Sujet: better safe than sorry. bastian Sam 12 Juil - 13:14
Bastian "Billy" Adrian Julian Strauss - Rosenberg FEAT. JULIAN MORRIS
âge →25 ans Né à→ Berlin, Allemagne. le → 25 Décembre 1987. Métier → Aucun Études → 4ème année en médecine - début de son internat en chirurgie Statut → Célibataire Orientation → Hétérosexuel Groupe → Outsiders
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Bastian est grand, brun, élancé, et charismatique. Les filles se retournent sur son passage, et n'hésitent pas à dire qu'il a tout pour lui. Son allure bon chic bon genre, ses petites chemises et son air de premier de la classe lui ouvrent toutes les portes possibles et imaginables. Cependant, Bastian cache un lourd secret ; son corps. Il y a quatre ans de cela, l'Allemand a eu un grave accident de moto, qui lui a laissé de nombreuses séquelles - tant physiques que psychologiques. Bastian exècre son corps strié de cicatrices, et le cache au maximum. Avec lui, oubliez les après-midis bronzette ou les baignades sauvages ; il n'acceptera jamais, et refusera de vous dire pourquoi. Oubliez aussi les relations amoureuses - cela implique beaucoup trop de choses, auxquelles Bastian n'est pas prêt à faire face. D'ailleurs, l'alliance qu'il porte toujours malgré sa séparation d'avec son ex-fiancée lui offre une excuse parfaite pour se défiler.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Auparavant, Bastian était rieur et souriant - il était toujours en tête dès qu'il s'agissait de s'amuser et de passer du bon temps. Bastian était confiant, et un brin narcissique ; il savait qu'il plaisait et inspirait la sympathie, et n'hésitait pas à en surjouer. Bastian était déterminé, et ambitieux - tout ce qu'il a voulu, il l'a eu. Rester aux Etats-Unis lorsque son père a été muté en Inde, sa petite amie à l'époque non célibataire, l'université prestigieuse qu'il convoitait. Rien ni personne ne se mettait en travers du fils Strauss-Rosenberg. Bastian était talentueux, mais n'est aujourd'hui plus que l'ombre de lui-même. Car désormais, Bastian est cynique – sa vie et ses expériences l'ont rendu ainsi. Il s'est résigné, et se laisse tomber depuis plusieurs années. Bastian est triste et mélancolique – suite à son accident, il a décidé de rompre avec sa petite amie de l'époque. Elle était tout pour lui ; ils formaient un duo inséparable, et voguaient contre vents et marées. Personne n'aurait jamais pu venir entacher leur petit bonheur, et il ne s'en est jamais vraiment remis. Bastian est fidèle – il avait beau être un playboy et un beau-parleur, il n'a jamais trompé ses petites amies. Il est droit et honnête ; c'est quelqu'un qui ne trahit pas, et en qui vous pouvez avoir une totale confiance. Mais par dessus tout, Bastian est malheureux – difficile de ne pas s'en apercevoir ; son air mélancolique, son sourire presque invisible et son air de chien battu ne trompent personne.
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Bastian Strauss-Rosenberg, vingt cinq ans, frôlant les vingt-six. Il est né à Berlin, en Allemagne, le jour de Noël. Il est l'aîné d'une fratrie de quatre enfants. Son nom est respectable et respecté ; sa mère appartient à la grande famille des Strauss, qui possède en Allemagne un empire pharmaceutique. Du côté de son père, on est plutôt diplomate de père en fils. Son arrière grand-père pensait l'Union Européenne, son grand-père a longtemps fait parti du gouvernement Allemand, son père travaille dans des ambassades et est muté tous les cinq ans. Bastian, souvent surnommé Billy, a donc beaucoup voyagé au cours de son enfance. Chine, France, Italie, puis États-Unis. Certains enfants supportent mal ces changements obligatoires, ces déracinements puis réadaptations à une nouvelle culture ; ça n'a jamais été le cas de Bastian. Il n'a jamais été un enfant agité, perturbé ou turbulent ; il n'a jamais été un adolescent instable, colérique ou fugueur. Au contraire – il est un exemple de réussite. Polyglotte, travailleur et ambitieux, les professeurs de plus âgé des Strauss-Rosenberg s'accordaient à dire qu'il était un élève intéressant et brillant, bien que légèrement prétentieux à certains égards. Mais qu'importe ; il était un véritable modèle à suivre, un espoir en devenir, un futur symbole de réussite. Bastian Adrian Julian Strauss-Rosenberg avait tout pour avoir une vie riche en événements et en succès. Il avait tout, y compris l'amour. Il est arrivé à New York à l'âge de quinze ans, et un simple regard posé sur Jude lui a suffit pour comprendre que cette fille-là serait spéciale. Il aimait tout en elle ; son apparence, son caractère bien trempé, sa volonté de fer de se sortir d'un milieu modeste qu'elle méprisait. Il a tout mis en œuvre pour la séduire, pour qu'elle se laisse aller avec lui. Il a obtenu ce qu'il désirait, et se sont vite mis ensemble. A l'époque, personne n'aurait parié sur cette amourette de jeunesse. Mais deux ans ont passé, et l'alchimie était toujours là. L'heure de se dire au revoir aussi ; Hans Rosenberg partait pour New Delhi dans quelques mois. Ce qui avait été une formalité auparavant devenait un supplice pour Bastian. Alors, pour la première fois de sa vie, il a dit non. Il s'est opposé à ses parents, opposé à leur autorité et à leur rythme de vie qui ne lui convenait plus. Il a fait entendre son avis, ses arguments, et ses parents ont décidé de lui accorder une chance. Après tout, ce fils aîné avait toujours été facile à vivre. Bon élève, rigoureux, sportif, impliqué, responsable : il était le fils idéal, en tous points. Il était irréprochable, et ses parents lui ont fait confiance. Bastian est ambitieux, et s'acharne lorsqu'il désire vraiment et sincèrement quelque chose. Il venait de gagner le droit de poursuivre ses études et sa vie à New York, aux côtés de Jude. Et c'était tout ce qui comptait. Après cinq ans de relation, Bastian a demandé Jude en mariage. Comme ça, sans vraiment réfléchir. Il trouvait simplement que le moment était parfait. Il avait regardé les premiers flocons de l'hiver tomber, puis avait contemplé le corps endormi de sa petite amie. Et il avait trouvé le moment parfait. Il était allé s'allonger auprès d'elle, avait patiemment attendu qu'elle se réveille, et lui avait demandé si elle voulait s'unir, de manière plus officielle encore, à lui. Elle avait accepté, à la fois excitée et craintive. Il l'avait embrassée, et ce simple geste avait suffit à les rassurer tous les deux. Ils faisaient le bon choix. Ils étaient fait l'un pour l'autre, voilà tout. Il avait tout pour être heureux, et voyait déjà sa vie être haute en couleur. Bastian était en couple depuis six ans avec Jude, et avait entrepris des études en médecine dans lesquelles il excellait. Il avait validé les trois premières années sans trop de sacrifices, était un homme fiancé comblé, et rêvait de fonder une famille. Oui, décidément, tout réussissait à Bastian. Malheureusement pour lui, la roue tourne - et il l'a appris à ses dépends. Après une soirée avec des amis, Bastian a eu un grave accident de moto. Un chauffard qui a grillé un feu rouge, et la vie parfaite de l'Allemand devient un véritable cauchemar. Brûlé au troisième degré a presque soixante pourcent, il a aussi la clavicule gauche en miette. Ces blessures là ne sont pourtant pas les plus graves ; une cote a perforé son poumon gauche. Il est laissé pour mort sur le bord de la route. Des témoins de la scène se chargent néanmoins d'appeler les urgences, et Bastian sombre dans l'inconscience alors qu'il franchit les portes des urgences. Auparavant, il poussait ces portes en tant qu'interne ; aujourd'hui, il était le patient à moitié mort. Les opérations se sont enchaînées, et les greffes de peau ont été nombreuses. Deux arrêts cardiaques à son actif, et des infections nombreuses. Jude a voulu être à ses côtés, et il l'a acceptée. Pendant quelques jours. Jusqu'à ce qu'il passe devant un miroir. Si son visage avait été épargné lors de l'accident grâce à son casque, le reste de son corps, lui, avait accusé le coup. Sa peau était rougie, écarlate à certains endroits. Son torse était barré de divers cicatrices. Pour Bastian, c'est le choc. Il refuse de voir Jude, refuse de laisser entrer quiconque dans sa chambre, excepté les membres du corps médical. Il ne s'accepte plus, ne se supporte plus. Il s’écœure, et refuse d'imposer cette vision à ceux qu'il aime. Sa vie vient officiellement de s'écrouler, et il se renferme sur lui-même. Bastian a passé de longues semaines à l'hôpital ; puis de longs mois en rééducation. Des heures à réapprendre à marcher, à se mouvoir, à effectuer des gestes du quotidien. Il est rentré chez lui, où Jude l'avait patiemment attendu. Mais sa confiance en lui était désormais inexistante, et ça l'a complètement brisé. Non seulement lui, mais aussi sa vie autrefois paisible. Il ne quittait plus ses costards, ne dévoilait plus la moindre parcelle de son corps. Il ne sortait plus, ni avec ses amis, ni avec sa fiancée. Pire encore, il se tendait dès qu'elle s'approchait, la repoussait dès qu'elle posait une main sur son torse abîmé. Ce qui devait arriver est arrivé ; Jude a trompé Bastian. Elle pensait que cela le ferait sortir de ses gonds, mais ce ne fut pas le cas : il s'est davantage fermé, souffrant en silence alors qu'elle pleurait et hurlait pour le faire réagir. Elle est partie pleine d'amertume, il s'est laissé tomber encore un peu plus. Il a pris trois ans pour se remettre, et s'apprête désormais à recommencer sa quatrième année en médecine, qu'il n'avait pas eu le temps de finir suite à son accident. Il espère que ses anciens collègues ne feront aucune différence, ne le regarderont pas avec pitié. Il voudrait recommencer ses études comme n'importe quel homme lambda, sans qu'on lui rappelle qu'il est lui-même un grand blessé. Ses études sont sa bouée de sauvetage - le reste est mort. Bastian n'est qu'un champ de ruines, et il est profondément hermétique au monde extérieur.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → a. assez vieille pour voter et avoir le permis. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → noémie évidemment Ce personnage est-il un double compte ? → non. Présence sur le forum → régulière. Personnage inventé ou scénario ? → inventé. Crédit images → tumblr
Mon exemple de RolePlay:
« C'est vrai. » Acquiesçais-je, sans pour autant développer mes propos. Non, elle n'était pas madame tout le monde. Elle faisait partie de cette catégorie de personnes qui ne laissent pas indifférents. On aime, ou on déteste. Il n'y a pas réellement de juste milieu. « Tu fais bien. » Assurais-je en haussant les épaules. Et en même temps, ce n'était pas comme si elle avait d'autre choix. La pauvre semblait complètement déphasée, à côté de ses pompes. La cuite qu'elle avait dû prendre la veille avait probablement été mémorable, à tel point que les effets ne s'étaient toujours pas estompés. Quoiqu'il en soit, je profitais de son état pour m'amuser un peu, et la faire tourner en bourrique. Tantôt blanc tantôt noir, ma voisine ne saurait bientôt plus sur quel pied danser – et je m'en réjouissais par avance. Quoiqu'il en soit, il était évident qu'elle ne pouvait pas me faire confiance. Ou en tout cas, pas en ce moment. Non pas que je sois quelqu'un qui ne soit pas digne de confiance – à vrai dire, j'étais une tombe. Un secret est un secret, et si j'avais un tant soit peu d'estime pour la personne qui me le confiait, je mettais un point d'honneur à ne pas l'ébruiter. « Tu peux l'être. » Dis-je en haussant les épaules. J'avais eu l'occasion de voyager à travers le monde, d'être au contact de nouvelles cultures et de nouvelles personnes constamment. Et le mieux dans tout ça ? J'avais été grassement payé pour le faire. Ça en faisait baver d'envie plus d'un, mais je n'en avais strictement rien à foutre.
« Je prends ça pour un compliment. » Déclarais-je en souriant, alors que mes lèvres s'étirèrent en un franc sourire. Cheyenne était peut-être amnésique, mais elle n'en avait pas pour autant perdu son répondant. À croire que certaines qualités pouvaient résister à tout, même au pire des traumatismes. « Pas d'alliance. » Ajoutais-je en lui montrant mes deux mains. Pas d'anneau, donc pas d'attache. C'était d'une logique imparable, et ça avait au moins le mérite de la rassurer. Je laissais Cheyenne prendre ses aises dans ma cuisine, sans sourciller. Qu'elle fasse ses petites affaires ; quant à moi, je cherchais à comprendre ce qui était en train de se tramer. C'était trop louche, trop bizarre, trop... Surréaliste. J'avais le sentiment d'avoir loupé un épisode important. Il ne restait plus grand chose de la Cheyenne d'antan, si ce n'est son répondant. Le reste semblait avoir disparu : elle n'avait plus autant d'assurance, ne jouait plus de son charisme et de son physique, et semblait perdue, presque... Fragile. « Je n'ai jamais dit ça. » Répondis-je, franchement perplexe. À moins qu'au cours de mon absence, la Pearson ait fait faillite. M'enfin, ça me paraissait être une hypothèse peu probable ; et si jamais elle n'assurait pas financièrement, je suppose que ces grands parents auraient pu la sauver de la banqueroute. La raison de son déroutement était donc à chercher ailleurs – et en toute franchise, je ne savais pas par où commencer. Heureusement, la demoiselle se décida enfin à voler à mon secours. Et tout à coup, ses mots expliquèrent bien des choses. Je suis resté un moment silencieux, franchement surpris. Je m'étais attendu à un peu près tout, mais pas à cela. « Je... » Commençais-je, peu sur de moi, avant de finalement me taire. Que dire ? Je suis désolé ? Ça n'avait aucun sens. « Qu'est-on supposé dire dans ce genre de situation ? » Demandais-je à voix haute. Question purement rhétorique ; il n'y avait rien à dire, seulement un constat à faire. « Oui. Oui, ça fait un choc. » Acquiesçais-je, sans pour autant m'étendre sur le sujet. Et encore, un choc, c'était un bel euphémisme.
J'ai éclaté de rire, indifférent au portrait peu flatteur de ma petite personne qu'elle venait tout juste de dépeindre. Pourquoi nier l'évidence ? J'étais narcissique, égocentrique, macho et borné. « Tu as entièrement raison. » Et j'assumais le tout sans aucun complexe. C'était aussi ça, d'être un laxiste invétéré – on se finissait par se foutre complètement de ce qui nous concernait directement. « Et tu as oublié superficiel, coureur de jupons, et dépensier. » énumérais-je en m'appuyant contre le rebord de l'évier. Andrea, ou la nonchalance à l'état pur. Je ne prenais aucun risque en révélant ces quelques informations – tout le monde en était parfaitement conscient, moi le premier. « Et sinon, je m'appelle Andrea. » Je ne voyais pas quoi d'autre ajouter. Je n'avais pas l'habitude de m'étendre sur mon compte – je partais du principe que moins les gens en savaient, mieux je me portais. « Qu'est-ce que tu veux savoir d'autre ? » Demandais-je, néanmoins décidé à me montrer un peu plus ouvert et chaleureux avec Cheyenne. Le jour était à marquer d'une pierre blanche, tant l'effort paraissait irréel. « Je... Ce n'est pas grave, tu ne pouvais pas savoir. » Et voilà, c'était le comble. Moi qui étais connu pour n'avoir ni patience, ni pitié, ni compassion, je me retrouvais en train de rassurer une amnésique paumée. Si l'on m'avait dit ça ce matin, je ne l'aurais pas cru un seul instant. Mais la vie était pleine de surprises – des bonnes, et des moins bonnes. Un silence s'installa, puis s'éternisa. J'en profitais pour la jauger du regard ; c'était toujours bel et bien elle, Cheyenne Pearson, la seule et l'unique, celle dont je m'étais rapproché avant de fuir pour parcourir le monde. Nul doute. Mais, définitivement, il manquait quelque chose. Sa perte de mémoire faisait d'elle un être incomplet, et donc fragile. Étrange ; je n'aurais jamais pensé dire cela un jour de ma voisine du dessus. « Je suis désolé, mais très franchement, je ne sais pas quoi te dire. Je te proposerais bien mon aide, mais je ne pense pas être le mieux placé pour répondre à tes questions. » J'étais bien loin de la connaître suffisamment pour l'aider à retracer le fil de sa vie. Ce que je savais d'elle se résumait, principalement, à son côté mondain. J'avais su deviner ou supposer quelques petites choses plus personnelles, mais nous n'avions jamais été proches au point de nous confier l'un à l'autre. « Mais je pense pouvoir t'apporter quelques éléments de réponses, si jamais tu en as envie. » Proposais-je en haussant les épaules. Après tout, c'était le moins que je puisse faire non ? « Allez viens, commençons par le commencement. Allons visiter ton appartement. » Dis-je en faisant un pas vers la sortie. Ma reconversion en agent immobilier venait tout juste de débuter, visiblement. Plus étrange ? Tu meurs.
Dernière édition par Bastian Strauss-Rosenberg le Lun 14 Juil - 22:34, édité 12 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: better safe than sorry. bastian Sam 12 Juil - 13:16
re-bienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: better safe than sorry. bastian Sam 12 Juil - 13:16
Rebienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: better safe than sorry. bastian Sam 12 Juil - 13:20
merci beaucoup
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: better safe than sorry. bastian Sam 12 Juil - 13:36
meow le crawford rebienvenue ici & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: better safe than sorry. bastian Sam 12 Juil - 14:17
Andrea
Re-Bienvenue
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Sujet: Re: better safe than sorry. bastian Sam 12 Juil - 14:18
Excellent choix Re-Bienvenue
Sebastian E. Black
Empire State of Mind
a lion still has claws.
▌INSCRIT LE : 13/04/2013
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▌ADRESSE : 2515 lexington avenue, #202, manhattan, avec le boyfriend.
WECLOMMMMME and coucou *-* y a juste un tit détail que je viens de voir, le personnage ne respecte pas les 5 ans d'écart là ! Comme Julian a 31 et demi (xD gosh, il a son annif 3 jours après le mien) ! Il faudrait lui donner une petite année de plus ! Sinon pour moi, le reste est parfait !