FEAT. NINA AGDAL

Roseanne Phyllis OLSEN

20 ans → Née à Los Angeles le 12/10/1992 → Étudiante en droit + dessinatrice de robes de mariées
célibataire → hétérosexuelle → membre des Beauty Queens.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours fait partie de ces filles qui attirent instantanément l'attention. Il faut avouer que selon les dires, j'avais héritée des traits physiques avantageux de ma mère. De longs cheveux blonds, de grands yeux bruns pâles, des lèvres légèrement pulpeuse, une taille fine et élancée, pour beaucoup, il n'était pas étonnant que je fasse partie de l'Élite de L.A. S'ils avaient tous su que ma vie n'était pas aussi agréable qu'ils le croyaient tous. M'enfin, passons, ce n'est pas pour autant que je suis devenue avec le temps une fan de maquillage. Au contraire, je préfère de loin simplement souligner la douceur de mes traits ainsi que les côté de mon visage que je préfère. Autrement, le naturel m'a toujours paru plus préférable. Côté vestimentaire, je n'ai pas franchement évoluée avec le temps non plus. J'ai toujours davantage affectionné les vêtements à tons pastels. Sans doute pour rehausser davantage ma douceur naturel et démontrer que je suis loin d'être de ces filles riches, prétentieuses et superficielles qui font la fierté de New York. De toute façon, je n'en verrais pas du tout l'intérêt. Quoi qu'on dise, personne n'est parfait. On a tous nos mauvais côtés et nos manies. J'en ai d'ailleurs plusieurs moi-même. Je me ronge constamment les ongles, je me mord la lèvre inférieure lorsque je suis nerveuse et, je l'avoue, il m'arrive de fumer quelques joints lorsque je me sens vraiment trop sur le point de perdre pied. Mais bon, je suis loin de me considérer comme une rebelle pour autant. Je bois raisonnablement, je ne fume pas la cigarette, et si j'ai une véritable collection de relations d'une nuit, c'est simplement parce que j'espère toujours regoûter au même bonheur que j'ai vécue au cours de mon adolescence. Je n'ai également que deux tatouages, soit une bague que je me suis fait tatouer à l'annulaire gauche à 17 ans et une une petite rose sur la nuque. Comme pierçing, je me démarque un peu plus avec les deux lobes de mes oreilles, le nombril et la langue. Comme je vous l'ai déjà dit, je n'ai absolument rien à vous cacher. Je suis même prête à vous dire ma plus grande faiblesse, mon allergie et mon véritable cauchemar, soit les fruits de mer. À vrai dire, je suis complètement intolérante à tout ce qui vit sous l'eau. La moindre crevette effleurant ma peau me donne une visite gratuite chez le médecin. C'est bien là le côté de ma personne que je déteste le plus parce que bon, en n'ayant pas le droit de manger de sushis, je me sens un peu out comparée aux autres.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Comme je vous l'ai déjà annoncée ci-haut, je suis loin d'être de ces filles superficielles qui passent la plupart de leur temps à se regarder dans un miroir. Certes, comme la plupart des filles, j'accorde une certaine importance à mon apparence, mais ce n'est pas pour autant que j'en fais une affaire indispensable. Au contraire, lorsque je le peux, je tente au maximum de privilégier le naturel. De ce fait, je suis une personne très sociable qui adore aller vers les autres. À mon avis, notre cercle d'amis n'est jamais trop grand et il est toujours temps de l'agrandir davantage. Autrement, je suis une femme qui aime la vie et qui tente d'en profiter au maximum. C'est sans doute pour cette raison qu'on me qualifie de véritable pile électrique. En effet, je n'arrive jamais à rester en place et il me faut toujours un nouveau projet pour être heureuse. Si je ne suis pas occupée, j'ai l'impression d'être inutile, et ça ce n'est pas très agréable. Aussi, je tente de donner un peu de mon temps, soit en allant faire la lecture aux enfants dans un orphelinat de New York ou en servant la soupe populaire aux plus démunies. Bon, vous devez certainement commencer à croire que je suis digne de Mère Théresa, mais je ne me qualifierais pas vraiment ainsi. J'ai bien des défauts moi aussi, et ils ne sont pas tous très jolis. Plus particulièrement, je suis orgueilleuse et je déteste avouer que j'ai tord. D'ailleurs, il vous faudra beaucoup de temps pour parvenir à me faire avouer mes fautes. Le meilleure moyen serait probablement de me torturer d'ailleurs. Si non, je suis une fille très secrète. J'adore écouter les autres se confier à moi, mais je n'aime pas trop parler des vieilles blessures de mon passé. D'ailleurs, il n'y a que mes amis les plus proches qui sont au courant de tout ce que j'ai vécue dans ma vie. Disons que je préfère camoufler ma peine derrière un joli sourire. Au moins avec ce masque, je me sens moins vulnérable. J'adore faire la fête. C'est probablement ce que j'aime le plus après mes études en droit. Parce que oui, je vous l'avoue, la mode n'est pas exactement ce qui me passionne le plus dans la vie. Mais bon, passons, sortir en boîte est très probablement ce qui me permet le plus de lâcher mon fou et de me détendre au maximum. D'ailleurs, dès que j'en ai l'occasion, je ne me gêne pas pour me trouver un charmant jeune homme avec qui passer la nuit. Adepte des relations d'une nuit, je ne peux pas dire que je ne crois pas en l'amour. C'est simplement que ce sentiment m'a beaucoup trop fait souffrir par le passé et que j'ai beaucoup trop peur de retenter l'expérience.

Well... It's my story...

C'est à Los Angeles, à l'automne 1992, que j'ai vu le jour. Je ne crois pas avoir un grand besoin de vous dépeindre la vie que tout le monde mène dans ce petit coin de paradis, vous devez très certainement tous être déjà au courant. Là d'où je viens, la plupart des gens aiment s'amuser, mais il y en a d'autres qui n'en prennent pas vraiment le temps et sont toujours pressés. Il y en a qui veulent réussir et qui mettent tout en oeuvre pour y arriver. Pour mes parents, ça avait été un franc succès. Ils étaient de ces gens de la très haute société qui ont tendance à regarder les autres de haut, ce qui était réellement leur passe-temps préféré si je peux me permettre d'être honnête. En dehors de leurs emplois respectifs de styliste, ils n'en avaient que pour leurs soirées mondaines et leurs clubs de bridge qui me paraissaient tellement ennuyeux. Toujours est-il que je suis tout de même née avec une cuillère en argent dans la bouche, ne manquant jamais de rien pendant toute mon enfance. Enfin, de presque rien. Certes, il m'arrivait assez régulièrement de passer du temps avec ma mère, mais avec mon père, c'était différent. Je ne semblais pas avoir le moindre intérêt à ses yeux. J'allais même jusqu'à croire que peut-être aurait-il souhaité de ne pas avoir d'enfant. Ça expliquerait au moins la raison pour laquelle je suis toujours demeurée fille unique.

C'est à douze ans que mes parents ont décidés de me lancer dans le boulot de mannequin. Selon les dires de leurs amis de la haute société, j'avais un visage à faire pâlir d'envie les autres jeunes filles de mon entourage, et il ne faisait aucun doute que les nouvelles collections de mes parents allaient se vendre comme des pains chauds si c'est moi qui posais pour les présenter. Voilà comment j'ai atterri dans cet univers qui me faisait tellement peur au début. Oui, peur parce que je craignais de ne pas être à la hauteur. J'avais grandi entourée de mannequin, et pour être honnête, je ne voyais en rien ce que je pouvais avoir en commun avec elles. Elles étaient toutes si grandes et si belles alors que moi j'étais petite et je ne me considérais pas du tout comme jolie. Quoi qu'il en soit, c'est avec surprise que je découvris que j'avais eu la piqûre. Poser pour les photographes de mode et essayer différents vêtements de haute couture que mes parents créaient étaient devenu une une seconde nature pour moi, et je me surpris même à ne plus vouloir lâcher ce petit boulot qui me permettait d'occuper les heures pendant lesquelles je n'étais pas en cours.

C'est lorsque j'eus atteint mes quinze ans que ma vie bascula à tout jamais. Mon entrée au lycée s'était faite relativement bien. Il faut dire que je faisais partie de l'une des plus riches familles de L.A., et que grâce à ce statut, j'étais promis à la popularité et à tout ce qui venait avec. Mais curieusement, je ne me sentais pas à ma place. Toutes ces filles plus prétentieuses les unes que les autres et ces mecs qui nous regardaient avec la seule idée de nous déshabiller me donnaient la nausée. Je détestais ma vie actuelle et rien ne semblait sur le point de me sauver de ce cauchemar. C'était du moins ce que je croyais, jusqu'au jour où IL débarqua dans ma vie. Cain, celui allait changer ma vie à tout jamais. Il s'agissait d'un jeune espagnol qui venait d'intégrer la ville avec sa famille. Sa jeune soeur était gravement malade et les soins qu'elle pourrait obtenir aux États-Unis seraient beaucoup plus performant que ceux dans son pays d'origine. Toujours est-il quque Cain avait une très grande passion et un énorme talent pour la photographie, raison pour laquelle mes parents ne tardèrent pas à l'engager dans l'agence. Il était désormais le photographe attitré de tous mes shootings photos, et je dois admettre que sa présence dans ma vie me fît immédiatement le plus grand bien. C'était très agréable de pouvoir parler avec quelqu'un de normal, qui ne se prenait pas la tête avec des histoires de grands bals et de trucs du genre, et bien qu'il soit de trois ans mon aîné, je n'ai jamais vraiment sentie les différences qui nous séparaient. Il était devenu comme qui dirait mon meilleur ami, et au fil des mois, je me surpris à éprouver des sentiments beaucoup plus forts à son égard. Sentiments que je tue pendant un très long moment par crainte de voir un rejet de sa part.

C'est à seize ans que je pris mon courage à deux mains et que lors d'un shooting photos, je vins très tendrement poser mes lèvres sur les siennes. Je m'attendais à ce qu'il me demande ce que je fabriquais, ce qui me prenait d'agir ainsi avec lui, mais au contraire, il vint à son tour poser ses lèvres sur les miennes. Dès cet instant, plus rien n'a eu d'importance mis à part nous deux. Je vivais mon tout premier amour et sur le coup, tout ceci me faisait assez peur. Moi qui n'avais jamais réellement eu d'attache envers les autres, voilà que je m'éprenais d'un homme qui avait vécu une vie tellement différente de la mienne, mais qui en même temps me ressemblait tellement. Il va sans dire que mes parents désapprouvaient complètement cette relation. À leurs yeux, Cain n'était rien d'autre qu'un employé, un homme de la classe moyenne et donc inférieure à notre famille. Ils se refusaient à croire que j'avais pu choisir une personne qui venait d'un tout autre monde. Mais à vrai dire, je m'en fichais un peu. Tout ce qui m'importait, c'était l'immense bonheur que je ressentais lorsqu'il me serrait tendrement dans ses bras. Sa famille, tant qu'à elle, m'accueillit à bras ouverts. J'adorais passer du temps avec eux et en apprendre sur ce qui se passait en Espagne. Moi qui n'avais jamais réellement quitté les États-Unis, ça me faisait le plus grand bien de voyager par la pensée.

Nous restâmes en couple pendant une année entière, comme la plupart des gens normaux, partageant nos sentiments et nos émotions l'un avec l'autre. Il fût mon premier en tout point, le seul à qui je dis les mots Je t'aime et le premier à qui je me donnai corps et âme. Je nageais en plein bonheur et ce malgré toutes les tentatives que mes parents effectuaient pour nous séparer. Nos rencontres avaient beau devenir de plus en plus rares, mais nous n'en passion pas moins de très beaux moments ensemble et dans l'ensemble, c'était tout ce qui comptait. Jusqu'à mes dix-sept ans où mes parents commencèrent à comploter de nouveaux. Depuis que j'étais toute jeune, ils avaient l'idée de me marier au fils d'un riche ami de la famille, Arnaud. Je connaissais très bien cet homme. De deux ans mon aîné, il avait toujours été plus arrogant que de raison et de toute évidence, il ne ressentait rien à mon égard lui non plus. C'était simple, il était absolument hors de question que j'épouse cet homme. Prise de panique, je me débrouillai pour voir Cain le soir même et lui raconter quelles étaient les noirs projets de mes parents et mes craintes par rapport à ça. À cet instant, le regard de mon Cain sembla se perdre dans le vague. Il semblait tout autant désemparé que moi. Je me disais qu'il devais avoir peur lui aussi et qu'au final, nous ne pourrions jamais venir à bout des mesquineries de mes parents, mais au bout de longues secondes de silence, il reprit la parole en affirmant qu'il n'y avait qu'une seule solution à ça.. suite à quoi il sorti une petite boîte de velours noire de sa poche. À cet instant, je laissai les larmes couler le long de mes joues, lui sautant au cou et l'embrassant aussi passionnément que je pouvais le faire. J'avais eu tord de le croire. Jamais mes parents ne pourraient nous séparer. Les préparatifs pour notre mariage prendraient peut-être un an ou deux, mais au bout du compte, nous finirions tout de même par être ensemble. C'était tout ce qui comptait.

Un an s'écoula depuis la demande en mariage de Cain. Maintenant que j'avais terminé mes études et qu'il ne me restait plus que mon travail de mannequin, je passais tout mon temps libre à la préparation de mon futur mariage. En même temps, ce n'était pas plus mal. Petit à petit, mon envie d'exercer ce métier s'éloignait de moi pour se transformer en quelque chose de plus grand. Je ne souhaitais pas reprendre la relève de mes parents. Mon rêve, c'était d'être une grande avocate qui viendrait en aide aux causes désespérées, raison pour laquelle je me lançai dans ces études dès mon diplôme du lycée en poche. En même temps, comme je ne voulais pas décevoir mes parents, je me mis au design de robes de mariées, sujet qui me passionnait plus que de raison en ce moment. Je comprenais que Cain ne puisse pas trop m'aider ces derniers temps. L'état de sa soeur s'était encore aggravé, et les médecins commençaient à croire que c'était sans espoir, à moins bien sûr d'avoir l'argent nécessaire pour la faire soigner. C'était l'une des raison pour lesquelles je ne voyais plus très souvent mon futur époux. Après nos fiançailles, mes parents l'avaient bien entendu mît à la porte de l'agence, ce qui ne m'avait pas surpris le moins du monde. Il s'était donc trouvé plusieurs petits jobs par-ci par-là afin d'arriver à amasser la somme nécessaire pour faire soigner sa jeune soeur. Ça ne m'embêtait pas le moins du monde, au contraire. J'adorais ma belle-soeur, et j'espérais plus que tout qu'elle s'en sorte indemne le plus vite possible. De mon côté j'aurais le loisir de passer du temps avec Cain pour le reste de ma vie. Quelques mois supplémentaires séparés n'étaient rien face à l'éternité. C'est du moins ce que je croyais naïvement. Mais à peine quelques mois plus tard, j'eu la surprise de trouver dans le courrier une lettre qui m'était adressée de la part de mon fiancé. Dans cette lettre, il m'avait écrit qu'il était désolé, qu'il ne voulait pas me faire souffrir mais qu'à ses yeux, la situation avait changé. Il ne voulait plus de notre relation et voulait que je passe à autre chose comme lui l'avait déjà fait désormais. Je n'arrivais pas à en croire mes yeux. J'avais beau la lire et la relire, toutes ces phrases n'avaient aucun sens à mes yeux. Je tentai tant bien que mal de le revoir afin de m'expliquer, mais il n'y avait rien à faire, il refusait catégoriquement de me voir. C'est à partir de ce moment que je suis devenue une épave, incapable de manger ou de dormir. Ma vie était devenue si vide, et je ne voyais pas comment je pourrais faire pour survivre sans ses bras autour de moi, sans ses lèvres contre les miennes et sans son odeur sans laquelle je n'arrivais pas à m'endormir le soir. Sans aucune raison, il avait mit fin à nos liens, sans même me donner la chance de comprendre pourquoi. Je commençais à croire que mes parents avaient peut-être eu raison tout ce temps et que j'avais perdue mon temps pendant toutes ces années. Quoi qu'il en soit, je ne me trouvais plus aucune raison de vivre. C'est sans doute la raison pour laquelle j'avalai quelques cachets l'un de ces soirs et que je tentai de mettre fin à mes jours.

Heureusement, on me retrouva à temps. Les médecins avouèrent même à mes parents que j'avais eu beaucoup de chance que la bonne me trouve à ce moment-là sans quoi, j'y serais sans doute restée. Pendant un peu plus d'un an, je demeurai dans un centre pour personnes en difficultés. Là-bas on tenta tant bien que mal de me redonner goût à la vie. Plusieurs psychologues étudièrent mon cas, en venant tous à la conclusion que j'étais dans une forme de peine d'amour très profonde et que seul le temps et une oreille attentive pourrait venir à bout de mon chagrin. À vrai dire, mon processus de guérison aurait sans doute été beaucoup plus rapide si j'avais eu le soutien de mes parents, mais à vrai dire, pour eu, je semblais plutôt être une déception. Les gens de notre classe sociale ne sont pas censé avoir des enfants qui tentent de se suicider, ni qui sont placés en institut psychiatrique pour guérir de leur passé. Quoi qu'il en soit, j'étais seule dans cette épreuve.

Ce n'est qu'à dix-neuf ans que je suis sortie de ce centre, enfin prête à reprendre ma vie en main. Certes, mon chagrin ne m'avait toujours pas quittée. J'aimais toujours Cain de toute mon âme malgré le fait qu'il m'avait brisé le coeur, mais je savais que je me devais de faire avec. Au moins, à présent, je savais que l'amour était dure et cruel. Il n'y avait que le plaisir qui soulageait les maux, et je n'allais certainement pas me gêner pour en profiter. À peine sortie, je fis mes baguages pour déménager à New York. Vu ma réputation de jeune designer, je savais que je parviendrais rapidement à me trouver un emploi dans une autre agence que celle de mes parents, particulièrement dans cette ville où tout est possible. En même temps, changer d'air ne pouvait que me faire le plus grand bien compte tenu des souvenirs éphémère qui me revenaient trop souvent en mémoire à Los Angeles.

Il y a presque un an que je vis dans cette ville qui ne dort jamais. Petit à petit, j'ai repris ma vie en main, j'ai recommencée mes études en droit, je me suis fait de nouveaux amis et j'ai appris à me plaire ici. Certes, Cain est toujours dans mes pensées. Je l'aime et je l'aimerai toujours, et c'est sans doute pour cette raison que je ne peux m'empêcher d'éprouver de la haine à son égard en même temps. L'amour m'a blessé, et c'est pour cette raison que je préfère m'amuser sans lendemain désormais. Le plaisir sans la souffrance vaut sans doute beaucoup mieux.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Chouquette.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'y ai déjà été à mon souvenir. J'interprétais une fille du nom d'Aurore avec Emilia Clarke à mon souvenir. Mais c'est ma colocataire qui m'a redonnée l'envie de me rejoindre à vous.
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non.
★Présence sur le forum → 3 à 7/7, dépendament des semaines.
★Personnage inventé ou scénario ? → PI.
★Crédit images → Nelliel et Ecstatic Ruby.

Mon exemple de RolePlay:

Bienvenue

Merci !

Je me souviens d'Auror, je pense... Tu n'avais pas un lien avec un Colton Haynes qui se nommait Noel?

Bref, re-bienvenue parmi nous

Ouais, exacte ! T'as une bonne mémoire !
Merci !

Nina *o*

bienvenue

Merci !
Fiche terminée !

Bienvenue et bonne chance pour l'écriture de ta fiche.

Re-bienvenue chez nous alors

Bienvenue

Nina est un good choice
Bienvenue parmi nous et j'espère que tu te plairas sur le forum

Même pas le temps de souhaiter la bienvenue

Bienvenue parmi nous un peu en retard.