. Mais ces plans furent balayés lorsque sa mère mourut et plus tard, lorsqu’elle fut brimée à l’école. Habituée à n’être privée de rien, vivre avec son père et son frère lui remit brusquement les pieds sur terre. Depuis, elle ne se fait plus d’illusion : la vie n’est pas un long fleuve tranquille et ne l’a certainement pas épargnée. Après une enfance mouvementée, cette crainte s’est confirmée lorsque le sort a décidé de s’acharner de nouveau sur elle, à intervalles irréguliers. Défaitiste, c’est ainsi qu’on pourrait la qualifier. Elle ne croit pas au prince charmant et aux histoires qui finissent bien. Elle se rend compte qu’elle a de la chance, qu’elle a grandi dans un environnement stable et aisé mais sait que cela pourrait changer du jour au lendemain. Elle peut par conséquent se montrer agressive assez rapidement et cela dure depuis sa plus tendre enfance puisqu’elle était considérée comme une véritable teigne par ses profs d’école maternelle. Sa colère s’est peu à peu transformée en amertume, qu’elle entreprend de canaliser par des coups bas et autres remarques venimeuses bien placées. Détestée par beaucoup, adorée par d’autres, Hazel maintient sa réputation grâce à la manipulation, domaine dans lequel elle excelle et dont elle n’hésite pas à se servir. Ses véritables amis se comptent sur les doigts d’une main et elle ne fait que se servir du reste de ses connaissances pour parvenir à ses fins. Elle est attirée par le jeu et pourra mener quelqu’un en bateau simplement pour son bon plaisir. C’est d’ailleurs ainsi qu’elle a failli se laisser tenter par l’idée d’un scandale dans toute sa famille en abandonnant ses études de médecine pour étudier la sexologie. Mais son ambition s’est mise en travers du chemin, ainsi que la réalité de la situation et elle poursuit dans cette voie en espérant un jour être une chirurgienne renommée. Habituée depuis son plus jeune âge à étudier d’arrache-pied, elle n’a cependant pas de mal à apprendre ses cours faisant pourtant des centaines de pages et n’a donc pas besoin d’y passer des heures. Ce n’est pas pour autant qu'elle n’est pas sujette au stress que ses examens réguliers représentent ainsi que l’idée d’échouer dans un domaine qui la passionne tant. Malgré la masse de travail que la médecine représente dans sa vie, Hazel a réussi à caser un boulot de mannequin dans son emploi du temps de ministre. Car derrière ses airs de princesse des glaces se cache quelqu’un qui se soucie véritablement de sa famille. Prendre du travail en plus n’était pas une lubie de sa part mais bel et bien un moyen d’alléger les frais que son père déboursait pour qu’elle puisse avoir la vie dont elle rêve. Jusque-là, cet arrangement fonctionne, même si le rêve est encore à des années lumières.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Laura, 19 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'étais déjà là avant, je me suis laissée supprimée par démotivation et puis j'ai craqué vous m'avez manqué ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope ★Présence sur le forum → 5/7 en ce moment mais sinon, beaucoup trop ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé mais sans Tom, il n'y aurait pas la moitié de ce perso ★Crédit images → Silver Lungs et Brain Damage
Mon exemple de RolePlay:
→ Hazel en était au point où si elle avalait un verre de plus, elle allait probablement régurgiter tous les macarons et autres pâtisseries, ainsi que son diner sur les chaussures d’Aria. C’était pour dire dans quel état elle était. Les quelques gorgées qu’elle avait bu sur le bar pour se donner du courage l’avait complétement achevée et ça s’était bien vu, puisqu’elle avait fini les quatre fers en l’air. Elle était à présent assise sur le trottoir après s’être fait virée par la sécurité, dans le froid, à attendre qu’Aria lui rapporte ses affaires. Elle pouvait rayer ‘‘faire un strip-tease en public’’ de sa liste de choses à faire avant de mourir. Enfin, un semblant de strip-tease. Un strip-tease très, très raté. C’est la tête dans les mains que sa meilleure amie la retrouva, échouée dans le caniveau telle une âme en peine. Elle put enfin renfiler sa veste et ses chaussures avant que l’australienne ne lui redemande un défi. Hazel sourit en lui disant qu’elle en redemandait, ce qui était vrai. Mais elle la comprenait, elle-même, malgré le fiasco de celui qu’elle venait de faire, elle avait hâte de savoir son prochain pari. Car elle ne voulait pas s’arrêter là, oh que non. Elle avait bien l’intention de continuer jusqu’au bout de la nuit. Alors quand Aria lui demanda si elles bougeaient dans une autre boite ou si elles tentaient la rue, elle opta pour la seconde solution, histoire de changer un peu. Faire que des défis en boite, ça devenait répétitif. Et puis le groupe qui fumait juste devant elles lui donnait tout un tas de possibilités. La rouquine réfléchit à toute allure et son esprit se perdit dans son imagination. Elle commença à déblatérer tout un tas de conneries comme quoi son amie allait devoir arracher un panneau et le vendre au groupe en question. A vrai dire, elle n’avait pas vraiment conscience de ce qu’elle disait, perdue dans ses idées à dormir debout. Trop tard, elle avait déjà tout dit et ça lui paraissait génial. « Mais… » fut tout ce que la pauvre Aria put dire, la rouquine l’entrainant déjà à sa suite dans la rue d’à côté. Elle ne lui donnait plus vraiment le choix mais que serait une soirée défis si elles refusaient les plus durs ? Hazel avait bien léché la joue d’un mec et fait un strip tease devant une foule, elle voulait se venger. Quoique, ceux qu’elle avait donné à l’australienne étaient pas mal non plus. Elle se mit à chercher frénétiquement un panneau qui avait l’air le plus mal en point possible et trouve sa cible au bout de deux minutes. Un panneau ‘‘One Way’’ tout rouillé qui tenait à peine au bout de ses boulons, ça serait easy. La rouquine fit signe à son amie de venir l’aider – ou plutôt elle lui hurla dessus de ramener ses fesses – et elles se mirent à tirer comme des démenées. Pas si easy que ça en fin de compte. Elles peinèrent de bonnes minutes avant que la rousse ne se retrouve une fois de plus par terre. Elle se releva néanmoins immédiatement en attrapant la main que son amie lui tendait et revint à la charge. « T’es vraiment pas douée honey. Alleeeez ne me dis pas que t’es déjà complètement défoncée, sinon t’es vraaaaaaaaiment une petite joueuse ! » se moqua-t-elle. Hazel lui fit une grimace, lui donnant plus raison qu’autre chose. « Moi ? Non, moi je suis toujouuurs, toujouuuuuurs d’attaque ! Et puis regarde qui parle, à rigoler comme une abrutie ! Maintenant, tais-toi et aide moi. » Elles reprirent leur tâche de plus belle et le panneau finit par se décrocher. Aria manqua de tomber et la rouquine s’apprêter à lui rire au nez mais elle se redressa et lui sourit, l’air de dire ‘‘je suis mieux que toi’’. Son amie lui fit une grimace pour toute réponse et l’aida à porter la chose devant la boite. Elle lui dit qu’elle la regardait, ce à quoi l’australienne répondit par un « admire » assuré. Hazel se plaça près de l’entrée de la boite, plus que prête à admirer. Elle allait se régaler, elle le sentait. Aria peina à amener le panneau devant le groupe. Il faut dire que toute seule, en talons, c’était pas évident. La rouquine gloussait d’avance. On jeta des regards étranges à l’australienne mais celle-ci continua à s’avancer vers eux avant de poser son ‘‘œuvre d’art’’ sous leur nez. « Bonyourrr, bonyourrr. » commença-t-elle avec un accent hyper crédible. Hazel manqua de s’étouffer. « Enfin yé ploutôt bonyoirrr mais dans mon pays on dit tout le temps bonyourrr vous veuyez. » C’était clair et net, son amie était aussi morte qu’elle. La rousse se tenait les côtes et eut presque un point de côté tellement elle riait, s’attirant également des regards du groupe d’imbéciles à qui la blonde faisait affaire. Elle essaya de se contrôler, tant bien que mal et regarda ce qu’il se passa ensuite. « Yé souis pôvrrre mes yenfants. Yé pas un sous pourrr manger. » disait celle qui était griffée des pieds à la tête. « C’est oune oeuvrrre d’arrrt, les p’tios. Trrrès cherrr dans le commerrrce. Yé vendrrre à vous pourrr dix doullars seulement. Pourrr manger. » Hazel allait devoir s’incliner, Aria la battait haut la main. Elle n’arrivait plus à contrôler ses rires et failli tomber par terre. Elle n’arrivait plus à tenir debout. Les réactions que provoquaient l’australienne étaient variées mais l’hilarité était assez général, puisqu’ils n’étaient en fin de compte pas si idiots et avait bien comprit qu’elle était obligée de le faire. Une pouffiasse cependant ne voulait rien entendre et vint la bousculer en lui disant de dégager. Aïe. Pas pour Aria mais pour la poufiasse en question. Elle allait très certainement le payer cher, surtout vu l’état d’ébriété de la jeune femme. Ca ne rata pas. « Elle me cherche la blondasse-là ? C’est à moi que tu dis dégage ? Tu t’es seulement vue, abrutie, avec ton short obscène qui te boudine ? Tu penses sincèrement que tu vas pouvoir avoir un coup d’un soir avec une gueule comme la tienne et ton air hautain alors que t’es la serveuse du bar miteux du coin ? » Exit l’accent roumain, elle ne rigolait plus. Et pour cause, elle ne tarda pas à se jeter à la gorge de la blondasse en question. La rouquine fit un pas en avant pour venir l’aider. Pourquoi pas après tout, elle n’allait pas laisser son amie se battre seule. Mais elle fut retenue par le bras et leva les yeux pour tomber nez à nez avec le même videur qui venait de la virer quelques minutes plus tôt. « T’es encore là toi ? grogna-t-il en la trainant derrière lui dans la direction d’Aria. Nononononon. Il l’aggrippa à son tour, la tirant de la baston. « Et elle, c’est ta copine je suppose ? » ajouta-t-il en les faisant ré-entrer dans la boite de force. « Vous savez que la trouble de l’ordre public est un délit ? » Hazel vit du coin de l’œil la blondasse qui rigolait, toujours dehors. Elle allait lui faire la peau. Mais en attendant, elle se retourna vers le videur. « Mais monsieur, c’est l’autre qui l’a provoquée, » se plaignit-elle, ayant l’air d’une gamine de cinq ans. C’est elle qui a commencé. « Arrêtes de gaspiller ta salive et tiens-toi tranquille pendant que j’appelle la police, » se contenta-t-il de répondre en se penchant vers le téléphone posé sur le comptoir. Il tenait toujours Hazel par le bras mais avait relâché l’australienne, confiant. « Vous allez finir la nuit en cellule de dégrisement. No way. La rouquine se pencha d’un coup et mordit la main qui la retenait aussi fort qu’elle put. Le videur hurla et la lâcha. Elle s’empressa d’attraper Aria et de foncer vers la sortie. Mais son talon cassa, manquant de la faire tomber à nouveau. Tant pis, elles étaient vieilles de toute manière. Elle marqua une brève pause, profitant que le videur hurlait toujours et n’avançait pas vite, coincé par les gens qui essayaient de rentrer et retira ses chaussures. Son amie eut la bonne idée de faire pareil. Elle se remit à courir, suivit par Aria. En passant à côté de la blondasse qui ne riait plus beaucoup, elle lui envoya les deux chaussures aussi fort qu’elle put en pleine figure. Malgré l’alcool ingurgité, elle ne manqua pas. La volonté faisait beaucoup de choses. Elle se remit à courir de plus belle, traçant, tirant Aria derrière elle, à présent toutes deux pieds nus. Elles allaient carrément plus vite, bien trop vite pour que les potes bourrés de la blondasse ne les rattrapent. Elle jeta un coup d’œil en arrière pour voir que celle-ci hurlait en se tenant le nez. Elle lui avait peut-être cassé. Tant mieux. Les deux jeunes femmes coururent pendant de longues minutes et s’arrêtèrent après avoir emprunté de nombreuses rues. Là, elles reprirent leur souffle et Hazel remarqua qu’en fin de compte, elles avaient courues dans la direction de son appartement. « Meilleure… soirée…. de toute… ma vie… » décréta-t-elle, ayant du mal à respirer. Elle avait été écourtée mais ça suffisait probablement pour ce soir. « Allez viens… on rentre avant de se faire vraiment arrêter. » Elle se redressa et tandis le bras à son amie. Elles repartirent et arrivèrent au bout de cinq minutes devant chez la rouquine. « Pas question que tu rentres chez toi dans cet état. » La montée des marches fut pénible mais l’ascenseur était en panne. Hazel arriva tant bien que mal à enfoncer la clé dans la serrure et ouvrir la porte, après avoir essayé de rentrer chez le voisin et guida son amie à l’intérieur par la main. Elles s’écroulèrent toutes deux sur le lit – double – de la rouquine, encore habillées et maquillées et s’endormirent aussitôt. La routine, quoi.
Dernière édition par Hazel G. Highfield-Evans le Mar 21 Mai - 18:06, édité 16 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:12
Well... It's my story...
HAZEL GRACE HIGHFIELD-EVANS
I ran away today, ran from the noise, ran away. Don't wanna go back to that place, but don't have no choice, no way. It ain't easy growin' up in World War III, never knowin' what love could be, well I
've seen. I don't want love to destroy me like it did my family.
That's the thing about pain. . . It demands to be felt ∞ Des visages graves, une pluie battante, un cimetière à faire froid dans le dos. Hazel aurait aimé que sa mère soit enterrée avec une cérémonie plus chaleureuse. Elle qui avait une telle joie de vivre aurait mérité de partir sur une note plus heureuse. Hazel est horrifiée d’avoir perdu le seul parent qu’elle n’ait jamais vraiment connu, bien sûr mais elle ne voulait simplement pas se souvenir d’elle de cette manière, comme d’un corps sans vie, reposant dans une prison de bois au fond d’un trou détrempé. Alors, lorsque le cercueil avait été mis en terre quelques jours plus tôt, tandis que toutes les personnes présentes faisaient preuve d’un calme exemplaire, la fillette avait fermé fort les yeux. Elle s’était concentrée sur le bruit de la pluie battant contre les parapluies au-dessus de sa tête, essayant de faire abstraction de la main qui enserrait la sienne. Main qui appartenait à un inconnu, qu’elle n’avait vu que peu de fois et qui se disait être son père. Elle ne pouvait s’imaginer vivre avec lui comme si de rien était et l’aimer autant qu’elle avait aimé sa mère, alors que celle-ci pourrirait six pieds sous terre. Sans parler de son frère jumeau, étranger lui aussi alors qu’il aurait apparemment dû être la personne la plus importante à ses yeux. Non, celle qui comptait le plus pour elle avait été ensevelie sous de la terre, derrière ses paupières closes. Hazel avait déglutit difficilement et sentit une larme venir se mêler à l’eau de pluie déjà présente sur ses joues. A présent, la fillette était assise dans la salle d’attente d’un cabinet de notaire, seulement quelques jours plus tard, en compagnie de Thomas. Elle ne comprenait pas bien ce qu’il se passait derrière la porte close ni pourquoi elle était là. Toujours était-il qu’elle n’avait rien à dire à ce frère qu’elle ne connaissait que peu. Du haut de ses six ans, elle avait toujours été une gamine turbulente et déterminée et il était souvent difficile de l’arrêter de parler. Mais à cet instant, aucun son ne sortait de sa bouche, alors elle se contentait de balancer ses pieds qui n’atteignaient évidemment pas le sol, de là où elle était assise. Le silence se fit très vite lourd, si bien qu’elle se décida à poser la question qui lui brulait les lèvres. « Tu crois que maman va revenir ? » Elle avait envie d’y croire. Elle ne savait pas encore très bien que la mort était quelque chose de définitif. Peut-être que c’était un malentendu. Peut-être qu’elle n’était partie que pour un temps. « Elle est morte non ? » La réponse déterminée de son frère ne l’aida pas à accepter la réalité des choses. « …Oui. » « Mon père m’a dit que les personnes sont pas vraiment mortes tant qu’on parle encore d’elles. » Hazel tourna ses yeux plein d’espoir vers son jumeau. Elle avait envie d’y croire, oh que oui. Savoir que sa maman ne mourrait jamais véritablement suffisait à défaire le nœud qui s’était formé dans sa gorge depuis l’annonce de sa mort. « Si tu veux on pourra parler d’elle souvent, comme ça elle mourra jamais. » « J’aimerais bien. » Elle avait prononcé ces mots avec un sourire, ne pouvant empêcher une larme de couler sur sa joue. Elle ne pouvait s’empêcher d’être émue face à des paroles si douces, dont elle n’aurait pas cru Tom capable. Elle l’essuya rapidement. Elle ne le connaissait pas suffisamment pour le laisser la voir dans un tel état de vulnérabilité. La fillette avait toujours pensé qu’elle était la seule affectée par la mort de sa mère. Après tout, c’était elle qui avait vécu avec pendant six ans, elle qui avait bénéficié de son amour, pas Tom. Elle était l’élément le plus stable dans la vie de la fillette et sans elle, elle avait l’impression qu’elle n’allait pas tenir. Assez vite, un silence pesant revint s’installer. La conversation pouvait être difficile à meubler lorsqu’on était âgé de six ans. Ce fut son frère qui repris la parole. « Tu aimes jouer aux voitures ? » « Non. Moi je joue aux poupées parce que je suis une fille. » Qu’est-ce qu’il croyait ? Elle avait grandi au milieu d’un nombre incalculable de poupées, toutes plus belles les unes que les autres. Elle n’avait pas souvent été en compagnie de garçons de son âge, à part à la maternelle mais savait bien que les voitures étaient faites exclusivement pour la gente masculine. Du moins, c’était ce qu’on lui avait toujours dit. Ils n’eurent pas le temps d’en dire plus que déjà la porte derrière laquelle leur famille s’était enfermée se réouvrait. Leur père, Enzo, vint immédiatement se placer en face d’eux, s’accroupissant à leur hauteur. « On va habiter tous les trois maintenant, vous en faites pas, tout va bien aller. On va être une famille. » « On a jamais été une famille, » répondit Hazel, réaliste. « Et bien, on peut toujours essayer. » « Moi je veux pas de famille, je veux ma maman ! » Sur ces mots, elle fonça dans les bras de ses grands-parents, ne pouvant retenir plus longtemps ses larmes. En ce qui la concernait, ils étaient la seule véritable famille qui lui restait.
You don't get to choose if you get hurt in this world...but you do have some say in who hurts you ∞ Retourner à New York après Boston avait été particulièrement pénible pour Hazel. Elle s’était au final pas si mal plu là-bas et aurait aimé continuer jusqu’à Washington une fois qu’il avait fallu rentrer. Non, décidemment, elle n’aimait pas la Grosse Pomme. La vie y était trop bruyante, trop pressante et tout était dix fois trop grand. Elle n’arrivait pas à s’y repérer. Elle avait passé une primaire plutôt calme, entrecoupée de l’année à Boston et n’était rentrée que récemment au collège. C’est partir de là que les choses avaient commencé à se gâter. Auparavant, elle n’aurait jamais pensé que ses cheveux puissent être un sujet de brimades, ne s’était jamais soucié plus que cela de la rousseur qui la caractérisait. Et pourtant, chacun des élèves de sa classe s’était appliqué à lui faire comprendre que non, être roux n’était pas quelque chose de normal. Que ça voulait dire qu’elle ne sentait pas bon, qu’elle n’avait pas d’âme et autres bêtises du genre. Elle avait fini par y croire, se mettant à détester par-dessus tout la couleur dont elle avait hérité. Ce qui l’enragea encore plus fut d’enfin constater qu’être rousse la rapprochait plus de son père et non de sa mère, comme elle l’aurait voulu. Oh que oui, elle l’a détestait, cette crinière, l’avait en horreur et ne pouvait plus supporter son reflet. Bien que les années avaient passé, Hazel avait toujours du mal avec sa famille. Elle n’arrivait pas à voir son père comme… son parent et son frère comme son jumeau. Elle n’arrivait à se convaincre qu’elle était supposée les aimer par-dessus tout et autant qu’elle avait aimé sa génitrice. C’est pourquoi un tube de teinture vide reposait désormais dans ses mains. Elle releva les yeux vers le miroir, observant la serviette qu’elle s’était enroulé autour de la tête, le temps que le produit agisse. Du haut de ses douze ans, elle n’avait jamais véritablement fait de connerie ou du moins, pas d’aussi conséquente. Elle ne préférait même pas penser à la réaction qu’aurait sa famille et surtout Enzo. Elle reporta son attention sur la boite qui gisait à terre et qui représentait une femme à la magnifique chevelure blonde. Blonds. C’était ainsi que sa mère avait toujours porté ses cheveux. C’est ainsi que peut-être elle parviendrait à lui ressembler encore plus. On le lui avait dit, elle était son portrait craché. Mis à part ses cheveux, ce détail pourtant gros comme une maison et qui semblait vouloir s’acharner à lui gâcher la vie. Ayant patienté le bon nombre de minutes, Hazel se dévêtit, enleva la serviette du dessus de sa tête sans jeter un seul coup d’œil au miroir et se plaça rapidement sous le jet d’eau chaude qu’elle venait d’allumer dans la douche. Elle entreprit de frotter comme une démenée son cuir chevelu, à grand renfort de shampooing, pour se débarrasser de tout le produit chimique. Une fois la tâche accomplie, elle s’essora les cheveux, se rhabilla et passa au séchoir. Elle n’osa pas regarder son reflet dans le miroir, pas tout de suite. Elle avait encore peur du résultat. Si l’effet n’était pas celui qu’elle attendait, elle s’était foutue dans un beau merdier. Enfin, Hazel constata que le moindre cheveu sur son crâne était parfaitement sec et, reposant le séchoir sur le lavabo, elle se plaça devant le miroir, anxieuse. Ses yeux bruns s’écarquillèrent sous le choc. Lentement, elle leva une main, passant les doigts dans ses cheveux de blé. Elle ressemblait vraiment à sa mère, ce n’était pas des mensonges. Mieux, elle ne s’était pas ratée et sa chevelure ondulait en captant la lumière, la rendant soyeuse et fascinante. La jeune fille resta un moment, plantée-là, à contempler son reflet, encore abasourdie par ce résultat au-dessus de ses espérances. Elle était tellement concentrée sur le sujet qu’elle n’entendit pas la porte derrière elle s’ouvrir. Ce ne fut que lorsque Tom parla qu’elle sursauta. « Oh putain… » « Tom… attends, » s’exclama-t-elle lamentablement en s’avançant vers la porte. Mais il était trop tard, son jumeau était déjà reparti dans l’autre sens, détalant comme un lapin. « Hazel est une blondasse ! » hurla-t-il avec un rire idiot. Elle avait cependant noté l’air déçu qu’il avait eu pendant un instant. Comme si elle l’avait trahi.
You can never love people as much as you can miss them ∞ Il n’y avait vraiment que lorsqu’elle retournait chaque été chez ses grands-parents en Californie qu’Hazel se sentait vraiment chez elle. Ce n’était pas Washington mais elle avait plus l’impression d’être à la maison que lorsqu’elle était dans leur appartement de New York. Ouvrant une paupière, elle jeta un œil à son jumeau étalé non loin, en plein soleil. Il n’était pas juste que lui puisse bronzer et qu’elle attrape immédiatement des coups de soleil. De plus, elle crevait de froid à l’ombre. Soupirant, la jeune fille se leva, ferma le parasol au-dessus de sa tête, avant de se laisser retomber sur le dos. Elle allait finir carbonisée à ce rythme. « Tom, tu peux me passer la crème solaire s’il te plait ? » demanda-t-elle sans ouvrir les yeux. Inutile de lui préciser qu’elle parlait de celle à 50. C’était la seule qui la protégeait totalement. Pour toute réponse, elle reçut le tube en pleine tête et se mit immédiatement à hurler. D’un bond, elle se leva et s’avança dans sa direction, le pointant du doigt avec un air qui se voulait menaçant. Il avait le don de pouvoir l’exaspérer en quelques secondes. « Et tu te trouves drôle Thomas Highfield-Evans ? » « Thomas James Highfield-Evans, s’il te plait. » « Toi, tu ne perds rien pour attendre. » « Baaah, viens ne chercher blondasse ! » Sur ces mots, il s’élança en courant vers le côté opposé de la piscine, cherchant visiblement à la fuir. La jeune fille ne tarda pas à le suivre, foulant le sol de ses longues jambes. Elle avait renouvelé sa teinture depuis la dernière fois, ses racines rouges commençant à paraître et ne demandant qu’à être de nouveau camouflées. Elle avait eu l’impression pendant quelque jours qu’avec ce roux, elle saignait du crâne. Les mèches vermeilles s’étaient mêlées aux blondes, traçant comme de longues estafilades sur sa chevelure. Son père ne s’était pas énervé lorsqu’il avait découvert qu’elle s’était teint les cheveux, l’année précédente. Il avait paru contrit mais ne l’avait pas forcée à aller chez le coiffeur pour retrouver sa couleur. Tom, quant à lui, s’était appliqué à la surnommer blondasse depuis la première minute où il l’avait découvert avec sa nouvelle tête. Hazel n’arrivait pas à déterminer s’il l’appelait ainsi parce qu’il était jaloux, parce qu’il voulait la faire culpabiliser d’avoir renié leur couleur à tous les deux ou simplement pour se moquer d’elle. Toujours était-il qu’elle détestait qu’il l’appelle ainsi, bien qu’elle se gardait bien de lui montrer. Avant qu’elle ne puisse le rattraper, le rouquin avait plongé à l’eau et elle fut arrosée allégrement, ce qui lui arracha un nouveau cri de fureur. Elle stoppa net, décrétant qu’il ne méritait pas qu’elle lui montre le moindre intérêt, alors que la voix de leur grand-mère résonnait dans toute la propriété. « Les enfants ? Venez manger de la tarte ! » Tom sortit de l’eau et elle entreprit de se sécher, faisant mine de le bouder et prenant tout son temps. Une fois qu’elle eut finit, elle enfila un t-shirt, tandis que son jumeau faisait de même. Il se planta face à elle, un air idiot et fier sur le visage. « J’aurais ma revanche, » le prévint-elle. « Et quand ça, blondie ? » « Maintenant. » D’un même geste, elle se précipita sur lui et le poussa à l’eau. Satisfaite, elle tourna les talons. « J’arrive mamie ! » Elle n’attendit même pas de voir si Tom la suivait ou comment il avait réagi et se dirigea vers la maison. Un sourire niais sur le visage, la jeune fille débarqua dans le salon et prit immédiatement une assiette, qu’elle tendit à sa grand-mère. Son jumeau ne tarda pas à la rejoindre, trempé de la tête aux pieds. Le spectacle était plus que satisfaisant et elle sourit de plus belle. « Hazel, laisse donc ce pauvre garçon tranquille. » « Je crois que c’est le genre de détail qu’elle oublie tout le temps. » Tom eut la délicatesse de s’assoir sur une chaise, tout trempé qu’il était. La blonde ne put s’empêcher de rouler des yeux, avant de s’assoir à son tour, patientant alors que sa grand-mère les servait. « Ah, vous deux, franchement, vous êtes bien originaux. » « Depuis toujours, mamie. Toujours ! » Elle sourit de toutes ses dents, croisant le regard de Tom. Peut-être qu’elle allait finir par s’y faire, à cette famille.
You spend your whole life stuck in the labyrinth, thinking about how you'll escape it one day ∞ « Mais il est où ce bouquin, bordel ? » Cela faisait bientôt une heure qu’Hazel faisait des allers-retours entre la chambre de son frère et la sienne. Elle était sur les nerfs et ça, toute la maisonnée l’avait bien remarqué. Agée à présent de dix-sept ans, elle se préparait au concours de médecine, concours qui allait déterminer le restant de sa vie. Elle ne voulait même pas imaginer ce qu’elle ferait en cas d’échec. Elle s’était inscrite dans d’autres universités, bien évidemment mais s’était dit que c’était plus pour la forme qu’autre chose. Elle ne pouvait tout simplement pas rater ce concours. Les années de solitude que lui avait procurée son expérience du collège lui avait permis de lire énormément et de tout. Elle avait parcouru tous les domaines imaginables, dévorant bouquins sur bouquins et parvenant à se faire une idée précise sur ce qui l’intéressait et ce qu’elle voulait faire de sa vie. De loin, ce fut la médecine qui la passionna le plus et elle se jura d’en faire son métier en devenant chirurgien. Echouer à l’entrée d’une école revenait à rompre cette promesse faite envers elle-même. Elle se devait à elle-même de réussir. Et à son père, aussi, qui avait déjà déboursé une somme importante uniquement pour qu’elle le passe, cet examen. Passé sa crise d’adolescence, elle avait lié un lien fort avec son père et son frère, seule famille qui lui restait. Elle avait même finit par laisser tomber la teinture blonde, à seize ans, pour retrouver ses mèches rousses. Elle avait passé le stade de mal être pour enfin parvenir à être fière de sa couleur de cheveux et Tom avait arrêté enfin de l’appeler blondie ou blondasse. Ce dernier la regardait d’un air exaspéré mettre à sac sa chambre. « Qu’est-ce qui te fait penser que je l’ai pas déjà perdu, moi, le livre de Bio ? » « Mais j’en sais rien moi ! Le mien est pas dans ma chambre et je désespère un peu, là, tu vois. » L’examen avait lieu dans plus d’un mois mais elle voulait être prête jusqu’au bout des ongles. De plus, il s’agissait de Columbia, l’une des meilleures universités du pays. En faire partie lui permettrait de bénéficier d’une éducation digne de celles que sa mère aurait pu lui donner. Cela lui permettrait surtout de partir de New York, d’avoir des offres d’emplois un peu partout. Elle ne s’était toujours pas habitué à cette ville et souhaitait la quitter coûte que coûte, que ce soit à Washington ou ailleurs. Fouillant dans le panier de linge sale de son frère, elle en extirpa le livre de biologie tant convoité. Elle se retourna vers Tom, tenant la chose du bout des doigts, un air passablement exaspéré sur le visage, l’air de dire ‘‘Tu te fous de ma gueule ?’’ Sans un mot, elle sortit de sa chambre, pour rejoindre la sienne et continuer ses révisions. Son lit était recouvert de livres et de notes, d’exercices d’entrainement et de son ordinateur, ouvert sur encore plus de cours. Elle l’aurait ce concours.
Something invisible snapped insider her, and that which had come together commenced to fall apart ∞ Hazel avait pensé être finalement heureuse. Elle avait effectué brillamment plus de la moitié de ses études en médecine, était passionnée par ce qu’elle faisait, s’était rendue compte que New York n’était pas si mal que cela et avait laissé son père s’installer seul avec sa nouvelle femme en Floride, traçant à présent son propre chemin. Oui, à vingt-cinq ans, Hazel avait enfin eu l’impression que son avenir était enfin clair, sans encombre. Certes, elle ne s’était pas améliorée avec l’âge, se comportant en véritable garce le plus clair de son temps mais elle avait tout de même mûri au fil du temps. Elle avait même casé un boulot de mannequin dans son emploi du temps déjà chargé depuis maintenant trois ans, afin d’aller les frais que son père avait à payer pour ses études. Il était marié à présent et avait une autre famille dont il devait d’occuper. Même s’il continuait de l’aider financièrement, elle était majeure et lui devait bien de se prendre en mains. Non, elle n’était pas la fille la plus adorable au monde mais elle savait se soucier de ceux qui comptait réellement pour elle et apparemment, elle était tout de même appréciée pour cela. Elle avait pensé être finalement heureuse. A présent, elle était à l’autre bout du monde, debout devant la tombe de sa meilleure amie, décédée quelques jours plus tôt, le visage ravagé par les larmes. Celles-ci, au lieu de se tarir au fil des jours, avait semblait s’intensifier. Oui, elle s’était soucié d’Aria par exemple, avait pesté, hurlé aux médecins de faire quelque chose lorsque le mot tumeur avait été prononcé. Elle l’avait regardé, rentrer en Australie pour bénéficier de soins près de sa famille, avait littéralement prié pour qu’elle aille mieux. Et cela n’avait servi strictement à rien. Le destin, cruel comme toujours, s’était une fois de plus acharné sur elle, sur sa pauvre personne. Elle aurait pensé qu’elle avait eu son lot d’émotions et de déceptions pour toute une vie mais c’était sans compter sur les desseins sinistres qui semblaient lui être destinés. A l’annonce du décès de l’une de personnes les plus importantes dans sa vie, Hazel avait cru mourir elle-même. Un trou béant s’était formé dans sa poitrine et ne semblait pas prêt à vouloir se refermer. Elle avait pris l’avion, à peine consciente de ce à quoi elle se rendait, pour assister à son enterrement sur sa terre natale. Bientôt, elle allait devoir rentrer à New York. La vie reprendrait son cours, la terre continuerait de tourner, comme s’il ne s’était rien passé. Mais Hazel, elle, n’était plus sure d’être la même.
Dernière édition par Hazel G. Highfield-Evans le Mer 22 Mai - 19:08, édité 17 fois
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:13
AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH JE T’AIME, FAIS-MOI DES BEBES dfjhskjfhsdkfskjdfhsd. (enfin non pas avec Tom ça serait weird, mais avec Heaven, Julia et Katherine-Jane ouioioui plein de bébés roux et c'est un ordre. #jesors) Je suis trop contente tu peux même pas imagineeeeer. Hinhinhin, je savais que tu finirais par revenir de toute façon. Mais Hazel sdkfhks. Roux.s dfishdfkjs. TON PSEUDO PUNAISE TU VEUX ME TUER AVOUE. Tfiooooooooooooos. Ton tiiiiiiiiiiiiiiiiitre. Enfin bref. Voilà. Je t'aime. Fais ta fiche sinon j'te fouette aussi.
Dernière édition par Tom Highfield-Evans le Lun 20 Mai - 22:18, édité 2 fois
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:15
LAURA! Welcome back!
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:15
Bon retour parmi nous
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:16
Re-bienvenue même si on se connait pas
Sebastian E. Black
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:16
Re-bienvenue donc
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:17
Re bienvenue
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:30
Lauraaa Re-bienvenue parmi nous Ca fait plaisir de te voir revenir Bon courage pour cette nouvelle fiche
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:33
Hazel G. Highfield-Evans a écrit:
OUI C'EST MOOOOOI
Genre je t'ai envoyé direct un mp, hein c'est vrai, dis que c'est vrai et que j'ai raison comme toujours et que tu m'aimes parce qu'on est fou tous les deux et voilà. Bon, je fais peur mais c'est à cause de Jilly, elle m'a contaminé.
Bref, t'es magnifique et tu reprends ton personnage, j'aime. Re-bienvenue à la maison et bonne chance pour ta fiche.
Dernière édition par Hope A. Roseberry le Lun 20 Mai - 22:36, édité 1 fois
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:36
Tom Highfield-Evans a écrit:
AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH JE T’AIME, FAIS-MOI DES BEBES dfjhskjfhsdkfskjdfhsd. (enfin non pas avec Tom ça serait weird, mais avec Heaven, Julia et Katherine-Jane ouioioui plein de bébés roux et c'est un ordre. #jesors)
C'est le job de Callie ça pour Tom & Heaven je suis pas d'accord les autres tu peux sans souci (a)
Bref, Re-Bienvenue On a besoin de la jumelle de Tom
Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:38
Laura ça fait plaisir de te revoir ici Puis avec une Highfield-Evans en plus
Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 22:45
Tom Highfield-Evans a écrit:
AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH JE T’AIME, FAIS-MOI DES BEBES dfjhskjfhsdkfskjdfhsd. (enfin non pas avec Tom ça serait weird, mais avec Heaven, Julia et Katherine-Jane ouioioui plein de bébés roux et c'est un ordre. #jesors) Je suis trop contente tu peux même pas imagineeeeer. Hinhinhin, je savais que tu finirais par revenir de toute façon. Mais Hazel sdkfhks. Roux.s dfishdfkjs. TON PSEUDO PUNAISE TU VEUX ME TUER AVOUE. Tfiooooooooooooos. Ton tiiiiiiiiiiiiiiiiitre. Enfin bref. Voilà. Je t'aime. Fais ta fiche sinon j'te fouette aussi.
JE T'AIME AUSSI et je te fais des bébés quand tu veux, avec tes meufs J'étais obligée de reprendre Hazel si je revenais, enfin ET OUI JE VEUX QUE TU MEURS MOUHAHAHAHA *crève aussi* Merciiiiii en tout cas et t'en fais pas je me mets à ma fiche dès ce soir
Solal J. Dubois-Gallagher a écrit:
LAURA! Welcome back!
Merciiii, contente d'être de retour
Camelia A. Lombardi a écrit:
Bon retour parmi nous
Merci Barbara
Aaron Dickens a écrit:
Re-bienvenue même si on se connait pas
Merciii t'en fais pas, on y remédiera
Eduardo Gil a écrit:
Re-bienvenue donc
Merciii
Rubby A. Ramos a écrit:
Re bienvenue
Merciiii damn, Emily aussi
Paige E. Wingston-Meyer a écrit:
Lauraaa Re-bienvenue parmi nous Ca fait plaisir de te voir revenir Bon courage pour cette nouvelle fiche
Ca me fait plaisir aussi d'être de retour merciii
Hope A. Roseberry a écrit:
Hazel G. Highfield-Evans a écrit:
OUI C'EST MOOOOOI
Genre je t'ai envoyé direct un mp, hein c'est vrai, dis que c'est vrai et que j'ai raison comme toujours et que tu m'aimes parce qu'on est fou tous les deux et voilà. Bon, je fais peur mais c'est à cause de Jilly, elle m'a contaminé.
Bref, t'es magnifique et tu reprends ton personnage, j'aime. Re-bienvenue à la maison et bonne chance pour ta fiche.
Ouais t'as agressé ma boite à mp, ouais t'es le plus mieux, ouais je t'aime, ouais on est trop fous et tout et tout Jilly elle contamine pas mal de gens merciiii
Dylan L. James-Cooper a écrit:
Tom Highfield-Evans a écrit:
AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH JE T’AIME, FAIS-MOI DES BEBES dfjhskjfhsdkfskjdfhsd. (enfin non pas avec Tom ça serait weird, mais avec Heaven, Julia et Katherine-Jane ouioioui plein de bébés roux et c'est un ordre. #jesors)
C'est le job de Callie ça pour Tom & Heaven je suis pas d'accord les autres tu peux sans souci (a)
Bref, Re-Bienvenue On a besoin de la jumelle de Tom
Bon courage pour ta fiche
*note: pas touche à Heaven* Merci
Tulisa A. Errington a écrit:
Laura ça fait plaisir de te revoir ici Puis avec une Highfield-Evans en plus
Bon courage pour ta fiche
Merci je me sens aimée
Dernière édition par Hazel G. Highfield-Evans le Lun 20 Mai - 23:12, édité 2 fois
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 23:00
Hazel G. Highfield-Evans a écrit:
*note: pas touche à Heaven* Merci
merci & je me devais de passer aussi avec Callie
Cheyenne L. Pearson
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Lun 20 Mai - 23:20
re-bienvenue à la maison
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Mar 21 Mai - 3:21
Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Mar 21 Mai - 6:55
MA HAZEL, MA LAURA. on fait des troupeaux d'enfants roux avec ta beauté de karen (avec ceux que tu dois à jilly, on va repeupler le forum d'enfants roux à nous trois ) bref, il nous faut un lien o-bli-gé (même si je n'ai plus mon farquarl, est-ce que tu m'pardonnes ? ). et ton pseudo, hazel grace. bref.
rebienvenuuuuuuuuue.
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Mar 21 Mai - 10:51
MA NAOMIIIIIII owiii nos bébés roux nous faudra un lien qui déchire touuuuut je te pardonne, t'en fais pas Merciii
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Mar 21 Mai - 11:39
Re-bienvenue
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Mar 21 Mai - 11:49
Rebienvenue parmi nous, si j'ai bien compris
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Mar 21 Mai - 12:02
rebienvenue alors !
Karen est tellement sublime ! Rousse, des belles jambes, un corps de rêve .. Oui je l'aime ! xD
Have fun !
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Mar 21 Mai - 13:01
Savannah L.-A. Walsh a écrit:
Re-bienvenue
Merciii
Nathanaël H. Rousseau a écrit:
Rebienvenue parmi nous, si j'ai bien compris
Tu as bien compris merci
Alexandra S. Bloomberg a écrit:
rebienvenue alors !
Karen est tellement sublime ! Rousse, des belles jambes, un corps de rêve .. Oui je l'aime ! xD
Have fun !
Billie, copiiiine Merci
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Mar 21 Mai - 13:10
Hazel G. Highfield-Evans a écrit:
Merci de repasser, presque belle-soeur
Oula oula ne nous emballons pas
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful Mar 21 Mai - 15:18
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Sujet: Re: hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful
hazel ∞ you gave me a forever within the numbered days and i am grateful