24 ans → Né(e) à San Francisco le 12/02/1989 → Vendeur et écrivain à ses heures perdues célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → A priori, je pourrais ressembler à un homme quelconque. Quand on me voit de loin, rien ne semble me distinguer de la masse des mortels. J'ai un travail comme tout le monde. J'ai des difficultés financières, comme la plupart des gens de cette ville, des problèmes d'ordre amoureux, des conflits réguliers avec mon propriétaire. Bref, rien d'exceptionnel. Mais au-delà de cette apparence commune, je cache une grande passion que peu de gens connaissent ; quand je rentre du travail, je consacre beaucoup de temps à l'écriture. J'en parle peu car c'est un acte que je considère comme étant intime ; je ne m'en vante pas auprès de mes amis, d'ailleurs peu de gens le savent. Je ne cherche pas à être publié, je le fais simplement pour soulager mon esprit. Je n'ai pas fait de grandes études, j'en n'ai jamais eu les moyens, et je ne me considère pas comme le grand écrivain du XXIème siècle. Non, je me considère comme un simple homme qui a besoin de s'exprimer, et qui le fait par un moyen un peu désuet aujourd'hui, très peu reconnu.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Depuis que je suis tout petit, j'ai toujours été très patient et altruiste ; j'aime écouter les autres, et leur proposer des solutions pour résoudre leurs problèmes. Les relations sociales m'ont toujours fasciné, et j'aime cette diversité présente dans les relations à l'autre ; et souvent, je fais passer mes proches, et ceux que j'aime, avant mes intérêts personnels. La chose que je déteste le plus au monde ? L'égocentrisme et le narcissisme. Les deux vont souvent de pair. En général, je sens les personnes qui sont comme cela ... et je tente de m'en éloigner le plus rapidement possible, car elles me sont néfastes. Au contraire, je préfère les personnes qui tiennent compte des autres dans leurs projets ... car on vit nécessairement en communauté, avec autrui. Et non pas contre autrui. On dit souvent de moi que je suis quelqu'un de sûr, et digne de confiance ; en effet, je suis toujours à l'écoute, et l'on peut compter sur moi, qu'il y ait un problème ou non, je suis apte à tout entendre, si tant est que la relation est réciproque. En fait, je suis assez facile à vivre, j'essaie d'éviter les tracas quotidiens, et les vicissitudes de la vie comme je peux ; j'essaie d'envisager la vie sous son meilleur jour, même si cela n'est pas toujours facile. Je suis aussi quelqu'un de tenace ; lorsque j'ai un projet en tête, ou bien une idée, je ne l'abandonne quasiment jamais, sauf si l'on me montre qu'elle est effectivement irréalisable. Autrement, je me cantonne à ce que j'ai prévu, et je mets en oeuvre tous les moyens possibles pour le réaliser. En fait, je suis trop perfectionniste ; si j'entreprends quelque chose et que cela ne me convient pas, je fournirai tous les efforts possible pour arriver là où je souhaitais arriver initialement, quitte à passer beaucoup de temps dessus. On me dit têtu, borné et acharné. C'est vrai, car je veux que tout soit fait à la perfection ; pour rien au monde je n'abandonnerai quelque chose ... ou quelqu'un. Je suis d'une fidélité exemplaire, toujours sur le qui-vive, prêt à agir à n'importe quel moment. Mais je suis également quelqu'un de susceptible ; j'aime que les choses soient bien faites, mais je n'aime pas qu'on mette en évidence mes limites, ou mes travers. J'ai la rancune tenace, et lorsque je fais preuve de rancoeur, il est souvent difficile de me faire changer d'attitude. Hé oui, têtu comme une mule, comme on dit. Mais bon, personne n'est parfait.
Well... It's my story...
Je suis né il y a presque un quart de siècle. A l'échelle de l'humanité, cela ne représente quasiment rien, mais à l'échelle humaine, c'est déjà énorme. Qui sait combien d'autres quarts de siècle je pourrais vivre encore dans la vie. Plus j'y pense, et plus cela me fait peur. Je suis quelqu'un d'assez peureux ... mais ce ne sont pas des peurs traditionnelles que j'ai, non. Je ne suis vraiment pas comme tout le monde ... je n'ai ni peur des araignées, ni peur des serpents, non, moi j'ai peur du temps qui passe. Je n'aime pas voir les choses changer ou évoluer autour de moi ; je suis constamment focalisé sur les choses que j'ai vécues, et je suis faiblement enraciné dans mon présent. Encore moins dans mon futur, qui n'est qu'hypothétique et virtuel. Je préfère me rattacher à ce qui a été, à des choses effectives, que j'ai connues et dont je ne peux douter. C'est pour toutes ces raisons que j'ai choisi de partir à New York ; c'est peut-être une chose bête, mais lorsque j'ai l'esprit occupé, je ne pense pas à tous ces détails que j'ai évoqués. Quand je travaille, ou bien quand j'écris ou lis, j'oublie l'effectivité de ma vie et tout ce qui va avec, je préfère m'attacher à ces êtres de papiers dont on connaît plus ou moins les destins. Ca a quelque chose de rassurant, mais de difficilement exprimable. La seule chose dont je suis conscient, c'est que je suis comme apaisé quand je travaille ; je me sens en confiance, dans un univers qui me repose, loin de toutes les vicissitudes humaines. Pourtant, rien ne laissait présager que je deviendrais comme ceci avec le temps ; quand j'étais gamin, j'étais plein de joie, j'étais vif et alerte, constamment sur le qui-vive ; j'ai perdu de cette nonchalance enfantine, et je me suis un peu assombri avec le temps. C'est peut-être dû à la manière dont ma famille a évolué au fil des ans. J'ai grandi dans une famille toute traditionnelle, avec des moyens plus que modestes. Mes parents m'ont toujours offert ce que j'ai désiré. Mon papa était médécin, il passait son temps au travail, et son salaire était plutôt confortable ; il nous gâtait. Mes deux soeurs et moi étions quand même gâtés pour notre âge. J'avais le droit à quelques surplus, étant donné que j'étais le seul garçon (et étant donné que j'étais le plus jeune aussi). Mes soeurs étaient parfois jalouses de moi, mais leur jalousie n'était qu'éphémère ; autrement, nous nous entendions parfaitement bien, même s'il y avait quelques tensions, comme entre tous les frères et soeurs. Maman, elle, ne travaillait pas ; les revenus de papa suffisaient à faire vivre la famille entière très convenablement. Pendant qu'il travaillait, maman s'occupait de nous ; elle nous emmenait à l'école, nous faisait faire nos devoirs et j'en passe. Mais un jour, tout cet équilibra se bouscula ; maman nous avait caché que papa était malade. Il mourut tout à coup, sans que ni moi, ni mes soeurs, nous nous y attendions. Ce ne fut qu'après coup que nous pûmes comprendre les attitudes que papa et maman ont eues au fil des mois qui ont précédé : ces pleurs nocturnes de maman, ces absences répétées de papa, qui n'était pas en formation, ou encore moins en congrès, mais en institut spécialisé. De fait, tout changea pour nous ; nous fûmes privés de notre père que nous aimions tant ; les premiers mois furent vraiment difficiles, car nous nous attendions toujours à ce qu'il rentre du travail, à un moment ou à un autre. Mais ce moment n'arriva jamais. La chose la plus étrange fut que nos conditions de vie ne changèrent pas pour autant ; maman trouva un travail qui nous permit de subsister. Et quel travail ! Elle put nous offrir tout ce que nous voulions, comme à l'époque où papa était encore vivant. Jamais je ne me suis interrogé sur l'origine de cet argent. Une fois encore, ce n'est qu'après coup que je compris d'où il venait ; maman se débrouillait tant bien que mal pour nous acheter ce dont nous avions besoin, pour payer les études de mes soeurs. Tout cet argent qu'elle gagnait, c'était à la sueur de son front ... ou plutôt à la sueur de son corps. Si seulement nous nous en étions rendu compte. Elle mourut quelques années plus tard, dans des conditions que j'ignorais, alors que j'étais à l'autre bout des Etats-Unis. Après la mort de papa, je n'avais plus vraiment goût à la vie ; c'est à ce moment-là que je me suis mis à lire. La lecture m'a servi d'exutoire ; elle m'a permis d'exorciser les maux que j'avais en moi, de supprimer toute la colère que je ressentais à l'égard de cette injustice qui nous avait frappé. Je passais la plupart de mon temps dans les livres, à tel point que je me suis éloigné de tous mes amis, y compris de ma famille. Avec le temps, mes soeurs sont parties de la maison ; l'une a fait des études, l'autre a suivi son petit-ami jusqu'au Canada ; puis je quittai la maison à mon tour, désireux de connaître de nouvelles choses, de découvrir de nouveaux horizons, et surtout m'éloigner de cet univers familial, où j'avais tant souffert. J'avais honte de laisser ma mère seule, après tous les sacrifices qu'elle avait faits. Néanmoins, elle me fit comprendre que c'était là ma voie, et qu'elle ne m'en voudrait jamais pour mes choix. J'acceptai ce qu'elle dit mais lorsque j'appris sa mort, je regrettai terriblement mon choix. Je me dis que j'aurais pu éviter ce drame, si j'étais resté à ses côtés. Aujourd'hui, ma vie est plutôt chaotique ; je n'ai plus de nouvelles de ma soeur partie au Canada ; selon les dires, elle serait partie en Europe, pour suivre son compagnon devenu époux, et elle y vivrait une vie paisible. Tant mieux. J'ai quelques nouvelles de mon autre soeur, elle habite à l'autre bout des ETats-Unis, mais nous ne nous voyons que très rarement. La dernière fois où je l'ai vue, c'était il y a deux ans, preuve que je ne lui manque pas ... et qu'elle ne me manque pas plus que cela finalement. Ainsi, c'est pour toutes ces raisons que je suis comme cela aujourd'hui. Je suis quelqu'un de véritablement paradoxal ; ainsi, je reste assez solitaire, et m'attache peu aux gens, de peur de les perdre par la suite, mais j'aime pour autant la compagnie, j'aime écouter les gens et leurs problèmes, ce qui, d'une certaine manière, me fait oublier les miens. Aujourd'hui, donc, je bosse dans un petit magasin new-yorkais, qui me permet de gagner de quoi survivre. Je ne compte pas y rester éternellement, mais j'espère pouvoir évoluer. Evoluer, pour oublier mes démons, les choses que j'ai subies, et revivre
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Antho, 22 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Via forumactif ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 6 jours sur 7 environ. ★Personnage inventé ou scénario ? → Perso inventé. ★Crédit images → Bazzart.
Mon exemple de RolePlay:
→ J'ai retrouvé un vieux RP que j'avais il y a 5 ans, lorsque j'étais plus jeune. Il ne reflète pas vraiment ce que je suis capable de faire, mais ça donne un léger aperçu
Les sept étages que devait monter l'ascenceur semblaient durer éternellement, comme s'il fallait parcourir cent mètres entre chaques étages. Les numéros, sur l'écran lumineux, défilaient on ne peut plus doucement. Rob était accoudé sur la barre métallique de l'ascenseur ; froide et dure qui lui rappelait les fois où il avait pris l'ascenseur durant sa jeunesse, accroché à cette même barre, terrifié à l'idée d'entrer dans ces appareils nauséux. Cette phobie infantile était désormais passée et bien loin derrière lui , aujourd'hui ce n'étais pas cela qui le rongeait.
Comme ça elle habitait sur Aurora Street. une de ses amies y habitait aussi ; Rob connaissait vaguement le quartier. Il y était venu quelques fois, et s'y était perdu aussi quelque fois lorsqu'il voulait retourner chez lui. Ce quartier lui avait pas mal plu, mais Rob n'avait réussi à trouver un appartement peu coûteux. Tous ceux qui étaient éventuellement dans ses moyens, étaient soit infestés d'insectes ou bestioles dérangeantes ou se dégradaient de part et d'autre. Il avait finalement réussi à en trouver un, dans son budget, correctement entretenu.
" Moi, je me suis installé sur Mercer Street , j'ai réussi à en trouver un pas trop cher pour moi ! " avait-il dit à la jeune femme. Installé était toutefois un grand mot. Il aurait plutôt dû dire, " jeté ses cartons dans l'appart " ; tout était sens dessus dessous dans l'appartement et Rob n'avait encore rien déballé depuis qu'il était arrivé. Il n'avait pas vraiment le courage d'ouvrir ses cartons, qu'il avait mis tant de temps à faire et puis il n'en voyait pas vraiment l'utilité. Ses doigts continuaient de tapoter le barre métallique, ce qui émettait un son creux, plutôt agaçant. La présence de Sarah dans l'ascenseur le dissuada de continuer. Il savait pertinemment qu'il pouvait être vraiment agaçant lorsqu'il était stressé. Cela le fit sourire. Il s'imagina alors l'image que Sarah devait avoir de lui ; un garçon au bord de la crise de nerf, sous pression, complètement inintéressant. Ses lèvres se crispèrent. Il regarda la jeune femme, et lui dit d'un air désolé :
" Je suis désolé de t'embêter avec ça ... tu dois avoir du travail à faire, et moi j'arrive et te monopolise complètement ... vraiment désolé "
Rob se gratta la tête, nerveusement et s'adossa contre la paroi vitrée de l'ascenseur, plutôt sale et recouverte de traces de doigts, dont on pouvait s'interroger sur leur provenance. Le chiffre 6 était à présent inscrit sur l'écran lumineux, il allait bienôt arriver...
Dernière édition par Rob C. Hawkins le Lun 1 Juil - 1:21, édité 2 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Présentation de Rob Dim 30 Juin - 23:02
Je te souhaite la bienvenue je crois que t'as un souci de code !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Présentation de Rob Dim 30 Juin - 23:14
Bienvenue parmi nous, super choix d'avatar Bon courage pour ta fiche
& effectivement je pense qu'il y a un petit souci de code
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Présentation de Rob Dim 30 Juin - 23:15
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Présentation de Rob Dim 30 Juin - 23:18
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Présentation de Rob Dim 30 Juin - 23:20
Merci à tous Je vais essayer de changer tout ça ^^