Sujet: Romeo :: If I was a woman, I'd be the baddest...craziest bitch :: Ven 13 Déc - 9:37
FEAT. ADAM SENN
Romeo Pierre Sharpenter
24 ans → Né(e) à bruxelles le 04/01/1989 → Mannequin/Acteur célibataire → hétérosexuel(le) → membre des artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? →Étant mannequin et acteur à temps plein, Romeo se devait de garder une forme physique exemplaire. Il passait énormement de temps au gym, afin de maintenir la forme. Ce que l’on devait apprécier chez le brun, c’était qu’il prenait soin de lui, de sa santé. Ce dernier était aussi un amateur de sport. Il jouait au foot et au basket ball, au lycée. Tout ce qui était susceptible de plarie aux filles, Romeo s’y retrouvait. Il était aussi un grand fan de tatouage. D’ailleurs il en avait quelques uns. Un, sur le bras droit. Une sorte d’hommage à sa grand-mère, décédée il y a de cela trois mois. Qui dit mannequin, dit style vestimentaire sophistiqué. Il aimait porter les grandes marques. Du genre, Dolce & Gabbana, gucci, polo et j’en passe. Vu qu’il faisait chaud en californie, il aimait dévoilé son corps à tout le monde. Romeo aimait aussi la photographie. Sa grand-mère lui offrit un appareil le jour de son septième anniversaire. Depuis, il ne pouvait s’en séparer. Il adorait l’eau, se baigner et faire du surf. Il trainait souvent à la plage là où il draguait les filles, en compagnie de ses potes. Des piercings, il n’en avait pas. Il n’était guère intéressé à en avoir de toute manière. Autre chose à savoir sur ce dernier. Il pratiquait, dans ses temps libres, la boxe. Il n’habitait pas avec ses parents. Mais bien avec ses grand-parents. Il avait aussi une collection assez impressionnante de voitures luxueuses. Que dire de plus? Il y en avait tant à dire sur ce jeune homme.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Romeo est âgé de 23 ans. Il a grandi dans une famille assez riche. Son père, était un mutli milliardaire et sa mère était avocate. Il vit le jour à Bruxelles. Très jeune, il développa un amour fou pour la caméra. Il adorait les photos et se donner en spectacle devant la caméra. Ce dernier était enfant unique et donc chouchouté par ses parents. À neuf ans à peine, il figurait déjà dans des publicités de tout genre. Il était venu au monde pour être une star. Romeo est un être, arrogant. Il est beau gosse et il le sait. Au lycée, il faisait partie des plus populaires. Il avait la côte auprès des femmes. Il les collectionnaient, comme des chaussures. Il ne prenait rien au serieux. D’ailleurs, sans vouloir trop faire de préjuger, c’était l’image que dégageait la plupart des adolescents de Beverly Hills. Ils avaient la plupart, des parents riches. Ils pouvaient se permettre de faire ce que bon leur semblaient. Romeo avait donc réussi à se fondre dans le décor. Il ne semblait pas affecter par son départ de la belgique. Ce dernier avait laissé beaucoup derrière lui. Mais, il ne voyait que sa carrière et ne se souciait de personne d’autre que lui. Son père était propriétaire d’une splendide villa à Beverly Hills. Ce dernier avait de grand projets pour son fils. Le père de Romeo voyait un avenir prometteur pour lui. Il l’imaginait poser comme mannequin pour les plus grands magazines américains. Romy, de son surnom, adorait le cinéma. Il rêvait de jouer dans les grands films. Ce dernier avait tout pour être une star et il le savait. Cela lui montait à la tête. Le belge, était le genre à se foutre de l’autorité. Il faisait ce qui lui plaisait et s’en foutait des représailles. Il aimait aussi s’amuser à faire les quatre cent coups. Il avait horreur de l’école mais, il était pourtant très doué. Il ne prenait rien au serieux de toute manière. La définition d’un enfant pourri gâté.
Well... It's my story...
Bonsoir tout le monde, je me présente, Roméo Pierre Sharpenter. Je vois le jour le 4 janvier 1989, dans la capitale européenne, Bruxelles. Élevé par un homme d'affaires et une avocate, je grandis dans le confort, le luxe et la richesse. Qui dit que l’argent ne fait pas le bonheur est un hypocrite. Cela n’était pas donné à tout le monde, de vivre dans une villa immense, comme celle dans laquelle nous résidions, moi et mes parents. Je suis enfant unique et fier de l’être. Quoi que qu’il y avait possibilité pour moi, d’avoir des demi-frères et soeurs quelque part dans le monde. Mon père aimait énormément ma mère. Mais, son passé avait été assez glorieux. Il jouait dans un band assez populaire dans les années 80. Il était populaire auprès des femmes et selon ses dires, il n’y allait pas de mainmorte. Je ressemblais énormément à mon père. J’appréciais et respectais sa personne. C’était à lui que je voulais ressembler. Il est mon idole et sa présence dans ma vie était très nécessaire. Malheureusement, il n’était pas souvent dans les parages. Il était souvent à l’étranger, à rencontrer des hommes politiques et partenaires. Papa, malgré ses absences répétées, veillait à ce que moi et maman ne manquaient de rien. On ne pouvait guère lui reprocher cela. Il faisait de son mieux pour être présent dans ma vie. Je le comprenais, je savais que son travail était tout aussi important que nous. J’admirais énormément cet homme, il était pour moi, l’homme parfait. Ce qui m’amène à parler de la première de ma vie, j’ai nommé maman. De son vrai nom, Hélène. Cette dernière était avocate et ancienne actrice. Elle mit un terme à sa carrière d’actrice très tôt. Disons que son premier amour était son domaine actuel. Elle n’avait aucun regret. Elle pouvait passer beaucoup de temps avec moi. Rien ni personne ne pouvait remplacer cette femme. Nous étions très proches et partagions la même passion, le cinéma. Nous pouvions passer des heures devant la télévision, à visionner des films de toutes sortes. À l’âge de 13 ans, je disais au revoir à mes parents et par la même occasion, à la Belgique. Comme mentionné plus haut, mes parents tenaient à ce que je poursuive mes rêves. J’étais passionné d’art, de cinéma et de musique. À sept ans, je maîtrisais le piano et je pratiquais la guitare. Aux primaires, je me donnais en spectacle devant mes camarades de classe. J’adorais aussi poser devant la caméra. Ma mère ne cessait de me répéter que je devrais songer à faire carrière à Hollywood. C’était une idée qui me plaisait beaucoup. Je rêvais, tout comme mon père, de décrocher un rôle important dans un film américain. Non, je rêvais des États-Unis, tout simplement. Un rêve qui finira par se réaliser, un grand merci à mon papa. Je me retrouvai donc à Beverly Hill, en Californie. J’étais loin de mes parents, loin de mes amis et de ma ville natale. Cela ne m’affecta en rien. J’étais excité de finalement mettre les pieds sur le sol américain. Mon père avait construit une maison pour sa mère, ma grand-mère. Cette dernière vivait seule depuis fort longtemps. Un peu de compagnie ne lui aurait fait guère de tort. La vie à Beverly Hill, était bien différente de celle que je vivais lorsque j’étais à Bruxelles. Le lycée dans lequel j'étudiais, était rempli de gens de classe largement au-dessus de la moyenne. À l’âge de seize ans, papa m’acheta une voiture. Une Ferrari F340 modèles 2006. Je me plaisais beaucoup dans ce nouvel environnement. J’étais très populaire dans mon lycée. Surtout, auprès des femmes. Voilà ce qui arrivait lorsque l’on avait de l’argent, que l’on roulait dans des voitures luxueuses et que l’on était mannequin dans nos temps libres. Je n’aimais pas l’école mais, j’étais très doué. Laissez-moi vous parler de mon séjour à New york. Le 17 février 2010, je fus invité dans un défilé de mode. Mon agent, qui s’avérait être un excellent à mon père envoya quelques de mes photos à un magazine New-Yorkais. Les mois passèrent et pas de réponses. Je commençais sincèrement à déprimer. J’en avais assez des petits magazines, sans importance. J’avais envie de passer aux choses sérieuses. L’expression, la patience est un chemin d’or, visait juste. New York est une ville magnifique. Lors de ma visite à New York, je fus approcher par une des représentantes du magazine New-Yorkais, Request. Elle me confia qu’elle aimait beaucoup mes photos et aimerait me signer. Après consultation auprès de mes parents, proches et agent, je décidai de signer un contrat alléchant avec ces derniers. La première année fut difficile puisque je devais constamment voyager. J’étudiais à Beverly Hill et je devais me rendre à New York la plupart du temps pour des galas. Ma grand-mère, Émilie, influença ma décision de quitter Beverly Hill afin de rejoindre New York. La vie allait être plus simple, selon ses dires. Elle avait raison. Après avoir décroché mon diplôme je m’installai dans un splendide appartement en plein coeur de la ville. La vue était magnifique. Les choses se déroulaient plutôt bien. Je passai la dernière année à Milan. Oui, Milan. Mon boss, pour recommencer ses meilleurs mannequins, nous envoya en Italie. Moi et quelques de mes collègues de travail, participions un défilé de mode show, se déroulant dans la magnifique ville de Milan. Une expérience inoubliable, je vous dirais. Aujourd’hui marque mon retour dans la belle ville de New York. L’université n’allait pas tarder à commencer. Il ne me restait plus qu’une année. J’étudiais la littérature, dans le but d’être écrivain plus tard ou même professeur. J’avais plus que hâte d’intégrer l’université. J’avais hâte de faire de nouvelles connaissances et d’organiser des fêtes. Je me sentais comme chez moi. Rebienvenue à New york, beau bonhomme.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Jay & 23 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Top Root RPG ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non ★Présence sur le forum →5/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Adam-senn Tumblr
Mon exemple de RolePlay:
→ Aujourd’hui, marquait officiellement mon retour à San Francisco. Après avoir passé les douze derniers mois à New York, il était grand temps pour moi de redescendre de mon petit nuage. Contrairement à ce que certains pourraient croire, la vie était loin d’être rose. Il était très important pour moi, de repartir sur de bonnes bases et d’essayer de vivre une vie meilleure. Selon les spécialistes que j’ai eu à rencontrer, il était important de faire face à ses démons. Cela était une étape importante dans ma réhabilitation. Mais pourquoi suis-je entrain de vous parler de réhabilitation. Comme mentionné plus haut, les derniers mois furent désastreux. Tout d’abord la mort de mes parents puis, la naissance de ma petite fille. Je tombai par la suite dans une courte dépression qui m’entraina dans l’alcool, drogues et autres substances nuisibles à ma santé. Tout ce qui comptait pour moi, c’était de pouvoir connaitre ma fille. Par contre, il était hors de question de me présenter devant elle, de la sorte. Esméralda, était la mère de ma petite fille. Nous nous aimions énormément. Mais, notre histoire était très compliquée. Les meilleures histoires d’amour étaient toujours les plus complexes. La raison de mon premier départ, était loin d’être valable. Je fuyais simplement mes problèmes. Esméralda avait su me pardonner. Elle avait aussi juré de ne plus m’adresser la parole, si j’arrivais un jour, à lui faire le même coup. Cette fois-ci, j’avais besoin d’être à l’écart d’elles, à l’écart d’Esmé et de ma fille. Je me souvenais de cette journée, comme si c’était hier. La meilleure mais aussi, l’une des pires journées de ma vie. Ma première rencontre avec ma fille. La première et la dernière fois que j’eu l’opportunité de la prendre dans mes bras. Je pouvais apercevoir l’émotion, les larmes coulées le long de la joue de ma douce. Elle ignorait ce que je traversais. Elle ne pouvait se douter que cela allait être la dernière fois avant longtemps, que nous allions nous retrouver, tous les trois. J’avais toujours rêvé d’une famille. Je n’étais pas sûr de pouvoir assumer mon rôle de père, comme je l’entendais. Cela était la chose plus importante à mes yeux. Je m’étais volatilisé ne laissant qu’une seule personne au courant de mon départ. La très talentueuse et bonne amie, Aleyna-Kaitlyn Forzwood.
J’avais pris place à l’intérieur de cet immense appareil volant. Après avoir passé quelques heures supplémentaires dans la salle d’embarquement, je m’installai au siège qui m’avait été désigné. L’avantage d’être riche comme moi, c’était de profiter d’un vol en classe affaires. Énormément de choses avaient changé. Selon les dires de ma camarade Aleyna, Esmé ne résidait plus à Berkeley. Elle avait décidé de retourner en Grèce, aux dernières nouvelles. Cela n’était guère une surprise. Elle et moi avions déjà parlé de cela. Elle tenait à ce que soit fille grandisse en Grèce, ce qui était une idée que j’approuvais. Je passais neuf mois, dans un centre de désintoxication. J’en avais grand besoin. Il était grand temps pour moi, de me ressaisir et de reprendre ma vie en main. Non seulement je mettais la mienne en danger mais aussi, celle de ma famille et de mes proches. Ces neufs mois furent crucial. Heureusement pour moi, je pouvais compter sur ma tante, mes cousins et Aleyna. La brunette de avait été d’un support incroyable. Je me régalais de lire ses nombreuses lettres. Pourtant, notre relation n’avait jamais été de la sorte. Il avait toujours été question d’attirance physique, de provocations mutuelles et de haine envers l’autre. Le mot haine est un bien grand mot. Disons que j’avais tendance à lui tomber sur les nerfs. La voir dans tous ses états, me faisait un bien fou. Aleyna m’avait longtemps en voulu. Nous avions couché ensemble et pourtant, elle était l’une des meilleures amies d’Esmé. Une information dont j’avais accès. Elle, par contre, ignorait complètement qu’une quelconque relation, existait entre moi et la grecque. Les choses avaient bel et bien changé, en ce qui concerne, moi et Aleyna. Tout cela était derrière nous à présent. De là-haut, je pouvais apercevoir le paysage de la belle ville californienne. Je laissai échapper un sourire. J’étais impatient de revoir la brunette et par la même occasion rencontré sa fille, dont elle avait beaucoup mentionné dans ses lettres. Aleyna était une fille ponctuelle. Elle était allergique aux retardataires. La pauvre, elle était surement en train de me traiter de tous les noms. C’était ce qui la rendait si spéciale. Je pouvais l’apercevoir de là où j’étais. Il y avait foule dans cet aéroport. Je m’approchai dangereusement de ma victime. Je finis par croiser son joli petit regard. Je continuai à avancer. Je réussis à me faufiler entre ces nombreuses personnes. Plus j’avançais et plus je pouvais m’apercevoir de la présence d’une poussette aux côtés d’Aleyna. J’accélérai mes pas, elles étaient à moins de dix mètres de moi. Je pouvais enfin la prendre dans mes bras. Elle me devança, ce qui m’aida grandement à chasser la nervosité qui m’animait. Je ne pus m’empêcher de sourire, suite aux paroles qu’elle venait de glisser dans mon oreille. Je la gardai contre moi, de longues secondes. Cela me faisait énormément de bien de la savoir à mes côtés. Ne vous inquiétez pas, je ne m’étais guère déplacé les bras ballants. Je n’avais rien perdu de ma galanterie habituelle. Je n’avais qu’un sac avec moi. À l’intérieur de ce dernier, quelques petites surprises pour la brunette et sa fille. « Alors, voilà pour toi Hawen de la part de Tonton Dominic. C’est un plaisir de faire ta connaissance et j’espère que cela ne sera point la dernière fois que nos chemins arriveront à se croiser. » Voilà, je fus officiellement présenté à la petite. Je n’avais pas fini de jouer au père noël. Je ne pouvais oublier Aleyna. Je sorti de mon sac, une boite de chocolat et un autre Tee-shirt de couleur blanche. « Et voilà pour la nouvelle maman. J’ai honnêtement songé à t’apporter des fleurs mais, habituellement ce sont les accueillants qui offrent non?...d’ailleurs où sont les miennes? » Je ne pouvais m’empêcher d’éclater de rire. Je m’assurai de faire un minimum de bruit. J’avais reçu comme instruction de ne pas réveiller la petite qui dormait. J’étais très heureux de faire sa connaissance. Aleyna m’en avait beaucoup parlé. La brunette semblait visiblement heureuse, ce qui faisait mon bonheur. Je fini par perdre mon sourire suite, à une courte pensée, destinée à ma fille. J’étais plus qu’impatient de prendre Hawen dans mes bras et de passer le reste de la journée avec les deux individus. Ma première journée à San Francisco, n’était guère destinée à être passé en solo. De plus, je ne pouvais avoir meilleure cavalière qu’Aleyna. « J’espère seulement que tu vas me prouver à quel point je t’ai manqué…La barre est plutôt haute, les attentes sont nombreuses. Allez, j’en ai marre de cet endroit. J’ai grand besoin de respirer l’air frais californien. » Le fait de franchir la porte de sortie, me soulageait grandement. J’étais de retour et cette fois-ci, pour de bon. Je devais absolument me mettre au boulot. Remettre de l’ordre dans les affaires de mon père. Finaliser quelques projets, avec certains partenaires de business. Et ma tâche préférée, me faire pardonner auprès de mes amis les plus proches. Tout cela pouvait attendre. Ma priorité aujourd’hui, était de passer un agréable moment avec la mère et sa fille. Nous nous dirigions en direction du parc non loin de l’aéroport.
Dernière édition par Romeo P. Sharpenter le Mar 24 Déc - 2:38, édité 14 fois
Guest
Empire State of Mind
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Sujet: Re: Romeo :: If I was a woman, I'd be the baddest...craziest bitch :: Ven 13 Déc - 9:40
je ne connais pas du tout ton avatar mais il a l'air canon bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Romeo :: If I was a woman, I'd be the baddest...craziest bitch :: Ven 13 Déc - 9:58
C'est un acteur/mannequin français. Il a joué dans la série The hills, avec Lauren Conrad, The City et Video Girl. Un grand merci à toi
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Romeo :: If I was a woman, I'd be the baddest...craziest bitch :: Ven 13 Déc - 10:29
Bienvenue
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.