Quel est le caractère de ton personnage ?
   you terrorized the Big Apple→Franc – Andrew est toujours honnête, seulement il n’est pas dur ou cruel dans les propos qu’il pourra vous déclarer. Il s’y prend chaque fois avec tact, en y mettant les formes pour ne pas blesser les gens inutilement. Il déteste le mensonge, alors il se contente d’être tout simplement sincère.  Ainsi, il ne sera pas non plus hypocrite. Il ne trouve aucun intérêt à dire le contraire de ce que l’on pense dans le seul but d’être bien vu. Il lui arrive donc régulièrement de séduire des gens quand les compliments lui semblent convenables et vrais.  Un vrai gentleman, il saura en faire craquer plus d’un/d’une !

Tendre – Andrew est quelqu’un de bien, qui blesse rarement une autre personne en ayant conscience. Il n’a pas pour but de détruire autrui, mais simplement de profiter de ce que peuvent lui apporter les gens de son entourage. Il cherche seulement à vivre sa vie de la manière la plus simple qui soit, en se contentant de ce que le destin pourra lui offrir. Il n’est pas capricieux, il veut seulement qu’on le laisse vivre en paix. Andrew est donc une personne plutôt généreuse et gentille, dans le sens où il se montre chaque fois agréable avec les gens. Il n’a rien d’agressif ou de bougon, au contraire il est la plupart du temps souriant. Il n’est pourtant pas vraiment sociable : il n’aime pas vraiment parler de lui, préfère s’intéresser aux autres, mais reste réservé. Au fond de lui, il a un fort besoin d’affection mais seules les personnes proches pourront le contenter à ce niveau, il ne sera jamais tactile avec de simples amis ou connaissances.

Très fidèle – Tant en amitié qu’en amour, une fois qu’il aura confiance en vous, il ne vous lâchera plus d’une semelle ! Il ne donne pas rapidement sa confiance alors il n’a que très peu d’amis, même s’il a un grand entourage. C’est quelqu’un de loyal, à qui l’on peut faire confiance en toute circonstance. Ce n’est pas un homme qui vous plantera un couteau dans le dos, au contraire il sera là pour vous à chaque instant – mais encore faut-il qu’il vous donne sa confiance. Aussi, il n’a eu que très peu de relations sexuelles et sentimentales, alors ce n’est pas un cœur d’artichaut qui tombe rapidement amoureux. En vérité, il s’est réellement épris d’une seule personne dans sa vie. Il n’aime pas enchaîner les conquêtes et coucher avec des inconnus, toutefois il adore séduire sans arrière-pensée. Il aime plaire et le sentir, alors il lui arrive quelquefois de draguer dans des bars, sans pour autant qu’il y ait quelque chose derrière ces discussions intenses. Andrew recherche seulement quelqu’un avec qui passer le reste de sa vie, il n’a pas envie de s’emmerder avec des coups d’une nuit qui ne le mèneront à rien du tout. Il sort d’un divorce difficile mais ça ne l’empêche pas d’espérer. Il n’est pas forcément naïf ou rêveur, il ne demande pas grand-chose en réalité.

Taquin – Andrew adore se montrer blagueur vis-à-vis des gens. Rien de bien méchant, il faut le prendre à la rigolade, il taquine seulement. Il a beau être très sérieux par moments, pour le travail par exemple, il n’est pas rare de le voir plaisanter. Il est considéré comme le clown du groupe, toujours là à faire une blague sans queue ni tête. Il peut par exemple se montrer un peu macho pour rigoler, comme pour se donner l'impression d'être un vrai mâle. Il prend la vie à la légère, sans se prendre réellement la tête. Il ne cherche pas forcément les problèmes, se contente seulement de sourire, même si au fond de lui, son cœur est abîmé. Il cache constamment sa véritable identité et ses émotions, il n’a aucune envie que le monde sache à quel point il peut être vide et combien il se sent seul. Il a beau avoir deux trois amis, aucun ne parvient réellement à combler ce manque qu’il ressent en l’absence de Caïn depuis quelques années. Alors son côté blagueur lui fait oublier sa solitude, cette frustration de ne plus le revoir, parce qu’il préférait réellement rire toute sa vie s’il le pouvait.

Un tant soit peu rêveur – Il n’est pas vraiment naïf, mais il a lui aussi des rêves en tête. Il aimerait rencontrer quelqu’un qui puisse lui faire oublier l’homme qu’il a rencontré des années auparavant, mais aussi pouvoir l’oublier à tel point qu’il puisse profiter pleinement de sa vie. Il aimerait sortir plus souvent, découvrir le monde et le pays de manière plus poussée, seulement il n’a aucune envie de faire ça seul. Très curieux, il aimerait énormément visiter les monuments et musées, voyager dans le monde, mais ça le déprime de le faire en cavalier seul.  Alors il rêve, recroquevillé dans son lit, qu’un jour il rencontrera la bonne personne. Il espère en silence.

Têtu – Non seulement il ne supporte pas d’avoir tort, mais en plus il continuera sur sa lancée jusqu’au bout. Il ne reconnaîtra que très peu de fois qu’il se trompe, tout simplement car il n’a pas pour habitude de changer d’avis ou d’attitude. La conversation peut ainsi rapidement tourner à la dispute si la personne en face ne cède pas devant sa saute d’humeur. Quand il veut quelque chose, il l’aura tout simplement. Il est déterminé et peut aller très loin dans son raisonnement s’il le souhaite.
   

Well... It's my story !
   and as charming as sad as it is, plays !
   it does not begin with once upon a time

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Mon enfance s’est déroulée de la manière la plus banale qui soit, ou presque. Un père absent et pris par son travail, une mère aimante mais débordée et des frères et sœurs qui ne se comptent même plus sur les doigts d’une seule main. Je ne peux pas me plaindre de ce que j’ai vécu lorsque j’étais petit, j’ai toujours eu ce que je désirais sans pour autant être un enfant gâté. Mon père étant plutôt riche, il nous permettait ainsi d’avoir la vie facile. En contre partie, nous devions fréquemment le laisser partir combattre, au risque de le perdre ou de le retrouver sans bras ou jambes. Non seulement il me manquait un père à qui je pouvais discuter de certains problèmes d’homme rencontrés durant l’adolescence, mais en plus je n’avais pas forcément ma place dans cette trop grande famille. J’ai toujours supposé que chacun de nous avait cette impression ; je sais en tout cas que mon jumeau ressentait ce sentiment d’être de trop. Lorsque l’on vit dans une famille aussi composée, il est difficile de se faire remarquer, encore plus lorsque notre père est militaire et qu’il est rarement présent. Alors à défaut de ne pas pouvoir rechercher une présence masculine chez ma mère puisqu’elle était chaque fois occupée avec les autres enfants ou les tâches ménagères, je ne cessais de passer mon temps avec celui qui me ressemblait comme deux gouttes d’eau. Heureusement qu’il était là pour pimenter un peu ma jeunesse, sinon je me serais très certainement incroyablement emmerdé.

C’était plutôt moi qui l’entraînais dans mes conneries, mais au moins j’avais un compagnon avec qui je pouvais facilement m’amuser. Je crois que j’ai tout fait avec lui, nous nous n’arrêtions jamais. Même les avertissements de notre mère ne parvenaient pas à nous faire comprendre que nous allions parfois trop loin, non, nous préférions enchaîner les bêtises en tout genre. Seul notre père, toujours très autoritaire - surtout quand il revenait d’une de ses missions, arrivait à nous montrer le droit chemin par une bonne paire de claques. Je crois que nos conneries avaient pour seul but de se faire remarquer par notre géniteur… En tout cas nous ne sommes jamais vraiment gênés pour faire le mur et aller draguer à tout juste 15 ans. J’expliquais à mon frère comment s’y prendre avec les filles à cette époque, il était assez réservé comparé à moi. Surtout que j’étais populaire dans notre lycée, puisque je jouais au football américain et aussi, mais un peu moins, au hockey sur glace. Forcément, j’épatais les filles, mais aussi je les appâtais. Même si mes techniques de séduction étaient développées, je n’étais pas ce connard qui prenait les filles pour des jouets ou encore moins le gars facile. Non je complimentais lorsque cela me semblait utile, toujours avec tact et élégance. Je n’hésitais pas à montrer à une fille à quel point elle pouvait être divine, jolie ou amusante, certainement pour ça que j’avais autant de succès. Généralement, les hommes se contentent de détenir une certaine cruauté envers la gente féminine, soit par impression de supériorité, soit pour embêter, soit parce qu’ils sont incapables d’avouer ce qu’ils ressentent. En tout cas, mon entourage au lycée n’était pratiquement fait que de filles. Seul Darren, mon jumeau, était mon véritable ami masculin.

Seulement, plus le temps passait, plus l’envie de plaire à mon père grandissait. Si bien que je me suis engagé dans l’armée, pour devenir comme lui, pour faire plus partie de sa vie. Pour comprendre pourquoi il abandonnait sa famille, ce qui le poussait à le faire. Et de toute façon, je ne savais toujours pas quoi faire de ma vie, alors ça me paraissait être une bonne idée. Mon père nous a toujours déclaré que servir son pays était la meilleure manière d’être utile dans sa vie, alors je me suis tout simplement lancé.  C’était un déchirement de quitter mon frère parfois pendant une longue durée, seulement je n’avais pas vraiment le choix si je voulais briller une bonne fois pour toutes aux yeux de mon père. Mon jumeau comptait plus que mon père certes, mais je n’avais plus rien à lui prouver : il savait qui j’étais, et en plus je lui avais suffisamment appris, il pouvait donc se débrouiller sans moi. Je n’ai pas intégré l’armée de terre comme mon père, mais de mer. Je sentais tout de même sa fierté, pour une fois. C’était meilleur que rapporter une bonne note à la maison ou adopter un comportement exemplaire, non je voyais que ça lui plaisait réellement. Il était fier que son propre fils puisse contribuer à gagner une guerre ou accomplisse ses missions avec brio. Et c’était l’essentiel selon moi.

C’est à ce moment-là que ma vie a pris un gros tournant sans que je m’y sois attendu. J’ai rencontré le supérieur en intégrant ma section, le grand et sexy Caïn. Caïn… C’est une trop longue histoire à raconter sur ce bout de papier. Être sous ses ordres a certainement été la chose la plus bénéfique pour moi dans toute ma courte vie. Il m’a appris énormément lors des cinq ans passés à ses côtés. J’ai compris, en le voyant pour la première fois, que je devais sans doute être attiré par les hommes. Même si mon père a toujours été contre ça avec son côté trop militaire, j’ai tout de suite assumé cette partie de moi. Seulement, pas au point de tout avouer à mon frère d’armes, qui se serait probablement foutu de ma gueule... Ou pire encore, aurait fait en sorte que je sois suspendu. Sauf qu’un sentiment très étrange me liait à lui et je n’avais aucune envie d’être séparé de lui. J’ai dû m’éprendre de lui sans en prendre véritable conscience, sans même pouvoir en parler à quelqu’un de l’armée. Encore moins au grand Caïn qui se fait la femme qu’il veut, le grand Caïn hétérosexuel. Je n’avais malheureusement aucune chance, même si j’ai bien cru qu’un soir il allait se passer quelque chose entre nous. Nos bouches étaient seulement à quelques millimètres, mon rêve allait se concrétiser, mais un membre de notre équipe nous a interrompus. Je m'étais pourtant préparé à ce qu'il se passe quelque chose. Durant ces années-là, je papillonnais un peu partout, couchais sans sentiment, notamment avec les hommes... Pour essayer. Ça n'avait rien de déplaisant en réalité, pas comme je l'imaginais lorsque j'étais encore un môme. Le faire avec d'autres me permettait d'obtenir une certaine expérience et paraître compétent aux yeux de Caïn si jamais il arrivait que nous le fassions. Mais ça n'est malheureusement jamais arrivé. Je suis resté cinq ans auprès de lui, en tant que bras droit. J’en ai vu du sang, des corps inertes et de la rage… Sans trop savoir pourquoi, on m’a finalement envoyé dans une autre équipe. Je ne faisais ainsi plus partie de celle du beau brun qui me servait de supérieur, surtout qu’il partait très loin pour une mission. Je m’intéressais à chaque détail de la guerre à laquelle il participait, pour me mettre au courant des blessés ou des morts. Je priais à chaque fois pour ne pas entendre son nom, tout simplement parce que c’était le dernier que je voulais savoir mort. J’ai finalement appris que toute notre équipe s’était envolée, mais que lui seul était encore vivant. Au moment où j’ai appris la nouvelle, je n’ai même plus pensé aux autres, avec qui pourtant pour certains j’ai été proche. Non, j’étais seulement soulagé de savoir que le seul survivant était Caïn. Celui dont, comme un con, je me suis épris.

Mon père m’avait venté les mérites de l’armée, je l’avais cru et j’avais su penser comme lui, toutefois j’ai compris de jour en jour que ce patriotisme dont j’avais fait preuve parce qu’il m’avait presque forcé à en prendre goût, était en réalité une pure connerie. Tuer des inconnus qui n’y sont peut-être pour rien, cette peur de mourir, mais aussi voir des hommes, des frères d’armes, être démembrés. Patriotisme, vous dîtes ? Moi j’appelle ça plutôt un énorme mensonge dans lequel des gens comme moi plongent sans prendre conscience que cet engagement est non seulement un suicide, mais aussi une transformation pour devenir de vrais bêtes. Je ne pensais pas sincèrement être un criminel sur le moment, je pensais faire les choses bien en aidant mon pays. J’adorais sincèrement mon métier, j’avais cette impression d’être utile. Mais désormais, j’exècre la personne que j’étais auparavant. J’ai compris en grandissant que j’avais réellement tué des hommes. Ce n’était pas un jeu, pas un combat test pour nous préparer. Non, j’ai éliminé des vies sans aucune rancœur au creux du cœur. J’ai brisé des familles, rendu des enfants orphelins… Comment pourrais-je désormais me sentir humain ? En plus, sans Caïn, l’armée paraissait fade. Je suis resté quelques mois dans ma nouvelle équipe, pour finalement comprendre que ce n’était plus pour moi. Je n’avais plus le cœur de participer à ce massacre et en plus j’avais aussi cette envie de construire une famille, d’avoir une certaine stabilité pour m’engager auprès de quelqu’un. Alors, comme pour me racheter, j’ai décidé de devenir pompier. Je ne tuais personne, je sauvais des vies comme je le pouvais. Je suis monté en grade au final des années, pour finalement devenir un lieutenant. La culpabilité a presque disparu, mes souvenirs de l’armée s’envolent petit à petit, à part ce Caïn qui a décidé de rester dans ma mémoire. Je ne l’ai pourtant jamais revu durant dix ans, tout simplement parce que je n’ai jamais su où il se trouvait, seulement ça ne l’empêche pas de squatter, sans ma permission, mes pensées.

En même temps de me faire une carrière en tant que pompier, je faisais évoluer ma vie de famille avec Mary. Je l’ai rencontrée par courrier tout d’abord, même si ma plume n’a rien d’exceptionnel. Je ne sais plus comment j’ai obtenu son adresse, certainement par les adresses à disposition pour les gens de l’armée. Histoire de passer le temps et d’oublier l’impossibilité d’une relation avec le supérieur, je correspondais avec cette femme, sans trop savoir à quoi elle ressemblait. Autant dire que j’ai été surpris devant tant de beauté lorsque je l’ai rencontrée. Une magnifique brune, fine, amusante, avec un sourire à couper le souffle. Alors je me suis lancé dans cette relation, en faisant semblant d’être indifférent vis-à-vis de Caïn. Quand je n’ai plus jamais revu ce dernier, je n’ai plus hésite une seule seconde pour combler ce vide avec cette femme. Pas en lui faisant l’amour des heures durant, non. Je l’ai épousée. Je pensais que l’attachement que j’éprouvais pour elle allait s’agrandir en un véritable amour, alors je lui ai fait un enfant. Un petit garçon qui a aujourd’hui deux ans et qui est ma petite fierté. J’ai eu ce que je désirais avoir : une famille. Et pourtant ça ne suffisait même pas. J’étais presque heureux, mais pas vraiment épanoui. Le réel problème dans cette histoire, c’est que je ne parvenais pas à l’oublier et ne faisais pas grand-chose pour non plus. Comme si je n’avais pas envie de le supprimer de ma tête. J’ai une photo de lui et moi lorsque nous étions en Irak, quand j’avais à peine 23 ans et lui 35, accrochée sur mon miroir. Je la regarde tous les jours, sans trop savoir pourquoi. Je crois qu’inconsciemment il me donne de la force pour avancer, comme auparavant. Il introduit ma dose de courage quotidienne dans les veines et je n’ai plus peur de rien. Comme un ange gardien. Sauf que Mary n’a pas été aussi stupide longtemps. Pendant huit ans, elle a imaginé qu’il était comme un frère pour moi, ce qui n’est pas faux non plus. Que je l’accrochais dans la salle de bain pour l’honorer, comme un souvenir. Mais elle m’a surpris en train de sourire beaucoup trop niaisement devant le miroir. A cet instant, mon ex-femme a tout compris. Tornade dans la maison, divorce demandé, fin de l’histoire.

Sauf que dans tout ça, il restait notre enfant. Autant je n’étais peut-être pas le meilleur mari puisque je ne suis pas tombé amoureux, autant j’aime mon fils éperdument. J’ai toujours voulu de lui et pas un seul moment je l’ai regretté, alors forcément j’ai tout fait pour avoir sa garde. Ça a pris du temps, mais je l’ai eue. J’ai gagné, en quelque sorte. Désormais je refais ma vie comme je le peux, loin de mon ex-femme et loin des ennuis le plus possible. Elle a préféré déménager parce qu’elle me haït tout bonnement depuis, non seulement parce qu’elle pense que je me suis montré infidèle avec cet homme – alors que je n’ai jamais fait un mauvais pas, mais aussi car je lui ai volé son gamin pour reprendre ses propos. Elle semble être en pleine guerre avec moi, faisant en sorte que notre bataille juridique perdure... De sorte à me pourrir la vie, je suppose. Quant à moi, j’ai préféré rester dans ma ville natale, là où toute ma famille se trouve. Je suis surtout content d’avoir mon frère jumeau près de moi, pour rattraper les quelques années perdus lorsque j’étais à l’armée. J’erre dans les rues, sans trop savoir quel est mon but. J’aime mon métier, je séduis quelques femmes quand l’envie m’en prend, parfois des hommes, sans que ça n’aille jamais plus loin. J’attends seulement de tomber sur la personne qui ne me rendra pas indifférent. Pour le moment, je vis ma vie de père célibataire même si ça ne me convient pas forcément. Je profite des petits moments plaisants de la vie, tout en espérant secrètement que quelque chose se passe…
   

Ton prénom ou ton pseudo & ton âge  → Emeline, meuh et 18 ans.
   Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par de multiples recherches pour trouver un petit bijou sur lequel m'installer, et finalement, je l'ai trouvé.
   Ce personnage est-il un double compte ? → A ce niveau-là, on ne les compte plus ! Oui, sixième compte après Theodor, Dakota, Meallán, Grayson et Elwyn.
   Présence sur le forum → 7 jours sur 7 et presque 24h/24.   Il faudrait sincèrement songer à me foutre en cure de désintoxication.   
   Personnage inventé ou scénario ? → Le scénario magique et sublime de monsieur morgan (caïn).   Tout est de sa faute en fait, si je craque pour un sixième compte !   
   Crédit images → Avatar : blondie ; gifs : tumblr ; icons : livejournal.

   

Mon exemple de RolePlay: