23 ans → Né à San Diego le 02/11/1990 → Études de photographie. célibataire → homosexuel → membre des artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Joshua étant son prénom « complet », il préfère de loin se faire appeler Josh par la plupart des gens proches de lui. Ce surnom lui a été donné par sa mère depuis sa plus tendre enfance et il s'en est accommodé depuis. Ses connaissances ne connaissent cependant pas son surnom. Ils ne sont pas assez proches de lui pour cela. → Josh n'a jamais connu son père, et selon les dires de sa mère, c'est mieux pour tout le monde. Il a développé une espèce de haine contre son géniteur du fait de ne l'avoir jamais connu. Il ne connait même pas son nom. Il déteste donc un fantôme, un homme sans visage et sans nom. → Josh est né à San Diego et la seule famille qui est importante pour lui reste sa mère, qui est resté à San Diego, et ses cousines, qui sont comme de véritables sœurs pour lui. Il ne connait pas grand monde de plus. → Josh possède un tatouage sur le bras, un très beau tatouage, qui a des significations diverses, qui sont d'ailleurs inconnues de tous. Il s'agit d'un cadeau de sa mère, pour son passage à l'université. Il a dessiné le tatouage lui-même. → Josh fume. Beaucoup. Il fume environ un paquet de cigarettes par jours... Voire deux si la journée est stressante. On peut véritablement parler d'addiction dans son cas. Fumer l'aide à ne pas stresser, ne pas hurler de frustration, à se relaxer, tout simplement. → L'homosexualité de Josh lui est apparue à environ douze ans. Il a longtemps refoulé son désir pour les hommes, puis est tombé amoureux. A ce moment là, il en a parlé à sa mère, après une violente dispute avec son meilleur ami de l'époque, qui ne l'a absolument pas rejeté. Dès ce moment, toutes les craintes que Josh se sont envolées. Car après tout, si sa mère supportait son homosexualité, c'était bien le plus important. → Pendant longtemps Josh n'a pas su que faire de sa vie. Mais la photographie a toujours été une passion, qui a grandit au fur et à mesure que les années passaient. C'est donc avec évidence que Josh s'est tourné vers ce genre d'études. → Josh n'a jamais manqué de rien. Sa mère n'a jamais été pauvre, ni riche, mais dans le juste milieu au moins. A San Diego, ils avaient une belle petite maison. Ici en revanche, Josh n'a qu'un appartement. → D'ailleurs sa mère ne peut pas vraiment lui assurer de sécurité financière. Mais elle a épargné assez pendant de longues années pour que ses études soient payées et qu'il vive une belle vie. Outre ses études, Josh essaie de vendre ses photographies. Et ça lui réussit bien. → Josh possède un anneau au labret, vestige de sa période adolescente la plus noire. Il aurait sûrement dû l'enlever, mais il ne l'a pas fait et ne le fera pas de ci-tôt. → S'il a développé une passion pour la photographie, il est également un grand fan de lecture, de cinéma, de peinture et d'art plus généralement. Sa sensibilité l'aide à être touché par des écrits ou des œuvres d'art. → Josh a reçu son premier appareil photo à l'âge de douze ans. Depuis, il en a eu plusieurs autres mais a gardé le tout premier comme vestige du passé. Il trône d'ailleurs sur une console dans son appartement. → Il possède une collection impressionnante de t-shirts imprimés achetés un peu partout et aux imprimés plus singuliers les uns que les autres. → Josh a eu un accident de la route avec sa mère à l'âge de quinze ans. Personne ne connait cette histoire. Et le seul souvenir de cette journée est une cicatrice sur la jambe droite de Josh. Son cerveau a effacé tout autre souvenir lié à ce moment de sa vie et aux trois jours qui ont suivis. → Il a une passion incontrôlable et un peu étrange pour plusieurs éléments physiques chez un homme. Les oreilles, les yeux, la mâchoire et les clavicules. Il ne saurait pas expliquer pourquoi, mais il trouve ces éléments du physique des hommes très beaux. S'il devait photographier des endroits du corps, il utiliserait ceux là. → Josh n'a jamais été fait pour les relations amoureuses. Il a eu un petit-ami. Et ça s'est terminé assez mal pour que Josh refuse désormais de s'attacher. Il préfère désormais les histoires d'un soir, les trucs pas très sérieux, à de belles et longues relations très romantiques. Et ça ne risque pas de changer. → Comme quatre-vingt-dix-neuf pour cent des gens, Joshua a un passif adolescent assez chargé. On y compte des bagarres, surtout. Son tempérament en font quelqu'un d'assez violent dans certaines situations, et disons le franchement, il n'a pas peur de cogner.
★Quel est le caractère de ton personnage? → La première fois que vous verrez Joshua, ne vous y trompez pas. Ce mec est une vrai teigne. Oui, je l’affirme. Sous ses airs d’ange demi-rebelle, avec son anneau au labret et ses tatouages se cache l’âme d’un con. C’est dur à affirmer et pourtant c’est la vérité. Bien sûr, ce serait mentir que de dire que Josh est un démon à lui tout seul. Mais il a sa part de défauts. Josh c’est le genre de mec qui représente le ying et le yang à lui tout seul. Une balance parfaite entre le blanc et le noir, l’enfer et le paradis. C’est ce mec qui voudra absolument vous faire sourire puis dans l’instant d’après vous faire mordre la poussière. On appelle ça un lunatique. Il ne contrôle pas ses émotions. Il ne contrôle pas ce qu’il aime et ce qu’il déteste. Et d’ailleurs, il trouvera souvent un moyen pour aimer et détester quelqu’un ou quelque chose au même moment. Un peu perturbant si vous voulez mon avis. Ceci dit, ne vous y trompez pas, il n’est absolument pas le genre à broyer du noir pour un rien. Son optimisme est sûrement ce qu’on retiens le plus vite chez lui. Un sourire par-ci, des mots gentils par-là. Un regard clair et positif sur le monde qui l’entoure. Bien sûr il a ses périodes de malheur, comme tout le monde. Mais en clair, la plupart du temps, en société au moins, il se comportera comme quelqu’un de parfaitement heureux, toujours à arborer un sourire éclatant et à rire à la moindre blague, ou bien à faire la blague lui-même. Ceci dit, si vous voulez un conseil, il est très mauvais de faire la moindre farce à Josh. Il est typiquement le genre à se souvenir du moindre évènement, et à prendre toute action au premier degré. Le conseil serait sûrement d’éviter toute blague à son encontre. Monsieur est rancunier tout à fait. C’est un peu gênant pour ses ennemis. Un peu gênant pour ses amis aussi. Lui planter un couteau dans le dos reviendrait à déclarer une guerre ouvertement. Mais soyez prévenus, le petit est subtil. La surprise, c’est drôle aussi. Quand il en vient à des discussions sérieuses ceci dit, Josh est sûrement la personne la plus directe du monde. Il n’ira pas par quatre chemins. Il exposera ce qu’il pense de manière clair et sans passer par divers subterfuges et procédés linguistiques qui lui prendront dix minutes de plus pour expliquer sa pensée. Gâcher son temps, c’est pas tellement son truc. La plupart du temps, ce petit ingrat sera d’ailleurs assez blessant. Il préfère blesser les gens que jouer l’hypocrite et se cacher derrière des mensonges habilement crées. Mais il reste tout de même quelqu’un de très sensible. C’est là toute la complexité de son esprit. Il peut être blessant mais en même temps d’une sensibilité énorme. S’il s’agit de gens proches de lui, il pourra faire preuve d’une grande sensibilité et d’un grand soutien. Sa sensibilité, de manière générale, passe par ses écrits, ses photographies ou bien sa manière d’interpréter certaines œuvres d’art. Mais parfois, il arrivera à se dévoiler aux gens et montrer sa véritable sensibilité, son affection et son attachement. Ne vous y trompez pas, Joshua n’est absolument de ce genre à se confier à quiconque et à parler de sa vie à tout le monde. Il préfère rester secret sur sa vie, sur ses sentiments profonds. Expliquer à quelqu’un qu’on ne l’aime pas, ou qu’on le déteste même, c’est très simple. Aucune difficulté. Mais expliquer à quelqu’un qu’on tient à lui, qu’on a de l’affection, de l’amour même, c’est quasiment impossible pour Josh. A l’heure actuelle, les seules personnes qui ont son entière confiance et son amour éternel sont ses cousines et sa mère. Elles sont les seules personnes à connaître son histoire - ou du moins la plupart des détails - et à pouvoir dire qu’elles le connaissent vraiment. On pourra noter également que Joshua, sous ses airs de rebelle confiant, est sûrement un des hommes les plus timides que vous aurez la chance de connaître. Soyons clairs, Joshua est le genre à refuser tout compliment et à rougir quand on lui en fait. Il n’aime pas ça, tout simplement. C’est gratifiant de se sentir aimé. Mais en même temps, il ne sait jamais quoi répondre aux compliments. Alors il baisse la tête, il rougit, et il a le désir secret de s’enfuir en hurlant. C’est ça d’être timide. Ne pas accepter les compliments et rougir, ne pas pouvoir parler aux inconnus sans ressembler à un idiot… Ce n’est pas facile à vivre. Mais on s’y fait. Cela étant, même en étant timide, Joshua est d’une curiosité maladive. Véritablement. C’est un fouille-tout, un touche-à-tout et il aime avoir des informations sur tout et n’importe quoi, qu’importe le sujet. Sa curiosité lui aura valu quelques mauvais tours dans le passé, mais il n’a jamais réussi à corriger ce défaut. Ceci dit, pour un photographe, ce n’est pas tellement mauvais d’être curieux. Cela lui permet de capturer des choses, des lieux, des gens, des objets que quelqu’un qui n’a pas cette obsession d’être curieux ne pourrait pas forcément capturer à travers son appareil. Couplé à sa curiosité maladive vient son obstination, qui est sûrement l’un des plus gros défauts qu’on pourrait trouver à quelqu’un. Que ce soit en matière de drague - ce qui n’arrive pas réellement souvent donc - ou dans ses ambitions professionnelles, Josh est le genre à ne jamais lâcher prise. Il déteste se voir refuser quelque chose et se bat pour obtenir ce qu’il veut. Dans la vie, Josh est plutôt excessif d’ailleurs. C’est tout ou rien. Aimer ou détester. Avoir ou ne pas avoir. Il n’y a jamais de juste milieu pour lui. Ça ne l’empêche pas d’être quelqu’un de très impulsif. Démarrer au quart de tour, ça le connait, plus ou moins. A coupler avec son côté de lunatique chronique, son impulsivité en font quelqu’un qui peut être violent. Quand il s’agit d’amour d’ailleurs, Joshua est plutôt du genre possessif aux extrêmes… D’ailleurs, ça s’applique à n’importe quelle relation, même amicale, pour laquelle il investit de son temps et de son cœur. Un grand gamin diront nous. Il serait donc tout à fait capable d’agir de manière extrême et inconsidérée par pur jalousie et par excès de possessivité oui.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Kevin, autrement dit bluejeez sur Bazzart, vingt ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Un jeune homme qui se reconnaîtra m'a forcé (mais j'ai accepté par politesse - et par envie ) (mais on l'aime ce petit ) ★Ce personnage est-il un double compte ? → Absolument pas. ★Présence sur le forum → Tous les jours de la semaine et au-delààààà. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé avec l'aide de Jimly. ★Crédit images → laureen @ bazzart (avatar) lon-gina @ lj (icon)
Mon exemple de RolePlay:
→ Depuis l'annonce des attentats qui avaient sévis il y a quelques jours, tout le monde semblait surexcité. Pas que la nouvelle ait été réjouissante mais plutôt effroyable. Toi, bien évidemment, tu n'avais rien à te reprocher. Et encore moins quelqu'un pour qui t'inquiéter. Tous les gens qui t'étaient chers se trouvaient dans ce château. Tous ceux qui méritaient ton soutien étaient là. Bien sûr, il y avait les parasites, les furoncles, que l'on aimerait voir écrasés, dégagés, d'un coup de main. Le plus gros de ces furoncles était Potter. Ô Saint Potter. Oh oui, tu ne le supportait pas. Il y avait une espèce de compétition entre vous, et une haine commune. Le seule point qui vous rapprochait était Lily. Ô douce Lily. Mais maintenant elle t'avait échappé. Elle préférait la compagnie de Potter. Et tant pis pour toi. Le plus important, dans cette affaire, était bien ton coeur, brisé. Mais qu'importe. Le passé c'est le passé. Ça parasite le présent.
Quoi qu'il en soit, la journée avait très mal commencé. Tu t'étais fais réprimander par Dolohov, parce que tu te tenais trop prêt d'une poufsouffle de cinquième « I don't actually KNOW her », tentais-tu de protester. Mais rien n'y fit. Dolohov te tenait, pensait-elle. Et te voilà dépossédé de quinze points de ta maison. Qu'importe. Tu jetais un regard noir à la poufsouffle innocente et filait comme l'éclair à ton cours de potions. Bien évidemment, les potions avaient toujours été ta matière favorite. Et donc, il ne fut pas sans surprise de voir que lorsque la plupart des élèves échouaient, tu avais réussi ta potion. Une fois de plus, Horace Slughorn, votre professeur à tous, et peut-être celui que tu préférais d'entre tous, te félicitait alors qu'un sourire benêt se glissait sur tes lèvres.
Le reste de la journée, tu n'en as pas de souvenir. Tout simplement parce que ton esprit a occulté toute autre manière. Tu as du dormir en sortilèges, rêvasser en histoire de la magie. Tu n'aimes pas ces deux matières. Pas comme on devrait les aimer. Tu t'ennuies, dans ce genre de cours. Quoi qu'il en soit, une fois le dernier cours terminé, tu emportais très vite, sans un signe quelconque à qui que ce soit, tes affaires dans ton dortoir.
Après avoir pris une douce, tu te rhabilles. Une bonne douche fraiche. Il t'en fallait une. Tu étais encore empli de la sueur des salles de cours. Quoi qu'il en soit, une fois ta tenue enfilée, tu t'assieds sur ton lit et commences à ouvrir ton livre. Ce livre de potions où tes plus grandes améliorations aux potions sont annotées. Les pages sont noircies de ton écriture sale et peu soigneuse. Tout ce qu'il reste de ce livre sont des restes d'un ancien livre de potions. Désormais il est tien. Et tu ne t'en séparera très certainement jamais. Plusieurs fois d'ailleurs on t'as posé la question. « Sev? What's up with that book? » Jamais tu ne donnes de réponse convaincant. Parce que tu ne le veux tout simplement pas. Ce n'est pas dans ta nature de révéler ce que tu fais.
Il est dix-neuf heures. Tu devrais aller manger. Oui, manger. Parce que tu meurs de faim. mais qu'importe. Tu feras un tour à la cuisine en rentrant. Tu as besoin d'air frais pour le moment. Très frais même. Ta destination sera la cabane hurlante ce soir. Avant tout ceci, tu avais pris le temps de prendre la potion rafraichissante qu'un de tes amis au nom douteux t'avait laissé. Ainsi tu ne souffrirais pas d'avoir trop chaud. Tu resterais à une température acceptable tandis que tu vagabondais. Puis tu t'étais dirigé vers le parc et la cabane hurlante. Tu avais bien évidemment essayé d'être le plus discret possible, jusqu'à ne pas te faire voir. Et tout ceci avait été rapide. En une quinzaine de minutes tu te retrouvais devant le saule cogneur, seule entrée connue de cette cabane sans passer par Pré-Au-Lard. Un rapide sortilège et tu entrais déjà dans le trou béant, libérant la cabane de sa noirceur. Tu montais rapidement les escaliers te menant à la cabane elle-même, jusqu'à arriver dans cette salle.
Cette salle était une de ces pièces qu'on affectionne particulièrement. Pour toi il s'agissait avant et surtout d'un lieu où tu pouvais réfléchir, sans avoir à craindre le regard des autres. Tout simplement car tu aimais la solitude. C'était comme ça. Depuis que Lily et toi-même étiez en froid, tes seuls contacts étaient Alistair et tes comparses. Tu ne souhaitais parler à personne d'autre. Souvent tu restais terré, avec un livre, dans le parc de Poudlard, à bosser tes potions,pour pouvoir te surpasser. Et tu ne parlais pas. La solitude était maitresse de ta vie. Et tu vivais ta vie comme bon te semblait. Même si Potter et sa bande de petits copains rythmaient le rythme de ta vie, bien plus qu'avant, par des ruades de sortilèges, tu ne parlais pas. A personne. Quelques personnes auraient pu être des confidentes mais tu n'avais jamais été du genre à te confier aux autres. Ni à Lily, ni à Alistair, ni à Evan, ni à personne.
Ta tête tournait. Voilà vingt minutes que tu te retrouvais dans cette pièce mais ton esprit semblait ailleurs, il semblait en proie à un sortilège, un effet incontrôlé. Tu ne te sentais plus toi-même. Tu posais ta plume et ton livre sur le côté et allais rejoindre le lit qui se trouvait dans l'arrière de la pièce. Ce lit était vieux, craquelait et sentait le roussi; Il devait être ici depuis des années. De longues années. Quoi qu'il en soit, tu t'allongeais dans ces draps propres, qui devaient être fréquemment changés - ce qui, au premier abord aurait pu t’étonner - et attendais.
Tu attendais un signe, quelque chose, quelque chose qui te ferait vivre de nouveau et non survivre. C'est drôle ce que la vie peut apporter de mauvais sans qu'on s'en rende compte. En un instant, en quelques mots tu avais perdu tout ce que le monde avait pu t'apporter de bon. Quand tu étais petit, ta mère était morte à cause de ce qui te servait de père, emporté dans une de ses crises d'alcoolisme quand il ne pouvait plus se contrôler. Puis adolescent, tu avais perdu Lily. En une phrase, tu avais perdu l'être le plus cher de ta vie. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé, dis t-on. C'était bien vrai. Oh oui. Lily te manquait. Mais tu apprenais à faire avec. Et si le sentiment de vide s'était peu à peu apaisé, tu prenais difficilement chaque coup de massue assené.
Le plus drôle dans l'histoire restait son histoire avec Potter. Tu ne pouvais pas accepter cette histoire. Humainement parlant. Lily avait toujours détesté ce gosse. Et par un beau matin, comme pour te punir - tu ressentais ça comme une punition oui - elle s'était éprise de lui. Comment pouvait-elle changer d'avis de cette façon? Tu ne pouvais toi-même pas changer d'avis aussi facilement sur les gens. Pas sur Potter en tout cas. Il resterait ce petit gamin prétentieux qui, dès les première minutes de votre rencontre, t'auras confondu avec son grand ami Black - bien le seul Black à ne pas être respectable à ton avis - pour te dire que ce que tu pensais était plus équivalent à du vomi de veracrasse qu'à autre chose et que toi, ni l'intellectuel, ni le physique, tu ne possédais.
Mais le véritable problème dans l'histoire, c'était toi. Toi. Tu avais prononcé quelques mots. Un en fait. Tu avais failli. Tu avais promis à Lily de ne jamais lui manquer de respect. Et cette barrière avait été franchie avec ce mot. Mudblood. Tout avait éclaté à ce moment-là. Le soir-même, tu avais été te répandre en excuses. Mais Lily n'avait pas marché.
« No – listen, I didn't mean – – To call me Mudblood? But you call everyone of my birth Mudblood, Severus. Why should I be any different? » Le reste restait dans ton souvenir comme les plus longues journées de ta vie. Tu avais du effacer de ta mémoire ces moments avec Lily. Tu avais du affronter sa perte. Et te voilà aujourd'hui. Son souvenir était à peine présent désormais. mais ce soir, sous l'effet d'on-ne-sait quelle potion, quel sortilège, tu te retrouvais à penser à elle, alors que cela ne t'étais pas arrivé depuis des mois entiers.
Ton esprit avait été occupé à autre chose à vrai dire. Penser à Lily avait été fréquent pendant des années. puis le temps avait passé. Désormais vous ne vous adressiez plus la parole du tout. Et tu ne voulais donc plus y penser. Tirer un trait sur Lily c'était tirer un trait sur tout ce qui t'affectait à présent. Et quand tu y pensais, Lily n'avait jamais véritablement aimé tes amis. Tu te rappelles encore de cette conversation entre vous deux, lorsqu'elle parlait de Mulciber et de son amie, Mary MacDonald.
« ... Thought we were supposed to be friends? Best friends? – We are Sev. But I don't like some of the people you're hanging around with. I'm sorry but I deste Avery, and Mulciber. Mulciber. For god sake, Sev. What do you see in him, Sev? Uh? He's creepy! D'you know what he tried to do to Mary MacDonald the other day? »
Toute cette conversation restait dans ton esprit. Tout ceci avait un sens. Ils étaient ce qu'elle appelait pure evil, mais il ne s'agissait que d'une blague après tout. Severus, stop thinking 'bout her.
Tu reposes ta tête contre l'oreiller poussiéreux du lit à baldaquin et fermes les yeux. Arrêter de penser à Lily est la meilleure des choses à faire. Tu ne sais décidément pas ce que l'on a mis dans ta potion, mais c'est fort.
Les minutes passent, défilent... Et comme un malheur n'arrive jamais seul, tu entends des bruits de pas. Quelqu'un vient. Mais tu es trop faible pour te lever, ou aller voir qui se dresse dans la pièce. Tu demandes, d'une voix faible. « Who's that? » Un regard à l'inconnu te fait dire que ta question est très intéressante... Et comme un malheur n'arrive pas seul, comme dit précédemment, au lieu qu'il s'agisse de quelqu'un de respectable, quelqu'un que tu apprécies un minimum, il s'agit plus d'un des bourreaux de ta vie. Lupin. Cet animal... Tu n'aimes pas Lupin. En même temps, il a tout pour déplaire. Encore plus que les autres. Il n'est pas laid de physique, bien sûr. mais son fond est bien plus grotesque que ceux des autres. il s'agit d'un préfet, qui ne veut que de ce titre pour ce qu'il apporte : une excuse pour te faire subir toutes les tortures du monde.
Tu n'avais jamais aimé Lupin. Et lui non plus. Enfin, il était beaucoup plus effacé que les autres copains de Potter. Sûrement par pitié, par peur, par jenesaisquoi. Il semblait en proie à quelque chose. Un mal intérieur. Tu n'avais jamais vraiment compris ce qui lui arrivait. mais tu n'avais pas envie de le savoir.
« Oh it's you. What're you doing here Lupin? », poses-tu comme question, d'une voix froide et lente. Lupin a le regard vide, comme si on venait de lui enlever toute âme. Un peu comme si un des détraqueurs de notre bien-aimée Azkaban lui avait vidé les entrailles. Peut-être alcoolisé. Bien que la situation ne soit absolument pas ce qui te préoccupe le plus - tu viens d'attraper une migraine carabinée en levant la tête... - tu oses quand même. « You seem pretty messed up. Drunk aren't you? »
Dernière édition par Joshua Hepburn le Lun 10 Fév - 18:02, édité 24 fois
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 2:29
one.
Une vie peut être gâchée par de simples rumeurs. Les adolescents aiment s’envoyer des pics, se balancer des vacheries. Ce qu’on ne peut comprendre, c’est que les rumeurs, quelles qu’elles soient, font mal. Elle attaquent, là où ça fait mal. Certaines personnes arrivent à les supporter, à outrepasser le fait d’être critiqué. Puis d’autres qui n’y arrivent pas. D’autre qui ne supportent pas ces messes-basses, ses vulgaires insultes qui ne devraient pas avoir lieu d’être. Le lycée est un lieu d’hypocrisie. Ces années-là, et celles à venir, sûrement, avaient été les pires de la vie de Josh. Il n’avait ni aimé ses rencontres, ni ses professeurs, ni ce qu’il apprenait. Il ne se sentait pas bien dans ce lieu, à vrai dire. Mais le fait d’être rejoint par ses cousines, qu’il adorait plus que tout, avait été un grand soulagement. La solitude avait toujours été un peu le mot d’ordre de la vie de Joshua. Jamais il n’avait aimé la foule, ou avoir une quarantaine d’amis, tous aussi hypocrites les uns que les autres. Déjà tout petit, il avait une prédisposition pour être seul. Il préférait se mettre dans un coin, et lire, ou dessiner (même si ses talents de dessinateur se sont révélés inexistants au fur et à mesure de son évolution). Pas que la compagnie des gens est désagréable. Mais la timidité maladive de Josh était devenu rapidement un problème. Désormais, il passait beaucoup de journées plus ou moins seul, armé de son fidèle allié, son appareil photo. La photo avait toujours été une passion, depuis qu’il avait découvert l’utilisation d’un appareil photo, à l’aube de ses douze ans. Un cadeau fait par sa mère, qui avait trouvé le cadeau parfait. Depuis Josh avait eu plusieurs appareils et ne s’en séparait absolument pas. Certains ont des objets fétiches, n’est-ce pas? Josh avait son appareil.
« - Joshua? Tu m’écoutes? » « - Pardon? Tu disais? », répondit Joshua, perdu dans ses pensées. « - Pourquoi tu es tout drôle depuis ce matin? Plus que d’habitude je veux dire? » Ah. La voilà la discussion sérieuse. Josh soupira. Il avait tant de choses à dire. Et il était trop tôt pour tout dire. Le problème avait toujours été qu’il s’était senti différent. Vous savez, ce sentiment de ne pas être comme les autres. Il l’avait ressenti toute sa vie. Actuellement il était chez lui, avec un ami. Un grand ami. Sûrement la personne la plus proche de lui mis à part ses cousines et sa mère. Il avait toujours mis un point d’honneur à n’avoir que quelques amis. Et Randy avait été l’un d’eux. Il était le plus important. Son meilleur ami. Ils se connaissaient depuis de longues années et avaient toujours tout partagé. Tout sauf un détail. Un détail qui avait son importance. Un détail, qui n’aurait du être que l’affaire de Josh. Mais des évènements, des pensées, des situations cocasses, avaient fait en sorte que Josh ait besoin d’en parler. Il ne pouvait pas en parler à sa mère. De peur qu’elle le rejette, qu’elle lui dise de partir, de trouver ailleurs où aller. En parler à ses cousines aurait été une solution, également. Mais comment annoncer ça? Sans se faire rejeter? Le problème était vraiment le rejet qui arriverait une fois cette annonce faite. Alors Josh avait tut cette idée. Il ne savait pas à qui en parler. Et ça le détruisait de l’intérieur. A petit feu, il se détruisait, de devoir cacher ce qu’il pensait. Il avait toujours été direct et honnête, et pour ce petit détail de sa propre vie, il n’était pas capable de faire autrement que de mentir, de jouer l’hypocrite. L’hypocrisie envers soi. C’était peut-être la chose qui l’ennuyait le plus. Le fait de ne pas être capable d’assumer ce qu’il savait être. Randy aurait pu être cette personne. Il voulait qu’il le soit. Qu’il soit capable de comprendre, de le soutenir. Mais la peur prenait toujours le dessus. La peur de décevoir, d’être rejeté. Mais il était décidé, plus ou moins. « - J’ai un truc à te dire, Randy. », commença Josh, d’une voix incertaine, qu’il ne se reconnaissait absolument pas. « - Oui j’avais bien remarqué, vois-tu. » La suite passe comme une lettre à la poste. Enfin l’explication du moins. Tout est très rapide. Joshua ne choisit pas bien ses mots, il bégaye, mais il en vient au point essentiel. Il en vient à ce mensonge qu’il a nourri pendant des années, à la révélation de son vrai lui. Il n’est même pas certain que ce qu’il dit est compréhensible. Puis vient le regard d’horreur sur le visage de Randy. Cette haine incompréhensible qui s’affiche sur la face de son meilleur ami. Tout est perdu. Tout est fichu. Il savait bien que tout ceci était une mauvaise idée. Il savait qu’il n’aurait pas du avouer. Pas du le dire. C’était une grossière erreur. Et maintenant Randy est dégouté, horrifié, révulsé. L’horreur qui se lit sur son visage est à peine descriptible. Il s’éloigne. Et volontairement, il échappe à l’amitié de Joshua. C’était inévitable.
« - Tu veux dire que tu es… Quoi exactement? » Sa voix est sèche. Il baisse les yeux. Sa haine se déverse peu à peu. « - Gay. » La voix de Joshua est cassée, à peine audible. Le reste de la conversation prend une tournure meurtrière. Des mots injurieux sont proférés. Randy s’éloigne physiquement de Joshua et hurle des insanités, jusqu’à ce que la porte de la chambre s’ouvre violemment. La mère de Joshua regarde à tour de rôle son fils puis son meilleur ami. Randy lève la tête vers la mère de Joshua, puis s’apprête à partir. Il murmure des mots. Quelque chose comme ‘vous devriez avoir honte’ et s’en va. C’en est fini. Tout est parti en fumée. Il vient de perdre un ami. Soin meilleur ami. Mais après tout, si Randy n’est pas capable de l’accepter que faire? Le séquestrer jusqu’à ce qu’il accepte cette triste vérité? Le battre? Qu’importe. C’est fini. Tout est fini. Désormais, Joshua est seul, et rien ne pourra retenir Randy. Seul au monde, coupé de tous.
Dernière édition par Joshua Hepburn le Lun 10 Fév - 18:05, édité 15 fois
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 2:29
two.
New-York. Un rêve devenu réalité. Enfin. Quitter la ville de son enfance pour la ville de son futur. Certains en rêvent, Joshua le vit. Tout a été mit en œuvre pour qu’il puisse y vivre. Sa mère n’est absolument pas une riche héritière, ni une grande patronne, alors elle a économisé pour que Joshua puisse avoir une vie décente. Il ne la remerciera jamais assez. Sa mère est son âme sœur. La seule. Elle sera toujours l’élue de son cœur, même s’il aime les hommes. Elle sera toujours la seule femme qu’il aimera de tout son cœur. Il la quitte, mais elle sera toujours là. Elle lui manquera. Mais son désir, depuis longtemps, de quitter San Diego pour New-York, prime. Et enfin il est arrivé. Enfin il peut tenter de poursuivre son rêve. Devenir photographe. Il sait que tout ceci sera dur, éprouvant, que des jours seront meilleurs que d’autres, que certains seront horribles au point qu’il voudra retourner à la maison. Il en est conscient. Mais il se doit de tenir. Il refuse d’abandonner. De lâcher prise. Jamais. Les rêves sont fait pour être réalisés. Et le sien est sur le point de commencer. Alors il s’accrochera jusqu’au bout.
Son appartement est un endroit minuscule, avec trois pièces. Mais quelque chose d’assez grand pour lui et lui seul. C’est un immeuble qui n’a rien d’extraordinaire, ni d’affreux. Les voisins ne semblent pas contraignants. L’appartement est vide pour le moment, si ce n’est un canapé qui trône au milieu de la pièce principale. Les murs sont blancs, le parquet propre, les fenêtres impeccables. Des cartons jonchent le sol par dizaines. Il y a du travail à faire. Avec sa mère, Joshua s’occupe de monter quelques meubles. Puis ils s’arrêtent. Le reste viendra demain. Il a juste envie de passer un peu de temps avec sa mère désormais. Demain matin, elle sera partie. Elle retournera à San Diego, à sa vie monotone. Et lui sera ici. Elle lui manquera. Mais il sait bien qu’il fait pour le mieux. Et si ses plans marchent, il sera le plus heureux, probablement.
Elle est déjà affalée sur le canapé quand Joshua revient. Il est allé chercher quelque chose à manger. Et à boire. Des bières. C’est étrange de partager de l’alcool avec sa mère. Mais la gène est vite partie. Ils ouvrent leurs repas, mangent. Le silence est d’or dans cet appartement. Mais il s’y sent déjà comme chez lui. Il pense déjà à tel ou tel endroit pour mettre ce qu’il veut. Et la cuisine, où il pourra faire de la cuisine. Et sa chambre. Tout semble bon pour démarrer un nouveau chapitre de sa vie. Ils se regardent, continuent de manger.
Les heures passent. Doucement. La nuit prend le dessus. Les sujets de discussion sont divers. Tout semble bien. Joshua prend sa mère dans ses bras. Et ils s’endorment. Là, sur le canapé. La nuit de Joshua n’est pas agitée, pour une fois. Pas de cauchemar, un rêve apaisant. Et il se réveille en pleine forme.
Il est temps de prendre un nouveau départ, de laisser le passé où il est resté, à San Diego, et d’avancer. En laissant derrière soi les mauvaises rencontres et habitudes.
Dernière édition par Joshua Hepburn le Lun 10 Fév - 18:09, édité 5 fois
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 2:29
THE HEPBURNS ARE SATISFIED
MON BÉBÉ KEVIN. C'est mon amour à moi. Il est beau le choix d'avatar, j'ai bien fait de te le conseiller, dios mio. Bref, tu es trop parfait mi amor. et tu vas trop aimer ce forum.
Et pas touche les gens, même dans vos rêves. Bienvenue bébé et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 2:32
Mais toutes les familles s’agrandissent en ce moment
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 2:33
Bienvenue
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 2:42
bienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 2:58
Bienvenue parmi nous Excellent choix d'avatar
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 3:57
Bienvenue
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 9:29
c'est kevin de twitter ? bienvenue parmi nous
Katerina M. Lehtonen
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what doesn't kill you makes you stronger
▌INSCRIT LE : 15/04/2012
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 10:56
Bienvenue chez nous !
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 11:17
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 13:28
Merci à tous Vous êtes adorables.
Shalimar A. Hepburn a écrit:
THE HEPBURNS ARE SATISFIED
MON BÉBÉ KEVIN. :cutie:C'est mon amour à moi. Il est beau le choix d'avatar, j'ai bien fait de te le conseiller, dios mio. Bref, tu es trop parfait mi amor. :bazinga:et tu vas trop aimer ce forum.
Et pas touche les gens, même dans vos rêves. Bienvenue bébé et bonne chance pour ta fiche.
JIMMY Ca m'a l'air sympathique ici dis moi (). J'ai hâte qu'on fasse ce qu'on a prévu, ça risque de donner
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas si tu veux commencer à discuter avec les membres tu peux toujours venir flooder dans cette partie ou bien te rendre sur la chatbox.
Un Hepburn! On sera amenés à se croiser avec mon Jamie Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 20:59
Shalimar A. Hepburn a écrit:
THE HEPBURNS ARE SATISFIED
MON BÉBÉ KEVIN. :cutie:C'est mon amour à moi. Il est beau le choix d'avatar, j'ai bien fait de te le conseiller, dios mio. Bref, tu es trop parfait mi amor. :bazinga:et tu vas trop aimer ce forum.
Et pas touche les gens, même dans vos rêves. Bienvenue bébé et bonne chance pour ta fiche.
Tu as de la chance que c'est le petit frère parce qu'avec cette déclaration, Elias peut sortir les griffes
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Jeu 6 Fév - 21:59
bienvenue et, bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Ven 7 Fév - 2:46
C'est le cousin des jumelles bonasses. Elimar is meant to be.
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Ven 7 Fév - 13:33
bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Ven 7 Fév - 13:40
Elias P. Ioannis-Hanwell a écrit:
Tu as de la chance que c'est le petit frère parce qu'avec cette déclaration, Elias peut sortir les griffes
Promis Josh touchera pas à sa cousine
Merci à tous . La fiche avance
Dernière édition par Joshua Hepburn le Ven 7 Fév - 13:45, édité 1 fois
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Ven 7 Fév - 13:41
Bienvenue parmi nous! ♥
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Sujet: Re: I AM NOT A ROBOT Ven 7 Fév - 17:54
invasion de famille bienvenue parmi nous Diego, i like it