FEAT. BLAIR REDFORD

Ryan James Liam EVANS

26 ans → Né(e) à Manhattan le 22/02/1987 → Soldat, mais à fait des études de restauration
célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Rebels.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ Je suis d’une impatience rare et lassitude rapide. Aussi, ai-je mieux intérêt à trouver plusieurs passions et occupations pour ne pas virer complètement taré sous l’effet d’une mécanique routinière et aliénante. Néanmoins, il n’en demeure pas moins que je ne me fatiguerai jamais que de, constamment, trouver milles et une manière d’oublier le passé que je ne me traîne depuis déjà plusieurs années. C’est presque devenu mon sport national et fétiche. C’est assez distrayant. Sinon, je suis le genre à adorer avoir une arme entre les mains. Cette sorte de responsabilité, de pouvoir marginal et déviant que de vie ou de mort. Plus précisément, j’aime le tir. Un attrait particulier pour la traque, la filature. J’aime sentir l’adrénaline coaguler dans mes veines, sentir les frissons parcourir mon échine, rassembler ma concentration dans un but unique, laisser mes instincts les plus primaires faire surface, rejaillir. J’aime la sensation d’appuyer sur la gâchette, le bruit de la détonation, l’odeur de la poudre… Je pourrais continuer longtemps comme ça, à décrire en allant vers les détails les plus sordides qui me donneraient automatiquement, dans vos esprits, l’image d’un être inhumain et insensible voire effrayant et cruel. C’est notamment, le bruit de la lourdeur d’un corps sans vie d’un ennemi qui ne cherchait qu’une chose vous tuer pour une quelconque raison politique qu’il a oublié depuis belle lurette qui s’écroule. L’éclat vermillon de la première goutte de sang qui explose dans le silence complet ou pas, dans un environnement paisible ou pas … Néanmoins, je vais devoir arrêter de tirer, évidemment. Mon séjour à l’armé se termine et je vais devoir retrouver la raison qui me pousse à me défouler autant. Elle. Que j’ai quitté malgré moi, à cause de moi… Je demeure un tant soit peu équilibré malgré ce goût étrange dont, par ailleurs, je n’ai absolument pas honte et que j’assume car il me permettait de ne pas devenir fou. Certains aiment se jeter du haut d’un point, moi j’aimais le tir, parce que j’y étais obligé, parce que je l’avais choisi. Chacun son truc. J’ai été élevé comme ça, pas comme si on pouvait lutter contre la nature, mon père était comme ça et même si je lui ai fait regretté, je le suis aussi, sauf que moi, je le fais légalement et parce que je n’en ai pas le choix... Autrement, plus commun, je m’adonne également à quelques activités plus ordinaires et basiques. Avant de partir, j’aimais beaucoup le football, mais dans les centres d’entraînement, il y a peu de place pour ce genre de jeu. J’aimais aussi lire, mais pareil, j’y ai renoncé. Qui sait ? Peut-être qu’une fois de retour dans une civilisation normale, je m’y remettrais ?

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Je suis un enfant et un adulte. Tout à la fois téméraire, joueur et aventurier aussi bien taquin que sérieux. Je ne recule devant presque rien. Je suis d’un naturel méfiant, on m’a appris à ne pas faire confiance. Tout comme l’on m’a appris à aimer les miens et à haïr ceux et ce qui  les menace. Je suis d’une dévotion –cachée- sans égale pour la femme que j'aimais. Je ne suis pas sensible et naïf mais, dans le même temps, je suis d’une fidélité et loyauté à toute épreuve. Je suis combatif et d’une rare confiance en moi. Je sais ce que je vaux, je sais où je vais et comment j’y vais. Pour autant, je ne suis pas un maniaque du contrôle, loin de là. Il y’a des valeurs que l’on m’a inculqué, qui me semblent sensées et auxquelles je tiens même si j'en ai bafoué certaines. Je ne m’attache pas facilement mais je sais le prétendre. Tout comme je sais prétendre pas mal de chose, je sais mentir au besoin. Et je n’hésite absolument pas. Je dois être, quelque part, borné. Mes décisions sont les bonnes, je le sais. Je sais user de mes charmes pour parvenir à mes fins, un brin calculateur et charmeur. Dans le fond, je suis possessif. Je suis un capitaliste né, je n’aime pas partager. Je suis également hautain et orgueilleux pour le plaisir, pour de vrai. J’ai mon honneur, mes convictions.  Je suis ton ami, ton pire ennemi. Au final, je suis un paradoxe, un panel d’adjectifs qui s’assemblent, se complètent et se contredisent. Une contradiction mystérieuse et intrigante. Ouais, j’adore le penser. Je suis tout le monde et personne. Je suis unique mais certainement pas ordinaire.

Well... It's my story...

Au début, j’étais un type bien. Puis ça a changé, je suis devenu un hors la loi. Puis ça a encore changé, je devenu une balance. Puis ça a encore changé, je suis devenu un mec presque heureux. Puis ça a encore changé et je suis devenu un soldat. Maintenant, alors que ça a encore changé, je suis un mec paumé. Mais commençons par le commencement :

Phase un : Le type bien.
Anniversaire de mes quatorze ans.
Aujourd'hui, j'ai une année de plus. Aujourd'hui, ce n'est pas un grand jour pour moi, juste un pas de plus pour devenir adulte, pour mon père par contre, c'est une autre histoire. Si je suis content de prendre quelques centimètres lui, a surtout hâte que j'atteigne un certain âge pour m'enrôler dans son désir le plus fou. C'est commun, j'ai été contaminé dans cet univers depuis ma plus grande enfance. Mon grand-père était dedans, mon arrière grand-père aussi et le père de son père entre autres. Je crois qu'ils sont tous morts dans de mauvaises conditions, une balle qui aura eu raison d'eux m'a dit papa. Malgré tout, je ne crois pas qu'il finira comme ça, c'est un grand homme, et ce n'est certainement pas un fusil qui le mettra à terre, du moins, je l'espère et j’y croyais à cet âge là.  J'ai eu la chance de le voir pleurer une ou deux fois en nous revoyant, mais rien de bien concret, il me murmurait que ce n'était qu'une poussière dans l'oeil. Je sais ce qui l'attriste en même temps, c'est la mort. Il la frôle du bout des doigts à chaque fois que la porte de la maison se ferme derrière lui. Pinçant ma lèvre inférieure, je fixe la grande montre collée au mur, le temps passe. Il est rapide. Parfois trop lent. Pourtant, bientôt mon heure sonnera, pas la mauvaise, la bonne comme dit papa. Sa grande main glissée sur mon épaule, il ajoute en souriant. « Bientôt, c'est toi qui prendra la relève. » C'est une grande responsabilité que j'ai. Je suis le premier garçon de la famille. Oh, pas qu'il n'aime pas mon frère et ma soeur, mais je ne sais pas, peut-être que son éducation a voulu qu'il soit hilare à l'idée d'avoir un fils. Je dois être touché, je suppose. Perpétuer ce nom de famille, un destin tout tracé depuis ma naissance. Même mon prénom n'a pas été offert au hasard, je ne me souviens plus réellement du pourquoi du comment, c'est la mémoire des ancêtres. Arborant un petit sourire, je passe mon visage entre mes deux mains, coudes posés sur la table. « Je sais. » Soufflé entre mes lèvres, les doigts de mon père se resserrent un peu sur mon épaule. Je n'ai sûrement pas fait la bonne remarque, c'est même avec un certain ennui que j'y ai répondu. Prenant une chaise, ses yeux clairs me transpercent. C'est le seul point commun que j'ai avec lui, les prunelles. Papa a les cheveux blonds, un peu dorés même, j'ai eu droit à la noirceur de ma mère. Je préfère éviter son regard l'espace d'une seconde, je sais d'avance ce qu'il va me dire. Après tout, cette conversation se répète depuis des années, le même jour, presque la même heure, comme un rituel. « Avec un peu plus d'entrain ce serait mieux, soldat ! » Je n'en suis pas un, mais la mafia c’est un peu la même chose... Survivre avec ses amis en affrontant les gens qui nous sont hostiles, mais avec un enjeu en plus : l’argent… Mon père vivait pour lui, bien sûr il cachait ses trafiques derrière son restaurant à Manhattan, mais ses « affaires » étaient belles et bien là. Un soupir, une légère grimace je relâche ma tête pour finir avachis sur la chaise, ma main se glisse sur ma nuque que je triture avec une certaine nervosité. « Je suis content, j'ai hâte de m'engager, mais... » Mais je ne veux pas mourir d'une balle entre les deux yeux. Je n'ose pas remettre en doute ses paroles. Pourtant, si j'accepte l'idée qu'un jour, je ne serais plus un petit garçon, les inconvénients ne me plaisent pas, m'enchaînent au sol, comme un boulet. C'est pourtant partout comme ça, rien ne se fait avec facilité, et dans tout métier il y a ce petit hic, cette tâche noire au tableau. La faucheuse sera présente, l'effroi aussi, pour arriver au résultat de paix et de luxure. Reniflant un peu et continuant de gratter la peau de ma nuque, je sens son regard cinglant me traverser les os. Un frisson. « Mais ? » Perplexe, blasé au complet, dire que mon rêve est tout autre serait mentir comme m'attirer ses foudres. Je préfère me cacher derrière un sourire, des dents bien alignées et montrées, subir plutôt que de me plaindre. « Rien. » Et il n'y aura jamais rien, parce que ce n'est pas dans notre quotidien. Parce que tout va bien, tout est parfait, comme la vision d'un beau feuilleton télévisé en noir et blanc. Sauf que là, y'a pas de Charlie Chaplin pour amuser la galerie.

Phase deux : Le hors-la-lois.
Incendie du restaurant, anniversaire des vingt ans.
Les flammes brûlent, mais je ne le sens pas. Les flammes brûlent et elles devraient brûler ma peau, l’irradier. Je devrais sentir la morsure du feu s’écraser sur ma peau . Je devrais le sentir réchauffer mon cœur, me réchauffer de l’intérieur. Mais la seule sensation sur laquelle toute mon attention est focalisée est celle qui étreint mes poumons, m’étourdi l’esprit. Oui, la suffocation dans sa forme la plus pure et épurée. Je suffoque et mes poumons s’emplissent de fumée. J’ai 20 ans et je manque de mourir asphyxié, de voir ma vie me filer entre les doigts… Mais rien n’y fait, je suis encore là, je me débats. Je combats la faiblesse et les méandres de la condition humaine. Je n’ai pas le choix. Il me faut sortir de là. J’ai 20 ans et j’ai une conscience bien trop accrue des choses, de la vie, de ce que j’ai à faire, de ce que je dois faire, de ma présence sur Terre. J’ai 20 ans mais, pour autant, je n’ai pas grandi trop vite. Pas du tout. J’ai 20 ans et je sais quand il me faut m’amuser et quand il me faut m’épuiser à redoubler d’efforts. Présentement, c’est le cas. Le restaurant marche exceptionnellement bien. Plus le temps passe plus il devient prestigieux. Certes, cette montée en puissance et en prestige n’est pas du qu’à la bonne cuisine servie sur nos tables, mais du beau monde se bouscule au Evans et fils. Les magouilles de mon père continuent de s’enchaîner encore et encore et les zéros continuent de s’ajouter au compte en banque de l’entreprise familiale. Les dettes ne sont pas un souci pour mon géniteur qui se contente de les ignorer et d’empocher les billets, se faisant par la même occasion de plus en plus d’ennemis à travers la ville, mais ça ne semble pas l’inquiéter. Mon rôle dans tout ça ? Le seconder, apprendre. Du haut de mes 20 ans, tout droit sorti de mon école d’hôtellerie, je pense pouvoir gérer l’affaire, mais pas à la manière dont il l’entend. Je suis trop légale d’après lui. Alors je le suis, je l’observe, je l’imite. En plus de la gérance du resto, j’apprends des techniques particulières et plutôt… Inattendues. Il m’initie au tir, à quelques sports de combat, mais aussi il m’inculque sa façon de parler, de penser et de réagir pour que je sois comme lui. J’entre alors pleinement dans ses trafiques et découvre des fraudes, des marchés et des ventes dont je ne soupçonnait même pas l’existence. Je deviens alors son clone, sa réplique parfaite, du moins en apparence car au fond, agir ainsi me révulse. Pour faire la fierté de mon père, je suis prêt à me lancer corps et âmes dans l’illégalité, suivant l’exemple des générations passées. Il faut que je prouve qu’ils puissent avoir confiance en moi. De ma mère à mon père en passant par les voisins d’à côté jusqu’à la blonde peroxydée. J’ai cette hargne qui pulse dans mes veines et qui me donne une volonté exacerbée doublée de force que soupçonnais à peine. Les flemmes me submergent, me recouvrent par intermittence, me malmènent. Je trouve par moments ma respiration. Maigre et inexistante. Je suis calme, presque serein. Peut-être trop. Face à la –presque- mort, je ne crains rien. Coincé au fond dans la grande salle, je dois avancer, je dois sortir du restaurant, retrouver l’air libre. Je rassemble ma concentration, la panique se dissémine. Travail de l’esprit et du corps … Je parvins jusqu'à la porte, une fois sur le trottoir de la rue d’en face, je m’écroule. Je suis hors de danger, j’ai maintenant le droit de tomber dans les pommes. Plus tard, j’apprendrais la raison de l’incendie qui ravagea le Evans et fils. J’avais failli y rester et pourquoi ? Par vengeance… Et oui… C’est ce qu’il arrive quand on ne paye pas ses dettes. Depuis lors, je crains tout ce qui a un rapport avec le feu, C’est idiot, mais passer à deux doigts de la morts, ça vous change un homme, ou comme pour moi, ça vous ouvre les yeux. Je prenais conscience du danger représenté par la seule personne que j’avais considérée comme un exemple.

Phase trois : La balance.
Début des hostilités
C'est bien connu : toutes les petites filles veulent épouser leur père et tous les garçons veulent devenir comme lui. J'admirais beaucoup mon père bien sûr, il était un modèle pour moi, mais plus maintenant. Je ne peux pas laisser passer ça. J’ai failli mourir et pas seulement moi, ça aurait pu être mon frère ou ma sœur… Tous les trafiques de mon père sont dangereux, je le sais, toute sa personne est dangereuse. Je ne peux pas le laisser continuer ainsi… Non… J’en suis incapable… Pas après tout ce que je sais, tout ce que j’ai vu, tout ce que j’ai vécu à cause de lui. Presque un ans après l’incendie, alors que mon géniteur est entrain de faire reconstruire le restaurant, je prends ma décision. Il faut que je le fasse… Toute la famille trempe dans ces histoires louches à cause de lui… Je compte la trahir tout entière, transgresser toutes les règles qui m’ont toujours été imposées durant toute mon enfance. Je risque de briser tout ce qui a été bâti par mon père jusque-là, mais je suis obligé. Ma décision engendre  de nombreuse répercutions, je le sais et j’en assumerais la totalité, parce que c’est ce qu’il y a de mieux à faire… Je tente de m’en convaincre quand que je franchis la porte du commissariat de Manhattan. Je dénonce alors le personnage affreux qu’il est, toutes ses fraudes, ses marchés aux seins de la mafia New-yorkaise. Je le fais, pour le bien de ma famille même si ils ne le comprennent pas. Depuis ce jour, mon frère me déteste, ma soeur aussi.  Seule ma mère me parle encore, mais je vois dans ses yeux combien ça lui coute. Et mon père.... Est en prison.

Phase quatre : Un mec presque heureux

Phase cinq : Un soldat
Départ pour l'armé.
Combien de secondes, combien de minutes, d'heures à fixer ce morceau de papier sur la table ? Je ne saurais le dire, trop sûrement, ou peut-être pas assez. L'effet que peut faire une lettre est le même qu'une bombe dans une âme, comme un gibier de potence, comme un bourreau attendant patiemment de laisser tomber sa hache sur un cou. C'est notre souffrance, pas seulement la sienne. Partir, loin de tout, dans un autre pays, lever les armes et surtout, ne jamais tomber. Les promesses sont bonnes que pour les enfants. Aurais-je été seul dans un appartement que tout aurait été plus simple, que ma vie ne serait qu'une question de partir, de monter en grade, être quelqu'un de respectable... Je pars. C'est un ordre, et non pas un choix. Je n’ai pas le choix. Si, auparavant, j’avais prévu tout ça, jamais je ne me serais inscrit sur cette liste, pour elle. Mais à l’époque tout ce que je voulais : c’était quitter la ville, laisser les choses se tasser après le procès, m’éloigner de mon frère le plus possible. Oublier tout ça et me concentrer sur ma mission, sauf qu’entre temps, elle avait débarqué. Ma charmante boite au mille secret. Et je maintenant je ne sais plus quoi faire. Je ne sais pas quoi lui dire, je ne veux pas qu’elle souffre. Une solution, il m’en fallait une… Et vite. Plus je réfléchis, moins je ne sais quoi faire, seulement voilà, une idée persiste dans ma tête. Peut-être que si elle était emmenée à me détester, peut-être que mon départ serait plus facile. Je décide alors de mettre ce plan à exécution. Assis chez elle, j’attends qu’elle rentre. Pinçant ma lèvre inférieure, mains jointes, c'est ses pas que j'entends enfin dans les pièces adjacentes. L'estomac noué, un coup d'oeil jeté sur la porte, la voilà, adossé à l'encadrement de celle-ci. « Ecoute… Il faut que je te parle... » Je n'ai pas le temps de continuer ma phrase qu’elle s'approche un tant soit peu de moi, les sourcils tristement froncés, je sens l'aiguille que je lui plante dans la peau. Douloureuse. « De quoi ? » Je lui explique alors que j’en aime une autre. Ce qui est totalement faux, mais je veux la blesser, même si je l’aime plus que tout au monde, je n’ai pas le choix, je suis obligé de lui mentir, pour son bien, pour qu’elle parvienne à m’oublier plutôt qu’à espérer mon retour. Puis je m’en vais simplement, la plantant là sans rien ajouter de plus. Derrière moi, je laisse ma vie, un morceau de moi-même, un moi heureux que je ne serais plus jamais. Des sensations qui traversent, passent et repassent dans ma tête, pour ne pas oublier ce que j’ai laissé quand je suis parti. Pour ne pas oublier quand je suis loin de tout, loin d’elle. Pour ne pas oublier que même si mon temps est venu, elle restera encrée, là, dans mes souvenirs les plus heureux. Et en montant dans cet avion, je deviens alors un autre, un soldat froid, déterminé, un être inhumain et insensible voire effrayant et cruel. Qui ne vit que pour oublier ce qu’il a fait en laissant la femme qu’il aimait dernière lui. D’ailleurs, ce manque, fait ressurgir en moi l’ombre d’un passé plus lointain, comme le jour où j’ai trahi ma famille. Et je ne cesse de me torturer l’esprit tout en combattant avec vigueur avec mon corps pendant plusieurs années.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Stéphanie -> 14ans
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je suis arrivé ici grâce à une quiche maléfique (Pandorà)   
★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop
★Présence sur le forum → 5/7 Minimum
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé je crois...
★Crédit images → Strawberry Insane et Tumblr

Mon exemple de RolePlay:

on en a entendu parler de toi en tout cas, excellent choix d'avatar, je ne crois pas l'avoir déjà vu sur un rpg
bienvenue parmi nous

Merci
Parler de moi ?    Ah bon ? En bien j'espère ?  

si t'es bien celui que Pandora attendait, oui

Ouaiiiiis je t'attendais moi aussi hâte de lire vos rp

Bienvenue

haaaaaaaaaaaaaaaan quel bon choix d'avatar bienvenue chez nous !

  Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Quiche maléfique
Ahah xD    Ouep, j'ai fais ta promo xD
Bienvenue ma racaille chicken mouillée xD

Très bon choix d'avatar

Je te souhaite la bienvenue parmi nous ! Good luck pour ta fiche

Bienvenue

Bienvenue ici! =)

bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche

WELCOME !!!

Très bon choix d'avatar et de prénom

Je te souhaite la bienvenue parmi nous!

Merci tout le monde  

Ma promo... Ok.... xD
C'est toi le chicken mouillé !  

xD ouais, je suis un chicken mouillé mais j'assume autant que toi, j'ai un Dave qui attend que je réponde à son message sur skype depuis 3 heures mais j'ai pas envie d'avoir encore un couillon au cul. J'en ai marre des hommes xD
Na', j'assume xD
ouais, ta promo !
Bonne chance pour ta fiche
-filecreusesafuturetombe-

Bienvenue

Haha xD Moi aussi j'en ai marre !   
Merci  

bienvenue ici & bon courage pour ta fiche
si tu as des questions n'hésite surtout pas

Merci   

bienvenue sur le forum  
bon courage pour ta fiche  

Bienvenue parmi nous

Merci   

Bienvenue parmi nous.