23 ans + née à Liverpool, Royaume-Unis le 04 février 1990 + mannequins & modèle nu (peinture) + célibataire + hétérosexuelle à tendance homosexuelle (non assumée) + membre des rebels.
And who am i ?
★ Quelles sont tes caractéristiques?
+ ces initiales lui font toujours penser à Brigitte Bardot, qu'elle admire + elle est végétarienne + elle a énormément voyagé + elle aurait aimé avoir une sœur ou un frère + elle adore le caramel + elle n'a pas été scolarisée comme les autres enfants + elle se sent très à l'aise avec des talons + dès qu'elle conduit, elle ne peut s'empêcher de chanter + grâce à son nom de famille, on se souvient généralement d'elle + c'est une ancienne anorexique + une présence féminine lui a manqué lors de l'adolescence + elle suit des cours de tango + elle est fan d'Antonio Banderas + elle est polyglotte + elle est toujours vierge et se réserve pour son mariage + elle met de la cannelle, dans presque tous ses desserts + elle est fan de Madonna + elle connaît tous les Walt Disney + elle adore les enfants + c'est un vrai Gaston Lagaffe au féminin + elle rougit rapidement + elle adore l'hiver + elle a peur des aiguilles + elle adore le football + elle n'aime pas tellement être seule + elle manque de confiance en soi + plus jeune elle a prit de la drogue + elle aime tester de nouvelle coupe de cheveux + elle aimerait garder tous les vêtements qu'elle porte lors des shootings + elle est toujours gênée quand les gens parlent de sexe + elle collectionne les peluches.
+ Si d'apparence j'ai l'air d'être une petite fille modèle et sage, je vous conseille de vous méfier de l'eau qui dort. Je suis une personne très coléreuse et j'aime me bagarrer. Je cherche les gens assez facilement et souvent pour pas grand-chose il faut le reconnaître. Le pire est si quelqu'un commence à critiquer mes parents. J'ai deux pères oui et alors ? Je ne supporte pas qu'on puisse les critiquer. Je me fiche que l'on critique les homosexuels, du moment qu'on ne touche pas à ma famille. Il ne faut pas trop me chercher c'est un fait et beaucoup en on fait les frais. Cependant, je peux aussi être assez réservée avec les personnes que je ne connais pas. On me dit souvent que j'ai un côté un ange et un côté démon. Apparemment cela choque les gens, qui ne me connaissent pas de voir que je puisse avoir des traits de caractères aussi différents. Je dois avouer que le côté rebelle, qui cherche tout le monde est apparu pendant mon adolescence. Et si je me suis calmée, il m'arrive encore d'avoir envie de crier et de m'énerver sur tout le monde. + Je suis aussi une personne extrêmement gaffeuse. Combien de fois ai-je pu me prendre les pieds dans rien du tout ? Échapper ce que j'avais dans les mains ? Renverser quelque chose ? Je ne sais pas, j'ai arrêté de compter il y a un moment... J'ai deux mains gauches et il est vrai que parfois cela peut-être exaspérant. Mais, si cela dérange les gens, sachez que pour moi c'est deux fois pire. J'essaie pourtant de faire des efforts, mais on me compare toujours avec Gaston Lagaffe. + En plus de cela, je suis aussi assez bordélique, je dois le reconnaître. Je déteste ranger mes affaires et mon appartement se retrouve vite dans un bordel monstre. Sauf que c'est mon bordel et que moi ça ne me dérange pas. Ce n'est cependant pas du goût de mes colocataires qui ne cessent de me répéter que je devrais mieux ranger mes affaires. Je fais un effort pour les pièces communes (mais ça me coûte), en revanche dans ma chambre c'est le craquage complet. C'est cependant un bordel propre, vous ne retrouverez pas de vieux morceaux de pizza (parce que je n'en mange pas), ou des gâteaux dedans. Non, c'est plus des habits, des chaussures ou des papiers. Mais, je m'y retrouve totalement. + J'ai aussi un côté très enfantins. Je fais la collection de peluches, ma chambre en est rempli et j'ai des pleins cartons chez mes parents. Je connais tous les Walt Disney par cœur et je regarde toujours les dessins animés à la télévision. Je sais que je suis une adulte, mais avec tout ce que j'ai traversé, je pense que je suis autorisée à pouvoir régresser de temps en temps. Je n'en suis pas moins une personne de confiance, enfin cela dépens pourquoi tout de même. J'assume totalement ma part enfantine et il paraît même que cela à son charme.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton âge ; margaux (banana nutella) + 24 ans. ★Comment es-tu arrivée ici ? je suis installée depuis plus de trois ans. ★Ce personnage est-il un double compte ? chronologiquement c'est le quatrième, mais sur le deuxième compte ( Callie) ★Présence sur le forum ; squattage intensif. ★Personnage inventé ou scénario ? inventé. ★Crédit images ; (image) tumblr + (avatar) wild heart + (icon) cupcake645 @LJ
Mon exemple de RolePlay:
tom highfield-evans & callie darling
waiting in the car... waiting for a ride in the dark, drinking in the lights. following the neon signs, waiting for a world looking at the milky skyline. the city is my church, it wraps me in its blinding twilight.
Callie avait dû appeler Tom à la rescousse, elle n'avait pas eu le choix. Faire appel à une vendeuse avait clairement été exclue et impensable. Non, la seule option possible, avait été Tom et au final, elle avait bien été contente d'avoir proposé qu'ils viennent acheter des affaires ensemble. Forcément son urgence, n'en était une que pour elle et elle en avait bien conscience. Sa pensée se confirma quand Tom ne put s'empêcher de se moquer d'elle avant d'entrer dans la cabine d'essayage. En temps normal, elle aurait fait une réflexion, mais comme elle avait besoin de lui, elle s'abstient de tout commentaire. Tout ce qu'elle voulait, c'est qu'il l'aide à enlever cette foutu robe dans laquelle elle était coincée, rien de plus. D'ailleurs quand ce fut fait, elle ne pu s'empêcher de soupirer, avant de regarder dans le miroir les traces de lutte. Des marques rouges au niveau du coup, ce qui était totalement normal et un sentiment de soulagement. Callie se sentait beaucoup mieux maintenant que Tom l'avait aidé. Elle ne rhabilla même pas, trop heureuse d'être libéré de cette robe qu'elle n’achèterait clairement pas. Être en sous-vêtements devant lui, ne la dérangeait absolument pas, ce n'était pas la première fois et il l'avait même vu sans, alors franchement elle n'allait pas jouer les pudiques devant lui, surtout qu'elle était enceinte de lui. Heureusement, cela ne se voyait encore pas trop, ce qui lui permettait de faire ce qu'elle voulait sans aucune aide. Et surtout, elle était au début de sa grossesse, avec les hormones qui la travaillaient beaucoup. Beaucoup trop, même. Maintenant qu'elle était ici, avec lui, les pensées de Callie devinrent de moins en moins innocente. Même si Tom l'énervait, elle ne pouvait pas dire qu'il ne l'attirait pas, avec un enfant et un autre en cours, cela aurait été clairement se moquer. Et là, tout de suite, maintenant, il était beaucoup plus attirant que d'habitude. Peut-être le fait, qu'ils soient si proche dans un endroit si petit. Ou le fait qu'il l'avait aidé, alors qu'il aurait pu se moquer d'elle et la laisser se débrouiller seule. Ou les hormones qui avaient décidé de se manifester. Ou un mélange de tous... Dans tous les cas, elle n'allait pas laisser passer sa chance. Il pouvait très bien l'envoyer balader, la prendre pour une folle ou autre, elle s'en moquait. De toute façon, quoi qu'il fasse, il ne pourrait pas se débarrasser d'elle, alors elle n'avait clairement rien à perdre et tout à y gagner. Elle avait réfléchi à tout cela, tandis qu'elle avait examiné les traces laissaient pas la robe. En se retournant pour mettre son plan à exécution, elle remarqua qu'il ne la regardait pas. Soit elle le dégoûtait -ce qui serait nouveau-, soit il faisait sa chochotte -ce qui ne l'étonnait pas-, soit il ne voulait pas la regarder parce qu'elle était toujours en sous-vêtements. Au final, elle ne s'arrêta pas à cela et se rapprocha de lui, avant de le remercier, encore une fois, et de l'embrasser. Avec lui, elle n'avait absolument pas peur de faire le premier pas. C'était une chose, qu'elle appréciait. Avec Tom, elle pouvait être réellement elle, parce qu'ils n'avaient pas de vraie relation et qu'elle ne cherchait pas à le séduire en permanence.
À moitié nue, devant lui, dans la cabine d'essayage, Callie attendait une réaction de sa part. Elle venait de l'embrasser et elle n'allait quand même pas le violer. S'il la repoussait, son égo en prendrait clairement un coup et elle serait capable de lui en vouloir pour cela, mais elle ne ferait rien d'autre. Elle espérai quand même qu'il se produirait le contraire. Il prononça son prénom d'une voix qui n'était pas vraiment détendue, mais il ne la traita pas de folle. Elle resta, là, devant lui, le regardant, attendant la suite et ce qu'il voulait faire. « Mais non, il ne peut rien se passer de plus qu'il ne nous est déjà arrivé. » Étant déjà enceinte, elle ne risquait plus rien de ce côté-là. Et puis, elle ne lui demandait pas de l'épouser, seulement de coucher avec elle. « Si, complètement. » Oh, que si. Elle savait très bien ce qu'elle venait de faire et elle avait pleinement conscience de ce qu'elle voulait faire d'autre avec lui. C'était le genre de phrase qui donnait l'impression qu'il essayait plus de se convaincre que de les penser réellement. Finalement, il se rapprocha d'elle afin de l'embrasser à son tour. Une excellente décision selon Callie. Quand ses mains se posèrent sur son ventre, elle ne put retenir un frisson. C'était physique, elle ne contrôlait plus grand-chose, ses hormones se chargeaient clairement de tout. Elle entreprit de le déshabiller un minimum. Comme ils se trouvaient dans une cabine d'essayage, il était évident qu'il fallait faire quelques modifications. Sa peau était beaucoup plus chaude, son souffle beaucoup plus cour et elle ne pensait plus à rien. Sans vraiment faire attention, elle se recula jusqu'à être contre un des murs de la cabine. Ses mains entreprirent d'enlever la veste de Tom, avant de la mettre par terre. Elle n'avait pas le temps de la poser ailleurs. Avant de continuer dans cette voix, elle attira Tom plus près d'elle, histoire de sentir son corps contre le sien. Elle n'avait que très peu cessé de l'embrasser, parce qu'elle n'y arrivait tout simplement pas et qu'elle n'en avait pas envie. Maintenant qu'ils avaient commencé, elle ne pouvait tout simplement pas arrêter, elle avait bien trop envie de lui.
Il n'y avait rien à dire. Inutile de parler, son corps parlait suffisamment pour elle. Pratiquement dès qu'il la touchait, elle avait des frissons, parce qu'il lui faisait de l'effet. Les hormones de sa grossesse en plus, c'était un cocktail assez explosif et totalement inédit. C'était la première fois, qu'elle laissait aussi libre court à une pulsion de ce genre, alors qu'elle était enceinte. Maintenant que les choses avaient bien commencé, il était impossible de s'arrêter maintenant, au risque de la frustrer à vie. De toute façon, elle était déjà en train d'essayer de déboutonner son pantalon.
Dernière édition par Billie I. Bradshaw le Lun 30 Sep - 11:37, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: strike a pose » BILLIE. Sam 28 Sep - 13:44
Well... It's my story...
Chapter one, les débuts.
Il est évident que j'étais une enfant très désirée. Mes pères rêvaient d'avoir un enfant depuis des années, mais ils ont bien mieux plus de cinq avant de m'avoir dans leur bras. Je suis donc venue au monde avec l'aide d'une mère porteuse, que je ne connais absolument pas. De toute façon, cela n'a aucune importance, je n'ai pas eu besoin de mère. Mes pères ont tenu leurs rôles à la perfection et je n'ai jamais eu l'impression d'avoir eu une moins bonne éducation parce que j'avais deux papas et pas de maman. De toute façon, je n'ai pas connu les moqueries à l'école puisque quand j'étais petite je n'avais pas conscience de cela, tout comme mes copains de garderie. Ô bien sûr je voyais bien que contrairement aux autres enfants je n'avais pas de maman. Je me souviens avoir posé la question à mes parents un jour. Si l'un l'a très bien pris, l'autre m'a tout de suite demandé si je manquais de quelque chose pour poser une telle question en plein repas. « Non, papa. Je me demandais juste pourquoi ma maman à moi n'était pas là. Il paraît qu'il faut absolument une maman pour avoir un bébé. » J'avais entendu cela par une copine qui se la racontait à soi-disant tout mieux connaître que les autres. « Ma chérie, tu n'as pas totalement raison. Il faut une femme et un homme pour avoir un bébé, mais pas forcément une maman. Et ton père et moi, avons besoin d'une femme pour t'avoir, mais tu n'as pas de maman, parce qu'on aime les hommes tous les deux et non les femmes. » Ce soir-là, je n'ai pas cherché plus loin. La réponse me suffisait et j'avais hâte de pouvoir clouer le bec de cette Nancy, qui se la racontait beaucoup trop à l'heure du goûter. Le fait d'avoir deux papas, ne m'a donc jamais posé de problèmes. C'était parfaitement normal pour moi. Je ne manquais pas d'amour et j'avais la même éducation que les autres enfants. Je voyais un de mes pères moins souvent, à cause de son travail et j'entendais mes parents se disputaient à cause de cela. Une famille tout ce qu'il y avait de normale. J'allais pourtant apprendre plus tard, que ce genre de choses dérangeait. Quand j'ai eu huit ans, nous avons déménagé en France. Mon père, neurochirurgien réputé venait de se faire offrir un poste à Lyon et il ne pouvait pas refuser cela. Je fus déscolariser à partir de cette époque. Mon autre père, étant père au foyer, il me faisait l'école à la maison lorsque nous étions en France. Et le reste du temps, nous le passions à visiter la ville et les environs. Il connaissait tout. Ne connaissant pas la langue, j'ai mis longtemps à m'adapter là-bas et le fait de ne pas aller à l'école avec les autres filles, ne m'a pas vraiment aidé non plus, il faut le reconnaître. Nous sommes restés deux ans à Lyon, avant de déménager de nouveau. Le travail de mon père était important et il avait la bougeotte aussi, ce qui ne l'aidait pas à se poser quelque part et à y rester. Je ne garde pas beaucoup de souvenirs de Lyon, parce que je suis restée beaucoup dans mon coin avec mes parents.
Chapter two, la rébellion.
À l'âge de dix ans, je suis donc partie vivre en Nouvelle-Zélande. Un pays très loin de mon Angleterre natale, mais au moins là-bas, ils parlaient l'anglais. Pendant deux ans, c'est encore mon père qui m'a fait l'école à domicile. Je dois reconnaître que j'avais pris goût au fait de rester tout le temps chez moi avec mon père. Pourtant, je ne suis pas spécialement plus proche d'un de mes pères que l'autre. Une fois rentré du travail, mon autre père passé énormément de temps avec moi et je n'ai jamais eu l'impression de passer après son travail. Il a toujours fait son possible pour que nous passions avant, même si bien sûr cela ne fut pas possible à chaque fois. Mais au final mes deux pères ont toujours été présents dans ma vie. Je me souviens que l'on passait beaucoup de temps tous les trois, à visiter le pays. Papa connaissait absolument tout, comme il avait pu m'apprendre en France et je ne me lassais pas de l'entendre me raconter des histoires sur le pays. Ce fut à l'âge de douze ans, que je retournais en classe. Il était temps pour moi de retrouver une scolarité normale avec d'autres enfants. Seulement, ici -et avec l'âge- les moqueries et autres remarques sur ma famille. Je n'ai jamais compris pourquoi la différence faisait peur à ce point. Je me souviens avoir souvent entendu dire que ce n'était pas normal d'avoir deux pères et pas de mères, qu'ils étaient des monstres et toutes autres insultes que peuvent dire des enfants à un autre enfant pare qu'ils ne comprennent pas. Même si je d'apparence je suis plutôt du genre calme et douce, il ne faut pas non plus me chercher. J'ai souvent fini dans le bureau de la directrice à cause de bagarres avec d'autres élèves. Je ne supporte pas que l'on critique ma famille. Cependant, ce fut de pire en pire et bien vite mes pères commencèrent à se demander ce qu'ils devaient faire pour que les choses s'arrangent. La réalité, c'est que je n'aimais pas ce pays, j'étais loin de chez moi et je n'avais aucune envie de rester ici. Tout comme j'en avais marre de déménager. Le retour à l'école n'avait peut-être pas été la meilleure chose qui soit au final.
Chapter three, la descente.
Finalement, lassés de mon comportement et se sentant un peu coupable à cause du déménagement, mes parents ont décidés de m'envoyer en pensionnat en Angleterre. Une école uniquement composée de fille qui devait me permettre de revenir sur les rails. Mais ce fut absolument tout le contraire. J'ai découverts que les filles pouvaient être de vraies b*tch entre elles. Et je dois avouer que j'ai fait absolument la même chose. J'ai découvert les fêtes (en cachettes), l'alcool et même les drogues. Les enseignantes tenaient vraiment leurs rôles et ne donnaient absolument pas envie d'aller se confier à elles. Alors, lâchées entre nous, forcément cela ne pouvait que dégénérer. Il fallait faire partie de l'élite là-bas et ça je l'avais bien compris. Très populaire, je m'occupais plus de mon apparence et de ce que l'on pouvait dire et penser de moi que des cours et mon éducation. À force, j'en suis venue à faire très attention à ce que je mangeais, voir à ne plus manger ou à me faire vomir. L'apparence était très importante et je ne pouvais pas me laisser aller. Je n'avais pas le droit. Seule, livrée à moi-même, à des millions de kilomètres de ma famille, j'ai fait vraiment n'importe quoi pendant deux ans. J'ai dû mentir à mes parents lorsque je suis revenus chez eux pendant l'été. C'était la première fois que je leur mentais ou que j'étais aussi distante avec eux, mais je ne vouais pas qu'il découvre que leur petite princesse avait des problèmes. Des problèmes psychologiques, physiquement j'étais en top de ma forme, bien qu'un peu fatiguée et parfois je tournais au ralenti à cause de la drogue. Je ne m'intéressais pas vraiment aux garçons, il n'y avait que moi qui comptait à cette époque. J'ai pourtant eu un copain cet été là, mais cela ne dura pas longtemps, nous étions bien trop différents et puis je retournais en Angleterre à la rentrée. La rentrée fut d'ailleurs bien pire que l'année précédente.
Mes notes étaient en totale chute libre, je ne mangeais presque pu, tombais régulièrement dans les pommes et je dois avouer que j'ai des trous de mémoires à cause de l'alcool et autres mélanges que nous prenions là-bas. Pendant quatre mois ce fut l'éclate totale. Mais à force de trop tirer sur la corde, j'ai terminée à l'hôpital. Mes pères sont arrivés complètement paniqués, loin d'avoir conscience que la situation était aussi dramatique. Je fus retiré du pensionnat ou mes parents firent un gros scandale. Pour eux c'était totalement inadmissible que les choses puissent se passer de cette façon et que personne n'ai rien vu. Ils reçurent un gros dédommagement financiers, mais ce n'était pas la motivation de mes parents. Je sais qu'ils ont fait don de l'argent à l'hôpital qui c'est occupé de moi. Après cela, je suis allée en centre de désintoxication pendant de nombreux mois et en Nouvelle-Zélande. Malheureusement, je ne me souviens plus de tout. Je ne voulais pas être soigné, pas plus que je voulais être retirée du pensionnant. Je sais maintenant qu'ils ont fait cela pour moi, mais sur le coup je les ai détestés pendant longtemps. J'ai dû réapprendre à manger normalement tout en me sevrant. Ce ne fut pas les mois les plus rigolos de ma vie. Mais, maintenant j'ai réalisé que je ne serais peut-être plus de ce monde, si j'avais continué à ce rythme. Je n'ai pas bu une goutte d'alcool, ni pris une seule drogue depuis sept ans. Je n'ai pas envie de revivre cette période, je pense que j'ai assez donné.
Chapter four, le début de l'âge adulte.
Je suis restée presque deux ans à l'hôpital. Le plus dur ce ne fut pas de décrocher, mais de commencer par admettre que j'avais des problèmes. Soigner mon anorexie me demanda aussi beaucoup plus d'efforts que d'arrêter de boire ou de me droguer. Je suis rentrée chez moi, à dix-huit ans passés. Mes parents s'inquiétaient beaucoup pour moi et avait peur que je ne recommence à faire n'importe quoi. L'idée était plaisante, parce qu'il était plus facile de faire n'importe quoi, que d'essayer d'arriver à faire quelque chose. Mais je ne voulais pas les décevoir à nouveau, alors j'ai tenté de réussir ma vie. Vous vous souvenez de ce garçon, celui rencontré au cours de l'été ? Et bien nous sommes de nouveau sortis ensemble. J'étais redevenue moi-même et le courant passé beaucoup mieux entre nous, maintenant que j'avais la pleine possession de mes moyens. Cela dura presque un an, mais quand il réalisa que je ne voulais vraiment pas coucher avec lui, il commença à s'éloigner, avant de finalement aller voir ailleurs. On pourrait penser, que vu mon passé j'avais bien profité de côté-là, mais pas du tout. J'ai toujours voulu que ma première fois, ce passe le soir de ma nuit de noce. Je sais que de nos jours, ce n'est pas monnaie courante, mais chacun fait ce qu'il veut. Je suis restée un an sans rien faire, à tenter de reprendre le contrôle de ma vie et quand enfin j'avais cru y parvenir, mon père m'a annoncé qu'il était muté au Canada. Malgré mon âge, je suis partie avec eux. Je ne me voyais pas rester toute seule à Hamilton et puis je n'avais jamais vraiment aimé le pays. Nous avons donc déménagé une nouvelle fois, tous les trois, au Québec cette fois-ci. Je parlais français, après deux ans passés à Lyon, alors le problème de la langue était déjà un poids en moins. Je suis allée à la faculté étudier la littérature, mais je me suis vite rendu compte que ce n'était pas pour moi. C'est totalement par hasard, en accompagnant une amie, que l'on m'a proposé de passer moi aussi, le casting pour faire cette publicité. Être mannequin n'a jamais été une chose qui m'intéressait, mais je me suis prêtée au jeu et j'ai adoré cela. J'ai donc commencé à poser de temps en temps pour de petite chose et au fur et à mesure, je me suis fait un petit nom. Ce n'est pas quelque chose que j'envisage forcément de faire toute ma vie, mais pour le moment cela paie bien, alors pourquoi se priver (même si l'argent n'a jamais été un problème pour moi).
Il y a deux ans, maintenant, je suis venue vivre aux États-Unis, à New-York plus précisément, seule. J'ai enfin quitté mes parents, même s'ils ne vivent pas très loin à Chicago. Je suis toujours mannequin, mais en plus, je pose aussi nue comme modèle pour des cours de peinture. Cela m'aide à accepter mon corps tel qu'il est, même si parfois, j'ai vraiment l'impression d'être trop grosse. Je suis pas totalement guérie, c'est un travail au quotidien que j'essaie de réaliser du mieux possible. Je me plais ici, j'ai des amis, des vrais, cette fois-ci et personne -ou presque- n'est au courant de ma période au pensionna. Ce n'est pas que j'ai honte, mais disons plutôt que je préfère éviter d'en parler. Cependant, j'ai toujours mon petit caractère et il m'arrive encore de m'énerver ou de chercher les gens pour rien. Je ne peux pas complètement changer.
Dernière édition par Billie I. Bradshaw le Lun 30 Sep - 11:15, édité 6 fois
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Sujet: Re: strike a pose » BILLIE. Sam 28 Sep - 13:49
Bienvenue ça devient has been pour toi EMMA
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Sujet: Re: strike a pose » BILLIE. Sam 28 Sep - 13:52
je te souhaite la bienvenue puisque je pense que tu es une nouvelle sur le forum
je peux pas compter les re, y en a trop callie MAIS OH BOY QUEL CHOIX bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: strike a pose » BILLIE. Sam 28 Sep - 13:56
J'adore le prénom ! je sens que ça va être un super perso ! Rererererebienvenue !
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life