Sujet: Thalia ϟ L'amour c'est comme une maladie, sauf qu'il n'existe aucun remède qui permette d'en guérir Ven 7 Juin - 14:14
FEAT. VANESSA HUDGENS
Rose Thalia ERRINGTON
20 ans → Né(e) à New York le 01/01/1992 → Etudiante en art et mannequin célibataire → hétérosexuelle → membre des Beauty Queens.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → La petite Rose est tatouée depuis l’âge de seize ans. Bien sûr, elle a dû avoir l’autorisation de sa mère pour cela et au début, Kami n’était pas du tout d’accord mais quand elle a vu que sa fille était sûr de son choix, elle n’a pas pu lui refuser. Rose s’est tout d’abord fait tatouer un papillon dans le cou, personne ne sait sa signification, elle n’a jamais voulu en parler mais peut-être vous le dira-t-elle un jour… Elle s’est également fait tatouer il y a peu sur les deux articulaires le signe « om » qui est très discret… Niveau piercing, Rose n’en a qu’un seul et bien sûr, c’est celui au nombril. Elle a très vite compris que dans le milieu du mannequinat, le piercing au nombril faisait fureur parmi les photographes. Rose est sinon quelqu’un de très simple et n’aime pas vivre dans le luxe. Elle n’a pas des habits coûtants des milliers d’euros et aime s’habiller dans les puces ou les marchés. Bien sûr, quand elle doit passer faire des rencontres professionnelles, elle s’habille avec des robes de créateurs. Rose aime autant s’habiller avec des chaussures à talons aiguilles avec des robes très courtes qu’avait des pantalons larges, colorés et baggy. Elle n’a pas réellement de style vestimentaire et est ouverte à tout. Coté mimique, Rose a la fâcheuse manie de se mordiller la lèvre inférieure quand elle est stressée ou gênée, elle se passe également la main dans les cheveux dans ces mêmes situations. Sinon côté santé, elle n’a pas de maladie, d’allergie ou tout autre chose, la jeune femme se porte merveilleusement bien depuis sa naissance. Pour exemple, elle ne sait jamais rien cassé. Sinon, au niveau du style de vie, on pourrait seulement lui reprocher d’être une très grande fumeuse mais elle ne touche pas à l’alcool et aux drogues, c’est une jeune fille mature et responsable.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Rose est une personne très complexe qui a notamment plusieurs visages. Rose, est depuis deux ans, dans le milieu du mannequinat. Avec tous ces "fans" ( parce qu'elle commence à en avoir quelques uns quand même), Rose se comporte de façon aimante, attentionnée, prête à tout pour les rendre heureux et elle est consciente qu’elle leur doit tout. Cependant, depuis quelques temps, les autres mannequins s’amusent à lui donner l’image d’une fille hypocrite envers ses fans, fausse et fille facile, ce qui n’est bien sûr pas le cas. Donc, beaucoup vous diront de Rose, que ce n’est pas une bonne fille fréquentable, que "la célébrité" lui est monté à la tête et qu’il ne vaut mieux pas l’approcher. Mais ses proches vous diront tout le contraire. Quand Rose était une enfant, c’était une petite très timide, peu sûr d’elle et qui se sentait très mal dans sa peau. Pour cause, au collège, elle a souvent subit des moqueries envers ses origines grecs. Rose a toujours été fière de faire partie de la famille Errington et maintenant qu’elle est mannequinat, elle peut revendiquer cela. Il n’est pas rare de l’entendre dire « Je dois tout à ma famille. ». Rose est une personne douce, aimante, calme mais à la fois dynamique, sensible et à l’écoute des autres. Ce qui compte le plus pour elle dans sa vie, c’est sa famille qu’elle a retrouvé depuis peu. Mais comment toutes les personnes au monde, Rose a des défauts. C’est une jeune fille très rancunière, qui n’accepte pas les gens méchants et intolérant, elle peut se montrer une véritable peste envers ce genre de personnage. Elle est également une jeune fille têtue, très têtue. Quand elle était petite, on disait souvent qu’elle avait un caractère de « cochon » tellement elle disait non à tout le monde. Elle a toujours eu une âme de leader, sans réellement le remarquer, elle arrive à être le médiateur dans un groupe et à faire en sorte que tout se passe pour lui mieux. Elle est également une jeune fille impulsive qui a un peu le sang chaud, bien sûr, elle n’irait pas jusqu’à se battre mais elle peut partir au quart de tour, surtout quand sa concerne les gens qu’elle aime. Et pour finir, Rose est également une personne au cœur d’or, qui fait tout pour aider les autres dans le besoin. Il n’est pas rare qu’elle aille dans les hôpitaux voir les enfants malades. Elle une grande romantique qui rêve du prince charmant.
Well... It's my story...
Premier janvier à l'hôpital de New York.
Le calme complet, l'apaisement d'un monde inconnu, mais pourtant réel. J'étais moi, mais moi n'était pas encore ce que j'étais. J'étais dans une bulle, un cocon, une protection m'entourait, mais je la sentais se casser, se défaire. J'allais tomber je le savais, je n'en avais plus pour très longtemps. Ça bougeait autour de moi ou plutôt c'est moi qui bougeai, c'était très étrange toutes ces sensations. Je me sentais poussé hors de mon nid, mais je résistai, je m'accrochai de peur de ne plus être dans mon nid tout chaud, et soudain la pression qu'on exerçait sur moi se relâcha. Mais on ne me laissa pas tranquille pour autant, on m'embêtait encore et cette fois on m'attrapa. Je cris, je n'arrivai plus à respirer, je m'étouffai, j'avais besoin d'aide, j'avais besoin de ma bulle mais, elle n'était plus là. D'un seul coup, l'air entre dans mon corps, cela me faisait terriblement mal, mais, je n'avais pas le choix, on ne me laissa pas le choix. Puis vient une lumière qui m'aveugla, moi qui ai toujours vécu dans le noir voilà quelque chose de blanc, de clair et puis des couleurs, des visages étaient autour de moi, on me regardait, mais je ne savais pas où je suis, j'avais peur. Perdu, voilà le mot qui me définissait, je ne savais que faire ni quoi penser, tout ce que je voulais c'est qu'on me laisse en paix et dormir. Quelque chose de chaud m'entoura mais, je ne voyais pas ce que s'était. Brusquement je ne voyais plus rien, ça faisait trop mal. Je me mis à pleurer et j'entendis d'autres cries de larmes, je n'étais pas seule, ma mère était là, celle qui m'avait accompagné pendant ma formation. Soudain je l'entendis, la voix qui m'était tant familière, que j'ai écouté pendant neuf mois. Et maintenant je compris, j'étais enfin moi.
2 Septembre à New York.
Aujourd'hui c'était le grand jour, j'allais enfin à l'école pour la première fois de ma vie. J'allais quitter ma mère pour aller avec des inconnues. Je me préparai ou plutôt, maman me préparait pour que je sois toute jolie et bien coiffé. Quand elle eut finie je me retournai vers ma mère, celle qui a toujours été là pour moi, je lui sautai dans les bras et murmurai-je.
« J’ai peur d’aller là-bas, je veux pas qu’on soit séparé… »
Je vouai un culte inestimable à ma mère. Je me sentais énormément proche d’elle et je n’avais jamais été séparé d’elle. Enfin nous partîmes tous ensemble pour l’école et je deviens de plus en plus nerveuse. Je pris la main de ma mère dans la mienne et je la serrai fortement ce qui me rassura. Quand nous arrivâmes à l’établissement je me mise à pleurer en m’accrochant désespérément à ma mère. Je ne voulais pas me séparer d’elle, bien qu’elle tentait de me calmer et de me rassurer comme elle le pouvait, rien n’y faisait, je restai inconsolable. Au bout d’une dizaine de minutes, voyant que je n’étais pas près de laisser ma mère repartir sans moi, une dame me prit de force et m’emmena dans la classe. Ce fut une déchirure pour moi…
28 Mai à la maison des Errington, Rose a huit ans.
« Viens là ma chérie, je vais te raconter ma rencontre avec ton père. »
J'avais toujours voulu savoir cette histoire mais, ma mère m'avait toujours dit qu'elle me la raconterait plus tard. Cette fois j'allais enfin savoir ce qui s'était passé entre eux. elle me raconta que c'était un soir d'hiver, qu'elle rentrait toute seule. Lui ne savait pas trop où il allait et il courait dans tous les sens pour faire passer le temps. Ils s'étaient rentrés dedans et cela avait été le coup de foutre, ma mère était tombée dès le premier regard fou de lui. Et quelques temps après j'étais née, j'avais vu le jour dans l'hôpital de New York... Elle me raconta également, que si je n’avais pas connu mes grands-parents, mes tantes, oncles, c’était parce que mes grands-parents n’avaient pas accepté la grossesse de leur fille et que Kami ne voulait pas m’abandonner. Elle me disait également que je ne devais pas me sentir triste car un jour arrivera où je connaîtrai toute ma famille. Et depuis ma naissance, elle m'a toujours dis que mon père était mort très tôt.
***
« Cher journal, Bien des choses se sont passées depuis ma tendre enfance. Cela fait maintenant six ans que la chose la plus merveilleuse au monde met arrivé. J’ai pu rencontrer toute ma famille et même mes grands-parents qui ne voulaient pas de moi au début m’ont très bien accepté. J’ai pu voir mes tantes, oncles, cousins, cousines et maintenant, nous sommes tous très proches et ils font très attention à moi. Sinon niveau étude, j’ai brillamment passé mon bac à l’âge de dix-huit ans et j’ai eu la mention très bien, j’ai toujours aimé les cours et j’ai toujours été la première de la classe seulement, contre toute attente, j'ai décidé de faire des études d'art, afin de devenir actrice. Et depuis peu, je me suis lancé dans le mannequinat, je commence tout doucement à me faire un nom dans le monde de la mode. Tu pourrais croire cher journal que tout va bien pour moi mais c’est faux, j’ai quelque de terrible a t’annoncer et je ne sais pas encore comment en parler à ma famille. J’ai découvert il y a deux semaines que j’étais enceinte de quatre mois. Je ne sais pas comme je n’ai pas pu m’en apercevoir avant, comment j’ai pu passer à côté de cela. Du sais, je t’avais parlé de ce réalisateur que j'avais rencontré à un soirée il y a neuf mois et nous avons eu une relation de trois mois. Maintenant, nous ne nous parlons plus, nos emplois du temps ne nous le permette pas mais je pense qu’il a besoin de savoir, je ne veux pas que cet enfant manque d’en père comme moi… De plus, je dois à tout l’annoncer à ma mère avant qu'elle ne l'apprenne par quelque d'autre mais j’ai tellement peur qu’elle m’en veuille de ne pas avoir su être responsable…. Peut-être que Kitty pourrait m’aider elle qui a déjà deux enfants ou encore que ma marraine Tulisa sera apte a comprendre…»
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Lauriane, Miam agée de 18 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par bazzart. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 4/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario. ★Crédit images → Jump-Girl.
Mon exemple de RolePlay:
→ Une semaine que je n’étais pas sorti de ma maison, une semaine que je ne voulais voir personne, que je voulais rester seule. Depuis la disparition de ma mère, je n’avais plus goût à rien, elle me manquait horriblement. Ma mère avait toujours été la huitième merveille du monde pour moi, elle avait toujours été la personne la plus importante de ma vie et aujourd’hui, elle n’était plus avec moi. Elle était à Volterra, avec les Volturi et depuis quelques temps j’avais dans l’idée de la rejoindre. Je savais que j’intéresserai beaucoup Aro et que, si je lui proposai de rejoindre ses rangs, il dirait oui sans aucune hésitation… Oui c’était cela, il fallait que je propose un échange entre ma mère et moi. Depuis qu’elle n’était plus là, mon père n’était plus que l’ombre de lui-même et le voir dans cet état me faisait souffrir plus que tout. Pour moi, mes parents étaient des âmes-sœurs et c’était grâce à eux deux que je croyais en l’amour, le vrai, l’unique. Ils m’avaient raconté leur histoire des milliards de fois mais je ne m’en lassé jamais, c’était un conte de fée. Ils s’étaient rencontrés alors que ma mère n’était qu’une humaine, elle était venue à Forks pour vivre avec son père et, elle s’était retrouvée dans le même lycée que les Cullen. Très vite, elle avait compris qu’ils n’étaient pas humains, pas normaux, et elle avait cherché par tous les moyens ce qu’ils étaient. Après le début de leur histoire d’amour, les Volturi s’en étaient mêlés et ont obligé ma mère a devenir un vampire mais avant cela, elle était tombée enceinte de moi. D’après ce que m’avait raconté mon grand-père, Calisle, j’avais failli tuer ma mère et pour cela, je m’en voulais encore énormément. Et puis, il y avait eu la grande guerre, encore à cause de moi. En y repensant, je n’avais fait que de mauvaises choses depuis ma naissance, je n’avais apporté que des ennuis à ma famille et cela m’attrister beaucoup. Pourquoi étais-je comme cela ? Parce que je suis différente ? Que je ne suis ni totalement humaine, ni totalement vampire ?
Sur cette pensée, je décidai de sortir de chez moi et de vagabonder toute seule. Je n’avais pas envie de voir ma famille, je n’avais pas envie de devoir sourire et faire comme si tout allait bien. De plus, mon père aurait entendu mes pensées et se serait inquiété pour moi ce que je ne voulais pas. Alors, je parti sans avertir personne me balader dans la ville. Il faisait froid, c’était l’hiver et Noël approchait. J’avais toujours adoré cette fête, faire le sapin de noël, Emmett qui, quand j’étais petite faisait le père-noël et passait par la cheminée de la maison pour m’amener mes cadeaux, tout cela me manquait. Je me doutai bien que cette année, cela ne serait pas un Noël joyeux puisqu’il n’y avait pas ma mère ni mon oncle Jasper, je pensai même que Noël ne se fêtera pas, que personne n’aurait le cœur à faire la fête… Sur la route, je vis des amis que je connaissais du lycée, maintenant que ma croissance était finie, mes parents m’avaient autorisé à aller au lycée de Forks afin de rencontrer des humains, de me faire des amis mais ils m’avaient dit ceci : « Souviens-toi Nessie, aucun humain ne doit savoir ta véritable nature, même pas tes amis si tu veux les protéger. » Personne donc, aucun de mes amis, ne savait que j’étais une hybride. De toute façon, je préférai ne rien leur dire, j’avais peur qu’ils me fuient, qu’ils aient peur de moi, ce qui serait tout à fait normal mais je ne le voulais pas. J’avais besoin de ce contact avec les humains pour me sentir également humaine, vivre avec les loups et les vampires avait tendance à enlever l’humanité qui était en moi…
Soudain, alors que je continuai à marcher dans les rues de Forks, j’attendis quelqu’un appeler mon nom. Cette voix m’était familière et me rappelait un vague souvenir, je connaissais cette voix. Puis, ensuite, viens à moi une odeur, une odeur de vampire mais pas n’importe laquelle, celle des Volturi. Je reconnaissais parfaitement cette odeur, elle m’avait marqué pendant la grande guerre parce que ce fut ma première peur, la peur de perdre ma famille, de mourir. Le vampire arriva à ma hauteur et je me retournai pour faire face au Volturi qui était présent à Forks, Alec. Pendant la grande guerre, je n’avais pas eu réellement l’occasion de parler avec lui, il était resté près de sa sœur et n’avait pas bougé mais je l’avais revu il y a peu et il m’avait intrigué. Alec me fasciné. Il avait cette prestance, cette noirceur en lui qui m’intriguait. « Et bien, papa Eddie a laissé sortir sa fille chérie seule par les temps qui courent ? » Me dit-il. Je ne pus m’empêcher de grogner, je détestai quand on me rappelai que j’étais surprotégé par ma famille. Pour autant, mon grognement ne l’empêcha pas de continuer. « Et ton animal de compagnie, il n’est pas là non plus ? Attend, laisse-moi deviner … Tu as quatre ans et tu te penses assez âgée pour sortir et vivre ta vie comme une grande ! ». « Dis-moi Alec, je ne vois pas Jane dans les parages. A-t-elle décidé que tu étais enfin assez grand pour sortir tout seul ? Ou tu l’as perdu peut-être ? Tu veux que je l’appelle pour qu’elle vienne te chercher ? » Je n’aimai pas être méchante, je n’étais jamais méchante mais j’étais quelqu’un d’impulsif, avec le sang chaud et trop souvent, je parlais avant de réfléchir. Je savais que j’avais touché le point sensible, Jane était la dominatrice des deux jumeaux, Alec était considéré comme le petit toutou de la vampire et il était complètement effacé par cette dernière. « Ca faisait longtemps. ». « Pas assez. ». Je ne pus m’empêcher de me mordre la langue, c’était faux, j’avais envie de le revoir. Même si il faisait partie du camp ennemi, j’avais eu envie de revoir Alec mais il aurait été trop fier de le savoir si je lui avais dit. Je le regardai finalement dans les yeux, chose que je n’avais pas encore fait depuis le début de la conversation, grosse erreur. Je me perdis inlassablement dans son regard, Alec m’attirait. Ce n’était pas une attirance bienveillante, il m’attirait par toute sa cruauté et sa malveillance, il était totalement différent de moi. Après quelques minutes de silence, je repris finalement la parole. « Alors Alec, que viens-tu faire à Forks ? Tu viens encore une fois essayer de me tuer ? ». J’espérai sincèrement que cela n’était pas dans ses attentions parce que j’étais toute seule et que depuis ma naissance, j’avais refusé de me battre, j’étais une pauvre hybride sans défense.
Dernière édition par Rose T. Errington le Ven 7 Juin - 17:54, édité 8 fois