Sujet: GAIA ► if you're going through hell, keep going Dim 20 Oct - 18:54
FEAT. JUNO TEMPLE
Gaia Adélaide Pickford
24 ans → Né(e) à portland le 17/09/1989 → Etudiante en arts du spectacle célibataire → homosexuelle → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Gaia a toujours semblé plus jeune que son âge et même du haut de ses 24 ans, il arrive qu'on lui demande sa carte d'identité pour fréquenter les bars de la Grosse Pomme. Haute d'un mètre cinquante, elle a toujours eu des rondeurs étant petites qu'elle a su gommer à force de sport et d'un végétalisme exagéré pendant des années. A présent, elle surveille scrupuleusement sa courbe de poids, veillant au grain à ne pas laisser un seul élément gêné son ascension au sommet.
Comme tous les jeunes de son âge, Gaïa est passée par différents styles vestimentaires sans réel lien les uns avec les autres. gothique durant toute sa période lycée, elle ne garde de ces années sombres -c'est le moins que l'on puisse dire- l'art du smoky eye et des rangers cloutés. Attentive à toutes les nouveautés, elle suit scrupuleusement les dernières tendances dans le but de se conformer tant que possible aux normes sociales qui l'entourent. Depuis toujours habituée à faire comme les autres, ce n'est que depuis son récent déménagement à New York qu'elle a commencé à s'affirmer en temps que personne à part entière et à développer un style vestimentaire plus élaboré que des images préconçues découpées dans des magazines.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Enfant, Gaia était une petite fille sage, silencieuse, qui ne pleurait presque jamais. Ou peut-être ne l'entendait-on juste pas entre les éclats de voix de ses parents, puis ceux de son grand-père et des différents couples de famille d'accueil qui l'avait reçu. Telle une observatrice attentive, elle a su emmagazinée ce qu'il y a de pires à voir dans l'espèce humaine au quotidien sans pour autant en devenir une victime.
Très tôt, elle a su se convaincre que si elle avait tant de mal à ressentir les choses sans faire semblant, c'est que son destin était déjà tout tracé. Elle serait comédienne, une grande actrice et rien d'autre. Ce n'est qu'à ses douze ans qu'on lui diagnostiqua une schizophrénie sévère après qu'une énième famille d'accueil l'ait ramené à l'orphelinat, affirmant qu'elle était de toute évidence le démon réincarné.
Grâce à un traitement tant médicamenteux que psychiatrique, elle a pu combattre ses hallucinations qui ont longtemps provoqué une peur panique à son approche dans le collège de banlieue où elle avait fini par atterrir. Aujourd'hui, elles ont totalement disparu mais elle s'amuse régulièrement à en jouer pour effrayer les plus crédules de ses détracteurs.
Gaia n'est pas insensible. Elle souffre seulement d'un trouble du fonctionnement cérébral. Du moins c'est ce que vous dira son psychiatre, qu'elle consulte une fois par jour. Mais depuis toujours, la jeune femme se sent vide, comme si tout ce que devait ressentir les personnes normales coulaient sur elle comme de l'eau, sans jamais la pénétrer. Cela accompagné d'une absence totale d'empathie qui font des drames les plus courants de la vie quotidienne, les indifférences de la sienne.
Si Gaia est une fille qu'on pourrait qualifier de populaire au sein de la Juilliard School, elle est néanmoins incapable de tisser une véritable relation avec les autres, se contentant d'amis de passage et de relations éphémères. Elle a fréquenté des hommes et continue d'en fréquenter mais leur compagnie n'a pour elle rien de plus qu'un aspect utilitaire pour se fondre dans la masse. Elle trouve bien plus de repos dans la présence d'une femme, ne ressentant de plaisir qu'avec ses congénères.
Well... It's my story...
Un coucher de soleil, c'est peut-être le seul souvenir qui me restera de ma vie à la fin. Un tomber de rideau sur le jour qui s'achève comme la comédie de mon existence que j'aurais bravement joué pendant des années. Quelques pages tâchées dans ce vieux calepin que personne ne prendra la peine de lire. Le docteur Lehrmann me répète de ne pas être négative, de ne pas céder aux "symptômes négatifs" comme il le dit. Mais il n'a que la connaissance théorique de ce qui m'habite. Les faits de ma vie ne sont rien face au chaos qui déboussole mes neurones.
J'ai peu de souvenirs de mon enfance. Pratiquement aucun à vrai dire, à part l'odeur forte du café et ce goût piquant dans le verre de lait chaud qu'on prenait le soir chez mes grand-parents. Un bouchon de schnaps pour aider les enfants à dormir, c'est comme ça que ça fonctionne dans leur culture arriérée. Peut-être qu'ils y auraient réfléchi un peu mais leur cerveau était trop illuminé de ces messes dérisoires qu'on sert dans les petites églises de campagne. De vieux sermons usés qui ont fini par remplacer le libre-arbitre et les pensées. Mon souvenir le plus ancien est peut-être celui de ce matin étrange où j'ai ouvert les yeux. Les médecins parlent de rupture avec le présent, je préfère parler de révélation. La première fois que je les ai entendu, dans ma tête, me souffler que tout se passerait bien, que je n'appartenais pas vraiment à ce monde.
Pendant deux années après l'assassinat de ma grand-mère, je suis restée muette. Mes parents étaient introuvables, ma grande soeur en prison. J'arrivais à peine à me rappeler de son visage, à part ses yeux, ses grands yeux bleus en miroir des miens, nos jeux dans la campagne. Elle aurait sûrement été la seule personne à qui j'aurais pu parler mais elle n'était pas là, c'était simplement un fait. Alors j'ai continué à avancer, ou à m'enfoncer, tout dépend la version à laquelle vous vous accrocherez, la mienne ou celle des psychiatres. J'ai changé huit fois de familles d'accueil durant ses deux années. Ils s'effrayent tellement ces gens. Parce que je quittais mon lit en pleine nuit pour aller jouer sur la balançoire du jardin ou pour regarder une chaîne cryptée. La neige des écrans les apaisait. Vous savez, ceux qui vivent dans ma tête. La tête qu'ont fait les médecins quand je leur ai dit ça avant d'éclater de rire. Je me fichais de faire peur à ses gens, ça ne me faisait simplement rien, ni chaud, ni froid. Comme si j'assistais au monde en spectatrice silencieuse.
J'ai passé une année internée dans ce centre paumé. Shootée aux médicaments, je ne garde pas tellement d'images de cet endroit à part une grande maison dans les bois. Et des gens fous, vraiment fous. Je préfère ne pas parler de souvenirs. Dans les souvenirs, on est censé se rappeler de ce qu'on a ressenti, mais je ne ressens rien. J'ai simplement appris à faire semblant. Avec patience et application, en regardant des films, en lisant des livres. Ils disaient qu'il fallait découvrir l'élément déclencheur. Mais j'avais mon propre remède. Il n'y avait rien à réparer dans mon esprit. Toutes mes lectures sur la schizophrénie arrivaient au même point : incurable. La paranoia finirait sûrement par me gagner un jour ou l'autre,comme ce vieil homme de l'hôpital. On m'a interdit d'écrire une lettre à ma soeur, jugeant que j'étais trop faible.
Mais j'étais bien plus forte qu'aucun d'eux n'aurait pu l'être. Il m'a fallu une année complète pour leur faire croire que j'allais mieux, bien mieux, et que je pouvais regagner une école normale, une famille d'accueil. Une vie ordinaire dans une banlieue américaine. Allez savoir comment, mon diagnostic psychiatrique a rapidement fait le tour de mon lycée. Si bien que de petite nouvelle, je suis passée à la folle, une sorcière à brûler sur le bûcher. Mais ce n'était qu'un nouveau rôle à jouer, une nouvelle situation à laquelle je devais trouver une solution. Cachée derrière mon maquillage sombre et mes vêtements noirs, j'ai teint mes cheveux et commencé à les ignorer. Les rumeurs sur ma bizarrerie n'ont fait qu'augmenter et il était tellement aisé de leur faire avaler n'importe quoi. Quand il a fallu que je m'explique sur celle qui affirmait que je pratiquais des sacrifices sur les animaux du quartier en dévorant leur coeur, j'ai fondu en larmes en plaidant la nécessité de me protéger. Il n'y avait aucun doute à avoir, j'avais enfin trouvé ma voie.
Il m'a fallu quelques années supplémentaires à travers ces petites villes perdues d'Amérique, à vagabonder sur les rues, prête à tout pour de l'argent ou quelques kilomètres de plus vers la Grosse Pomme, là où m'attendait mon destin. New York, la ville de tous les rêves. Je n'ai jamais rêvé, du moins pas comme le commun des mortels se représente le rêve. Je savais simplement que ma place était ici. La schizophrénie et l'apathie qu'elle avait soufflé en moi n'étaient pas des fardeaux. Elle était le révélateur de mon talent, celui d'une grande actrice, capable de vous faire croire qu'elle appartient à la masse uniforme alors qu'au fond, il n'y a qu'un vide immense. La Juilliard School m'a offert une bourse complète d'études après mon interprétation des Mouches de Sartre, un auteur français que j'avais découvert pendant mes internements.
Depuis, c'est ici que je vis, à New York. Sous curatelle évidemment, on ne laisse pas une folle sans surveillance, c'est bien ce que la plupart des gens penseraient non ? Mon agent de curatelle m'a trouvé un studio dans le centre, il s'occupe de gérer mes papiers, mes comptes bancaires. Et moi je m'occupe de mes propres affaires. Le traitement a fait taire les voix qui avaient habité mon esprit pendant si longtemps mais aujourd'hui, je suis habituée à ce silence qui autrefois était angoissant. Je n'ai pas revu ma soeur depuis tant d'années. Peut-être que c'est ça, la clé qui me manque, la pièce manquante au puzzle comme le dit le docteur Lehrmann. Elle est ma seule famille après tout. Mais rien ne doit empêcher mon destin de s'accomplir, celui qu'on a écrit pour moi quand on m'a mis ses voix dans la tête, celui de devenir une étoile. Une grande star reconnue par tous pour son talent, et pas pour sa folie.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Marie, 21 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → j'étais déjà inscrite, je reviens ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop ★Présence sur le forum → 3/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Shiya
Mon exemple de RolePlay:
→ "Reine Marigold, nous ne pouvons rester sans nous battre, la pourriture prend de plus en plus d'ampleur sur la zone concernée." "Je ne le sais que trop bien Caporal, la forêt finira par se vider de ses forces si nous n'intervenons pas." "Mais nous ne pouvons risquer votre sécurité ... Vous êtes l'âme de la nature." La petite reine se retourne vivement, faisant tressaillir le faible bourgeon sortant doucement de terre à ses pieds. "Je ne le sais que trop bien. C'est pour ça que je dois me battre à vos côtés." Déterminée, elle laisse passer un rayon de lumière avec tendresse malgré tout sur la petite fleur jusqu'à ce qu'enfin, timidement, elle étire ses pétales violets. Voilà ce pour quoi elle devait se battre, et ce jusqu'à ce qu'elle passe ses pouvoirs à une autr reine. Elle devait protéger la vie, contre tous et surtout contre les esprits de la pourriture bien décidée à anéantir tout équilibre entre création et destruction. L'air était pesant à l'extérieur, malgré la rosée encore présente sur les longues tiges d'herbe. Suivant le Capitaine de la garde des hommes-feuilles, elle se coiffe d'un casque, se ceint d'une épée et à son tour, enfourche la selle d'un colibri. Dans le ciel, les chauves souris font un vacarme assourdissant en s'enfonçant bruyamment dans les fourrées sombres de la forêt. Sortant son épée de son étui, elle jette un dernier regard au palais de la Lune et sa floraison naissante. Et a fougue s'interrompt quand face à elle, à la place des fourrées verdoyants, il n'y a plus rien d'autre que des branches sèches. Plus rien d'autre que la mort.
Le front en sueur, elle ouvre soudainement ses grands yeux bleus. Emmitouflée dans sa couverture, elle reste encore quelques secondes sans oser bouger, fixant les peluches qui jonchent le sol de sa chambre. Est-ce que ce n'était qu'un rêve ? Est-ce qu'en regardant par la fenêtre de sa chambre, elle ne verrait au loin plus rien de cette forêt qu'elle aime tant ? Pourtant, tout lui semblait tellement réel, comme si vraiment, du bout des doigts, elle avait été en mesure de contrôler les forces de la nature. Et comme si réellement, son coeur s'était brisé en deux en constatant les dégâts créés par le peuple de la pourriture. La petite fille étreint contre son coeur le lapin en peluche crème qu'elle trimbale partout depuis qu'elle l'a reçu un jour pour un anniversaire avant de rejeter sa couverture au pied du lit. Il fallait qu'elle en ait le coeur net, qu'elle s'assure que rien n'était arrivé. Une de ses petites copines de cour lui avait un jour dit que voir des choses dans sa tête, ça voulait dire qu'on avait de graves problèmes. Et non, elle ne voulait décidément pas être la petite fille à problèmes pour son papa. Dans son pyjama rose, elle enfile ses bottes à fleurs et son anorak, noue une écharpe autour de son cou et enfonce un bonnet sur sa chevelure d'or.
Dehors, le vent est frais mais ça ne l'empêche pas de se mettre à courir le long du trottoir pour rejoindre au plus vite l'entée de la forêt. Tout est tellement plus calme, apaisant, qu'elle en oublie complètement qu'elle n'a prévenu personne de sa petite escapade. Les arbres sont intacts, lui disent presque bonjour par leur bruissement de feuilles. Elle caresse du bout de ses petits doigts gelés l'écorce d'un vieux marronnier avant de se hisser sur la première branche très basse. Il y a quelque chose de rassurant pour elle d'être là, recroquevillée dans le creux d'un arbre, les yeux perdus dans la lune qu'on aperçoit à peine derrière les branches orangés des arbres. Comme si elle avait enfin trouvé le monde qui lui manquait tant, celui qu'elle voit en rêve.
Dernière édition par Gaia A. Pickford le Lun 21 Oct - 0:33, édité 4 fois
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Dim 20 Oct - 18:57
Preum's pour saluer ma p'tite sœur adorée! <333
Ayoo blondasse!
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Dim 20 Oct - 18:59
Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Dim 20 Oct - 19:15
Re-bienvenue apparemment alors
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Dim 20 Oct - 19:25
Re bienvenue du coup
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Dim 20 Oct - 20:10
Twaaaaaa
Bon retour et bon courage pour ta fiche ! C'est déjà un début prometteur ! on veut la suiiiiite
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Dim 20 Oct - 20:18
Merci tout le monde j'étais noah avant
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 0:23
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres.
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 0:34
Bienvenue
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 0:34
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 3:18
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 11:23
Heyyyy ma pouuuuule !! Bienvenuuuuue !
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 12:42
bienvenue
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 13:04
Welcome - Jolie demoiselle !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 17:06
Personnage prometteur
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 22:45
Très jolie plume, tu es pré-validée. Une admin viendra t'ajouter à ton groupe
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Lun 21 Oct - 23:23
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur les ballons :
Have Fun !
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Mar 22 Oct - 0:31
Merciiiii
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Mar 22 Oct - 0:45
Re-bienvenue sur le forum.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going Dim 27 Oct - 19:21
JUNO j'ai déjà eu l'occasion de la jouer, puis le nom enfin bref bienvenue en retard et je vais te gratter un lien !!!
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Sujet: Re: GAIA ► if you're going through hell, keep going
GAIA ► if you're going through hell, keep going
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