Sujet: Ebony L-I Kennedy ♦ " Et même le plus haut prince n'est jamais assis que sur son cul ! " Jeu 14 Nov - 22:23
FEAT. Hanna Beth
Ebony-Léona- Iris Kennedy
25 ans → Née à Londres le 14/08/1988 → Barman célibataire → hétérosexuelle → membre des rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? →Ebony... Ebony ou le genre de petit bout de femme qui se contre fou du regard des gens, elle a son propre style vestimentaire, elle aime faire de nouvelles expériences, être confronté à la vie, la galère, elle possède un piercing au nez, un autre au nombril elle trouve que ça fait sexy ! Elle a plusieurs tatouages, c'est l'une de ses passions, elle adore ça ! Les dessins animés jusqu'a pas d'heure c'est son hobbies tout comme la moto, c'est son défouloir, son petit moment de détente bien à elle, certains on peur de conduire ce genre d'engin, mais pour Ebony c'est son trip, être seule sur une route complètement perdue, loin de tout et de tout le monde, sentir l'air frais lui chatouiller le nez... C'est une sensation dont elle ne se lassera jamais ! Elle se touche souvent les cheveux quand elle est gênée, elle déteste les hypocrites, les personnes qui pètent plus haut que leur boule, elle rêverait d'être championne de moto cross, elle écoute la musique tous les soirs pour s'endormir, elle dessine quelquefois pour le plaisir, l'art c'est le seul truc à quoi elle porte attention, les cours c'est pas son domaine, elle n'est pas faite pour rester plus de quatre heures sur une chaise. Le chocolat son pêché mignon, elle est allergique aux framboises, elle n'aime pas l'odeur de l'orange, elle adore porter du parfum à la vanille.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Ebony c'est la p'tite nana sûre d'elle, avec un soupçon de folie ! Ebony, elle vit au jour le jour sans se soucier de rien, elle n'a pas froid aux yeux et ne risque pas de mâcher ses mots ou de se rabaisser devant n'importe quelle personne, quelquefois ça pourrait lui porter préjudice d'ailleurs mais bon à croire qu'elle n'a pas peur de se faire séquestrer, torturer et envoyer se faire bouffer par des chiens affamés par un psychopathe comme il en courts pleins les rues aujourd'hui ! Elle est généreuse, têtue quand Ebony a une idée derrière la tête vous pouvez toujours batailler pour la lui enlever. Elle adore faire la fête c'est une grosse fêtarde, elle est sociable, elle sourit tout le temps, elle a la joie de vivre sur son visage, c'est une petite boule d'énergie, elle ne s'arrête jamais ! Bien entendu elle aime charmer, se faire belle, séduire les jeunes mâle, elle se sent bien dans sa peau. Elle est très rancunière, malgré son côté doux elle possède un véritable caractère de cochon ! Lorsqu'elle n'aime pas une personne elle se fait un grand plaisir de le lui montrer, elle ne s'en cachera le moins du monde. Elle est ouverte d'esprit et aime rencontrer de nouvelles personnes, de nouveaux horizons ! Elle veut toujours avoir le dernier mot, elle déteste avoir tort, elle est jalouse et possessive, très superstitieuse, croit beaucoup au destin et ce dit que les choses ne sont pas là par hasard. Elle est débrouillarde, elle aime être différente des autres. Elle est assez bordélique, elle a deux pieds gauche !
Well... It's my story...
I. Ma famille, mon père...
- Ma seule et unique famille, mon père, un chauffeur routier tout ce qu'il y a de plus banal ! Ce n'était pas un homme brillant je dois l'avouer, mais il a su prendre soin de moi avec l'absence maternelle avec laquelle j'ai vécu. Je n'ai qu'une photo de ma mère, elle était si belle, elle avait l'air si douce, on avait le même nez d'après mon père. On avait beaucoup de ressemblance comparée à mon père avec lequel j'en ai pratiquement aucune. Ma mère est morte à ma naissance, elle était diabétique et n'a donc pas survécu à ma venue au monde, je l'aime... Oui je l'aime même si je ne l'ai jamais connu, elle devait être parfaite pour que mon père l'épouse, parce qu'avec son caractère complètement pourrit elle devait vraiment être très forte pour le supporter, d'ailleurs même moi je n'y arrive pas ! A chaque embrouille je m'éclipse par la fenêtre de ma chambre, j'enfourche ma moto (oui, oui j'ai bien dit une moto !) C'est fun les motos, mon père et moi avons la même passion c'est notre trip bien à nous, mais il n'aime pas quand je conduis la nuit alors dès qu'il entendait le bruit du moteur et qu'il s'apercevait que je n'étais plus dans ma chambre comme toute adolescente de seize ans normale comme il aime dire, il accourait sur le palier et me lancer toutes sortes d'injures que je ne citerais pas et, là je savais qu'en rentrant ça allait être ma fête !J'arborais les routes sombres, souvent vide, tout était parfait, je respirais l'air frais, je me sentais m'envoler et j'adorais ça, ressentir cette boule au ventre par la vitesse, avoir les larmes aux yeux par le vent, mon mascara qui dégouline, mais à ce moment-là je ne pense qu'à rouler, à tracer ma route et peu importe ce qui se passera après tant que j'avais ce genre de petits moments à moi toute seule.
II. L'adolescence...
- Bonjour le lycée, bonjour les amis, bonjour les fêtes les plus folles ! Oui, on peut dire que mon adolescence a été ma meilleure période comparée à certains jeune. Moi, je m'épanouissais, je n'avais aucune limite, bon j'avoue que les cours c'était pas vraiment mon truc, je séchais souvent pour faire de petites sorties improvisées avec mes potes, ou pour faire la grasse mat', apprendre c'est pas vraiment mon domaine. Du coup j'y allais juste pour foutre mon petit bordel, empêcher les profs de faire leur petit cours tranquille, eh beh non moi j'étais le petit élément perturbateur, la forte tête ! Je connaissais le bureau du principal par coeur et lui à croire qu'il ne pouvait plus se passer de moi avec le nombre de fois où il me convoquait, j'pouvais faire le chemin les yeux fermé à force. J'enchaînais conneries sur conneries, mon père n'en pouvait plus, il voulait même m'envoyer en passionnât, mais il se serait senti trop seul sans moi pour égayer ses journées. Le soir j'adorais faire des virées en boîte, danser, écouter la musique, boire comme un trou jusqu'à ce quelquefois notre estomac ne tient plus. Malheureusement c'est le tourbillon de mauvaises fréquentations, là-bas on peut vraiment tomber sur des personnes pas vraiment fiable comme moi j'en ai fait les frais d'ailleurs...C'était une soirée comme une autre, qui avait très bien commencé, j'avais bu, beaucoup bu, je me souviens d'un grand brun ou grand roux je ne me souviens plus, il me souriait, m'emmenant dans le patio, il m'embrassait, je ne disais rien, ça ne me déplaisait pas plus que cela et puis, je ne le reverrais sans doute jamais ! Il finit par décoller ses lèvres des miennes, sortant un petit pochon en plastique de sa poche, une poudre blanche à l'intérieur et me sourit avec un clin d'oeil en prime. Bien sûr j'étais jeune et naïve ce genre de choses m'excitaient à cet âge, j'étais conne quoi... Ni une ni deux la poudre s'était éparpillée dans mes narines, j'avais froid, ma gencive était comme paralysé, mais après ça j'étais telle une pile toute la soirée ! Je ne me suis pas arrêté jusqu'au petit matin et, dommage pour moi, je n'ai jamais arrêté d'en prendre jusqu'à maintenant. Les doses sont plus fortes, le manque se fait ressentir et tout ça m'fait peur, personne n'est mis au courant, personne.
III. Tu auras la paix lors du sommeil infini...
Cette soirée, cette route, cette froideur, ce taux d'alcool dans mon sang, ce calme immense, cette voiture à contresens, je ne l'évite pas, j'étais fatigué, épuisé, mon temps de réaction à était trop tardif... Me voilà allongé sur la route, j'entend juste le bruit des roues du chauffard grinçait près de mes oreilles, il venait sûrement de m'esquiver de peu, il ne s'était pas arrêté, le noir complet je ne me souviens plus de rien. J'ai mal à la tête, je sens cette odeur bizarre, une présence électrique près de moi. Des murs blancs, je ne reconnaissais pas ma chambre, j'avais du mal à ouvrir les yeux, des branchements à mon corps, des pansements ornés le tour de ma tête. J'avais mal de partout, mon père assis près de moi, me regardait le regard froid je le sentais près à exploser, mais il ne dit rien. Son regard persistait et puis enfin quelques mots sortis de sa bouche, ces mots que je n'arrivais pas à accepter. - Finit la moto, je ne veux plus te voir dessus ! Je me disais qu'il disait ça comme ça, sur le coup de la rage, sa fille à l'hôpital, il avait dû avoir la peur de sa vie. Non, il ne le disait pas à la rigolade, en rentrant ma moto n'était plus là, il l'avait mise à la casse où je ne sais qu'elle endroit. Après ça j'ai été prise de rage folle, j'ai jeté mes affaires dans une valise, à peine le minimum, mes économies et je me dirigeais vers l'aéroport, direction New York. Je lui laissais seulement une lettre pour des explications brèves, il ne m'a jamais appelé, je devais sûrement être morte à ses yeux maintenant, mais je pense que j'avais besoin de ça, toute cette histoire a été le déclic, mon départ c'est juste fait plus tôt que prévue, j'avais besoin de partir à l'aventure, voir quelque chose de nouveau... -
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age →Dylan alias Didii et 19 balais guy ! . ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Sur Root-top en cherchant un forum actif . ★Ce personnage est-il un double compte ? → Répondre ici. ★Présence sur le forum → 7j/7 . ★Personnage inventé ou scénario ? →Scénario . ★Crédit images →Bazzart.
Mon exemple de RolePlay:
→ Je grelottais encore, j'avais tellement froid, depuis c'matin, c'foutu matin... Je suis en short alors qu'il fait moins vingt-cinq degrés au soleil et moi j'me trimbale pratiquement à poil. J'en avais rien à battre à ce moment-là, j'me foutais complètement de l'allure que j'pouvais avoir, de la façon dont j'étais vêtue, le froid n'était que le dernier de mes soucis à cet instant. Je lâchais enfin la main de Konrad pour passer les miennes sur mon visage en reculant sur ma crinière. Je n'en revenais toujours pas, j'avais encore du mal à y croire, bordel ce silence devenait insupportable, j'arrivais plus à réfléchir à quoi que ce soit, je ne pouvais même pas appeler ma famille pour leur dire que je vais bien, j'ai plus de famille depuis trois piges maintenant, le seul qui me reste c'est lui ! Konrad, juste Konrad et là c'est lui qui avait besoin de moi. Madelyn... Sa soeur, pourquoi il me parle de sa soeur d'un coup ? - Comment elle va ?! Tu veux que j'l'appelle pour toi ? J'ai de la batterie encore ! Je sortis mon portable de la poche avant, commençant à faire défiler le répertoire afin de tomber sur le numéro d'Madelyn, j'lui tendis le téléphone jusqu'à ce que je vois son regard, ses yeux remplis de tristesse. Non... Non..Ne me dis pas ça bébé, je posais mon portable sur le canapé, ma voix était tremblotante, il n'avait rien dit mais j'avais deviné, il me rappelle moi quand j'ai su que ma mère...Enfin que voilà. Je descendis les genoux à terre, prenant son visage dans mes mains, le rapprochant contre le mien, des gouttes d'eau salées tombaient sur mes joues, je fermais les yeux, baisant son front.- Ecoute moi bébé, tu vas t'en sortir, dit toi qu'elle est mieux là où elle est, qu'elle est enfin en paix, qu'elle a trouvé le calme et le répit ! Faut qu'tu sois fort pour elle, hein qu't'es fort bébé ?! S't'euplait, écoute moi, calme toi, tout c'que tu feras n'y changera rien, j'suis déjà passé par là et je connais le mal que t'endures, mais dit toi que tout va passer, t'oublieras pas, mais ta peine s'apaisera et tu vivras avec.. Ne fais pas de connerie, je sais que tu seras tenté comme moi je l'ai aussi été à un moment, mais tu te feras encore plus de mal qu'autre chose ! Ca servira à rien de te mettre dans tous ces états, ça ne changera absolument rien ! Je parlais, je sortais les grands discours, mais tout c'que j'dis c'est du blabla, sa soeur, sa moitié est partie et moi j'lui baratine le crâne avec de la même merde qu'on m'a sortie autrefois ! J'suis vraiment pathétique des fois...
Dernière édition par Ebony L-I. Kennedy le Mer 27 Nov - 13:27, édité 8 fois
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
▌MESSAGES : 5706
▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
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