Sujet: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 20:12
FEAT. Jesse Williams
Nathan Samuel Weaver
32 ans → Né(e) à Chicago le 11/11/1981 → avocat marié → hétérosexuel → membre des playboys.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Amateur de belles choses depuis toujours, vous ne verrez jamais Nathan quitter son appartement de Manhattan sans un costume Armani, des chaussures italiennes en cuir ou encore une Rolex à son poignée. Ses dépenses sont excessives, tout comme son rythme de vie mais il ne s'en plaint pas. Après tout, c'est bien ce qu'il cherchait dans la ville qui ne dort jamais. Son apparence est toujours impeccable comme vous l'aurez compris et loin de se laisser aller si facilement à ses émotions, Nathan affiche toujours un sourire aussi propre qu'il n'a l'air fidèle. → Extrêmement sportif, il ne passe une semaine sans fréquenter son club de sport favori sur l'île, y restant parfois tard la nuit, tant que cela l'empêche de croiser sa femme chez eux. Il court également régulièrement à Central Parc. → Quand il est seul dans sa garçonnière, il écoute systématiquement du rap américain, du reggae ou du r'n'b, ne souhaitant pas partager ses goûts musicaux avec quelqu'un d'autre que lui-même. Même si il a le permis, il ne conduit plus depuis des années, préférant s'offrir les services d'un chauffeur dans une belle Berline pour ses déplacements. Si on en croit ce qu'il peut raconter par moment, son chauffeur est son meilleur ami et la seule personne sur laquelle il peut compter pour rester discret sur les personnes qu'il véhicule. → Acharné du travail, il n'a perdu que très peu de procès et boit toujours après une affaire, qu'elle soit gagnée ou perdue. En parlant de boisson, n'entendez pas lui offrir autre chose qu'un excellent bourbon, de préférence hors de prix, si vous voulez satisfaire ses papilles habituées au luxe.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Enfant unique d'un couple fortuné, il n'a jamais eu à souffrir du manque de quoique ce soit et souffre du syndrome que nous appellerons communément "de l'enfant gâté". Quand il n'obtient pas ce qu'il veut immédiatement, il a tendance à simplement s'énerver, perdre patience ou tout simplement, abandonner. → la seule exception à cette règle se trouve dans son métier d'avocat, dans lequel il a toujours refusé d'abandonner. Véritable travailleur, il n'a pas accédé à son rang d'associé dans un prestigieux cabint new yorkais pour rien. Cette réussite, il ne la doit qu'à lui-même et en est particulièrement fier. → Volage, il n'a jamais été fidèle à aucune femme. Pas même à la sienne mais ce n'est plus un secret à présent, ni de son côté, ni du côté de son épouse tout autant libérée à ce niveau-là. Il aime les femmes, à l'excès peut-être, et il lui semble inconcevable d'imaginer une vie où on ne serait combler que par une seule personne quand tant de créatures sublimes courent les rues. → Sadique dans sa relation avec son épouse, il ne sait plus très bien si il l'aime au point de la haïr ou si il n'y a plus que colère dans son coeur à son égard. La plupart de ses mauvaises décisions ne sont prises qu'en fonction du mal qu'il pourrait lui causer et des dommages psychiques endurées par la blonde bien qu'à présent, il serait incapable d'expliquer concrètement ce qu'il préférerait qu'elle fasse, divorcer ou simplement pleurer. → Charmeur, peu de femmes lui résiste et pour cause, il sait jouer de ses yeux clairs, de son teint hâlé et de son corps parfaitement formé par de longues heures de musculation et de courses à pied. Et il n'a aucun soucis à arranger la vérité pour avoir une femme, encore moins à user de son talent inné de comédien. → Susceptible, n'envisagez pas de lui faire la moindre remarque sur son caractère ou sa manière de voir les choses, sous peine de vous attirer ses foudres pour un long, long moment si on ajoute à tout ceci sa rancoeur légendaire. → Manipulateur, il l'est tant dans ses affaires que dans sa vie de tous les jours.
Well... It's my story...
La famille Weaver est originaire de Chicago depuis maintenant quatre générations. Immigrés cubains, ils ont pourtant su s'imposer dans les hautes sphères de la vie américaine et vivre à leur manière "l'american way of life". Le petit Nathan voit le jour dans une famille heureuse, parfaite, du moins en apparence. Papa est un magnat des affaires, à la tête d'un véritable empire immobilier dans le quartier des affaires de Chicago et maman dirige sa propre marque de sac à main de luxe. Autant dire que si le couple attendait avec impatience un petit héritier pour l'empire familial, il n'y avait aucune place dans leur vie pour l'éducation d'un enfant, du moins pas de la façon dont l'entendent la plupart des gens normalement équilibrés. Grandissant dans un environnement où il ne manquait jamais de rien et obtenait toujours ce qu'il souhaitait, sa nourrice représentait son seul repère d'autorité, bientôt supprimé quand il fût juger assez grand pou s'auto-gérer. Placé dans une école primaire privé, il effectuait ses déplacements dans une voiture avec chauffeur. Suffisamment cliché pour vous effrayer ? Totalement normal pour la famille Weaver, tout comme pour les gamins fréquentant l'établissement élitiste.
Si il aurait très bien pu se contenter de ne jamais lever un petit doigt et de passer le reste de son existence ainsi, Nathan s'est toujours acharné dans ses études. Etre le "fils de" ne l'intéressait pas et construire sa propre carrière, dans un domaine qu'il aurait choisi, le préoccupait bien plus que de comprendre les rouages du marché immobilier. Déjà très jeune, il fait partie de ces enfants qui savent imposer leurs décisions et mener les autres. Populaire, peut-être trop si on en croit certains psychologues pour enfant que ses parents l'ont forcé à rencontrer au moins une fois par semaine dès qu'il fût en mesure de parler. Cependant, il s'est vite avéré que le petit Nathan souffrait d'un sérieux déficit de compassion. Loin d'être un psychopathe incapable de ressentir toute émotion, il n'arrivait pourtant pas à éprouver de la pitié ou à offrir un traitement de faveur sur le simple compte d'une raison sentimentale.
Si son arrivisme exacerbé et son arrogance démesurée ne lui ont pas fait que des amis, au moins lui auront-ils permis d'atteindre Harvard sans difficulté. Nul ne saurait dire si son dossier impressionnant fut plus d'effet au doyen que le chèque grassouillet glissé discrètement sous le bureau. Mais le résultat fut le même et bientôt, le règne de Nathan s'étendait sur la douce ville de Cambridge après avoir conquis le coeur de Chicago. Le droit s'offrit à lui d'abord par défaut, parce qu'il n'avait pas envie de suivre la même voie que son père, encore moins que celle de sa mère. Et qu'au fond, ce choix-là satisfaisait sa grand-mère paternelle, fervente adepte des avocats depuis que feu son époux avait fait ce choix de profession. C'est donc avec une joie non dissimulée qu'elle avait accueilli la nouvelle, réconciliant ainsi aisément toute la famille autour de ce choix pourtant improbable aux yeux du couple parental.
Elle était belle, avec les cheveux couleur des blés, ça sonne comme le début d'une mauvaise chanson d'amour un peu passé et pourtant, c'est bien ce qu'il s'est dit la première fois qu'il l'a vu dans la bibliothèque d'Harvard. Elle cherchait un bouquin qu'il venait de prendre sur l'étagère, il a oublié jusqu'au titre quand il a vu ses yeux clairs. Le genre de trucs qu'on ne lit que dans les bouquins, et sûrement pas dans un exemplaire du droit pénal, et pourtant c'est bien ce qui s'était passé. Rendez-vous était pris l'après-midi même pour un café, le soir même pour faire plus ample compagnie dans sa petite chambre universitaire. Et le jour d'après, ils ne se quittaient plus. Elle était en première année de droit, lui achevait sa quatrième mais une chose était sûre, ni l'un ni l'autre ne pouvait imaginer sa vie autrement qu'ensemble. La passion dura un temps, plus que ce qu'on peut espérer quand on a la chance de connaître un tel feu dévastateur, la plupart des couples s'essoufflant après les premiers incendies. Mais Nathan et Beverley n'étaient pas comme ça, ils étaient le couple qui survivait, celui qui s'épanouissait, même si l'envers du décor était beaucoup moins rose. Disputes, trahisons, tromperies, les crises ne les ont pas épargné mais ils en ressortaient toujours plus amoureux l'un de l'autre.
Puis le concours du barreau est arrivé. Première séparation peut-être violente quand il a obtenu un stage dans un grand cabinet d'avocat new yorkais. Violente mais nécessaire. Ils se consumaient l'un l'autre, se détruisaient autant qu'ils ne pouvaient s'élever à deux dans d'autres moments. A New York, Nathan a retrouvé sa vie de célibataire, écumant les bars avec ses collègues de boulot quand il finissait ses longues journées, ramenant systématiquement des filles dans l'appartement que son père lui avait cédé du haut de son empire immobilier grandissant sur l'île de Manhattan, toujours différentes. Pourtant, rien n'avait jamais été clairement arrêter avec Beverley et ils s'appelaient régulièrement. Elle lui manquait, du moins, c'est ce qu'il se plaisait à imaginer quand il pensait à ses formes parfaites et le plaisir qu'il avait eu à les toucher.Les aller retours se sont faits de plus en plus fréquents entre Cambridge et NEw York et aux yeux de leurs amis communs, ils formaient le parfait petit couple, séparé par quelques heures de voiture.
Tu n'es pas prêt à hériter Nathan. Tu devrais trouver une femme gentille, avec qui construire une famille. J'aimerais tellement pouvoir le voir avant de mourir. Les mots étaient tombés comme un poids sur son estomac. L'héritage de sa grand-mère paternelle lui était toujours revenu de droit, elle l'avait promis, dès qu'il fut en âge de savoir compter les billets et en apprécier la valeur. Mais jamais il n'aurait imaginé qu'elle revienne sur sa promesse aussi proche de la fin. Et alors il passerait à côté de son beau pactol, celui qu'il comptait utiliser pour acheter cette villa sur Staten Island, avec piscine et jacuzzi dans la chambre, donnant directement sur l'océan. Et elle lui enlevait ça pour une stupide histoire de mariage. Il n'avait rien trouvé à répondre que "je l'ai déjà trouvé". Le week-end suivant, il quittait Chicago et la demeure familiale pour Cambridge pour demander la main de Beverley qui après deux ans de relation, ne devait attendre que ça.
Le mariage fut grandiose, comme toute réception ente deux familles riches, chacune d'un bout à l'autre des Etats-Unis, réunissant ainsi tout le gratin de la nation pour célébrer la réussite des enfants prodigues. San Francisco lui coûta un bras, tout autant pour la bague de fiançailles de Beverley, choisie rapidement dans une boutique de luxe dès qu'il avait posé un pied à Cambridge. Au fond, il pensait vraiment pouvoir construire quelque chose avec elle, peut-être du moins. La passion des débuts s'était assagie mais peut-être que c'était cela, une véritable relation de couple. Madame Weaver mère décéda deux mois plus tard, son insuffisance cardiaque et son âge avancé ayant raison de sa tenacité. Et comme elle l'avait promis, le contenu de ses comptes méticuleusement conservés atterrit sur celui de Nathan Weaver, fraîchement marié à une femme qu'il aimait bien. La vie s'annonçait comme un long fleuve tranquille dans leur belle maison de Staten Island mais tous les contes de fée ont leur fin.
Dès leur emménagement, les problèmes se sont amoncelés et il s'est très vite avéré que Nathan et Beverley n'étaient pas faits pour vivre ensemble et que l'entente parfaite n'existerait jamais entre eux. Il lui avait demandé d'arrêter des études, lui faisant subtilement miroiter l'envie de fonder une famille. La seule vérité dans cette histoire c'est que sa famille à lui, conservatrice à l'excès, voyait d'un mauvais oeil cette relation à longue distance et que finalement, il rejoignait l'avis de son père. Elle l'avait épousé, il était normal qu'elle soit à ses côtés. Mais sa présence est rapidement devenue un handicap. Il n'avait plus envie de la toucher, plus envie de la voir, d'entendre sa voix trop aigue, de supporter ses cheveux trop blonds. Une chance qu'il n'ait pas vendu l'appartement de Manhattan qui devient bientôt son seul refuge à lui. Et il avait beau agir de la pire des façons, elle refusait obstinément de demander le divorce et d'admettre vouloir le quitter. Qu'à cela ne tienne, le combat ne fait que commencer. Et à la guerre, nous disons oui.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Marie & 20 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par le miracle de mes autres comptes '-' ★Ce personnage est-il un double compte ? → En quelque sorte, R.I.P NRT ★Présence sur le forum → tous les jours pendant les vacances ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé avec Bébé. ★Crédit images → tylers & fanpop
Mon exemple de RolePlay:
→ Ah oui, le décalage horaire ça devait être ça dirons nous pour éviter de parler de la fâcheuse tendance de Zaza à constamment arriver en retard partout où elle se rend. « Ouais ça doit être ça. J'ai même pas encore réglé ma montre. » Elle relève la manche de son pull trois fois trop grand qui révèle une peau claire et immaculée … sans la moindre trace de montre. Ah, c'est peut-être pour ça qu'elle ne peut pas se mettre à l'heure puisqu'elle n'a tout simplement pas de montre. Peut-être qu'elle en avait eu une un jour mais elle n'arrivait pas à se replacer la dernière fois qu'elle avait fait vraiment attention à ce genre de détail. Sauf peut-être le jour où elle avait dû prendre l'avion pour rejoindre les états unis, quoique le vol avait bien failli partir sans elle.
L'endroit où ils avaient rendez vous était sympathique. Un peu bruyant, un peu trop propre et factice à son goût mais c'était parfait. Et puis ce n'est pas ce qui lui importait le plus. Elliott n'avait pas changé d'un poil depuis l'Italie et c'était un vrai bonheur que de le revoir, de le serrer dans ses bras. Quant à ce qu'elle allait prendre, elle n'en savait rien. Vivre loin de la civilisation occidentale ne l'aidait pas à rester au courant des dernières tendances gustatives du moment, surtout quand la mode avait tendance à changer aussi rapidement à New York. Bon, au moins les noms qu'il citait lui disaient quelque chose même si elle n'avait pas bu de café que depuis cette petite terrasse romaine, il y a quelques temps. « Tu penses qu'ils font du thé bio ? » Malheureusement pour la plupart de ses proches, son délire nourriture bio et végétarisme n'avait pas encore cessé. Une denrée rare pour une table ? Peut-être qu'ici on ne pouvait pas s'asseoir par terre pour prendre un verre, c'était sûrement le cas d'ailleurs. Elle lui sourit en agitant vivement la tête. Mais soudain, son sourire s'efface, laissant place à la figure figée de l'hésitation. « Non attends … finalement j'veux bien un milkshake au chocolat. » Et puis le chocolat, ce n'était pas interdit dans son nouveau régime alimentaire et il lui semblait qu'il s'était écoulé une éternité depuis qu'elle n'en avait pas goûté. Et à chaque fois qu'elle évoquait le sujet cacao avec les moines tibétains, ils se contentaient de la regarder, de sourire et de faire comme si ils n'avaient pas compris un strict mot de ce qu'elle disait. Elle lui sourit une dernière fois alors qu'il part vers le comptoir, en profitant pour observer les autres clients du Starbuck. Poupées blondes, poupées brunes, toutes grandes, élancées, sexys, habillées comme ces images sur papier glacé des magasines. Et pour la première fois depuis longtemps, en sentant leur regard dédaigneux sur son pull trop grand, ses collants multicolores et ses chaussures dépareillées, elle se sentirait presque bête et concernée par l'avis de ces grandes perches. Elle finit par croiser ses jambes en tailleur, tentant de se faire oublier en tripotant ses boucles rousses en désordre. Quelqu'un finit par tapoter sur son épaule, la faisant légèrement sursauter. « Vous ne pouvez pas mettre vos pieds sur la chaise mademoiselle. » Le regard de la serveuse en dit long sur ce qu'elle pense. Eh bien, la tolérance des bouddhistes et la liberté européenne lui manquaient déjà. Mais elle n'allait pas trop s'en soucier. Ce qui lui importait, c'est de passer une bonne après midi avec Elliott. Et puis il avait sûrement un tas de truc à lui raconter. Bien sage, les pieds au sol, mains sur la table, immobile comme un poteau, elle lui sourit quand il revient avec leur commande. « Merchi » On ne parle pas la bouche pleine mais le chocolat, ça n'attend pas. Reposant le verre après une longue gorgée, elle ébouriffe ses boucles rousses, plus par habitude qu'autre chose. « Alors, raconte moi tout. Ta vie, New York tout ça … T'as fait quoi après Rome ? » C'est vrai que ça faisait un bail et elle avait hâte d'en savoir plus..
Dernière édition par Nathan S. Weaver le Lun 17 Juin - 0:37, édité 7 fois
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 20:14
Mon mariiiiiii !!
Hâte de te foutre la trempe de tes beaux jours, mon chéri
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 20:14
Oh, un enfoiré! Salut. ô_ô
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 20:15
Jesse Williams
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 20:16
re-bienvenue parmi nous rip noah je sens que vous allez tout nous déchirer avec ces persos
ET PUIS LE TITRE
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 20:21
Oui, on a décidé de se pourrir mutuellement la vie, ça changera du kikinou '_'
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 20:43
MOUAHAHAHAHAHA
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 20:52
Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 20:59
Rebienvenu
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 21:18
Re-bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche ! Vous êtes donc deux à vouloir l'avatar de Jesse Williams Le premier qui terminera sa fiche laissera donc un délai de trois jours à l'autre pour terminer la sienne, ensuite le staff départagera & décidera à qui reviendra l'avatar. Bon courage
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 22:16
Rebienvenue
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Dim 16 Juin - 22:30
Re-bienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 0:23
J'avais pas du tout vu que quelqu'un d'autre tentait ce vava '-' bon ben on verra bien, qui ne tente rien n'a rien
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 1:52
RIP Noah.
Re-bienvenue avec ce nouveau personnage.
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 2:09
Pour moi ta fiche est bonne, très agréable à lire comme d'habitude
En revanche et étant donné que vous êtes deux en compétition pour l'avatar de Jesse Williams, il y a un délai de trois jours à respecter, que je donne à l'autre membre avant que nous départagieons vos fiches pour décider à qui revient l'avatar.
Bon courage pour l'attente
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 2:18
Y a pas de soucis ^^ *va faire des macarons pour tuer le temps*
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 6:03
NSW, le meilleur état qui soit Re-bienvenue & excellent choix d'avatar même si Tyler était déjà parfait
Cheyenne L. Pearson
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if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
▌MESSAGES : 5706
▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 9:56
re-bienvenue chez nous
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 12:14
REBIENVENUE CHEZ NOUS JESSE
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 12:15
Bienvenuuue
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 12:47
Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 13:48
rebienvenue
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 14:45
L'autre personne qui tentait Jesse Williams s'est rétracté en raison du délai de 3 jours qui ne lui sera pas suffisant pour finir sa fiche; aussi l'avatar te revient.
Je te pré-valide donc, en attendant qu'une admin vienne t'ajouter à ton groupe. Eclate-toi bien avec ce nouveau personnage
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome Lun 17 Juin - 14:57
Ah ok :/ désolée pour cette personne alors :/ heureusement qu'il y a encore plein de beaux gosses dispo ^^
Merci
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Sujet: Re: NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome
NSW X i'm hunting, looking for a come-up, this is fucking awesome