Quel est le caractère de ton personnage ?
you terrorized the Big Apple→ Le physique terminé, nous allons parler de son caractère :

Alizée est une jeune fille avec beaucoup de qualités, bien qu'elle ait tout de même quelques défauts. Elle aime beaucoup passer du bon temps avec ses amis, sa famille. Elle est gentille, souriante, mais surtout, elle aime donner, sans s'attendre à recevoir en retour, c'est sûrement ce qui fait d'elle une jeune fille ci attachante.
Alizée rêve de devenir danseuse professionnelle depuis ses trois ans, elle a beaucoup d'ambition et se donnerait corps et âme pour parvenir à son but.
Hormis la danse, elle apporte beaucoup d'importance pour la musique ainsi que la mode depuis plusieurs années déjà. Toutefois, quand elle ne va pas bien, il lui suffit de prendre une feuille et un stylo et commencer à composer ou faire quelques modèles d'habits, pour pouvoir s'évader et faire le vide de ce qui l'entoure.
Elle adore faire des virées en shopping avec ses amies, car oui, la mode, elle s'y connaît, c'est bien pour ça qu'elle a choisi de devenir mannequin, le temps de pouvoir parvenir à son but principal de danseuse professionnelle. Il est vrai que la danse, la musique et la mode sont ses passe-temps favoris.
Mais, comme toute personne, elle a aussi quelques défauts. D'ailleurs, son principal défaut est qu'elle est pessimiste. Beaucoup trop même, surtout quand il s'agit de la
danse. Malgré son esprit de compétitrice dans l'âme, elle part toujours dans l'esprit de ne pas arriver, par exemple lors d'un gala de danse. Elle à toujours peur de se tromper, de mélanger les pas, ou pire encore, de ne plus s'en souvenir et s'arrêter net devant ces quelques personnes qui composent le public. C'est sûrement dû à son manque de confiance en elle, depuis toute petite hélas, elle n'a jamais cru en elle.
De par sa timidité, elle n'ose pas aller vers les gens, ou du moins, très peu. Elle se soucie beaucoup de son apparence et de l'image qu'elle peut donner aux gens. Sachant que les gens ne sont pas toujours très tendre entre eux, elle a toujours la crainte de tomber sur des personnes méchante, prétentieuse, arrogante, qui se feraient un malin plaisir à la critiquer et, étant donné qu'Alizée est très sensible, elle serait vite capable de perdre ses moyens.
Quand elle était adolescente, elle se demandait souvent quel était le but de la vie, jusqu'au jour ou vivre lui parût être une raison suffisante. C'est pour ça qu'elle à toujours voulu aller de l'avant, quel que soit les étapes à franchir, le nombre de kilomètres à parcourir, peu lui importe, car après tout, la vie est trop courte pour ne pas profiter. C'est d'ailleurs une de ses citations préférées.

Well... It's my story !
and as charming as sad as it is, plays !
it does not begin with once upon a time

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Je suis née le six mars cents quatre-vingt-neuf, à Marseille, dans le sud ouest de la France. Jusqu'à un certain âge, je n'arrêtais pas de me demander quel était le principal but de la vie, jusqu'au jour ou vivre me parût être une raison suffisante.Pendant mon enfance, il faut dire que ça n'a pas toujours été facile, non, loin de là.Ma mère et mon père se sont connus en 1980, et sont tombés fou amoureux l'un de l'autre. Alors que chacun d'eux vivait de son côté, ils avaient décidé de venir s'installer à Marseille pour commencer leur nouvelle vie de couple. Quatre ans plus tard, mon frère, Mathieu est né. Je ne sais pas trop comment se sont déroulés ces quatre premières années au cours desquelles je ne faisais encore pas partie de ce monde. Mais, le moins que l'on puisse dire, c'est que ça à sûrement dû être joyeux. Ou du moins, plus que ça l'a été pour moi. Mon père et ma mère ne voulaient qu'une chose : avoir un enfant. Ils s'entendaient toujours à merveille et étaient toujours d'accord sur les choix qu'ils pouvaient prendre. Quand mon frère est arrivé, ils étaient les parents les plus heureux du monde, d'après ce que mon frère m'a raconter. Ils désiraient un enfant et bien, ils l'avaient. Mon père, il y a quelques années en arrière, était à la tête d'une société, quant à ma mère, elle, avait obtenue son diplôme pour devenir infirmière puéricultrice. Au niveau des moyens financiers, mes parents pouvaient se permettre assez de choses, enfin, je ne peux pas dire que nous étions riches, mais, dirais-je plutôt que nous étions loin d'être pauvre. Jusqu'au jour ou la société de mon père fit faillite. Et c'est à partir de ce jour-là, que tout a changé.


Quatre ans après la naissance de mon frère, je fus née , à mon tour. Bien que Mathieu, mon frère, se réjouissait de ma naissance, ce n'était pas le cas de mes parents, qui ont, dès ma naissance, tenté de me placer dans un foyer, une famille d'accueil, enfin peu importe, de partout, sauf à la place ou j'aurais dû être. Après tout, c'est vrai. Ils désiraient un enfant, un seul, ils l'avaient eu. Mais par accident, ils m'ont eu aussi, à leur grand désespoir.
J'ai passé mes quatre premières années de vie dans une ambiance peu joyeuse, ma mère était peu présente à la maison, à cause de son travail, alors que mon père lui, ne cessait de s'accroupir dans le fauteuil devant la télé, bouteille de bière dans une main, télécommande dans l'autre. Quant à mon frère, il allait à l'école.


A l'âge de quatre ans seulement, j'ai voulu commencer la danse. J'adorais admirer ces danseuses si belle, si gracieuse devant ma télé. Hélas, étant donné le niveau financier de la famille, j'eus à peine prononçait le mot « je veux » que mes parents coupèrent court à la conversation en me répondant « tu vois bien que nous ne sommes pas riches ! Comment oses-tu nous demander cela ? Espèce d'ignorante, monte dans ta chambre ! Tu n'auras pas de dessert ce soir ! » d'une manière tellement froide, tellement méchante, que ce moment resta gravé dans ma mémoire pendant de nombreuses années. Aujourd'hui même, je m'en souviens comme si c'était hier à vrai dire.
Jusqu'à l'âge de 14 ans, j'ai enduré beaucoup de choses, beaucoup de souffrance. C'est dur pour une enfant qui n'a seulement pas plus de 10 ans de voir que ses propres parents ne lui apportent aucune attention, ne lui montre aucune preuve d'amour, aucun signe d'affection, alors que pour mon frère, ils étaient tout le temps-là, à lui demander s'il voulait quelque chose, à lui faire des bisous et le prendre dans leur bras en lui chuchotant à l'oreille « mon fils, tu es la plus belle chose qui nous soit arrivée dans notre vie. Heureusement que tu es là, toi, sinon vivre ne nous serait d'aucune utilité. Sache que nous t'aimons très fort. »


Jusqu'à mes 14 ans, j'étais collégienne. Sans aucune prétention, j'ai toujours été dans le top trois des meilleurs de la classe. Enfin, je m'en sortais pas mal, je me débrouillais très bien. Je n'avais pas beaucoup d'amis, surtout rares étaient les filles qui ne me parlaient pas, sans aucune intention derrière la tête. Sans se moquer de moi, sans m'insulter, me critiquer. Enfin, j'étais comme solitaire. Et pourtant, Dieu sait que j'étais sociable, j'adorais être en groupe, avec de nombreuses personnes qui m'entouraient. Hélas, ce ne fût pas le cas. Ils se moquaient tous de moi et, je ne comprenais pas pourquoi. Malgré les nombreuses insultes que j'ai enduré, une seule m'a réellement marqué : « Grosse idiote ! Tu es vraiment ridicule, retourne chez ton père et ta mère ! Tu te crois belle, riche, mais tu n'es qu'une pauvre, tu es d'une inutilité énorme ! Avec ton style bizarre, tu n'as rien à faire ici ! Ni dans ce collège, ni dans ce monde ! Que t'aille en enfer imbécile ! »
Et c'est là, seulement à ce moment-là, que je me suis rendu compte que les choses venaient de changer. Elles avaient déjà changé.
A partir de ce jour, j'ai réalisé que peu de personnes croyait en moi, même pas mes parents. Je m'étais rendu compte qu'au final, la seule personne qui avait toujours été là pour moi était Mathieu, mon grand frère. Tous les soirs, je rentrais en pleure chez moi, j'en avais plus que marre de toute cette méchanceté gratuite que me faisait subir mes camarades de classe.
Alors, j'avais décidé de continuer à faire comme si de rien n'était. D'aller en cour et de passer outre ces insultes, ces critiques, ces méchancetés.



Les années passaient. Je venais d'avoir 18 ans et mon frère lui en avait 22. Chez moi rien n'avait changé Ma mère travaillait toujours, mon père était sans cesse accroupi devant la télé. Et, moi, je venais d'avoir mon B. A .C.
Plus les mois passaient et plus ma passion pour la danse, la mode et la musique ne cessait de grandir. Et, puisque que mes parents n'avaient pas les moyens pour me payer des cours, j'avais décidé de prendre des cours moi-même. Je me postais devant la télé et reproduisais ce que faisait les danseuses derrières l'écran. Pour ce qui était de la mode et de la musique, je m'enfermais dans ma chambre et je prenais une feuille, un stylo et je m'évadais. Je prenais du plaisir à dessiner des modèles d'habits, ou bien composer des chansons. C'était les seules raisons qui me paraissaient définir la raison de mon existence. Mon frère, la danse, la mode et la musique.


Un jour, alors que je rentrais chez moi, je surpris mon père et mon frère en train de violemment se disputer. Alors que j'essayai de les séparer, mon père me donna d'une force énorme une gifle sur la joue. En aucune position de force, mon frère, qui vit la scène, ne pût résister de vouloir frapper mon père. Mais je parvins à le calmer.
Quelques jours après cette dispute, je voyais mon frère ranger toutes ses affaires dans un sac. Argent, habits, quelques photos de lui et moi. Je lui demandas ce qu'il faisait et il me répondit « je pars Alizée. Je ne peux pas rester ici plus longtemps. Je ne t'oublierais jamais, sache-le, tu resteras à toujours ma petite soeur. Je ne supporte plus la façon dont les parents se comporte. Ni avec toi, ni avec moi. » Je m'en rappellerais toujours, quand j'entendis ces quelques mots, je n’eût d'autre réaction que de m’effondrer en larmes dans ses bras. Je ne voulais pas qu'il parte, il ne pouvait pas me laisser là, toute seule, loin de lui, c'était inimaginable pour moi !
Alors qu'il était sur le point de partir, sans même prévenir nos parents, je le rejoignis dans sa chambre, un sac à la main et je lui dis « Mathieu, je viens avec toi, c'est décidé. » J'étais majeure, il n'avais pas d'autres choix que d'accepter ma décision. Nous faisions alors tout le nécessaire pour le voyage, billet d'avion, passeport, visa et sans même dire au revoir à nos parents, alors qu'il avait seulement 22 ans et moi 19, nous nous envolions vers New-York. Et c'est là, que tout à commencer C'était l'occasion pour moi d'oublier tout ce qui s'était passé au paravant. De tout effacé et tout recommencé. C'était pour moi une nouvelle vie.




Voilà maintenant sept ans que nous habitons à New-York. Mon frère est devenu le fondateur d'une association contre la maltraitance des enfants et moi, je suis maintenant mannequin. Je fais des défilés la plupart du temps. Quant à ma passion pour la danse et la musique, je n'ai pas abandonnée. Grâce à l'argent que je gagne, je peux me payer des cours. Quelques soirs, il m'arrive même de me produire en spectacle sur de petites scènes, au cas ou si un danseur professionnel passe par là, ça peut être une belle occasion pour moi si quelqu'un me repère. Voilà, ma nouvelle vie a débuté à New-York. J'ai laissé derrière moi tous les mauvais souvenirs et maintenant, j'ai compris que la vie était trop courte pour ne pas profiter. J'ai compris que j'avais ma place dans ce monde, contrairement à ce que mes parents et camarades de classe pouvaient penser. Après tout, on a qu'une vie, alors autant en profiter.

Ton prénom ou ton pseudo & ton âge  → Ju'   
Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par un membre du forum !
Ce personnage est-il un double compte ? → Non
Présence sur le forum → 5/7   
Personnage inventé ou scénario ? → inventée !   
Crédit images → Bazzart.

Mon exemple de RolePlay: