→ Jorden m’était clairement tombée dessus. Je ne m‘étais jamais imaginée avec lui avant cette fameuse nuit. Il ne ressemblait en rien à l’idée que je m’étais faite de mon futur mari. J’avais beau être une bêta et garce endurcie, il m’était arrivée d’imaginer la tête de mon futur époux. Et pour tout vous avouez, il ne ressemblait en rien à Jorden. Jorden dégageait quelques choses de bien plus charmant. Pour tout vous avouez, cet homme envoûte depuis Vegas et ne cessait de me surprendre. J’étais devenue heureuse et ma ligne de conduite était aujourd’hui exemplaire. Bien loin du fiasco que j’avais pu faire depuis l’accident de mes parents. Il était devenue en quelques mois, ma force et ma faiblesse. Son parfum me calmait aussitôt, ses bras m’apaisaient. Il n’y avait pas meilleure endroit au monde qu’ici. Et pour tout vous avouez, l’envie de rester là plutôt que d’aller rencontrer son père était très forte. « Moi un acheteur compulsif ? N’importe quoi ! Et puis si ça ne te plait pas, je peux aller le rendre hein ». Allez rendre ce magnifique bijoux ? Il en était hors de question. J’avais beau aimer les choses simples, comme un jolie dessin. J’aimais ce collier. J’eu un sourire au lèvre et finis alors par rire. J’avançais mon visage pour pouvoir l’enfouir dans le cou chaud de monsieur Rosenbach. Delà, je lui mordillais la lobe de son oreille. « N’y compte pas Rosenbach, il est à moi maintenant. Tout comme toi ». C’était mignon mais totalement véridique. Il était à moi et à personne d’autre. Je finis par lui faire un petit bisou dans le cou et me décolla un peu avant qu’il ne me dise : « Il est encore temps d’annuler tu sais ». L’envie y était mais je me devais d’y aller. Pour lui et pour moi.

Après notre tendre moment, il était temps pour nous de prendre direction de l’aéroport. L’aéroport, un endroit que je ne chérissais pas. Ce moyen de transport était loin de me rassurer. Je profitais encore des derniers instants de tendresse pour prendre la route. Une fois arrivée, nous rentrions dans l’appareil pour se poser confortablement. Certes, l’avion Rosenbach était très confortable mais il restait néanmoins une machine que je n’aimais pas. Je regrettais d’avance, cette bonne vieille voiture que nous avions laissé sur le parking. « Ne me regarde pas comme ça, le jet privé c’est une idée de mon père » supeeeeeeeeeeeeeer. J’eu un léger sourire pour ensuite porter mon attention sur tout ce qui m’entourait. En réalité, j’étais plutôt en train d’analyser les mesures de sécurité qui s’offrait à moi. Si sa trouve, le père Rosenbach ne souhaitait qu’une chose ? Ma mort imminente. J’étais clairement en pleine paranoïa. Mes mains étaient définitivement soudée à mon siège. « Tu n’as pas peur de l’avion au moins ? » si j’avais peur, blaaaaaaague. J’eu un petit sourire et dis : « bien sur que non, j’ai pris plein de fois l’avion » dis je avec un tout petit sourire. ouaiiiiiii et vive l’angoisse à chaque fois. Je n’avais vraiment rien d’une Rosenbach. L’argent n’était pas ce que je convoitais le plus, les jets privées n’étaient pas ce que j’appréciais le plus au monde. J’avais en réalité du soucis à me faire. Nous étions face à face. Je me levais vite fait pour rejoindre le siège qui se trouvais juste à cotée de Jorden. Je pris assez vite la main de Jorden et finis par lui dire : « j’ai vraiment hâte d’être à ce soir ». Il n’y avait rien de bien excitant, juste un bon lit bien chaud. Les portes se fermèrent. Le jet commença à bouger et je finis par dire en prenant le visage de Jorden : « Jorden tu sais que tu es surement l’une de mes plus belles rencontrent. Tu m’as littéralement sauvé et je t’en serais toujours reconnaissante. Tu sais l’autre jour au bal, tu m’as dit que tu m’aimais ? » finis-je par dire en souriant. « Je crois que je suis amoureuse de toi. Tu m’es tombée dessus. Mais je crois que je t’aime vraiment » Je lui souris. J’avais ce besoin de lui dire ça maintenant avant le décollage mais aussi avant de rencontrer son père. Cette déclaration avait les allure d'un au revoir mais à vrai dire, il était hors de question pour moi de mourir sans lui avoir dit ces choses qui sont essentielle. « Je t’aime Rosenbach ! » Quoi de mieux, qu’une jolie déclaration avant le décollage et avant la présentation de papa Rosenbach ? « Maintenant s’il te plait tient moi la main parce que j’aime mais alors pas du tout le décollage » dis-je avant de l’embrasser et de rigoler.