Sujet: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 21:45
FEAT. TAMSIN EGERTON
delilah hermione coulson
22 ans → née à new-york le 27/08/1991 → employée chez heartbreaker fiancée pour couvrir son meilleur ami → hétérosexuelle → membre des beauty queens.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → ne porte que des marques + accro à louboutin + possède le tatouage d’une colombe à la cheville gauche + c’est son oiseau préféré + et cela représente sa pureté + car oui elle est toujours vierge + mais elle aime faire croire le contraire + elle possède deux paires de trous aux oreilles + ainsi qu’un piercing au nombril + piercing qui possède toujours un diamant + elle a fumé durant un long moment + depuis le décès de son grand frère suite à un cancer du poumon fulgurant, elle ne fume que la cigarette électronique + elle ne peut pas se passer de nicotine + elle porte toujours la gourmette de son frère au poignet + elle ne sort jamais sans maquillage + elle s’est teinte en brune une fois + mais le blond reste vraiment sa couleur + elle fait une manucure tous les quinze jours + elle ne jure que par apple + elle a dix parfums différents + elle passe beaucoup trop de temps dans la salle de bain + elle adore la nuit + mais a horreur de la pluie + c’est une speedy gonzales des textos elle répond à la vitesse de la lumière + elle poste des photos sur instagram environ toutes les deux heures + elle est terriblement fière de son deuxième prénom + c’est son père qui l’a choisi + selon elle, c’est la chose qu’il a fait de bien + elle est anglaise par son père et française par sa mère + mais elle est née à new-york malgré tout + elle porte le nom de famille de son beau-père + c’est un des actionnaires principaux d’une grande banque + sa mère ne travaille pas + elle voit rarement sa famille + elle est pourtant la fierté de sa mère + son meilleur ami est gay + mais il ne veut pas l’avouer + ils se sont fiancés il y a six mois + mais sont « en couple » depuis un an et demi + elle fait ça pour lui rendre service + cela l’arrange aussi + elle souhaite rester vierge jusqu’à son mariage + et même après ça vu qu’elle ne compte pas coucher avec son meilleur ami + elle adore sa bague de fiançailles qui a coûté une petite fortune + cela a fait sensation dans la haute société d’apprendre la nouvelle + elle reste malgré tout très convoitée + et redoutée + la coque de son téléphone est toujours assorti à sa tenue + elle a horreur des chiens + les clowns lui font peur + les films à l’eau de rose lui filent des boutons + c’est une accro aux séries + elle connaît gossip girl par cœur + the fray est son groupe préféré + les soirées mondaines sont son dada + elle préfère le théâtre au cinéma + emmenez-là à l’opéra et elle vous adorera à vie + elle ne fréquente que la haute société + mais ça ne l’empêche pas d’avoir des amis venant de tous les milieux + si vous la voyez dans le bronx, c’est qu’elle a une très bonne raison de s’y trouver + elle connaît manhattan comme sa poche + elle déteste les starbuck + ne mettra jamais les pieds dans un fast-food + n’a jamais été amoureuse + était surnommée « the heartbreaker » au lycée + connait tous les potins de tout le monde + possède tous les numéros de vogue + a vu toutes les saisons de project runway + ainsi que de america’s next top model + est nulle en cuisine + adore le chinois + allergique aux pommes + « hey there delilah » est son hymne +
★Quel est le caractère de ton personnage? → princesse + manipulatrice + franche + capricieuse + adore le luxe + lance des regards dédaigneux dès qu’elle trouve quelque chose étrange + dévisage les gens sans aucune gêne + critique toujours tout + elle fait tout le temps des remarques blessantes + mais au fond tout ce qu’elle dit est vrai + ne possède que quelques véritables amis + elle ferait tout pour eux + n’est pas intéressé par trouver l’amour + ne trouve aucun intérêt à coucher avec n’importe qui + la preuve elle est toujours vierge + ne connait pas vraiment les remords + aime tout diriger + s’arrange toujours pour que ce soit le cas + est une menteuse sans faille + aime quand tout gravite autour d’elle + si elle n’a pas au moins trois admirateurs elle se vexe + très susceptible + elle fait des remarques mais il ne faut pas lui en faire + elle ne les accepte que venant de certaines personnes + même si elle ne se laisse jamais faire + est raisonnable + n’a connu que de rares cuites dans sa vie + par contre elle dépense beaucoup trop d’argent + c’est une langue de pute et elle l’assume + elle pourrira la vie de quelqu’un si elle ne l’aime pas + est très virulente et incisive quand elle attaque verbalement quelqu’un + possède un bon fond + mais on la prend pour une peste fille à papa quand on ne la connait pas + ça ne la dérange pas vraiment + ainsi seuls ceux qui cherchent à en savoir plus sur elle deviennent ses amis + elle a le chic pour renverser la situation en sa faveur + d’accusée elle devient toujours victime + est capable de ne pas parler à son meilleur ami pendant des jours entiers juste pour lui prouver qu’elle en ait capable + montre son affection d’une façon étrange + se comporte différemment avec ses proches + ne dit « je t’aime » qu’à ses meilleurs amis + avec un sourire et une œillade elle peut manipuler un peu n’importe qui + elle prône le « be who you are » + elle déteste l’homophobie, le racisme et autres trucs du genre + elle considère sera la première à accueillir un « pauvre » parmi les riches + même si elle risque de le mettre mal à l’aise par ses remarques + c’est juste dans sa nature il ne faut pas faire attention + peu de personnes comprennent cela + elle fait rarement des compliments de façon direct + il faut savoir décoder + elle a une répartie excellente + lorsqu’elle dirige quelque chose c’est d’une main de fer + si c’est elle la chef on ne risque pas de lui piquer sa place + elle a d’ailleurs été la capitaine des cheerios de son lycée durant quatre ans + elle a pris la place de l’ancienne capitaine sans difficulté + elle aime bien avoir des ennemis + cela l’amuse pas mal + elle se sent supérieur au commun des mortels + mais sait reconnaitre ses aînés + il ne faut surtout pas la trahir + elle a la rancune tenace + et elle sait très bien se venger + aucune trahison ou acte de ce genre envers elle ne restera impuni + elle a un égo très développé + assez narcissique + égoïste sur certains points + fait malgré tout des dons à certaines associations +
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → toujours tia, toujours quinze ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → c’est un enlèvement au secours ★Ce personnage est-il un double compte ? → tc ★Présence sur le forum → demandez plutôt quand je ne suis pas là, ça ira plus vite ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé mais j’arrive pas sans attaches ★Crédit images → bazzart,ecstatic ruby
Mon exemple de RolePlay:
→ C’était une mauvaise idée. Une très mauvaise idée. Un peu comme toutes les idées qu’Eduardo avait en ce moment en réalité. Mais celle-là, elle était mauvaise et stupide. Il mettait bien trop sa fierté de côté en ce moment et il n’était pas d’humeur à le fait encore. Mais il n’avait pas le choix. Il ne pouvait pas faire ça, en sachant qu’il n’y aura personne pour rattraper ses conneries. Enfin, la plus grosse connerie de toute sa vie pour être plus exacte. Et il va la faire, volontairement, comme un grand. Il s’est qu’il est un lâche, un gamin qui fuit les responsabilités, mais il ne pensait que ça irait aussi loin. Il semblerait que si. Rien que de penser au moment où il fera cela, ça lui retourne l’estomac et lui donne envie de pleurer. Il ne sait même pas s’il sera capable d’aligner trois mots sans fondre en larmes. Seigneur, il était pathétique. Il avait encore le temps pour s’y préparer pourtant. Mais ce qu’il s’apprêtait à faire à l’instant présent, ce n’était pas quelque chose qui le rendait de bonne humeur. Ça le minait plus qu’autre chose et s’il pouvait il ne le ferait pas du tout. Mais il n’avait pas vraiment le choix, car même si ça lui arrachait le cœur de le reconnaitre, le blond était bien le mieux placé pour rattraper tout ça. Mon dieu mais pourquoi il n’avait pas aucun problème avec être en couple durant des années entières ? Et surtout pourquoi fallait-il qu’il aime Ethan à ce point-là ? Sérieusement, ce qu’il faisait pour lui, ça en devenait risible. Il était ridicule. Ridicule, pathétique et amoureux. Au moins, il avait la totale.
Soupirant une énième fois, Eduardo leva son poing, prêt à frapper contre le panneau de bois… et il se dégonfla à nouveau. Il n’arrivait pas à le faire. Parce que quand il frappera contre cette fichue porte et lorsqu’il annoncera ça à Maxime, ça rendra le tout plus réel. Car pour le moment, ce n’est qu’une idée dans sa tête, parmi toutes les autres qu’il possède. Personne n’est au courant. Absolument personne. Et ironiquement, c’est une des personnes qu’il déteste le plus qui va être au courant et qui le pousse à faire ça qui va le savoir. Enfin, ce n’est pas la faute à Maxime bien entendu, même si Eduardo déteste admettre cela, même à lui-même. C’est simplement lui qui est trop lâche et qui se trouve une excuse. Une excuse légitime oui, et au fond, il le sait. Bien entendu qu’il le sait, il le sait depuis le début même. Il s’en doute, mais il a fait de son mieux pour l’ignorer. Ignorer cette sensation de ne pas être le bon, d’avoir quelque chose en moins, de ne pas avoir cette faculté à allumer l’étincelle spéciale dans le regard d’Ethan. Il sait qu’il est important pour lui et il sait qu’il l’aime presque autant que lui l’aime, mais ce n’est toujours pas assez. Les étoiles que le châtain a dans les yeux lorsqu’il le regarde, elles sont magnifiques et elles font voler Eduardo au-dessus du sol, mais ce n’est pas suffisant. Il sait qu’il manque quelque chose dans ce regard qu’il aime tant, et il n’y a qu’une seule personne qui est capable de la faire apparaître. Et c’est pour ça qu’il est là. Pour annoncer la débile des décisions de toute son existence à quelqu’un qu’il déteste, avec qui il s’est battu et qu’il assassine du regard à chaque fois qu’il le croise. Mais quand on a plus vraiment le choix et qu’on est fou amoureux, on se retrouve à faire des trucs aussi débiles que cela.
Il n’a même pas conscience de frapper à la porte, tellement il est perdu dans ses pensées, trouvant la meilleure façon de formuler cela. Mais il n’y a pas de bonne façon. Et bon dieu, si c’est si difficile de le dire à Maxime, qu’est-ce que ce sera lorsqu’il devra l’annoncer à Ethan lui-même. Il va faire un malaise, c’est certain. Ses poings sont tellement serrés qu’il sent ses ongles s’enfoncer dans ses mains et son dos est tellement tendu qu’il pourrait servir de table à manger. Et puis la porte s’ouvre et pendant un bref instant, Eduardo arrête de respirer. Il ne peut pas le faire. Il ne peut pas le faire. Mais il doit avoir l’air bien débile là, à être planté devant la porte. Alors il parle, car il doit bien sortir quelque chose. « J’ai quelque chose de très important à te dire, alors même si tous les deux on ne peut pas se supporter, va falloir faire des efforts durant quelques minutes. » Il doit le dire. Il ne peut tout simplement pas faire tranquillement la conversation à celui qu’il peut facilement considérer comme son pire ennemi. Mais ça ne veut juste pas sortir. Ça rendrait tout tellement réel…. Comment peut-il dire ça, bon dieu ? Il prend une inspiration profonde, ferme les yeux, s’empêchant ainsi de voir le visage du blond – d’ailleurs il ne semble pas au top de sa forme depuis quelque temps mais ce n’est pas vraiment son problème après tout – et puis il retourne les mots dans sa tête, cherchant une excuse pour s’échapper d’ici car il ne peut pas le faire…. « Je vais rompre avec Ethan. » Il rouvre les yeux de surprise en se rendant compte qu’il l’a dit, finalement. Et puis bon, il ne veut pas non plus rater la réaction du blond. « Je peux entrer ? » Il a comme l’impression qu’ils ont besoin de discuter tous les deux, même si ça lui tape sur le système et qu’il n’a pas du tout envie d’avoir cette conversation.
Dernière édition par Delilah H. Coulson le Sam 16 Nov - 0:36, édité 3 fois
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Sujet: Re: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 21:46
« Delilah est ma princesse. Je ne peux imaginer ma vie sans elle. La perte de mon premier enfant, Devon, m’a profondément bouleversé. Je sais que son décès a également ébranlé Delilah, même si elle ne l’a jamais montré de façon significative. Désormais, elle est le seul enfant qu’il me reste et je ferai tout pour elle. Malheureusement, elle ne s’entend pas très bien avec mon mari et elle ne vient nous voir que très rarement. Je comprends qu’elle souhaite voler de ses propres ailes, mais j’aimerai qu’elle nous accorde plus de temps. Nos sorties shoppings mère-fille me manque et nous n’avons plus fait de repas de famille depuis un long moment. Pour tout dire, j’ai plus de nouvelles d’elle par son fiancé que par elle-même. En parlant de son fiancé, il serait peut-être temps qu’elle songe sérieusement à mettre en route la machine du mariage. Après six mois, nous n’avons même pas une date de fixé. A se demander si elle souhaite vraiment se marcher. Enfin, c’est une adulte désormais, elle doit sûrement savoir ce qu’elle fait. »France Coulson, 53 ans, mère.
« C’est une peste. Depuis toute petite. Delilah et moi, on n’a jamais accroché. Et pour cause, c’est une vraie manipulatrice. Elle ne m’aime pas et c’est réciproque. Malheureusement pour moi, c’est elle qui mène la barque. La première fois que je l’ai vu, elle avait quatre ans. Une vraie tête d’ange et je pensais que tout se passerait très bien. Grosse erreur. Elle ne cessait de faire des caprices et c’est toujours elle que sa mère croyait. Résultat, elle inventait un peu tout et n’importe quoi pour faire de ma vie un enfer. Je répondais par des punitions, mais sa mère les levait tout le temps. Delilah déteste son père, ce n’est pas nouveau, mais elle ne souhaite pas pour autant que je prenne sa place. Elle n’écoute pas ce que je lui dis et elle adore me contrarier. J’étais catégoriquement contre son piercing, elle en a fait un quand même. Je ne sais pas pourquoi elle part parfois en voyage dans d’autres pays pendant plusieurs mois et elle refuse toujours de la dire et ce, même à sa mère. Elle prenait toujours ma carte gold à l’époque où elle n’en avait pas encore une et s’achetait des choses hors de prix avec. Heureusement que j’ai un compte en banque bien rempli, sinon je serai ruiné depuis longtemps. C’est une guerre sans fin et même si je ne baisse pas les bras, elle est toujours celle qui a l’avantage. La princesse de sa mère. Et moi, j’aime cette dernière, alors il faut bien subir. La mère allait avec la fille. Il faut faire avec. »Jonathan Coulson, 51 ans, beau-père.
« Lorsque nous étions à l’école, Delilah était celle qu’il fallait à tout prix avoir dans son cercle d’amis. Ou plutôt, il fallait à tout prix y être. Elle n’acceptait pas tout le monde et si vous aviez le malheur de faire partit de ses ennemis ou de ses souffre-douleurs, votre vie devenait un enfer. J’avais la chance d’être dans ses bonnes grâces, mais je n’étais pas non plus sa meilleure amie. Parfois, elle m’en mettait bien la gueule, mais je savais que le lendemain, sa haine contre moi serait passée. C’était comme si elle était lunatique parfois. Elle était la reine de l’école et les professeurs l’adoraient, voyant en elle un petit ange. Nous étions dans une école privée où tous les enfants de riche se côtoyaient et la chef des garces du bac à sable, c’était elle. Elle avait toujours sa petite cour autour d’elle qui lui léchait les pieds et disait amen à tout ce qu’elle disait. Je pense qu’elle se foutait bien d’elles en réalité. Elle était cruelle et mesquine avec elles, et elle ne devait pas vraiment les apprécier. Avec ses vraies amies, elle avait un comportement différent. Elle était plus gentille et rigolait plus souvent en leur présence. J’admirais Delilah, je l’avoue. J’aurai aimé avoir sa capacité à attirer tous les regards, la sympathie des gens et de savoir écraser ceux qui me méprisaient. Je pense qu’elle avait compris mon admiration pour elle, mais au lieu de m’humilier, elle semblait me respectait. Je n'ai jamais compris pourquoi. Je me considère simplement comme une chanceuse. »Amy Andrews, 21 ans, ancienne camarade de primaire.
« Elle a fait de ma vie un enfer. En primaire, j’étais son souffre-douleur préféré. Tout cela vient d’un malheureux béguin d’enfant que j’ai eu pour elle. Un jour j’ai eu le malheur de lui demander si je pouvais être son amoureux et elle m’a ri au nez. Tout est parti de là. Elle s’est mise à m’humilier, racontant à tout le monde mon amour pour elle. Puis elle s’en prit directement à moi, critiquant ma façon de m’habiller, mes lunettes, mon bégaiement. Chaque jour, j’avais droit à mon lot de reproches. J’étais heureux d’être malade pour tout dire, car je n’avais pas à la supporter. Les vacances étaient une délivrance. Mais en vérité, elle m’a aidé d’une certaine manière. Car à force d’entendre toutes ses critiques, j’ai fini par changer certaines choses. C’était minime certes, mais je savais qu’elle le remarquait. Car à la fin de l’école, le dernier jour de ma torture, elle est venue me voir. Seule cette fois-ci, sans sa bande de dindes qui trainaient toujours derrière elle en gloussant. Je me souviens parfaitement de ses paroles. « Tu avais simplement besoin d’une motivation. La méchanceté touche bien plus que des compliments mielleux. Félicitation, tu es devenu un être humain potable. » Elle m’a embrassé sur la joue et elle reparti, avec son air hautain sur son visage, celui qui l’a jamais quitté. Mais je venais de découvrir une nouvelle facette de la grande méchante Delilah et cela changeait tout. »Sebastian Houston, 22 ans, ancien camarade de primaire.
Dernière édition par Delilah H. Coulson le Sam 16 Nov - 14:41, édité 1 fois
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Sujet: Re: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 21:46
« Je ne sais pas comment j’ai pu sortir avec elle. C’est une salope. Elle s’est bien foutue de moi. Je suis tombé dans le panneau comme un pauvre imbécile. A tomber amoureux, lentement mais sûrement. Quatre mois que la comédie à durer. En principe, elle ne restait en couple que un ou deux mois. Je pensais que j’étais différent. Grave erreur. Elle m’a quitté, du jour au lendemain, sans explications. J’ai voulu la récupérer bien sûr. Je lui ai dit que je l’aimais. Elle n’en avait rien à faire. Elle m’a demandé de ne plus l’approcher, que je ne signifiais rien, seulement un autre nom sur la liste. Pas de sentiments. Pas de sexe non plus. Mademoiselle n’a jamais voulu. Je ne sais pas pourquoi cela duré quatre mois alors qu’elle ne ressentait rien. Se faire larguer par elle, ça vous permet d’être appelé « une autre victime de l’heartbreaker ». Et encore, moi, j’étais chanceux. Elle a accepté d’être ma petite-amie. D’autres mecs, elle les a humilié en rejetant leurs avances sans aucun remord et on se moque encore d’eux. Elle brise les cœurs et les réputations. La capitaine des cheerleader, ce n’est pas pour rien. Être avec elle, cela m’a coûté une petite fortune. Restaurants hors de prix, bijoux extravagants, vêtements de créateur. Il faut être à sa hauteur. Mais ceci est impossible bien sûr. Elle trouve toujours quelque chose à redire. Eternelle insatisfaite. Oh, elle portait ce que je lui offrais. Elle appréciait les restaurants. Mais toujours, il y avait un « mais ». A force, on s’habitue. On se surpasse à chaque fois. Ça ne suffit pas, alors on continue encore et encore et au final, on se fait jeter comme une chaussette. Elle fiancée désormais il parait. Je ne sais pas comment il fait. Je la lui laisse, la reine des garces, j’ai déjà testé, ça ne m’intéresse plus. »Marcus Newton, 23 ans, ex petit-ami de lycée.
« Elle était mon idole. C’était le genre de fille que je voulais être. Elle était belle, grande, mince, adulée, populaire, intelligente. Elle avait toujours la classe, une repartie sans faille. Je l’admirai, je faisais tout pour lui ressembler. Mais j’avais des kilos en trop, un visage pas aussi parfait que le sien, une timidité qui me faisait défaut. Jamais je n’ai pu ne serait-ce qu’effleurer sa perfection. Mais encore et encore, j’aimais tout ce qu’elle faisait. Sa façon de marcher, son regard fier, ses prouesses au cheerleading. La façon qu’elle avait de ne jamais perdre la face, même quand elle avait tort. Elle était capable de vous persuader que Paris était en Italie. Elle avait tellement confiance en elle. Je n’étais pas la seule à l’admirer bien sûr. Une bonne partie du lycée le faisait. En vérité, c’était elle, Hope et Shelley que tout le monde admirait. Lorsqu’elles marchaient toutes les trois dans le couloir, on s’écartait comme la mer morte pour les laisser passer. Les garçons bavaient et les filles étaient jalouses. Elles étaient tellement puissantes toutes les trois. Oh certes, on savait que Delilah faisait cavalier seul plus souvent et que Hope et Shelley étaient plus liées, mais jamais personne ne parlait de cela. Les trois reines, c’était elles, nous n’avions à nous mêler de leurs affaires. On était juste là pour se taire et les admirer. »Mélanie James, 21 ans, ancienne camarade de lycée.
« Ah Delilah, mademoiselle la princesse. Elle s’est toujours crue supérieur à tout le monde. Même dans un lycée de riche, il y a l’élite. Elle était encore au-dessus. Ça lui montait à la tête et moi, ça me tapait sur le système. Je ne l’ai jamais caché. J’avais même le culot de lui dire et elle est devenue ma pire ennemie. Et j’étais très certainement la sienne. Et croyez-moi, ce n’était pas une place enviable. Car les trois quarts du lycée l’adoraient, alors moi, on me détestait. J’étais devenue une paria, mais je refusais de la laisser gagner, alors je m’acharnais. Je pense que j’ai finis par gagner son respect à lui tenir tête durant quatre ans. Cela ne l’empêchait pas de me critiquer et de m’envoyer toutes sortes de répliques cinglantes en pleine tête dès qu’on se croisait, mais elle avait cette pointe de respect dans le regard. Et j’étais son ennemie. Personne d’autre n’avait le droit de s’en prendre à moi. Elle doit sûrement être quelqu’un de possessive. C’était drôle à voir quand on se confrontait toutes les deux. Au milieu d’un couloir, ou de la cour, ou même dans une salle de classe, avec tout le monde nous regardant. Cela a toujours été verbale, nous étions des filles après tout et mademoiselle ne se serait pas cassé un ongle pour moi. Nous n’avons jamais eu d’ennuis non plus. Tous les professeurs faisaient tout ce qu’elle désirait et si elle leur disait qu’il n’y avait pas de problèmes, alors ils la croyaient. La plupart des lycéens me détestaient à cause d’elle mais au moins, je ne me suis pas ennuyée. » Elizabeth White, 22 ans, ancienne camarade de lycée.
« C’est la femme de ma vie. Si je dis ça à n’importe qui, il va penser que je dis cela dans le sens amoureux. Mais pas du tout. C’est ma meilleure amie, ma sœur, ma jumelle. La femme de ma vie. On se connait depuis le berceau tous les deux. Nous n’avons jamais été séparés. J’ai toujours été son meilleur ami. Celui qui était là, avec elle, toujours, quoi qu’il puisse arriver. Qui la soutenait et osait lui tenir tête lorsque je n’étais pas d’accord. Notre amitié fonctionne bizarrement. C’est moi qui lui montre que je l’aime, que je ferais tout pour elle. Je dois toujours lui montrer et c’est à moi de m’écraser dans notre relation. Mais je dois simplement savoir ce qu’elle ressent pour moi. Le même amour fraternel infini. A la vie à la mort. On devrait même jurer cela devant un prêtre si on suivait la suite logique des choses. Car nous sommes fiancés. Mais nous ne sommes pas amoureux. Elle fait ça pour moi. C’est sa façon à elle de me montrer que elle aussi, elle fait tout pour moi, qu’elle me soutient. Je suis gay et j’ai peur de l’avouer, de le montrer. Mais je ne peux pas juste sortit avec une fille au hasard. Je suis tranquille avec elle. Je sais qu’elle est toujours vierge, elle sait que je suis gay. Je connais son métier, elle sait que je vais discrètement dans des bars gays pour trouver des hommes d’un soir. C’est comme ça qu’on fonctionne. On nous prend pour un petit couple parfait mais ce n’est qu’une mascarade bien sûr. C’est devenu habituel pour nous de s’embrasser sur la bouche et de se tenir la main. Je lui ai même fait une vraie demande en mariage dans un grand restaurant et on a tous les deux montré nos talents d’acteur. C’était un grand moment et on en a bien rit plus tard. On ne vit pas ensemble et je comprends pourquoi. Ce serait un peu étrange si un matin, elle croisait un des hommes avec qui je couche. Mais on est toujours là l’un pour l’autre, même si parfois, je n’ai pas de nouvelles d’elle durant trois jours car je ne lui ai pas envoyé de textos. Mais c’est simplement Delilah et je ne peux pas l’imaginer autrement. »Damon Jefferson, 22 ans, meilleur ami et fiancé.
Dernière édition par Delilah H. Coulson le Sam 16 Nov - 14:54, édité 1 fois
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Sujet: Re: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 21:53
FIRST. Le bébé de Hope, les meilleures amies réunies. Je réponds à ton mp ici, c'est mieux donc je te salue, beauté.
Bref, je suis vraiment heureux d'avoir une biatch de taille avec moi. Et excellent choix d'avatar. cet aprèm, je l'ai vu sur une affiche dans une boutique.
Re-bienvenue sur le forum, darling, et bonne chance pour ta fiche.
Ps: tu as mon centième point sous Shall.
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Sujet: Re: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 21:56
yeah tu gères who run the world ? us les bffs sont dans la place ça fait un moment que je veux la jouer la miss en plus merci
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Sujet: Re: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 21:58
C'est nous, c'est nous. on va s'éclater. Ur welcome. et te voilà avec ta tamsin et un tc.
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Sujet: Re: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 22:03
mais tellement et ouais, j'ai la totale
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Sujet: Re: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 22:10
UN TC et quel choix bienvenue à toi enfin rebienvenue bonne chance avec ta fiche, et j'exige un lien moi
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Sujet: Re: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 22:12
oh tu exiges je te garde ça au chaud alors merci
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Sujet: Re: delilah + i don't need your sympathy Ven 15 Nov - 22:12
HEY THERE DELILAH WHAT'S IT LIKE IN NEW YORK CITY goooosh que tamsin est belle, tu fais vraiment un super bon choix et tu me gardes un lien surtout rebienvenue chez toi Tia