Sujet: Ivy ~ Le ver de terre amoureux d'une étoile, ça va un moment. Lun 1 Juil - 15:57
FEAT. DOUTZEN KROES
Ivy Stella LAWRENCE
26 ans → Née à New York le 20/07/1987 → Danseuse professionnelle célibataire → hétérosexuelle → membre des Beauty Queens.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Elle fait attention à elle, au niveau vestimentaire elle s’habille toujours à la dernière mode ; elle prétend très souvent être au régime et se permet que très rarement de manger quelque chose de calorique. Elle se maquille dès le réveil, c’est une véritable obsession d’avoir l’air au top en permanence, qu’elle soit obligée de sortir de chez elle ou pas. Elle ne sort jamais sans parfum. Elle laisse quasiment tout le temps ses cheveux lâchés quand elle le peut, pour conserver un côté sauvage. Elle a ce tic de regarder en premier lieu, les mains chez un homme ; elle craque facilement pour un regard azur ou émeraude ; elle préfère les garçons musclés ; elle privilégie le physique au moral. Elle sort régulièrement, seulement dans des lieux de sa classe sociale pour ne pas être mélangée aux autres dont elle se méfie. Elle a une très belle voix mais préfère se consacrer à la danse. Ses jambes ont souvent le don de faire tomber les hommes comme des mouches, elle en profite pour les rendre plus belles avec des talons hauts. Elle aimerait se faire tatouer « breathe » mais n’ose pas car elle sait que c’est mal vu à son travail. Elle aime les animaux, les fleurs, les films à l’eau de rose, le jazz et le rock. Elle n’a pas que la danse comme passion ! Elle adore le cinéma, la musique, le sport en général et la littérature. Elle passe souvent la main dans ses cheveux et mord fréquemment sa lèvre inférieure. Elle hait les gens qui se rongent les ongles, elle trouve ça sale.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Ivy, c’est le genre de fille qui parait prétentieuse, qui a tout d’une garce ou presque mais qui au fond, n’a pas si confiance en elle que ça. Pourtant, elle est loin d’être timide, elle va toujours droit au but, dans n’importe quelles circonstances. Elle est prête à tout pour atteindre ses objectifs. Elle abuse souvent de son physique car elle sait qu’il en fait tomber plus d’un et elle a du mal à supporter qu’un homme puisse lui résister. Elle est capable de tout pour les faire craquer, elle est très sensible – ses sentiment sont décuplés, qu’ils soient bons ou mauvais - et elle peut devenir rapidement jalouse. Elle prend un air hautain avec un certain nombre de personnes, souvent moins fortunées qu’elle. La demoiselle est assez caractérielle en fait, elle est capable de faire des scènes au point de casser la vaisselle. Elle ne supporte pas l’échec ce qui peut la vexer au point de la rendre arrogante : c’est une véritable perfectionniste. Ivy est une très bonne observatrice. Il lui arrive d’être narcissique, de se croire la meilleure et que personne ne peut la dépasser, à tous les niveaux. C’est une fille très superficielle, toujours attirée par le luxe et la beauté. A l’école, c’était la première de la classe, et ce jusqu’à ses études de danse : elle avait tout de la petite amie idéale, belle et intelligente bien que trop possessive. Même si elle a toujours l’air antipathique, elle a un grand sens de l’humour. Elle est aussi capable de camoufler ses émotions –souvent par le rire ou par un humour assez noir -, comme si elle n’avait pas de cœur, c’est une femme courageuse face à toutes épreuves. Elle aime braver les interdits. Elle représente l’handicapée des sentiments par excellence, elle craint toujours d’être déçue par les hommes, voilà pourquoi elle préfère les histoires d’une nuit. Elle ne sait pas faire des compliments, on s’imagine toujours qu’elle se moque de la personne. Elle est indépendante mais aime quand on s’occupe d’elle – sans l’étouffer bien sûr.
Well... It's my story...
Tous ces médecins s’agglutinaient autour de moi pour que je leur fasse part de tout ce que j’avais retrouvé dans mes souvenirs, plus ou moins avec l’aide de mes proches. Comme s’ils essayaient tous de reconstituer mon cerveau… Mais qui leur dit que j’avais envie de savoir ?
« Racontez-nous, Ivy. Dites-nous ce que votre père vous a remémoré. »
J’avais tout. Absolument tout pour être heureuse. J’étais riche, j’étais belle et le plus important, j’avais des tas de souvenirs, bons ou mauvais, peu importe : ils font ce que nous sommes. Parfois, on se dit qu’on aimerait bien oublier certaines étapes de notre vie mais elles sont toutes essentielles, même des petites choses bêtes. Mais quand on n’a plus de souvenirs, qu’on n’a plus grand-chose à quoi se raccrocher, croyez-moi : on veut se rappeler de notre passé.
Mon père était le chef d’une grande entreprise – ce qui faisait que ma famille était dotée d’une assez grosse fortune -, ma mère une artiste. Plus particulièrement, une danseuse. Elle n’était que rarement à la maison car elle travaillait dur pour avoir le rôle principal des scènes les plus prestigieuses mais j’étais fière d’elle, je savais qu’elle était une des meilleures ballerines, alors je ne pouvais pas lui en vouloir. En plus, c’est elle qui m’a transmis cette passion, depuis que je suis petite, je danse au moins une fois par semaine, que ce soit pour le plaisir ou dans un cours. On me disait souvent que j’avais du talent, mais ce n’était pas pour rien : quand je dansais avec ma mère, elle était très sévère et capable de me faire recommencer chaque chorégraphie en entier si une seule petite chose n’allait pas. Il faut avouer que cela m’a aidée à progresser et à devenir une des meilleures comme elle. J’étais capable d’y travailler jour et nuit s’il le fallait car je savais que c’était ce que je voulais faire. Peu importe ce que je devais traverser pour y arriver, je devais atteindre la perfection.
D’après mon père, ma mère est décédée d’une crise cardiaque quand j’avais quinze ans et il s’est occupé de moi comme il fallait. Ce dont je doutais un peu comme je n’avais plus aucun souvenir de ma vie avant l’accident de voiture. Je ne peux pas m’empêcher de me dire qu’ils me mentent tous autant qu’ils sont mais je sais qu’il faut que j’avance.
Il m’a aussi parlé d’une histoire d’amour que j’ai eue par le passé et c’est là que je réalise qu’on devait être très proches pour qu’il soit au courant d’autant de choses. Il parait que je n’ai jamais autant aimé un homme que celui dont je m’apprête à vous parler. Lorsque je pratiquais la danse classique et la modern-jazz dans un club, on m’a dit que je fréquentais un garçon dénommé Noah. Au début, on ne faisait que se croiser puis, lors d’un gala de danse, après le spectacle, il avait enfin osé m’aborder alors que mon père m’attendait patiemment à la porte de la salle. J’avais vingt ans à cette époque.
« Tu as vraiment assuré ce soir. »
« C’est à moi que tu parles ? »
Après ça, il se mettait à rire comme si j’avais posé une question stupide. Je le regardais de haut et me retournais pour rejoindre mon père qui était déjà prêt à partir, or, le garçon me retenait par le bras :
« Tu vois quelqu’un d’autre dans la pièce ? »
Je lui répondais d’un air désagréable :
« Ben ouais… Mon père. »
Il soupirait. Ça se lisait dans mon regard que j’étais fière de l’exaspérer.
- Point de vue de Noah –
Elle avait ce talent que je n’avais pas. On disait que je dansais bien mais rien de plus, on ne pensait pas que j’arriverai à faire carrière grâce à ma passion. Je savais qu’elle y arriverait un jour, peu importe ce qui se mettrait en travers de son chemin Elle n’avait pas l’air de comprendre que j’avais eu le coup de foudre pour elle… Il faut dire que c’était une vraie peste mais qu’est-ce qu’elle était belle ! De plus, elle était gracieuse et je ne pouvais pas résister à son rire… Elle avait tout pour me plaire, je savais que je ne lui étais pas indifférent et j’avoue que j’en jouais un peu… Son père avait l’air de s’en foutre complètement que je sois avec elle, ou alors il en faisait exprès. Peu importe, je décidais de m’emparer de ses lèvres avant lui souhaiter bonne nuit et de m’en aller, la veste sur l’épaule.
Aujourd’hui, elle ne me reconnait même plus mais j’ai appris des tas de choses après le fameux accident… Elle m’avait plaqué un peu avant, comme si elle se fichait de tout ce qu’on avait vécu et du pardon qu’elle m’avait accordé lorsque je l’avais trompée… Il faut avouer que j’ai souffert du fait qu’elle m’ait caché un avortement, moi qui rêvais tant de fonder une famille comme tous les hommes normaux, c’était foutu parce qu’elle avait été trop égoïste, qu’elle n’avait fait que penser à sa carrière. Je vous dis pas comment ça m’a achevé tout ça… Le pire, c’est qu’elle veut que je l’abandonne alors que j’ai passé mon temps à attendre à ce qu’elle me reprenne… Si c’est ce qu’elle veut, très bien, je disparais.
- - Point de vue d’Ivy -
Mon père était venu voir si je me souvenais bien de tout ce qu’il m’avait raconté concernant ma vie d’avant et les médecins étaient optimistes.
« Il y a des chances pour qu’elle recouvre la mémoire, c’est en bonne voie mais il faudra encore patienter. »
Qu’est-ce que ça pouvait m’énerver qu’ils parlent entre eux comme si je n’étais pas là ! Comme si je n’étais qu’un enfant qui ne comprenait rien… Pff, je préférais les ignorer et faire comme si de rien n’était. D’ailleurs, je n’étais même plus sûre de vouloir me souvenir de tout ce que j’avais traversé.
Aujourd’hui, y a ce gars, le dit-Noah qui me harcèle, qui me dit qu’il faut que je lui laisse une chance mais je me fiche complètement de lui… Je lui ai demandé de disparaitre et apparemment, c'est ce qu'il a fait, et c'est tant mieux. Je veux juste danser à nouveau et débuter une nouvelle vie, quitte à ne plus avoir de souvenirs…
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Emy, 16 ans. ★Comment es-tu arrivée ici ? → A cause Grâce à une vilaine tentatrice qui pour ne pas la citer, elle joue Samuel, Soren et Logan. (a) ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Au moins 2 fois par semaine et au maximum 6/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé. ★Crédit images → Winkleboss (bazzart) + live journal - sea poke.
Mon exemple de RolePlay:
→ Le lundi… ça pourrait presque être mon jour préféré si ce n’était pas le jour de reprendre le travail… Je commence bien la journée : le réveil sonne, je tape dessus et l’envoie valser contre le mur. Raté, il déclenche la radio, une station de hard-rock. Non, je ne pourrai pas me rendormir. J’ai du mal à me souvenir de ce que j’ai fait ce week-end… ! J’ai peut-être passé mes nuits à danser sur Just Dance, ou tout simplement en boite. Je pose le pied par terre, c’est un grand effort, surtout ce matin. C’est trop duuuuur ! Je râle car je marche sur le chat et qu’il se rebelle. Saloperie, il m’a griffée. C’est bon, je suis réveillée ! Je lui cours après, un chausson à la main. Je tente de le lancer sur lui, mais il atterri dans une plante et renverse son intégralité sur le parquet. Je m’agite, je vais tout nettoyer. Ça y est ! Je suis de mauvaise humeur… Je vais prendre mon petit déjeuner. Je sors des pancakes de la veille, il y en a une quantité astronomique. Je vais chercher la pâte à tartiner, puis la bouteille de jus de pamplemousse rose. Et je suis déjà en retard, tout ça à cause de ce chat ! Il est vraiment pénible ! J’avale tout ça en quatrième vitesse, je rangerai ça plus tard et je me déshabille sur le chemin de la salle de bain pour gagner du temps. C’est ma fête aujourd’hui ! A peine levée, que le type de l’immeuble d’en face s’amuse déjà à me mater ! Je pique un sprint pour tirer le rideau de la fenêtre d’où ce pervers m’regarde. Je saute littéralement dans la douche, et merde : eau froide. Tant pis. Je me dépêche, j’essaie de ne pas y penser.
Quelques minutes après, je suis sortie. Je marche très vite en direction de ma chambre, je sors tout de mes tiroirs, je choisis des sous-vêtements noirs au hasard, puis des collants. Je fouille dans mon placard et en sors une robe blanche dont la taille est entourée par une ceinture noire. Je cherche mes escarpins partout, blancs ou noirs, je m’en fiche ce matin ! Tant que ça va avec… Enfin, je mets la main dessus. Ma chambre est sans-dessus-dessous. Encore une fois, je rangerai plus tard. J’ai pas que ça à faire, là. Je fais en sorte de ne rien oublier dans mon appartement, je vais chercher mon sac, puis ma veste en cuir. J’attrape mes clés, puis claque la porte derrière moi. Je la verrouille, j’attends l’ascenseur, je rentre dedans et vais dans le garage jusqu’à ma Smart rouge et noir. Ce n’est pas une voiture de pétasse, OK ? Bon.
Je grimpe dans ma voiture, avec un peu de bol, j’avais encore une chance d’arriver à l’heure au bar et de ne pas me faire engueuler par le patron. C’est pas vrai… Mais démarre ! Ohlala, c’est mal barré… Au pire, je poserai un jour si j’ai vraiment pas la foi d’y aller, quoi que… ça ne fera qu’aggraver mon cas. Eh merde… Elle ne veut pas démarrer, cochonnerie de bagnole… ! Je sors, je vais soulever le capot, je regarde s’il y a assez d’huile. On dirait que le problème n’est pas là. Puis j’entends un type qui siffle. Aaaah ! Qu’est-ce que ça peut m’énerver ça le matin ! Surtout quand on est lundi et que je pourrais gagner le trophée de la fille qui a la flemme d’aller au boulot. Décidément, ce n’est pas mon jour… Je remarque que l’oiseau est sexy, miam ! Roooh Dae ! Ne pense pas à ça dès le matin, c’est pas très sérieux. Au pire, y a une banquette arrière… PAN ! Il me propose son aide, la honte ! Le pire, c’est qu’il me vouvoie… Je tournais la tête vers lui, je le regardais de bas en haut. Je m’apercevais aussi qu’il était bien foutu et finissais par le fixer, droit dans les yeux. Je suppose que n’importe quelle fille aurait pu mourir pour être dans ma situation, mais je m’en fiche, je suis trop ridicule ! Et lui rétorque sèchement : « Vous avez que ça à faire ? Non, merci ça ira. »
Dernière édition par Ivy S. Lawrence le Ven 5 Juil - 1:45, édité 5 fois