Sujet: ❝ She comes in colors ev'rywhere ❞ (chelsea) Dim 2 Juin - 22:46
FEAT. NOM DE L'AVATAR
Chelsea Madison Brooks
23 ans → Né(e) à Hastings le 17/11/1989 → Etudes de Journalisme et Stagiaire au NY Times célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Répondre ici à la question ci-dessus ... Parlez ici de tout ce qui différencie votre personnage. S'il a des tatouages, des allergies, des piercings, une mimique particulière, tout ce qui selon vous le rend différent. Vous pouvez également parler de son physique, ses habitudes vestimentaires, bref tout ce qui le caractérise, tout simplement. Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla
★Quel est le caractère de ton personnage? → Chelsea est la première d'une famille de trois enfants, ce qui a contribué au côté responsable de son caractère. Très proche de ses parents et ses frères et sœurs malgré la distance qui les séparent, pour elle la famille c'est le plus important. Elle n'aime pas qu'on la complimente, et encore moins s'épiloguer sur sa personne. N'aime pas son prénom, on n'a pas besoin de la connaitre énormément pour savoir qu'il vaut mieux l'appeler Madison (son deuxième prénom). Du haut de ses vingt-trois ans, Chelsea profite de la vie au maximum. Elle est toujours souriante et n'est pas du genre à râler, même quand ça va mal. Elle est sérieuse et rigoureuse dans son travail, et aime ce qu'elle fait au point qu'elle pourrait en parler des heures si on la lance sur le sujets. Plutôt naïve même si elle aime penser le contraire, elle a encore l'âme d'une petite fille qui croit au prince charmant. Elle se bat pour l'écologie, et voudrait d'ailleurs orienter sa carrière de journaliste là-dedans. Pour l'instant elle n'a personne dans sa vie mais elle aime imaginer qu'un gars finira par croiser son chemin. Elle voudrait une vraie histoire, une histoire qui te retourne le coeur et qui te coupe le souffle.
Well... It's my story...
Je m'appelle Chelsea Madison Brooks. Mais tout le monde m'appelle Madie. Je suis née en 1989 dans une ville du sud de l'Angleterre, Hastings. Sans doute le meilleur endroit en ce monde à mes yeux. Du moins pour s'épanouir en tant qu'enfant. J'ai vécu toute mon enfance là-bas. J'avais une famille très soudée. Bien que mes parents ne roulaient pas sur l'or mon frère, ma sœur et moi-même étions traités comme des roi. Les jours n'étaient pas tous les jours faciles, certes, entre les factures à payer, les taches ménagères à faire pour ne pas trop fatiguer papa et maman, j'avais souvent de grosses journées. Mais j'ai eu une enfance parfaite à mes yeux. Je suis allée à l'école de mon quartier. A mes sept ans mes parents m'offrirent mon premier journal intime et je me découvris une passion pour l'écriture. Bon à cet âge là je n'écrivais pas grand chose de très intéressant, mais au fil des années, mes phrases devenaient plus longues, plus ponctuées, et avaient plus de sens les unes avec les autres. Ma chambre avait vue sur la plage et j'aimais particulièrement écrire, avec un fond de rock et la vue sur la mer. C'est dans doute cette image qui me vient en premier quand je repense à mon enfance. La musique, l'écriture et ma famille, c'est sans doute une vision utopique, mais c'était comme ça que je voyais la vie. Nos parents nous avaient appris à moi et mes frères et soeurs de toujours voir le bon côté des choses. Ils avaient eux-même été élevés pendant l'après-guerre, avec des parents plutôt vieux jeu. Ils n'ignoraient pas comment avait été la vie pour ceux qui avaient vécu la guerre, et nous avaient expliqué que même si la vie n'était pas toujours belle, que tout n'était pas toujours juste, il y avait tout de même pire. Relativiser. C'était sans doute l'un de leurs mots favoris.
Madison, Je sais que lorsque tu liras cette lettre, tu m'en voudras surement pour toujours. Je sais qu'en t'écrivant cette lettre, je romps ma promesse de ne jamais t'abandonner. Mais je n'ai pas d'autre choix. Je ne peux pas faire autrement. Tu es surement la femme de ma vie, et je t'oublierai jamais. Je n'oublierai jamais le jour de notre rencontre. Je n'oublierai jamais ton rire, ton parfum, et le moindre détails qui fait de toi ce que tu es. J'étais partit à Hastings pour trouver mon chemin, et j'ai trouver bien plus. Toi. Je n'aurai jamais cru que quelqu'un pourrait me changer à ce point. Tu as été comme ma bonne étoile, ma meilleure amie, et si seulement j'y croyais, je dirai mon âme soeur. Mais nous ne pouvons plus continuer ainsi. Crois-moi si j'écoutais le Eliott égoiste que je suis, je ne prendrais pas une telle décision. Mais la différence est que je t'aime Mad', et que je ne peux plus ne réfléchir que pour ma petite personne. Je t'empêches d'atteindre les buts que tu t'ai fixé, et je penses que si l'on continue comme ça, ma culpabilité me tuera avant l'heure. Sache que je fais uniquement ce choix pour toi. Je préfère sacrifier notre histoire plutôt que de te sacrifier toi. Ça fait plusieurs fois qu'on se dispute à se sujet. Tu veux partir à New-York, et je le comprends même si ça me tue de l'accepter. C'est ce qu'il y a de mieux pour toi, et je le sais. Je repars pour les Cornouailles cet après-midi. Je retourne dans ma petite campagne, auprès de ma famille. Je sais que hormis ta famille, j'étais la seule personne qui te retenait ici. Je ne veux pas que tu partes avec des remords. Alors je pars avant que tu te mettes à douter de ta décision. Tu es une fille bien, et ça n'est en rien égoïste de ta part de vouloir partir. Tu va leur en mettre plein la vue à ces américains ! Et tu trouveras quelqu'un pour prendre soin de toi, même si tu es tout à fait capable de le faire toute seule. La preuve, tu arrivais à prendre de soin de toi et de moi à la fois. Ne m'en veux pas de ne pas être resté te dire au revoir. Comprends-moi, ça aurait été trop dur. Je t'aime.
Eliott
Lui, c'est Eliott. Je l'ai rencontré pendant mes vacances entre deux années de lycée. Il venait des Cornouailles, région du sud-ouest de la Grande-Bretagne. Il était venu à Hastings pour trouver du travail et surtout pour fuir sa famille. Nous nous étions rencontré un soir lors d'une fête sur la plage. Ses yeux marrons m'avaient fixés quelques instants. Mes joues avaient alors rougies. T'es pas le genre de fille qui doit lui plaire. M'étais-je dis en regardant le bout de l'horizon. Mais alors que je retournai la tête pour affronter à nouveau son regard, il avait disparu. Un léger sourire. Ce n'est que le lendemain que je fis ça connaissance. Il travaillait au garage où allait mon père pour prendre de l'essence. Il m'avait alors offert un verre. Puis nous nous étions revus quelques jours plus tard, puis tous les jours d'après.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Alix. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → by Bazzart ★Ce personnage est-il un double compte ? → non. ★Présence sur le forum → je dirais régulière, peut-être pas tous les jours mais presque. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario. ★Crédit images → avatar moi-même.
Mon exemple de RolePlay:
→ « Mais enfin Declan, tu ne peux pas faire croire à ce gosse que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Il a beau avoir la naïveté qu'ont tous les gamins de son âge, il est loin d'être idiot tu sais. » Discernant la voix de ma tante derrière la porte, j'ouvrai les yeux en me rappelant que je n'étais pas chez moi. Elle parlait de moi c'était certain, et pour se faire plus discrète, elle aurait quand même pu se trouver un endroit un peu plus stratégique pour ne pas que j'entende la discussion, comme n'importe où à part devant ma chambre. « Ecoute il lui faut un peu de temps pour... » Pas la peine d'en écouter plus, j'enfouissais ma tête sous mon oreiller et refermais mes yeux mouillés. Plusieurs sentiments traversaient mon coeur, le manque quant à la mort de maman, l’inquiétude et la peur. Où est-ce que j'allais vivre maintenant ? Étais-je là de façon définitive ? Et puis comment allait papa ? Je regrettais déjà de l'avoir abandonné tout seul, il avait besoin de moi autant que j'avais besoin de lui. Retenant mes larmes, j'essayais de repenser à ce que m'avait dit maman un jour alors que je pleurais pour je ne sais quelle raison. Il faut se rappeler de choses qu'on aime, de beaux souvenirs et au lieu de les regretter, simplement se les remémorer. Elle avait toujours dit que c'était ça mère qui le lui avait conseillé, mais je savais très bien qu'elle tenait ce conseil de son film préféré, j'en avais d'ailleurs eu la preuve lorsque je l'avais surprise quelques minutes plus tard à marmonner I simply remember my favorite things, And then I don't feel so bad. Un vague sourire se dessina sur mon visage, et tout en essuyant ma joue humide, je murmurai à nouveau ces paroles qui me réchauffaient un peu le coeur. « I simply remember my favorite things, And then I don't feeeeel... » Pas le temps de terminer ma phrase qu'une tornade blanche débarquait dans la chambre. « Timéoooooo, réveille toi tout le monde t'attend pour manger, et moi j'ai FAIM ! » Leila se tenait devant moi et me fusillais du regard, comme si elle m'accusait de toutes les peines qu'elle pouvait avoir, allant d'une impression de ne plus avoir la place de l'enfant unique et chouchouté dans sa famille, à une simple petite faim. « J'arrive, deux minutes. » Me levant à toute allure, j'enfilai mes vêtements et rejoignis la salle à manger pour y découvrir mon oncle, ma tante et Leila qui m'adressait son plus grand sourire hypocrite, toujours connu aujourd'hui. « Oh Timéo tu n'avais pas à te presser ! On s’apprêtait à aller au restaurant mais Leila nous à dit que tu préférais rester ici te reposer. Il y a à manger dans le frigo si tu as faim. A tout à l'heure. » Je restai bouche bée sans vraiment vouloir croire ce qu'il venait de ce passer. Je regardai Leila, qui ne se donnait même pas la peine de cacher sa satisfaction car son plan avait marché. « A plus tard Tim ! » ❝ C’était parti ! Je crois que c’est comme ça, que ça a vraiment commencé. ❞
Rooor qu'est-ce que je savourais chaque moment de ma vengeance envers Leila depuis qu'elle m'avait déclaré cette guerre sans paix. Je ne perdais pas un instant pour lui faire perdre le calme qu'elle essayait d'avoir quand j'étais là. Mais elle n'était pas vraiment une bonne actrice, ça se voyait que me présence la crispait, elle avait preeeesque une tête de constipée mais bon je garde cette remarque bien au chaud pour quand le moment sera venu. « Et toi penses à prendre une douche. Je suis sûre qu'Elmas serait ravie tu sais. Passe lui le bonjour, ou pas » répliqua Leila lorsque je lui dis de ne pas se noyer dans on bain. Pourquoi tant de haine ? Je ne faisais que lui conseiller de rester la tête en dehors de l'eau, faut bien que quelqu'un se soucis d'elle un petit peu ! Et puis comme si je prenait pas de douche nan mais ooooh, Timéo l'est tout propre d'abord. Mon coeur se crispa lorsqu'elle prononça le prénom de Elmas. De quel droit se permettait-elle de parle de ma meilleure amie, c'était ma mienne et personne n'avait le droit d'y toucher. Et encore moins ma cousine. « Nan ça va je lui épargnerai ça, et puis tu sais je sais même pas si elle se rappelle de toi. » Insignifiante Leila. Bien sur que Elmas s'en souvenait mais qu'est-ce que j'aimais faire bouillir à petit feu la fameuse Leila. Je savais que ce genre de remarque à deux balles pouvaient l'énerver bien vite et c'était d'ailleurs le but. Je ne sais pas si c'est parce que nous étions dans un lieu public ou un truc du genre, mais elle paraissait bien trop calme, d'habitude elle aurait déjà détruit la moitié des lieux. « Je préfère de loin finir seule plutôt que devoir te supporter quelques années de plus » Je levai les yeux au ciel, c'était elle qui avait décidé de partir, et elle qui était revenue s'installer à ma table alors si elle ne pouvait pas me supporter, qu'est-ce qu'elle foutait encore là ? « Blablablaaaaaaaaaaa » J’exagérai légèrement mes paroles avant de continuer. « Toujouuuuuuurs le même refrain ! Arrête de te croire supérieur aux autres Leila, t'es entrain de creuser ta tombe. Et puis quand tu te seras fait assassinée par je ne sais quel étudiant que t'auras traumatisé, tu pourras plus prendre les gens de haut. » Petit jeu de mot, six pieds sous terre on peut pas prendre les gens de haut. Fier de ma petite blague, je sourirai à ma cousine avant de continuer. « Si tu ne peux pas me supporter tu peux partir hein, ché pas moi qui te retiens ! » Lui dis-je entre deux bouchées du succulent dessert de Leila qu'elle n'avait pas voulu touché après que je me sois permis de goûté. « Quelle douce mélodie, celle du silence lorsque tu fermes ton clapet. Ça vaut tout l'or du monde et bien plus encore » Bieeeen suur, comme si c'était ma voix qui était insupportable. Le jour où elle apprendra à parler sans ajouter cette petite intonation qui donne l'impression qu'elle est exaspérée par le monde entier on en reparlera hein. « EXCELLEEENT ce gateau ! » m'exclamais-je assez fort pour qu'elle oublie cette illusion de silence lorsque je suis dans les parages. « Tu sais pas ce que tu rates. » Ajoutais-je avec un petit sourire au coin. Nananananèèèreuh. Timéo aura toujours le dernier mot, c'est une règle d'or Leila tu devrais t'en rappeler depuis le temps. Une fois la part de gateau terminée, je me levai sans adresser un seul regard à Leila. « Tu n'oserais donc pas laisser ta pauvre cousine seule et sans défense dans San Francisco. Ramène moi s'il te plait » Levant les yeux vers elle, je me rendit compte qu'elle s'était levé en même temps que moi, et qu'elle était malheureusement très sérieuse. Je laissai échapper un petit rire de ma bouche en comprenant ce qu'elle venait de me demander. « Euuuuh attend laisse-moi réfléchir... Non. » Dis-je sans une pointe de fantaisie dans ma voix. « T'as qu'à appeler un ami... Enfin dans ton cas ce sera plus rapide de rentrer à pieds. » Je lui tournai le dos, et celle-ci en profita pour attraper les clefs qui se trouvaient dans ma poche. « Maintenant, tu n'as plus le choix » me lança-t-elle avant de me dépasser pour sortir du restaurant. La garce. Je le suivis pour me retrouver dans la rue avec elle, sans la moindre envie de ne raccompagner la princesse dans son château. « Par où est garé ta citrouille ? » Me demanda-t-elle en regardant les voitures garées dans les environs. J'avais un vieux 4x4 acheté en occasion il y a longtemps, avec l'argent que j'avais gagné après quelques petits boulots. J'avais été fier de montrer la voiture à mon oncle, bien qu'il n'avait pas pu cacher sa déception, lui qui m'imaginait dans une belle voiture de course. Je désignai alors une décapotable rouge foncée garée à quelques mètres de nous. « Pas mal pour une citrouille, nan ? C'est tonton qui me l'a offerte. J'ai eu un A à mon dernier devoir de bio ça valait bien une voiture. » Dis-je bêtement sans vraiment prendre la peine de paraître crédible. Leila se pencha alors en avant et grimaça. Boouuuh c'est qu'elle fait de l'effet ma blague. Alors que je rigolais, j'annonçai triomphalement. « C'est bon détend toi Leila je plaisante. » Mais celle-ci ne changea pas de regard et de position. « Ça te fait rire de me voir souffrir ? Faut que je m'assois, je me sens vraiment pas bien. » Me lança-t-elle furieuse. Bon si elle avait mal, je lui accordai un petit moment de répits. « Ok c'est booon t'as gagnééé madame je fais mon cinéma, monte dans la voiture. » Lançai-je légèrement déçu de la suite des évènements. En général ça n'était pas dans les habitudes de Leila de prétexter un mal de ventre pour m'emmerder. La voyant se diriger à l'opposer de là où j'étais garé, je lui dis. « Hé ooooh, elle est de l'autre côté ma voiture ! Je t'aurais bien laissé là mais c'est toi qui as les clés grosse maline alors ramène toi ! » Je la suivais sans comprendre où elle voulait aller. « Ferme la ! » Cria-t-elle avant de ne recracher du sang par la bouche. Je me stoppais net sans vraiment comprendre ce qu'il venait de ce passer. Leila me regarda d'un air terrorisé, et je compris que ça n'étais plus le moment de se chamailler. Je m'avançai vers elle et celle-ci se laissa tomber dans mes bras. « Ok ok, on arrête de jouer. » Dis-je tout bas comme si je parlais à moi-même. Je ne connaissais rien au secourisme, et évidemment il fallait que ce genre de situation se produise dans une ruelle déserte. Il fallait appeler une ambulance d'urgence. « T'arrive encore à tenir debout ? » Je vérifiais qu'elle était encore consciente, puis attrapa mon portable et appela les urgences. « Bonjour... Euh non bonsoir, ma cousine se sent très mal, elle.. Elle vient de cracher du sang. J'ai besoin d'une ambulance aussi vite que possible. Nous sommes au 1714 Lowel Street. »
Dernière édition par Chelsea M. Brooks le Lun 3 Juin - 0:46, édité 6 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ❝ She comes in colors ev'rywhere ❞ (chelsea) Dim 2 Juin - 22:47
je voulais savoir si l'avatar allait à celui qui a fait le scénario
Dernière édition par Chelsea M. Brooks le Dim 2 Juin - 22:50, édité 2 fois