Sujet: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 18:44
Elizabeth Lauren (SANDERS) HENDRICKSON FEAT. OLIVIA WILDE
âge →30 ans Né(e) à→ Baltimore le → 12/01/1984 Métiers → ex danseuse pro devenue chorégraphe Études → artistiques, à Philadelphie Statut → mariée à River et amoureuse, mais attirée par un autre Orientation → hétérosexuelle Groupe → Artists
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Depuis toujours, la jeune femme a baigné dans l’art. Avec une mère sculptrice et un père violoniste de profession, ça semblait évident. + Elle ne sait pas jouer d’un instrument malgré les tentatives de son père, et n’est pas très habile de ses dix doigts. Tout du moins, pas au point de sculpter quelque chose ou de peindre, ni de dessiner. + Bref, l’art, elle l’exprime grâce à son corps à travers la danse. + D’ailleurs, elle ne manque pas un film concernant sa passion et son métier, et ne raterait sous aucun prétexte un épisode de Dancing with the stars. + Elle est mariée depuis six ans avec River, et heureuse + Mais elle se rend bien compte que son mariage bat de l’aile puisque les deux ne se voient plus aussi souvent + Elle se pose beaucoup de questions concernant son mariage et sa propre personne sachant qu’elle a rencontré un autre homme grâce à son boulot, qui l’attire énormément + Elle s’en veut de ressentir ce genre de chose alors qu’elle est mariée et amoureuse de son mari, ça n’a pas de sens à ses yeux, et elle a du mal à comprendre le pourquoi du comment + Elle a beaucoup voyagé grâce à son métier, et adore prendre des photos quand elle en a le temps et l’occasion. + C’est bien pour ça qu’elle collectionne les albums photos. Sans oublier qu’elle rapporte toujours des petits trucs de ses voyages, un souvenir d’une région particulière, un vêtement originaire d’un autre pays, ce genre de choses. + Plus jeune, elle s’est fait tatouer le mot « believe » sur son poignet gauche. C’est discret et elle ne le regrette pas vraiment. D’autant que ça la caractérise bien, au final. + Il suffit qu’Elizabeth écoute de la musique pour qu’elle commence à danser. Elle adore ça, et ça lui permet de lâcher prise. + Autant elle peut danser librement, autant elle aime aussi sélectionner une musique particulière et créer une chorégraphie, juste pour elle, pour son propre plaisir, sans que sa profession n’entre en jeu. + La jeune femme aime se mettre en valeur, se sentir belle, mais elle n’a aucun souci à sortir en jean basket avec un tee-shirt tout sauf avantageux. L’essentiel à ses yeux, c’est simplement qu’elle se sente bien dans sa tenue et dans sa peau. + S’il y a bien quelque chose qu’elle déteste, c’est la noix de coco + Elle n’aime pas sortir quand il pleut dehors, pas par souci de brushing, loin de là, mais elle estime que c’est justement le meilleur prétexte qui soit pour rester tranquillement chez soi + Elle est gauchère + Elizabeth ne supporte pas de ne rien faire, ça la rend tout simplement folle et il faut toujours qu’elle s’occupe + Elle chante comme une casserole mais adore pourtant ça + Beth est frileuse comme pas possible et rares sont les moments où elle n’aura pas froid quelque part + Elle possède un nombre incalculable de surnoms à son actif et ça ne la dérange pas le moins du monde + La jeune femme ne lit que des thrillers et des romans policiers, le genre de truc avec de l’action + De son point de vue, c’est à cela qu’on reconnaît un bon auteur, s’il est capable de maintenir son lecteur en haleine sans lui faire trop de révélations d’un coup, s’il peut le mener en bateau tout en faisant en sorte que son intrigue soit cohérente, elle estime que l’auteur en question est talentueux.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Elizabeth croit avant tout en ses rêves. Elle estime que s’ils existent ce n’est pas simplement pour nous faire rêver, nous faire baver d’envie. Un rêve, c’est un objectif à atteindre, à réaliser. Quand on veut, on peut, telle est sa devise. Elle peut se montrer acharnée et bornée d’un point de vue professionnel, mais c’est surtout parce qu’elle a essuyé plusieurs échecs avant d’en arriver là où elle en est aujourd’hui. Elle ne les regrette pas, parce que ça l’a encore plus motivé à réussir, à percer. L’envie de laisser tomber lui était bien évidemment passée par la tête, comme à n’importe qui, mais elle a bien vite balayé ses doutes pour se donner les moyens. Exigeante envers les autres et envers elle-même dans le cadre professionnel, elle estime que si on se lance dans quelque chose, c’est pour le faire correctement, et la demi-mesure l’insupporte. Professionnellement parlant, tout du moins, avec elle c’est tout ou rien. Elle peut se montrer stricte et parfois dure, surtout envers les danseurs à qui elle apprend telle ou telle chorégraphie, mais c’est à cause de son envie de bien faire. Hors cadre professionnel, elle n’est pas tout à fait la même. Elle laisse passer les choses, et ne s’énervera pas pour un rien, capable de faire la remarque sans hausser la voix ni monter sur ses grands chevaux. Avec ses proches, elle répond toujours présente et n’aime pas les savoir mal ou les voir dans une situation complexe, à se ronger les ongles. Si elle peut aider à sa façon, elle le fait. Souriante et bonne vivante, elle aime vivre, tout simplement, sans se prendre la tête pour un oui ou pour un non. Beth sait faire des compromis quand cela est nécessaire, et sait prendre sur elle s’il le faut. C’est une femme qui peut très vite se remettre en question, dans le but de s’améliorer, de devenir encore meilleure, et de se connaître elle-même un peu mieux. Ce n’est pas toujours facile, loin de là. Encore moins maintenant qu’elle s’est découverte une attirance pour un autre homme que son mari… Elle se sent coupable d’oser ressentir cela, et ça la perturbe beaucoup. D’un autre côté, Beth est une femme qui a peur de ne plus vraiment exister sans sa carrière. Depuis toujours, elle s’est montrée tellement obstinée par son succès, par son envie de réaliser ses rêves qu’elle ne sait pas si elle resterait la même sans cela. Comprenez par-là que l’idée de fonder une famille, par exemple, la tente bien, c’est une évolution qui lui plairait fortement, et dont ils avaient déjà parlé avec River, mais le problème c’est que ça change tout. Elle ne sait pas si elle sera un jour prête à tenter cette expérience, puisque cela voudrait dire de mettre sa passion et sa carrière entre parenthèses. Au fond, ça la fait vraiment flipper. De même qu’actuellement, elle est femme et se sent bien comme ça. Être mère, cela implique tellement de choses sur le long terme. Toute une vie modifiée, ce n’est pas rien.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → burning candles, anne-so, bientôt 22 years old, ça vieillit tout ça... Comment es-tu arrivé(e) ici ? → C'est River qui m'a donné envie avec son scénario trop bien, mais bon, tout le monde connaît le forum ne serait-ce que de nom. Ce personnage est-il un double compte ? → Absolument pas. Présence sur le forum → Je vais dire 5 jours sur sept, histoire de laisser une marge de manoeuvre. Personnage inventé ou scénario ? → Scénario, celui de River. Crédit images → avatar shiya, tumblr pour le gif, et gentle heart pour l'icon.
Mon exemple de RolePlay:
(j'ai donc choisi l'option de faire un début de rp sur ce forum plutôt que de vous faire une copié/collé d'un autre.)
La journée avait été longue et particulièrement périlleuse pour la jeune femme. Les danseurs s’étaient vautrés en beauté après avoir fait la bringue toute la soirée la veille… Quelle idée, franchement. Elizabeth leur en avait voulu et n’avait cessé de leur lancer des regards noirs. Le pire, c’était qu’ils devaient tourner une des dernières scènes pour le clip aujourd’hui, mais vu leur état, cela avait été reporté. Heureusement d’ailleurs, parce que bonjour les mines effroyables ! En réalité, c’était à peine si certains arrivaient à tenir sur leurs jambes. Mais pas question de les laisser s’en tirer comme ça pour la jeune femme. Même pas en rêve. Aussi, elle leur avait fait un magnifique sermon sur le professionnalisme, sur le respect de l’équipe avec qui et pour qui ils travaillaient. C’était franchement un minimum. Et puisqu’ils n’avaient pas été aptes à danser, la journée s’était écoulée en visionnant quelques enregistrements de leurs répétitions et les premiers enregistrements pour le clip, ceux qui n’allaient pas être gardés. Bref, les gros ratés, en fait. Une journée de travail quasi inutile, en fin de compte… Et si cet événement l’avait déjà mis de mauvais poil, ce n’était pas près de s’arranger. Certes, les raisons étaient différentes, mais quand même, ça n’avait pas aidé son humeur à s’améliorer. Et cet autre événement c’était tout simplement la présence de l’homme qui la perturbait au plus haut point. Enfin, pas son unique présence puisqu’elle avait appris –plus ou moins en tout cas- à faire abstraction, mais c’était surtout ses regards et ses sourires qu’il lui lançait. Apparemment, elle lui plaisait fortement. Sauf qu’elle était mariée. A River. Qui était toujours à New-York. Et Eli aimait River, vraiment. Est-ce qu’elle avait d’ailleurs dit à ce type rudement canon qu’elle était mariée ? Mince, à bien y réfléchir, elle n’était plus certaine. Peut-être que oui, peut-être que non. Mais elle portait son alliance, il avait forcément dû la voir, non ? Ça ne passait pas inaperçu, c’était même quelque chose qu’on vérifiait tout de suite.
Ces pensées n’avaient cessées de tourner en boucle dans son esprit tandis qu’elle rejoignait l’hôtel dans lequel elle logeait durant son séjour. Heureusement que la fin était proche. Elle avait hâte de s’éloigner de ces danseurs qui lui tapaient sur le système, et encore plus hâte de s’éloigner de l’homme qui l’attirait. Vivement qu’elle rentre chez elle, à New-York. Vivement qu’elle revoit River. Cela faisait un moment qu’ils ne s’étaient pas vus, et pour être francs, la dernière fois n’avait pas duré longtemps. Quelques jours, à tout casser. Jusqu’à ce qu’elle s’envole une nouvelle fois. Elizabeth aimait voyager, il n’y avait pas à dire, et elle aimait son métier, mais c’était lourd parfois, de devoir s’éloigner autant de son mari. Certes, cela ne changeait pas l’amour qu’elle avait pour lui, mais après tout, le contraire pouvait très bien se produire. Ce n’était peut-être pas le cas puisque lorsqu’elle rentrait et qu’il était là également, ils partageaient toujours ces moments particuliers, ces moments complices, et ça se passait bien. Il n’y avait pas de froid entre eux, pas de disputes incontrôlées, d’engueulades qui montaient dans les décibels. C’était bon signe, non ? Elle en était là dans ses pensées lorsqu’elle franchit la porte de sa chambre, et après l’avoir refermé et balancé ses affaires, la jeune femme fila directement dans la salle de bain prendre une douche et se débarrasser de tout ce qui l’avait mis de mauvais poil. Une fois qu’elle aurait pris sa douche, elle commanderait un truc à manger, et squatterait le grand lit somptueux en peignoir, télé allumée. Bien évidemment, elle en profiterait pour appeler son mari et prendre de ses nouvelles. Maintenant plus que jamais, elle avait besoin d'entendre sa voix, ça la rassurerait, la conforterait dans l’idée que cette attirance était ridicule. Six ans de mariage, et plus encore de relation, ça voulait dire quelque chose. Alors que cette attirance pour un homme dont elle ne savait pas grand-chose, ça ne représentait strictement rien. Même sous la douche elle y repensait, ça l’énervait, ça la perturbait. Pourquoi ne pouvait-elle pas laisser ces pensées dans un tiroir de son esprit, enfermé à double-tour, de préférence ? C’était trop demander ?
Finalement, Eli sortit de la douche et s’emmitoufla dans son peignoir avant de s’occuper de ses cheveux qu’elle essuyait. Ce fut à ce moment-là qu’on toqua à la porte, à sa plus grande surprise. Mais qui cela pouvait-il bien être ? Elle n’attendait personne, puisqu’elle ne connaissait pas un chat en Floride et n’était certainement pas venue pour cela. Quelqu’un l’avait-il suivi ? Est-ce que c’était cet homme qui lui plaisait ? Rapidement, elle secoua la tête en se maudissant. Elle était vraiment ridicule, il n’y avait pas d’autres mots. En serrant bien la ceinture de son peignoir, elle se dirigea vers la porte pour aller ouvrir. Et quelle surprise lorsqu’elle découvrit son mari juste en face d’elle. Yeux écarquillés, bouche grande ouverte, elle avait du mal à croire qu’il était là. Avait-elle subit trop de stress durant cette journée éprouvante qu’elle voyait des mirages ? Oh non, les mirages ne souriaient pas comme ça. C’était bel et bien River, et elle ne tarda pas à se jeter dans ses bras, sous le coup de l’émotion, et surtout du temps qui avait passé depuis leur dernière entrevue. Elle l’embrassa alors, ne pouvant pas vraiment s’empêcher de se retenir. Après tout ce temps, elle avait l’impression d’avoir oublié le goût de ses lèvres. Et ce n’était pas normal. « River ! Quelle surprise ! Mais qu’est-ce que tu fais ici ? » Question légitime, après tout, n’était-il pas censé travailler demain ? Et il y avait de faibles chances qu’il ne soit là que pour lui faire un petit coucou. Pas après avoir fait tant de trajet. « Je suis si contente de te voir, tu n’imagines même pas ! » dit-elle en finissant par se reculer, sourire sur le visage, le laissant entrer. « Tu m’as manqué. » lui avoua-t-elle également, toujours un peu sous le choc de le voir en chair et en os, ici, à Miami, alors qu’elle ne s’y attendait vraiment pas. « J’allais justement t’appeler ce soir. » Comme quoi ! Elizabeth réalisa qu’elle avait des tonnes de choses à lui demander, du temps à rattraper, pour sûr. Mais chaque chose en son temps.
Dernière édition par Elizabeth L. Hendrickson le Sam 2 Aoû - 21:39, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 18:45
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
« Lizzie chérie ? » Lizzie, un des nombreux surnoms que sa mère lui donnait, à l’époque. En même temps, elle était tellement créative qu’elle changeait tout le temps d’idée. Tantôt c’était Eli, ou Ellie, si elle l’écrivait quelque part, puis on passait à Beth, à Liz, Lizzie, Lizou parfois. Et puis il y eu Lisbeth, Betsy, Babeth. Franchement, elle avait eu le droit à tous les surnoms possibles et inimaginable avec un tel prénom. Mais ça ne l’a jamais vraiment dérangée, parce que la fillette de l’époque, d’à peine dix ans, avait déjà compris que sa mère optait pour tel ou tel surnom en fonction de son humeur. Babeth, c’était quand elle était en colère. Lizzie et ses variantes, quand elle était inspirée ou avait une idée derrière la tête. Eli/Ellie quand Madame Sanders était d’humeur câline, aimante. Beth, c’était quand elle avait quelque chose d’important à lui demander, genre mission super importante limite top secrète. Et Lisbeth et Betsy, et bien… À l’époque, la jeune fille n’avait pas encore trouvé à quel humeur ces surnoms correspondaient, mais une chose était sûre, ça l’amusait toujours d’évaluer de la sorte l’humeur de sa mère. Et bien sûr, son prénom en entier, Elizabeth, était réservé aux grosses colères, aux gros problèmes. Comme sa mère semblait d’humeur créative, la petite fille se dirigea dans l’atelier de sa mère pour la retrouver, et à peine fut-elle entrée que la mère de famille prit la parole. « Tu ne veux pas essayer de faire de la poterie ? De sculpter un joli vase, par exemple ? Ça sera sans doute plus facile pour toi comme ça. » Cela faisait près de deux ans que la sculptrice essayait de trouver le domaine de prédilection de sa fille, de l’intéresser à la sculpture. En fait, ce n’était pas qu’Elizabeth ne s’y intéressait pas, elle aimait bien, c’était amusant. Le problème, c’était qu’elle n’était carrément pas douée de ses dix doigts. Elle avait beau essayer, ça ne marchait jamais. Quand elle présentait le résultat final à sa mère, celle-ci réfléchissait pendant deux bonnes minutes avant de proposer quelque chose, et au final, elle tapait toujours à côté. Non, ce n’était pas une voiture, c’était un oiseau… Bref, la sculpture en tout genre n’avait jamais été très concluante pour la demoiselle. Elle se prêtait tout de même au jeu, pour faire plaisir à sa mère, surtout, mais cette fois n’échapperait pas aux autres. Le pire, dans l’histoire c’était que son père se comportait de la même manière, mais dans son propre domaine. La musique. Il était violoniste de profession dans un orchestre, et lui aussi persistait à se convaincre que sa fille jouerait d’un instrument. Sauf que le constat était le même. Elle n’arrivait jamais à faire une seule bonne note, peu importe l’instrument. Mais si les parents persistaient de la sorte, ce n’était en rien pour la forcer. Seulement parce qu’ils avaient toujours aimé l’art, peu importe sous quelle forme, et tentaient d’inculquer cet amour à leur fille unique. D’ailleurs, Elizabeth adorait passer de tels moments en compagnie de ses parents. C’était des moments privilégiés parce que très longs en compagnie de chacun, et agréables, surtout. Ça avait son charme.
« Maaamaaaan ! On va être en retard ! » criait la petite fille depuis l’étage, en s’habillant déjà de sa tenue, histoire de gagner du temps. Lorsqu’elle fut prête, elle descendit les marches quatre à quatre, en veillant à ne pas tomber. Ca aurait été dommage de se casser quelque chose et de ne pouvoir s’adonner à sa passion, du coup, elle faisait vraiment très attention. Mais Madame Sanders n’était ni dans la cuisine, ni dans le salon. En soupirant, la fillette de douze ans maintenant se dirigea d’office vers l’atelier de sa mère. Bingo, elle était bien ici. En même temps, la mère de famille ne pouvait pas se trouver ailleurs. « Maman, il faut qu’on y aille. Jenna et Meredith doivent déjà être là-bas… » Ses deux meilleures amies avaient la même passion qu’elle, et il lui semblait évident que ses amies soit déjà arrivées. Peut-être même depuis une bonne dizaine de minutes, bien à l’avance, impatientes comme elles l’étaient. « Oui, un instant ma chérie, je suis en pleine inspiration, il faut que je termine. » La fillette s’approcha alors pour voir l’avancée de la sculpture de sa mère avant de soupirer une nouvelle fois. Elle en aurait encore pour quelques heures avant d’avoir terminé. C’est en faisant la grimace qu’elle retourna à la cuisine et alla se servir un verre d’eau, réalisant qu’elle manquerait le cours. Jusqu’à ce que son père ne rentre, deux minutes plus tard, surpris de la voir là. « Tu n’es pas à la danse ? » demanda-t-il franchement interloqué. « Maman est inspirée. » répondit-elle en haussant les épaules. « Je vois. Dépêches-toi avant qu’on soit en retard. » Tout sourire, la fillette attrapa ses affaires et courut en tutu rose jusqu’à la voiture pour s’y installer, en remerciant son père maintes fois avant d’arriver à la salle de danse, de lui coller une bise sonore sur la joue, de l’entendre lui dire qu’il la rechercherait plus tard, et de sortir de la voiture en se précipitant pour retrouver ses copines à l’intérieur, et, forcément, danser pendant plusieurs heures. La danse classique, elle avait connu ce loisir grâce à ses meilleures copines qui en faisaient depuis deux ans de plus qu’elle, au début. Jenna et Meredith lui avait montré, une fois, et elle avait trouvé ça tellement beau… Du coup, elle avait fait des pieds et des mains, comme n’importe quel enfant, pour pouvoir en faire, elle aussi. Et c’était là que sa passion a commencé à naître. Pour ne plus s’arrêter.
« Peter, qu’est-ce que tu fiches ? T’as pas retenu l’ordre des enchaînements ou je rêve ? » s’exclama Elizabeth en arrêtant la musique. Elle était consciente que les autres grimaçaient, mais ils n’allaient pas nier non plus que Peter s’était planté. C’était d’ailleurs étonnant parce que cela faisait bien une demi-heure qu’ils avaient commencé à répéter. « T’es au courant que la représentation à lieu dans deux semaines ? T’es même pas au point ! » Il fallait quand même dire qu’ils répétaient la chorégraphie depuis des plombes maintenant, et qu’ils peaufinaient toujours un peu plus leur synchronisation. « Désolé Eli, je suis pas dedans. » Ah bah ça, c’était sûr… Bon, en même temps, l’adolescente se savait exigeante, par souci de bien faire, de réussir. Alors oui, ce n’était qu’une représentation de rien du tout par rapport à un événement organisé au lycée, mais ce n’était pas vraiment de cela qu’il s’agissait. Ils étaient une dizaine et formaient un groupe depuis bientôt un an déjà. Dans le but de s’amuser mais aussi de se faire connaître, de se créer une petite notoriété. C’était comme ça que ça commençait, après tout. « Ca va, on fait une pause, et on reprend dans dix minutes. » dit-elle avait de s’éloigner pour chercher une serviette et s’éponger le front. « T’es un peu dure envers lui, quand même. » lâcha Jenna qui l’avait rejointe. « Je sais… C’est juste que ça m’énerve, on répète depuis des plombes cet enchaînement, il est pas censé tout mélanger. » « Ca peut arriver à tout le monde, et tu le sais. » Elle avait raison, et Elizabeth hocha la tête avant d’embrayer sur autre chose, histoire de se détendre et de profiter de la pause. « Tu viens à la maison après ? Meredith nous rejoindra après son cours, on se fera une soirée pizza tranquille. » Jenna souriait un peu mais elle semblait avoir quelque chose derrière la tête. Un souci peut-être ? « Tu vas bien ? » demanda-t-elle légèrement inquiète. « Oui, oui, t’en fais pas, c’est juste que je suis jamais très à l’aise avec ta mère. Depuis toujours, mais en ce moment, elle est vraiment spéciale… » Elizabeth fit une petite grimace. Ca ne l’étonnait pas mais ce n’était pas la première fois qu’elle lui expliquait la situation. « Tu sais, elle n’est pas méchante, ni absente. Elle a juste énormément de boulot en ce moment. Y a un mariage qui s’organise et elle doit faire des sculptures sur glace. La mariée est genre super exigeante par rapport aux sculptures en elle-même et n’est jamais contente dès que ma mère propose un truc. » Foutue mariée caractérielle. « La dernière fois, elle avait fait un truc superbe, au bois, comme modèle, et la mariée lui a fait comprendre que ce n’était même pas envisageable. Elle a dû tenter au moins cinq propositions… Et le problème c’est que l’échéance approche et le retard est important pour le coup. » D’autant qu’il ne s’agissait là que de l’étape modèle… N’oublions pas que Madame Sanders allait devoir s’attaquer à la glace par la suite. « Elle est sur les nerfs en ce moment, c’est tout. » « Mouais, mais on la voit tellement peu… Et quand on la voit, c’est express, pour deux minutes à peine. Enfin, elle a toujours été comme ça. C’est pas méchant, tu le sais, juste que… » Jenna ne termina pas sa phrase. « T’en fais pas, je comprends ce que tu veux dire. Mais je la comprends elle aussi, c’est pas évident, ça se fait pas en deux jours non plus. Elle reste une mère géniale, tu sais ? » Jenna hochait la tête en souriant avant d’accepter de venir passer la soirée chez Elizabeth. Les filles discutèrent encore un peu avant que l’heure de se remettre à danser n’arrive.
« Alors ma chérie ? » demanda Madame Sanders tandis que Elizabeth entra dans la pièce. « Alors quoi ? » répondit-elle perplexe. « Sais-tu dans quoi te lancer l’année prochaine, après ton diplôme ? » intervient alors le père de famille en essayant d’être un peu plus pertinent que sa femme. « Ah ça ! Oui, bah oui. J’aimerais aller dans une école d’art. Il y en a une à Philadelphie qui me semble pas mal, ce serait le top. » Les deux parents se mirent à sourire de bon cœur, et en chœur aussi. C’était rare une telle réaction quand on y pensait. Surtout que la jeune femme comptait étudier la danse, se spécialiser là-dedans puisqu’elle rêvait d’être danseuse professionnelle. Et on sait tous combien de gens estiment que ce n’est pas un métier… Sauf que les Sanders étaient tout le contraire. Peut-être était-ce à cause de leurs propres carrières artistiques ? Ou tout simplement parce qu’ils avaient envie que leur fille soit heureuse et épanouie. « Philadelphie, tu dis ? » En guise de réponse, l’adolescente hocha la tête, mais sa mère semblait un peu perplexe. « Il n’y a pas de plus grandes écoles ? » Tout sourire, la jeune femme lui répondit alors. « Si, mais ce serait trop loin de vous. C’est pas que je ne veux pas m’éloigner, mais je sais que ça vous fera bizarre. Votre fille unique qui grandit, qui part étudier à l’autre bout du pays, vous laissant seuls. On a toujours été proches tous les trois, ça vous fera mal même si c’est la vie. » Oh oui, elle n’avait aucun mal à imaginer sa mère pleurer comme une madeleine à son départ, agitant peut-être un mouchoir blanc en la voyant s’éloigner vers l’autre bout du pays. « C’est pour nous que tu l’as choisie ? » La jeune femme haussa les épaules avant de répondre. « Pour tout le monde, et c’est une excellente école. Et puis, je pourrais vous surveiller comme ça ! » Petit clin d’œil à ses parents avant de s’enlacer. N’allez pas croire que le petit oiseau n’avait pas envie de quitter le nid, au contraire, elle ne pouvait nier qu’elle avait hâte d'avoir son indépendance. « Sans compter que Jenna compte aussi y aller. C’est le plan idéal, vous voyez ? » Ca arrangeait tout le monde. Et si les deux jeunes femmes étaient prises, elles vivraient ensemble, et ça allait le faire. L’idéal aurait été que Meredith les rejoigne également, mais celle-ci allait vraiment à l’autre bout du pays, dans la meilleure école de danse classique qui soit. Ce serait dur, et différent entre elles, mais c’était la vie.
Et cette fameuse école, la jeune femme l’intégra, sautant littéralement de joie en recevant sa lettre d’admission. Jenna aussi y fut admise, et le meilleur était à venir. Les deux jeunes femmes ne tardèrent pas à intégrer l’école, laissant leur famille à Baltimore. Bon, ce n’était pas loin du tout, même la porte à côté quand on y songeait vraiment. Enfin bon, les filles s’installèrent et commencèrent leurs études dans cette fameuse école d’art, apprenant énormément de choses. Bien évidemment, vu que l’école regroupait plusieurs discipline, rien n’était gagné pour la brunette. Mais, volontaire comme elle l’était et surtout déterminée, elle se donnait toujours à fond pour donner le meilleur d’elle-même. Elle ne visait pas la perfection dans les matières où elle avait plus de mal, juste la moyenne, un niveau correct. Elle compensait de toute façon avec la danse où elle s’appliquait énormément. Et puis, Beth rencontra River, lors de modules organisés à l’université où il étudiait. Et directement, BIM ! Cupidon avait lancé sa flèche inattendue. En même temps, River était canon, charmant, souriant, et surtout intéressant. C’était pas le genre de mec à vous ennuyer à mourir comme il y en avait certains. Oui, vraiment, River lui plaisait, et pas qu’un peu d’ailleurs. « Alooors ? C’était bien votre soirée ? » s’exclama Jenna allongée sur le canapé, souriante comme pas possible, à peine la porte se fut-elle ouverte, ce qui eut pour effet de faire rire la brune. « Tu es bien curieuse dis-donc. Tu sais que c’est un vilain défaut ? » répliqua-t-elle en plaisantant. « Ouais, on me l’a déjà dit. Sauf que t’es ma meilleure amie, et qu’il est de mon devoir de te le demander. » Beth éclata tout bonnement de rire. « Te marre pas, je suis sérieuse ! D’autant que tu es raide dingue de ce type ! » « Ehh ! il a un prénom, quand même… » Le sourire de Jenna s’élargit. « Et tu prends déjà sa défense. Là, t’es foutue, tu peux même plus nier. » Elizabeth finit par s’asseoir à côté de son amie en levant les yeux au ciel. « Ca va, j’assume complètement le fait d’être raide dingue de River. » Et encore, le terme était faible, à bien y réfléchir. « Bon, alors, vous êtes enfin ensembles maintenant ? Ca fait un moment que vous vous tournez autour, c’est bon maintenant. » Liz se mit à sourire avant de lui répondre « Oui, on l’est. » Et la suite, vous la connaissez. Cris surexcités de Jenna, discussion à rallonge sur le jeune homme, et ainsi de suite. Ne restait plus qu’à espérer que ça durerait. Ce qui fut d’ailleurs le cas, cela dit en passant.
« Angoissée ? » demanda sa mère en pénétrant dans la pièce tandis que Beth se regardait dans le miroir. Elle se retourna vers Madame Sanders en souriant et en secouant la tête. « Non, heureuse, en fait. » En même temps, elle allait se marier avec River, l’homme de sa vie. Comment diable pouvait-on être angoissé ? Ça, c’était un truc qu’on voyait toujours dans les films, et qu’elle n’avait jamais compris. Il n’y avait pas meilleure chose que d’épouser l’homme que l’on aimait. « Tu es magnifique. » répondit sa mère avant de la prendre dans ses bras, émue. « Ma petite fille va se marier… » Que d’émotions pour la mère de famille. En même temps, ça pouvait se comprendre. « Maman ne pleure pas, tu vas ruiner ton maquillage. » dit-elle en riant légèrement avant que sa mère ne se recule en reniflant. « Pour le prix que ça m’a coûté, ce serait idiot, tu as raison. » Et elles se mirent à rire en chœur avant que Madame Sanders ne file. La cérémonie allait commencer. D’ici quelques instants, elle deviendrait Madame Hendrickson. Elizabeth Hendrickson. River et Elizabeth Hendrickson. Ça lui plaisait énormément. En fait, c’était plutôt l’image qui était aussi plaisante, aussi géniale. Mari et femme, ce n’était pas rien, un grand pas, même. Mais ça se passerait bien, ils s’aimaient profondément, et leur histoire allait fonctionner, ils allaient être heureux et surmonter les épreuves de la vie ensemble. Et la cérémonie fut parfaite, tout simplement. C’était tout ce qu’elle avait un jour imaginé, tout ce qu’elle avait toujours voulu, le tout en compagnie de River. Que demander de plus ? Ce mariage, cette union semblait réjouir tous leurs proches autant qu’eux-mêmes et cette journée fut classée sous le signe du bonheur, tout simplement. Et ils furent heureux, effectivement. Tout comme ils l’avaient été avant leur mariage, parce que leur couple était solide, et qu’ils s’aimaient vraiment. Et leur mariage n’était pas la seule chose qui fonctionnait. D’un point de vue professionnel également, et pour tous les deux une fois leur diplôme obtenu, River bien avant elle évidemment.
Les choses se passèrent si bien qu’ils emménagèrent ensemble à New-York, il y a deux ans de cela. Bien évidemment, avec sa carrière de danseuse grandissante, la brunette avait souvent à s’absenter, voyageant à travers le pays et en dehors pour divers contrats. Un clip vidéo par ici, danseuse pour telle star lors de sa tournée par-là, on ne peut pas dire que le couple se voyait régulièrement, d’autant que River lui-même était occupé par sa carrière. Mais ça fonctionnait tout de même, et peut-être était-ce grâce à ce rythme soutenu, ces éloignements que leur relation durait. Après tout, combien était les couples à se prendre la tête pour un oui ou pour un non à force de se voir en permanence. Parce que là, à se voir moins souvent, ils étaient toujours heureux de se retrouver. Et leur amour ne s’effaçait pas, contrairement à ce qu’on pourrait croire. Aussi, le sujet de la famille arriva bien évidemment sur le tapis, mais ils avaient encore le temps et leurs carrières pouvaient encore évoluer avant d’y songer sérieusement. D’autant que la brunette avait un peu peur de se lancer dans une telle histoire, même si elle n’en avait jamais fait part à River. Enfin bon, les choses se passaient pour le mieux. Et quand Elizabeth eu l’opportunité de devenir chorégraphe, elle n’hésita pas bien longtemps. En tant que danseuse, elle avait déjà su se faire un nom. Ca n’avait pas toujours été facile, mais elle y était parvenue. Le problème dans ce genre de métier, c’était qu’au bout d’un moment, on préférait souvent les jeunes. Vous avez déjà vu un danseur de quarante ans, vous ? C’était pas impossible, bien sûr, mais rare. Aussi, cette opportunité représentait un excellent moyen de tirer sa révérence en quelques sortes. Oh, pour sûr qu’elle aurait eu encore quelques années devant elle, mais elle aimait imaginer des chorégraphies et les apprendre aux autres. Plus jeune, lorsqu’elle avait eu son groupe de danse, c’était elle qui se chargeait de cela. Aussi, ça lui semblait être une excellente option. Le seul inconvénient, c’était que les voyages se voyaient plus nombreux, et parfois plus longs également. Et River aussi était occupé par sa carrière, se rendant à un séminaire, ou voyageant pour d’autres raisons. D’autant qu’en parallèle de son métier de professeur, il avait également à charge un groupe de parole. Ce n’était pas facile et le couple se voyait de moins en moins.
Depuis près de trois semaines maintenant, Elizabeth se trouvait à Miami pour son travail, suite à la réalisation d’un nouveau clip vidéo. Elle travaillait d’arrache-pied avec les danseurs afin que tout soit parfait, toujours aussi professionnelle que d’habitude. C’est sûrement cela qui avait joué sur sa renommée, cela dit en passant. Enfin, ce n’était pas facile tous les jours sachant que certains danseurs prenaient cela à la légère, reposaient sur leurs lauriers, se disant que c’est dans la poche. Ils lui tapaient sur le système, ceux-là, mais bon, elle prenait sur elle. Le truc aussi, avec ce voyage, c’était qu’il y avait cet homme, qui bossait dans la réalisation de ce fameux clip. Il était séduisant, lui plaisait vraiment. Beth avait beau dire tout ce qu’elle voulait, elle ne pouvait pas nier être attirée par cet homme. Plus âgé qu’elle, il avait ce je ne sais quoi qui faisait qu’on ne pouvait pas ne pas le regarder, que notre regard se voyait automatiquement capté par lui, même s’il était de dos dans un coin. Tout du moins, c’était l’impression qu’elle avait. Et c’était ridicule. Elle devait vraiment être en manque de River pour en arriver à songer ce genre de choses. Sauf que le temps avait passé et qu’il l’attirait toujours. Le pire, c’était qu’en discutant avec lui, elle avait appris qu’il était originaire de New-York, qu’il n’était à Miami que pour ce clip qu’il ne portait pas vraiment dans son cœur et qu’il trouvait assez ridicule. Sauf en ce qui concernait la chorégraphie, avait-il dit en lui faisant un sourire charmeur… Ce qui n’avait pas aidé Elizabeth pour un sou, bien évidemment. Depuis, elle mettait de la distance entre cet homme et elle, mais ça ne l’empêchait en rien d’être attirée. Et cette seule pensée la rendait malade. Comment pouvait-elle penser cela ? Comment pouvait-elle faire ça à son mari alors qu’elle l’aimait ? Ça n’avait aucun sens. Elle n’en avait pas le droit. Encore moins après six année de mariage heureux ! Et pourtant, jour après jour, quand elle voyait cet homme, cette attirance était là…
Dernière édition par Elizabeth L. Hendrickson le Sam 2 Aoû - 19:34, édité 4 fois
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 18:51
bienvenue et bon courage pour ta fiche très bon choix de scénario et d'avatar
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 19:09
Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 19:13
Merci les filles Ca fait plaisir d'être accueillie comme ça Vous avez de superbes avatars au passage, Ashley est canon, et Gemma on n'en parle même pas
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 19:16
Welcome ir =)
Ana M. Fitzherbert
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i'll be the best or nothing at all.
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 19:21
wilde bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 19:23
Merci beaucoup Tyler & Léa Vous êtes que des BG par ici ou bien ?
Wyatt E. Anderson
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 19:43
WELCOME à la femme de mon meilleur pote
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 20:01
Merci J'imagine que ça nous donnera l'occasion d'avoir un lien du coup
Wyatt E. Anderson
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 20:15
Je pense même qu'un sujet à trois sera même de rigueur !
Katerina M. Lehtonen
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 20:32
bienvenue chez nous
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 21:16
Bienvenue
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 22:04
olivia wilde :laura: bienvenue parmi nous, et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 22:05
Merci tout le monde Caïn, on verra ça avec l'Homme alors Z'êtes trop adorables
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mar 29 Juil - 22:31
Welcome Darling
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mer 30 Juil - 1:31
Bienvenue
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mer 30 Juil - 11:41
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.
C'est vrai que c'est un excellent choix de scénario.
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mer 30 Juil - 14:07
Bienvenue parmi nous ma belle Bon courage pour la suite de ta fiche
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mer 30 Juil - 19:45
Wilde est so Bienvenue ici et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Mer 30 Juil - 21:30
River A. Hendrickson a écrit:
Welcome Darling
Quel enthousiasme honey ! Moi aussi je t'aime Mouhaha
& Merci beaucoup tout le monde, vous êtes trop adorables par ici
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Jeu 31 Juil - 0:29
Bienvenue!
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Jeu 31 Juil - 23:58
Merci beaucoup Dimitri Logan est un super choix au passage
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Ven 1 Aoû - 1:17
Olivia Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: parfois, l'amour ne suffit plus Ven 1 Aoû - 15:30
Bienvenue et bon courage Ton avatar est superbe et elle a des yeux *-*