Sujet: Nolàn - If You Are A Bird, I Am A Bird [TERMINE] Mer 5 Juin - 12:17
FEAT. Baptiste Giabiconi
Nolàn Snow Davidson
22 ans → Né à Londres le 21/12/0000 → Vendeur dans une boutique de luxe et barman à ses heures perdues célibataire → hétérosexuel → membre des playboys.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Nolàn n'est allergique à rien, à par le vide. C'est quelque chose qu'il n'a jamais réussi à contrôler, à améliorer, contrairement à toutes ses peurs qu'il a surmonté. Depuis qu'il a quitté le nid familiale à 20-21 ans, le jeune homme s'est laissé tenter par les tatouages. Le mot "simplicité" sur le torse, choisi et dessiné par Alyssa. Pour symboliser la sagesse, la persévérance, le courage, la victoire, et donc dans un certain sens l'espoir, il s'est offert la déesse Athéna sur le biceps gauche, côté cœur. Enfin, un troisième parmi d'autres, dans le dos, une croix ailée. Pour ce qui est des piercings, il en a un au nez et aux oreilles. Sinon, Nolàn n'arrête pas de passer son index derrière son oreille, quand il est gêné, qu'il ne sait pas quoi faire, qu'il se sent perdu. Pareil pour sa lèvre inférieur qu'il ne cesse d'humidifier avec le bout de sa langue dans ces moments là. Nolàn a toujours porté une attention particulière au sport, et donc à se condition physique. Que ce soit sports extrêmes ou sports d'équipe, il a tout essayé et excelle dans chacun d'eux. Il aime se sentir bien dans sa peau donc à toujours fait très attention à son style vestimentaire et à son apparence physique en général. Pas au point de vouloir toucher la perfection, de se recoiffer toutes les deux secondes, etc, mais un minimum d'entretien physique (abdos, pompes, tractions, mais aussi un passage chez le coiffeur régulièrement) et de choix de garde-robe (favorisant le jeans, d'ailleurs).
★Quel est le caractère de ton personnage? → Nolàn peut se montrer froid au premier abords. Il n'est pas facile d'accès, encore moins depuis le décès de son amie. D'ailleurs, il accorde très peu facilement sa confiance et évite un maximum de s'accrocher aux gens qu'il rencontre. Il lui faut un réel temps d'adaptation, et parfois ça peut vraiment déstabiliser. Il ne montre d'ailleurs que très rarement ce qu'il ressent et ce qu'il pense, intériorisant un maximum. On pourrait même le prendre pour un garçon antipathique, presque hautain. Mais une fois que l'on a percé cette couverture, Nolàn est un jeune homme formidable. Il est poli, serviable et bien évidemment, gentleman. Il a été élevé dans des valeurs les plus nobles, et à développé un fort sens de protection. Il est courageux et n'hésite pas à emprunter des directions dangereuses si le but qui l'y attend en vaut la peine. Il est aussi persévérant, n'abandonnant jamais, et relevant des défis sans hésiter: en vrai, il adore ça. Il sait aussi se montrer chaleureux avec ceux à qui il tient vraiment, et plus qu'attentionné avec celle qu'il aime.
Well... It's my story...
Je n'ai jamais aimé Alyssa comme j'aurais dû l'aimer. Je n'ai jamais su l'apprécier comme j'aurais dû l'apprécier. Elle méritait beaucoup plus de ma part. J'en suis conscient, mais c'est bizarre, ce genre de choses, on s'en rend compte beaucoup trop tard. « Nolàn Davidson, ravi de vous rencontrer » C'est à 17 ans que j'ai rencontré celle qui était censée devenir ma femme. Je vivais encore, à ce moment-là, dans le manoir familiale. Un endroit assez lugubre, je dois dire. C'est juste que, comme dans toutes bonnes familles de la noblesse anglaise, il était passé entre les mains de mon père comme dans celle de mon grand-père, et de mon arrière-grand-père, et ainsi de suite. Et il était juste impensable de le refuser. Alors pour mes études, je vivais seul la semaine, dans un appartement au plein cœur de Londres, avec pour seule compagnie une sorte de nourrice, afin d'éviter de faire des kilomètres et des kilomètres tous les matins et tous les soirs, du lundi au vendredi. Mes parents ont toujours eu la vilaine habitude de vouloir contrôler toute ma vie. Elle a toujours été préméditée et contrôlée au moindre détail près. La robe de mon cheval, ma garde-robe, la couleur de ma chambre, mes meubles, mes fréquentations, mes études, mes réceptions... Autant j'étais très indépendant, avec de nombreuses libertés et responsabilités, autant tout pouvait être contrôlé par derrière sans que je m'en aperçoive vraiment. Malheureusement, ou heureusement, je baignais dans cette façon de faire depuis tout jeune, tout le monde autour de moi vivait de la même manière, ça me semblait logique que ce soit comme ça. Je n'y réfléchissais même pas, ça ne me venait pas à l'esprit. C'est donc dans cet univers, dans ces valeurs, que je rencontrais Alyssa. Elle était française, mignonne et avait des manières remarquables. Elle ne parlait quasiment pas, mais il était fort agréable de passer du temps avec elle. De bonne compagnie, il était aisé de lui plaire, et elle était facile à apprécier. Elle venait d'emménager pas loin du manoir familiale, et mes parents avaient tout de suite sauté sur l'occasion. Ils mettaient tout en œuvre pour que le courant passe entre nous. Dans d'autres conditions, nous aurions très bien pu être amis. C'est d'ailleurs ce qu'il se passa au début. Jeunes adolescents, nous développions plus ce côté là de notre relation. Et puis mon père m'appela. Pendant presque une mâtinée, il me parla de tout et de rien, mais surtout de mes responsabilités. Alyssa était malade. Elle avait besoin d'un ami, mais plus encore. Il fallait quelqu'un pour veiller sur elle quoi qu'il arrive. Je n'ai jamais su ce qui avait poussé mes parents à vouloir que j'épouse cette fille là et pas une autre. Tout ce que je sais c'est qu'au final, les mots de mon père me touchèrent droit au cœur de mon cœur. Je n'avais que 18 ans. Dès lors, notre relation changea du tout au tout. Jusqu'à nos 20 ans, où les fiançailles eurent lieu, je faisais absolument tout pour elle. Elle dessinait des vêtements et des chaussures à longueur de journée, j'avais l'intention de lui faire ouvrir sa boutique, ce qui ne tarda pas. Je n'ai jamais dit à Alyssa que je savais, pour sa maladie. Et au final, moi-même je n'ai jamais su ce qu'elle avait vraiment. Mais elle dépérissait à vue d’œil, et je l'appréciais. Je ne l'aimais pas d'amour, mais elle était devenue ma meilleure amie, je ne pouvais pas rester là, sans rien faire. Et ce qui est sur, c'est que la joie que je pouvais lire sur son visage ce jour-là était plus que sincère. Le lendemain de nos fiançailles, j'ai décidé de l'emmener vivre à Los Angeles. C'est là que sa marque, notre marque, pris un réel essor. Je lui payais tous ce dont elle avait besoin, mannequins, réceptions, défilés... A'D était devenue un exemple de réussite parfait. Cinq boutiques, dont une à Londres, une à Paris, une à St Tropez dont elle était originaire, une à Sydney, et une à Los Angeles. Je savais que sa fin était proche, tout le monde le savait. Mais je ne pensais pas que ce jour arriverait aussi vite. Il se trouve que je suis passionné par de nombreux sports, et l'équitation reste l'un de mes favoris. En rentrant d'une course hippique à laquelle j'avais participé, je trouvais de nombreuses ambulances devant notre villa. Pendant un mois, elle resta entre la vie et la mort, dans un lit d'hôpital. Je quittais tout pour rester auprès d'elle, sauf notre ligne de vêtements. C'était la seule chose que je devais absolument sauvegarder, pour elle, pour sa mémoire, pour l'énergie que nous avions mis ensemble dans la réalisation de ce projet. Elle continuait de dessiner de temps en temps, c'était la seule chose qu'elle était capable de faire. Et puis elle poussa son dernier soupire. Je continue de me dire que maintenant, sa souffrance est enfin terminée. Je n'étais pas amoureux d'Alyssa, mais en tant qu'ami, c'est ce dont je pouvais lui souhaiter de mieux. Mais au plus profond de moi, je ne suis pas satisfait. Personne n'était auprès d'elle à part moi. J'aurais pu faire tellement d'autres choses pour elle, je regrette de ne pas en avoir eu le temps. Je regrette de ne pas avoir réussi à l'aimer comme elle le méritait, et tant d'autres choses encore. Elle a toujours voulu vivre à New York, bien que le mouvement et le bruit l'en empêchait. C'est pour ça que j'ai décidé de m'y installer. J'y ai implanté une sixième boutique dont je m'occupe seul. Sa disparition m'a pas mal amoché, mais je me bats pour m'en sortir. Un jour, je réussirais à rendre quelqu'un vraiment heureux, à donner à quelqu'un tout l'amour qu'il est possible et nécessaire de donner, j'en suis convaincu.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Pomme. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Top50 RPG ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non, le seul et l'unique. ★Présence sur le forum → Tous les jours. ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé. ★Crédit images → Bazzart et Tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
Mon cœur exécuta trois saltos arrières dans ma poitrine quand mon réveil sonna. J'étais pourtant persuadé que je l'avais mis sur radio et que j'avais désactivé cette horrible sonnerie qui résonnait encore entre les murs de ma chambre, alors que j'avais assaillit la machine d'un coup de poing violent. Je levais les yeux vers le plafond après avoir replié la couverture sur mes jambes, allongé sur le dos, droit comme un piquet. J'étais encore rentré tard hier soir, comme hier, et comme avant-hier, et comme tous les mercredi, jeudi, vendredi et samedi soirs de la semaine pendant toute l'année. Mais j'aimais ça. L'ambiance du bar dans lequel je travaillais était, en plus, vraiment exceptionnelle. Et puis c'était une vie que j'appréciais. Finalement, c'est un peu comme si je sortais tous les soirs, en plus d'être là pour ceux qui ont besoin de parler. J'aimais bien cette occupation. Secouant ma motivation, je me poussais à me lever. J'ouvrais la boutique dans une demie-heure, je devais me préparer. Toujours en caleçon, je m'assis sur le tabouret moelleux, face à la corbeille de fruit, croquant dans une pomme, j’appuyais en même temps sur le bouton "on" de ma machine à café, le regard perdu. Saisissant machinalement la télécommande posée à côté, j'allumais la chaîne hifi, déroulant ma play-list spéciale "réveil". Petit à petit, mes sens reprenaient vie. Après une seconde pomme, j'engloutis mon café et filais sous la douche rapidement, avant d'enfiler en vitesse la tenue que j'avais préparé la veille et de passer par la case miroir. J'éteignais la sono en saisissant mes clés et mon portable au passage, que j'enfournais dans mon sac qui m'attendait devant la porte. En sortant de l'immeuble, je m'arrêtais à la boulangerie pour un petit pain au chocolat. Ils me rappelaient Alyssa, elle aimait tellement ça... Mais alors que je marchais d'un pas précipité vers la boutique, mon portable sonna. Avec difficulté, je l'extirpais de ma sacoche et décrochais, intrigué; je ne connaissais pas le numéro.
-Oui?...
Dernière édition par Nolàn S. Davidson le Mer 5 Juin - 17:17, édité 22 fois
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Sujet: Re: Nolàn - If You Are A Bird, I Am A Bird [TERMINE] Mer 5 Juin - 12:19
Tiens c'est la première fois que je vois le Baptiste sur un forum! Bienvenue chez nous
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Sujet: Re: Nolàn - If You Are A Bird, I Am A Bird [TERMINE] Mer 5 Juin - 12:25