Vingt-trois ans. → Née à Orlando, en Floride (États-Unis) le 18/08/1990. → Étudiante en première année de doctorat à Columbia (sciences politiques), employée à temps partiel à la Mairie de New York, membre du conseil d'administration de Greenpeace, millionnaire, également. → Fiancée à un porté disparu. → Hétérosexuelle. → Membre des Workaholics.
And who am I?
Quelles sont tes caractéristiques ? La liste. Une liste composée de cinq prénoms, cinq prénoms venus un jour s'interposer dans la vie d'Emilia. Parce qu'au fond, Emilia, c'est une personne comme cela. Une personne obsessionnelle, une personne que rien n'arrête. Une personne prête à tout, une personne listant tout, absolument tout. Sur cette liste, en première page de son carnet fétiche à la couverture de cuir bleu marine et au papier de bonne qualité, elle a soigneusement recopié le prénom de toutes les personnes qu'elle souhaitait voir disparaître pour diverses raisons qui ne la regardent qu'elle. Aussi simplement que cela.(x)Sebastien. Le connaissez-vous ? Non, il ne s'agit pas de votre voisin. Non, ce n'est pas non plus votre livreur de pizzas. Un animal de compagnie ? Oui, vous vous rapprochez. Mais cela n'est ni un chien, ni un chat. Ni un hamster, ni un poisson rouge. Sebastien, c'est le crabe de compagnie d'Emilia. Oui, le crabe. Prénommé de la sorte en référence au dessin animé la petite Sirène, la jeune femme a aggrandi depuis quelques années son aquarium pour que celui-ci prenne finalement la place de tout un mur, rempli de diverses espèces de poissons et d'animaux marins. Mais Sebastien reste son petit préféré. Son petit crabe adoré. (x)L'argent. Riche ? Pas seulement. Millionnaire ? Cela ne convient pas non plus. Milliardaire ? Oui, Emilia est milliardaire. Sa famille est si riche qu'elle demeure persuadée que même leur banquier est incapable de donner une estimation exacte de l'étendu de leur compte en banque. Cela n'est que le résultat de la fortune Hepburn, concentrée sur les épaules de son père, venue se combiner aux deux prestigieux emplois des parents des jumelles. Les zéros se sont alignés progressivement, au fil du temps, au fil du succès, au fil des héritages et des pensions alimentaires. Cependant, Emilia en demeure une personne humble. Une personne qui a du mal à évaluer le prix des choses mais qui reste fondamentalement simple ; elle a simplement pris l'habitude d'une vie de personne aisée, mais tente par tous les moyens de garder les pieds sur Terre, à sa manière. (x)Classique. Sophistiquée, peut-être légèrement fade, Emilia s'habille de manière classique, dégageant une aura de classe autour d'elle qui lui est propre. Cela lui permet même de se différencier de sa sœur jumelle qui a opté pour un style différent du sien. Elle est toujours bien mise sur elle, toujours soignée ; ses chemisiers sont repassés de manière impeccable, toujours parfaitement rentrés dans ses jupes mentant en avant la courbe de ses hanches. Ses ensembles sont toujours choisis avec goût, aux motifs parfois fleuris et colorés. Sa démarche est fière, son menton relevé, ses cheveux coiffés sur ses épaules ou attachés dans une queue de cheval stricte. Sa simple présence signe l'image de femme de pouvoir qu'elle renvoie. Emilia est élégante. Emilia est imposante. (x)Gauchère. Seulement treize pour cent de la population écrit de la main gauche, et Emilia fait partie de cette minorité. Comme la majorité des gauchers, elle a développé un sens artistique et voue une passion sans limite pour la peinture. Mais elle ne peint pas, non. Elle préfère observer cet art dans les musées. Elle préfère acheter des pièces qu'elle exposerait chez elle. Cela ne peut être qu'un détail. Mais Emilia aime se dire qu'elle est hors-norme, quelque part. (x)Maman-poule. Elles ont beau se ressembler comme deux gouttes d'eau, Shalimar et Emilia sont comme la nuit et le jour. La Lune et le Soleil. Durant des années, leurs deux mondes semblèrent être distants de milliers de kilomètres ; cependant, malgré tout cela, malgré l'incompréhension, malgré les faux-pas et les disputes, Emilia a toujours aimé sa sœur d'un amour inconditionnel. Pire encore ; elle ressent cet instinct protecteur envers sa cadette de quelques minutes, et est absolument capable de tout pour qu'elle aille bien, pour que tout se passe bien pour elle. Emilia aurait presque aimé prendre la place de la figure maternelle dans la vie de Shalimar ; cependant, elle se contenta du fait que sa sœur sache qu'elle était là pour elle, quoi qu'il se passe et quoi qu'il arrive. Elles seraient toujours à deux. Toujours.(x)Prédestinée. Si Emilia Cristal Clara et Shalimar Ambre Uma se prénomment de cette manière, cela n'est pas un pure hasard. Chacun de leur prénom a une signification particulière. Leurs parents ont veillé à ce que ce soit le cas.Emilia est une référence aux parfumeries françaises que leur mère chérissait énormément quand elle vivait encore dans son pays natal ; Cristal, quand à lui, s'associe à Ambre pour désigner des pierres précieuses, symbole de l'importance que les jumelles pouvaient avoir aux yeux de leur parents au moment de leur naissance. Et enfin, Clara est un prénom qui se rapproche de Clara Schumann, une compositrice et pianiste allemande très apprécié par leur père. Tout a une symbolique. Absolument tout.(x)Engagée. Actionnaire et donatrice pour Greenpeace, Emilia siège au conseil administratif depuis deux ans maintenant. Décidée à faire entendre ses principes au monde entier, cet engagement n'est pas le seul que la demoiselle a pu avoir. Déjà partie en voyage humanitaire, Emilia est également végétarienne depuis ses seize ans et a clairement comme objectif principale de se faire élire présidente avant ses quarante ans, faisant d'elle la première femme au pouvoir, mais également la personne la plus jeune ayant réussi à accéder à la présidence.(x)La danse. Passionnée de sport depuis son plus jeune âge, c'est finalement la danse moderne qui a séduit Emilia en arrivant au collège. Membre de l'équipe de Cheerleader, suivant des cours en extrascolaire, elle continue aujourd'hui à danser seule dans le petit studio de danse qu'elle s'est aménagé dans son habitation. Cela lui permet de se libérer. De penser à autre chose. De se défouler et d'évacuer toutes les ondes négatives qui la parasitent. En parallèle, elle fait également du yoga pour se détendre.
Quel est le caractère de ton personnage ? Emilia. Ces six lettres suffisent pour décrire le phénomène que cette demoiselle est à elle toute seule. Milie est une personne qui fait beaucoup parler d'elle, par la manière dont elle peut faire les choses, mais également par ses principes et son tempérament en feu. Elle défend ses idées, sa façon de penser. Elle est capable de tout, du bien comme du mal, pour arriver là où elle le souhaite. Elle n'hésite absolument pas une seule seconde lorsqu'il s'agit de rentrer dans les autres pour se faire entendre ou bien se retrousser les manches afin de mettre elle-même la main à la patte ; lorsqu'elle s'investit dans quelque chose, elle va jusqu'au bout, et ce sans jamais se retourner ne serait-ce qu'une seule fois dans son parcours. Forte et fière, indémontable et charismatique, Emilia est une force de la nature, capable d'endurer les pires épreuves sans jamais se plaindre une seule fois. Se plaindre, c'est jouer les faibles. Et jamais Emilia ne se permettrait d'en arriver à ce stade ; cela serait comme se trahir elle-même. Elle peut paraître froide. Elle peut paraître insensible. Cependant, c'est de cette manière que la jeune femme a appris à avancer, sans jamais être déstabilisée par les coups durs ou les moments difficiles. Emilia a cette allure de grande guerrière, de femme ambitieuse promise à un grand avenir, et construit peu à peu son empire par la force de ses idées et de son caractère. Elle veut. Donc elle aura. Allure angélique. Visage doux et qui inspire à la confiance. Emilia a une capacité à ranger les personnes de son côté en trouvant les mots juste et en impressionnant les gens, ainsi qu'en usant de ses charmes dès que cela est nécessaire. Emilia est charismatique et le sait, et est déterminée à utiliser cet atout pour pouvoir avancer. Légèrement manipulatrice, oui. Sans doute. Mais elle ne s'en cache pas. Emilia est assez sociale, mondaine. Elle aime la foule, et y a été habituée dès ses plus jeune année. A l'aise et confiante, elle aime parler avec du monde, échanger des idées, débattre sur le monde. Mais, encore une fois, elle peut se montrer sévère dans la sélection de ses amis et de ses connaissances. Hors de question qu’elle passe du temps avec des personnes qui ne l’aime que pour son nom de famille ou son argent, et elle n’apprécie pas non plus les filles qui ont un panel de conversation limité se résumant à mascara, eyeliner, rouge à lèvre. Elle a également la rancune facile à très long terme ; elle est capable de se livrer à des batailles acharnées basées sur les mots et l'acharnement psychologique durant des semaines, des mois, des années, tout cela sans que l'autre ne s'en rende réellement compte. Après tout, avec ces traits d'ange, qui pourrait réellement croire que se cache de la noirceur dans ces yeux bruns ? Cependant, elle peut se montrer très affective et protectrice, et n’hésite pas une seule seconde à offrir son aide aux personnes qui lui sont chères. Les rares personnes qui ont réussi à entrer dans son cercle. Dévouée, pas seulement amour ses idées, mais aussi pour les autres. Parce qu'au fond, la vie d'Emilia se résume à cela. Le dévouement.
Well... It's my story...
Voir post suivant.
My little secret
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Wild Hunger (Jilly), les dix-neuf années sur cette Terre déjà bien passées. (Les vingt ans me guettent.) Comment es-tu arrivée ici ? → J'ai été kidnappée par des geeks. Ce personnage est-il un double compte ? → How cute. Présence sur le forum → Trop. Ahahahahah. Ahah. Ah. Personnage inventé ou scénario ? → C'est un mélange, en réalité. Prenez un demi-cerveau de Jimmy, un demi-cerveau de Jilly, un milkshake maison et une bouteille de vin, laissez mijoter, et vous obtenez un duo Hepburn cent pour cent Jimly.
Mon exemple de RolePlay:
anthime broadmoor & michaela brown;
Come with me into the tree's we'll lay on the grass and let the hours pass. ○ Je l’observai dans les yeux, cherchant un accord muet, cherchant à voir s’il acceptait de rester là, de rester dans ce temple que nous étions censés découvrir. Ce soir, cependant, nous allions découvrir autre chose. Une chose que nous n’avions pas imaginé connaître ensemble. Je ne savais pas ce qu’il avait pu avoir à l’esprit pour sa première fois. Je ne connaissais pas ses rêves, je ne connaissais pas ses pensées sur le sujet. Après tout, nous n’avions jamais parlé de tout cela ensemble. Nous avions passé notre temps à n’être que de grands enfants, à partir à l’aventure sans se soucier de sujets liés à notre âge. Un duo d’immatures. Voilà ce que nous étions. Au fond, tout ce que je souhaitais, en cet instant précis, était qu’il veuille les mêmes choses que moi. Qu’il souhaite passer le pas autant que je pouvais en avoir envie. Je pensais certainement plus à lui que je ne pensais qu’à moi-même ; j’avais cette anxiété qui semblait me ronger de toutes parts. J’avais peur du faux pas. Peur de faire quelque chose de travers. Peur de l’effrayer ; peur que, finalement, il se rende compte que je n’étais pas la bonne demoiselle pour passer à l’acte. Je voulais faire les choses biens. Je voulais faire les choses de la meilleure manière possible. Et, cela, ce n’était pas pour moi, non. C’était pour lui. Uniquement pour lui. Je me mordis la lèvre inférieure en l’observant dans les yeux, avant que finalement je sente ses mains quitter mon ventre pour doucement glisser contre ma peau. C’était un oui. Il acceptait. Je le voyais dans son regard, je le sentais contre ma peau. Des frissons m’envahirent, et je baissai le regard, sentant le rose monter à mes joues, sentant mon cœur battre de manière désordonnée. Comment était-ce possible, de ressentir toutes ces choses-là ? Comment pouvais-je être si sensible à son toucher, à ses doigts parcourant doucement mon épiderme ? Mon corps était en ébullition. Mon corps était un volcan, ronronnant doucement, menaçant d’imploser à tout moment dès que notre environnement serait en feu. Je sentis ses mains effleurer mes hanches pour finalement se loger doucement sur mes fesses, et j’eus un sourire, la tête baissée. J’étais presque gênée de ressentir tous ces frissons à cause de ses moindres gestes. Gênée d’avoir l’impression d’être qu’une adolescente découvrant le vaste univers de la sexualité. Puis ses lèvres tracèrent à leur tour un chemin le long de ma mâchoire, laissant la peau qu’elles avaient touché un chemin incandescent. La tête d’Anthime se logea dans mon cou, pour finalement parcourir le haut de ma poitrine. Je fermai doucement les yeux en poussant un soupir, passant une de mes mains dans les cheveux du rouge et or. Mon cœur eut un raté. Puis un second. Je perdais le fil, je perdais pied dans toutes ces sensations nouvelles, dans toutes ces sensations que je ne connaissais pas. Avec lenteur, je baissai la tête pour embrasser le haut du crâne d’Anthime, toujours penché sur moi, avant de finalement saisir les pans de son t-shirt pour lui retirer, le passant doucement au-dessus de sa tête, attendant patiemment qu’il libère également ses bras. Je fis tomber le vêtement à terre, me préoccupant plus de lui, me rapprochant directement d’Anthime pour attraper ses lèvres dans un baiser tendre. Elles étaient douces. D’une chaleur agréable. J’avais l’impression de mourir cent fois alors qu’il m’embrassait, alors que mes doigts découvraient doucement son torse. Je le découvrais, après tout. Je le découvrais en tant qu’homme, je le découvrais sous mon toucher. J’étais innocente. Pure. Mon toucher était comme celui d’une plume ; mes doigts baladeurs semblaient vouloir s’imprégner des traits de son torse bien dessiné, semblaient vouloir se perdre contre ses muscles. Je voulais le sentir sous moi. Je voulais le sentir en moi. J’avais peur, mais ses gestes me mettaient doucement en confiance. J’avais peur, mais le désir m’enflammait doucement, me consumait comme je n’avais jamais été consummée. Je me sentais bien faible, dans tout cet océan de sensations. Je me sentais bien petite, bien gamine. Pourtant, je devenais lentement femme. Pourtant, je m’apprêtais à passer le pas, à passer à l’acte. Mes lèvres quittèrent les siennes, alors que je le regardais dans les yeux en retirant moi-même mon propre t-shirt, me sentant rougir d’ainsi me dévoiler. J’étais encore à moitié habillée. Ma poitrine demeurait encore cachée. Pourtant, j’avais l’impression de me mettre à nue. Gênée, je me refugiais contre lui, comme pour cacher mon corps, comme pour éviter que son regard ne s’attarde trop sur moi. Je n’avais pas confiance en moi. J’étais loin d’être à l’aise avec mon propre corps. Doucement, mes lèvres vinrent se loger dans son cou, tandis que je passais mes bras derrière son dos, serrant doucement son torse nu contre mon épiderme. Ce contact était nouveau pour moi. Et ce contact me rendait presque littéralement folle.
Dernière édition par Emilia C. Hepburn le Jeu 3 Oct - 23:20, édité 7 fois
Take my hand, show me the way, we are the children who can't be saved.
Dix-huit août mil neuf cent quatre-vingt-dix. Orlando. Deux petites princesses sont nées, ce jour-là, affrontant pour la première fois leurs existences. Elles n’étaient que des nourrissons, et pourtant, elles rayonnaient déjà. Elles n’étaient que des nourrissons et pourtant elles étaient comme des trésors aux yeux de leurs parents. Gage d’amour, tentative désespérée de sauver un couple ? Nul ne pouvait réellement savoir pourquoi elles naquirent à ce moment précis dans la vie de couple de leurs parents, et personne ne s’en souciait réellement. Les héritières Hepburn étaient nées. Les héritières Hepburn étaient là. Et c’était la seule chose qui pouvait réellement compter en cet instant précis. Les détails étaient futiles. Les détails venaient parasiter la beauté de la naissance de ces bébés ordinaires dans une vie hors-du-commun. Elles grandirent. Elles devinrent de véritables poupées ambulantes, aux cheveux d’or, habillées dans des vêtements de grands couturiers dès leur plus jeune âge, connaissant l’aisance et le confort sans réellement s’en rendre compte. Elles avaient tout ce qu’elles voulaient. Elles étaient comme des princesses ; des princesses à qui on voulait offrir le monde entier. Des princesses qui ne connaissaient aucune limite mais qui ne dépassaient pas les frontières. Enfants proches de leur mère et distantes avec leur père qui faisait figure d’autorité, elles furent proches dès le départ, comme toutes véritables jumelles pouvaient l’être. Elles se familiarisèrent avec leurs racines en passant la majorité de leur temps à faire des aller-venues avec la France pour apprendre la langue et connaître le pays ; après tout, les Hepburn avaient prévu de retourner sur la terre natale de l’ancienne mademoiselle Céleste, qui connaissait une certaine nostalgie de son pays. Cela n’était qu’une question de temps pour que les deux petits anges s’installent à Paris. Cela n’était qu’une question de temps pour qu’elles passent plus de temps avec cette famille française qu’elles appréciaient tant. Une enfance prédestinée ; des objectifs rythmant leur vie, et ce dès leur plus jeune âge, elles n’avaient pas le choix. Ce futur d’excellence ne faisait que les attendre. Les jumelles Hepburn vivaient dans une autre dimension, dans une atmosphère loin de la réalité, loin des choses de la vie quotidienne. Si leur mère s’appliquait à ne pas les rendre dépendantes à l’argent, à en faire des femmes fortes et mures, Shalimar et Emilia vécurent tout de même dans une aisance telle qu’elles perdirent la notion des choses. Cependant, ce fût à cette époque qu’Emilia commença à se révéler forte, ambitieuse, aux instincts de leadeuse. Cela était comme si elle était née pour diriger. Née pour voir le poids du monde se reposer sur ses épaules. Leur situation aisée était accompagnée des désagréments qui allaient avec. Leurs parents étaient tous les deux très occupés, et ce dès le départ ; après tout, leur mère était directrice adjointe d’une grande entreprise de cosmétique. Après tout, leur père occupait une haute place dans la hiérarchie de Disney World. Famille parfaite. Ils avaient tout pour eux. Ils étaient beaux. Ils étaient riches. Ils étaient intelligents. Emilia prenait le chemin de leur mère ; même en maternelle, puis en primaire, elle manifesta des capacités intellectuelles précoces qui poussèrent ses instituteurs à faire pression sur ses parents pour qu’ils puissent lui faire sauter une classe ; jamais ils n’acceptèrent de séparer les jumelles, et les écoles n’en firent donc rien. C’était encore une époque où le couple réussissait à s’entendre. C’était encore une époque où les choses semblaient faciles. Leur fortune s’accrut. Leur fortune s’accrut de manière considérable. Les grands-parents paternels des jumelles moururent, désignant leur père comme unique héritier de leur possession ; le nom d’Hepburn venait de passer de génération. Désormais, l’empire entier reposait entre les mains du géniteur des jumelles. Pourtant, l’argent ne fait pas le bonheur. Pourtant, ce décès s’accompagna de bien d’autres mauvaises nouvelles.
Deuxième chapitre;
I am an ocean, I am the sea. There is a world inside of me.
Le temps passa. Il passa rapidement. De petits anges, les jumelles devinrent d’adorables jeunes filles, toujours aussi belles, toujours aussi identiques. Leurs caractères semblèrent avoir fait route à part, cependant ; mais ce fût uniquement lorsque leurs parents divorcèrent qu’il y eut une véritable rupture entre leurs deux façons d’agir. Les filles venaient tout juste de fêter leurs onze ans. Les filles venaient tout juste de fêter leurs onze ans, et leurs parents avaient fini par se rendre compte que leur couple ne pouvait pas être sauvé. Emilia demeura persuadée qu’ils n’avaient jamais réellement fait d’efforts pour qu’ils puissent encore continuer leur chemin côte à côte ; mais cela ne changea absolument rien à la situation. L’envie de partir en France perdue, désabusé vis-à-vis de son couple battant de l’aile et de ses sentiments qui semblaient s’être effrités avec le temps, leur père finit par arrêter d’y croire. Et le pire fût que leur mère était du même avis. Les procédures ne durèrent que quelques mois. Les papiers furent rapidement signés. Mais cela ne fût pas le pire à avaler, non. Le pire fût que leur mère ne voulut par d’elles. Leur mère, celle qui les avait mis au monde, n’avait même pas cherché à réclamer leur garde. Rien. Pas de partage, pas de vacances chez elle. Après tout, pourquoi allait-elle s’embêter de ses filles maintenant qu’elle pouvait se vouer corps et âme à son travail ? Cela ne serait qu’une perte de temps, une perte d’énergie. Elle ne se rendit compte de son sacrifice qu’après, mais il était déjà trop tard. Les jumelles avaient déjà tiré un trait sur elle. Les jumelles refusaient de lui reparler un jour. Rancunières, blessées, elles considérèrent simplement que leur mère avait cessé d’exister. Mais, au fond, Emilia s’en tira mieux que Shalimar. Mais, au fond, Emilia était une battante. Une guerrière. Une indépendante, une jeune fille qui n’avait pas besoin de quiconque, et surtout pas d’une mère qui ne voulait pas d’elle. Et, à cette époque, Emilia se fit la promesse d’être meilleure qu’elle. Meilleure que cette mère qui lui avait brisé le cœur. Leur père n’eut pas la même force de caractère ; perdu, désorienté, il sombra doucement dans une dépression sans retour. Cherchant du réconfort auprès de sa famille, il contraint ses filles d’abandonner Orlando, en même temps que leur rêve de partir en France, pour s’installer à San Diego non loin de chez sa sœur. Il abandonna Disney World. Il abandonna tout souvenir avec sa femme. Les filles avaient douze ans. Douze petites années. Pourtant, elles durent apprendre à devenir des femmes sans figure maternelle, avec un père de plus en plus souple et de moins en moins préoccupé par leur sort. Le temps passa. Le temps passa encore une fois. Cependant, malgré les mois, malgré les années, les deux jumelles ne réagirent pas de la même manière face à la situation. Si Emilia s’enfonça doucement dans ses études avec une rage de vaincre hors du commun, Shalimar fût beaucoup plus fragile, et commença à avoir des problèmes avec la police. Fugues. Disparitions. Parfois, sa sœur la retrouvait sur le palier de la porte, accompagné d’agent la menaçant que si tout cela se reproduisait, Shalimar serait retirée de la garde de leur père. Emilia avait mal de la voir comme cela. Mal et peur. Elle ne savait pas comment l’aider ; elle ne savait pas quoi faire. Elle avait l’impression qu’un fossé se creusait entre elles, qu’au final, leurs chemins prenaient doucement des directions opposées. Et, au fond, si elle disputait sa sœur quand elle finissait par la retrouver dans la nature après une nuit de recherches, si elle lui disait qu’elle ne voulait plus que cela recommence et que son comportement était irraisonnable, elle avait simplement envie que sa sœur aille mieux. Tout simplement.
Troisième chapitre;
I can hear this beat, it fills my head up and gets louder and louder.
Conquérante. Ambitieuse. Engagée. En arrivant finalement au lycée avec sa sœur jumelle, Emilia commença réellement à voir ses projets se profiler sous ses yeux, et travailla d’arrache-pied pour avoir le meilleur, pour être toujours au sommet. Ce fût à ce moment-là qu’elle commença à soutenir la cause écologie, à voir en grand ; cependant, cela n’était qu’une forme différente d’aller à l’encontre de sa mère, sa rancœur toujours refoulée au plus profond de son être. Active dans la vie de son lycée, elle fit partie de l’équipe de cheerleaders avec sa sœur jumelle, mais également du club de théâtre et du comité d’étudiants pour organiser les bals et les soirées en tout genre. Elle se sentait bien. Après tout, elle était là où elle souhaitait être : au sommet. A la fin de sa seconde, les professeurs lui proposèrent de nouveau à sauter une classe et, enfoncer dans ses ambitions, elle finit par accepter. Cela fût un coup dur, quelque part. Elle marqua le début d’une séparation avec sa sœur jumelle : cependant, les choses allaient mieux du côté de Shalimar, et malgré cet éloignement, leur relation retrouva le même caractère fusionnel qu’elles avaient connu dans leurs plus jeunes années. La suite alla vite. Très vite. La fin de la terminale apparut sans qu’elle ne le réalise ; elle fût diplômée et sacrée major de sa promotion. Tout pris des allures de film ; elle fût accompagnée au bal de promo par son meilleur ami, Taylor, aussi connu pour être le garçon le plus séduisant de tous les terminals. Elle fût acceptée à Columbia avec lui en sciences politiques ; et seulement quelques semaines plus tard, elle dût s’envoler pour New York en stage de pré-rentrée, un honneur que la prestigieuse école lui avait conféré. Emilia croyait rêver. Emilia voyait enfin ses efforts se faire récompenser de résultats, voyait enfin ses espérances se profiler à l’horizon, elle prenait enfin l’indépendance qu’elle avait toujours désiré. Cependant, une tâche noire vit obscurcir son tableau : après tout, sa sœur ne pourrait pas la suivre. Après tout, Shalimar devait encore passer une année en terminale, passer ses diplômes. Et cette véritable séparation lui fit mal au cœur. Mal au cœur parce qu’elle se retrouvait loin de sa moitié. Mal au cœur parce qu’elle ne pouvait plus la surveiller. La vie reprit cependant son cours. Emilia et Shalimar s’appelèrent tous les soirs, tous les jours, dès qu’elles en avaient l’occasion, et ce malgré les décalages horaires, malgré les différences d’emploi du temps. Elles gardèrent contact, se retrouvant aux vacances scolaires. Emilia finit aussi par s’avouer à elle-même les sentiments qu’elle entretenait pour Taylor ; et, dans ce magnifique tableau, sa sœur jumelle vint la rejoindre à Columbia pour étudier les sciences. Tout était parfait. Tout était comme elle le désirait. Certes, sa sœur entretenait une relation étrange avec une personne en qui elle n’avait pas confiance ; certes, le chemin était plein d’embuches, leur mère refaisait surface pour reprendre contact avec ses filles. Certes, il y avait tout cela. Mais Emilia s’en fichait. Elle réussissait. Elle y arrivait. Ce fût seulement en janvier deux mil treize qu’elle accepta la demande en mariage de Taylor, après quatre ans de relation. Quatre ans. Perfectionniste comme elle l’était, elle n’aurait jamais pu imaginer de relation plus parfaite, de relation aussi brillante que son parcours en sciences politiques. En l’espace de quelques minutes, elle avait déjà imaginé le futur. Elle avait déjà imaginé son mariage blanc, ses futurs enfants, sa future vie de famille. Mais rien n’est jamais comme on l’imagine. Elle aurait dû le savoir. Le lendemain, Taylor avait disparu. Kidnappé, parti. Personne ne le savait réellement. Il s’était juste évanoui dans la nature, laissant une Emilia d’abord dévastée, pour finalement n’être qu’encore plus déterminée qu’auparavant. Femme forte, femme de pouvoir. Elle garda la tête haute, sa sœur jumelle la soutenant, pensant doucement son cœur en affrontant ses études, son travail, son futur. Rage de vaincre. Elle était déterminée à réussir. Déterminée à le retrouver. Déterminée à y arriver.
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 0:01
Les jumelles Hepburn, joli nom de famille
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 0:02
Et ben depuis le temps qu'on en entendait parler de ses jumelles (J'attendais pour poster, un seul post en plus ça me paraissait bizarre venant de toi )
Bref, t'es ici chez toi hein
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 0:17
Re-bienvenue mon amour. Les jumelles Hepburn vont remuer la grosse pomme.
En tout cas, bonne chance pour ta fiche, tu en as bien besoin. Et Dianna, putain quel canon. Je vais baver devant nous.
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 0:38
bienvenue a toi et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 0:45
awww une belle demoiselle
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 1:59
Dianna ♥ reeee
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 3:17
OMG!!!! Les jumelles Hepburn FTW
T'es belle en Agron
Re-(...) bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 3:27
Re-bienvenue DIANNA Courage pour ta fiche J.
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 9:50
Invasion de bloooooooondes Re Jilly et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 10:23
Dès les deux premières lignes j'ai su que c'était toi bon courage pour ton nouveau perso
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 18:22
OMG UNE BLONDE !
reBienvenue
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 18:44
Eliott Clarke a écrit:
Les jumelles Hepburn, joli nom de famille
Merci beaucouuup. Ouais, niveau référence on a tapé dans le classe. (Audrey Hepburn. )
Dylan L. James-Cooper a écrit:
Et ben depuis le temps qu'on en entendait parler de ses jumelles (J'attendais pour poster, un seul post en plus ça me paraissait bizarre venant de toi )
Bref, t'es ici chez toi hein
C'est vrai qu'on a dû vous prendre la tête. Oui, je sais, je me suis moi-même étonnée maaaais je vais essayer de me contenir. ESSAYER.
On dirait bien.
Hope A. Roseberry a écrit:
Re-bienvenue mon amour. Les jumelles Hepburn vont remuer la grosse pomme.
En tout cas, bonne chance pour ta fiche, tu en as bien besoin. Et Dianna, putain quel canon. Je vais baver devant nous.
Merci beaucoup mon Jimmy. Elles vont tout tuer, ouais ouais. Oula, oui. Je vais m'y mettre ce soir comme je te l'ai dit, mais je risque de galérer. Comme d'habiture.
MAIS OUI, ON EST TELLEMENT BEAUX(BELLES) COMME CA.
Timothy A. Rosenfield a écrit:
bienvenue a toi et bon courage pour ta fiche
Merci beaucoup Timothy.
Jesse C. Roy a écrit:
awww une belle demoiselle
Belle, seulement belle ? J'aurais dit au moins magnifique. (Oui, je sors.)
Nate E. Helstrom a écrit:
Dianna ♥ reeee
(re)MERCIIII.
Solal J. Dubois-Gallagher a écrit:
OMG!!!! :l:Les jumelles Hepburn FTW
T'es belle en Agron
Re-(...) bienvenue parmi nous
Ouuui. Mais nos jumelles Williams sont aussi les meilleures. Tu t'es vue avec tous tes comptes toi ?
Thanks S.
Savannah L.-A. Walsh a écrit:
Re-bienvenue :dyven:DIANNA Courage pour ta fiche J.
Merci Ma. Je pense tellement à toi à chaque fois que je vois Agron, c'est fou. Je vais en avoir besoin.
Mackenzie J. Howard a écrit:
( :rip:tom quand même )
:laura:
(Pauvre roux. On l'aime quand même.)
Erika J. Bennet a écrit:
Je te poke
Et moi je te repoke. ()
Elsa E. Ducret a écrit:
Invasion de bloooooooondes Re Jilly et bon courage pour ta fiche
LES BLONDES C'EST LE BIEN. Merci Agathe.
Devon C. Cohen a écrit:
Dès les deux premières lignes j'ai su que c'était toi bon courage pour ton nouveau perso
Comment ça se fait, je suis si repérable que ça ? (Comment un aveugle peut lire, d'ailleurs, hein ? J'ai pas écrit le début de ma fiche en braille que je sache. )
Hunter Brunkhorst a écrit:
OMG UNE BLONDE !
reBienvenue
OUI UNE BLONDE, RIEN QUE POUR L'ANNIVERSAIRE D'HUNTER ! () Merci Tiph. :laura:
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mar 1 Oct - 23:14
Emilia le prénom + hear me roar Bref, j'adore J'ai vraiment trop hâte de voir ce que vous allez faire de ce duo terrible Have fun avec ta fiche que je lirai avec plaisir - haha, tu me connais depuis le temps xD
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mer 2 Oct - 16:54
Parce qu'elle a un petit côté Aria je trouve.
& la Aria tu sais bien que je la repère à plein nez
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mer 2 Oct - 18:44
vous voulez nous tuez avec deux agron courage pour ta fiche
et je plussoie devon, je trouve qu'elle a un côté aria moi aussi (et ton roux on a plus d'hommes roux sur le forum )
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mer 2 Oct - 18:58
bon courage pour ta fiche j. depuis le temps que vous en parliez de vos blondes
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mer 2 Oct - 22:24
Beth Q. Kennedy a écrit:
Emilia le prénom + hear me roar Bref, j'adore J'ai vraiment trop hâte de voir ce que vous allez faire de ce duo terrible Have fun avec ta fiche que je lirai avec plaisir - haha, tu me connais depuis le temps xD
T'as vu elle a un prénom de canon. GAME OF THRONES ALL THE WAY. Tu vas voir, on risque pas de s'ennuyer avec elle. Ouuuh comment tu me mets la pressions sur ma fiche. ()
Devon C. Cohen a écrit:
Parce qu'elle a un petit côté Aria je trouve.
& la Aria tu sais bien que je la repère à plein nez
Je suis contente que tu me le dises. Parce que son côté Aria est volontaire. ( (D'ailleurs je me ferais plaisir de venir demander un lien à l'aveugle - au moins, il pourra me flairer.)
Effie Breslin-Comeau a écrit:
vous voulez nous tuez avec deux agron courage pour ta fiche
et je plussoie devon, je trouve qu'elle a un côté aria moi aussi (et ton roux :rip:on a plus d'hommes roux sur le forum )
T'as vu comment on est belles. Merci. Comme je disais, c'est normal, Emilia a ses côtés Aria. (Pauvre roux. Un jour quelqu'un viendra prendre le titre de lord of the roux pour le remplacer, promis.)
Serena L. Douglas a écrit:
bon courage pour ta fiche j. :cutie:depuis le temps que vous en parliez de vos blondes
Merci beaucoup K., je risque d'en avoir besoin. Damn mais on a tellement dû prendre la tête à tout le monde.
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Mer 2 Oct - 22:35
Trop de classe en nous. Et excellent choix d'avatar, j'aime. Il fallait que je poste avec la jumelle dans ta fiche.
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Ven 4 Oct - 11:06
Re-bienvenue parmi nous Bon choix d'avatar (comme d'hab!)
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Ven 4 Oct - 18:29
trdyijpkoùpemgzkjldfsn jilly arrête de faire des perso comme ça, s'il te plait re-re-re-(...)-re bienvenue papuuuuuuuuuuuche :laura:
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Sujet: Re: (emilia) hear me roar. Ven 4 Oct - 19:37
Shalimar A. Hepburn a écrit:
Trop de classe en nous. Et excellent choix d'avatar, j'aime. Il fallait que je poste avec la jumelle dans ta fiche.
On est les meilleurs, oui oui. On est des HI-HI-HIPSTERS, SWAG. Tu parles d'un choix d'avatar. De toute manière j'suis la plus belle jumelle. La trace de Shall (we begin?)
Eléanor C-J. Lafontaine a écrit:
Re-bienvenue parmi nous Bon choix d'avatar (comme d'hab!)
Merci beaucoup Eléanor. Aw t'es cute de dire ça.
Ondine L. Casanueva a écrit:
trdyijpkoùpemgzkjldfsn jilly arrête de faire des perso comme ça, s'il te plait re-re-re-(...)-re bienvenue papuuuuuuuuuuuche :laura:
dfgkdhfjgkdfhgdfjkgd. papuche. Mais je fais pas exprès. T'as pas encore lu la fiche comment tu peux savoir qu'Emilia est un personnage bien. Merci beaucoup beaucouuuup.