Sujet: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 17:27
FEAT. RICHARD MADDEN
Slade-Luke Eddard Snow
26 ans → Né à New-York le 18/06/1987 → Patron d'un bar célibataire → hétérosexuel → membre des ordinaries.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → je n'avouerais jamais que je vais mal. je préfère le garder pour moi, de tout garder en moi jusqu'à que ça explose d'un seul coup. ∞ mon corps est couvert de cicatrices. des cicatrices à cause de bagarre, à cause de blessures. ∞ je n'ai jamais été doué pour les discussions, je m''emporte très vite. ∞ je me trimbale toujours avec la veste de mon père sur le dos. ∞ je mange énormément. un vrai goulu. je peux avaler plusieurs hamburgers et je ne prends jamais un kilo. ∞ je ne supporte pas de me dire qu'un jour ma fille pourra souffrir à cause d'un garçon. je ne veux pas qu'elle subisse la même douleur que moi. seulement, ce n'est pas pour autant que je ne la laisse pas rêver au prince charmant. ∞ je suis un accro au café. j'en avale au moins deux litres par jour.
★Quel est le caractère de ton personnage?violent. + j'ai jamais cru pouvoir l'être un jour pourtant ça fait partit de moi maintenant. j'ai tendance à frapper et à ne pas faire dans la simplicité. seulement, ce n'est pas parce que j'aime le sang. non, c'est juste une manière de faire sortir tout ce que j'ai en moi. impulsif. + je fonce tout droit sans jamais réfléchir aux conséquences. si je le fais mais après coup. et la plupart du temps, ça n'amène jamais de bonnes choses. paternel. + ma fille est la prunelle de mes yeux donc oui je suis très proche d'elle. je suis un vrai papa poule qui aime s'occupe d'elle mais qui s'est aussi la remettre dans le droit chemin. ma fille est la femme de ma vie et ça sera toujours ainsi. protecteur. + quand quelqu'un tient pour moi, je suis très protecteur. même parfois trop. je suis comme ça, et ça ne risque pas de changer de si tôt. têtu. + c'est pas facile de me faire changer d'avis quand j'ai quelque chose en tête. je vais au bout des choses quoiqu'il arrive. hyperactif. + je ne tiens pas en place. je bouge sans cesse. je ne peux pas rester plus de quelques minutes assis. quand j'y suis obligé, je serais entrain de bouger ma jambe ou mes mains. franc. + quand je veux dire quelque chose, je le dis. je ne vais pas passer par quatre chemins. je le dis même si ça peut faire mal. selon moi, c'est mieux d'avoir la vérité toute de suite plutôt que des mensonges. doux. + j'ai beau paraître dur, à l'intérieur, je suis un gros nounours. un gros nounours qui peut se montrer très doux et très câlin.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Elodie. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → un groupe sur Facebook. ★Ce personnage est-il un double compte ? → non. ★Présence sur le forum → tous les jours normalement. ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé. ★Crédit images → bazzart.
Mon exemple de RolePlay:
→ j'avais cru que je restais près de l'endroit où on s'était fait attaquer, était la bonne chose. mais non. rien. pas de retour de mon frère et des enfants. après trois jours à tourner en rond espérant qu'ils reviennent sur leur pas et que je les retrouve, je n'en pouvais plus. pourtant, je n'avais pas eu le droit de flancher. j'étais partit dans la direction où je les avais vu partir. mais en marchant dans la forêt, je n'avais rien trouvé me permettant de trouver un indice sur leur chemin. j'avais erré tel un chien affamé, blafard, couvert de boue et une rage sans égale. je me rappelle vaguement avoir sauter sur un type le prenant pour un rôdeur. j'avais perdu les pédales en le plaquant contre un arbre, la lame de couteau sous son cou. mes yeux sans aucune humanité. je ne voulais qu'une chose les retrouver. l'homme avait bafouiller avoir vu un homme avec deux enfants. je lui avais crier dessus, j'avais planté la lame plus profond voulant une direction. il m'en avait donné une. de toute façon, j'aurais été capable de le tuer s'il n'avait rien dit. j'étais incontrôlable. instable. mieux ne valait même pas m'approcher. l'homme aurait pû finir une lame entre les deux yeux mais non. je l'avais laissé. un homme qui ne resterait pas longtemps en vie. trop faible. trop gentil. il finirait en zombie comme les trois quart de la planète. perdre ma fille avait été le problème de mon changement. quand elle était là, je savais me contrôler. je savais me comporter correctement et prendre le bon chemin. sans elle, je n'avais plus cette douceur, cette petite main qui me sert la mienne pour m'aider, m'encourager, me dire que ça va allait. quand le soleil disparait, la lune en prend la place et la nuit est beaucoup plus noir, beaucoup plus colérique et cruelle. j'ai marché encore et encore. jour et nuit. j'ai dormi quelques heures dans un espèce de trou. pas assez pour que ce soit en bonne forme mais assez pour que mes paupières ne se ferment pas toutes seules. et c'est là que j'ai débarqué dans cette petite ville. une aubaine. un endroit regorgeant de cachettes et de nourritures. un endroit où River aurait pû prendre place pour un petit moment. je l'espérais. je l'espérais du plus profond de mon âme. mon poignard à la main, je marchais calmement et sereinement dans les rues calmes et ordinaires. rien ne changeait vraiment. il y avait juste moins de bruits et plus de rôdeurs. mon corps se balançait de droite à gauche à cause du manque de nourriture. mon corps n'était pas le seul à me le faire voir, mon estomac criait famine. si je mangeais pas, j'allais mourir de faim. j'en avais pas le droit. pas avant d'avoir retrouver River, Matt et Juliette en vie. ou mort. je n'avais même pas envie de penser à cette solution. ils ne pouvaient être que vivant avec River avec eux. un policier hors paire. ils les protégeraient quoi qu'il arrive.
mon regard se porta sur l'enseigne d'un bâtiment. une petite superette. c'était le moment de trouver des réserves et de remplir son estomac. un rapide coup d'oeil aux alentours et je rentrais dans le magasin. la porte fut un bruit d''enfer, un bruit qui n'allait pas aller dans les oreilles d'un sourd. ah ça non, un rôdeur l'entendrait. je devais faire vite. surtout avec une seule sortie. je ne resterais pas plus de quelques minutes dans cet endroit. entre les allées, j'essaye de trouver quelques choses. il n'y avait pratiquement plus rien. je pourrais les trucs inutiles et fouillais dans les moindres coins. « Ne bouge pas ou tu te prends une flèche de mon arbalète en pleine tête. Lève tes mains en l'air. » je m'arrêtais net. comment j'avais fait pour ne pas entendre la porte ? la personne devait être déjà dans les parages. je fis glisser ma main tout doucement faire mon arme à la ceinture. je n'allais pas laisser une femme me réduire en charpie. si j'avais été plus à l'écoute, j'aurais reconnu la voix de cette femme que je connaissais, que je connaissais trop. elle me contourna et se retrouva en face de moi. « Jayden ?» je laissais ma main retomber contre mon corps au moment où je la reconnu. en même temps, il n'était pas difficile de reconnaitre la mère de Juliette, mon ex femme. elle n'avait pas changé à part ses tenues. il était rare de la voir dans une tenue aussi ordinaire. elle m'avait reconnue même avec la boue de mon visage, mon allure de combattant. on pouvait dire que je n'avais rien du type que j'étais avant la catastrophe. les larmes commencèrent à rouler sur ses joues. je comprenais pas vraiment pourquoi elle se mettait dans un état comme ça. c'était moi. rien que moi le mari qu'elle avait trompé avec mon meilleur ami. l'homme qu'elle n'avait jamais dû aimé pour faire un truc aussi épouvantable. il fallait bien que j'ouvre la bouche, que je dise que 'oui' c'était bien moi sous la couche de grasses. j'étais tout de même content de voir son visage et surtout contente de savoir que Juliette n'avait pas perdu sa mère. qu'elle allait être heureuse de la retrouver et de savoir qu'elle était en vie. Juliette. mon dieu, j'allais devoir lui dire que Juliette n'était plus avec moi, qu'elle était avec River et que je ne savais pas où elle était. « C'est bien moi. arrête de pleurer parce que j'ai l'impression d'être dans l'un de ses foutus films de science fiction et m'imaginer qu'on aura une belle fin. alors que non, on est dans un merdier pas possible et que des salopards vont surement nous attendre à la sortie. » les films se terminent toujours bien. tout le monde -pratiquement- retrouve sa vie. alors que nous non. on ne risque pas de voir de nouveau le soleil de manière ordinaire. on est dans un bordel jusqu'à la fin de nos jours.
Dernière édition par Slade-Luke E. Snow le Lun 3 Juin - 22:16, édité 16 fois
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 17:27
Well... It's my story...
J'avais quatre ans quand papa est mort. Papa était soldat dans l’armée américaine et c’est sur le terrain qu’il a perdu la vie. Je me rappellerais toujours, de ce jour-là. De ce jour où deux hommes vêtues en militaire, avait sonné à la maison et que je leur avais ouvert. Ils étaient impressionnants, et la peur m’avait prise. Maman. C’est à elle seule qu’ils voulaient parler. Parler était un grand mot puisque ce n’était pas un sujet de routine. Ça avait bouleversée maman. Moi, je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait contrairement à mon frère qui avait les yeux brillants prêt à pleurer. Je lui avais pris la main et je l’avais serré le plus fort possible. « Pourquoi maman est triste ? Pourquoi tu es triste ? » J’avais besoin de savoir, je voulais connaître ce qui se passait. J’étais le seul qui semblait ne rien voir. Je n’avais jamais vu mon grand frère dans un tel état. Ça devait être sérieux, très sérieux. Il me porta et me posa sur le bar du salon. Il me regarda droit dans les yeux en me caressant la joue. « Tu sais que papa est dans l’armée. Que son travail est dangereux. » Je fis un oui de la tête pour dire que je le savais. Maman ne cessait de le dire. Elle ne voulait jamais que papa parte. Elle disait tout le temps que c’était trop dangereux, qu’il avait des enfants… « Et bien, papa ne reviendra plus. » Je regardais mon frère d’une drôle de tête, ne comprenant pas pourquoi papa ne reviendrait plus. Il ne pouvait pas partir et nous laissait ainsi. Il nous aimait plus que tout. « Tu mens. Papa n’est pas partit. Maman a dit qu’il allait revenir dans pas longtemps. » dis-je en posant mes mains sur mes hanches. « Je suis désolé, Slade. Mais c’est impossible. Il ne reviendra pas. Cependant, il sera toujours ici. » Il posa sa main sur mon cœur. Les larmes se mirent à perler sur mes joues. Je ne pouvais pas croire à une telle chose. Papa était l’homme le plus fort, le meilleur. Il était mon héros. Il était celui qui me portait le plus haut possible, qui me poussait sur la balançoire, qui m’apprenait à me défendre. Non, il ne pouvait pas être mort. C’était impossible. Papa était bien plus fort que ça. Seulement, j’avais beau croire cela, je savais au plus profond de moi que je ne le reverrais plus.
Maman n’avait pas voulu que j’assiste à l’enterrement. Elle disait que je n’étais pas encore prêt, que je n’étais qu’un enfant. Cependant, elle avait cédé. Je ne voulais pas rester avec une baby-sitter. Je voulais lui dire une dernière fois au revoir. Je voulais pouvoir lui dire une dernière fois que je l’aimais plus que tout et que je l’aimerais à jamais. On était au cimetière tout le monde vêtu de noir. Je n’avais rien dit jusqu’à maintenant. Les mots ne venaient pas mais les larmes ne cessaient de couler. Puis avec ma rose rouge à la main, je m’étais avancé vers le trou. Je regardais ce cercueil noir. « Papa. Mon petit papa…. Le monde est cruel et encore plus pour moi. Je sais que ce n’est pas ma faute, ni celle de maman, ni celle de personne. Je veux que tu reviennes. Je veux que tu me sers dans tes bras, que tu me chatouilles, que tu m’apprennes à me battre, à jouer au football. Je veux entendre ta voix, ton rire. Je veux chanter des chansons dans ta voiture, sauter dans les flaques avec toi, nourrir les canards de l’étang, découvrir le monde avec toi. Mais je ne peux plus. Je t’aime papa et tu me manques déjà. » Je lançais la rose puis mes jambes se dérobèrent sous moi. Je pleurais encore et encore. Je ne pouvais vivre sans lui. Un papa c’est la chose la plus importante dans la vie d’un enfant et surtout dans la mienne.
La vie continue. Car elle ne s’arrête pas au moindre drame. Il n’aimerait pas me voir ainsi. Il détesterait ça même. Papa avait la joie de vivre. Jamais il n’était malheureux ou triste. Il ne cessait de sourire et de mordre la vie à pleine dent. Alors pour lui, je dois continuer de vivre. Je dois réaliser mes rêves. Mais je le garde constamment avec moi. Je sais qu’il est là tout près de moi, qui veille sur moi comme un ange gardien….
Je ne parlais pas. Je dois dire qu'on prend une claque quand vous découvrez votre femme entrain d'embrasser à pleine bouche votre meilleur ami. On devait passer une soirée tranquille tous les deux et s'amuser puisqu'on avait laisser Juliette chez mes parents. mais non, il avait fallut qu'elle gâche tout. je n'en revenais pas et tapais violemment sur le volant. Je pouvais pas rester une minute de plus avec toute cette colère sur moi. J'ai beau être calme quand je pète un câble, je pète un câble. Je tourne sur le bas côté, freine violemment en sortant de la voiture. Je tape sur le capot et la regarde sortir. Je n'ai même plus envie de l'appeler ma femme. Elle fait un pas vers moi mais je recule avec un geste de la main. Je ne veux pas de sa tendresse pas après avoir découvrir tout ça. « Je n'arrive pas à comprendre pourquoi tu as fait ça. en plus avec lui. mais putain, il est marié et c'est mon meilleur ami.» Je tape à nouveau sur le capot mais cette fois plus fort, elle sursaute. Elle a de quoi parce qu'elle risque de voir la mauvaise facette de moi. Celle que je garde cachée parce que je sais qu'elle peut faire fuir, qu'elle peut faire peur. Le plus dur est de se rendre compte que la femme que vous avez épousé, ne vous aime pas vraiment. En fin de compte, moi qui pensait ne pas être assez amoureux, pas autant qu'elle, je me trompais bien. « Slade, je peux t'expliquer.» Alors ce n'était pas la phrase qu'il fallait sortir. Il n'y avait rien à expliquer. Qu'est-ce qu'elle pouvait dire de réconfortant en s'envoyant en l'air derrière mon dos. « Il n'y a rien à expliquer du tout. Tout est claire. Tu te tapes un homme marié. Et surtout tu me mentais chaque soir me disant que tu travaillais. C'était faux. Tu le voyais alors tu aurais dû être auprès de ta fille qui voulait que tu lui racontes une histoire. » Je souffrais mais je n'allais pas être la personne qui souffre le plus. Juliette allait être au milieu de nous deux. Je n'avais pas envie de passer à côté de ça, pas envie de lui pardonner parce que l'infidélité a toujours été ce que je déteste le plus. demain, je trouverais un avocat et divorcerait. « Je suis désolé. Je suis désolé. On peut arranger ça, reprendre sur de bonnes bases.» Elle essayait d'arranger les choses connaissant mes principes. Des principes que je ne changerais pour rien au monde. Je pouvais pardonner des choses, mais pas ça. Si elle l'avait fait une fois, elle recommencerait encore. Et ça sera un cercle vicieux si je lui pardonnais à chaque fois. Je serais malheureux et j'en souffrirais alors autant tout arrêtait maintenant. Il fallait qu'on puisse être encore en bon terme pour Juliette. « Je ne te crois plus. Je n'ai pas envie d'être trahit une nouvelle fois. C'est fini. Toi et moi, c'est fini. Demain, je trouve un avocat et je divorce. Je ferais tout pour avoir la garde de Juliette parce que tu es incapable d'être une bonne mère pour elle. » La colère me faisait peut-être dire d'affreuse chose mais ce n'était pas moi qui n'était pas là pour notre fille de cinq ans. J'arrivais à m'occuper du bar et d'elle en même temps. Je faisais le nécessaire pour faire passer ma fille avant le reste, parce que c'est ma raison de vivre, mon rayon de soleil. Et en fin de compte, la seule femme que j'aime. « Non, Slade. je t'aime. Tu peux pas faire ça sans essayer d'arranger les choses. » Elle arriva à coller sa tête contre ma poitrine. Je posais mes mains sur ses épaules la regardant droit dans les yeux. « Il n'y a rien à arranger. Et je ne changerais pas d'avis. » Je la fis reculer pour remonter de nouveau dans la voiture. On rentrait à la maison où je passais la nuit sur le canapé du salon. Le lendemain, je m'installais dans l'appartement au-dessus du bar.
C'est pas facile de se retrouver tout seul dans un appartement avec sa fille. Je sais bien que je le faisais déjà pratiquement quand j'habitais avec ma femme dans une immense maison. C'est différent là. Le plus dur, je pense, ça était de signer les papiers du divorce. Je pensais que ça ne me ferait rien mais ça était une chose douloureuse et aussi une promesse de plus de laisser n'importe qui rentrer dans ma vie. Je ne veux pas tomber amoureux. Je ne veux pas parce que je sais que ça finira mal. Je préfère profiter de la vie et puis peut-être qui sais, un jour je rencontrais une femme qui me fait changer d'avis et qui me transforme. Il faut tout de même garder un peu de rêves surtout lorsqu'on a une petite fille. On est un soir de semaine, le bar est plutôt calme. Même s'il n'est pas vide. Juliette dort tranquillement à l'étage et c'est que quand c'est le cas, que je peux sentir serein et faire mon boulot sans avoir peur qu'il lui arrive quelque chose à l'étage. Derrière le comptoir, je passe un coup de chiffon. La porte s'ouvre sur une demoiselle. Une demoiselle avec un sourire malicieux sur le visage, un sourire qui me rappelle quelqu'un. Je ne peux pas dire quoi, je ne peux pas dire d'où je me rappelle tout ça. Et puis, ça fait un tilt dans mon petit cerveau. On était des gamins. On ne s'aimait pas beaucoup. On se battait souvent ensemble. Même tout le temps. Je ne sais pas si elle allait se souvenir de moi et si elle était la même personne. Si elle était cette bagarreuse. Cependant, il avait bien une chose qui avait changé, c'est qu'elle avait grandit et qu'elle était devenue une belle femme. « Je peux vous servir quelque chose ? » lui demandais-je en la regardant et en balançant mon torchon sur mon épaule. Elle s'installa sur un tabouret et me regarda pendant de longues secondes. Elle m'étudiait et je sentais ce regard sur moi. Je ne sais pas ce qu'elle se demandait, ce qu'elle cherchait. Mes deux mains sur le comptoir, j'attendais. Je déviais mon regard pour ne pas me fondre dans son regard et ne pas ressembler au premier idiot. Je devais dire que j'étais surpris de la voir ici, de revoir une personne de son passé, une personne qu'on a connu il y a longtemps. « Tu pensais que je te reconnaitrais pas, Slade. Tu as toujours la même frimousse. Cependant, je n'aurais pas cru que tu aurais pû être aussi craquant. » Toujours la même, toujours la même franchise. Ce petit bout de femme qui n'a pas froid aux yeux. Elle semblait pensé que j'étais toujours le même. Le petit gamin timide et solitaire qui traînait toujours dans son coin, le gamin qu'on prenait pour se moquer, le gamin faible qu'on aime torturer. Je ne faisais rien, je laissais faire. Mais tout à changer à la mort de mon père. Je me suis rendu compte que je n'étais pas à la hauteur de l'homme que je voyais comme un héros. Qu'il n'aurait pas été fier de moi s'il m'avait vu aussi lamentable. Alors j'ai grandis, j'ai changé, mes complexes se sont envolés et je me suis rendu compte que j'étais bien plus fort que je le pensais. « Je pourrais dire la même chose avec ton sourire malicieux. » Elle posa ses deux mains sur le comptoir et avança son visage du mien. Elle me regarda droit dans les yeux en se mordant la lèvre inférieur. « Tu sais que je pourrais te croquer. » Elle était directe et on ne pouvait pas dire le contraire. Je devais dire que ça ne me gênerait pas de partager une partie de jambe en l'air avec elle. Mais jamais, je ne lui ferais ce plaisir de la laisser mener la danse ou de céder à une demoiselle comme ça. « Tu n'es pas la première à me le dire. » Je jouais. J'étais confiant maintenant. Je pouvais user de mes charmes devant les femmes. Quand on a été marié, on se rend compte que l'amour est difficile et que trop donner son cœur fait mal. C'est ainsi que je passe des nuits avec les femmes mais que je ne passe pas plus d'une nuit. Un moment puis j'oublis. Dans ma tête, je le fais pour Juliette, pour ne pas lui présenter des tonnes de femmes qui ne sont pas à la hauteur. « Monsieur joue de ses charmes. Je ne peux pas croire que je te trouve ici dans ce bar. Maintenant, j'aurais une bonne raison de venir ici. » Alors c'était la première fois qu'elle venait ici apparemment. Avec ça, je voyais bien qu'elle essayait de me charmer. On ne me charme pas si facilement, je ne craque pas si facilement plutôt. « Pas la peine de jouer au charmeuse. » Elle se mit à rire. Je servais un monsieur qui attendait un petit moment sans que personne ne le serve. Je laissais la jeune femme quelques minutes seule puis je revins. « Je ne dirais pas non à une partie de jambes en l'air dans les toilettes. Ça te va comme ça, c'est plus directe ? » Un tempérament de feu. un tempérament qui me plaisait beaucoup. Elle savait ce qu'elle voulait, elle savait sur quel pied dansait. Je lui fis un sourire et ne disait rien de plus. Elle quitta le bar sans pour autant ne pas me faire un petit clin d'oeil en partant.
Dernière édition par Slade-Luke E. Snow le Mar 4 Juin - 1:23, édité 11 fois
Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 18:08
welcome !
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 18:08
Bienvenue. Je t'aime déjà
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 18:33
Il est beau lui. + le pseudo, i like it. Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 18:46
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 18:48
Juste à lire le pseudo et voir le vava, on peut deviner que t'es un fan de GOT
Bienvenue parmi nous!
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 18:58
Bienvenue! =)
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 19:04
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 19:36
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH RICHARD MADDEEEEEEEEN. aujourd'hui en plus punaise. (J'm'en vais me noyer dans mes larmes, adieu.) excellent choix d'avatar. sdifhdkfjsfhjk. bienvenue
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 19:54
Bienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 20:33
Bienvenue et bonne chance pour l'écriture de ta fiche.
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 21:56
merci. et oui, Solal, j'adore GOT. Julia, viens que je te console
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 23:03
Bienvenue
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 23:04
merci.
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 23:12
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 23:14
merci.
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 23:15
bienvenue
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want. Lun 3 Juin - 23:20
Slade-Luke E. Snow a écrit:
Julia, viens que je te console
awww. avec plaisir.
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Sujet: Re: (slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want.
(slade-l.) I wish you’d shut your piehole, but we don’t always get what we want.