FEAT. Cara DelevingueR

Scarlette "Scar" June Catherine Monroe-Fields

23 ans → Née à Manhattan le 05/03/1990 → Design, créatrice de mode option Cinéma, célibataire → Bisexuelle → membre des Artists.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ Je suis grande, mince, blonde. La fille parfaite qu'on pourrait retrouver partout sur des podiums à la télé. Pourtant il y a quelque chose en moi qui me différencie de ces parfaites potiches. Mon regard. Cette partie de mon visage qui montre que je suis bien différente des stéréotypes de ma catégorie sociale. Mon air suffisant et sauvage me donne l'avantage de ne jamais passer inaperçu où que j'aille et j'avoue avoir un faible pour me démarquer dès qu'il ait possible. On me la toujours dit depuis que je suis petite, je dégage une aura qui est très difficile à ignorer. Du hauts de mes talons vertigineux, je trône comme une reine dans tous les endroits où je me rends. Habillée de la tête aux pieds chez les plus grands couturiers j'avoue avoir un grand faible pour tout ce qui semble inaccessible à la plupart des gens de la "vraie vie". Je suis une princesse. Une princesse avec des manières exécrables et pourtant beaucoup sont de ceux qui aimeraient m'approcher et me connaître. Pourtant je reste intouchable. Le genre de fille qu'on déshabille du regard par sa prestance et sa démarche chaloupée mais qui n'aura jamais un regard pour vous. J'ai quelque chose de bohème dans ma manière de m'habiller. Rien n'est jamais réfléchit dans ma façon de m'habiller et de me présenter et pourtant on dirait que j'ai souvent une armada derrière moi pour me donner les plus belles astuces de beauté. Rien à faire, je n'ai besoin de rien pour me différencier de toutes ces femmes aux minois des plus charmeurs.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Je me fiche de tout et de tout le monde et aime croquer la vie à pleine dent. Je test toujours mes limites quitte à en blesser quelques uns autour de moi mais c'est le jeu après tout. Etant une femme qui a été toujours chouchoutée par ses parents, je ne me préoccupe pas de savoir si je fais du mal autour de moi. Je suis toujours bien entourée et a une confiance en soit démesurée donc je m'en fiche pas mal. J'ai un franc-parler qui manque souvent de tact mais je déteste mâcher mes mots lorsque j'ai quelque chose à dire. Pourtant, je n'hausse que très jamais le ton. Ce n'est pas mon genre de faire de scènes ou venir prendre la tête aux gens autour de moi. S'ils ne me comprennent pas tant pis, le monde regorge de personnes bien plus intéressantes et sur lesquelles je n'aurais pas à perdre une énergie qui me serait très utile pour bien d'autres choses. Je déteste perdre mon temps et mon impatience me fait souvent défaut. Je peux m'énerver pour un rien dans ces cas-là. D'ailleurs, c'est aussi le cas lorsque je sens que mon indépendance est en jeu. J'ai toujours vécu très librement. Assez pour ne plus avoir vraiment l'envie de me retrouver dans une relation de couple ou m'attacher à des gens ce qui pourrait m'empêcher de faire ce dont j'ai envie quand j'en ai envie. Je suis pourtant très attachée à mes rares amis mais ça, je ne leur dirais jamais vraiment. Il leur suffira pourtant d'un regard ou d'un simple geste pour leur faire comprendre. Je ne parle d'ailleurs presque jamais de moi. Ma vie privée reste privée. Je suis une grande menteuse. Une de celle qui aime foutre la discorde dans des couples, se faire passer pour quelqu'un d'autre l'espace d'une nuit encore une fois pour s'amuser aux dépends des autres. Une actrice. Une très bonne actrice qu'on ne peut pas vraiment croire, à qui on ne peut pas réellement faire confiance. Je suis aussi très imaginative et me plonge souvent corps et âme dans des projets de grandes envergures. Que quelqu'un me dise que je ne peux pas faire quelque chose et je lui prouverais le contraire.

Well... It's my story...

On ne demande rien de plus que l'amour de sa mère. J'ai connu cette amour. En faîtes je fus aimé dès ma naissance contrairement à beaucoup. Née avec une petite cuillère en argent dans la bouche je pense que je ne manqua clairement de rien. Même lorsque mon père décida de quitter la ville, de quitter Manhattan, la fabuleuse ville où j'étais née pour s'enfuir à Dubaï pour les affaires. S'enfuir. C'est un bien grand mot. Je ne lui en veux pas. Son absence fut supportable puisqu'elle était comblée par les centaines de cadeaux que ma mère, femme au foyer, me faisait sans cesse. La belle Eleanore. C'est de sa beauté que j'ai hérité. Mais mon regard dur et froid je le tiens de mon père. Je ne sus jamais vraiment s'ils s'aimaient d'un véritable amour. En faîtes, ils ne se montraient pas une grande affection l'un pour l'autre devant moi. Ils s'émerveillaient juste devant ma bouille à en faire craquer plus d'un. C'est peut-être pour ça que je joue avec l'amour et les relations avec les hommes. Je ne sais peut-être pas m'y prendre car je n'ai pas vraiment eu de preuve que l'affection et le grand amour ça existe pour deux personnes vivant ensemble et ayant formé malgré ça, un foyer. Scarlette Monroe-Fields. La demoiselle était née sur un trône et elle ne comptait pas le délaisser. D'ailleurs, mes amies me surnommèrent très vite Scar pour célébrer l'air démoniaque mais subtil et tout en finesse qui se cachait en moi. Une vraie lionne qui, derrière ses grands yeux bleus inoffensif pouvait vous bouffer en deux secondes. Un animal au sauvage au minois désarmant déjà quand j'étais petite. Et je m'en était servie plus d'une fois. Que ce soit lors de la petite section ou au lycée. D'ailleurs, je devins vite celle avec qui on devait toujours être. Pourtant, malgré les apparences, je me fichais bien d'être populaire et d'avoir une trainée de bave de ces filles jalouses derrière moi. Je me foutais bien d'avoir des amis ou de égailler les regards sur mon passage. Je me fichais que tout le monde veule me comprendre, briser cette façade de reine des glaces que j'affichais. Me connaître. M'aduler un peu beaucoup. Bref, ce n'était en rien mon but et pourtant, j'avais été élevé au rang d'intouchable et de reine sans même que je ne le décide ou même ne le veuille. Cela devait être dans ma nature après tout et je n'allais pas cracher sur ce statut que l'on donnait, sur ce trône sur lequel on m'érigeait alors que d'autres se faisaient malmener tous les jours. J'étais un peu dingue mais pas complètement mazo sur les bords. Je ne parlais d'ailleurs que lorsque c'était nécessaire. je détestais perdre mon temps à parler pour rien et mes paroles étaient accueillies comme de l'or. Que ce soit de la part de mes parents, des élèves fréquentant les établissements dans lesquels j'avais étudié ou dans la vie de tous les jours. J'aurais pu paraître bien discrète mais cet aura que je dégageais ne passais pas inaperçu. Je me taisais et seuls mes yeux parlaient. Mais c'était suffisant. En un regard dédaigneux je faisais comprendre aux gens ce que j'attendais d'eux, ce que je pensais d'eux. Tout simplement. Une enfant dardant le monde de son regard glacial. Ma mère pourtant chaleureuse n'avait jamais compris j'avais tant cet air froid et indéchiffrable sur le visage. Elle m'appris plus tard que je tenais de ma grand-mère que je n'avais jamais connu. C'est pourquoi son second prénom constituait mon identité. June.


Les hommes. Oh oui les hommes. Et la mode. Evidemment. Je n'avais pas un compte en banque plein de zéro. Je n'avais pas cette abondance d'argent que les autres enfants autour de moi avaient et jetaient par les fenêtres. Je connaissais la valeur de l'argent et pourtant, toutes mes amies étaient de vraies starlettes pleines aux as. C'était sûrement ma différence qui leur avait plut et j'étais vite entrée dans ce cercle des privilégiés. Je ne sortais pas ma carte de crédit aussi vite qu'elle mais qu'importe, elles m'acceptaient comme leur leader. Comme quoi, il ne suffisait pas d'être la plus riche pour pouvoir faire tomber des têtes. Et des têtes j'en faisais tomber. Il suffisait d'un signe, d'un rien pour que je ne mette à bas une vie. La populasse. Je valais bien mieux. Moi et mes grands rêves. Car j'en avais. Bien plus que la moyenne. Je devais avouer que je voulais une vie remplit, une vie que je me rappelerais et que j'aimerais recommencer cent fois alors dans toutes celles parallèles que je pourrais vivre par la suite si c'était l'option retenue après la mort. Non, ne parlons pas de ça. En tout cas, il était indéniable que je voulais créer ma propre marque. J'avais les passes pour ce milieu en vue de ma manière de m'habiller chez les plus grands créateurs et les nombreuses conquêtes que je me faisais dans ce milieu. Alors je travailla. Encore et encore plus pour décrocher à l'université des stages chez les plus grands couturiers. Je voulais créer ma propre marque et j'allais y arriver.

Malheureusement ou heureusement, je fis défaut plus d'une fois à mes envies et au chemin que je mettais tracée. Je n'avais pas qu'une idée en tête. J'aurais sûrement dû me fixer un seul plan en tête mais j'étais volatile. Je voulais tout faire. Je voulais parcourir le monde, je voulais voyager, je voulais prendre tout par dessus la jambe si je le voulais. Mais mon esprit se contredisait. Je voulais aussi rester la fille sérieuse dans les études que j'avais toujours été, ne pas dévié, m'acharner au travail pour atteindre le but que je mettais fixée. Ne pas décevoir ma mère et pourtant m'évader du foyer familial pour une durée indéterminée. Je ne savais pas vraiment. On appel ça l'attention versatile. Mes profs appellent ça être jeunes et cons. Moi j'appelle ça profiter de la vie et de toutes ses options. A quoi bon avoir une vie si longue si on ne peut pas y vivre plusieurs rêves à la fois ? C'était triste et pour moi c'était ça qu'était con. Ne pas profiter au maximum. S'arrêter à une idées précises de la vie et s'y tenir tout du long. Alors je partis sur les routes. Et je ne regretta absolument rien.

Je partis un an. Un an sur les routes avec un groupe de rock rencontré dans une salle miteuse de concert et qui m'avait proposé de partir avec eux. Je mettais présentée comme une femme pouvant leur apporter dans leur tournée une vraie renommée par les vidéos que je ferais d'eux. J'embarquais alors une caméra à mes côté, un carnet de dessin et partit sur la route. Je travaillais en collaboration avec leurs piètres stylistes et m'essaya à créer leur tenue et à côté à filmer leur exploit. Un travail d'amateur mais être sur les routes ainsi n'avait rien d'un travail pour une fille bien élevée et de bonne famille. Mais je m'en fichais. Mon esprit libre et indépendant me dictait que cette expérience valait bien mieux que toutes celles que je pouvais avoir en étudiant dans une université de bourge dans un autre pays. Un an sur les routes à frimer, faire la fête, voir d'autres choses pour avoir d'autres idées pour mes créations. Un créateur n'est bon que s'il est sortit de sa propre catégorie sociale. S'il a exploré le monde. A partir de ce moment-là il peut avoir de bonnes idées et pas autrement.


Je revins alors. J'avais souvent ce chapeau sur ma longue tignasse blonde qui en disait long sur mon parcours de nomade très bohème. Une bobo. Une vrai bobo qui était partit comme ça, en claquant la porte, en n'en faisant qu'à sa tête parce qu'elle avait les couilles de le faire contrairement à d'autres qui se sentaient attachés à leurs amis, leur ville ou leurs parents. Moi, je n'avais pas d'attachement. Du moins je m'empêchais que l'attachement que je portais autour de moi ne me vaille de m'arrêter dans les projets que je pouvais avoir en tête. Et puis je rencontra Erika. J'avais eu des expériences avec les femmes comme les hommes. Je n'étais en aucun cas du genre de ces gosses de riche à ne pas voir autour, à rester frigide dans leurs envies et paroles. Des reproductions parfaites de leurs parents. Je l'aimais au premier coup d'oeil. Elle était ... Différente et cela faisait bien longtemps que je n'avais pas rencontré quelqu'un qui semblait totalement en marge tout comme moi. Un esprit libéré avec un charme fou. Elle semblait diabolique et elle m'envoûta de suite. Je craqua et sombra dans ses bras oubliant tout. Oubliant les règles que je mettais fixée, oubliant les hommes pendant un moment. Je l'aimais, c'était tout ce qui m'importais. Et puis le temps nous rattrapa. Je pris peur lorsqu'on me proposa une offre d'emploi à Amsterdam. Un poste inespéré pour une créatrice de mode qui n'avait encore aucune expérience dans le milieu et juste le nom de papa et maman derrière elle. L'image d'Erika me retenait d'accepter. C'est là que je compris que tout avait changé. Qu'elle avait pris tant d'importance pour moi qu'il était impossible de ne pas la prendre en compte dans ma décision. Le soir même, je me shoota pour la première fois au crack. L'effet fut immédiat. Je l'appela et lui expliqua que je partais pour une durée indéterminée à Amsterdam. On se sépara ainsi. A cause de ma peur irrémédiable de lui demander de venir avec moi. A cause de ma foutue connerie. Parce que cette fois-ci, j'avais manqué de couille pour lui avouer qu'elle était ma plus grande faiblesse. Juste pour réaliser que j'avais une faiblesse. Et elle s'appelait dorénavant Erika.

Amsterdam. Cette ville magnifique me vendit du rêve. D'ailleurs, elle exploita tous mes rêves. Après avoir travaillé un certain temps pour l'agence qui m'avait recruté, je décida de voler de mes propres ailes et sortit la marque MONROES. Voila que mon nom accompagné d'un S pour la forme commençait à devenir connue. Assez pour que ma toute première boutique voit le jour sur la cinquième avenue à New York. Après quelques temps de promotion en tout genre, je retourna dans la ville mythique, celle où j'avais laissé Erika pour débuter un tout nouveau projet. A 23 ans j'étais une créatrice de mode à elle seule. J'avais réussit là où tant avait échoué et pourtant, je continuais à toucher aux merdes que j'avais testé quelques temps auparavant parce que dans ce genre de soirées, avec ce genre de clientèle, ça en devient anodin. Alors on continue à se poudrer le nez en imaginant que notre monde est mieux ainsi. On est des enfants nés de l'inconscience. Des petits cons qui jouent avec le feu parce qu'ils croient que tout leur ait dû. Possible ... En tout cas, ce fus lorsque je retomba sur les veilles vidéos que j'avais fait du groupe que j'avais suivit quelques années plus tôt que j'eus une toute nouvelle idée. Mon rêve réalisé j'avais besoin de quelques choses pour me tenir éveillée. Pour donner un sens à mes journées bien plus monotones que je n'avais pensé. Et pourquoi pas une télé-réalité sur la jeune et belle créatrice de MONROES ? Le débat était lancé et je décidais alors d'étudier l'art du cinéma. Un monde qui me tentait et qui correspondait au projet que j'avais en tête. Mais ces idées folles n'étaient-elles pas un prétexte pour ne pas penser à Erika ? Il suffit que je l'ai retrouvé pour qu'alors je ne puisse plus m'en séparer. Je resta alors amie. Puis bien plus. Mais rien ne s'explique vraiment, rien n'est commencé ni achever. Je préfère ne pas y penser. Une relaiton des plus ambigüe que je cache par mes projets sur le côté. Plus j'aurais d'idées novatrices plus j'éviterais de penser à ce qu'il y a vraiment entre moi et la donzelle.  

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Laura, 20 ans
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par Jimmy qui m'en a reparlé sur un autre forum ^^
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non
★Présence sur le forum → 7/7 jours
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé
★Crédit images → Classz & bazzart

Mon exemple de RolePlay:

bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche

CARA bienvenue !

Cara est prise pour un scénario, il va falloir trouver un autre avatar.
Bienvenue parmi nous.

Merci tout le monde ^^

Ha d'accord, je n'avais pas compris que les scénarios monopolisaient les avatars ! Du coup j'ai cherché le scénario mais impossible de le trouver, j'aimerais quand même voir s'il m'intéresserait, quelqu'un pourrait m'aider ?

Le scénario est là

Bienvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche

Bienvenue

Bienvenue

Merci Dylan et merci à tous

bienvenue sur le forum  
bon courage pour ta fiche  

j'adore le pseudo
bienvenue parmi nous

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche

Merci à tous

Très joli pseudo  
Bienvenue !   et pis Cara   

Bienvenue (a)

Merci, ça fait plaisir

Bienvenue

Bienvenue  
Original le prénom  

Bienvenue parmi nous

Merci à tous

Et oui, il suffisait que tu m'en reparles pour que je décide qu'il était pas trop tard pour retenter ^^ Bon en espérant que pour le scénario ce sera bon !

Merci

Bienvenue

Bienvenue ! Il nous faudra un lien du tonnerre !