Sujet: Watch out ! I can steal your heart too ! Ven 7 Juin - 21:41
FEAT. MATT BOMER
Mike Deacon SPENCER
32 ans → Né à Santa Fe le 11/10/1980 → Voleur et Escroc célibataire → bisexuel (à tendance gay) → membre des Playboys.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Du haut de ses 1m82 et avec ses 76kg de muscles (principalement), on peut aisément avancer que le jeune homme – encore à l’aube de ses trente ans – possède un physique plus qu’avantageux qui fait des ravages aussi bien chez les femmes que chez les hommes. Et cela tombe bien car Mike est bisexuel. Une orientation qu’il explique simplement par le fait que la vie nous a donné plusieurs possibilités, alors pourquoi se limiter ? Mais le trentenaire n’est pas seulement un corps, c’est aussi une tête qu’il entretient avec beaucoup de soin par la lecture de nombreux ouvrages variés et en plusieurs langues. Car oui, Mike est également un polyglotte accompli, parlant pas moins de sept langues : l’anglais (bien évidemment), le français, l’espagnol, l’italien, le portugais, l’allemand et le japonais, et ayant des notions en coréen, chinois et russe.
Côté vestimentaire, le jeune homme s’habille plutôt simplement, bien qu’il possède une collection plutôt impressionnante de costumes de grandes marques et de chapeaux qu’il aime porter en toute circonstance. Mais il préfère généralement garder ce genre de vêtements hors de prix pour de grandes occasions telles que des soirées importantes où son but premier est de, bien entendu, voler. Il lui arrive aussi de se déguiser pour accomplir ses méfaits, mais cela reste tout de même assez rare. Sinon, Mike possède également un tatouage sur l’omoplate droit qui représente le kanji (caractère chinois) « kitsune » qui signifie « renard » inspiré du surnom que le F.B.I. lui a donné : The Fox.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Charmeur. Voilà la toute première chose que l’on peut dire à propos du jeune homme. Mike a parfaitement conscience de l’effet que son physique peut provoquer chez certaines personnes et, bien qu’il ne soit pas excessivement prétentieux (même s’il apprécie beaucoup de faire tourner les têtes sur son passage), il en joue dans le but très précis d’amadouer ses proies et d’arriver à ses fins. Un objectif pas très louable, il en a bien conscience, mais il n’en reste pas moins un gentleman qui respecte aussi bien les femmes que les hommes. Et puis, il n’a encore jamais joué avec le cœur de quelqu’un – il a tout de même ses limites.
L’intelligence est la deuxième caractéristique quelque peu remarquable du trentenaire. Ses activités d’escroc et de voleur lui ont permis de perfectionner cet intellect qui se distingue non seulement par un savoir étendu, mais aussi par une finauderie à la hauteur des plus célèbres voleurs de la littérature, ce qui lui a de nombreuses fois rendu service afin de se sortir de situations délicates avec la police, notamment. En gros, il ne fait pas partie de cette catégorie de voleurs ignares qui cambriolent des musées sans même savoir ce qu’ils emportent avec eux.
On peut également rajouter qu’il a beau être le roi de l’escroquerie, il n’en est pas moins un ami sur lequel on peut compter. Par contre, sa précédente déception amoureuse a rendu le jeune homme quelque peu méfiant vis-à-vis des personnes qui tenteraient d’obtenir de lui plus que de l’amitié, voilà donc pourquoi il se préserve d’une possible autre trahison – surtout que, recherché par les polices du monde entier, il peut y laisser sa peau…
Well... It's my story...
Ce fut au très jeune âge de trois ans que Ryder Matthew Peterson – puisque c’est son véritable nom – commença à voler. Bien sûr, ce n’était alors que de très petits larcins sans grandes conséquences, du fait que ce n’était encore qu’un bambin, et le butin volé n’avait de valeur que pour un enfant de son âge, mais ce fut à partir de ce moment-là que la carrière du jeune voleur débuta véritablement pour ne plus jamais s’arrêter. Et plus Ryder grandissait, plus il volait, améliorant parallèlement la valeur des objets chapardés, jusqu’au jour où il se fit malheureusement prendre la main dans le sac. Dans le sac d’un de ses camarades de classe pour être plus précis. Il y était en train de chiper l’argent du déjeuner que ce dernier gardait précieusement dans son portefeuille, mais il ne fut ni assez rapide, ni assez discret, et la maîtresse se retourna de manière hasardeuse au moment même où il avait mis la main sur les billets. Evidemment, il eut droit aux habituels sermons sur le fait que le vol était un délit et fut directement envoyé chez le directeur qui avait appelé ses parents. Seul son père fut en mesure de venir – sa mère étant dans l’impossibilité de quitter son travail d’infirmière –, ce qui fut finalement une véritable aubaine, parce qu’au lieu de gronder son fils comme tout parent responsable l’aurait fait, enfermés dans la voiture à l’abri des oreilles indiscrètes, il ne lui donna qu’un seul et unique conseil : de ne pas se faire prendre la prochaine fois. A partir de ce jour, Ryder devint le disciple de son père qui – et il ne le sut que quelques mois plus tard – avait anciennement fait carrière dans le vol avant de se repentir par amour pour sa mère, une information étonnante qui changea complètement le regard qu’avait le jeune garçon sur son héros de père (qui restait toujours un héros à ses yeux).
L’adolescence ne tarda pas à pointer le bout de son nez, et avec elle vint la puberté qui – comme pour toutes personnes ayant enfin atteint cette période importante de la vie – marqua un changement radical pour le corps et l’esprit de Ryder, transformant l’enfant qu’il était, en un grand et beau jeune homme. Seule une chose demeura intacte parmi ces nombreuses métamorphoses : sa kleptomanie, dans laquelle il devint un véritable professionnel, grâce notamment aux conseils avisés de son père. Ce fut d’ailleurs à cette période qu’il commença à viser plus haut que les simples petits vols à la dérobée en cambriolant certaines maisons de riches des quartiers avoisinants, et outre les coffres-forts remplis à ras-bord de billets de banque, ce fut également le début de son intérêt pour l’art dont il admirait les tableaux couvrant les murs de ces manoirs. Le lycée finit et son diplôme en poche, Ryder quitta alors le domicile familial pour aller s’installer à Los Angeles afin d’étudier l’histoire de l’art à l’UCLA, et bien que ce cursus qu’il avait choisi lui-même le passionnait véritablement, il abandonna au milieu de sa troisième année d’étude afin de poursuivre sa vie de voleur en compagnie de Leaf, un jeune homme rencontré un an plus tôt et avec qui il partageait son goût pour le vol et son lit. Ils étaient les Bonnie and Clyde du XXIème siècle, voyageant aux quatre coins du pays à bord de leur pick-up, sans toutefois user de la violence comme c’était le cas pour ces deux célèbres criminels américains. Ils cambriolaient les maisons et les banques de manière tout ce qu’il y avait de plus intelligente, du moins… Jusqu’à ce jour maudit où tout bascula…
Tout avait pourtant très bien commencé lorsqu’ils s’étaient discrètement introduits dans cette banque d’une petite ville de l’Idaho qui devait être le plus gros coup qu’ils n’avaient jamais réalisé. Mais les semaines de préparation à ce « casse du siècle personnel » n’empêchèrent pas leur plan supposé parfait de prendre un tournant inattendu, mais surtout tragique. Car le garde qui était en fonction ce soir-là eut le malheur de les surprendre et Leaf, totalement dérouté par ce retournement de situation, sortit alors une arme de son sac afin de tirer sur le pauvre homme qui décéda de ses blessures peu de temps après. Bien entendu, la police – prévenue par des badauds qui avaient entendu le coup de feu – arriva rapidement sur les lieux et, si Leaf n’avait eu aucun remord à partir avec l’argent et la voiture, elle y trouva tout de même Ryder, les mains couvertes de sang alors qu’il s’acharnait à tenter de réanimer l’homme déjà mort. Il fut donc le seul à être arrêté ce soir-là et, lors de son procès qui se déroula quelques semaines plus tard, il eut la chance de n’être jugé que sur la simple base d’un vol à main armé – bien qu’il n’eût absolument pas été au courant que son amant possédait une arme –, les nombreuses preuves trouvées sur place ayant permis de le disculper de ce crime affreux. Il écopa alors d’une peine de 7 ans de prison qui fut réduite à 5 pour bonne conduite.
A sa sortie de prison, à l’âge de 27 ans, Ryder décida de quitter les Etats-Unis quelques temps dans le but de profiter un peu de la jeunesse qu’il lui restait encore, les meilleures années de sa vie ayant été gâchées par la faute d’un homme en qui il avait mis toute sa confiance. Il prit donc l’avion direction l’Europe dans laquelle il allait passer une bonne partie de son séjour, volant de pays en pays – au sens littéral du terme, comme au figuré. Car, si Ryder s’était accordé une légère pause après qu’il eut enfin récupéré sa liberté, sa nature de voleur le rattrapa bien vite. Mais était-il réellement à blâmer lorsque l’on savait que des pays comme la France et l’Italie possédaient les plus belles collections d’œuvres d’art du monde ? Un exercice d’ailleurs tout nouveau pour cet homme qui avait finalement abandonné les banques pour préférer les musées. Et après l’Europe, il étendit ses frontières, voyageant au gré de ses envies, mais aussi et surtout, des œuvres d’art qui l’intéressaient, pour finir par le Japon. C’est seulement après un périple de trois ans qu’il décida de revenir dans son pays natal, mais, son nom étant à présent connu des services de police du monde entier, il décida de changer de nom dans le but de vivre une vie plus ou moins tranquille dans un appartement luxueux de la ville de New York. Voilà comment il abandonna Ryder Matthew Peterson pour devenir Mike Deacon Spencer.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Aurore & vieille... ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'y étais inscrite avant et ça m'a manqué alors... me revoilà ! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope ★Présence sur le forum → 7j/7 (pour le moment) ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Moi & Tumblr
Mon exemple de RolePlay:
→ L’heure de déjeuner était enfin arrivée pour la grande majorité des étudiants de l’UCLA, et si la plupart d’entre eux avait choisi de manger à l’extérieur avec leurs amis ou leur plus si affinités, beaucoup avait préféré la facilité en venant prendre leur repas à la cafétéria de l’université, ce qui était mon cas. Par contre, si j’avais l’habitude de partager ces moments de détente entre chaque cours avec ma petite bande d’amis, j’avais fait une exception ce midi en invitant un gars plutôt mignon de ma promo à se joindre à ma table pour déjeuner. Bien sûr, mes intentions n’étaient en rien louables, et au final, le but était de le mettre dans mon lit – je ne faisais jamais rien sans rien. Mais l’arrivée impromptue d’Isabelle, l’une de mes rares amies féminines avec laquelle je partageais mes délires les plus fous, compromis quelque peu mes projets sexuels de ce soir.
- Je trouve ton pantalon horrible, choupet, lança-t-elle alors à l’intention du blondinet qui baissa les yeux sur son jean délavé et un peu troué, comme pour vérifier si la remarque d’Isabelle était vraie ou non. Mh. Tu as fini de parler à Devon ? Parce que je le voudrais tout à moi, ce midi, je ne suis pas partageuse... C'est le moindre de mes défauts, osa-t-elle annoncer, tout en s’installant entre lui et moi, l’obligeant ainsi à se décaler. Pssssht... fit-elle ensuite, en lui intimant gentiment d’un geste de dégager. Tu pourras revenir l'embêter plus tard, va voir ailleurs si Ellen Degeneres y est, histoire de te faire inviter à son show. Ici, là, tout de suite, c'est mon tour de monopoliser ce bellâtre faussement ténébreux et désespérément homosexuel ! Et mon ex-futur-conquête – auquel je pouvais dire adieu pour cette nuit, mais aussi pour les suivantes – prit alors son plateau entre les mains et se leva, un air totalement offusqué sur le visage, tandis que je n’essayais même pas de cacher mon amusement. Content de me voir, je parie, s’adressa Isabelle enfin à moi, après m’avoir salué de manière tout ce qu’il y avait de plus effrontée – mais cela me fit plus sourire qu’il ne me vexa (je ne me vexais jamais, de toute façon). Ah lala... Moi aussi je suis contente.
- T’es au courant que tu viens de faire fuir mon coup de ce soir ? m’exclamai-je sur un faux ton de reproche – je ne pouvais pas être en colère contre elle, alors qu’elle m’avait amusé. Il va falloir que tu m’en trouves un autre, maintenant, soupirai-je, un petit sourire en coin, c’est la règle. Que penses-tu du nouveau serveur de la cafét’ ? lui demandai-je alors en me tournant vers le type qui servait les différentes assiettes des étudiants depuis tout à l’heure. Je l’ai remarqué en arrivant, mais j’arrive pas à savoir s’il est gay ou hétéro… A ton avis ?
Dernière édition par Mike D. Spencer le Jeu 1 Aoû - 9:10, édité 8 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Watch out ! I can steal your heart too ! Ven 7 Juin - 21:41
Comme je vais sûrement reprendre mon ancienne fiche, je vais pas mettre longtemps à la faire, mais je préfère tout de même réserver mon beau Matt, on sait jamais ! Merci d'avance !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Watch out ! I can steal your heart too ! Ven 7 Juin - 21:43
Rebienvenue chez toi alors Matt est magnifique quand même