19 ans → Née à Punta Cana le 04/03/1995 → Serveuse dans un petit bar vintage, et mécano dans le garage du coin célibataire → hétérosexuelle → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Iliana est petite pour son âge, environ 1m50, ce qui la complexe beaucoup, pourtant elle ne cherche pas à mettre des talons à tout va. Elle se dit que de toute façon ce n’était plus maintenant qu’elle allait grandir, alors autant s’en contenter. C’est surtout qu’elle voit son frère et sa sœur de 14 ans qui la rattrape dangereusement. A ce rythme là, seule la petite dernière de 3 ans pourra encore rivaliser avec elle. Elle se maquille parfois trop mais ce n’est pas vraiment pour attirer les regards. C’est juste qu’elle préfère, au moins personne ne voit qui elle est vraiment. Et avec ce rouge sur ses lèvres elle se trouve plus attirante, plus femme. Et Dieu seul sait combien elle peut entendre par jour « Mais vous avez quel âge ? » Et les réponses sont rarement aussi douces. Elle a de longs cheveux ébène qui ne sont pas sans rappeler ses origines latines. Elle a de grands yeux noisettes clairs qu’elle noircie souvent, rendant son regard plus sévère. Elle s’habille avec style, s’inspirant du street style mélangé à des jupes sixties. Enfin, elle fait son petit mélange et ça lui va plutôt bien. Elle ne cherche pas à être une icône de mode, mais elle aime flâner ici et là à la recherche de tenue retro qu’elle trouve plus tôt branchée. Elle aimerait se faire un tatouage mais n’en a pas les moyens, elle a déjà du mal à joindre les deux bouts alors se faire se fantaisie au détriment des repas, ou des factures, hors de questions. Mais elle s’est fait percer au nombril à sa période fêtarde et elle a plusieurs trous à l’oreille. Elle porte toujours pleins de bracelets au poignet dégageant ce petit son cristallin qui la caractérise particulièrement. Elle a aussi plusieurs grosses bagues qu’elle change régulièrement. Mais son boulot de serveuse et méco’ l’empêche de pouvoir les porter tout le temps. Elle a aussi deux fines cicatrices dans le creux des reins, souvenir d’une nuit plutôt agitée où l’alcool n’avait pas su faire bon ménage avec son caractère bien trempé. Elle met toujours des touches de parfum discret mais entêtant ce qui lui vaut des compliments au garage, et des reproches à son boulot de serveur. Quand elle est stressée Iliana à tendance à faire claquer son ongle contre ses dents ce qui a le don d’énerver son frère ainé. Elle parle aussi très peu, sauf quand elle en a besoin ou qu’elle est de bonne humeur. Elle adore les bonbons, elle pourrait en manger tout le temps, comme le chocolat en fait … Comme beaucoup de fille en fait … Elle n’a rien de particulier, si ce n’est peut-être qu’elle aime raper et chanter.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Elle n’est pas des caractères des plus faciles. Iliana est passionnée et dégage un certain magnétisme. Femme de caractère, elle aime croire qu’elle a le contrôle. Plus concrète et pratique que véritablement intellectuelle, elle se montre entreprenante. Elle sait ce qu’elle veut, elle sait comment l’avoir. Elle est active, dynamique, et combat pour les causes ou les principes qui lui tiennent à cœur. On lui a souvent collée des étiquettes celle de la jeune fille fragile incapable de continuer ses études, celle de la grande gueule qui ne s’est faire qu’aboyer. Ou bien alors celle de la pauvre serveuse qui peine à réunir les deux bouts pour avoir une vie normale. Certaines personnes que je sers à mon comptoir pense que j’ai voulu devenir une grande actrice mais que j’ai terminé dans ce petit restaurant minable à servir des donuts et des cafés trop chaud … Mais elle sait qui elle est, elle sait ce qu’elle vaut. Satisfaite d'elle-même, courageuse, elle possède beaucoup d'énergie, et cela se traduit par de la brusquerie, de l'impatience ou de l'irritabilité. Bien qu’on puisse aussi miser ça sur son caractère fort et anti sociale. Aussi est-elle souvent tentée par les exercices sportifs, excellent exutoire pour cet être bouillonnant. Son besoin d'autonomie est grand : Iliana se plie difficilement à l'autorité des autres. Allergique à toute forme de hiérarchie, elle a un esprit de contradiction évident. Pour elle, la valeur n'attend pas le nombre des années, et le mérite ne se reconnaît pas au degré d'ancienneté ou au grade, mais à la valeur personnelle, laquelle se mesure par les réalisations concrètes. Son côté direct et franc lui vaut quelques rivalités ou conflits que, consciemment ou inconsciemment, elle recherche néanmoins. Enfant, Iliana n'était ni docile, ni souple, ni patiente. Parfois ombrageuse et susceptible, elle se montre coléreuse et rebelle. Lorsqu'elle ne se sent pas à la hauteur d'une situation, elle sort ses griffes ! Mais au fond, Iliana est une enfant tendre, sensible et émotive, qui a tendance à amplifier le moment présent. Elle ne sait pas comment se canaliser vraiment. Ce qui est sur c’est que quand elle est là, vous la remarquer. Avec le temps elle a finit par devenir peut-être un peu aigrie. Elle a du mal à faire confiance et ce contente de jouer ici et là sans jamais vraiment s’attacher. Que ce soit en amitié ou en amour. On peut même dire qu’elle devient un poil méchante quand on la titille trop et elle n’hésite pas à jouer les vraies c*nasse quand la situation lui échappe. Elle ne s’attaquera jamais à plus faible qu’elle, mais elle n’est le genre d’enfant de chœur qu’on recommanderait. De nature très possessive et très protective avec sa famille, elle ferait tout pour sa famille. Ses petites sœurs et ses frères sont ce qu’elle a de plus cher. Et même si elle râle souvent après eux … Elle ne pourrait pas vivre sans eux. Faut juste s’habituer à l’entendre ronchonner. Elle n’est pas si terrible … juste terriblement agaçante.
Well... It's my story...
« C’était il y a si longtemps Humberto. J’ai fauté … je suis désolée. Ne pars pas … »Ce sont les derniers mots de maman avant que tu ne quittes cette maison. Tu sais quel effet ça m’a fait de voir son visage couvert de larmes ? Elle était à genoux devant toi papa. Elle te suppliait de ne pas partir. Je ne sais ce qu’elle t’a fait pour que tu sois aussi froid … aussi blessé, mais elle a du faire fort pour que t’en viennes à quitter le domicile familiale et nous abandonner comme tu l’as fait. C’était quoi … ? Je ne peux m’empêcher de penser que quelque part au fond de toi tu aurais pu lui pardonner. C’était si dur que ça ? Mais tu as prit ta décision. Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il se passait. Papa, ton visage était si fermé et si dur quand tu regardais maman pleurer toutes les larmes de son corps. Comme si tu n’éprouvais aucune émotion. « Papa … » Je t’ai appelé, je pensais que ça pourrais changer quelque chose tu sais. J’étais terrifiée papa. Terrifiée que tu puisses partir, que je ne sois plus capable de revoir mon papa. Est-ce que tu sais toutes les choses horrible qui m’ont traversé la tête à cet instant … J’ai avancé vers toi en faisant trainer mon doudou sur le sol, c’est étrange les souvenirs d’enfants et les souvenirs, les détails qu’on garde en mémoire. J’avais à peine 6 ans il me semble. Je tends mes bras vers toi et je te vois hésiter. Toi mon papa, mon héro, mon roi, l’homme le plus fort de la terre, tu as faillis te détourner de moi … ta princesse. T’as lâché ta valise et tu me porte jusqu’à toi. Tu caresses mes cheveux avec cette douceur que je te connaissais et qui te caractérisais. Tu as l’air fatigué papa. Tes yeux si brillant et si pétillant sont soudain si terne et si triste. Je caresse ces petites pattes que tu as au coin des yeux. Tu fais vieux papa … Tu sembles vraiment épuisé … Je te serre très fort dans mes petits bras. Avec le recul je le savais que c’était la dernière fois que je te verrais. C’était sûrement cette façon tu avais de me serrer dans tes bras, et de m’embrasser. T’avais les yeux rougis et j’ai essuyé ta larme avec Niño, ma peluche, tu sais, c’était mon bien le plus précieux, celui que tu m’as donné le jour de ma naissance. C’est peut-être pour ça que je te l’ai donné ce jour là. Parce que tu savais combien je tenais à cette peluche, parce que tu savais tout ce qu’elle représentait pour moi. Et j’ai longtemps cru que tu reviendrais. Pour venir me chercher au moins. Pour me rendre mon doudou à la rigueur ? Je t’ai attendu pendant des mois à la fenêtre du salon. Maman continuait de s’occuper de nous mais plus les jours passaient et plus je la sentais s’éloigner, s’éteindre. Tia est venue à la maison, elles discutaient jusqu’à tard le soir et maman pleurait beaucoup … jusqu’au jour où elle a arrêté de pleurer. Elle a arrêté de tout faire. De manger, de dormir, de sourire. Elle ne s’occupait que rarement de nous. Elle ne nous voyait même plus je crois … Les jumeaux pleuraient énormément et ça la rendait folle je crois.
Papa … Elle me l’a pas dit tout de suite pour toi tu sais. Un jour, elle a quitté la maison toute de noir vêtu et elle a prit un taxi. Je devais aller à l’école alors je n’ai pas vraiment pris le temps de lui demander ce qu’elle faisait, mais j’avais ce mauvais pressentiment, cette sensation étouffante que quelques choses de grave était arrivé. Cette drôle de sensation me tiraillait depuis quelques jours déjà … Mais j’ai su la vérité que bien des années plus tard. Tu es mort. Partie pour toujours. J’avais tellement de choses à te dire. J’avais 14 ans quand on me l’a dit. Tu sais, parfois je me sens ridicule. J’avais fait toutes ces recherches sur toi pour essayer de trouver. J’avais que ton nom et internet. Pas franchement les ressources nécessaire pour te retrouver. Comme si tu allais te faire un compte sur un réseau social, ou comme si tu allais tenir un blog. Mais j’ai tenté, peut-être qu’avec assez d’acharnement j’allais finir par te retrouver. L’ambiance à la maison était étrange. Juan s’est mit en tête d’être l’homme de la maison. Il surveille tout ce que je fais. C’est chiant tu sais, je l’ai constamment sur le dos. Il clame haut et fort que c’est grâce à lui que la famille tien encore debout. Mais il croit quoi ?! Que parce qu’il est l’homme et qu’il ramène un peu d’argent à la maison ça fait tourner notre famille ! Et qui est-ce qui s’occupe de mamà hein ?! Qui est-ce qui s’occupe des jumeaux ?! C’est moi ! Tu te rends compte papa … Nena est persuadée que je suis sa mère … Elle m’appelle maman, j’ai beau lui expliquer que je ne suis que sa sœur, que maman est juste malade, qu’elle a besoin de temps, elle n’en démord pas. « Tu t’occupes de moi, tu es ma maman, c’est tout. » c’est désarmant venant de la bouche d’une enfant si jeune … Quand j’ai eut 16 ans maman est revenu à la maison avec une nouvelle … explosive. Elle est enceinte. Encore. Je ne sais pas ce qui lui est passé par la tête … Merde, pourquoi elle n’a pas réfléchi papa ?! Elle a toujours agis comme ça pas vrai ? Elle semble ne pas être capable de faire les bon choix …. Elle m’énerve … Elle me déçoit et elle me fait pitié. J’ai honte de le dire mais … ma mère me fait pitié. Elle n’a fait que blesser cette famille et la détruire. Comment est-ce que je pourrais lui pardonner ?! J’ai cru pourtant, pendant un moment, que ce bébé aller nous la ramener. Pendant sa grossesse elle était si belle, si vivante. Tu l’aurais vu, elle nous préparait notre petit déjeuné et notre déjeuné. Elle riait, elle faisait des blagues, les jumeaux commençaient doucement à la considérer comme une maman, la vraie. Elle était si belle … Tout le monde dit que je lui ressemble beaucoup et j’ai toujours détesté ça, sauf pendant ces quelques mois.
Puis à la naissance d’Elea, elle s’est doucement renfermée sur elle-même. Effrayée par ce bébé … Je crois qu’elle a prit conscience de ce qui se passait … Alors elle est partit. Elle aussi. Elle est retournée en république Dominicaine je crois. J'ai pas vraiment de ses nouvelles. J'aimerais l'appeler parfois mais je ne saurais pas quoi lui dire. On aurait pu la rejoindre, mais on avait notre vie ici ... Et partir nous semblait ... impossible. Pourtant, quand on vous voit, partir semble si facile. Pourquoi vous nous avez fait ça ?! J’aimerais que tu sois là papa. Que tu m’expliques. Que tu me prennes dans tes bras en m’assurant que je vais m’en sortir. Je ne sais pas si je vais tenir encore longtemps papa … Je t’en ai voulu tellement de temps. J’ai plus la force de te détester. Ni maman pour tout avouer. Mais je suis en colère. Tellement … J’en veux à la terre entière. J’ai mal au cœur, c’est constant, c’est lancinant. J’ai envie que cette douleur cesse mais je ne trouve pas le bouton stop. Je fais n’importe quoi papa … Je perds pied. J’ai pas eut d’enfance, ni d’adolescence. A 16 ans je me suis retrouvée avec le bébé de maman sur les bras. Comment j’étais supposé m’occupé d’elle ? Elea était une véritable merveille mais un bébé c’est si … petit. Fragile. Je ne sais pas si je m’en occupe bien, si je fais les choses bien … Et depuis 3 ans je suis toute seule avec Juan pour qu’on s’occupe des plus jeunes. C’est pas la vie que j’avais imaginé … Je ne la déteste pas, mais elle n’est pas facile. Des fois j’aimerais juste souffler. Tu sais, prendre des vacances. Mais pour aller où ? Je m’en veux de les voir comme un poids et de m’échapper de cette maison quand je le peux … Mais 3 enfants à charges, Papa, je pète un plomb. On a des aides de l’état mais c’est tellement ridicule. Juan ramène de l’argent qui sort de je ne sais où … Et moi j’enchaine les petits boulots. Je pourrais trouver mieux, mais j’ai du arrêter mes études. Je suis pourtant sûre que tu aurais aimé me voir à l’université. Pas vrai ? Tu me manques papa … tu me manques tellement. Mon doudou aussi. J’aurais aimé le garder mais je préfère le savoir avec toi.
J’ai rencontré quelqu’un papa … Ce n’est pas vraiment l’homme de ma vie, mais quand je suis avec lui, je me sens bien. C’est toujours fugace, passager, mais c’est fort. Je ne pense pas que je suis amoureuse, mais il est … Il est … Beau. Son sourire est à tomber. Tu ne l’aurais pas aimé je pense … Tout ce que tu détesterais pour ta fille. Il est macho, il parle trop, il est … là. Imposant. Je l’aide à gérer sa moto quand il fait des courses. On gagne souvent tous les deux. Il adore m’avoir avec lui tu sais … Il m’a dit que j’étais son plus beau trophée. Je trouve ça mignon, et je n’ai pas besoin de plus. Elvio c’est … c’est juste quelqu’un qui me donne l’impression que ma vie ne se résume à gâcher la mienne pour celle de ma famille. Et puis je suis douée dans ce que je fais. Les machines et moi on se parle. Elvio dit que j’ai un talent fou pour ça. Ça me plait de le croire. Ce soir on a une course à donner, si on gagne on remporte un sacré pactole. Mais je vais devoir arrêté … Les jumeaux font n’importe quoi à l’école, je suis de moins en moins présente à la maison. Il faut que je reprenne les rennes en main … Tu vois. C’est peut-être rien, mais moi j’ai l’impression de me sacrifier … Je suis fatiguée papa. Et si je pouvais, je donnerais tout ce que j’ai pour que tu reviennes … Pas seulement pour m’aider, mais pour nous aimer comme tu savais si bien le faire …
Je t'aime, Iliana.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Kim-Lee & 22 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Top site Obsession & Eloy Torres ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non : ) ★Présence sur le forum → 7/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé : ) ★Crédit images → (c)KL
Mon exemple de RolePlay:
→ Il me devait bien ça non ? Que je puisse me tenir à son bras. Mais je m’attendais à ce qu’il me repousse, qu’il râle ou qu’il trouve quelque chose à redire. Kwan a toujours quelque chose à redire. Si ce n’est pas fait comme il aime, si ce n’est pas fait selon son idée. Si ce n’est pas fait comme il le voudrait, il trouve à redire. Même quand c’est fait selon ses souhaits et ses désirs il râle. J’avais finis par ne plus m’en formaliser et d’agir comme je le pensais le plus juste. Puis il finissait souvent par accepter les choix que je faisais sur ses tenues. Pour ce qui était du reste … il se chargeait bien de me faire comprendre qu’il n’aimait pas. Et aussi fou que ça puisse paraitre je ferais n’importe quoi pour l’entendre critiquer mon travail à nouveau. Au moins c’était la preuve que j’avais encore une place au près de lui. C’était ce que j’aimais faire et je savais, je sentais, que quelque part au fond de lui il ne détestait pas ça tant que ça … Tout du moins c’est ce que j’aimais à croire … Être styliste me manque … Pendant ma convalescence j’ai dessiné un tas de croquis et d’essai pour leur comeback. Des tenues de scènes, de clips, pour quand ils sortent, qu’ils passent à la télé, qu’ils participent à des émissions. J’avais tout en tête, je les connaissais tellement par cœur que je savais ce qu’il aimerait, ce qu’il détesterait, ce qui leur ferait plaisir, ce qui les mettrait en valeur et au contraire, ce qui leur portait défaut … Les couleurs, les coupes, je savais exactement quoi leur faire. Qui contacter, avec qui travailler. Les couturiers, les créateurs. Je savais qui saurait répondre au plus juste à mes demandes, ceux qu’il fallait éviter, ceux qui m’avaient rendu folle et ceux qui m’ont sauvé la mise plus d’une fois. J’étais faite pour ce métier j’en étais persuadée. J’ai fait la plus belle erreur de ma vie en donnant ma démission. Je le regrette amèrement aujourd’hui et je réfléchis toujours à comment rattraper le coup. Le boss n’a rien dit quand je lui ai tendu la lettre, si ce n’est un vous êtes sûre ? Je crois qu’il était soulagé dans le fond. Il ne risquait plus aucun scandale avec moi, ni ne recevrait aucune pression de mon père. Je suis partie sans me retourner, et quelques jours plus tard je me faisais renverser … N’a-t-il pas supporté que je casse notre jeu comme je l’ai fait. C’était si radical, si dur … J’ai longtemps hésité, peser le pour et le contre. J’ai joué à quitte ou double. Et j’ai l’impression de toujours jouer gros quand ça concerne Kwan. J’ai eut du mal à résister à l’envie d’aller le trouver, mais j’ai résisté, en pensant que si les choses devaient se passer elles se passeront … Et elles se sont passés. Il m’a renversé. Est-ce que je dois voir en ca un signe du destin ? Ou juste la fin, un trait, un point final ? Les gens les plus censés me diront que oui, que je dois le fuir, qu’il est fou, qu’il s’en fout de moi. Que je sois ou non, qu’est-ce que ça changerait ? Après tout ce n’est pas comme si je lui avais manqué pendant des jours que j’ai passé à ne pas lui parler. On se voyait tous les jours. Il m’a ramené chez moi, ça peut paraitre si rien pour vous, mais pour moi … Merde c’est un geste qu’il n’aurait fait pour personne d’autres … Mais est-ce qu’il avait agit par simple culpabilité ou parce qu’il voulait me prouver qu’il n’était pas juste un connard sans cœur ? Est-ce qu’il y avait une grosse différence ? Il pense à son image, Jung Suk pense à son image, tout le monde le protège sans se soucier de ce que je peux endurer moi. Mais cette fois là, quand il m’a attendu devant l’hôpital, a-t-il vraiment cherché à protéger son image, être gentil avec moi pour mieux que je ferme ma gueule. Est-ce qu’il aurait pu agir comme ça ? Je n’en doute pas une seconde … Je suis même persuadée qu’une part de lui l’a guidé ainsi … mais il y avait autre chose. Je le sentais, c’était peut-être dans sa façon de me regarder ou de rire ; il était … lui. Et si ce côté qu’il me montrait, si cette facette de sa personnalité qu’il me présentait, n’était-ce pas une preuve qu’il savait être autre chose qu’un calculateur sans cœur ? Et que s’il était là, s’il était présent, c’était parce qu’il savait que sa place était près de moi … A force de retourner le problème dans tous les sens je ne sais plus quoi en penser. J’aimerais lui demander mais je suis à peu près sûre qu’il sera incapable de me répondre sincèrement. Et s’il le fait, je ne sais même pas si je serais capable de le croire … je regarde son profil se détacher sur la nuit qui se fait de plus en plus noir. Kwan qu’est ce qu’il y a dans ta tête. Qu’est-ce qui te rend si difficile à cerner ? Tu ne laisses jamais personne approcher, pourquoi ? Pourquoi t’agis comme ça ? On dirait que tu as peur de quelque chose. Je sais que je ne suis pas la mieux placer pour prétendre pouvoir être ton ami, mais je sais que j’étais ta meilleure ennemi et qu’en ça je te connais peut-être plus que la plus part des gens. C’est comme si je t’avais étudié assez longtemps pour connaitre tes faiblesses et points forts. Mais comme si j’avais appris ta façon de penser. Je voyais comme tu voyais. Je connaissais et anticipais chacune de tes réponses … mais il y avait toujours cette part de flou, c’est part de toi qui te rendait si … instable ; j’aimerais pouvoir prétendre te connaitre par cœur, mais il y aura toujours cette facette de ta personnalité qui me surprendra toujours … et je crois que c’est ce qui m’attire le plus chez toi. Tu sais être imprévisible tout en restant toi-même. "T'en fais pas quand j'en aurais marre je te le ferais savoir." Je souris et acquiesce. "Ouais c'est vrai... sans toi je suis perdu." Il plaisante Hwi Ji tu sais … Il le dit mais je ne crois pas qu’il le pense vraiment … Il aime juste te taquiner et rentrer dans tes délires. Ne t’accroche pas trop à ses mots … La dernière fois que tu l’as cru tout c’est très mal finis. Et je le sais. Je le sais plus que quiconque, mais c’est plus fort que moi, je ne peux pas m’empêcher d’espérer, de croire, de me dire qu’il y a une infime vérité derrière ses paroles. Je sais pas si je peux déjà me l’avouer à moi-même, mais j’aime croire que sans moi son quotidien n’est plus le même. Qu’il s’ennuie … qu’il ne trouve jamais rien qui n’arrive à le satisfaire. C’est con, j’en suis réduite à devenir la bouffonne du roi. Je suis là pour égayer ses journées et être celle qui prend en pleine face sa mauvaise humeur. Est-ce que j’ai le droit de me contenter de ça. Est-ce que j’ai le droit de n’être qu’une marionnette présente pour le satisfaire ? Et même si ce n’est pas le cas, je le prends quand même ce droit. Parce que c’est tout ce dont j’ai besoin pour l’instant.
Je le vois me taquiner et ne peux résister à l’envie de rire quand je le vois agiter sa paire de sourcil. J’ai l’impression de ne passer ma soirée qu’à ça. Rire, plaisanter, marcher avec lui et être … normale. J’ai l’impression de le découvrir tout en voyant que c’est Kwan. Je le connais, je sais comment il peut être. Un vrai chieur, gamin, qui se moque de l’avis des autres, mais ce soir il est drôle, il est enfantin, taquin, il ne pense pas à mal et je crois qu’il profite juste … Oui il profite juste de cette soirée avec moi. " Je déteste le Japon, tout comme je déteste la nouvelle styliste. Elle est encore plus incapable que toi." Je souris en coin. Sa remarque me mets un peu de baume au cœur. Je retrouve de mon Kwan à cet instant. Je lui lance un regard amusé avant de lever les yeux au ciel me donnant un air blasé. Ce soir je ne suis pas d’humeur à me vexer ni à faire la gueule. Je le connais, je sais qu’il peut être méchant ; maladroit ou vexant, parfois même tout ça à la fois. Mais ce qu’il faut surtout retenir dans sa phrase c’est que mon travail, il est mieux que celui de cette greluche qui me remplace ; et aussi motivée soit elle, jamais elle ne pourra faire le travail que je fournis depuis plus de 5 avec les garçons. Ce n’est pas seulement des planches et des coups d’aiguilles, c’est aussi accordé à chacun sa place et son caractère. Il m’arrivait aussi de les laisser choisir leurs tenus, ça leur donnait l’occasion de montrer un peu plus de leur personnalité, et moi de cerner leur goût. Bon, je ne lui avouerais pas, mais pour Kwan c’était toujours une catastrophe ce qu’il choisissait … Je me demandais comment c’était possible de ne pas savoir accorder ses vêtements comme ça. Mais je le trouvais davantage craquant quand il arborait fièrement une tenue qu’il avait choisit. Et même si rien n’allait ensemble, il suffisait de voir son air fier pour lui trouver un charme fou. Puis il avait finit par ne porter que du noir et des vêtements simples qu’il savait aller ensemble. Peut-être que finalement les quelques conseils que j’ai pu glisser l’air de rien ont marché. "J'ai demandé au président de te reprendre. Il a déchiré ta lettre de démission devant mes yeux." Je m’arrête. Tout comme lui d’ailleurs. Je m’arrête et je le regarde fixement. Il a bien dit ce qu’il a dit et que je l’ai entendu dire ? Est-ce le produit de mon imagination, ou Kwan a réellement demander au président de me reprendre ? Et mieux que ça, ça a fonctionné ? Je suis reprise ? J’ai mon boulot ?! De nouveau ?! Je suis tellement estomaquée que je n’arrive plus à bouger, il continue de faire quelques pas en ajoutant "T'as peut-être vraiment envie de partir. Mais moi je veux que tu restes." Je ne pensais pas qu’il serait capable de dire ça un jour, de me le dire à moi, de dire franchement ce qu’il désire ; je devrais réagir mais j’en suis incapable. Je le regarde, hébétée. Ce n’est pas que je ne comprends pas ce qu’il me dit, mais c’est que j’ai du mal à réaliser. Je ne sais pas ce qui me retourne le plus. Le fait qu’il est pris cette initiative pour moi ou qu’il l’ait fait parce qu’il ne voulait plus que je sois loin. Il me veut moi en tant que styliste, lui qui dénigre mon travail, il ne désire que moi pour m’occuper de lui. Je sens comme des papillons dans mon ventre. C’est con, j’ai jamais vraiment cru à cet expression. Quand je vois Kwan je suis surtout stressée et parfois en colère, j’ai jamais ressenti de … papillons ou quoique ce soit qui s’en rapproche. Mais j’ai comme des chatouilles qui pourraient m’arracher un sourire si je n’étais pas aussi sonnée par cette nouvelle soudaine ; c’est comme un rêve qu’on m’offre sur un plateau. Une seconde chance, un moyen de me rattraper et de prouver que je suis encore capable de faire ce que j’ai toujours su faire de mieux en dehors de la danse … Je crois qu’il ne réalise pas ce qu’il a fait pour moi. Je ne dirais pas que ça pourrait effacer le mal qu’il m’a fait en me renversant, mais je pense que ça peut contribuer à mon pardon. J’ai tellement rêvé de ce retour, j’ai tellement espérer pouvoir trouver le courage de me présenter au président pour qu’il me redonne l’opportunité de travailler avec les garçons. Mais j’ai rompu mon contrat consciemment, sur un coup tête que j’ai longtemps cru réfléchi, mais je n’ai pas su faire la part des choses. Et ce que je ressentais pour Kwan m’a aveuglé. Cette façon qu’il a de se montrer aussi possessif avec moi … c’est comme si je comptais, au moins un peu, à ses yeux. "Tu peux me dire que j'ai mal fais ou autre, je m'en fous. Je veux pas d'une autre styliste que toi." Non, non Kwan ce n’est pas ça ! J’essaye de lui faire comprendre mais je suis incapable de parler. Je le fixe, je ne saurais même pas dire quel genre de réaction j’affichais. Il ne veut aucune styliste que moi … Et un jour je l’imagine me dire ça pour que je sois la femme qu’il veut … tout cours. Je déglutis, je détourne le regard. Je me tourne même sur le côté pour cacher mon regard qui se remplie de larmes. Je suis trop sensible merde … Je n’ai pas envie de lui montrer qu’il m’a touché. Je me mets dos à lui, c’est con, mais c’est comme me mettre à nu devant lui. Je n’en suis pas encore capable, je n’en ai jamais été capable, sauf avec Chocolat mais chocolat se cachait derrière sa capuche. J’ai peur des gens, j’ai peur de Kwan encore plus. Mais il l’a dit, même si je devrais m’énerver de voir qu’il ne se soucie pas de ce que je voudrais, c’est moi qu’il veut … C’est moi. Pas une autre mais moi. Et il s’est démener pour que le président me reprenne. Il l’a fait pour lui mais c’est tout ce que je désirais … Je n’aurais jamais cru qu’il puisse le faire si je lui demandais, mais c’est dingue, je n’ai même pas eut à lui demander … il l’a fait de lui-même … Il me voulait. Moi. Quand je finis par réaliser ce qu’il a fait pour moi je me tourne brusquement vers lui et comble les deux pas qui nous séparent. Je ne dis rien, je pince mes lèvres, et je lui attrape le bras pour l’attirer à moi. J’enfouis mon visage dans le creux de son cou et enroule mes bras autour de sa nuque. Je le serre contre moi, incapable de parler. Je le serre contre moi parce que c’est la seule façon que j’ai trouvé pour lui dire merci … Je crois que je tremble contre lui, j’aimerais me contenir mais l’émotion qui me vrille le ventre est trop fort. Je le serre fort, trop peut-être et trop longtemps. Mais je n’arrive pas à me résoudre à le lâcher. Il vient de redonner un sens à ma vie. Si soudainement …
Je finis par m’écarter et souffle un simple « Merci Kwan … » en faisant glisser mes doigts dans le creux de sa nuque. J’esquive son regard et vint murmurer « Tu sauras toujours me surprendre Kwan … » avec un sourire en coin. J’ai réussi à ne parler pleurer comme une gamine. Je lève mon visage vers lui et fixe son regard, savoir si il est si franc qu’il ne l’affiche. Pendant quelques secondes mes yeux se perdent dans son regard, j’essaye de le comprendre mais je ne m’attarde pas trop, parce que j’ai peur qu’il lise dans mon regard ce que j’éprouve … Et je peux le dire, quand je me jetée à son cou j’étais mu par cet élan d’affection. Un élan d’amour qui m’a poussé à vouloir le sentir contre moi. Je voulais son parfum, son étreinte, sa poigne. Je le voulais lui, contre moi. Je ne sais pas l’a perçu, mais je ne veux pas qu’il le voit. C’est comme si c’était capable de le faire fuir. Alors j’espère qu’il prendra ce geste simplement pour de la reconnaissance. Ça en est d’ailleurs, mais pas seulement … et c’est ce pas seulement que je veux cacher. Je finis par me détourner de lui et le dépasse pour continuer la route. Je ne m’accroche plus à son bras, pas que j’en ai pas besoin, au contraire, mais parce que je crois que j’ai assez de contact physique avec lui pour le reste de la soirée. Un pont se profil devant nous. Il est peu éclairé, mais joliment dessiné. Les gravures sur la roche sont belles ; et typiquement japonaise. C’est un mélange de tradition et modernité. L’idée folle de jouer au funambule me prend. Je retire mes chaussures et les fait tomber au sol avant d’avancer doucement en faisant pianoter mes doigts de pieds sur le bitume froid. La sensibilité de mon pied droit est moins forte qu’avant. Mais je plus en plus je ressens ce que je touche et ça me plaît. Je grimpe maladroitement sur la balustrade sans me soucier de Kwan et une fois que je suis dessus je me tourne vers lui. Je tends la main dans sa direction et lui fait signe de monter. Je l’attends, je me mets dos à lui et fait quelques pas. Puis je le regarde monter, avec bien plus d’agilité que moi comme je m’y attendais. Il me rejoint en quelques enjambés. Est-ce qu’il me prend pour une folle ? Surement un peu, mais je ne veux pas voir sa réaction. Je veux juste … jouer. Je me tourne face à lui et m’amuse même à marcher en arrière. Oh bien sur je perds l’équilibre plusieurs fois mais je retrouve bien vite mon centre de gravité. « Je me souviens qu’en cours de danse classique ma professeure nous faisait tenir sur nos pointes en équilibre sur une poutre. » J’arquais les bras devant moi en arrondissant le plus possible et porta tout mon poids sur ma pointe de pied. Celui valide. Je montais mes bras au dessus de la tête et grandit mon dos pour avoir un port de tête gracieux. « On finissait toutes des bleus et des foulures avant la fin du cours, mais une fois sur la terre ferme, on était capable de tout faire, grimper sur nos pointes. » Et ça tuait les pieds … Parfois ma mère glissait de morceau de viandes dans le fond de ma chaussures pour amortir le choc. Mais ça ne m’empêchait pas d’avoir les pieds en sang. Mais j’aimais ça plus que tout la danse, alors je recommençais et qu’importe si je souffrais, ça en valait la peine. Je tentais de faire un tour sur moi-même mais perdit légèrement l’équilibre et me rattrapa à Kwan de justesse. J’éclatais de rire avant de me redresser et lui dit « Tu sais … pendant que j’étais à l’hôpital je me suis rendue compte que je tenais beaucoup à la vie … et que j’ai jamais vraiment profité comme j’aurais pu le faire. » C’est vrai je passais ma vie à faire ce qu’on attendait de moi. Parfois je me rebellais, histoire d’avoir bonne conscience avec moi-même mais ce n’était jamais vraiment suffisant. Quand j’ai vu la mort face à moi j’ai réalisé que je ne pouvais pas continuer indéfiniment à gâcher le peu de mon existence. La mort peut frapper n’importe où, n’importe quand. Je ne veux pas avoir de regrets … J’ai envie de croquer la vie à pleine dent … Je m’étais éloignée de Kwan, marchant sur mes deux pieds sur cette balustrade froide. Je pivote vers lui et lui dit, en gardant mes mains à l’horizontale pour compenser mon équilibre « Je te remercie au moins pour ça Kwan, pour m’avoir ouvert les yeux … » Et je suis sincère. Je ne sais pas comment je fais pour trouver du positif dans ce qui m’arrive, et pour ne pas réussir à haïr Kwan malgré tout … Je lui souris avant d’agiter taquine « Enfin la prochaine fois abstiens toi, ou alors soi moins radicale … » Je finis par éclater de rire et me détourne de lui. Je continue d’avancer et zieute par-dessus mon épaule. Kwan à mes chaussures en moins et ça me fait sourire, mais je ne dis rien, ça gâcherait tout. Je continue d’avancer en tentant de rester le plus droite possible. Mais je m’arrête j’attends que Kwan me rejoigne, et quand je le sens près de moi, dans mon dos, je recule d’un pas pour coller contre son torse. « Tu te rends compte que tout tien à un fil. » un seul petit fil, et si on a le malheur d’y toucher … tout bascule et se casse la gueule. « T’as jamais eu la sensation d’arriver à un carrefour et de devoir faire un choix. Mais que ce choix remettras en question tout ce que tu as vécut jusqu’à aujourd’hui. » Je me tourne vers lui et glisse mes mains sur ses hanches comme j’ai toujours l’habitude de faire quand je suis aussi près de lui. Je plonge mon regard dans le sien et lui dit « T’as jamais eu envie de tout envoyer valser pour juste … vivre ? » C’est philosophique bordel, peut-être trop pour lui et je dois l’ennuyer avec mes questions à la con … Je regrette presque d’avoir autant parlé et je me mordille la lèvre soudain gênée. Je veux me détourner de lui mais je me précipite trop dans mon geste et mon pied rate le bord de la balustrade et je le sens partir dans le vide … Mon cœur rate un battement et une bouffée d’adrénaline me retourne le cerveau. J’ai l’impression d’avoir l’estomac dans le cœur, ou l’inverse je ne sais plus, et je perds pied …
Dernière édition par Iliana Suarez le Mar 25 Fév - 1:30, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: I wish ... Dim 23 Fév - 22:33
bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: I wish ... Dim 23 Fév - 22:34
Bienvenue, j'adoooore ton avatar! ♥
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: I wish ... Dim 23 Fév - 22:34
Encore une latino
Bienvenue
Katerina M. Lehtonen
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ta fiche est bonne je te pré-valide donc en attendant qu'une admin passe t'ajouter à ton groupe bon jeu parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: I wish ... Mar 25 Fév - 14:36
Validée !
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Sujet: Re: I wish ...
I wish ...
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