26 ans → Né à New York le 11/03/1987 → Entraîneur de Cross-fit célibataire → hétérosexuel → membre des All Stars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Bel homme au physique avantageux, Charles, surnommé ''Chuck'', a ce charme simple qui le garde accessible aux yeux des femmes. Il est assez grand et musclé, sans toutefois faire ''armoire à glace''. Il s'exerce quotidiennement du Cross-fit, une discipline sportive rappelant les entraînements militaires, sollicitant tous les muscles du corps. Ses sourcils épais lui donnent un air plutôt sérieux, mais l'expression de son visage change du tout au tout lorsqu'il décoche un de ses grands sourires sympathique. Il a l'allure fière, marchant toujours le dos bien droit et la tête redressée. Dégageant de la confiance en soi à 1000 à l'heure, il est le genre de personne qui regarde droit dans les yeux et qui ne détourne pas le regard. Il a le teint en santé d'un bon sportif qui prend soin de son alimentation. Il a une voix de basse, grave et bien sentie. Lorsqu'il sort de chez lui, c'est habituellement dans une tenue décontractée ou un ensemble de sport confortable qui le met en valeur. Il est très allergique aux chats, et ça tombe bien, parce qu'il les déteste. Il préfère les chiens, et de loin. Il a d'ailleurs un grand danois couleur chocolat.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Bien qu'il ait un cercle d'amis plutôt élargi, Charles n'a pas peur de passer du temps en solitaire. Indépendant et intelligent, il ne s'ennuie pas lorsqu'il est seul. C'est un fonceur, une personnalité de type A. Parce qu'on dit que l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, il est aussi plutôt matinal. Allez, hop! Un petit expresso vite fait avec un bon déjeuner vers 6h du mat, et il est prêt à commencer sa journée. Il adore New York, parce qu'elle est vivante, et on a toujours quelque chose à faire. Avec lui, il faut que ça bouge. Il ne supporte pas de perdre son temps. Organisé, patient et déterminé, en sport comme dans la vie en générale, quand il s'est fixé un but,il n'en décroche pas. Têtu et acharné jusqu'à parfois en être désagréable, il donnera tout ce qu'il a pour atteindre ses objectifs et prouver qu'il a raison. Par conséquent, vous vous en êtes surement doutés, il est orgueilleux comme pas un. Il est très mauvais perdant, et bien qu'il ne lui arrive pratiquement jamais de perdre, la possibilité d'un défaite lui vaut un tempérament imprévisible et colérique. Il est très compétitif et voit la vie comme un défi. Il est aussi mauvais gagnant. Grande gueule, il se vante sans gène de ses victoires. Il adore les femmes - c'est un grand charmeur - et généralement, les femmes l'aiment bien aussi. Les petites et les grosses également, en autant qu'elles ne soient pas trop moches. En tant qu'entraîneur, il considère ces dernières comme un placement à long terme, mais ça, il ne faudrait pas qu'elles le sachent. Après tout ça, on pourrait croire que Chuck n'est qu'un salaud pas de coeur, mais ce n'est pas si simple.Curieusement, il est très ouvert aux différences, même s'il ne se gène pas pour le dire lorsqu'il ne partage pas l'opinion des autres. Il s'avère aussi être quelqu'un de très généreux, avenant, et à l'écoute des autres. C'est pour ça, d'ailleurs, qu'il est un bon entraîneur. Il est un bon support, on peu s'y fier, et il se soucie vraiment des gens auxquels il tient. Monsieur Bailey a cependant une relation plutôt conflictuelle avec ses propres sentiments. Il les considère comme une faiblesse, et les garde bien enfouis, au plus profond de lui. Pour cette raison, il peut se montrer très, TRÈS maladroit lorsque vient le temps de les exprimer. Il préfère alors se convaincre qu'il n'en a pas, et par conséquent, demeure un éternel célibataire.
Well... It's my story...
Ouain. Bon. Mon histoire. Je vous avertis d’avance, elle n’est pas très intéressante. Ma vie ressemble en tous points à la vie de la plupart des hommes qui ont grandit à New York. Une famille aimante, deux parents bourreaux du travail. Une mère qui couve, un père qui pousse dans le dos et qui a de grandes attentes pour son fils. Pas de sœurs ni de frère. Dans cette ville, ain’t nobody got time for this. Un petit gars laissé souvent seul à la maison, élevé plutôt par sa nounou que par sa propre mère, qui, malgré ses efforts, n’arrive pas à concilier famille et travail. Dans cette belle jeunesse, j’ai appris à me débrouiller seul bien assez tôt. Mon père étant très strict, il m’a appris le sens de l’organisation à coup de claques derrière la tête. Certains en seraient peut-être outrés, mais dans ce cas-ci, les bonnes vieilles méthodes ont fait leurs preuves.
Je suis donc entré à l’école élémentaire en jeune garçon déjà bien élevé et discipliné. J’arrivais toujours à l’heure, je ne parlais pas quand ce l’était interdit, je levais ma main avant de parler, je faisais tous mes devoirs, mes leçons et mêmes les exercices d’enrichissement. Bref, j’étais un élève modèle. Les profs m’adoraient; les autres enfants me détestaient (sauf pendant les contrôles et les examens, étrangement.) Je n’obtenais la reconnaissance de mes pairs que dans les cours d’éducation physique, où des coéquipiers me choisissaient avant les petits gros et les fillettes maigrelettes. Sinon, j’étais le souffre-douleur par excellence. On affirme à tort et à travers qu’il n’y a rien de plus pur et doux qu’un enfant, mais c’est complètement faux. Il n’y a rien de plus diabolique, égoïste et mal intentionné qu’un enfant qui prépare un mauvais coup, croyez-moi. J’ai vécu l’enfer. J’aurais bien aimé avoir quelques amis, mais dans cette école, ma réputation était faite. J’ai donc continué à mettre mon énergie dans mon cheminement intellectuel plutôt que de me préoccuper des autres, même si le soir, je pleurais souvent, seul dans mon lit. C’était pitoyable. Lorsque j’ai gradué de l’école élémentaire à l’école secondaire avec mention d’excellence dans toutes les matières, j’en ai profité pour envoyer chier tout le monde. Je me suis ensuite promis que plus jamais je ne me laisserais marcher sur les pieds.
Voulant commencer le Junior High du bon pied, je me suis tout de suite inscrit dans l’équipe de football (américain) de mon collège. Mon talent naturel en sport m’a vite fait apprécier de mes pairs. Je n’ai tout d’abord pas trop voulu montrer mon excellence académique. Auparavant, c’était peut-être ce qui m’avait valu mon statut de looser, alors il valait mieux pour moi que je cache mes notes des autres. Je me suis vite fait ma place là-bas. Je n’avais pas peur des filles, contrairement à la plupart des garçons de mon âge, et puisque j’arrivais à leur parler gentiment sans paraître stupide, je récoltais tous les numéros et courriels des jolies demoiselles. Les autres me regardaient faire, ébahis, et me demandaient des conseils. J’étais finalement un des leurs.
À la maison, ma paisible cellule familiale confortable, bien qu’imparfaite, a complètement éclaté lorsque j’ai atteint mes 15 ans. Un jour que je revenais de l’école, ma mère était déjà à la maison, ce qui était très rare. Elle pliait des vêtements dans le salon et respirait drôlement. Aussitôt, je balançai mon sac dans ma chambre et arrivai près d’elle pour l’aider. Elle se tourna vers moi, l’air dévasté, les yeux bouffis et la joue rouge et enflée. On aurait dit que quelqu’un l’avait frappé. Je fronçai les sourcils alors que je sentais la colère monter en moi d’un coup. La prenant dans mes bras brusquement, je l’ai étreint du plus fort que j’ai pu, tentant de la réconforter maladroitement. Je voulais qu’elle se sente bien, mais l’envie de faire du mal à celui qui l’avait tapé était beaucoup plus forte. Je lui chuchotai d’une voix sombre : «Dit moi son nom. Il va le payer. » Elle se dégagea de mon étreinte, la mine effarée en faisant non de la tête. La voix tremblante, faible, elle me dit : «Non. Je suis désolée, je dois partir. Un jour, peut-être, tu comprendras…» Trois petits points… Ouverture vers on ne sait quoi. Non-dits. Faiblesse. Mais quelle phrase clichée! Maman, tu aurais pu me dire n’importe quoi d’autre pour me rassurer, ça ne m’aurait pas autant frustré que ça. Tu m’as pris pour un con ou quoi? J’avais 15 ans, merde, comme si je n’étais pas capable de comprendre quoi que ce soit. Je n’avais pas besoin de ta protection, à ce moment là. J’étais assez grand. J’avais besoin de savoir. De ta bouche, pour t’aider. Et tu m’as fermé la porte. J’aurais peut-être mieux compris si c’était venu de toi.
Plus tard, j’ai su qu’elle venait de perdre son travail. Elle l’avait tellement pris à cœur, son foutu travail, qu’elle s’y était vendue corps et âme. Comme une salope, elle avait «slept her way to the top», et ça avait fini par jouer contre-elle quand le big boss avait décidé de se prendre une nouvelle assistante mieux roulée. Papa l’avait tapée quand il l’avait appris. Il avait bien raison. Dans la vie, on récolte ce que l’on sème, c’est comme ça que ça marche. Maintenant que mon paternel nous faisait vivre à lui seul, nous n’avions plus assez d’argent pour mes études. Il fallait donc que je commence à travailler et que je persévère pour obtenir des bourses. Mes bonnes notes n’étaient plus qu’une récompense pour mon travail acharné, elles étaient devenues une nécessitée. À partir de ce jour, je ne m’en suis plus caché auprès de mes amis. La plupart étaient épatés, et même qu’ils trouvaient ça très cool ! En plus du football, j’ai commencé à faire du tutorat. Ça ne payait pas beaucoup, mais ça me faisait réviser en même temps que travailler, alors ça m’allait, pour un certain temps. Puis, en voyant de mes amis les plus proches qui trimaient dur et qui étaient débordés par les travaux, j’ai commencé à offrir des services de plagiat bien particulier, moyennant un certain montant d’argent. Je faisais les travaux à leur place, en adoptant leur style d’écriture et en rendant le contenu de leurs dissertations plus intelligent. Je n’allais pas leur chercher des notes parfaites, ça aurait été beaucoup trop suspicieux, mais disons que 15 à 25% au dessus de la note à laquelle ils étaient habitués, personne ne se doutait de rien. Et ça payait bien.
Je continuais de m’entraîner au football 3 à 4 fois par semaine. J’étais doué, je prenais rapidement de la masse musculaire. Entre les sorties, les amis, les nanas, le tutorat, les disserts, les entrainements et mes propres travaux scolaires, j’avais tout juste le temps de manger trois repas par jour. Et j’étais bien comme ça. Je vivais le parfait bonheur. Je me sentais invincible, j’avais l’impression que l’avenir m’appartenait. Mon père ayant un esprit patriotique démesuré, il espérait pour moi rien de moins que l’USMA (United State Military Academy) de West Point, et c’est donc ce que je visais aussi. Avec mes notes parfaites en constance et ma bonne forme physique, j’étais un candidat très prometteur pour eux, et j’y fus donc admis à la fin de mon école secondaire avec une bourse d’étude qui couvrait tous les frais. Ah ce que mon père était fier. Ma mère, elle, je n’en avais pas de nouvelles, mais je suppose qu’elle aussi aurait été fière.
Si je me considérais organisé, chez les cadets, alors-là, j’étais totalement bordélique. L’apprentissage et le mode de vie de l’armée était encore plus strict que ce que mon père m’avait inculqué. Là, tout devait être fait rapidement et à la perfection, et pas de pitié pour ceux qui traînent de la patte, ainsi que ceux qui laissent les autres paresser : tout le monde paie, tout le monde doit atteindre une perfection et une rapidité homogène. Les hommes que je rencontrai à l’USMA devinrent les frères que je n’ai jamais eus. J’étais largement plus intelligent que la moyenne, même si je n’étais pas le plus fort. Mon ami Bill, qui était très baraqué et pas très réfléchi, réussissait parfaitement les formations physiques et de commandement, mais peinait à réussir ses cours plus logiques et mathématiques. J’avais adopté une certaine confiance pour tricher avec mes années passées au secondaire, et je n’hésitai pas une seconde à lui souffler des réponses lors des examens finaux. Évidemment, puisque dans la vie, on récolte ce que l’on sème, je finis par me faire prendre.
Je fus directement expulsé de l’académie, malgré mes vaines tentatives de me rattraper. Il était trop tard, le mal était fait. J’avais enfreint le code d’honneur qui déclarait solennellement : «Un cadet ne ment pas, ne triche pas, ne vole pas, et ne tolère pas ceux qui le font. » Sachant très bien que je ne pouvais plus rien pour moi, je pris mes cliques et mes claques et rentrai à New York city. Déçu et fâché de moi, mon père m’interdit de revenir à la maison, et j’entrai officiellement dans la vie d’adulte. Le cadet sergent qui restait de moi se recycla en coach de cross-fit. J’entraîne maintenant des groupes et des petites madames en sessions privées. La reconnaissance et le dépassement de ceux que je coach me consolent un peu de mon échec. C’est mieux que rien. Stay fit, stay motivated !
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Marie, 21 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Top rpg ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop! ★Présence sur le forum → Au début, presque tous les jours, puis avec le temps, au moins 3 fois/semaine ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé! ★Crédit images → photos de VMAN et Elle Men China
Mon exemple de RolePlay:
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New York, Central Park, 6 :30 A.M.
Encore dans son grand appartement illuminé à deux pas de Central Park, Chuck s’affaire à remplir ses gourdes d’eau miniatures conçues pour le marathonien. Et voilà. Un peu de sel et de jus de citron, et le tour est joué. Il programme son Iphone pour le trajet d’aujourdhui en glissa ses écouteurs dans ses oreilles. Il s’avance vers la porte d’entrée et pousse gentiment son gros chien, Bill, qui lui bloque le passage, tout heureux d’aller dehors. Il décroche la laisse et son danois lui bondit dessus, le déstabilisant.
-Hé oh ! Assis.
Le chien obéit docilement, le temps qu’il lui passe son collier de promenade. Puis, il ouvre la porte, barre derrière lui et range sa clé dans son soulier. Les deux amis dévalent l’escalier en contrôle, les yeux encore un peu plissés par le sommeil. Et c’est partit pour le réchauffement jusqu’à l’entrée du parc. L’idéal serait de commencer doucement, mais avec son chien qui le tire, pas le choix d’y aller à un bon rythme. Un pas devant l’autre, en sautillant d’abord, et les bras à environ 90 degrés, bougeant au rythme à l’opposé des jambes en mouvement. Il inspire profondément, l’air glacial de l’hiver New Yorkais lui pinçant les poumons. Hum… Ça fait du bien. Ce n’est jamais trop chaud pour courir. Il presqu’au parc, déjà. Les rues de New York commencent à s’activer tranquillement pour une nouvelle journée. Quelques autos dans les rues, des joggeurs, comme lui, mais ce n’est pas encore la folie matinale. Il adore le matin pour cette ambiance. Même si tout le monde a encore les plis du lit étampés sur le visage, on dirait que les gens qui sont debout à cette heure, déjà près du travail, ne sont pas trop pressés, et qu’ils prennent le temps de vivre. Ils prennent le temps de se saluer, de se sourire. C’est comme s’ils se disaient, sereinement, l’avenir appartient à ceux qui se lèvent-tôt, alors nous en sommes maîtres. Charles arrive au parc. Fin de l’échauffement. Il s’arrête, le temps de laisser Bill marquer son territoire.
Il profite de ce temps mort pour s’étirer un peu, puis il reprend d’un rythme plus ferme, son chien toujours au devant, comme tenant la garde. Bien que le pas de Chuck soit plus espacé, lui, il trottine du haut de ses grandes pattes. Le pied du maître butte légèrement contre une craque de trottoir et rattrape rapidement la cadence, par réflexe. Un tintement métallique se fait entendre, mais le joggeur continue son chemin sans se retourner, le bruit de sa musique couvrant la plupart des bruits ambiants. C’est la clé de son appartement qui vient de tomber.
Dernière édition par Charles Bailey le Dim 22 Déc - 9:35, édité 7 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 8:55
bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 8:57
Un possible All Stars ?
Bienvenue parmi nous en tout cas, et bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 9:40
Merci à vous deux! Hum,oui! je suis encore en phase de réflexion... j'hésitais entre playboy ou all stars. Mais j'crois que tu viens de me convaincre haha!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 10:10
Les All Stars sont un excellent choix On en a jamais assez
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 11:47
Ju fait de la promo Bienvenue parmi nous et mon dieu quel choix d'avatar exquis !
Katerina M. Lehtonen
Empire State of Mind
what doesn't kill you makes you stronger
▌INSCRIT LE : 15/04/2012
▌MESSAGES : 6549
▌AGE DU PERSO : 19
▌ADRESSE : 5614 Dodgewood Road #404, Bronx. avec un enfoiré & un tatoué.
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 19:50
Ohh! Quel accueil, c'est gentil!! Plein d'amour, j'aime ça. ^^ C'est tellement long remplir une fiche. J'ai envie de rp direct lahlah! J'me presse, ne vous en faites pas!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 20:05
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 20:17
Bienvenue ici! =)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 20:43
Bienvenue ici
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Jeu 19 Déc - 21:05
bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Ven 20 Déc - 3:55
Welcome to youuuu
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Ven 20 Déc - 13:38
Bienvenue à toi petit chat
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Ven 20 Déc - 13:40
Bienvenue à toi petit chat
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Ven 20 Déc - 21:26
bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Dim 22 Déc - 9:36
Merci à vous encore! J'viens de terminer ma fiche!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Dim 22 Déc - 10:26
Tout est bon pour moi, je te pré-valide donc en attendant qu'une admin passe t'ajouter à ton groupe Bon jeu parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charles Bailey Dim 22 Déc - 13:11
Validé !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur les ballons :