Sujet: Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice. Jeu 26 Déc - 15:05
FEAT. Viggo Mortensen
Grigori Vladimirovitch Zakharine
50 ans →Né à Nevelsk, sur l'île de Sakhaline le 19/11/1963 → Mafieux célibataire → hétérosexuel → membre des workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Grigori est un homme de haute taille, dépassant la plupart des autres d'une bonne demi-tête, avec un mètre quatre-vingt dix d'une musculature solide. La plupart du temps, il ne fait pas son âge, trop éloigné de l'idée qu'on se fait d'un homme de la cinquantaine, presqu'un papy, plus vraiment un papa. Mais Grigori s'entretient, sa condition physique dépasse de loin celle des autres. Il faut bien ça pour faire ce qu'il fait. Des muscles, de la force et la maturité nécessaire au commandement. C'est un homme au physique inquiétant, le genre de ceux qui vous laissent une impression glacée et indescriptible, ses yeux bleus perçants comme ceux d'un oiseau de proie semblant mettre toute votre âme à nue, écorchée vive sur une table de laboratoire. Sa démarche est vive, celle d'un homme pressé, ses gestes sont précis, chirurgicaux, sans la moindre fantaisie ou rondeur. Son visage coupé au couteau s'orne de cicatrices et de rides d'expression, nombreuses marques d'une vie rude, souvent violente. Ses cheveux poivre et sel sont coupés courts, tirés en arrière, point ne jamais le gêner, dépourvus de fantaisie ou d'originalité. Grigori sent le tabac et parfois le sang. Il sent la rue, la douleur et le sacrifice. Il effraye souvent par ses manières très directes, ne sachant jamais arrondir les angles. Il effraye aussi avec ses costumes trop sombres, trop classes, son accent russe à couper au couteau, si marqué, et ses regards sévères. Ses tatouages, aussi, ont de quoi troubler. Loin des marques esthétiques vantés par les grandes marques lors de défilés de haute couture, les siens sont intriguant. Des étoiles, des croix, des icônes, des phrases en russe, seuls ceux de la Famille peuvent les comprendre, savoir le sens caché derrière ces marques faites pour la plupart avec une simple aiguille et de l'encre de chine. Les tatouages sont nombreux et sont en vérité son histoire, le résumé de sa vie pour qui sait les lire et les déchiffrer. Ils révèlent tous un peu le sang sur les mains et la conscience entachée.
★Quel est le caractère de ton personnage? → C'est un homme qui sourit et parle peu, un homme d'une grande dureté. On le prends pour quelqu'un d'inateignable, d'imperturbable. Il ne se lie pas d'amitié facilement et ne prête jamais le flanc à l'amitié : les amis sont une faiblesse trop vite exploitée par les ennemis. Solitaire, il traverse la vie sans ciller. Pourtant, il y a bien quelqu'un qui prends presque toute la place : sa petite sœur, sa petite Anastasya. Il l'a élevé comme un père, comme une mère même. Il l'a poussée vers ses rêves et lui a inculqué la droiture et le respect. Il a été père avant d'être seulement en âge de l'être. Il n'a guère eu le choix, mais n'a jamais regretté. Cette petite fille aux grands yeux émerveillés qui travaillait ses pointes inlassablement, il l'a vu devenir lentement une femme. Elle est restée à ses côtés depuis toujours et elle lui ai plus précieuse que tout. Se marier ? Avoir des enfants ? A quoi bon puisqu'il avait déjà une fille, la plus merveilleuse de toutes ? Il y a aussi le Cygne Noir, l'amie de son Cygne Blanc, la petite Jordan, cette américaine écervelée. Cette fille-là est importante pour sa sœur et donc pour lui. Il lui faudra bien lui mettre du plomb dans la cervelle. Grigori a beau être un mafieux, avoir les mains sales, il n'en est pas moins un homme d'une droiture immense, doté d'un sens du devoir et du sacrifice au delà de toute norme. Il fait ce qui doit être fait sans jamais tenir compte de ses propres sentiments. Ce n'est pas qu'il ne ressent rien, c'est simplement que ses émotions n'ont pas leur place dans un monde comme le sien. Etre trop émotif signerait sa perte. Sa sœur est déjà un talon d'Achille considérable alors autant ne pas s'en créer d'autres. Grigori use des femmes plutôt qu'il se lie avec elles. On ne lui dénombre aucune petite amie. Des prostituées simplement payées pour assouvir les besoins d'un homme, voilà toute la compagnie qu'il puisse avoir, auprès de femmes d'un soir payées généreusement. Girgori est dur, détestant l’Amérique, cette putain facile qui se couche pour de l'argent. L'Amérique est une pute gangrenée par ses propres vices. Cependant, exilé de sa mère patrie, il n'a d'autre choix que de supporter la mollesse de ce pays et de tenter d'y faire respecter la Famille. C'est un homme qui place le travail en première de toutes les vertus, un véritable acharné de la tâche à accomplir et qui a toujours poussé sa sœur dans cette voie. Il n'y a rien de plus réjouissant pour lui que le travail bien fait et que la tâche durement accomplie.
La proximité saline de la mer avait de quoi réconforter. L'odeur du sel masquait bien celle de la corruption et du vice. C'était une odeur diaboliquement familière, qu'il avait toujours sentie. L'odeur de la Mafia était celle de la mer, avec ses relents d'algues pourries et ses sacs en plastique sur le rivage, lorsque ce n'était pas un corps échoué. Grigori est né avec l'étoile de la Bravta, comme on le dit souvent parmi les siens. Fils d'un officier mafieux, comment aurait-il pu en être vraiment autrement ? Sa mort, plus que louche, n'était pas un hasard mais un règlement de compte des japonais. Des histoires de vengeance sans fin, voilà tout ce que connaissait ce gamin de dix-huit ans à peine, désabusé quant au monde qui l'entourait. Mais il y avait sa petite sœur. Il aurait pu finir comme son père, dans un sac mortuaire avec les doigts coupés et les dents arrachées. Mais il y avait la petite fille aux yeux effrayés, qui s'était réfugiée plus près que jamais. Cette enfant innocente de cinq ans, sa petite sœur, il en devint le père, entrant dans la Bravta pour la mettre à l'abri de la faim et du froid de Russie. L'enfant avait un rêve, lui n'en avait aucun en dehors que de voir celui d'Anastasya se réaliser. Elle se voulait une grande danseuse, dans ces ballets qu'il aimait aussi. Il fit donc tout pour protéger ce rêve fragile. Il lui inculqua la vertu du travail, l'aida à se relever, chute après chute, jusqu'à ne plus jamais tomber. Elle était sa fille, sa sœur et son amie dans ce monde impitoyable, lui qui avait du sang sur les mains à même pas vingt ans. Il venait l'applaudir dans les spectacles de ballet après avoir réglé son compte à une pute trop réfractaire. Il s'organisait entre deux ventes de drogue pour l'amener à ses cours - qui coûtaient terriblement cher. Mais il voulait le meilleur pour elle. Il se salit les mains pour que les siennes restent blanches. Ainsi était Grigori. Il vécu bien des douleurs, bien des désillusions, sans jamais flancher. Il appris à verrouiller ses émotions au fond de lui, à ne pas céder à la colère ou au désespoir. Il fallait bien que quelqu'un le fasse. Cette phrase toute simple était devenue son leitmotiv pour les tâches les plus dures. Il fallait bien que quelqu'un le fasse, oui. Et il ne voulait que protéger sa sœur, sa seule famille et son rayon de soleil.
Là où Anastasya brillait, il descendait plus loin dans l'ombre. Alors qu'elle faisait ses débuts dans de prestigieux ballets, lui prenait du galon, comme autant de tatouages qui s'étalaient sur son corps athlétique. La prostitution, la drogue étaient son quotidien, comme cette fille qu'on lui avait ordonné de violer devant les têtes de la famille, afin de prouver sa loyauté. C'était une toute jeune fille, presqu'encore une gamine, plus jeune que sa propre sœur. Il l'avait fait. Parce qu'il était de la Famille et qu'il ne pouvait pas perdre leur protection, devenir un chien traqué. Alors que deviendrait Natsya, sa petite princesse ? Non, il lui fallait être loyal, être un membre exemplaire. Il fit des choses que lui-même n'aurait pu imaginer être capable de faire pour que sa sœur puisse un jour entrer dans la troupe du Bolchoï, vivant par procuration les rêves d'étoile de sa cadette.
Toute cette vie et tous les sacrifices de Grigori s'écroulèrent une nuit, lors d'un gros coup pour la Bravta, dont on lui avait confié les rênes. Un honneur. Mais il échoua. Ce soir là, pas assez concentré, des hommes trop nerveux et lui ne parvenant pas à les gérer efficacement, les japonais leur tombèrent dessus avec des flics. Certains furent même emprisonnés. Il n'y eu pas de perte humaine, mais pour Grigori, il aurait mieux valu être mort. On lui donna deux choix : la mort ou l'exil. Il choisi ce dernier, par égard pour sa sœur. Il devait rester en vie, pour elle. On l'envoya alors en Amérique, ce pays puant qu'il méprisa dès qu'il y posa un pied. On lui avait confié là-bas une troupe d'hommes de l'Organizatsiya. La mafia russe se portait mal à New York, malmenée par les autres gangs et s'était enfoncée dans la mollesse et la corruption. L'on attendait de lui qu'il redresse la situation, qu'on recommence à craindre la Bravta. Et c'est ce à quoi s'attela Grigori. Il pouvait tout accomplir, car sa sœur avait choisi le même destin que lui. Cet exil de la Russie qui leur pesait tant les rapprocha plus encore, eux qui étaient déjà si fusionnels. Pourtant sa sœur était mariée, pour pouvoir entrer dans ce pays, avec un américain. Grigori n'en conçu pas d'amertume, il fallait bien qu'elle ait enfin un homme, ce serait bon pour elle. Il la vit mettre au monde trois beaux enfants, ses neveux, et se sentit fier de sa famille, lui qui était devenu Capitaine, gérant d'une poigne de fer les tâches qu'on lui confiait, nettoyant l'Organizatsiya New-Yorkaise des tafioles et des lâches. Il veilla sur ses neveux avec sa rigueur habituelle, fier de voir que sa sœur avait eu de beaux garçons, veillant à ce qu'il ne se laisse pas gangrener par l'apathie de ce pays. Sa sœur, après un bref échec aussi brutal que terrible pour l'ego, trouva enfin sa place au New York City Ballet et Grigori se sentit enfin un peu rassuré. Leur vie recommençait. Lui-même profita du mariage de sa sœur pour lui lâcher un peu la bride, n'habitant plus avec elle pour la première fois depuis qu'ils étaient enfants et pour se concentrer sur les affaires. Il réussit en quelques années à redorer un peu la Famille et à être craint par ses rivaux, évitant la police et la case prison grâce à ses relations. Lui-même ne se maria pas. Il n'y avait pas la place dans sa vie pour une femme, pour une faiblesse supplémentaire. Il préférait veiller sur sa famille. Une famille qui subit un nouveau coup dur lors de la mort du mari d'Anastasya. Il aida sa chère sœur à se relever, veillant sur ses neveux alors qu'elle accouchait d'une petite fille, devenant en quelque sorte la figure paternelle de tout ce petit monde. Ce fut dans cette épreuve qu'il fit la connaissance de Jordan. Cette petite américaine partagea bientôt le haut la l'affiche avec sa sœur et, pour la première fois, Grigori applaudit une autre femme que sa cadette et eut les yeux brillants pour un autre Cygne. Une vulgaire petite américaine, un Cygne Noir qui lui plut instinctivement. Une gamine pour laquelle il sentit pour la première fois battre un peu son cœur. Cependant un homme de sa condition, avec sa vie, ne pouvait tomber amoureux et il refoula cette tendresse très déplacée, la cachant soigneusement à tout le monde, à commencer par lui-même.
Lorsque sa sœur et Jordan furent remplacées, il les observa reconstruire leurs vies, blessé en secret de ne plus pouvoir voir danser les deux Cygnes de sa vie. Lui-même était un officier respecté, ligne de mire de bien des ennemis. Et puis il ne pouvait pas dire à Jordan ce qu'il était. Il était ridicule d'aimer une petite américaine, une danseuse blessée et déchue. Ainsi continua sa vie, partagé entre le crime, la drogue et la prostitution et son amour pour deux oiseaux blessés et pour ce Cygne Noir qui brûle un peu trop sa vie à son goût. Gageons qu'il ira encore mettre son nez dans des affaires qui ne le regardent pas. Mais Natsya, elle, sera là pour soigner ses plaies et les recoudre comme elle l'a toujours fait. S'il met la main sur les connards qui fournissent Jordan, il leur fera la peau. Le business de la drogue est le sien et il ne permettra pas que des petits cons jouent avec la vie de cette sale gamine.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → LaLouve, Livia, autrefois Daisie, un petit travelo. Et J'ai 26 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Anastasya est toujours aussi persuasive -_-" ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop. ★Présence sur le forum → 5/10 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → Me, gifs Tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→La journée avait été longue et les élèves plus fatiguant qu'à l'ordinaire. Il essayait vainement d'intéresser les premières années à Rousseau afin de leur apporter un vocabulaire, eux qui savaient à peine parfois dire "J'adore Paris." Nul doute qu'ils feraient fortune dans le showbiz, avec ce genre de phrase toute faite pour mieux camoufler leur incompétence. Pour peu que la hauteur de leur jupe soit proportionnelle aux abysses de leur intellect, cela leur semblait suffire. Maggy soupira, bailla longuement avec sa main manucurée de frais devant la bouche, puis s'étira - d'une manière plus masculine que féminine en vérité - en faisant jouer ses épaules et sa nuque endolorie d'être resté penché sur la correction de devoirs allant de navrant à passable. La salle de classe silencieuse laissait entendre le discret ronron de l'air conditionné. Se retrouver à travailler tard sur son lieu de travail habituellement bondé et bruyant était toujours quelque chose d'assez étrange, comme basculer dans une autre dimension, à travers le voile de la réalité. Un sentiment familier, pour lui qui pouvait à loisir être Là et Ailleurs. Il aimait, au fond, cette solitude temporaire, ce silence idéal qui le berçait. C'était pour cette raison qu'il restait dans sa classe parfois jusqu'à l'heure de fermeture par le gardien. Cela lui rappelait qu'il aimait son boulot et enseigner à ces cornichons qu'il appréciait au fond.
Ramassant ses papiers, les glissant dans son porte-document, puis dans son cartable professoral - ce sac stéréotypé, carré, brun, démodé et pourtant toujours autant usité - Maggy consulta rapidement son portable. Il avait invité Castiel à manger un bout en ville, dans un restaurant tout simple qu'ils aimaient bien. Ils se retrouvaient de temps à autre, vieux amis, vieux célibataires, qui se comprenaient au travers des épreuves de la vie. Castiel lui était cher : c'était l'un des rares qui ne l'ai pas rejeté en le voyant travesti. Castiel avait simplement haussé les épaules et fait comme si de rien n'était, laissant Edouard devenir Maggy et leur amitié restait inchangée.
Il avait encore le temps, il était même en avance - et quand bien même aurait-il été en retard qu'il aurait joué du cours des minutes et des heures, le temps étant une chose terriblement malléable pour qui savait le tordre. Alors il avait simplement décidé d'y aller à pieds. Il était venu "à pieds" - en réalité, il avait simplement ouvert une fenêtre dans un lieu désert de l'université et était proprement passé de son salon à son lieu de travail. Il faisait froid, malgré son grand manteau de feutre brun, au col doublé de fourrure brune. Un manteau de femme sur un visage entouré de bouclettes blondes, au maquillage soigné, mais qui n'avait rien de féminin. Une voiture pétaradante se fit bientôt entendre derrière lui, une vraie épave. Quand à la musique à fond qui filtrait par la fenêtre ouverte, elle lui fit rouler des yeux. Il ne se retourna que lorsqu'une voix familière mais surjouée, l'apostrophait. "Trop cher pour une documentaliste fauchée, chérie*." Il semblait sérieux, mais ses yeux bleus souriaient, se marquant de petites pattes d'oies à leur coin. Yona était sa protégée et une amie, une égale même. Il l'avait vu se perdre, et avait aidé à la ramener de lieux étranges où le commun deviendrait fou. Depuis, il gardait un œil sur la Maître-Royale de la Loge Rouge, et même les deux aussi souvent que possible. "Si tu viens manger de la pizza avec deux vieux divorcés pas marrants et moralisateurs. Sinon j'irais à pieds." Son ton était bourru, mais il y avait toujours ce sourire paternel dans son regard. La jeune femme ne dirait sûrement pas non et il le savait. Il fit le tour de la vieille guimbarde et grimpa à son tour sur le siège qui grinça sous son poids alors qu'il tirait sur la ceinture qui résista un peu avant de céder. "C'est Presto-Pizza, à l'angle de l'avenue Brook, ce n'est pas très loin." Il la guida pour le court trajet - tout juste une dizaine de minutes en voiture - et subit les cahots du vieil engin sans se plaindre, laissant Yona babiller pour deux et remplir les blancs restant par la musique. Elle semblait aller bien. Semblait : elle avait été gravement touchée par le Délire, il n'était pas dupe, l'on ne s'en remettait jamais vraiment. Devant la pizzeria familiale, il repéra Castiel, qui faisait le pied de grue en attendant. Il y aurait une femme à leur table, ce soir. Une fois garé, il s'avança vers l'entraîneur, ses escarpins beige claquant sur le bitume. Une poignée de main plus tard, il désigna du pouce Yona qui approchait. "J'ai été pris en stop par une jolie fille. Je me suis dit que ça te plairait de changer de ma compagnie de vieux ronchon." Tapotant l'épaule de son meilleur ami, il eu un rire rauque, avant de souffler un peu de buée dans l'air froid. "Je suppose que je n'ai pas besoin de présenter qui que ce soit." Après tout, ils étaient plus que des collègues : ils étaient des Eveillés.
Dernière édition par Grigori V. Zakharine le Jeu 26 Déc - 17:38, édité 4 fois
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Sujet: Re: Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice. Jeu 26 Déc - 15:08
привет, mon frère! *lui file une grande claque dans le dos*
Contente d'avoir pu te persuader de revenir ma chérie, et en plus avec le sexy Viggo! Bonne fiche à toi! =D
Dernière édition par Nastya V. Zakharine le Jeu 26 Déc - 15:13, édité 1 fois
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Sujet: Re: Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice. Jeu 26 Déc - 15:08
Mon loveeeeeeeeeeeeeeer
Bienvenuuuuue et bon courage pour ta fiche !
(plutôt bon retour... je l'ai dit à Nastya : elle a 150 000 en manipulation -_- )
Dernière édition par Jordan I. Shine le Jeu 26 Déc - 15:15, édité 1 fois
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Sujet: Re: Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice. Jeu 26 Déc - 15:15
*fout une claque à Jordan* Comment tu me parles, petite fille ! Sois digne ! *va câliner très virilement sa soeur* ♥ Huhuhuhu, jovouzem aussi les filles !
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Sujet: Re: Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice. Jeu 26 Déc - 15:16
*se masse la joue* pfffff même pas mal *retient ses larmes*
Elsa J. Shadow
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◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life
Sujet: Re: Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice. Jeu 26 Déc - 22:48
Validé !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice. Jeu 26 Déc - 23:42
Merci beaucoup pour la validation
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice. Ven 27 Déc - 3:58
Ça fait plaisir de te revoir par ici rebienvenue!
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Sujet: Re: Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice.
Grigori ♦ Le goût du bonheur passe par celui du sacrifice.