Sujet: MARCUS ✘ Nobody said it was easy. Jeu 13 Juin - 20:18
FEAT. HUNTER PARRISH
Marcus Tybalt Sirius Anderson-Wexford
23 ans → Né à Washington DC le 16/06/1989 → Mannequin célibataire, divorcé, futur papa → hétérosexuel plus si sûr de lui → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → il a une santé épouvantable ✘ il est cardiaque, mais personne ne le sait vraiment, à part son père ✘ il a plusieurs cicatrices un peu partout, et seule Ondine est la seule à toute les connaître ✘ il a du mal à conduire une voiture depuis leur accident, c'est psychosomatique ✘ sa drogue est le mocha glacé de chez Starbucks ✘ il est sobre depuis dix mois ✘ il ne supporte plus l'odeur de la cigarette, le comble pour un ex-gros fumeur ✘ il n'aime pas les films romantiques ✘ quand il voit le nom/l'affiche/les acteurs de The Notebook, il est pris d'un fou-rire, peu importe les circonstances ✘ il lui arrive parfois d'éclater de rire sans grande raison ✘ il porte toujours sa montre au poignet droit ✘ il était un véritable casse-cou quand il était petit ✘ jadis très sportif, il lui arrive parfois de désobéir volontairement à son médecin pour faire ce qu'il veut ✘ il a une faiblesse aux muscles des jambes depuis son accident de voiture avec Ondine ✘ il ne s'entend pas avec sa famille ✘ il n'a plus aucun contact avec les siens ✘ depuis sa séparation avec Ondine, il s'est noyé dans le travail ✘ il a toujours le prénom d'Ondine tatoué sur le bas du dos, et ne l'a toujours pas fait retirer malgré les supplications des photographes et maquilleuses ✘ il ne sait pas trop pourquoi ✘ c'est un ex-gigolo, ex-strip-teaseur, ex-drogué et ex-alcoolique ✘ il est aquaphobe ✘ il adore les animaux ✘
★Quel est le caractère de ton personnage? → Il y a plusieurs choses à savoir sur le comportement de Marcus d’une manière générale. La première, c’est qu’il change radicalement de comportement suivant les personnes qui l’entourent. On pourrait facilement le décrire comme quelqu’un de très influençable. Tout va bien lorsqu’il est en contact avec ce qu’on peut appeler de « bonnes personnes » ; mais s’il a le malheur de s’entourer de personnes assez peu fréquentables, son attitude s’en ressent. Ses déboires avec l’alcool et la drogue ont tout de même constitué un vécu qui lui sert de détecteur de sales types. Une autre chose à savoir, c’est qu’il semble avoir un problème irrémédiable avec tout type de relations familiales ; il déteste son père et sa femme, ainsi que sa demi-sœur. Mais le comble du comble, c’est sa mère, qui le tient pour personnellement responsable de la mort de son petit frère. Cette haine de sa propre famille a joué un grand rôle dans sa vie privée, et a engendré chez lui une peur de l’engagement qu’il l’a conduit plusieurs fois à commettre des bourdes dans son couple. Marcus est également totalement aquaphobe ; son petit frère s’est noyé à neuf ans et il a lui-même faillis ne pas reposer le pied sur la terre ferme en voulant le sauver. Il peut se promener sur la plage sans pouvoir surmonter sa peur de poser ne serait-ce qu’un pied dans les vagues. Il déteste parler de ça, car il a l’impression que ça le rend vulnérable face aux autres.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → PINGUS., Camille, 16 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → ben en fait, y'avait ce mec bizarre dans la rue, il a tenté de tuer la vieille devant moi. Ce qui est très amusant parce qu'en fait, si je n'étais pas passée par là, et ben... Ouais, non. Par partenariats je crois. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 5j/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → Bazzart
Mon exemple de RolePlay:
Elle ne comprenait rien à rien. Au bout du compte, ce qui l’intéressait, c’était elle. Elle, et ce que j’avais le courage ou non de lui confier. D’accord nous formions un couple, et complice avec ça. Mais elle ne pouvait me jeter la pierre simplement parce que je n’avais pas envie de remuer l’histoire de cette stupide cicatrice. « Tu crois sérieusement que je vais t'engueuler parce que... Je sais pas moi ! T'étais trafiquant d'armes ?! Le passé c'est le passé : mais j'ai besoin de le connaître. » J’eu un rire amer. Je me demandais bien ce qui me paraissait le plus saugrenu dans sa phrase. M’engueuler ? Probablement pas. Mais elle deviendrait hystérique et me harcèlerait jusqu’à ce que je consente à voir un psy et à lui raconter cette douloureuse histoire. Et quand elle voulait quelque chose, Ondine s’arrangeait toujours pour l’avoir. Et vu le tour que prenait notre dispute, si je ne lui disais pas ce qu’elle voulait entendre, elle était capable de tout, y compris de faire la grève du sexe. Elle s’offusquait de cette histoire ancienne, comme si c’était un mensonge. Comme si j’avais bafoué quelque chose. Mais merde, je n’avais signé nulle part ou même promis à qui que ce soit que j’avais décris ce jour-là toute ma vie en détails ! Je n’avais jamais dis que je n’avais plus rien à cacher ! Et elle prenait ça comme un mensonge, une trahison. Pourtant, il y avait une sorte de mensonge qui consistait à mentir pour protéger autrui. La belle affaire, je n’avais pas menti. Ses mots raisonnaient dans mon esprit. mais pas de ta tentative de suicide, non…. Je n’avais pas particulièrement de réticences à appeler ça par son nom. Et voir chaque matin la cicatrice, sous la douche, ne provoquait pas particulièrement de choses en moi. A peine du regret. Mais entendre Ondine prononcer ces mots rendaient la chose réelle. A croire qu’elle voulait me culpabiliser. « C’est plutôt qui devrait se sentir coupable » , pensai-je avec mauvaise foi. Pourtant, elle n’y était pour rien. Et si la personne qui m’avait sauvé n’avait pas été là, je ne serai plus de ce monde et ça aurait été ma faute. Pas la sienne. Le passé était le passé, comme elle venait si bien de le dire. Mais il y avait certains passés à ne pas évoquer. [color:87d6=000000] « Mais pourtant, tu lui as avoué bien pire » , me souffla une voix intérieure, un brin taquine. Je cillai. Oui c’est vrai… Restait à savoir ce que ma conscience considérait comme le pire : la mort de quelqu’un ou la prostitution ? L’un dans l’autre, si ma chère voix intérieure se plaçait du côté d’Ondine, et vu qu’elle n’avait pas connu Aloïs, le pire devait être la prostitution. J’eu un frisson. Je ne savais pas comment Ondine pouvait accepter le fait que plusieurs femmes aient payé pour m’avoir. Peut-être devait-elle se sentir fière de m’avoir à elle toute seule désormais – et pas à cause d’une poignée de billets. Ondine et sa stupide fierté… « Je m'en fiche d'être blessée Marcus. Je préfère une vérité qui fait mal à entendre, qu'un mensonge qui rassure. » Toujours appuyé contre le dossier du canapé, je détournai les yeux. « Reste à savoir jusqu’à quel point tu peux endurer la douleur », répliquai-je amer. Je ne savais pas ce qui m’empêchait de passer aux révélations. La pudeur ? Ou la fierté ? Allons, elle m’avait déjà vu mal en point… Mais pas à ce point. Je sentais mes forces faiblirent, jusqu’à ce qu’il ne reste d’elles que des miettes de courages. Je baissai la tête jusqu’à ce que mon menton frôle mon thorax. Je sentais son regard sur moi. Avec lenteur, je contournai le canapé pour m’y assoir. Les coudes sur les genoux, courbé en deux ou presque, j’observai mes mains. Je préférais tout plutôt que la regarder en face. C’était comme ça. Mon courage fondait comme neige au soleil face à elle. « Tu sais, ce qui est arrivé il y a six mois… C’est arrivé parce que j’ai pété les plombs. Je me sentais seul. J’avais horreur de ce que j’étais devenu. Je n’arrivai plus à me regarder dans la glace et... » Je fis une pause afin de chercher mes mots. Comme une voiture qui aurait du mal au démarrage. Ben c’était comme ça. Les mots m’avaient lâché dans mon esprit et j’avais l’impression de patauger. Peut-être dut-elle sentir cela ? Ondine s’approcha doucement. Je ne le vis pas clairement, mais je sentis le canapé bouger et son ombre se déplacer. Sa main vint saisir la mienne, non sans la retirer d’abord une première fois comme si un choc électrique l’avait secouée. Ce bref geste de tendresse me mit du baume au cœur. C’était un encouragement. Restait à savoir si cet encouragement tiendrait le choc face à ce qu’elle attendait tant. « Ca faisait plusieurs mois que j’avais accepté les quelques trucs d’un type qui venait souvent au bar. Il était… C’était un dealeur. Quand je… Quand je prenais ce que je lui achetais, j’avais l’impression que tout allait mieux, que rien ne pouvait être grave à ce point. Et puis un soir… » J’avais du mal à respirer. Je revoyais très exactement mon appart plongé dans une semi-obscurité glauque, mon chemin titubant de fatigue jusqu’à la salle de bain où j’avais absorbé ma dose quotidienne en bon drogué que j’étais. Je clignais des yeux pour me forcer à réintégrer le présent. A ne plus revoir mon appartement il y a six mois mais le sien, aujourd’hui. 23h16. Comment la soirée avait-elle pu basculer ainsi dans une guerre sans merci pour la vérité ? J’eu un sourire amer à l’intérieur de moi-même. Finalement, Ondine avait eu une soirée comme elle le souhaitait ou presque. The Notebook, moi, et la vérité. Si elle osait se plaindre, je l’étranglerai. Alors que moi je subissais un enfer. S’il y avait une chose que je n’avais pas envie de remuer dans le passé, c’était bien cette obscure histoire. Surtout qu’elle mêlait deux vérités donc je ne savais comment ma petite amie allait réagir. Une petite amie normale, ce serait déjà difficile de prévoir une réaction. Mais Ondine… Rien qu’en cinq minutes, son ton était passé d’hargneux à accusateur en passant par suppliant. « Tu sais très bien que j’ai l’alcool mauvais… je veux dire tu sais que, si je bois trop, je tape sur n’importe quoi… Et ben j’ai la drogue mauvaise aussi… Mais les deux ensembles, ça a été fatal… Je veux dire, j’étais à bouts de tout. De nerfs, de patience. J’avais seulement besoin que tout… que tout s’arrête » , murmurai-je, la voix enrouée. « J’avais ce putain de poids sur la poitrine et y’avait ce truc dans ma tête qui me répétait « t’as fais tellement de conneries dans ta vie que tu sais plus laquelle t’empêche d’avancer ». J’en ai une marre et j’ai cherché le premier truc pointu et tranchant qui me tombait sous la main… Comme il n’y en avait pas, j’ai pris un espèce de miroir (je crois qu’il était à toi d’ailleurs), je l’ai jeté et il s’est cassé… ». Je refaisais les gestes sans m’en rendre compte. Je venais de mimer mon geste de jeter le miroir à terre d’un coup sec et d’en rappeler un morceau. J’entendis Ondine retenir sa respiration. Ce n’est qu’à cet instant que je me rendis compte que j’avais les yeux fixés sur la table basse, sans même regarder mes mains, sans cligner des yeux. Je devais avoir l’air d’un fou. « Je ne sais même pas qui m’a sauvé… J’étais bourré, défoncé, et en prime je me vidais de mon sang… » , ai-je conclu d’une voix tremblante. Je pivotai vers elle ; j’avais besoin de réconfort. J’avais besoin de savoir si ce que je venais de lui dire me vaudrait une rupture sur-le-champ ou des mots consolateurs. Son regard avait une expression indéchiffrable. Comme j’espérais qu’elle me dise « mais tout ça c’est derrière toi ». Mais j’avais beau espérer, je n’arrivais pas à me berner moi-même… Tout ne serait pas derrière moi pour autant. Mais la nuit avançait à pas de géant, et j’aurais aimé, oh oui, comme j’aurais aimé pouvoir la serrer dans mes bras et, sentir son corps contre le mien toute la nuit durant.
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Sujet: Re: MARCUS ✘ Nobody said it was easy. Jeu 13 Juin - 20:18
Well... It's my story...
Diandra Elizaveta Wexford-Anderson poussa un long soupir fatigué en refermant le livre qu’elle feuilletait et le posa sur le guéridon se trouvant à la gauche du fauteuil confortable sur lequel elle était assise. C’était le troisième qu’elle lisait depuis le début de l’après-midi, et toujours rien. Qu’est-ce qui avait bien pu passer par la tête de Chandra pour qu’elle décide du jour au lendemain de lui envoyer par coursier une dizaine de ces bouquins débiles pour choisir le prénom idéal de son bébé ? « Allez, Danny, je suis persuadée que tu trouveras ton bonheur là-dedans », s’était enthousiasmée Chandra lorsque Diandra l’avait eu au téléphone un peu plus tôt. Ben voyons. Chandra n’avait pas d’enfant, et même pas l’ombre d’un homme dans sa vie. Comment pouvait-elle s’estimer la maîtresse incontestable des livres parfaits pour choisir le prénom d’un bébé ? « Je n’ai pas besoin de ton aide, Chandra » avait répliqué Diandra. « Ah ouais, c’est pour ça que ma nièce qui est censée naître dans environ quinze jours n’a toujours pas de prénom ? », avait malicieusement répondu Chandra, moqueuse. « Ta nièce ? Je te trouve bien sûre de toi », avait rétorqué Diandra. Elle qui venait d’une famille de quatre filles sentait au plus profond d’elle-même que le petit être qui grandissait dans son ventre était un petit garçon. Et que, dans quelques années, ce petit bout serait un beau jeune homme sûr de lui qui ferait chavirer le cœur des filles. Oui, elle y croyait dur comme fer. Les Wexford avaient eu quatre filles ; Elias Wexford était le seul garçon de sa propre fratrie, et Constanzia Wexford était l’aînée d’une fratrie de trois filles. Autant dire que chez les Wexford, peu de gens pariait sur la naissance d’un éventuel héritier mâle pour la fortune considérable des Wexford-Anderson. Evidemment, tout aurait été tellement plus simple si elle avait pu connaître le sexe de son bébé. Mais il avait fallu que sa garce de belle-mère réussisse à convaincre Will qu’il fallait « préserver le secret ». Alors que Will était parfaitement disposé à connaître le sexe de leur premier enfant. Mais c’était du Rosalie tout craché. Elle savait que Diandra était dévorée de curiosité. Alors comme à chaque fois qu’elle le pouvait, elle s’arrangeait pour pourrir l’existence de sa belle-fille. « Chérie, il serait temps que tu te décides. Je t’ai déjà dit plusieurs fois que Charlotte me convenait pour une fille, mais arrête de faire autant de manière pour un prénom masculin » « J’attends de trouver le prénom parfait », avait répliqué Diandra. « Comme tu le sens. En attendant, tes sœurs n’arrêtent pas de harceler ma secrétaire », avait soupiré William le matin-même. Songeuse, Diandra caressa son ventre rebondi. Bientôt, ce petit être verrait le jour. Et elle était absolument convaincue qu’il remplirait son existence toute entière de bonheur.
Diandra poussa un soupir agacé. Elle fixa sa montre avant de croiser les bras de frustration en levant les yeux au ciel. Ils étaient en retard. Comme toujours. Ce n’était pas comme si elle ne connaissait pas Will. Elle savait pertinemment qu’il était toujours accaparé par son boulot. Etre juge n’était pas de tout repos. Mais parfois elle se demandait si son très cher ex-mari avait autre chose dans la tête que son boulot. Des meurtres, des enquêtes, des trafics, des jugements. Et puis quoi ? « Aloïs ? Mon amour, qu’est-ce que tu fais là ? », s’exclama Diandra en découvrant son fils cadet se déplaçant à quatre pattes sur le porche de la maison, dangereusement près des marches du perron. Diandra se dirigea à toute vitesse vers le petit bout et le souleva dans ses bras en lui déposant un baiser sur le crâne. Aloïs continua de gazouiller joyeusement en s’agitant dans les bras de sa mère. Diandra se sentit brutalement irritée ; elle payait vingt dollars de l’heure l’une des soi-disant meilleures baby-sitters de la ville et de ses environs, alors qu’est-ce que le bébé que cette idiote était censée garder comme la prunelle de ses yeux faisaient à traîner dans la poussière, prêt à se rompre le cou dans les escaliers ? Diandra entreprit de bercer son fils tout en passant la tête dans l’entrebâillement de la porte d’entrée. « BRENDA JE VOUS PAYE PAS A RIEN FAIRE », s’écria-t-elle, furieuse, tandis qu’Aloïs commençait à pleurer. La baby-sitter arriva en courant dans le couloir de l’entrée et vint s’emparer du petit garçon au moment où un bruit de moteur se mit à raisonner à l’extérieur et un klaxonne se fit entendre joyeusement. « Allez, oust ! », houspilla Diandra en ressortant en courant. La jeune femme traversa l’allée centrale de l’immense propriété jusqu’au grand portail devant lequel était garé une une berline noire rutilante avec vitres teintées. Un chauffeur contourna la voiture pour ouvrir la portière à l’arrière du véhicule. La voiture semblait vide, à l’exception d’un petit garçon blond aux yeux bleus de cinq ans qui sauta hors du véhicule. « Mon amour ! », s’exclama Diandra en ouvrant grand les bras. Le petit bonhomme se jeta dans les bras de sa mère qui la couvrit de baisers en le serrant fort contre elle. « Mon amour, mon amour, mon amour », répétait Diandra. Elle était comblée. Son petit garçon adoré était revenu auprès d’elle. Et même si son mariage s’était achevé de la plus atroce façon, et qu’aujourd’hui elle était contrainte de laisser partir son petit Marcus la moitié de chaque vacances dans la magnifique propriété fraîchement achetée par le Juge Anderson où il avait sans aucun doute passé des journées solitaires, entouré uniquement du petit personnel sans que son père ne se sente concerné le moins du monde par la présence de son fils, quand il était auprès d’elle, elle avait enfin l’impression d’être heureuse.
« Papa va se remarier ». La phrase, lâchée du bout des lèvres par le jeune Marcus, âgé de tout juste six ans, fit l’effet d’une bombe dans la pièce. Le repas de famille réunissant le clan Wexford se passait pourtant bien. Mais Diandra voyait bien que son fils aîné semblait préoccupé par quelque chose. Un silence pesant s’abattit sur la joyeuse tablée, quoi que grandement bourgeoise. Diandra s’était figée en entendant Marcus ouvrir la bouche ; elle tenait toujours son large verre à vin dans la main mais n’avait pu le porter à ses lèvres. « Qu’est-ce que tu dis ? », demanda-t-elle, la voix tremblante. « Elle s’appelle Elinor. Et j’aime pas sa fille », bougonna Marcus. Diandra reposa lentement le verre en tentant d’avaler sa propre salive. Tout le monde semblait retenir son souffle autour de la table. Ni les grands-parents de Marcus ni son oncle Shane, ni même Chandra, Cynthia ou Giulia n’osait ouvrir la bouche. Ce qui, dans le cas des sœurs Wexford, était ô combien significatif de l’embarras général. Tout le monde attendait une réponse de Diandra, mais elle ne vint jamais. La jolie brune ouvrit la bouche et la referma, incapable de prononcer un mot. Diandra s’essuya le coin des lèvres avec sa serviette en lin blanc, la posa sur la table, se glissa hors de son siège et traversa la vaste salle à manger, ses escarpins raisonnant sur le parquet précieux. Lorsque Diandra trouva refuge dans sa chambre, s’asseyant sur le bord du lit, elle se sentit brutalement submergée par une vague de chagrin comme elle n’en avait jamais vécu. Au fond d’elle, elle avait toujours eu l’impression que William reviendrait vers elle. Que, tôt ou tard, il s’excuserait d’avoir pu croire les mensonges de sa mère sur une éventuelle liaison qu’elle n’avait jamais eue. Mais ce qu’elle venait d’apprendre changeait tout. Will avait tourné la page. Le couple le plus envié d’Harvard n’existait plus. Il était parti en fumée. Elle avait la sensation que tout autour d’elle s’écroulait. Que plus jamais elle ne pourrait être heureuse. « Maman ? », demanda une petite voix derrière elle. Diandra tourna doucement la tête et vit Marcus entrebâillant la porte. « Tu pleures maman ? », demanda-t-il encore en traversant la chambre pour escalader le lit. Diandra l’enveloppa de ses bras et le serra contre elle. « Non mon cœur. Maman est juste un peu étonnée », murmura Diandra en le berçant. Pourtant, une larme roula sur sa joue. L’étonnement. Comme si tout se résumait à ça.
4 ans plus tard. Flashback de l'enterrement d'Aloïs. Retour sur la mort.Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed non risus. Suspendisse lectus tortor, dignissim sit amet, adipiscing nec, ultricies sed, dolor. Cras elementum ultrices diam. Maecenas ligula massa, varius a, semper congue, euismod non, mi. Proin porttitor, orci nec nonummy molestie, enim est eleifend mi, non fermentum diam nisl sit amet erat. Duis semper. Duis arcu massa, scelerisque vitae, consequat in, pretium a, enim. Pellentesque congue. Ut in risus volutpat libero pharetra tempor. Cras vestibulum bibendum augue. Praesent egestas leo in pede. Praesent blandit odio eu enim. Pellentesque sed dui ut augue blandit sodales. Vestibulum ante ipsum primis in faucibus orci luctus et ultrices posuere cubilia Curae; Aliquam nibh. Mauris ac mauris sed pede pellentesque fermentum. Maecenas adipiscing ante non diam sodales hendrerit. Ut velit mauris, egestas sed, gravida nec, ornare ut, mi. Aenean ut orci vel massa suscipit pulvinar. Nulla sollicitudin. Fusce varius, ligula non tempus aliquam, nunc turpis ullamcorper nibh, in tempus sapien eros vitae ligula. Pellentesque rhoncus nunc et augue. Integer id felis. Curabitur aliquet pellentesque diam. Integer quis metus vitae elit lobortis egestas. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetuer adipiscing elit. Morbi vel erat non mauris convallis vehicula. Nulla et sapien. Integer tortor tellus, aliquam faucibus, convallis id, congue eu, quam. Mauris ullamcorper felis vitae erat. Proin feugiat, augue non elementum posuere, metus purus iaculis lectus, et tristique ligula justo vitae magna. Aliquam convallis sollicitudin purus. Praesent aliquam, enim at fermentum mollis, ligula massa adipiscing nisl, ac euismod nibh nisl eu lectus. Fusce vulputate sem at sapien. Vivamus leo. Aliquam euismod libero eu enim. Nulla nec felis sed leo placerat imperdiet. Aenean suscipit nulla in justo. Suspendisse cursus rutrum augue. Nulla tincidunt tincidunt mi. Curabitur iaculis, lorem vel rhoncus faucibus, felis magna fermentum augue, et ultricies lacus lorem varius purus. Curabitur eu amet.
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Dernière édition par Marcus T. Anderson le Ven 14 Juin - 12:59, édité 3 fois
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Sujet: Re: MARCUS ✘ Nobody said it was easy. Jeu 13 Juin - 20:18
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Sujet: Re: MARCUS ✘ Nobody said it was easy. Jeu 13 Juin - 20:22
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Le silence. Lourd, pesant, dévastateur, uniquement rompu à intervalles régulières par des bips électroniques. Je n’arrivais plus à comprendre ce qu’il s’était passé. Je ne comprenais pas où je me trouvais, quel jour on était et, pire que tout, qui j’étais. Mon esprit était comme un trou noir où il n’y avait que le néant. Je ne sentais plus mon corps, pas même le soulèvement régulier de ma poitrine. Se soulevait-elle encore ? Ou étais-je tout simplement mort ? Je me débattais avec mon propre esprit. Il fallait que je me souvienne. Il le fallait. Quelque chose en moi me hurlait que c’était important. Quelque chose ou quelqu’un me poussait à me souvenir. Mais qui était ce quelqu’un ? Un frère, une sœur ? Une épouse, un enfant ? Je ne savais plus rien. Tout était tellement oppressant. Je luttais encore et encore, inlassablement pour me souvenir. Mais me souvenir de qui ? de quoi ? J’étais perdu. Seul. Mes paupières douloureusement closes refusaient de me mettre sur une piste quelconque. J’aurais tellement aimé qu’on m’aide, qu’on me parle. Ou même pouvoir ouvrir les yeux, simplement pour tenter de comprendre… Une porte s’ouvrit, et je perçus ce son comme une délivrance. Il fallait dire à cette personne que j’avais besoin d’elle, quelle qu’elle soit. « Je doute que le gamin revienne un jour de là où il est », marmonna une voix masculine, presque inaudible. Une autre voix, féminine, approuva brièvement. Puis la porte se referma. J’avais l’impression d’avoir reçu un coup de poing qui m’aurait coupé le souffle. « De là où il est ». Mais OU étais-je ?! J’avais envie de hurler. Hurler… Un hurlement. C’était ça. Un hurlement aigu, à glacer le sang. Ondine. Ma petite amie… Tout revenait en flashs consécutifs. Nous deux dans une voiture, en train de nous engueuler… l’autre voiture, fonçant droit sur nous… Ondine poussant un hurlement déchirant… et la douleur explosant dans mon corps. Lancinante, dévastatrice. Je revoyais le pare-brise explosé, les profondes entailles sur mes jambes, le sang souillant mon jean déchiré. Et puis le néant. Ondine… Ma petite brune… La porte s’ouvrit mais la personne n’eut pas le temps de faire un pas dans la pièce qu’une voix féminine l’interpella. « Monsieur, vous n’avez pas le droit d’entrer dans cette chambre. Il est encore en soins intensifs », s’affola l’infirmière. « Je… Je voulais lui parler… », marmonna une voix masculine. La porte se referma et ils durent poursuivre la conversation à l’extérieur. Je me débattais intérieurement, rendu fou par l’attente. Qui était-ce ? Du plus loin que je me souvenais, mon père n’avait pas cette voix-là. Et cet homme savait obligatoirement qui j’étais, car il avait dit clairement qu’il « voulait me parler ». Qui était-ce ? Cette question m’obsédait. Elle m’obsédait au point que je la répétais des dizaines de fois. Si cette personne me connaissait, elle devait forcément détenir des informations sur l’état de santé d’Ondine… Je brûlais soudain de voir cette personne revenir, espérant comme jamais qu’elle brave l’interdit. En cet instant, je me forçai à espérer pouvoir remuer ne serait-ce qu’un cil, afin de prouver au monde entier que j’étais vivant. Et savoir, enfin, ce qu’il était advenu de celle que j’aimais. La solitude. Encore. Toujours. J’attendais, en vain. Je dressais l’oreille dans l’espoir d’entendre la porte s’ouvrir doucement. Mais rien. Nada. Que dalle. Nib. Zéro. Rien d’autre que ces foutues machines et leur bip incessant. Et si le médecin avait raison ? Si jamais je ne revenais pas de… de là où j’étais ? Si jamais quelqu’un décidait de me débrancher ? Je ne pourrais rien y faire. Même pas bouger. Même pas hurler. Ecouter quelqu’un me tuer et qui ne pourrait même pas savoir que j’étais toujours là, quelque part. Iker avait aussi dit qu’il avait téléphoné à mes parents. J’étais amer. Avec un peu de chance, personne n’avait rappelé. Ma mère était constamment en voyage, elle n’avait probablement jamais reçu l’appel. Il avait dû appeler mon père, et si Hélène avait répondu, elle avait dû dire un truc du genre « pour nous il est déjà mort ». Oui, elle avait dû dire un truc du genre. Garce. Elle était comme un coucou : il fallait pousser hors du nid les œufs d’une autre pour pouvoir s’y faire une place. Elle avait tellement bien réussi qu’avec un peu de chance, elle n’avait pas du tout apprécié qu’il y ait une possibilité que mon père vienne me voir. Elle devait avoir trop peur qu’on se réconcilie. Je commençais sérieusement à trouver le temps long. Bip. Bip. Bip. J’en venais presque à espérer mourir juste pour ne plus entendre ces saletés de machines. Comment réagirait Ondine si elle apprenait, là maintenant, que j’étais mort ? A peine avais-je songé à cette question qu’elle se mua en obsession. Et puis il y eut un bruit. Il me semblait lointain, comme un écho, alors que j’étais si profondément plongé dans mes pensées. Des voix, dans le couloir, se rapprochant. J’allais me murer dans l’indifférence lorsque l’une d’elles me fit l’effet d’un électrochoc. « C'est ici. » Ce n’était pratiquement qu’un murmure. Il y avait au moins deux voix. Peut-être trois ou plus ? Une éternité sembla s’écouler entre ces deux petits mots et le minuscule grincement de la porte qui s’ouvre. « Mademoiselle, vous ne pouvez pas être ici. C'est interdit. Si vous voulez le voir c'est derrière la vitre. », expliqua une infirmière d’une voix doucereuse mais sans appel. Il y eut un léger silence. « Mais... Je... », marmonna une voix balbutiante. « S'il vous plaît, je suis sa petite amie. C'est ma faute s'il est ici. J'ai besoin de le voir un peu. » Ondine. Ondine. Elle était là. Elle était là ! A quelques centimètres, tout au plus. Et je ne pouvais pas la voir, pas la toucher, pas lui parler. J’avais besoin de tout ça… J’avais besoin de la voir… Peu importait si je devais mourir après avoir ouvert les yeux… Mais je devais la voir… Au moins, je mourrais en paix. « Je suis désolée mais vous ne pouvez pas entrer. Veuillez sortir je vous pries », reprit l’infirmière, inflexible. Cette saleté était un monstre ! Elle ne pouvait pas forcer Ondine à partir, pas maintenant ! Elle n’avait pas le droit ! J’étais furieux, déçu, amer. Il fallait que je leur prouve que je n’étais pas en train de mourir. Que les gens que j’aimais avaient le droit de venir me voir, plutôt que de rester derrière cette foutue fenêtre ! Je n’entendis pas exactement ce que répondit Ondine. Peut-être ne dit-elle rien. J’étais trop occupé à livrer une bataille à l’intérieur de moi-même pour retrouver l’usage de mon propre corps. Et soudain, je sentis un fourmillement dans mon corps. Mes lèvres s’animèrent mais rien de plus qu’un murmure n’en sortit. « On… ». Ma voix était rauque et enrouée. Les pas se dirigeaient vers la porte, qui s’ouvrit en grinçant. «…dine…». La dernière syllabe fut un peu plus forte, quoique male assurée. Les pas se figèrent. Puis, avec un effort surhumain, j’ouvris les paupières, et la lumière explosa dans mes yeux.
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Sujet: Re: MARCUS ✘ Nobody said it was easy. Jeu 13 Juin - 20:23
FIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRST ton titre + ton perso qui va avoir une histoire de malade mental qui déchire sa mémé + ton avatar + toi =